La députée Chantal Soucy sollicite un nouveau mandat


 Publié le 16 août 2018
 

À l’aube du déclenchement hâtif des élections provinciales, la députée caquiste sortante, Chantal Soucy, a confirmé qu’elle solliciterait un deuxième mandat, le 14 août dernier, dans le cadre d’un 6 à 8, au Club de golf de Saint-Hyacinthe. C’est donc entourée de son équipe, de ses bénévoles, ainsi que de ses collègues François Bonnardel, député de Granby et Sonia LeBel, candidate de la CAQ dans Champlain, qu’elle a procédé à cette annonce.

Le président du comité d’action local de la CAQ à Saint-Hyacinthe, Olivier Blanchard, a profité de l’occasion pour rappeler les nombreux gains obtenus pour la région, ainsi que la longue liste de projets structurants mis sur pied par l’élue caquiste au cours de son premier mandat. Mais Chantal Soucy n’a pas l’intention de se contenter uniquement de ce bilan positif. Optimiste, elle a de nombreux objectifs pour les années à venir: « J’ai encore beaucoup d’ambition pour la grande région de Saint-Hyacinthe. Nous avons des solutions concrètes pour améliorer l’accès aux soins de santé de première ligne, pour agrandir et rénover nos écoles – dont seulement 3 sont jugées « acceptables » par le ministère, dans notre circonscription – pour s’attaquer concrètement au décrochage scolaire – notre commission scolaire est la 5e au Québec où les résultats académiques de nos jeunes ont le plus décliné au cours des dernières années – et pour déployer la fibre optique dans nos municipalités, afin que tous aient accès à Internet haute vitesse. »

Celle qui s’engage à mener une campagne positive et respectueuse entend bien faire connaître le programme de la CAQ aux citoyens de sa circonscription, d’ici le 1er octobre prochain : « La CAQ, c’est un changement positif, une alternative aux vieux partis qui s’échangent le pouvoir depuis des décennies. La CAQ, c’est un parti moderne, ouvert et créatif; un parti qui veut un Québec fort, dans un Canada uni. L’engagement de la CAQ, c’est de former un gouvernement intègre, qui va mieux gérer chaque dollar que les contribuables leur confieront et qui a la ferme intention de faire plus, de faire mieux en éducation, en santé et en économie. Il est grand temps que le Québec se dote d’un premier ministre économique qui tient à faire plus pour nos familles, pour nos agriculteurs et pour nos aînés. Le premier octobre prochain, nous aurons l’occasion de marquer l’histoire et de tourner la page sur 15 longues années de gouvernance libérale », a conclu Chantal Soucy.

La députée sortante a également profité de l’occasion pour dévoiler le lieu de son quartier général pendant la campagne électorale, qui sera situé au 1250, boulevard Choquette, à Saint-Hyacinthe, dans les locaux anciennement utilisés par Café Donut. L’ouverture officielle du local est prévue pour le 27 août prochain.

Bilan de la 41e législature: un vent de changement souffle sur le Québec


 Publié le 15 juin 2018
 

Au terme de son premier mandat à titre de députée de Saint-Hyacinthe, c’est avec fierté, mais également avec un brin de nostalgie que Chantal Soucy dresse le bilan de la 41e législature de l’Assemblée nationale.

« Ce qui marque particulièrement cette législature, mais également ces quinze années de gouvernance libérale, c’est la pluie de réinvestissements qui s’abat actuellement sur les Québécois, à quelques mois des élections, après des années de vaches maigres », constate-t-elle. « Depuis deux mois, les libéraux s’abreuvent sans vergogne des milliards de dollars arrachés des poches des Québécois pour les redistribuer à des fins électoralistes. Après avoir annoncé, réannoncé et surannoncé de nombreuses stratégies, plans et politiques, le grand total de ce recyclage libéral atteint maintenant 38 milliards de dollars. Mais c’est trop peu trop tard! Des écoles qui tombent en ruine, des retards d’apprentissage chez nos jeunes, des patients qui n’ont pas eu les soins nécessaires et du surmenage chez nos infirmières et nos enseignants, rien de tout ça ne s’efface magiquement avec des réinvestissements électoralistes! », dénonce la députée de Saint-Hyacinthe. « Après 15 ans de règne libéral, notre taux de diplomation a chuté de 10 %. Alors que le Québec était au 4e rang des 10 provinces concernant le revenu disponible il y a 15 ans, il est aujourd’hui bon dernier, résultat de l’augmentation des taxes et tarifs de toutes sortes. Finalement, la dernière brillante idée du gouvernement aura été l’augmentation démesurée du salaire des médecins spécialistes pour conclure son bilan catastrophique en santé »!

