Statut permanent de protection à 10 réserves de biodiversité projetées ou réserve aquatique projetée dans plusieurs régions


 Publié le 31 mai 2019
 

Le gouvernement du Québec augmente ses acquis en matière d’aires protégées en octroyant un statut permanent de protection à 10 réserves de biodiversité projetées ou réserve aquatique projetée des régions de l’Abitibi-Témiscamingue, de la Côte-Nord et du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

Ces milieux naturels totalisent plus de 3 087 km2, soit l’équivalent de plus de 7 fois la superficie de l’île de Montréal. Leur superficie ayant été agrandie de 742 km2 depuis qu’on leur a attribué un statut provisoire de protection, le total des aires protégées au Québec atteint maintenant 10,03 %.

C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. Benoit Charette.

Par cette annonce, le gouvernement du Québec pose un autre geste concret en faveur de la mise en œuvre de la Convention sur la diversité biologique en contribuant à l’atteinte de l’une des cibles d’aires protégées fixées en 2010 en vertu de ce traité international, soit 17 % d’aires protégées en milieux terrestres ou d’eaux intérieures d’ici 2020.

« Écrins de la biodiversité, les milieux naturels nous rendent de précieux services écologiques, en plus de constituer un des meilleurs outil pour l’adaptation des espèces et des écosystèmes aux changements climatiques. Nous devons donc veiller à en perpétuer la variété, autant dans l’espace que dans le temps. C’est pourquoi le gouvernement du Québec met les bouchées doubles pour respecter les cibles fixées par les Parties à la Convention sur la diversité biologique d’ici 2020. », a souligné Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.

En Abitibi-Témiscamingue, les territoires visés sont les suivants :

La réserve de biodiversité Opasatica (auparavant nommée réserve de biodiversité projetée du lac Opasatica), couvrant 334,4 km2;
La réserve de biodiversité Kakinwawigak (anciennement réserve de biodiversité du lac des Quinze), de 243,1 km2;
La réserve de biodiversité de la Moraine-d’Harricana (résultant de la fusion des réserves de biodiversité projetées du réservoir Decelles et de la forêt Piché-Lemoine), de 364,0 km2.
Sur la Côte-Nord, les territoires suivants sont désormais protégés de façon permanente :

La réserve de biodiversité Katnukamat (auparavant nommée réserve de biodiversité projetée des buttes du lac aux Sauterelles), couvrant 533,0 km2;
La réserve de biodiversité des Méandres-de-la-Taitaipenistouc (anciennement réserve de biodiversité projetée du lac Bright Sand), de 326,5 km2.
Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, les territoires concernés sont les suivants :

La réserve de biodiversité Akumunan, couvrant 284,8 km2;
La réserve de biodiversité des Drumlins-du-Lac-Clérac, de 449,0 km2;
La réserve de biodiversité du Plateau-du-Lac-des-Huit-Chutes, de 102,7 km2;
La réserve de biodiversité des Buttes-et-Buttons-du-Lac-Panache, de 129,3 km2;
La réserve aquatique de la Vallée-de-la-Rivière-Marguerite, de 320,5 km2.
Les activités de mise en valeur récréotouristiques de ces territoires pourront se poursuivre normalement : la villégiature existante de même que les activités de chasse, de pêche et de piégeage ne seront pas affectées par la création de ces aires protégées. De même, les communautés autochtones pourront y pratiquer leurs activités traditionnelles.

Par contre, en vertu de la Loi sur la conservation du patrimoine naturel, les activités industrielles (forestières, minières et énergétiques) y sont interdites.

