Shirley Dorismond sera la candidate dans Marie-Victorin


 Publié le 30 janvier 2022
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que Shirley Dorismond sera la candidate de sa formation politique lors de l’élection partielle à venir dans la circonscription de Marie-Victorin.

Infirmière clinicienne depuis plus de 20 ans, Shirley Dorismond agissait à titre de vice-présidente de la FIQ (Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec) jusqu’à l’annonce de sa candidature. Cette candidate de haut calibre œuvre présentement dans les services de santé courants, notamment en santé mentale et en dépendance. Elle a également travaillé au sein du Conseil de l’ordre des infirmières et infirmiers du Québec, où elle mettait à contribution ses talents en communications et en administration.  Shirley Dorismond est détentrice d’un baccalauréat en soins infirmiers de l’Université d’Ottawa, ainsi que d’un certificat en gérontologie de l’Université de Montréal.

Madame Dorismond s’est avidement investie auprès des personnes vulnérables et vise à poursuivre son travail sur le terrain afin d’assurer à la population l’accessibilité des soins de qualité. Cette mère de deux enfants mise sur l’excellence des soins et de la sécurité des personnes de tout âge, à toutes les étapes de leur vie. Maintenant, elle souhaite mettre à profit toute son expérience acquise au cours de ces années en représentant, à l’Assemblée nationale, les citoyens de Marie-Victorin.

« On cherchait une candidate compétente, qui a une riche expérience professionnelle, qui a envie de servir les Québécois. On cherchait une femme d’action, proche du monde, qui connaît les enjeux des citoyens de Marie-Victorin. On a trouvé encore mieux que ça. Shirley est une femme très compétente, non seulement comme professionnelle en soins, mais aussi sur tous les enjeux de ressources humaines dans le domaine de la santé. C’est une femme d’action, qui a pris soin du monde, des plus vulnérables, des personnes âgées. Shirley, comme députée, c’est un plus pour Marie-Victorin et c’est un plus pour le Québec. »

–        François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

« C’est un honneur pour moi de me présenter dans Marie-Victorin, j’ai grandi ici, fait une grande partie de mes études ici et d’ailleurs je continue à m’impliquer dans la circonscription notamment en participant à l’effort de vaccination. Mon expérience sur le terrain me permet de bien cerner les enjeux qui vous préoccupent en matière de santé. En effet, à titre d’infirmière clinicienne, je suis bien au fait des défis qui nous attendent, entre autres pour le maintien à domicile des personnes aînées. J’espère avoir l’honneur de vous représenter à l’Assemblée nationale. Je remercie le premier ministre de sa confiance. »

–        Shirley Dorismond

Candidate de la Coalition Avenir Québec dans Marie-Victorin

Lien connexe:

Augmentation de l’accessibilité aux HLM


 Publié le 26 janvier 2022
 

Afin que davantage d’aînés, de familles et de personnes seules puissent bénéficier d’un logement dans un HLM, la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Mme Andrée Laforest, annonce un nouvel assouplissement des critères d’admissibilité dans les HLM vacants du Québec qui entre en vigueur dès aujourd’hui.

L’annonce de cet assouplissement relatif à la levée du seuil de revenu maximal permettra à plusieurs offices d’habitation d’offrir leurs logements vacants à une plus large clientèle, lorsqu’il n’y a pas de liste d’attente. Rappelons que les ménages qui habitent dans un HLM paient un loyer correspondant à 25 % de leurs revenus. L’objectif de cette mesure est de favoriser une occupation optimale des logements sociaux vacants depuis plus de deux ans dans certaines municipalités en les attribuant à des ménages à la recherche d’un logement et dont le revenu dépasse celui fixé pour y être admissible.

Le gouvernement du Québec augmente ainsi l’accessibilité aux logements sociaux en offrant une plus grande latitude aux offices d’habitation pour répondre aux besoins sur le terrain. Les offices d’habitation devront toutefois conserver des unités disponibles. Par ailleurs, il convient de souligner que des Québécois sur une liste d’attente pour un logement social dans une localité peuvent demander d’obtenir un logement social dans une municipalité dans laquelle il y a des HLM vacants et où il n’y a pas de liste d’attente.

« C’est la première fois qu’un gouvernement en fait autant pour accroitre l’accessibilité aux HLM. Nous augmentons l’offre de logements au Québec, mais il faut aussi s’assurer que tous les outils sont en place pour permettre à des ménages dans le besoin de disposer d’un logement adéquat, et c’est ce que nous faisons une fois de plus! Ce nouvel assouplissement que j’annonce aujourd’hui permet de faciliter l’accès aux logements sociaux. Cette flexibilité supplémentaire sera bénéfique dans plusieurs régions du Québec, notamment dans les plus petites municipalités qui ont des logements HLM inhabités. C’est vraiment une question de gros bon sens; les règles doivent évoluer, surtout dans une période où les taux d’inoccupation demeurent bas dans plusieurs régions. D’autres annonces en ce sens suivront. Ces logements qui sont chauffés, éclairés, et vacants depuis plusieurs années, nous souhaitons les voir habiter! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

Faits saillants

  • Le plafond de revenu déterminant les besoins impérieux (PRBI) correspond au revenu maximal déterminant l’admissibilité d’un ménage, selon sa composition et la région concernée, à un logement à loyer modique selon le Règlement sur l’attribution des logements à loyer modique (RLRQ, chapitre S-8, r. 1).
  • Dans les municipalités où les offices d’habitation ont une liste d’attente pour des logements sociaux, celle-ci sera respectée pour déterminer l’attribution de ces derniers.
  • Rappelons aussi qu’en mai dernier, le gouvernement a fait l’annonce d’un premier rehaussement du seuil de revenu maximal pour l’admissibilité à un HLM. Il s’agissait d’une première en la matière. Cela a eu pour effet de porter le plafond de revenu déterminant les besoins impérieux (PRBI), initialement fixé à 21 000 $, à 27 000 $, soit un bond de 130 %. Désormais, avec l’annonce d’aujourd’hui, les offices d’habitation auront toute la latitude pour offrir des HLM vacants à des gens qui cherchent un logement répondant à leurs besoins.

À propos de la Société d’habitation du Québec (SHQ)

En tant que chef de file en habitation, la SHQ a pour mission de répondre aux besoins en habitation des citoyens du Québec. Pour ce faire, elle offre des logements abordables ou à loyer modique et elle propose un éventail de programmes d’aide favorisant la construction et la rénovation résidentielles, l’adaptation de domicile et l’accession à la propriété. De plus, la SHQ stimule l’établissement de partenariats avec les collectivités, la concertation entre les acteurs du milieu et l’innovation. Pour en savoir plus sur ses activités, consultez le www.habitation.gouv.qc.ca.