La CAQ : l’espoir d’un changement

Mais si les 15 années de règne libéral ont été marquées par les compressions budgétaires, la mauvaise gestion des contrats publics, les scandales et le copinage, un vent de changement et d’espoir souffle désormais sur le Québec.

Au cours de la dernière session législative, la CAQ a su assurer le rôle de véritable opposition officielle, notamment, avec le dépôt de deux projets de loi visant à faciliter l’accès de tous les Québécois à un système de justice moderne et fonctionnel, ainsi que par la création d’un plan concret de valorisation de la profession enseignante, dans le but de libérer le plein potentiel du personnel enseignant et de favoriser la réussite scolaire. La CAQ s’est aussi engagée à réduire et uniformiser le taux de taxe scolaire au niveau le plus bas actuellement, soit 0,1054 $ par tranche de 100 $ d’évaluation foncière, sur une période de 4 ans. François Legault s’est d’ailleurs levé à plusieurs reprises en chambre afin d’exiger cette équité pour l’ensemble des régions du Québec.

En tant que porte-parole de la CAQ en matière d’énergie, Chantal Soucy s’est également portée à la défense des contribuables en dénonçant la volonté du gouvernement libéral de contraindre Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier qui représenterait une perte de 1,5 milliard de dollars pour les Québécois. Avec ses nombreuses interventions, elle a également porté le dossier visant à permettre aux entreprises actives dans la chaîne de blocs (dont l’entreprise Bitfarms, située à Saint-Hyacinthe) de prendre de l’essor et de contribuer à l’économie du Québec.

Très satisfait de cette dernière session législative, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a positionné son parti comme l’alternative pragmatique à un gouvernement usé: « Aujourd’hui, je veux dire aux Québécois qu’il y a un espoir. L’espoir d’un gouvernement qui va faire de l’éducation une vraie priorité nationale, qui va enrichir les Québécois, stimuler l’innovation, les investissements des entreprises et les exportations. Un gouvernement qui va remettre plus d’argent dans les poches des familles et des Québécois.  Le Québec peut faire mieux, faire plus, en éducation, en santé et en économie. C’est un engagement ferme!»

Projet de parc éolien à Port-Cartier: Chantal Soucy se lève en chambre pour défendre les contribuables


 Publié le 6 juin 2018
 

À la veille des élections, les libéraux veulent contraindre Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, ce qui représenterait une perte de 1,5 milliard de dollars pour les Québécois. Ce contrat forcerait Hydro-Québec, qui baigne actuellement dans les surplus d’électricité et qui prévoit le demeurer jusqu’en 2026, à acheter 200 MW d’électricité dont elle n’a pas besoin, et ce, à un coût presque deux fois plus élevé que celui des projets éoliens conclus précédemment.

C’est ce qu’a dénoncé, hier, au salon bleu, la députée de Saint-Hyacinthe et porte-parole de la CAQ en matière d’Énergie, Chantal Soucy. Selon elle, cette stratégie électoraliste affectera durement les familles québécoises, qui ont déjà chèrement payé le prix des décisions libérales au cours des quatre dernières années. « Pour acheter des votes sur la Côte-Nord, le gouvernement de Philippe Couillard est prêt à dilapider l’argent des Québécois. C’est la méthode libérale. D’ailleurs, la Vérificatrice générale révélait dans son dernier rapport que les achats inutiles imposés par le gouvernement ont fait grimper la facture d’électricité des Québécois de 2,5 milliards de dollars en huit ans », a-t-elle déploré.

La députée de Saint-Hyacinthe a renchéri, aujourd’hui, en déposant une motion à l’Assemblée nationale, exigeant que le gouvernement du Québec fasse marche arrière et renonce à sa volonté d’obliger Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, d’ici le 1er octobre prochain. Cette motion s’est vue rejetée par les libéraux.