Faits saillants :

En Abitibi-Témiscamingue, l’attribution d’un statut permanent de protection aux trois réserves de biodiversité vont permettre notamment la protection de communautés végétales d’intérêt, par exemple des érablières à sucre parmi les plus nordiques du Québec et des forêts rares, ainsi que la protection d’un secteur d’intérêt culturel pour la Première Nation de Timiskaming.
Sur la Côte-Nord, la réserve de biodiversité Katnukamat préservera des écosystèmes témoins du passage des glaciers et des peuplements résineux dominés par l’épinette noire. Quant à la réserve de biodiversité des Méandres-de-la-Taitaipenistouc, elle protégera des peuplements résineux et des landes boisées résineuses à fond de lichens et de mousses ainsi qu’une portion du bassin versant de la rivière du même nom.
Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, la constitution des quatre réserves de biodiversité et de la réserve aquatique permet d’accroître la représentativité du réseau d’aires protégées régional et national, puisqu’on y trouve plusieurs composantes écologiques d’intérêt des écosystèmes de quatre régions naturelles du Québec, soit les monts Valin, la dépression du lac Manouane, le graben du Saguenay et le massif de la Windigo.
Le gouvernement mise sur l’acceptabilité sociale des projets dans chacune des régions du Québec. Ces projets ont d’ailleurs fait l’objet de consultations publiques. Les ministères concernés y ont travaillé ensemble et les communautés autochtones ont été des alliées importantes.
Liens connexes :

Les plans de conservation des réserves de biodiversité et de la réserve aquatique devenues permanentes peuvent être consultés dans le site Web du ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques à l’adresse suivante :
www.environnement.gouv.qc.ca/biodiversite/reserves-bio/.

Pour consulter la carte des réserves de biodiversité annoncées aujourd’hui dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue :
www.environnement.gouv.qc.ca/communiques/2019/20190530-Abitibi.pdf

Pour consulter la carte des réserves de biodiversité annoncées aujourd’hui dans la région de la Côte-Nord :
www.environnement.gouv.qc.ca/communiques/2019/20190530-Cote-Nord.pdf

Pour consulter la carte des réserves de biodiversité et de la réserve aquatique annoncées aujourd’hui dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean:
www.environnement.gouv.qc.ca/communiques/2019/20190530-Lac-Saint-Jean.pdf

Mise sur pied de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse


 Publié le 30 mai 2019
 

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, annonce la mise sur pied de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse.

Il a, en outre, annoncé que Mme Régine Laurent présidera la Commission et qu’elle sera appuyée par deux vice-présidents, soit MM. André Lebon et Michel Rivard. La Commission sera également composée de neuf commissaires, soit cinq experts et un représentant de chacun des quatre partis politiques représentés à l’Assemblée nationale.

La mise sur pied de la Commission vise à entamer une grande réflexion portant non seulement sur les services de protection de la jeunesse au Québec, mais également sur la loi qui l’encadre, le rôle des tribunaux, les services sociaux et les services offerts par les partenaires des différents milieux.

Le mandat de la Commission consiste à réaliser une analyse globale des dispositifs de protection de la jeunesse, dans les différents réseaux d’intervention concernés, de manière à identifier les enjeux et les obstacles et à formuler des recommandations sur les améliorations à apporter. Dans l’exécution de son mandat, la Commission sera totalement indépendante du gouvernement. Il est prévu que ses travaux s’échelonnent sur une période de dix-huit mois.

Citations :

« Le décès tragique de la fillette, à Granby, nous a tous fortement émus et ébranlés et a également suscité plusieurs questions et préoccupations envers l’efficacité du système de protection de la jeunesse. Nous nous sommes engagés à examiner toutes les composantes de ce système de protection de la jeunesse et à identifier les solutions à apporter pour éviter qu’un tel drame ne se reproduise. Je remercie Mme Laurent d’avoir accepté la présidence : sa riche expérience et son écoute seront des atouts importants dans la réalisation du mandat de la Commission. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Collectivement, nous avons le devoir et le pouvoir d’assurer la sécurité et le développement de nos enfants et de nos jeunes les plus vulnérables. Il est grand temps de se pencher sur ces enjeux et sur le rôle de chacune des instances impliquées dans le soutien offert aux enfants vulnérables et à leur famille. Nous souhaitons que la Commission nous aide à mieux comprendre et à agir pour que chaque enfant puisse évoluer dans un environnement sécuritaire et propice à son développement. »

Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux

« C’est avec une volonté de fer que j’entame ce mandat, que je considère un devoir. J’en mesure bien l’importance et l’ampleur. Car oui, je suis là parce que je veux que les choses changent. Je suis déterminée à identifier des solutions concrètes pour nos enfants; à faire en sorte que nous n’échappions plus jamais un seul petit, une seule petite en détresse. Aidée par des experts de tous les milieux, ce sera le sens de ma mission à la tête de cette commission. »

Régine Laurent, présidente de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse

« On m’offre une belle occasion de m’impliquer dans une cause qui me tient à cœur : la protection de l’enfance, de toute la jeunesse… de notre jeunesse. C’est dans mon cœur, dans mon ADN. Je suis fière de me joindre à cette belle équipe. D’autres personnes s’ajouteront et, ensemble, nous travaillerons dans un seul et même objectif : l’intérêt de nos jeunes. »

Lise Lavallée, députée de Repentigny

« Le mandat que nous entamons aujourd’hui est d’une grande importance. Le Québec s’attend à ce que nous menions les travaux de la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse de façon sérieuse et formulions des recommandations constructives. Je souhaite ardemment qu’un seul intérêt mène nos travaux, soit de s’assurer que notre jeunesse puisse grandir et s’épanouir dans la dignité. »

Hélène David, députée de Marguerite-Bourgeoys et porte-parole de l’opposition officielle en matière de services sociaux, de laïcité et de condition féminine

« La protection des enfants vulnérables doit être une priorité nationale. À Québec solidaire, nous ferons partie de la solution et apporterons de l’eau au moulin tout au long du processus. Nous avons obtenu l’assurance que la commission aura toute l’indépendance et l’autonomie dont elle a besoin pour réaliser son important mandat. Après des débuts houleux, la commission spéciale est maintenant dans la bonne direction pour mener une grande réflexion sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse en tenant compte, également, des problématiques spécifiques aux peuples autochtones. La population a de très grandes attentes pour la suite des choses, nous ne pouvons pas les décevoir »

Sol Zanetti, député de Jean-Lesage et responsable en matière de Santé et Services sociaux pour le 2e groupe d’opposition.

« Nous devons faire face à une vérité dérangeante : trop d’enfants potentiellement en détresse ou négligés sont en attente de services. Devant cette évidence, nous avons le devoir d’agir et de revoir nos façons de faire, tant en matière de protection de la jeunesse que de prévention. J’offre donc mon entière collaboration afin que cette commission puisse faire toute la lumière sur les failles de notre système. Plus jamais un drame similaire à celui de Granby ne doit se produire. »

Lorraine Richard, députée de Duplessis et porte-parole du Parti Québécois en matière de services sociaux

Faits saillants :

Plus précisément, le mandat de la Commission consiste à examiner :

l’organisation et le financement des services de protection de la jeunesse au sein du réseau de la santé et des services sociaux, pour s’assurer d’une prestation de services de qualité, diligente et adaptée aux besoins des enfants et de leur famille;
l’évolution des conditions d’exercice et des pratiques cliniques des intervenants en protection de la jeunesse depuis l’entrée en vigueur de la Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ) en 1979;
le rôle des autres réseaux dans la protection des enfants au Québec et leur contribution au bien-être de l’enfant. Identifier les enjeux et les obstacles à la concertation entre ces réseaux pour améliorer la prise en charge collective des enfants en besoin de protection, en particulier ceux :
de l’éducation,
de la famille et des services de garde à l’enfance,
des organismes communautaires,
des autres services de santé et services sociaux,
des services juridiques,
de la sécurité publique,
des services policiers,
des sports et des loisirs,
l’organisation et le mode de fonctionnement des tribunaux en matière de protection de la jeunesse, de même que les arrimages avec les tribunaux en matière de garde d’enfant, pour s’assurer du respect des principes généraux de la LPJ et des droits des enfants;
le cadre législatif actuel, et déterminer s’il est toujours adapté afin d’assurer la protection des enfants dont la sécurité ou le développement est ou peut être compromis;
l’application de la LPJ au regard de l’intervention sociale ainsi que sur le plan judiciaire, et déterminer l’écart entre les objectifs poursuivis et les résultats obtenus;
L’analyse des problématiques spécifiques aux autochtones lorsque requis.
Un rapport comprenant des constats, une analyse et des recommandations sera remis au gouvernement au plus tard le 30 novembre 2020.