Facebook : SocietehabitationQuebec 

Twitter : HabitationSHQ 

Plusieurs assouplissements à compter du 31 janvier


 Publié le 25 janvier 2022
 

À la suite des recommandations de la Santé publique, le premier ministre du Québec, François Legault, accompagné du ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, et du directeur national de la santé publique par intérim, Luc Boileau, a annoncé aujourd’hui les détails des prochains assouplissements à venir, qui se dérouleront en deux premières phases.

La plupart de ces assouplissements entreront en vigueur dès le lundi 31 janvier. La seconde phase, dont les allègements concernent les lieux de culte et les événements publics (salles de spectacle et cinémas, notamment), pourra s’amorcer à compter du lundi 7 février prochain.

Ces assouplissements permettront de favoriser une reprise graduelle des activités économiques et culturelles ainsi que de la vie sociale. En fonction de l’évolution de la situation épidémiologique et hospitalière au Québec, de nouveaux assouplissements pourraient être annoncés au cours des prochaines semaines.

Rassemblements privés

  • Les occupants de 2 résidences, ou un maximum de 4 personnes, pourront se réunir à l’intérieur d’un domicile privé. Il est fortement recommandé que les personnes soient adéquatement vaccinées.

Restaurants

  • Réouverture en accueillant les occupants de deux résidences, ou au maximum 4 personnes, par table.
  • Capacité d’accueil à l’intérieur réduite à 50 % et respect d’une distanciation minimum de 1 m entre les tables.
  • Les restaurants devront cesser la vente d’alcool à 23 h et fermer leurs portes à minuit.
  • Notons que les bars, tavernes et les casinos demeureront fermés pour l’instant.

Sports et loisirs

  • Activités intérieures de sports au civil ou de loisirs, y compris les cours, seront permises pour les personnes de moins de 18 ans :
    • Activités limitées à 25 personnes. Pas de matchs, de compétitions, ni de tournois;
    • Entraînement uniquement.
  • Ouverture des concessions alimentaires.
  • Chalets de ski et relais de motoneige et de quad :
    • Ouverture des aires de restauration. Capacité d’accueil à 50 % et distanciation de 1 m entre les tables;
    • Capacité intérieure à 50 %.
  • Notons qu’à l’extérieur les activités de sports et de loisirs seront permises sans restriction.

Milieux d’enseignement

  • Accès aux centres récréatifs pour les programmes sport-études.
  • Réouverture des plateaux d’entraînement pour les étudiants athlètes.
  • Reprise des activités parascolaires (sans matchs, compétitions, ni tournois). Le passeport vaccinal sera obligatoire pour les personnes de 13 ans et plus.

Activités et lieux particuliers intérieurs

  • Accès aux centres récréatifs pour les programmes sport-études.
  • Ouverture de certains lieux intérieurs avec 50 % de la capacité (notamment le Biodôme, le Planétarium, les aquariums, les jardins botaniques, les insectariums, les jardins zoologiques).

Lieux de culte (dès le 7 février)

  • 50 % de la capacité (maximum de 250 personnes) :
    • Avec passeport vaccinal

Funérailles (dès le 7 février)

  • Maximum 50 personnes pour les cérémonies funéraires, les condoléances et l’exposition du corps ou des cendres à l’intérieur.
  • Sans passeport vaccinal.

Événements publics (notamment les cinémas et les salles de spectacle) (dès le 7 février)

  • À l’intérieur : capacité d’accueil à 50 %, ou maximum de 500 personnes :
    • Passeport vaccinal obligatoire. Aucun entracte.
  • À l’extérieur : capacité d’accueil de 1 000 personnes :
    • Passeport vaccinal obligatoire.

Milieux de vie pour aînés

Résidences privées pour aînés (RPA) :

  • Un maximum de 4 personnes proches aidantes par jour est permis, et il est possible pour un résident de recevoir 2 personnes proches aidantes à la fois.
  • À la salle à manger, une personne proche aidante peut accompagner un résident.

Centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) et ressources intermédiaires qui accueillent des aînés :

  • 1 personne proche aidante à la fois est permise, pour un nombre maximal de 2 personnes proches aidantes par jour.

Notons qu’uniquement les personnes adéquatement protégées peuvent avoir accès aux milieux de vie.

« On annonce aujourd’hui certains assouplissements parce qu’on doit notamment penser à la santé mentale des Québécois. Mais on doit y aller tranquillement, progressivement, prudemment. Les experts prévoient, dans les prochaines semaines, une petite réduction des hospitalisations.

Mais il y a beaucoup d’incertitude et on a toujours 12 000 travailleurs de la santé qui sont absents. Il faut être très prudent. Il faut penser au personnel de la santé qui est au front. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Ces assouplissements étaient très attendus et feront du bien à de nombreuses personnes. Malgré les bonnes nouvelles annoncées aujourd’hui, il faut se rappeler que la situation demeure fragile dans nos hôpitaux. J’invite tous ceux et celles qui ne l’auraient pas encore fait à aller chercher leur dose de rappel de vaccin, qui permet de mieux protéger contre les nouveaux variants et de réduire les risques d’hospitalisation. Il faut aussi continuer de ralentir la transmission chez les personnes non vaccinées. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux 

Faits saillants :

Notons que la plateforme d’autodéclaration des tests rapides est disponible. Les citoyens peuvent dès maintenant y accéder. Ils auront à saisir certaines données d’identification ainsi que le résultat de leur test rapide.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur les mesures en vigueur et à venir : Québec.ca/coronavirus.

Plus de 1 G$ en santé mentale


 Publié le 25 janvier 2022
 

Le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, lance aujourd’hui le Plan d’action interministériel en santé mentale 2022-2026 (PAISM), intitulé S’unir pour un mieux-être collectif. Ce plan d’action, qui comprend des actions et des collaborations avec 10 ministères et organismes gouvernementaux et plusieurs autres partenaires, consacrera un budget total de 1 152 959 667 $ à la santé mentale, dont 361 millions $ en nouveaux investissements. Il s’agit du premier plan d’action en santé mentale avec des investissements de cette envergure, qui contribuera entre autres à améliorer l’accès aux services, à offrir des soins axés sur le rétablissement et à favoriser l’implantation de meilleures pratiques.

Ce plan d’action vise à permettre à l’ensemble des Québécoises et des Québécois d’avoir accès à des services et à un accompagnement en fonction de leurs besoins en matière de santé mentale, et ce, en temps opportun. Porté par des valeurs telles que la primauté de la personne, la protection des droits ainsi que l’engagement et la responsabilité de la collectivité, il prône également la collaboration et le partenariat.

Les 43 actions concrètes présentées dans le PAISM se déploient selon sept grands axes :

  • la promotion de la santé mentale et la prévention des troubles mentaux;
  • les services pour prévenir et intervenir en situation de crise;
  • le partenariat avec les organismes communautaires;
  • les actions consacrées aux jeunes, à leur famille, à leurs proches et à leur entourage;
  • l’amélioration de l’accès aux soins et aux services;
  • la prévention et la mise en place d’autres options que les hospitalisations en psychiatrie;
  • la concertation et l’amélioration des pratiques.

