Le député Simon Jolin-Barrette reconnu par ses pairs


 Publié le 27 décembre 2016
 

Au terme d’un scrutin organisé par La Presse à la fin de l’année 2016, les députés de l’Assemblée nationale ont élu le député caquiste de Borduas, Simon Jolin-Barrette, « parlementaire de l’année » et « vedette montante de l’Assemblée nationale ».

Le porte-parole caquiste en matière de justice a été de tous les combats lors de l’année 2016. Au cours des dernières semaines, celui qui n’est même pas encore âgé de 30 ans a notamment multiplié les interventions en Chambre pour dénoncer les délais dans le système judiciaire.

« C’est une montée fulgurante, convient Donald Martel, le whip du caucus caquiste. Simon, quand il est arrivé, c’était le jeune, c’était cute, c’était sympathique. Mais rapidement, il a fait ses devoirs et notre chef lui a donné des responsabilités de plus en plus importantes. »

Son travail dans sa circonscription lui vaut aussi des éloges, comme le prouve le témoignage du maire de Mont-Saint-Hilaire, Yves Corriveau.

« À son âge, on pourrait croire qu’il manque de maturité. En tout cas, moi, j’en manquais de maturité à cet âge! Mais malgré son jeune âge et sa jeune expérience, Simon travaille comme si ça faisait 20 ans qu’il était député », dit-il.

Bilan de l’année 2016: une année «hyperactive» pour le député Jean-François Roberge


 Publié le 21 décembre 2016
 

(CHAMBLY, le 13 décembre 2016) Plus que bien remplie, l’année qui se termine a été carrément hyperactive pour le député de Chambly Jean-François Roberge, qui a multiplié les grands projets, autant dans la circonscription de Chambly qu’en Éducation, dont il est porte-parole pour la Coalition Avenir Québec.

Éducation : Et si on réinventait l’école?

En éducation, l’année 2016 a été particulièrement productive pour le député de Chambly, porte-parole de sa formation politique en matière d’Éducation. Après une tournée du réseau de l’éducation qui l’a mené aux quatre coins du Québec, M. Roberge a été l’hôte d’Objectif réussite Québec, un sommet réunissant à Trois-Rivières les experts et les intervenants du monde scolaire québécois. L’année de Jean-François Roberge a aussi été marquée par la parution de Et si on réinventait l’école?, un essai sur le réseau de l’éducation québécois. Dans ce livre, unanimement salué par la critique, M. Roberge propose plusieurs solutions novatrices pour «réinventer» le réseau scolaire.

Suites aux nombreuses interventions de M. Roberge, certaines mesures ont depuis été reprises en totalité ou partiellement par le gouvernement libéral, telles la réintroduction des cours d’économie au secondaire et la présence d’au moins un jeune sur les conseils d’administration des sociétés d’État. D’autres propositions du député, comme la création d’un ordre professionnel des enseignants, la prématernelle 4 ans gratuite et offerte à tous et la scolarisation obligatoire jusqu’à 18 ans ou diplomation, figurent également à l’agenda du ministre de l’Éducation dans le cadre de sa consultation sur la réussite éducative. M. Roberge doute toutefois que le gouvernement aille de l’avant avec cette mesure, ainsi qu’avec des mesures-phare contenues dans son livre,  «parce qu’elles ne font pas consensus et que ça commanderait du leadership politique de la part du gouvernement. Or, avec le gouvernement Couillard, il faut baisser nos attentes!»

Course du député, distribution d’arbres, nettoyage des berges, assainissement de la rivière…

En parallèle, le député a continué de travailler pour les intérêts de ses concitoyens à l’Assemblée nationale et dans Chambly. En matière environnementale, M. Roberge a notamment organisé une opération de nettoyage des berges de la rivière Richelieu, en plus de tenir, fin novembre, une vaste consultation sur l’assainissement de la rivière et du Bassin de Chambly. De concert avec le COVABAR, M. Roberge a également procédé à la distribution de plus de 300 arbres aux citoyens de la circonscription. Celui-ci s’est également opposé à l’adoption du projet de loi 106 sur les hydrocarbures, «un projet de loi insidieux qui ne répond pas aux inquiétudes environnementales des Québécois», ainsi qu’au projet Énergie-Est, dont les paramètres actuels sont «tout simplement inacceptables».