Les détails concernant les experts retenus et les modalités de fonctionnement, notamment la tenue d’audiences, seront dévoilés ultérieurement par la Commission.

Lancement des consultations en matière d’action communautaire


 Publié le 29 mai 2019
 

Pour assurer une plus grande reconnaissance et un meilleur soutien de l’action communautaire, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, annonce aujourd’hui un appel de mémoires ciblé en vue de l’élaboration d’un nouveau plan d’action gouvernemental en matière d’action communautaire.

Cette étape importante consiste à interpeller les regroupements d’organismes communautaires reconnus dans leur collectivité afin de recueillir leurs commentaires et suggestions ainsi que ceux de leurs membres. Les regroupements d’organismes communautaires auront jusqu’au 6 décembre 2019 pour déposer un mémoire. Les milieux municipaux et philanthropiques seront également consultés au cours des prochains mois.

Le ministre comptera aussi sur l’apport des députés de l’Assemblée nationale à la suite de la mise sur pied d’un comité consultatif composé de parlementaires qui souhaitent contribuer à la réflexion et mettre à profit leur vision de l’action communautaire.

Le lancement du prochain plan d’action gouvernemental en matière d’action communautaire est prévu pour 2021.

« Au cœur du progrès social, les organismes communautaires participent à l’enrichissement de nos collectivités. Il est donc essentiel que nous connaissions leurs besoins pour être en mesure de les soutenir adéquatement dans la poursuite de leur travail. C’est pourquoi nous sollicitons leur précieuse collaboration pour l’élaboration du prochain plan d’action gouvernemental en matière d’action communautaire. »
Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie

Faits saillants :

  • Outre la consultation des milieux municipaux et philanthropiques, d’autres activités auront lieu au cours des prochains mois, notamment des rencontres avec certains partenaires privilégiés.
  • La composition du comité parlementaire sera dévoilée prochainement.
  • En 2001, le gouvernement du Québec s’est doté d’une politique gouvernementale de reconnaissance et de soutien de l’action communautaire. La mise en œuvre de cette politique s’est concrétisée en 2004 par l’adoption du premier Plan d’action gouvernemental en matière d’action communautaire. Celui-ci s’est terminé en 2007.
  • Le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale est responsable du suivi et de la mise en œuvre de cette politique, qui place les organismes communautaires au centre des pratiques sociales québécoises et reconnaît leur rôle dans le développement social et économique du Québec.
  • Le gouvernement du Québec finance plus de 5 000 organismes communautaires, pour un total de plus de 1 milliard de dollars. La majorité de cette somme constitue un soutien en appui à la mission globale.
  • Le Réseau québécois de l’action communautaire autonome est l’interlocuteur privilégié du gouvernement du Québec en matière d’action communautaire autonome. Il représente près de 60 regroupements et organismes nationaux, soit près de 4 000 organismes communautaires autonomes.

