Lien rapide Montréal-Québec : Une volte-face incompréhensible de Philippe Couillard


 Publié le 30 novembre 2017
 

Philippe Couillard a rencontré en avril 2016 la haute direction de Via Rail pour des « discussions concernant un projet de voies dédiées pour train à haute fréquence », a révélé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, lors de la période des questions jeudi.

En 2015, des ministres du gouvernement libéral ont également écrit au ministre fédéral des Transports, Marc Garneau, afin de faire inclure le corridor Montréal-Québec dans le tracé du projet de TGF de Via Rail. Ainsi, le même gouvernement libéral qui s’est battu pour le TGF, le qualifie aujourd’hui de « passéiste » et propose un projet de monorail pour lui faire concurrence, a dénoncé François Legault. Le chef de la CAQ a d’ailleurs été surpris d’entendre le premier ministre dire que si le TGF devait être financé par le fédéral, ce sera « tant mieux ». C’est irresponsable, puisque si son gouvernement propose un monorail sur le corridor Montréal et Québec, il est évident que le projet de Via Rail n’irait pas de l’avant dans ce contexte, a souligné M. Legault.

Le porte-parole de la CAQ en matière de transports, Benoit Charette, a quant à lui indiqué que plusieurs régions du Québec tiennent beaucoup au projet de TGF pour dynamiser leur économie. À cause de l’improvisation libérale, tout le travail effectué par les différents acteurs locaux risque de prendre le chemin de la déchiqueteuse.

François Legault redonnera à Sainte-Justine sa pleine autonomie


 Publié le 30 novembre 2017
 

Parce qu’il est un centre d’excellence en soins pour les enfants réputé partout dans le monde depuis plus de 100 ans, le Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine mérite sa pleine autonomie, son propre conseil d’administration et son propre président-directeur général, a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

La décision du gouvernement libéral de fusionner le conseil d’administration et le poste de PDG de Sainte-Justine avec ceux du CHUM ne fait aucun sens. Non seulement elle n’amènera aucune économie, cette fusion risque même d’avoir un impact négatif sur la qualité des services donnés.

D’ailleurs, Claude Castonguay, l’ex-ministre libéral de la Santé, a expliqué que l’objectif de créer un continuum de soins lorsque l’enfant devient majeur ne tient pas la route, puisque le CHU Sainte-Justine soigne des enfants des quatre coins du Québec.

Si Philippe Couillard a décidé de défendre son ministre de la Santé, Gaétan Barrette, qui vient chambouler une de nos meilleures institutions avec sa manie de tout centraliser, le chef de la CAQ a promis de se porter à la défense des professionnels et des enfants de l’Hôpital Sainte-Justine s’il prend le pouvoir en octobre 2018.

La députée Chantal Soucy accueille les organismes communautaires de la Montérégie au parlement


 Publié le 30 novembre 2017
 

La députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a accueilli les représentants d’une quinzaine d’organismes communautaires de la Montérégie, dont cinq provenant de la grande région de Saint-Hyacinthe (le Centre Louise Bibeau, la Maison alternative de développement humain, le Centre de bénévolat d’Acton Vale, l’Auberge du cœur Le Baluchon et la Maison des Jeunes des Quatre-Vents) ce matin, à l’Assemblée nationale, pour un point de presse.

Cette démarche, initiée par la Table régionale des organismes communautaires et bénévoles de la Montérégie, visait à dénoncer le sous-financement dont sont victimes 90 % des organismes communautaires de la Montérégie. La députée Chantal Soucy a accepté de se joindre à eux pour interpeller la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie, Lucie Charlebois, et lui rappeler l’importance capitale des organismes communautaires dans la société québécoise. « Ce sont des partenaires essentiels au réseau de la santé et des services sociaux de la Montérégie. Chaque jour, sur le terrain, je constate leur rôle primordial dans ma circonscription. Ils écoutent, hébergent, conseillent et accueillent des milliers de citoyens dans le besoin. Depuis des années, ils font des miracles avec très peu de ressources et aujourd’hui, ils sonnent l’alerte. Plus que jamais, la pérennité des services qu’ils offrent, aussi essentiels soient-ils, est en péril. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’être à leurs côtés ce matin : pour leur témoigner toute ma gratitude, mais aussi pour manifester mon appui à leur cause », a expliqué la députée caquiste.