Le député a aussi profité de l’année pour poursuivre son implication au sein de la communauté. Mi-septembre, la traditionnelle Course du député Jean-François Roberge aura permis d’amasser près de 5 500$ pour le Carrefour Familial du Richelieu et le Centre d’interprétation des énergies renouvelables, deux organismes qui œuvrent auprès des jeunes et des familles de  la région. M. Roberge est également intervenu auprès de différents ministères afin d’obtenir des aides financières spéciales à la demande de plusieurs organismes, dont la FADOQ de Chambly pour la réfection de la toiture de la salle des Aînés et Concept B pour l’organisation du Festival Bières et Saveurs de Chambly. De concert avec ses collègues de la CAQ, M. Roberge a aussi contribué à l’adoption, début novembre,  d’une motion de l’Assemblée nationale réclamant un meilleur financement des organismes communautaires.

Voir grand  pour la circonscription de Chambly

Jean-François Roberge a aussi profité de l’année 2016 pour poursuivre le travail dans des chantiers majeurs pour la circonscription de Chambly – ou pour en démarrer des nouveaux. Ainsi, avec le soutien de plusieurs acteurs du milieu, Jean-François Roberge a officiellement lancé les démarches en vue d’ajouter les secondaires 4 et 5 à Chambly. Tout juste avant la fin des travaux parlementaires, le député a d’ailleurs déposé une pétition approchant les 2 500 signataires à cet effet. «Les secondaires 4 et 5, c’est essentiel pour le développement de Chambly et des environs. Ça fait l’objet d’un large consensus au sein de notre communauté. J’ai présenté notre demande tout de suite après le dépôt de la pétition au ministre Proulx. Nous continuons notre travail dans ce dossier», explique le député.

Jean-François Roberge a aussi continué le combat en faveur de l’élargissement de la Route 112 entre Chambly, Carignan et Saint-Hubert. Le député a notamment pu mettre la main sur un rapport accablant commandé par le ministère des transports –et ce, malgré son refus de le lui transmettre – qui atteste de l’urgence d’agir rapidement afin de dégager cette artère. «Dans le rapport, il est écrit noir sur blanc que sans intervention rapide, les conditions de circulation sur la Route 112 vont devenir catastrophiques, autant sous l’aspect de la fluidité que de la sécurité routière. Sans intervention, on voit que les risques d’accidents de la route explosent pour les prochaines années. Qu’est-ce que le MTQ attend pour agir?»

D’ici la pause de Noël et du temps des fêtes,  le député compte aller à la rencontre des citoyens de la circonscription. «Être député, c’est se battre au quotidien pour les intérêts de ses concitoyens. Mais pour faire ça, il faut d’abord les connaitre. La relâche parlementaire hivernale est un moment privilégié pour se maintenir connecté avec les préoccupations de la population», conclut le député de Chambly. Si le député se dit fier du travail accompli, il se dit également «très optimiste pour l’année à venir!».

Réforme du programme de crédit de taxes foncières agricoles: Le ministre offre incertitude et inquiétudes en cadeaux de Noël aux agriculteurs, dénonce Jean-François Roberge


 Publié le 19 décembre 2016
 

(Chambly, le 19 décembre) – À l’approche du temps des Fêtes, le député Jean-François Roberge dénonce le projet de réforme du programme de crédit de taxes foncières agricoles (PCTFA) du gouvernement libéral, qui dans sa forme actuelle, menace de faire bondir drastiquement le compte de taxes des agriculteurs de la Montérégie. «Avec cette réforme, le ministre de l’Agriculture Pierre Paradis donne de l’incertitude et des inquiétudes énormes aux agriculteurs comme cadeaux de Noël», fustige le député de Chambly.

M. Roberge a par ailleurs profité d’une rencontre avec les représentants de l’Union des producteurs agricoles de la Montérégie (UPA-Montérégie), pour réaffirmer son opposition aux changements apportés par le ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis, aux programmes de crédit de taxes foncières agricoles, qui privent les producteurs de la région et de partout au Québec d’importantes sommes d’argent.

«S’il est vrai qu’un plus grand nombre d’agriculteurs pourront être soutenus financièrement par le gouvernement, en contrepartie, la très grande majorité d’entre eux subiront une forte augmentation de leur compte de taxes, pouvant même atteindre 50 %», souligne le député.