« La production d’électricité d’Hydro-Québec doit être relancée, mais on doit d’abord avoir signé des ententes d’exportation avec des états américains et d’autres provinces canadiennes, pour écouler nos surplus afin que la facture ne soit pas refilée aux Québécois. Il faut être beaucoup plus proactif pour conclure de tels partenariats et c’est précisément ce que prévoit le projet d’Alliance énergétique de la CAQ », a, pour sa part, déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

La crise du recyclage menace la Montérégie, Jean-François Roberge et la CAQ réclament une intervention de la ministre de l’Environnement


 Publié le 17 mai 2018
 

(CHAMBLY, le 17 mai 2018) – Il n’y a pas que la Ville de Montréal qui soit frappée de plein fouet par la crise du recyclage : plusieurs municipalités de la Montérégie, dont Chambly et Saint-Basile-le-Grand, pourraient voir leur centre de tri des matières recyclables fermer au cours des prochains mois si rien n’est fait. Le député Jean-François Roberge et la CAQ pressent le gouvernement du Québec d’intervenir rapidement pour garantir la pérennité du bac vert et éviter que les matières recyclables prennent le chemin du dépotoir.

Rappelons qu’au début de l’année, la Chine, le principal importateur des matières recyclables du Québec, a resserré drastiquement ses critères d’importation, fermant de fait son marché à l’immense majorité des matières recyclées de la province. Devant l’absence de débouchés et devant composer avec une baisse phénoménale des prix sur les marchés, de nombreux centres de tri et leurs opérateurs se retrouvent aujourd’hui sur la corde raide.

Dans une lettre qu’elle a fait parvenir aux élus de la région, la société Services Ricova Inc., qui s’occupe notamment de la collecte et de la valorisation des matières recyclables à Chambly et à Saint-Basile-le-Grand, sonne l’alarme. La situation est si grave, affirme-t-elle,  qu’ «il ne s’agit que d’une question de quelques mois avant que certains centres de tri et opérateurs de centres de tri, incluant nous, mettent la clé sous la porte faute de liquidités».

Devant cette situation, Mathieu Lemay, collègue du député Roberge et porte-parole de la CAQ en matière d’Environnement, s’est levé à l’Assemblée nationale pour exiger une intervention rapide de la ministre de l’Environnement Isabelle Melançon. «Les centres de tri enregistrent de lourdes pertes […] Les municipalités et les centres de tri demandent l’aide du gouvernement. Il est minuit moins une. Que compte faire la ministre? »

Mais les réponses de la ministre n’ont pas satisfait le député de Chambly : «les sommes annoncées par le gouvernement libéral pour accompagner les centres de tri dans leur modernisation, auxquelles la ministre a fait référence, sont largement insuffisantes pour régler la présente situation. La Ville de Montréal, à elle seule, a octroyé 29,2 millions de dollars pour soutenir son centre de tri. Et on voudrait nous faire croire que 3 millions sont suffisants pour les centres de tri de l’ensemble du Québec?»

Jean-François Roberge rencontrera les responsables de Services Ricova Inc. ainsi que la Ville de Chambly dans les prochains jours pour faire le point sur la situation. Son collègue Mathieu Lemay travaille de son côté sur une proposition visant à régler la situation. «Nous ne comptons certainement pas en rester là. Si les centres de tri ferment, nos matières recyclables prendront le chemin du dépotoir. On risque de perdre la confiance de la population envers le recyclage. Il faut éviter de jeter 37 ans de bonnes habitudes à la poubelle».

Élections provinciales 2018: La CAQ réformera le système de scrutin pour s’assurer que chaque voix compte


 Publié le 26 avril 2018
 

(CHAMBLY, le 25 avril 2018) – S’il n’en tient qu’à Jean-François Roberge et à sa formation politique, la Coalition Avenir Québec (CAQ), l’élection provinciale du 1er octobre prochain sera la dernière à se dérouler au mode de scrutin uninominal à un tour. Alors que les sondages nationaux donnent à la CAQ de bonnes chances de former le prochain gouvernement, celle-ci, loin de reculer sur cet engagement, s’est officiellement engagée à déposer un projet de loi afin d’implanter au Québec un système proportionnel mixte et ce, dès la première année de son mandat.

C’est par la voix de son porte-parole en matière de réforme des institutions démocratiques Simon Jolin-Barrette que la CAQ a pris cet engagement mercredi. Depuis des décennies, le mode de scrutin actuel, hérité de l’empire britannique, est l’objet de plusieurs critiques pour le manque de représentativité qu’il génère dans les assemblées législatives. Celui-ci a tendance à donner un avantage démesuré aux grands partis et à marginaliser les formations politiques plus petites.