Elle a d’ailleurs conclu le point de presse en s’adressant directement à la ministre libérale Lucie Charlebois : « Madame la ministre, dans le contexte actuel de surplus budgétaires, il faut avoir le courage politique de revoir le financement des organismes communautaires qui peinent à suffire à la demande, afin de faciliter leur travail et de leur permettre de se concentrer sur leur mission ».

Lien rapide Montréal-Québec : Benoit Charette et la CAQ dénoncent l’improvisation libérale


 Publié le 29 novembre 2017
 

Ça sent l’improvisation à plein nez au gouvernement libéral, a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, lors d’un point de presse à l’Assemblée nationale mercredi. Son porte-parole en matière de transports, Benoit Charette, a également déploré que pour une deuxième journée consécutive, le ministre des Transports, André Fortin, a été incapable de dire ce qu’il adviendra du projet de train grande fréquence (TGF) proposé par Via Rail.

Le chef caquiste a souligné que comme premier ministre du Québec, Philippe Couillard ne pouvait tout simplement pas se déclarer en faveur d’un monorail, alors qu’il savait très bien que sa déclaration sèmerait l’inquiétude chez les nombreux élus locaux et membres de la communauté d’affaires, qui étaient convaincus que le gouvernement appuyait le projet de TGF. M. Legault a d’ailleurs noté que le président de l’Union des municipalités du Québec, Alexandre Cusson, avait été très dur envers le premier ministre en déclarant que « soit il n’a pas écouté, soit il n’a pas entendu. Mais l’impression que ça donne c’est comme s’il nous disait : vous avez perdu votre temps ».

Le caucus libéral est resté tout aussi incrédule que les différents leaders régionaux devant la sortie de leur chef Philippe Couillard, a pour sa part noté Benoit Charrette. M. Couillard s’est lancé dans une grande improvisation en lançant un ballon à propos d’une technologie qui n’existe pas, a souligné M. Charette.

Pour le député de Deux-Montagnes, le TGF est une option concrète dont les mérites sont établis et qui est largement supportée par la communauté d’affaires et les municipalités. Pourquoi Philippe Couillard a-t-il décidé tout à coup qu’il fallait éliminer les projets interurbains de trains rapides ? Après près de 15 ans de gouvernement libéral, les libéraux sont incapables de se brancher sur un projet concret, au bénéfice de tous les Québécois, a conclu le caquiste Benoit Charette.

Projet de TGF de Via Rail : Les libéraux abandonnent un projet cher à la Mauricie


 Publié le 29 novembre 2017
 

Quoi qu’en disent Philippe Couillard et son ministre des Transports, André Fortin, l’ex-ministre et député de Trois-Rivières, Jean-Denis Girard, a fait son nid : il milite pour le projet de train grande fréquence (TGF)de Via Rail. Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour la région de la Mauricie, Donald Martel, a dénoncé l’improvisation du gouvernement libéral dans ce dossier hautement important pour l’économie régionale de Trois-Rivières.

Pendant que le ministre Fortin et Philippe Couillard favorisent une technologie qui n’existe pas encore, Jean-Denis Girard a déjà fait son choix : « Je planche sur la solution réalisable à très court terme, le TGF. C’est un outil de développement économique très important pour Trois-Rivières », disait-il en entrevue avec le quotidien Le Nouvelliste. Son collègue, le ministre André Fortin, n’est pas aussi sûr cependant, puisqu’il ne cesse d’évoquer des projets futuristes, ce qui nuit considérablement au projet de TGF et sème l’inquiétude dans la région.

Le caquiste a rappelé que le projet de TGF est une option concrète dont les mérites sont établis, en plus d’être largement supportée par la communauté d’affaires et les municipalités. Après près de 15 ans de gouvernement libéral, les libéraux sont incapables de se brancher sur un projet concret pour dynamiser l’économie de Trois-Rivières. C’est inacceptable qu’ils abandonnent le TGF avant même de l’avoir examiné, a dénoncé le député de Nicolet-Bécancour.