Les représentants de l’UPA-Montérégie ont d’ailleurs confirmé, à l’aide de 9 cas réels, l’impact dans la région de la réforme du PCTFA du MAPAQ au député de Chambly. Ainsi, selon les données présentées par l’UPA-Montérégie, à part certaines exceptions, ces producteurs agricoles devront faire face à une hausse entre 11 % et 130 %. En Montérégie, l’impact de ces modifications frôlerait les 8 millions de dollars en augmentation de taxe pour l’année à venir, une situation que M. Roberge juge inacceptable.

Signe de l’importance de l’enjeu pour les agriculteurs de la région, François Bonnardel, député de Granby et collègue de M. Roberge, avouait d’ailleurs récemment avoir reçu plus de 140 lettres de producteurs agricoles de la Montérégie, qui soutiennent noir sur blanc que leurs taxes vont leur coûter plus cher. «Le gouvernement libéral met en péril des entreprises agricoles. Il est temps pour lui de revenir sur terre et d’écouter les craintes des Québécois. L’industrie agricole est beaucoup trop importante en Montérégie pour laisser nos agriculteurs à eux-mêmes », de conclure le député.

« Le gouvernement ne récolte pas la note de passage » – André Lamontagne


 Publié le 17 décembre 2016
 

« C’est une autre session désolante pour le Parti libéral du Québec », déplore le député de Johnson André Lamontagne. « Désolante au point où le premier ministre se prépare à y mettre fin et à remanier pour la 3e fois son cabinet. Nous sommes en présence d’un gouvernement usé qui ne récolte pas la note de passage.

Le député fait le lien entre la session qui s’est conclue par un bâillon pour l’adoption du très contesté projet de loi sur les hydrocarbures et les manquements du gouvernement dans de nombreux dossiers. « En imposant un bâillon, le gouvernement a démontré son entêtement et son incapacité à entendre les Québécois. Il a fait preuve de la même insensibilité avec le projet de loi 62 sur la neutralité de l’État, son refus de reconnaître que les contribuables sont à bout de souffle et la façon dont il a géré le scandale de la Société immobilière du Québec. On a vraiment un gouvernement déconnecté. »

« Pendant ce temps, la CAQ a continué de jouer un rôle très constructif par ses propositions en matière de langue et d’intégration (rapport Samson), d’agriculture avec la création d’un fonds d’investissement, de baisses d’impôts et de justice. Toutes ces idées, nous espérons que le gouvernement s’en inspirera! »

Du côté régional, la reconnaissance du Centre-du-Québec comme région à part entière est revenue à l’avant-plan et le chef de la CAQ, François Legault, s’est prononcé pour, lors d’un passage à Drummondville. Un dénouement positif est par ailleurs survenu dans le dossier du sous-financement de l’Orchestre symphonique de Drummondville qui, dans l’attente des nouvelles règles du Conseil des arts et de la culture du Québec (CALQ), s’est vu octroyer une aide financière supplémentaire. « Mon collègue député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, et moi-même en sommes redevables à la collaboration du ministre de la Culture. »

Dans le comté, le vent semble avoir tourné positivement pour la Coopérative de solidarité de santé de la MRC d’Acton. « Avec l’attribution récente de deux autres nouveaux médecins, au total quatre médecins se seront joints à la Coop d’ici quelques mois. C’est là tout un revirement qui me rend très heureux! »

Au début de 2017, c’est vers Saint-Joachim-de-Shefford que les yeux seront tournés. La municipalité éprouve des difficultés avec son projet d’implanter un Centre de la petite enfance. « J’ai rencontré le ministre de l’Éducation à ce sujet la semaine passée et, sans vouloir être trop optimiste, je me permets de penser que nous aurons son soutien dans ce dossier. C’est à suivre. »

« Les fêtes sont à nos portes, j’en profite pour souhaiter à tous les citoyennes et citoyens de Johnson des rencontres chaleureuses, un très joyeux Noël et la réalisation de leurs vœux les plus chers en 2017! »

Session bien remplie pour le député Schneeberger


 Publié le 17 décembre 2016
 

Le député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, a connu une session bien remplie, en participant activement à la commission parlementaire de l’économie et du travail, et à celle de la santé et des services sociaux.