Appui financier au projet Le Rodier, Maison de l’entrepreneuriat culturel et créatif


 Publié le 29 mai 2019
 

Le gouvernement du Québec est heureux d’annoncer son appui financier au projet Le Rodier, Maison de l’entrepreneuriat culturel et créatif. Mise sur pied par l’organisme La Piscine, en partenariat avec la société de gestion immobilière Gestion Georges Coulombe, cette initiative vise à attirer les jeunes talents montréalais en un lieu qui renforcera la vocation de Griffintown à titre de Quartier de l’innovation de Montréal.

La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, a annoncé aujourd’hui l’attribution d’une aide financière de 150 000 $ pour soutenir l’organisme.

Le Rodier est un projet qui contribue à la qualité de vie de Griffintown, un quartier en plein essor, et qui consolide l’écosystème créatif et culturel de la métropole. Participant au développement de l’entrepreneuriat et au rayonnement de Montréal, Le Rodier permet de redonner vie à un immeuble patrimonial unique au Québec.

« Notre gouvernement est heureux de soutenir l’organisme La Piscine, animateur et gestionnaire du projet Le Rodier, qui permettra d’accroître la renommée de Montréal en tant que métropole créative. En plus de favoriser l’activité économique du Quartier de l’innovation, Le Rodier deviendra un lieu unique qui fera converger les talents liés à l’entrepreneuriat créatif et culturel. », a déclaré Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal.

Faits saillants :

  • Le Secrétariat à la région métropolitaine du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation contribue au projet avec une somme de 150 000 $ provenant du Fonds d’initiative et de rayonnement de la métropole.
  • À sa réouverture cet automne, le bâtiment historique Le Rodier, à Griffintown, deviendra une maison montréalaise dédiée à l’entrepreneuriat culturel et créatif.

Liens connexes :

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29 000 $ au festival Jonquière en musique


 Publié le 28 mai 2019
 

Le gouvernement du Québec est heureux d’annoncer son appui au festival Jonquière en musique, qui se déroulera du 28 juin au 13 juillet prochains.

La ministre du Tourisme, Mme Caroline Proulx, a annoncé aujourd’hui l’attribution, par l’entremise du Programme d’aide financière aux festivals et aux événements touristiques du ministère du Tourisme, d’une contribution financière de 29 000 $ à l’événement afin de soutenir son organisation.

Ce programme permet de soutenir des initiatives qui encouragent le développement d’une offre touristique diversifiée et attrayante partout au Québec. En attirant d’année en année des milliers de visiteurs, les festivals et événements génèrent des recettes touristiques importantes, en plus de favoriser le maintien et la création d’emplois.

« Je me réjouis de l’aide financière accordée à cet événement musical d’importance, qui anime le Saguenay-Lac-Saint-Jean et la ville de Jonquière depuis trente ans. Le tourisme est un moteur essentiel de l’économie québécoise, et les milliers de visiteurs qui participeront au festival contribueront au dynamisme de la région et à son rayonnement. Par ailleurs, je les encourage à prolonger leur séjour pour se laisser charmer par les nombreux attraits touristiques. », a déclaré Caroline Proulx, ministre du Tourisme.

Faits saillants :

  • Les objectifs généraux du Programme d’aide financière aux festivals et aux événements touristiques sont les suivants :
  • permettre à la destination québécoise de s’illustrer sur les scènes nationale et internationale en favorisant le développement des festivals et événements touristiques;
  • stimuler l’économie des régions par l’augmentation du nombre de visiteurs et l’accroissement des recettes touristiques.
    De plus, le programme contribue :
  • à soutenir de façon plus marquée la performance touristique et à encourager les initiatives hors saison et en région, à l’extérieur des grands centres;
  • à privilégier la signature d’ententes pluriannuelles pour les festivals et événements performants afin d’assurer la stabilité nécessaire à leur développement;
  • à appuyer financièrement les études de provenance des clientèles et d’achalandage touristique relatives aux festivals et aux événements soutenus dans le cadre du volet 2 du programme, compte tenu des frais associés à la réalisation de celles-ci.