«Aux dernières élections, le Parti libéral du Québec a fait élire 70 députés et  obtenu 56% des sièges de l’Assemblée nationale, en obtenant seulement 42% des votes exprimés», illustre le député de Chambly.

Le Québec et le Canada sont d’ailleurs parmi les dernières grandes démocraties occidentales à toujours fonctionner sous un tel modèle. La plupart des démocraties européennes ont déjà incorporé des éléments de proportionnalité à leur mode de scrutin afin de pallier à cette lacune, explique le député.

Pour le député Roberge, l’instauration d’un mode de scrutin proportionnel mixte aurait plusieurs avantages. En plus de réinteresser les citoyens à la politique et à la vie démocratique, celui-ci génèrerait plus de gouvernements minoritaires, et forcerait donc les formations politiques à plus de collaboration et à moins de partisannerie.

Si tous les partis, à l’exception notable du Parti Libéral du Québec au pouvoir, se sont engagés en ce sens, Jean-François Roberge souligne que seule sa formation politique a la crédibilité nécessaire pour mener à bien cette promesse. «Contrairement aux vieux partis qui nous le promettent depuis des décennies et reculent une fois rendus au pouvoir, la CAQ s’engage à déposer un projet de loi pour s’assurer que chaque voix soit entendue et représentée à l’Assemblée nationale et ce, dès la première année de son mandat. Un parti qui dit ce qui fait et surtout qui fait ce qui dit, ça, c’est du changement!», de conclure le député.

 

Les artisans du « meilleur camembert au monde », honorés par Chantal Soucy, à l’Assemblée nationale


 Publié le 11 avril 2018
 

« Monsieur le président, c’est maintenant officiel : le meilleur camembert au monde se trouve à Saint-Hyacinthe! » C’est avec cette phrase empreinte de fierté que la députée Chantal Soucy a entamé son hommage aux artisans de l’Extra d’Agropur, au salon bleu de l’Assemblée nationale, le 10 avril dernier.

Fièrement fabriqué à Saint-Hyacinthe, l’Extra d’Agropur s’est récemment distingué lors du World Championship Cheese Contest, aux États-Unis, où il s’est imposé face à 17 autres fromages et s’est vu décerner le titre de « meilleur camembert au monde ». Lors de ce concours international de fromages, considéré comme la plus grande compétition de ce genre, L’Extra a su séduire un jury composé de 50 experts de différents pays, reconnus des plus grands maîtres fromagers.

La députée Chantal Soucy a tenu à souligner cet honneur maskoutain devant ses collègues de l’Assemblée nationale : « Monsieur le Président, nous avons, à Saint-Hyacinthe, une solide expertise dans le domaine de la transformation alimentaire et l’obtention de ce prix vient une fois de plus faire rayonner notre technopole agroalimentaire, à travers le monde. Félicitations à tous les artisans de l’Extra, vous contribuez à notre fierté collective! »

Sensible à la récente vague de dénonciation, la députée Chantal Soucy se mobilise avec les acteurs du milieu


 Publié le 4 décembre 2017
 

Dans le cadre des 12 journées d’action contre la violence faite aux femmes, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, s’est jointe à la Clé sur la Porte, ainsi qu’au Centre de femmes L’Autonomie en SoiE, pour dénoncer la violence faite aux femmes, lors d’une conférence de presse à son bureau de circonscription.

Les représentantes des organismes présents se sont relayées pour souligner l’importance des 12 journées d’action contre la violence faite aux femmes, campagne qui se déroule du 25 novembre au 6 décembre, au Québec. « Nous sommes dans une période historique », a déclaré Céline Coulombe, coordonnatrice de la Clé sur la Porte. « Nous sommes témoins d’une vague de dénonciation sans précédent qui fait bouger les consciences. Partout et à tous les niveaux, des gens se mobilisent et prennent conscience  de l’ampleur de la problématique de la violence faite aux femmes et de la nécessité de s’impliquer personnellement pour changer les mentalités ».