Porte-parole en emploi et solidarité sociale, il a agi de façon constructive dans l’étude et l’adoption du projet de loi 70 visant à mieux arrimer la formation et l’emploi ainsi qu’à favoriser l’intégration en emploi. Sa contribution a permis notamment de créer un parcours de « développement des habilités sociales », afin que tous les jeunes, peu importe ce qu’ils ont vécu et où ils sont rendus dans leur cheminement, puissent être épaulés et aspirer à jouer un rôle actif dans la société.

Il a aussi pris part aux consultations sur le projet de loi 99 visant à réviser la Loi sur la protection de la jeunesse, en sa qualité de porte-parole en cette matière. « Nous voulons que tous les jeunes profitent de la même égalité des chances, dit-il. Nous voulons que les familles d’accueil fassent partie du processus judiciaire. Lorsqu’il est question de protéger la jeunesse, on parle de l’avenir du Québec que nous devons tout mettre en place pour faire prospérer. »

Sur le plan régional, le député a lutté contre la centralisation des échantillons du projet Optilab et des chirurgies oncologiques du poumon. Il a talonné le ministre de la Santé durant la session et ne baissera pas les bras en 2017. « La centralisation des services à Trois-Rivières n’aidera en rien les gens de Drummond-Bois-Francs, au contraire! »

Comme porte-parole du Centre-du-Québec, M. Schneeberger s’est réjoui de l’élection décisive d’Éric Lefebvre dans Arthabaska. « Avec son intelligence d’affaires et son esprit de collectivité, nous serons encore plus forts pour défendre la région et la faire reconnaître pleinement à Québec. Il peut compter sur mon entière collaboration. »

La CAQ représente le changement

« La dernière session a montré deux partis déphasés et un parti en contact. Face à l’usure du pouvoir et à l’enfermement dans une option, de plus en plus de Québécois réalisent que la CAQ représente le changement », note M. Schneeberger.

Le Parti libéral a refusé de baisser les impôts, d’interdire les signes religieux pour les personnes en autorité, de reconnaître ses torts dans les magouilles et d’écouter la population dans le dossier des hydrocarbures. « Quand les libéraux au pouvoir depuis 2003 tentent de faire miroiter un nouveau départ, les Québécois ne sont pas dupes », tranche le député.

Aussi déconnecté que le Parti libéral, le Parti québécois s’est montré insensible aux angoisses financières des familles. « Les premiers gestes de son chef, après son élection, ont été de s’opposer à des baisses d’impôts et de faire des avances à Québec solidaire. Le contraste avec la CAQ est saisissant. Nous avons pressé les ministres, tout en leur proposant des solutions. »

Exploration sur l’île d’Anticosti Jean-François Lisée n’a plus aucune crédibilité


 Publié le 16 décembre 2016
 

« À force de faire des mamours à Québec solidaire, Jean-François Lisée perd la tête et oublie que son parti a personnellement donné le feu vert à l’exploration pétrolière et gazière sur l’île d’Anticosti! Voir le Parti québécois réclamer la fin de l’entente avec Pétrolia qu’il a lui-même signée, c’est le comble du cynisme », a fustigé la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’énergie, Chantal Soucy.

Jeudi, les péquistes ont interpellé le gouvernement libéral afin que ce dernier déchire en morceau le contrat signé par Pauline Marois, qui a lancé l’exploration pétrolière et gazière sur Anticosti en 2014 sans aucune évaluation environnementale. La demande du PQ est d’une hypocrisie déconcertante, a souligné la députée Chantal Soucy, qui dénonce un autre recul majeur du PQ depuis que M. Lisée a pris la tête du parti.

« Jean-François Lisée a complètement perdu la boussole depuis qu’il est prêt à tout pour plaire à Québec solidaire. Pourtant, la réalité, c’est qu’il est l’un des instigateurs du projet Anticosti. Aujourd’hui, parce qu’il cherche à conquérir la gauche, M. Lisée se forge un nouveau visage, s’achète une conscience environnementale et se défile en faisant porter la responsabilité sur ses adversaires. Le PQ ferait mieux d’être consistant lorsqu’il prend des positions plutôt que de tout virer de bord pour simplement plaire à Québec solidaire », a déclaré la caquiste Chantal Soucy.