Lien connexe :

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228 000 $ pour le remplacement de conduites d’eau de la Ville de Saint‑Basile


 Publié le 28 mai 2019
 

Le député de Portneuf et vice-président de la Commission de l’administration publique, M. Vincent Caron, a annoncé une aide financière de 228 620 $ destinée au remplacement de conduites d’eau, en vue d’améliorer les infrastructures municipales de Saint-Basile.

M. Vincent Caron a dévoilé cette contribution aujourd’hui, au nom de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Mme Andrée Laforest, en présence du maire de la Ville de Saint-Basile, M. Guillaume Vézina.

« Saint-Basile est en pleine effervescence; notre gouvernement est fier d’accompagner la municipalité dans la modernisation de ses infrastructures et je me réjouis de cette excellente nouvelle, qui aura des retombées sur l’ensemble de la population. L’accès à des services publics de qualité demeure l’une des priorités gouvernementales. Je vais continuer d’être à l’écoute des besoins des municipalités de Portneuf afin d’être un partenaire proactif de leur développement. », a annoncé Vincent Caron, député de Portneuf et vice-président de la Commission de l’administration publique.

« La production et la distribution de l’eau potable nécessitent des investissements majeurs. Notre gouvernement accorde une grande importance à la modernisation des infrastructures municipales et à l’adoption d’une meilleure gestion de l’eau, au grand bénéfice des générations futures. », a indiqué Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

« La Ville de Saint-Basile est heureuse de pouvoir compter sur l’appui financier du gouvernement du Québec. Je salue d’ailleurs le travail du député de Portneuf dans ce dossier. Les travaux, qui s’inscrivent dans la vision de la Ville, nous permettront de maintenir la qualité et la fiabilité des services d’aqueducs. Ceux-ci affectent directement la conduite principale qui alimente la très grande majorité des citoyens. », a déclaré Guillaume Vézina, maire de Saint-Basile.

Faits saillants :

  • L’aide financière provient du Programme d’infrastructures municipales d’eau (PRIMEAU).
  • Le Plan québécois des infrastructures 2019-2029 prévoit des investissements de près de 7,2 milliards de dollars dans le secteur des infrastructures municipales, sous la responsabilité du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH). En y ajoutant les contributions du gouvernement du Canada et des municipalités, ce sont plus de 16,7 milliards de dollars qui seront investis dans les infrastructures municipales au Québec au cours de cette période.

Liens connexes :

Stratégie québécoise d’économie d’eau potable 2019-2025

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3 M$ pour le développement économique durable et la création d’emplois pour la jeunesse


 Publié le 28 mai 2019
 

La ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Nadine Girault, a réitéré l’engagement du gouvernement du Québec en solidarité internationale, plus précisément en lien avec les efforts concernant l’économie solidaire, alors qu’elle était de passage à l’École nationale d’administration publique. Elle a ainsi annoncé un financement de 3 millions de dollars à titre d’apport au capital du Fonds d’investissement solidaire international du Québec (FISIQ).

Cette importante contribution s’inscrit dans la volonté du gouvernement d’encourager la mise en place de mécanismes de financement efficaces et novateurs en faveur de la solidarité internationale, du développement économique durable et de la création d’emplois pour les femmes et la jeunesse dans les pays en développement.

Pour accroître la portée de son action internationale, le gouvernement du Québec mise sur le FISIQ, un nouvel outil financier socialement responsable pour les entreprises d’économie sociale partenaires des organismes québécois de coopération internationale et situées en Afrique, en Asie, en Amérique latine et aux Antilles.

Mis en œuvre par l’Association québécoise des organismes de coopération internationale, le FISIQ répond à la nécessité de mobiliser de nouvelles sources de financement en solidarité internationale. Il permet à des entreprises d’économie sociale, collectives, coopératives, associatives et mutuelles ou à des partenaires des organismes de collaboration internationale d’avoir accès à des ressources financières répondant à leurs besoins et de créer, de maintenir et de développer des activités économiques générant des revenus.