Pré-maternelle 4 ans offerte à tous : Philippe Couillard manque de vision, déplore la CAQ


 Publié le 29 novembre 2017
 

Malgré le retard évident qu’accuse le Québec quant à son taux de diplomation, le premier ministre Philippe Couillard refuse toujours d’offrir la pré-maternelle 4 ans à tous les enfants du Québec, a déploré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Le déploiement de classes de pré-maternelle 4 ans est un des meilleurs investissements qu’on puisse faire au Québec, a martelé François Legault. L’Ontario l’a fait, d’autres pays en Europe aussi. Malheureusement, Philippe Couillard ne démontre aucun intérêt pour cette vision et se réfugie derrière l’idée de les ouvrir uniquement en milieux défavorisés. Le chef de la CAQ a rappelé que la Vérificatrice générale a démontré que ce ne sont même pas tous des enfants de milieux défavorisés qui en bénéficient actuellement.

Contrairement à la grande majorité des CPE, les classes de pré-maternelles permettront d’avoir des enseignants, des orthophonistes, des orthopédagogues et tous les professionnels pour aider les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage. Puisque Philippe Couillard refuse de se fixer cet objectif ambitieux pour nos enfants, M. Legault fera de la pré-maternelle 4 ans pour tous un de ses grands projets en éducation d’ici 2018.

Maternelle 4 ans : Sébastien Proulx contredit par la Vérificatrice générale


 Publié le 28 novembre 2017
 

 Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx s’est fait démasquer par la Vérificatrice générale : ce ne sont pas les enfants les plus défavorisés qui bénéficient des classes de prématernelle 4 ans. Pour le député de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, cela démontre une fois de plus à quel point le bilan du gouvernement libéral en éducation ne repose que sur des annonces marketing qui ne se concrétisent pas sur le terrain.

Dans son rapport déposé il y a 5 jours, la Vérificatrice générale a dressé un constat choquant d’une des mesures phares du gouvernement Couillard : « La mesure pour la maternelle quatre ans à temps plein n’est accessible qu’aux écoles ayant des locaux disponibles (…). Ce n’est donc pas nécessairement les enfants les plus défavorisés qui en bénéficient ».

Pourtant, le gouvernement libéral prétend publiquement que le déploiement de la maternelle 4 ans se fait « pour les enfants en milieu défavorisé », a fait savoir M. Roberge. Le critique caquiste en éducation, Jean-François Roberge, a dénoncé le marketing politique libéral fait autour de l’éducation.

Taux de diplomation : Philippe Couillard incapable de se fixer un réel objectif


 Publié le 28 novembre 2017
 

Alors que l’Ontario a réussi au cours des 15 dernières années à faire grimper son taux de diplomation pour les élèves au secondaire à 86,5 %, le Québec ne parvient pas toujours pas à suivre la cadence, a déploré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Philippe Couillard a souhaité vouloir rattraper l’Ontario, mais refuse de dire quand il y parviendra, a-t-il dénoncé.

Quand le Parti libéral est arrivé au pouvoir en 2003, le taux de diplomation au secondaire était d’à peine 70 %, le même qu’en Ontario. Aujourd’hui, l’Ontario possède un taux de 86,5 %, alors que celui du Québec est de seulement 75 %. Pour François Legault, derrière ce chiffre se cachent des milliers d’enfants qui n’ont pas eu la chance d’aller au bout de leur potentiel.

Philippe Couillard a affirmé vouloir rattraper l’Ontario. Ce qu’il semble oublier, c’est que son gouvernement vise dans sa politique de la réussite éducative un taux de diplomation de 85 % en 2030, soit l’objectif atteint l’Ontario en 2015. Sous les libéraux, le Québec a voué à avoir au moins 15 ans de retard sur l’Ontario, a regretté François Legault.

Le chef caquiste a également rappelé que le taux de décrochage scolaire au Québec est le double de celui de l’Ontario, un autre héritage laissé par les 15 années de gouvernement libéral. Il est grand temps pour Philippe Couillard de se doter d’une vraie vision pour faire de l’éducation un investissement à long terme pour le Québec.

3 ans après la Loi 20 : La CAQ exige le retour du programme de procréation assistée


 Publié le 28 novembre 2017
 

Pour des centaines de couples infertiles, le 28 novembre est un triste anniversaire. Il y a trois ans, le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, déposait sa loi 20, sonnant ainsi la fin du programme de procréation assistée.