Un financement supplémentaire pour la Clé sur la Porte, obtenu par Chantal Soucy

Sensible à la situation, la députée Chantal Soucy a décidé d’agir concrètement. « Lorsque j’ai vu les chiffres, lorsque j’ai appris qu’au Québec, en 2014, 18 746 cas de violence conjugale avaient été répertoriés et qu’au cours des deux dernières années, 3 femmes de notre région avaient été assassinées par leur conjoint, j’ai senti le besoin d’en faire plus. Alors, quand Céline Coulombe de la Clé sur la Porte m’a approchée pour me demander une aide financière dans le cadre du programme de soutien à l’action bénévole, j’ai eu envie d’aller plus loin » a-t-elle déclaré. « Je lui ai proposé d’aller chercher un financement supplémentaire pour que l’organisme puisse moderniser ses installations. Pour moi, c’était clair : les femmes victimes de violence conjugale et leurs enfants doivent pouvoir avoir accès à un milieu de vie sécuritaire, chaleureux et adapté à leurs besoins. C’est ce qui a motivé mes démarches auprès du ministre de la Santé et des Services sociaux, qui a accepté d’octroyer un montant de son budget discrétionnaire à la Clé sur la Porte », a expliqué Chantal Soucy. « La violence conjugale n’a pas sa place et ne peut être tolérée dans notre société.  En tant que députée de Saint-Hyacinthe, en tant que femme, mais aussi en tant que mère, je me devais d’envoyer un message clair et de soutenir concrètement la cause », a-t-elle ajouté.

Pour la coordonnatrice de la Clé sur la Porte, cette contribution de la députée Chantal Soucy a été grandement appréciée. « Chaque année,  depuis 36 ans maintenant, la maison accueille plus d’une centaine de femmes et autant d’enfants en hébergement pour des séjours de quelques jours à quelques mois. Une subvention gouvernementale permet de couvrir une partie des frais de fonctionnement, mais il nous faut toujours chercher de l’aide supplémentaire pour boucler le budget, ce qui nous laisse très peu de marge de manœuvre pour les réparations ou le remplacement de mobilier. Grâce à l’aide que nous recevons aujourd’hui de Mme Soucy, nous pouvons remplacer des appareils électroménagers qui ne pouvaient plus être réparés et changer des recouvrements de sol.  C’est une aide inestimable pour nous et pour toutes les femmes et enfants qui, grâce à ce genre de solidarité, peuvent trouver refuge dans un endroit non seulement sécuritaire, mais salubre et accueillant », a conclu la coordonnatrice de l’organisme, qui a profité de l’occasion pour remettre une plaque de remerciement à la députée caquiste, en guise de reconnaissance. Cette plaque sera d’ailleurs exposée à la maison d’hébergement de la Clé sur la Porte.

Chantal Soucy a conclu la conférence de presse en remerciant l’ensemble des administrateurs et des bénévoles des organismes communautaires présents. « Ces personnes offrent un soutien incroyable aux femmes de notre région dans le besoin. Elles font une réelle différence dans la vie des femmes et des enfants qu’elles aident. Je leur témoigne toute mon appréciation et les remercie du fond du cœur pour leur travail acharné », a-t-elle déclaré.

Les services offerts par la Clé sur la Porte, tels que l’hébergement et le soutien, sont disponibles 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ils sont gratuits et confidentiels.  De son côté, le Centre de femmes L’Autonomie en SoiE offre un lieu de rencontre où les femmes de tous les milieux peuvent venir échanger entre elles à partir d’expériences de vie communes, trouver des services d’accompagnement et d’information liés à leur vécu, ou encore être référées à un autre organisme.

La députée Chantal Soucy souligne l’ordination de Monseigneur Rodembourg, dans une déclaration prononcée à l’Assemblée nationale


 Publié le 24 octobre 2017
 

Le 27 septembre dernier, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a rendu hommage au nouvel évêque de Saint-Hyacinthe, Monseigneur Christian Rodembourg, dont l’ordination épiscopale a eu lieu le 17 septembre.

Dans son discours, la députée caquiste a d’abord relaté la vie de l’évêque. Ordonné prêtre en 1995, Monseigneur Rodembourg est connu pour son livre Prier 15 jours avec Père Eusèbe-Henri Ménard,  traduit en trois langues. Durant 22 ans, il a exercé son ministère presbytéral dans le diocèse de Saint-Jean-Longueuil, tout en apportant sa contribution à différents conseils diocésains. Il s’est également impliqué au sein de plusieurs mouvements, dont la Société des Missionnaires des Saints-Apôtres et les Équipes Notre-Dame du Canada.