La députée de Saint-Hyacinthe a poursuivi en affirmant que la CAQ est la seule formation politique qui fait preuve de réalisme et de pragmatisme dans ses positions énergétiques. Le dossier Anticosti en est l’exemple parfait : pendant que Philippe Couillard fait tout en son possible pour que le projet ne voit pas le jour et que Jean-François Lisée fait marche arrière, seule la CAQ tient parole et souhaite aller au bout de l’exploration sur Anticosti pour avoir un portait complet et juste du potentiel dont regorge l’île.

« Jean-François Lisée et ses députés n’ont plus aucune crédibilité. Il y a une époque où ils se battaient pour avoir toutes les informations en main, mais comme dans plusieurs autres dossiers, le PQ est vert à temps partiel. Quand il est au pouvoir, il veut exploiter les hydrocarbures, mais une fois dans l’opposition, il retourne sa veste. Il est important d’aller au bout de la phase d’exploration, afin de prendre une décision éclairée par la suite. Il n’est pas question de donner carte blanche à l’exploitation sans cette étape préalable, mais le Québec ne peut pas passer à côté d’un gisement pétrolier qui pourrait représenter des milliards de dollars. Si on veut créer de la richesse, lutter contre le décrochage scolaire, donner un répit fiscal aux Québécois, ce n’est pas en adoptant une position radicale comme Philippe Couillard ou en reniant ses engagements comme Jean-François Lisée qu’on y parviendra », a conclu Chantal Soucy.

Un entrepreneur reconnu comme nouveau député d’Arthabaska


 Publié le 15 décembre 2016
 

Le député de la CAQ, Éric Lefebvre, a été élu dans la circonscription d’Arthabaska  et s’est imposé face à son adversaire du Parti libéral, avec un résultat sans appel de 44 % des votes contre 28 pour son plus près adversaire.

Avec cette élection d’Éric Lefebvre, qui est également un entrepreneur reconnu dans Arthabaska, la CAQ se positionne une fois de plus comme le parti de l’entrepreneuriat, le parti le mieux placé pour comprendre les besoins des entrepreneurs québécois.

Plusieurs caractéristiques font d’Éric Lefebvre un représentant hors pair pour le comté d’Arthabaska et pour la Coalition Avenir Québec. Il ne fait aucun doute que ce nouveau député sera bientôt une personnalité remarquable de la vie politique québécoise.

Son expérience entrepreneuriale

Éric Lefebvre jouit d’une bonne connaissance du milieu entrepreneurial. Il est un entrepreneur reconnu qui a créé plusieurs dizaines d’emplois à Victoriaville et dans les environs.

M. Lefebvre a cofondé en 1999 le Restaurant Pub Caméléon à Victoriaville. Le but derrière la création de cette entreprise était d’offrir un lieu de rencontre agréable pour les 25 ans et plus.

Éric Lefebvre est également PDG de l’entreprise Chevrons Vigneault, spécialisée dans la fabrication de toitures et située dans la région de l’Érable.

Une bonne connaissance du milieu politique.

Les citoyens d’Arthabaska auront la chance de pouvoir compter sur un député qui jouit d’une vaste expérience acquise dans le milieu politique. Éric Lefebvre a en effet été conseiller municipal de la Ville de Victoriaville, adjoint au Ministre Denis Lebel, président du CA de la Société de développement commercial du centre-ville de

Victoriaville, membre de la Conférence régionale des élus (CRÉ) et membre de la Corporation de développement économique des Bois-Francs qui porte maintenant le nom de Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région.

Un élu au grand cœur

C’est peu dire qu’Éric Lefebvre est un homme  engagé auprès de ses concitoyens. Il s’est à de nombreuses reprises impliqué auprès de différents organismes pour soutenir plusieurs citoyens d’Arthabaska. Il a œuvré en qualité de président de campagne de financement de Centraide et de président d’honneur de plusieurs événements régionaux. Éric Lefebvre a aussi mis sur pied la fondation Christian-Larochelle pour réaliser les rêves d’enfants malades de la région et soutenir la pédiatrie de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska.

Ses engagements en tant que député

Éric Lefebvre continuera à talonner le gouvernement libéral pour que le projet d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska soit mené à terme et s’assurer qu’il ait une première pelletée de terre avant les prochaines élections.