« Non seulement le FISIQ nous permet-il d’encourager nos organismes québécois de coopération internationale dans leur travail quotidien auprès de leurs partenaires internationaux, mais il rend également possible le soutien, d’une façon novatrice, du développement des communautés locales par l’autonomisation économique des femmes et des jeunes. À travers le FISIQ, nous cherchons à soutenir le développement de relations d’affaires durables, mutuellement bénéfiques, entre les entreprises d’économie sociale et les institutions financières locales. Ce nouveau partenariat nous permettra aussi de rapprocher l’entrepreneuriat québécois et celui des pays en développement. J’espère que, comme nous, d’autres mesureront la portée et les occasions qu’offrira cet outil de financement innovant et y contribueront à leur tour. », a déclaré Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie.

« Ce projet du FISIQ, développé par l’AQOCI, est le fruit d’une longue tradition de solidarité et de partenariat portée par les organismes québécois de coopération internationale. Ce nouvel outil est une réponse aux demandes des partenaires du Sud pour des produits financiers adaptés à leurs besoins. », a indiqué Michèle Asselin, directrice générale de l’Association québécoise des organismes de coopération internationale.

« Cet important apport du gouvernement du Québec permettra de décupler la portée de l’action du FISIQ. Le conseil d’administration prévoit traiter ses premiers dossiers d’investissement en septembre 2019. », a souligné André D. Beaudoin, président du Fonds d’investissement solidarité international du Québec.

Faits saillants :

  • La ministre a fait cette annonce lors de la Rencontre des ambassadeurs d’Haïti et d’Afrique francophone, organisée par l’ENAP, devant plusieurs ambassadeurs à Québec à l’occasion de la visite du groupe des chefs de mission diplomatique francophones accrédités au Canada qu’a organisée le ministère des Relations internationales et de la Francophonie les 27 et 28 mai 2019.
  • Le FISIQ offrira des produits financiers aux entreprises d’économie sociale partenaires des OCI québécois, notamment des organisations collectives (coopératives et mutuelles), des regroupements communautaires ou familiaux et des entreprises privées socialement responsables.
  • Le FISIQ est une initiative de l’Association québécoise des organismes de coopération internationale (AQOCI), un réseau polyvalent d’expertises reconnues qui regroupe 64 organismes de coopération internationale du Québec. L’AQOCI est un partenaire de premier plan du ministère des Relations internationales et de la Francophonie depuis plus de 40 ans.
  • Rappelons que la ministre des Relations internationales et de la Francophonie travaille présentement sur deux chantiers importants : le premier est la mise à jour de la Politique internationale du Québec et le second consiste à préparer une stratégie de conquête des marchés étrangers. Le gouvernement du Québec est déterminé à augmenter sa force de frappe économique à l’international et posera des gestes concrets dans ce sens.

    Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du ministère des Relations internationales et de la Francophonie et de ses 32 représentations dans 18 pays, suivez-nous dans les médias sociaux.

Conseil général 2019


 Publié le 28 mai 2019
 

Merci à tous ceux et celles qui ont participé au Conseil général de la CAQ.

Cliquez ici pour télécharger le cahier des résolutions finales.

Création d’un centre de chirurgie bariatrique dans la région de la Côte-Nord


 Publié le 27 mai 2019
 

La ministre de la Santé et des Services sociaux, Danielle McCann, annonce aujourd’hui que l’Hôpital Le Royer, une installation du Centre intégré de santé et de services sociaux de la Côte-Nord, se voit octroyer la désignation de centre de chirurgie bariatrique.

Cette désignation fait suite aux démarches amorcées en 2014 par trois chirurgiens généraux de l’installation, en vue de mettre sur pied un programme de chirurgie bariatrique dans la région, avec le soutien de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec (IUCPQ). Les interventions pratiquées seront principalement la gastrectomie verticale, aussi appelée « sleeve », et ce, par approche laparoscopique.