Sous l’angle financier, le PAISM inclut :

  • 85 millions $ pour rehausser le financement de services afin de prévenir et d’intervenir en situation de crise, dont 10 millions $ sont consacrés à la mise en place d’un centre de crise communautaire dans deux régions jusqu’ici dépourvues d’un tel service dans la communauté, soit le Saguenay – Lac-Saint-Jean et l’Estrie;
  • près de 100 millions $ pour rehausser le financement du partenariat avec les organismes communautaires, dont 75 millions $ pour bonifier le soutien à la mission;
  • près de 470 millions $ pour financer des actions pour les jeunes et leur famille, dont 200 millions $ pour la promotion de la santé mentale et la prévention des dépendances dans les milieux scolaires;
  • plus de 300 millions $ pour améliorer l’accès aux services, dont 200 millions $ afin de poursuivre la transformation des services en santé mentale, afin que toutes les personnes aient accès au bon service, au bon moment, et offert par le bon professionnel;
  • tout près de 100 millions $ pour prévenir et mettre en place d’autres options que les hospitalisations psychiatriques, dont plus de 40 millions pour le déploiement graduel de l’hospitalisation à domicile.

« La santé mentale est une priorité pour notre gouvernement. Depuis trois ans, nous nous sommes engagés à changer les choses de manière durable et à mettre un terme au travail en silo. Nous avons tenu promesse, comme en témoigne ce plan d’action audacieux et tourné vers l’avenir. La pandémie ne nous a certes pas facilité les choses, mais nos équipes ont redoublé d’efforts, en plus d’adapter nos actions aux nouvelles réalités engendrées par cette crise sans précédent. Nous sommes donc très fiers de vous le présenter, et de vous annoncer des actions concrètes qui changeront pour de bon la qualité et l’accessibilité des services offerts aux personnes présentant des troubles mentaux et leur famille. »

Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux

Faits saillants :

  • Soulignons que le contexte de la pandémie de la COVID-19 a eu des conséquences notables sur la santé mentale de la population, notamment en raison de l’application de certaines mesures telles que le confinement, ou des répercussions comme l’isolement ou une perte d’emploi. Ce contexte a ainsi exacerbé plusieurs facteurs de risques liés à la santé mentale.
  • Le PAISM, vient donc réaffirmer qu’il importe non seulement de rehausser l’ensemble des services de proximité ainsi que les services sociaux généraux et les services en santé mentale, mais aussi d’établir avec les partenaires communautaires, intersectoriels et interministériels des liens de collaboration solides.
  • À ces mesures s’ajoutent les efforts du gouvernement pour lutter contre la pénurie de main-d’œuvre, notamment en santé mentale. Rappelons à cet égard que le 7 décembre dernier, différentes mesures ont été annoncées en ce sens, telles que l’embauche de personnes ayant un baccalauréat et qui sont non admissibles à des ordres professionnels dans des disciplines de santé mentale et de relations humaines et la formation accélérée, d’ici 2022, de 816 agents administratifs en soutien au secteur clinique de la santé mentale et de la protection de la jeunesse.
  • Rappelons que le PAISM est issu d’une démarche de consultation, incluant deux forums qui se sont tenus en 2019, visant à déterminer les besoins et les actions en santé mentale et à mettre en lumière les préoccupations au regard des services offerts. D’autres consultations se sont également déroulées en 2020 et en 2021.

Lien connexe :

Pour en savoir plus, consulter le plan d’action interministériel en santé mentale 2022-2026 – S’unir pour un mieux-être collectif.

« Rendre la vaccination encore plus accessible »


 Publié le 24 janvier 2022
 

Le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, accompagné du directeur de la campagne de vaccination contre la COVID-19, Daniel Paré, a donné aujourd’hui les détails de la stratégie qui sera déployé afin d’aller à la rencontre des personnes qui ne sont toujours pas vaccinées.

Rappelons que le ministre Carmant s’est vu confier le mandat, par le premier ministre du Québec, de rejoindre l’ensemble des personnes non vaccinées en déployant une stratégie afin de leur offrir une accessibilité accrue.

La vaccination est un moyen efficace et sécuritaire de se protéger contre la COVID-19.  La population a répondu en très grand nombre à l’appel et a permis d’atteindre un taux global de vaccination élevé au Québec, alors que 92 % de la population adulte a reçu une première dose de vaccin. Toutefois, environ 540 000 personnes de plus de 18 ans n’ont toujours pas encore obtenu leur première dose, et on observe toujours que les personnes non adéquatement protégées représentent toujours une part importante des hospitalisations.

Les personnes non vaccinées sont beaucoup plus à risque de développer une forme sévère de la maladie, d’être hospitalisées, et même d’en mourir. On veut les protéger. 50 % des patients aux soins intensifs sont des personnes non vaccinées, alors qu’elles représentent moins de 10 % de la population.

Dans un premier temps, les actions seront principalement déployées dans la région de Montréal, et particulièrement dans les quartiers à faible couverture vaccinale.

Un partenariat avec l’Université de Montréal permettra aux étudiants en médecine et soins infirmiers qui le souhaitent, d’apporter leur contribution dans cet effort supplémentaire de vaccination première dose.

Plusieurs actions sont déjà en cours et se poursuivront dans les prochaines semaines, notamment :

  • l’identification des quartiers d’intervention par les établissements et la santé publique;
  • l’ouverture d’un site éphémère de vaccination au CLSC Sainte-Catherine dès jeudi 27 janvier 2022;
  • l’identification des activités de démarchage à réaliser selon les différents quartiers ciblés;
  • l’identification des organismes communautaires appelés à contribuer à cette démarche;
  • l’ouverture, par le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, d’un lien « Je contribue universitaire » avec une ligne téléphonique et une adresse courriel spécifique à cette opération pour que les étudiants de l’Université de Montréal puissent offrir leurs services/contribution.

« Nous savons qu’il y a plusieurs facteurs qui influencent la décision de se faire vacciner. Plusieurs initiatives ont été mises en place au cours des derniers mois pour rejoindre certaines clientèles, et ces efforts ont donné des résultats, mais nous allons intensifier les actions ciblées. Les équipes sur le terrain vont aller à la rencontre de ces gens et rendre la vaccination encore plus accessible. Il faut continuer d’appuyer le message de l’importance de la vaccination pour mieux protéger la population et contribuer à réduire les hospitalisations. Je remercie l’ensemble des partenaires qui participeront aux diverses initiatives. » 

Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux

Faits saillants :

Parmi les actions prévues à venir, mentionnons :   

  • la mise en place d’une ligne téléphonique pour les personnes souhaitant discuter avec un professionnel de la santé à propos des facteurs contribuant à leur hésitation face à la vaccination;
  • l’identification des quartiers et territoires ciblés dans les autres régions du Québec;
  • la participation d’autres universités québécoises, en s’inspirant du projet déployé à Montréal;
  • plusieurs activités de communications adaptées aux milieux ciblés (utilisation de la langue maternelle des personnes concernées, utilisation des radios communautaires et des personnalités du milieu, etc.