L’éducation, la culture, l’économie et la reconnaissance régionale seront également de grandes priorités pour le nouveau député. Il joindra d’ailleurs sa voix à celle des autres élus de la CAQ pour réclamer une baisse d’impôt de 1000$ par famille.

Mariages religieux : Le gouvernement libéral paralysé par la grève des avocats et notaires de l’État


 Publié le 14 décembre 2016
 

En raison de l’inaction de son gouvernement pour mettre fin à la grève des avocats et notaires de l’État, la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, est incapable de faire la lumière sur le phénomène des mariages religieux au Québec, a révélé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette.

La CAQ a obtenu la requête déposée par la Procureure générale du Québec, Stéphanie Vallée, dans une affaire entourant un divorce suite à un mariage religieux, dans laquelle elle réclame une prolongation de la date du dépôt de son mémoire concernant l’effet civil ou non d’un tel mariage. Estimant ne pas avoir les ressources à sa disposition, due à la grève des avocats et notaires de l’État, Mme Vallée a réclamé un sursis pour déposer son mémoire, qui a été accueilli favorablement par la Cour d’appel, mardi. Ainsi, le mémoire ne sera remis que le 21 mars 2017.

« Aujourd’hui, on a un exemple concret qui démontre que la grève des juristes de l’État a des conséquences importantes sur l’administration de notre système de justice. Le ministère de la Justice est paralysé et ce cas en est l’exemple. Pendant ce temps, le premier ministre Philippe Couillard refuse de négocier de bonne foi avec les juristes, qui sont en arrêt de travail depuis près de deux mois. C’est assez. Les avocats et notaires de l’État doivent être traités avec respect et ils ont à cœur le service public. Le gouvernement doit agir et faire avancer ses dossiers, notamment celui des mariages religieux qui est fondamental, notamment dans le cadre de la réforme du droit de la famille », a déclaré Simon Jolin-Barrette.

La ministre Vallée doit faire respecter les valeurs québécoises

La ministre de la Justice ne peut pas se traîner les pieds plus longtemps dans le dossier des mariages religieux, a tonné Simon Jolin-Barrette. Il a rappelé qu’en mars dernier, le gouvernement libéral avait créé tout un tollé en plaidant que des ministres du culte pouvaient célébrer des mariages à portée uniquement religieuse sans que ces mariages aient un effet légal.

Pour le député de Borduas, cette position est inacceptable, puisqu’elle remet en question le respect de nos valeurs québécoises et fondamentales, comme l’égalité entre les hommes et les femmes. « Stéphanie Vallée avait refusé d’admettre son erreur, préférant se cacher derrière son droit de réserve. Fini les tergiversions. Le gouvernement libéral doit s’imposer. Peu importe la religion, les valeurs québécoises doivent être respectées. La ministre doit envoyer un signal clair : des mariages religieux sans aucun effet civil n’ont pas lieu d’être au Québec », a souligné le caquiste.

Refus du PQ de rembourser les dons illégaux : La CAQ somme le PQ de placer l’argent en fiducie


 Publié le 14 décembre 2016
 

Puisque le Parti québécois (PQ) s’obstine à ne pas rembourser rubis sur l’ongle les 194 950 $ de dons illégaux et accepte même de traîner devant les tribunaux le Directeur général des élections (DGEQ), la Coalition Avenir Québec exige au chef péquiste Jean-François Lisée de mettre en fiducie l’argent sale réclamé, le temps que le litige trouve son dénouement.

Le porte-parole de la CAQ en matière de réforme des institutions démocratiques, Benoit Charette, a vivement dénoncé l’entêtement du PQ, qui ose remettre en question les preuves présentées par le DGEQ face aux contributions non conformes amassées par la formation au cours des dernières années. Cet argent sale, qui a servi notamment à payer des élections partielles et qui dort toujours dans les coffres du PQ, doit être remboursé dans les plus brefs délais, a insisté Benoit Charette.