Accompagné de la vice-présidente de l’Association des couples infertiles du Québec, Martine Vallée Cosette, ainsi que de plusieurs parents infertiles, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, a profité de ce troisième anniversaire pour appeler le gouvernement libéral à rétablir le programme de procréation assistée, qui avait permis la naissance de 5 000 enfants, soit environ 2 % des naissances annuelles au Québec.

Paradis a dénoncé la décision prise par les libéraux de remplacer ce programme par un crédit d’impôt inéquitable, qui ne couvre pas l’ensemble des coûts après traitement. Résultat : de nombreux couples et parents infertiles n’ont tout simplement plus les moyens de fonder une famille. Le député de Lévis a tenu à rappeler que lors du débat entourant l’adoption de la loi 20, le ministre Barrette avait dit publiquement qu’il pourrait revenir sur sa décision, seulement lorsque le contexte budgétaire serait plus favorable. Or, c’est maintenant le cas, a souligné M. Paradis.

Pour la CAQ, le gouvernement libéral doit ramener le programme de procréation assistée, tout en réduisant ses coûts et en l’encadrant à partir des recommandations du Commissaire à la santé et au bien-être.

Conseil général 2017 : La CAQ soutiendra davantage les familles qui désirent avoir des enfants, annonce François Legault


 Publié le 26 novembre 2017
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a annoncé qu’un gouvernement de la CAQ travaillera à éliminer les différents obstacles financiers qui se dressent devant les familles du Québec qui désirent avoir un enfant. M. Legault a fait cette déclaration dans le cadre d’un discours prononcé, dimanche, devant plus de 600 militants réunis à Sherbrooke en Conseil général.

Élever des enfants a un coût et celui-ci est devenu trop élevé au Québec, a déclaré François Legault, qui souhaite libérer les pères et les mères de famille de l’angoisse financière qu’ils vivent après près de 15 ans de hausses de taxes et de tarifs sous le gouvernement libéral. Alors que le vieillissement de la population ne fait plus aucun doute et que les défis de main-d’œuvre s’accentuent de plus en plus, M. Legault a jugé préoccupant qu’encore aujourd’hui, de nombreuses familles soient poussées à renoncer à leur projet d’avoir un nouvel enfant pour des raisons financières. Au cours du week-end, les militants caquistes ont d’ailleurs adopté une série de résolutions visant à améliorer la qualité de vie des familles. Lors de son discours de clôture, le chef caquiste a de plus annoncé qu’un gouvernement de la CAQ soutiendra davantage, financièrement, les familles désirant avoir des enfants.

« Depuis toujours, la famille est au centre de nos vies, au cœur de notre société. La famille, c’est l’âme de la nation québécoise. Malheureusement, au cours des dernières années, les augmentations des taxes scolaires, des tarifs de garderie, d’électricité et autres leur ont fait très mal. Jamais nos familles n’ont été aussi endettées. Si bien que quand vient le moment où les couples souhaiteraient avoir d’autres enfants, ils y renoncent souvent. Il faut enlever des obstacles aux familles qui pensent à avoir un enfant. Évidemment, le but premier, c’est d’aider les familles. Mais si, en les aidant, on obtient comme effet secondaire une augmentation des naissances, c’est dans l’intérêt de tout le Québec. Ça veut dire une économie plus forte ! », a déclaré François Legault.

L’équipe du changement

François Legault s’est dit impressionné par la vigueur et la pertinence des dizaines de résolutions qui ont été débattues et acceptées en plénière lors de ce Conseil général. À 10 mois des élections générales, le chef de la CAQ a appelé ses troupes, venues de partout au Québec, à se retrousser les manches et à incarner sur le terrain le changement positif tant souhaité par les Québécois.

« Dans les prochains mois, nos adversaires vont nous attaquer, sur tous les fronts, mais il ne faut pas se laisser distraire. On a une grande responsabilité : celle de redonner de l’espoir aux Québécois après 15 ans de règne libéral. Nous avons tout ce qu’il faut pour enrichir le Québec : des gens créatifs, des entrepreneurs, d’excellentes universités et de l’énergie propre qu’on peut exporter. Le Québec peut être aussi riche que ses voisins. On n’a aucune raison de ne pas être ambitieux. Tout est possible, suffit de voir grand pour le Québec ! Les Québécois sont prêts pour une nouvelle équipe : celle du changement ! » a conclu François Legault.