Des actions permettront également de stimuler l’obtention de la dose de rappel auprès de certaines clientèles. La dose de rappel est recommandée afin de permettre au système immunitaire de rétablir un niveau d’anticorps suffisant pour compenser la baisse qui pourrait survenir après quelques mois, et qui permet ainsi d’assurer une meilleure protection contre les nouveaux variants tels qu’Omicron.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur la vaccination : Québec.ca/vaccinCOVID

De nouvelles mesures dans l’Opération main-d’œuvre


 Publié le 24 janvier 2022
 

Afin de répondre aux besoins de main-d’œuvre dans le réseau de l’éducation, le ministre de l’Éducation, M. Jean-François Roberge, ainsi que le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, ont annoncé aujourd’hui différentes mesures visant à attirer, à former et à requalifier un plus grand nombre de ressources d’ici 2026. Ces actions s’ajoutent à celles déjà annoncées au cours des dernières semaines dans le cadre de l’Opération main-d’œuvre.

Favoriser le retour d’enseignants à la retraite

Dans le but d’attirer du personnel d’expérience dans le réseau scolaire, le gouvernement confirme qu’il souhaite pérenniser l’incitatif financier mis en place le 21 septembre 2020 dans le contexte de la pandémie, afin de favoriser un retour à l’enseignement du personnel retraité. Pour l’année scolaire 2020-2021, cet incitatif a permis d’attirer 700 enseignants retraités pour épauler le réseau de l’éducation. Des discussions sont en cours en ce sens avec les différents partenaires impliqués.

Ainsi, les enseignantes et enseignants ayant pris leur retraite sont désormais rémunérés selon l’échelle salariale qui prévalait lors de leur départ, et ce, dès leur premier jour de suppléance. Concrètement, un enseignant récemment retraité pourrait toucher, près du double de la rémunération maximale habituelle, soit une rémunération quotidienne maximale d’environ 412 $, comparativement au taux maximal habituel de 212,15 $, sans pénalité sur ses prestations de retraite.

Accorder des contrats de remplacement

Afin d’assurer une plus grande stabilité et de favoriser la rétention des enseignants, des contrats à temps partiel pourront être accordés à des enseignants qualifiés ou détenteurs d’une tolérance d’engagement, leur permettant de cumuler des tâches de remplacement et de suppléance jusqu’à concurrence d’une pleine tâche. Cette mesure facilitera notamment les remplacements d’enseignants titulaires en cours d’année. Elle a aussi pour objectif de rendre la profession enseignante plus attrayante, particulièrement chez les jeunes enseignants, qui composent principalement le groupe de suppléants occasionnels.

Devancer l’affectation du personnel enseignant disponible dès le mois de juin

En prévision de la rentrée scolaire 2022-2023, le gouvernement souhaite aussi accélérer le processus d’affectation du personnel enseignant afin de pourvoir un maximum de postes avant le 1er juillet et ainsi favoriser la rétention et la stabilité de ce personnel. En ce sens, le ministre de l’Éducation a fait parvenir au réseau une directive ministérielle afin d’inciter les intervenants locaux à devancer leurs séances d’affectation, ce qui permettra aux enseignants de connaître leur poste à l’avance en vue de la prochaine rentrée. Des discussions sont également en cours avec les organisations syndicales.

Bonifier l’offre de formation en service de garde dans le milieu scolaire

Puisque les besoins en main-d’œuvre sont aussi très importants du côté des services de garde en milieu scolaire, le gouvernement investira 22,6 millions de dollars sur cinq ans pour mettre en œuvre différentes actions afin de former davantage d’éducatrices et d’éducateurs. Par exemple, la formation en ligne sera encouragée de façon que les éducatrices et éducateurs déjà en emploi puissent compléter une attestation d’études professionnelles (AEP). Le réseau sera aussi soutenu pour le développement et la mise en œuvre de l’apprentissage accru en milieu de travail.

Une offre de services de francisation à visée professionnelle sera également élaborée afin de permettre aux futurs éducateurs et éducatrices récemment immigrés d’acquérir plus rapidement le lexique propre à ce métier et d’améliorer leurs compétences en communication orale dans un contexte d’intervention en milieu scolaire.

De plus, le gouvernement fera la promotion de la démarche de reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) pour faciliter l’accès à la qualification pour les personnes ayant acquis de l’expérience dans le domaine, que ce soit au Québec ou à l’étranger. Ce mécanisme est déjà disponible pour les organismes scolaires et une offre de service est déployée dans la majorité des régions. 

Ces mesures sont utilisées en complémentarité avec les mesures-phares de l’Opération main-d’œuvre, comme les bourses Perspective Québec et le soutien bonifié aux personnes sans emploi offert par le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, qui permettent aux personnes intéressées de suivre des formations universitaires dans des domaines comme l’éducation et, selon certaines conditions, de recevoir une allocation de 475 $ par semaine pour la durée de leur formation.

La collaboration interministérielle est à l’honneur dans plusieurs des initiatives, comme les missions de recrutement d’enseignants à l’international qui permettront l’embauche de centaines d’enseignants pour la durée de l’Opération main-d’œuvre ou encore la reconnaissance des compétences de personnes immigrantes, qui sont mises en œuvre conjointement par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration et le ministère de l’Éducation. Ces missions et la reconnaissance des acquis visent à recruter près de 1 500 personnes.

« Nous avons un grand besoin de plus d’enseignantes et d’enseignants dans nos écoles et le besoin est tout aussi important en ce qui concerne le personnel de service de garde. Ce sont des milieux de travail stimulants, et je suis certain que les nouvelles mesures déployées dans le cadre de l’Opération main-d’œuvre contribueront fortement à encourager les gens à venir faire carrière dans le domaine de l’éducation. Nous continuerons sans relâche à valoriser ces professions si importantes et primordiales pour l’atteinte du plein potentiel de nos élèves. »

Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation

« Ce qui fait la force de l’Opération main-d’œuvre, c’est que tous les ministères concernés ont mis l’épaule à la roue pour combiner leurs forces. Les mesures annoncées aujourd’hui s’intègrent à un ensemble de près de 80 mesures, comme les bourses Perspective Québec et le soutien à la formation pour les personnes sans emploi. Recrutement, formation, requalification, reconnaissance des compétences, recours ciblé à l’immigration, soutien à la qualité des milieux de travail et à l’amélioration des conditions de travail : voilà autant de moyens par lesquels l’Opération main-d’œuvre contribuera à répondre aux défis de la pénurie de main-d’œuvre, en particulier pour les services publics essentiels et les domaines stratégiques pour notre économie. J’invite toutes les personnes intéressées à faire le saut. Nous avons besoin de tous nos talents! »

Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration et ministre responsable de la région de la Mauricie

Faits saillants :

  • Plusieurs de ces mesures sont portées conjointement par les ministères qui participent à l’Opération main-d’œuvre, chapeautée par le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale.
  • Rappelons que le gouvernement a annoncé, en novembre dernier, le déploiement des bourses Perspective Québec afin d’accroître le nombre de personnes qualifiées dans les professions en manque de main-d’œuvre dans les services publics essentiels et les domaines stratégiques pour l’économie du Québec. Les parcours d’études menant aux professions d’enseignants au préscolaire, au primaire et au secondaire ainsi que de techniciens en éducation spécialisée en font notamment partie. Ce programme comprend des bourses incitatives après chaque session réussie à temps plein :
    • 1 500 $ au collégial, soit une bourse totale de 9 000 $ pour un programme de trois ans;
    • 2 500 $ à l’université, soit une bourse totale de 15 000 $ pour un programme de trois ans et de 20 000 $ pour un programme de quatre ans.