« Le PQ force le DGEQ à le traîner en cour en refusant de rembourser leurs dons illégaux. Après tout ce que les Québécois ont vu et entendu en matière de corruption, quand le DGEQ te demande de montrer patte blanche, le premier réflexe doit être de collaborer, non pas de résister. Le PQ doit rembourser l’argent sale ou du moins mettre les sommes en fiducie le temps que l’affaire se règle. Une chose est certaine : M. Lisée doit cesser de se défiler et faire face à la musique, comme les autres partis », a déclaré Benoit Charette.

Le député de Deux-Montagnes a poursuivi en indiquant que comme le PQ prétend ne pas avoir les fonds pour rembourser l’argent sale, il devra rendre des comptes sur toutes ses dépenses. Selon lui, il est inacceptable que le PQ, qui reçoit une subvention publique, ait mené des élections partielles avec de l’argent sale, continue de dépenser pour des campagnes de mauvais goût comme « L’Autre 150e », qui vise à ridiculiser le 150e anniversaire de la Confédération canadienne, et procède à l’embauche de conseillers spéciaux à même les fonds du PQ, comme c’est le cas de Paul Saint-Pierre Plamondon. « C’est une question de principe. Le PQ, tout comme la CAQ et le PLQ, a une responsabilité face aux Québécois : assurer une démocratie en santé, nettoyée de toute corruption. En refusant de rembourser l’argent sale, M. Lisée envoie un mauvais message à la population et alimente le cynisme. Qu’il cesse de trouver des excuses auprès du DGEQ et qu’il passe à la caisse, une bonne fois pour toutes », a conclu Benoit Charette.

Jean-François Roberge dit NON au projet de loi 106 sur les hydrocarbures et la fracturation


 Publié le 14 décembre 2016
 

Le député de Chambly Jean-François Roberge s’est fortement opposé, vendredi 9 décembre, à l’adoption sous bâillon du projet de loi 106 portant sur les hydrocarbures par le gouvernement libéral. En plus de voter contre, celui-ci a pris la parole à l’Assemblée nationale pour dénoncer un projet de loi qu’il qualifie d’« insidieux».

Un projet de loi qui ne répond pas aux préoccupations environnementales des citoyens

Le député s’est dit particulièrement interpellé par le projet de loi, puisque plusieurs permis d’exploration et d’exploitation déjà délivrés en 2010 se situent sur le territoire de la Ville de Chambly et dans la Vallée-du-Richelieu. «C’est un enjeu très sensible dans notre région, puisque plusieurs permis déjà délivrés se situent sur notre territoire. Or, il était évident à la lecture du projet de loi qu’il m’était impossible de voter pour son adoption».

Jean-François Roberge se dit préoccupé par le fait le projet de loi 106 semble mettre la table à la reprise de l’exploration et à l’exploitation des gaz de schiste à la grandeur du Québec et ce, malgré l’absence de consensus social à ce sujet. «La question du gaz de schiste soulève plusieurs inquiétudes environnementales, questions auxquelles le projet de loi 106 ne répond tout simplement pas, déplore le député. On nous dit que les vraies mesures d’encadrement viendraient dans d’éventuels règlements. Il faudrait donner carte blanche au gouvernement et  espérer ensuite qu’il protège  nos nappes phréatiques et nos cours d’eau. C’est impensable!».

Jean-François Roberge se dit également inquiet par l’étendue des pouvoirs accordés aux entreprises pétrolières par le projet de loi. En vertu du projet de loi tel que présenté par le gouvernement, les entreprises pétrolières et gazières pourraient notamment bénéficier d’un droit d’expropriation pour exploiter un gisement sur le terrain d’un propriétaire qui refuserait un tel projet. «Ce projet de loi ouvre la porte à l’expropriation des gens pour l’exploitation pétrolière […]. Il faut arrêter ça, il n’est pas question que des Québécois  se fassent exproprier de leurs terres au nom de l’exploitation des hydrocarbures», s’est exclamé le député Roberge au Salon Bleu.

Finalement, le député de Chambly regrette qu’avec ce projet de loi, le gouvernement ajoute de la bureaucratie inutile avec une nouvelle structure lourde, et qu’il hausse les tarifs d’Hydro-Québec. La CAQ avait d’ailleurs demandé au ministre de scinder en deux le projet de loi, afin de faire adopter rapidement la portion portant sur la transition énergétique, plus consensuelle, et permettre une étude plus détaillée de la portion portant sur les hydrocarbures, demande rejetée par le gouvernement.