« Partout où il passe, Monseigneur Rodembourg laisse derrière lui le souvenir d’un homme d’équipe, dévoué et près des gens », a affirmé Chantal Soucy. « Après 19 ans de loyaux services, Monseigneur Lapierre peut donc se retirer en toute quiétude ; son diocèse continuera d’être entre bonnes mains avec Monseigneur Rodembourg », a-t-elle conclu.

Mgr Rodembourg étant à l’extérieur du pays lors de la déclaration, la députée de Saint-Hyacinthe lui a rendu visite, le 23 octobre dernier, pour lui remettre en mains propres la transcription officielle de sa déclaration.

La députée Chantal Soucy rend hommage à Stéphane Martineau


 Publié le 5 octobre 2017
 

La députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a souligné la détermination d’un jeune homme de sa circonscription, Stéphane Martineau, à l’occasion du Gala des Prix Leviers qui s’est tenu le 4 octobre dernier, à Québec.

Cet événement, initiative du Regroupement des Organismes Communautaires Autonomes Jeunesse du Québec (ROCAJQ), rend hommage aux jeunes qui, malgré un parcours de vie atypique, ont réussi à se tailler une place au sein de la société et à devenir des acteurs de changement.

Un jeune qui se distingue

Pour Stéphane Martineau, la poursuite des études, ainsi que l’intégration au marché du travail ont toujours représenté un défi de taille. Ce sont ces difficultés qui l’ont incité à joindre les Ateliers Transition, il y a quelques mois. Dès son arrivée, son assiduité et sa persévérance ont été remarqués par l’équipe. Très vite, il a su démontrer du leadership en accueillant les nouveaux employés et en les prenant sous son aile.

C’est d’ailleurs ce qu’a voulu mettre en relief la députée Chantal Soucy, lorsqu’elle s’est adressée à lui pour la remise du prix et d’un certificat de l’Assemblée nationale: « À travers les embuches auxquelles vous avez fait face, vous avez toujours fait preuve de persévérance, d’assiduité et de courage. Votre dévouement, votre résilience et votre ouverture aux autres ont été remarqués par vos pairs aux Ateliers Transition. Ces qualités vous suivront toute votre vie et vous ouvriront les portes des plus belles opportunités. Continuez de foncer tête baissée dans la vie, de croire en vous et de surmonter les obstacles qui se mettront en travers de votre chemin. Vous êtes un exemple de détermination pour nos jeunes! Toutes mes félicitations! »  a-t-elle déclaré.

REM: La CAQ vote en faveur, le député Roberge se battra pour une gare à l’axe 10-35


 Publié le 3 octobre 2017
 

(Chambly, le 27 septembre 2017) – Le député de Chambly Jean-François Roberge et sa formation politique, la CAQ, se sont prononcés en faveur du projet de loi 137, Loi concernant le réseau électrique métropolitain, qui devrait donner le coup d’envoi à la construction du REM, lors du vote tenu à cet effet la semaine dernière à l’Assemblée nationale.

«Le REM est un projet de train électrique moderne qui sera un vecteur de développement pour Chambly, Richelieu, Saint-Basile-le-Grand, Carignan et Saint-Mathias, mais aussi pour l’ensemble de la Montérégie. Il permettra aux gens de se déplacer rapidement et à peu de frais. À terme, ce projet permettra aussi de retirer de nombreuses voitures sur les routes, ce qui aidera à lutter contre la congestion routière mais aussi contre l’émission de gaz à effet de serre, nuisibles pour l’environnement et la santé», explique le député.

Jean-François Roberge a voté en faveur du projet de loi, mais il ne compte pas donner carte blanche au gouvernement pour autant. «Le plan actuellement sur la table est bon, mais il est loin d’être parfait. Selon moi, il faut dès maintenant prévoir une gare à l’intersection des autoroutes 10 et 35, là où se joignent Chambly et Saint-Jean-sur-Richelieu», rappelle le député, qui compte revenir à la charge auprès du ministre des Transports à ce sujet.

Celui-ci déplore d’ailleurs qu’un projet d’une telle importance pour Chambly et l’ensemble de la Montérégie n’ait pas fait consensus à l’Assemblée nationale. «Je déplore vivement l’attitude des députés du Parti Québécois dans ce dossier. Je n’en reviens pas qu’ils aient voté contre le plus ambitieux projet de transport collectif électrique depuis le métro de Montréal!», a dénoncé le député.