Liens connexes :

Pour plus de détails sur l’Opération main-d’œuvre : https://www.quebec.ca/gouv/ministere/travail-emploi-solidarite-sociale/publications/operation-maindoeuvre 

Ministère de l’Éducation

https://www.facebook.com/quebeceducation
https://twitter.com/EducationQC?lang=fr
https://www.youtube.com/channel/UCgcPCv5VQhsAY3vNNoH6Zrw?view_as=subscriber
https://www.linkedin.com/company/339645/admin/

25 M$ pour accélérer le virage numérique du Québec


 Publié le 24 janvier 2022
 

Le gouvernement du Québec annonce un financement de 24,6 millions de dollars pour soutenir huit nouveaux projets dans le cadre de l’Offensive de transformation numérique (OTN). Touchant à différents secteurs économiques, ces initiatives permettront d’accompagner 2 000 entreprises supplémentaires dans la transformation de leurs processus d’affaires et d’en sensibiliser environ 6 000 à l’importance de prendre le virage numérique.

Le ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional, M. Pierre Fitzgibbon, en a fait l’annonce aujourd’hui.

Ce soutien, qui s’ajoute aux 56,8 millions de dollars déjà octroyés par le gouvernement du Québec, portera le nombre d’entreprises accompagnées à 11 000, alors que 49 000 d’entre elles seront sensibilisées à l’importance d’entreprendre ou de consolider une démarche de transition numérique. Rappelons que l’OTN est dotée d’une enveloppe totale de 130 millions de dollars pour stimuler le virage numérique des entreprises de l’ensemble des secteurs d’activité et des régions du Québec. D’autres projets seront annoncés d’ici le 31 mars 2022.

D’une valeur de plus de 48 millions de dollars, les nouvelles initiatives annoncées aujourd’hui sont financées par le ministère de l’Économie et de l’Innovation et sont chapeautées par des partenaires stratégiques mobilisés dans l’atteinte de cet objectif.

6,48 M$ pour le Réseau des centres d’expertise industrielle (RCEI)
Le programme du RCEI vise à accompagner les entreprises pour qu’elles accélèrent le développement de projets numériques et intègrent les principes de l’industrie 4.0. Le RCEI leur offrira des activités de formation, de valorisation des données et de démonstrations technologiques. Le programme est soutenu par une aide financière de 6,48 millions de dollars. Il est également bonifié par la collaboration d’Investissement Québec – CRIQ, dont l’équipe apportera une expertise technologique complémentaire et en facilitera l’accès. D’autres partenaires devraient confirmer leur contribution au cours des prochaines semaines.

3 M$ pour l’Institut de gouvernance numérique (IGN)
De concert avec l’Association des fabricants de meubles du Québec et l’Association des fabricants et détaillants de l’industrie de la cuisine du Québec, l’IGN souhaite favoriser la transition numérique des entreprises de ces secteurs pour leur permettre de moderniser leurs méthodes de commercialisation. Le projet bénéficie d’une aide financière de 3 millions de dollars.

2,8 M$ pour Sensation mode 
Sensation mode travaille à mettre en place une stratégie numérique convergente pour les acteurs québécois de la mode et du design. Grâce à un soutien financier de 2,8 millions de dollars, l’initiative contribuera à augmenter les ventes en ligne des designers, des artisans et des détaillants locaux. Elle leur offrira une visibilité accrue sur le marché, permettant ainsi aux consommateurs de découvrir et d’acheter des produits mode et design imaginés au Québec.

Appui à cinq autres organisations
Le ministère de l’Économie et de l’Innovation appuie aussi le Regroupement des cabinets de courtage d’assurance du Québec (3,76 millions de dollars), le Conseil de la transformation alimentaire du Québec (2,64 millions), le Mouvement québécois de la qualité (2,37 millions), l’Institut des manufacturiers du vêtement du Québec (2 millions), et Événements Attractions Québec (1,5 million) en partenariat avec le ministère du Tourisme, pour qu’ils accompagnent leurs membres dans leur transformation numérique. Ce soutien prendra la forme de projets pilotes et d’activités de formation, de sensibilisation et d’accompagnement selon les besoins ciblés par les organisations. Les détails des financements sont en annexe.


« L’Offensive de transformation numérique, lancée le 29 mars 2021, vise à accompagner les entreprises pour qu’elles puissent accélérer, planifier et réussir leur virage numérique. Aujourd’hui, on poursuit la mise en œuvre de cette initiative en collaborant avec de nouvelles associations qui maîtrisent les enjeux et les défis de leur secteur, ce qui permettra de bien répondre aux besoins des PME. Dans un contexte de rareté de la main-d’œuvre, le virage numérique est essentiel au succès des entreprises québécoises. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

« Bien que nos PME soient conscientes de l’importance d’amorcer ou de poursuivre leur transformation numérique, il faut les amener à passer à l’action, de la bonne façon, et, surtout, plus vite. La somme consentie au RCEI permet justement d’offrir aux entreprises manufacturières et industrielles un accès facilité, élargi et rapide à un solide réseau d’experts neutres présents dans les CEI. Par l’exploration, la comparaison, l’expérimentation ou l’implantation de nouvelles technologies, les entreprises du Québec amélioreront leur compétitivité et seront en excellente posture pour se démarquer sur l’échiquier mondial. »

Julie Ethier, directrice générale de DEL et représentante, pour cette occasion, du RCEI

« Depuis plus de vingt ans, nous sommes au cœur de l’effervescence des milieux de la mode et de l’événementiel. Aujourd’hui, nous sommes fiers de franchir une nouvelle étape pour devenir un catalyseur qui va rapprocher à la fois les consommateurs, les visiteurs des événements en mode et design, les détaillants, les designers ainsi que les artisans de chez nous. Nous sommes enthousiastes de pouvoir mettre à profit notre expertise pour propulser cette stratégie numérique convergente! Elle permettra aux consommateurs de découvrir et d’acheter des produits mode et design imaginés au Québec, et ce, à l’année. »