Cette initiative vise à améliorer l’accès à de tels services sur la Côte-Nord, une des régions où la prévalence de l’obésité est la plus importante, avec un taux de 26 % de la population. Le centre désigné permettra de réaliser une centaine de chirurgies annuellement et d’éviter aux patients des déplacements vers d’autres centres hospitaliers, notamment à Québec, à Rimouski et à Saguenay.

« Cette annonce témoigne de notre volonté de mieux desservir le territoire québécois en matière de soins bariatriques. La prévalence actuelle de l’obésité est préoccupante et nous avons à cœur de faire face à cet enjeu par des mesures concrètes, notamment en nous attaquant au défi de l’accessibilité de ces services. L’efficacité des traitements qui seront offerts dans ce centre désigné n’est plus à démontrer, et c’est pourquoi notre gouvernement n’a pas hésité à appuyer une telle initiative, dont les effets positifs sur la santé des Nord-Côtois seront nombreux et durables. », a déclaré Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux.

Faits saillants :

Pour être admissible à une désignation de centre de chirurgie bariatrique, une installation doit, entre autres,

  • pouvoir pratiquer plus de 100 interventions par année;
  • disposer d’une équipe multidisciplinaire incluant une infirmière pivot;
  • prévoir la participation de plus de deux chirurgiens;
  • pouvoir compter sur l’engagement financier de l’établissement pour prendre en charge le programme;
  • assurer le suivi postopératoire à long terme, en collaboration avec les médecins de famille;
  • établir une entente avec un centre expert pour y orienter les cas plus complexes, en l’occurrence l’IUCPQ,
  • dans ce cas.
  • Au cours des mois à venir, des formations seront offertes aux divers professionnels du centre désigné, notamment par les chirurgiens instigateurs du projet. Le démarrage du service pourrait avoir lieu à la fin de l’année 2019 ou au début de 2020.

Appui financier au 9e Festival Classica


 Publié le 27 mai 2019
 

Le gouvernement du Québec est heureux d’annoncer son appui financier au 9e Festival Classica, qui se déroule jusqu’au 16 juin prochain.

La ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Langue française, Mme Nathalie Roy, et la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, confirment une aide financière de 345 000 $ pour soutenir les activités prévues à la programmation de ce festival.

Le Festival Classica met en lumière le talent de musiciens locaux et internationaux, en présentant plus de soixante événements : des spectacles de musique classique, en salle et en plein air, ainsi que des activités familiales. En plus des concerts et des animations sur son site principal à Saint-Lambert, l’événement prévoit cette année des concerts-satellites dans huit autres villes, principalement en Montérégie.

« Avec ses activités et ses concerts extérieurs et intérieurs, le Festival Classica réussit année après année à joindre un vaste public composé tant d’initiés que de néophytes. La riche programmation permet de découvrir et d’apprécier la musique classique dans toute son envergure, et de faire connaître et rayonner les artistes d’ici et d’ailleurs venus partager avec des dizaines de milliers de spectateurs leur talent et leur passion. », a déclaré Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Langue française.

« Au fil des ans, le Festival Classica a su se tailler une place de choix sur la scène culturelle québécoise. Sa programmation sans cesse renouvelée et ses concerts présentés dans neuf villes partenaires font de cet événement l’un des plus importants festivals urbains de la région métropolitaine. Le gouvernement du Québec est fier de soutenir ce rassemblement musical qui offre à un large public des représentations de grande qualité. », a souligné Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal.

Faits saillants :

  • Le Conseil des arts et des lettres du Québec, une société d’État relevant de la ministre de la Culture et des Communications, consent une aide financière de 220 000 $, qui provient de différents programmes.
  • Le Secrétariat à la région métropolitaine du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation contribue au projet avec une somme de 125 000 $ provenant du Fonds d’initiative et de rayonnement de la métropole.

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