Jean-François Daviau, président de Sensation mode

« Prendre un virage numérique pour une entreprise, ce n’est pas seulement une question technologique. Cela suppose un changement dans la façon dont elle se gouverne, tout en commandant une plus grande ouverture et une collaboration accrue entre tous les acteurs de son écosystème. L’IGN et ses partenaires sont fiers de contribuer à l’adaptation durable des entreprises de secteurs économiques importants à un environnement d’affaires de plus en plus exigeant. »

Jean-François Gauthier, président-directeur général de l’Institut de gouvernance numérique

Fait saillant :

  • L’OTN est une initiative stratégique qui vise à mobiliser et à concerter les différents ministères à vocation économique ainsi que des partenaires stratégiques de l’écosystème de développement économique et des réseaux d’expertise. L’objectif : soutenir davantage les entreprises souhaitant entreprendre ou consolider une démarche de transformation numérique.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Annexe 1 – Sommaire des projets

ProjetOrganisme porteurNombre d’entreprises
sensibilisées
Nombre d’entreprises
accompagnées
Coût total ($)Subvention du Ministère
($)
Appui aux PME dans leur virage numériqueRéseau des centres d’expertise industrielle1 0001 00011 448 0006 480 000
Soutien à la modernisation des méthodes de commercialisation numérique adapté aux entreprises de l’industrie du meuble et des armoires de cuisineInstitut de gouvernance numérique700465 437 0003 000 000
Stratégie numérique convergente pour les acteurs québécois de la mode et du designSensation mode2002005 048 4502 846 503
Transition numérique des cabinets de courtage d’assurance du Québec Regroupement des cabinets de courtage d’assurance du Québec72036010 575 0003 760 000
Transformation numérique pour la transformation alimentaireConseil de la transformation alimentaire du Québec1 6001004 275 0002 640 000
Projet de réseaux régionaux numériquesMouvement québécois de la qualité1501503 947 2502 368 350
Appui au virage numérique des entreprises du secteur de la mode et du textileInstitut des manufacturiers du vêtement du Québec150353 600 0002 000 000
Soutien au virage numérique des activités, des attractions et des événements touristiques québécoisÉvénements Attractions Québec1 5001503 752 0001 500 000
Total général6 0202 04148 082 70024 594 853

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/January2022/24/c9593.html

Point sur la situation : des signaux encourageants


 Publié le 20 janvier 2022
 

Le premier ministre du Québec, François Legault, accompagné du ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, a fait le point aujourd’hui sur la situation actuelle entourant la pandémie, tout particulièrement en ce qui concerne la saturation de la capacité des milieux hospitaliers, qui présente depuis quelques jours quelques signes encourageants.

Situation hospitalière

La situation dans les milieux hospitaliers semble montrer des signaux rassurants. En effet, le bilan de la COVID-19 publié aujourd’hui fait état d’une première baisse d’hospitalisations depuis le début de la cinquième vague. De plus, la moyenne mobile sur sept jours du nombre de nouvelles hospitalisations affiche une baisse qui se maintient depuis le 11 janvier. Pour ce qui est des personnes qui sont aux soins intensifs, on rapporte que leur nombre est stable depuis une semaine.

Quant à la pénurie de main-d’œuvre, on rapporte que le nombre de travailleurs de la santé infectés est également en diminution. De plus en plus de renforts se sont également joints aux équipes, notamment par l’entremise de Je contribue, en plus des heures supplémentaires effectuées par le personnel en place, qui s’est mobilisé à la suite des appels lancés par le gouvernement ces dernières semaines.

Toutefois, malgré ces quelques signes, soulignons qu’il est crucial de maintenir les efforts amorcés jusqu’à maintenant, car la situation demeure critique. La réduction des contacts recommandée depuis quelques semaines a permis d’éviter le pire, notamment le dépassement de la barre des 400 hospitalisations aux soins intensifs, comme le prévoyaient les projections. Un protocole de priorisation des soins a été préparé en prévision de certains scénarios, en toute transparence, mais n’a pas été nécessaire, grâce à la collaboration de la population québécoise.

Bien qu’il soit nécessaire de demeurer prudent, la situation est actuellement évaluée par le docteur Boileau et ses équipes, et des recommandations pourraient suivre sous peu en vue d’apporter d’autres assouplissements à la suite de l’ouverture des écoles et de la fin du couvre-feu.

Vaccination et progression de la dose de rappel

Les efforts de vaccination se poursuivent avec succès, notamment avec la dose de rappel qui a été administrée à 72 % des personnes de plus de 60 ans. C’est par ailleurs maintenant 60 % des enfants de 5 à 11 ans qui ont reçu leur première dose et des milliers de personnes non vaccinées optent maintenant pour la vaccination, à la suite des mesures annoncées la semaine dernière, concernant le passeport vaccinal.

Les citoyens sont invités à se prévaloir de leur dose de rappel dès maintenant et à devancer leur rendez-vous s’ils sont en mesure de le faire.

« Nous voyons aujourd’hui que tous nos efforts des dernières semaines ont porté leurs fruits et nous ont permis, dans une certaine mesure, d’éviter le pire. Je demande aux Québécois d’être patients encore, car la situation est encore très fragile dans nos hôpitaux, mais le docteur Boileau et ses équipes sont déjà en train d’analyser la situation pour la suite des choses. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Nos équipes ont travaillé très fort ces dernières semaines pour tenter de sauver notre réseau de santé et de services sociaux d’une situation alarmante, dont l’issue aurait pu être dramatique. Je tiens à remercier toutes les personnes mobilisées qui ont pris part à cet effort collectif. J’invite les citoyens à poursuivre leur collaboration avec nous et, en ce moment, c’est vers la vaccination qu’il faut surtout se tourner. Allez-y dès que possible. Nos équipes vous attendent, prêtes à vous fournir ce service qui contribuera à nous sortir de cette crise. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux 

Faits saillants :

  • Soulignons que le premier ministre est revenu sur le dépôt du rapport de la Commissaire à la santé et au bien-être, annoncé hier. Il a rappelé que le gouvernement prend une part de la responsabilité des constatations formulées et que les changements nécessaires seront apportés, à la lumière des recommandations du rapport qui seront toutes prises très au sérieux.
  • Depuis cette semaine, un nouveau médicament de Pfizer est arrivé. Ce médicament permettra de mieux protéger les personnes immunosupprimées contre la COVID-19, notamment les personnes qui suivent un traitement contre le cancer.
  • Des dizaines de millions de tests rapides sont également attendus au cours des prochains mois, et ceux-ci ne devraient plus faire l’objet de pénuries.
  • Rappelons que les personnes immunodéprimées et dialysées de 18 ans et plus peuvent se prévaloir d’une dose de rappel (quatrième dose) en respectant un intervalle de trois mois après la dernière dose reçue.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur les mesures mises en place : Québec.ca/coronavirus.

Recrutement dans le secteur de la petite enfance


 Publié le 17 janvier 2022
 

Afin de répondre aux besoins de main-d’œuvre actuels et futurs dans le réseau des services de garde éducatifs à l’enfance (SGEE), le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, et le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, lancent une grande offensive dans le cadre de l’Opération main-d’œuvre du gouvernement du Québec. Les mesures annoncées aujourd’hui visent à recruter 18 000 nouvelles éducatrices et nouveaux éducateurs, en plus d’en qualifier 7 000 autres déjà en poste dans le réseau actuel d’ici 2026. Cette opération touchera notamment la formation, la qualification, la valorisation de la profession, l’immigration et le retour à l’emploi d’éducatrices et d’éducateurs retraités.

Les mesures annoncées représentent un investissement de près de 300 millions de dollars. Le gouvernement du Québec confirme une fois de plus toute l’importance qu’il accorde au réseau de la petite enfance et sa volonté de le compléter pour que chaque enfant puisse avoir une place et développer son plein potentiel auprès d’un personnel qualifié.

Des bourses pour recruter plus d’étudiantes et d’étudiants en Techniques d’éducation à l’enfance

M. Lacombe et M. Boulet sont heureux de confirmer que les étudiantes et les étudiants inscrits en Techniques d’éducation à l’enfance menant à l’obtention d’un diplôme d’études collégiales seront admissibles au nouveau programme de bourses Perspective Québec, annoncé dans le cadre de l’Opération main-d’œuvre le 30 novembre 2021. Ainsi, dès septembre 2022, toute étudiante ou tout étudiant qui obtiendra le nombre de crédits requis pour une session à temps complet recevra une bourse de 1 500 $, ce qui représente un total maximum de 9 000 $ pour l’ensemble de ses études. 

Du personnel éducateur qualifié pour le bien-être des tout-petits

Dans le but de qualifier un nombre important d’éducatrices et d’éducateurs expérimentés qui travaillent déjà dans les SGEE, le gouvernement offrira aussi dès le printemps 2022 un soutien financier aux employeurs pour favoriser les démarches de reconnaissance des acquis et des compétences menant à l’obtention d’une attestation d’études collégiales (AEC). La subvention versée à l’employeur permettra à son personnel éducateur d’être libéré pour compléter un dossier de candidature, de se préparer aux évaluations et de suivre les formations manquantes, le cas échéant, tout en maintenant le lien d’emploi avec l’employeur. De plus, en accédant au statut d’éducatrice ou d’éducateur qualifié, ce personnel bénéficiera ainsi de meilleures conditions de travail.

Afin de faciliter le travail des gestionnaires sur le terrain et d’accélérer les procédures, un service centralisé de certification de la qualification sera offert dès l’automne prochain à l’ensemble des travailleurs qui souhaitent faire reconnaître leur qualification. Le service permettra aux personnes qui le souhaitent d’obtenir plus rapidement un certificat de qualification permanent.

Des formations accélérées et adaptées

Dans le but d’offrir plusieurs options pour travailler dans le réseau des SGEE, de nouvelles formations seront mises en place. La première est une formation courte d’environ 90 heures qui vise à préparer les participantes et participants à occuper rapidement des emplois de personnel éducateur non qualifié, comprenant des cours de secourisme et du contenu sur l’approche éducative et sur la santé et la sécurité des tout-petits. Les personnes qui suivent cette formation pourraient être admissibles, selon certaines conditions, à la bonification temporaire du soutien du revenu pour la formation, sous la forme d’une allocation de 475 $ par semaine. Cette formation pourra s’inscrire dans un cheminement plus long menant à la qualification et sera offerte dans l’ensemble du réseau collégial. Les premières cohortes commenceront dès mars prochain.

Dès septembre 2022, une formation d’appoint et une formation de spécialisation seront aussi offertes aux personnes qui détiennent déjà un diplôme pertinent pour travailler dans le secteur de la petite enfance et qui souhaitent se réorienter dans le domaine. Pour les personnes qui détiennent un diplôme acquis à l’étranger, la formation contiendra également des contenus relatifs à leur intégration dans un milieu de travail québécois. Sa durée variera selon le profil de l’étudiante ou de l’étudiant. Les deux formations mèneront directement à la qualification.

De plus, des montants additionnels seront investis dans le Programme de formations de courte durée (COUD) privilégiant les stages dans les professions priorisées par la Commission des partenaires du marché du travail afin que davantage d’éducatrices puissent être formées en alternance travail-études. 

Primes salariales pour le retour à l’emploi du personnel éducateur retraité

Pour favoriser la présence d’éducatrices et d’éducateurs d’expérience, le gouvernement accordera une prime salariale de 6,6 % aux retraitées du réseau qui reviennent au travail. Cette mesure temporaire sera en vigueur jusqu’en mars 2023.

Lancement d’une grande campagne de recrutement et de valorisation de la profession

Une campagne d’envergure visant à valoriser le métier d’éducatrice et d’éducateur de la petite enfance et à favoriser ce choix de carrière est lancée dès aujourd’hui, 17 janvier, notamment à la télé et sur le Web. Sur le thème « Pour que nos trésors grandissent forts », cette campagne démontrera toute l’importance du personnel éducateur dans la vie des familles du Québec.

Une deuxième phase de valorisation de la profession sur le Web sera également lancée cet hiver.

« Comme gouvernement, on a dit qu’on allait compléter le réseau des services de garde et qu’on n’allait ménager aucun effort pour y arriver. L’annonce d’aujourd’hui est une étape importante de plus dans le cadre du Grand chantier pour les familles que j’ai présenté en octobre dernier.  Pour la première fois depuis la création du réseau il y a 25 ans, le gouvernement pose des gestes concrets pour attirer de nouvelles personnes dans ce métier exceptionnel et surtout essentiel pour nos enfants, mais aussi pour toute la société. Ces mesures s’ajoutent aux ententes historiques conclues avec les syndicats il y a quelques semaines pour améliorer les conditions de travail dans nos services de garde. Être éducatrice ou éducateur de la petite enfance, c’est un métier riche de sens et tellement valorisant. J’invite tous les gens intéressés par le domaine à considérer y faire carrière. Il y a de la place pour toutes les personnes qui veulent donner les meilleures chances possible à nos enfants. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de l’Outaouais

« L’essence de l’Opération main-d’œuvre, c’est de mettre les bouchées doubles en multipliant les solutions pour contrer la pénurie de main-d’œuvre qui sévit notamment dans les services essentiels. Dans le cas de la petite enfance, les besoins sont très importants, mais je suis persuadé qu’avec l’ensemble des moyens déployés, notamment les nombreuses mesures de soutien à la formation et au développement des compétences du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, nous arriverons à atteindre notre objectif. Je le répète souvent, la formation est au cœur de notre stratégie pour nous assurer de la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée dans les secteurs névralgiques. Nous poursuivons nos efforts en ce sens, ce qui aura des répercussions très positives pour les familles du Québec et par le fait même sur l’ensemble du marché du travail. »

Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration et ministre responsable de la région de la Mauricie

Faits saillants :

  • Les nouvelles mesures s’ajoutent à plusieurs qui sont déjà mises en œuvre, notamment :
    • les bourses d’études pour les stages durant la formation menant au diplôme d’études collégiales en Techniques d’éducation à l’enfance, qui se termineront au printemps 2022 pour être remplacées par les bourses Perspective Québec, encore plus généreuses, dès septembre 2022.
    • le soutien financier du Parcours travail-études en petite enfance , qui fait partie du Programme de formations de courte durée (COUD)  privilégiant les stages dans les professions priorisées par la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT) qui offre des formations rémunérées en alternance travail-études. Plusieurs nouvelles cohortes démarreront à compter de février 2022 dans plusieurs régions du Québec.
    • la campagne de valorisation  du métier d’éducatrice ou éducateur de la petite enfance.
  • Plusieurs de ces mesures sont portées conjointement par les ministères participant au Groupe d’intervention gouvernementale en matière de rareté de la main-d’œuvre (GIRMO) qui chapeaute l’Opération main-d’œuvre, piloté par le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et auquel ont collaboré notamment le ministère de la Famille et le ministère de l’Enseignement supérieur.

Liens connexes :

Plus de détails sur l’Opération main-d’œuvre : https://www.quebec.ca/gouv/ministere/travail-emploi-solidarite-sociale/publications/operation-maindoeuvre  

Plus de détails sur les mesures touchant le personnel éducateur en petite-enfance : Devenir éducatrice ou éducateur de la petite enfance | Gouvernement du Québec (quebec.ca) 

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de la Famille, suivez-le sur les médias sociaux :

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Retour en classe de tous les élèves du Québec le 17 janvier


 Publié le 14 janvier 2022
 

Dans la foulée de l’annonce du premier ministre et des nouvelles recommandations de la Direction générale de la santé publique au sujet des mesures sanitaires en vigueur et sur la situation actuelle au Québec, le ministre de l’Éducation, M. Jean-François Roberge, confirme que tous les élèves du Québec pourront retourner en classe le lundi 17 janvier, tel que cela avait été annoncé. Des mesures supplémentaires seront mises en place pour assurer la sécurité des élèves et du personnel fréquentant les établissements d’enseignement préscolaires, primaires et secondaires ainsi que de la formation générale des adultes et de la formation professionnelle. Le ministre, accompagné pour l’occasion du directeur national de la santé publique par intérim, le Dr Luc Boileau, a réitéré la volonté ferme du gouvernement d’offrir le meilleur environnement d’apprentissage aux élèves québécois.

Intensification des efforts de vaccination chez les jeunes

La vaccination des 5-11 ans va bon train. Au Québec, plus de 61 % de cette tranche d’âge a reçu ou est en voie d’obtenir une première dose. Des actions supplémentaires, telles que l’organisation de transports scolaires vers des centres de vaccination, sont en préparation pour les régions où un effort additionnel sera déployé au cours des prochaines semaines. Notons aussi qu’un rendez-vous pour l’administration d’une deuxième dose est déjà planifié pour 45 % des jeunes de ce groupe d’âge.

Tests de dépistage rapide

Par ailleurs, une nouvelle phase de distribution d’autotests de COVID-19 auprès des élèves du préscolaire et du primaire aura lieu à partir de la semaine 17 janvier. En effet, rappelons que 7,2 millions d’autotests seront distribués aux élèves en janvier et février. Le gouvernement du Québec mettra également des tests de dépistage rapide à la disposition du personnel des établissements d’enseignement secondaire, de formation générale des adultes et de formation professionnelle. Cela leur permettra ainsi de réaliser un test sur les lieux d’enseignement, advenant l’apparition de symptômes s’apparentant à la COVID-19 durant la journée. Conséquemment, il ne sera pas nécessaire pour un employé ayant obtenu un résultat positif à un test rapide de confirmer son résultat dans une clinique d’évaluation.

Masques N95 : pour les écoles et les classes spécialisées

Considérant la difficulté des élèves de ces milieux à respecter les consignes sanitaires en vigueur, le gouvernement du Québec rendra disponibles des masques N95 pour les membres du personnel des écoles et des classes spécialisées désirant les utiliser. Rappelons que sont également considérés dans cette catégorie les organismes scolaires offrant des services régionaux ou suprarégionaux de scolarisation et les établissements d’enseignement privés spécialisés en adaptation scolaire.

Mise en place d’un plan de contingence en cas d’absence de personnel

Un plan de contingence en cas d’absence de personnel, réalisé en collaboration avec nos partenaires, est aussi mis en place afin d’éviter les bris de services pédagogiques dans le cas où des enseignants devraient se placer en isolement à leur domicile. Plusieurs mesures pourront être appliquées, notamment le recours à un suppléant, l’enseignement à distance, l’assignation d’un autre membre du personnel et, en dernier recours, la fermeture temporaire de la classe. Le plan de contingence est élaboré de façon à donner une grande marge de manœuvre aux centres de services scolaires et commissions scolaires, pour qu’ils puissent faire face à leurs différentes réalités, d’une région à une autre, voire d’une école à une autre.

Isolement des moins de 12 ans

Comme le recommandent les autorités de santé publique, l’isolement des élèves symptomatiques ou qui obtiennent un résultat positif à un test de dépistage rapide sera de cinq jours à compter de l’apparition des premiers symptômes ou du résultat positif. Le retour à l’école pourra s’effectuer après cette période d’isolement, à condition que ces élèves obtiennent un résultat négatif à un test de dépistage rapide au cinquième jour et qu’ils soient au moins 24 h sans fièvre. Advenant un résultat positif à un test de dépistage rapide au cinquième jour, l’isolement devra se poursuivre pour une période supplémentaire de cinq jours. Précisons que seuls les contacts domiciliaires devront s’isoler, selon la même procédure, et ce, même s’ils ne présentent aucun symptôme, alors que les élèves et le personnel scolaire en contact avec un cas positif à l’école n’auront pas à s’isoler.

Citation :

« L’enseignement en classe, nous avons pu le constater, demeure un facteur important de la réussite éducative. Je le répète : la place des élèves est dans les classes, c’est notre plan A. Je suis donc très heureux de confirmer aujourd’hui le retour des élèves sur les bancs d’école dès la semaine prochaine. Je suis convaincu qu’avec les mesures annoncées, ce retour se déroulera adéquatement et en toute sécurité. Vous comprenez que nous ferons certainement face à différents imprévus dans les prochaines semaines. Nous devrons tous faire preuve de compréhension et d’indulgence dans les circonstances. Je tiens à remercier chaleureusement le personnel scolaire, les parents et, surtout, les élèves de leur excellente collaboration et des efforts supplémentaires fournis jusqu’ici qui ont permis la poursuite des apprentissages. »

Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation

Liens connexes :

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