Plan de mise en œuvre 2022-2027 du Plan pour une économie verte 2030


 Publié le 29 avril 2022
 

Le gouvernement du Québec a dévoilé ce jeudi le plan de mise en œuvre 2022-2027 (PMO 2022-2027) du Plan pour une économie verte 2030 (PEV 2030). Comme il l’avait annoncé dans le budget 2022-2023, les investissements dans le PMO 2022-2027 sont bonifiés d’un milliard de dollars (G$), pour un budget total record de 7,6 G$ consacré à la lutte contre les changements climatiques. Avec les actions bonifiées du PMO 2022-2027, le Québec a désormais défini et financé 51 % des gestes à poser pour atteindre la cible de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) à l’horizon 2030. Il s’agit d’une augmentation de 9 % par rapport à la proportion de 42 % présentée lors de la publication du PEV 2030 à la fin de 2020, un rythme qui place résolument le Québec sur la voie d’atteindre sa cible.

Avec cette nouvelle mouture du plan de mise en œuvre, plusieurs grands axes du PEV 2030 voient leur financement bonifié pour :

  • Favoriser l’électrification et l’efficacité dans les transports (3,48 G$) (communiqué no 2);
  • Accélérer la décarbonisation du secteur industriel (1,34 G$) (communiqué no 3);
  • Réduire l’empreinte carbone de nos bâtiments (757,9 M$) (communiqué no 3);
  • Augmenter nos investissements en matière d’adaptation aux changements climatiques (437 M$);
  • Accroître notre accompagnement des municipalités, des entreprises et des communautés (113 M$).

Le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Benoit Charette, en a fait l’annonce à Québec. Il se trouvait en compagnie du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, M. Jonatan Julien, ainsi que du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel.

Grâce à la nouvelle gouvernance climatique mise en place en 2020, qui a introduit une mise à jour annuelle systématique du plan de mise en œuvre du PEV 2030, le gouvernement s’est donné la flexibilité nécessaire pour bonifier ses actions très rapidement, selon l’évolution des connaissances scientifiques et technologiques et celle du contexte socioéconomique du Québec. Ainsi, dans cette première mise à jour annuelle, plusieurs nouvelles mesures sont introduites, et le financement d’actions et programmes existants, parmi les plus performants, est augmenté.

Outre les sommes réservées aux secteurs des transports, de l’industrie et des bâtiments, qui sont ensemble responsables de 82,7 % des émissions de GES du Québec, le gouvernement augmente considérablement ses investissements en matière d’adaptation aux changements climatiques, en y consacrant, au total, 437 M$. Des investissements supplémentaires de 29,5 M$, pour atteindre un total de 113,6 M$ sur cinq ans, viendront soutenir les communautés québécoises dans l’implantation de mesures d’adaptation, telles que le verdissement, afin de réduire les risques liés à la chaleur et aux précipitations. Tous les détails sur les nouveaux programmes associés à ces nouvelles sommes seront communiqués dans les prochaines semaines.

De plus, le PMO 2022-2027 octroie des sommes de 46 M$ et de 70 M$ respectivement à deux secteurs qui présentent de bons potentiels de réduction d’émissions, soit celui de l’agriculture et celui des matières résiduelles.

Quelque 520 M$ seront consacrés pour soutenir l’innovation et le développement de filières stratégiques, comme celles des véhicules électriques ou de l’hydrogène vert et des bioénergies. Grâce à ces sommes, des actions soutenant la formation de la main-d’œuvre seront aussi bonifiées pour favoriser le développement de l’expertise dans des créneaux stratégiques.

Notons qu’aux résultats du PEV 2030 se combineront ceux d’autres politiques gouvernementales actuelles, notamment dans les secteurs des transports, des bâtiments et de l’industrie, ainsi que les effets des actions menées par le gouvernement fédéral, les municipalités et le secteur privé.

Citations : 

 « Avec le plan de mise en œuvre 2021-2026, le gouvernement doublait déjà l’effort financier consacré à la lutte contre les changements climatiques par rapport au plan précédent. Avec ce deuxième plan, nous augmentons encore la cadence. En intensifiant nos investissements dans les secteurs des transports, de l’industrie, des bâtiments et de l’adaptation, et en soutenant les efforts du milieu municipal, des communautés autochtones, du secteur de la recherche, des entreprises et de la population, nous démontrons notre volonté de continuer à bonifier l’action climatique du Québec. Toutefois, la transition climatique ne pourra être pleinement réalisée sans la participation de l’ensemble de la société. J’en appelle donc à la mobilisation de tous pour transformer ces investissements records en un succès collectif! »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« L’hydroélectricité et les autres énergies renouvelables sont à la fois la force et l’avenir du Québec. Électrifier nos transports, nos bâtiments et nos industries constitue déjà une priorité du PEV 2030. Grâce au plan de mise en œuvre 2022-2027, la transition énergétique deviendra une assise solide de notre réponse à l’urgence climatique. Nous devons réussir ensemble cette transition au Québec, de manière à ce qu’aucun retour en arrière ne soit possible. Je m’y engage personnellement! »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

« Avec son potentiel énorme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’électrification des transports demeure au premier plan de nos stratégies pour relancer l’économie québécoise. Dans les prochaines années, nous allons poursuivre nos efforts pour favoriser la transition vers les véhicules électriques, tant les automobiles, les autobus que les camions. Le Québec est déjà à l’avant-garde des États les plus verts au monde dans ce domaine, et nous continuerons de travailler pour qu’il se démarque dans cette position de leader de l’électrification des transports. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie

Faits saillants :

  • Lancé en novembre 2020, le PEV 2030 vise à réduire de 37,5 % d’ici 2030 les émissions de GES du Québec par rapport à l’année de référence 1990. Une réduction de 31,0 mégatonnes serait donc requise en 2030. Le gouvernement entend également poursuivre ses efforts à plus long terme afin d’atteindre la carboneutralité à l’horizon 2050.
  • Le PEV 2030 s’appuie sur le système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE), qui fixe un prix au carbone et qui couvre près de 80 % des émissions de GES du Québec. Les revenus du SPEDE sont versés au Fonds d’électrification et de changements climatiques et sont pleinement réinvestis dans les mesures du plan de mise en œuvre du PEV 2030. D’autres sources de financement sont également mobilisées, notamment des contributions du gouvernement fédéral et des sources de financement mixtes.

Liens connexes : 

«le Québec en tant que leader dans un domaine d’avenir»


 Publié le 29 avril 2022
 

Le gouvernement du Québec est heureux de souligner l’implantation d’une usine de fabrication de vaccins à ARN messager de Moderna dans la région métropolitaine. Cette usine deviendra le premier site de production de l’entreprise au Canada, et fera du Québec l’un des rares centres d’expertise mondiaux dans ce créneau d’avenir.

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, était accompagné du ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional, M. Pierre Fitzgibbon, et du ministre de la Santé et des Services sociaux, M. Christian Dubé, lors de cette annonce.

Grâce à sa technologie de pointe, Moderna fabriquera au Québec non seulement des vaccins visant à lutter contre la COVID-19, mais aussi une gamme de vaccins à ARN messager qui pourraient combattre différents virus respiratoires, tels que l’influenza saisonnière et le virus respiratoire syncytial, lorsqu’ils seront approuvés des autorités réglementaires.

L’arrivée de Moderna permettra de mieux préparer le Québec à d’éventuelles pandémies en renforçant ses chaînes d’approvisionnement locales et en accroissant son autonomie en matière de production de vaccins.

Par ailleurs, l’implantation de ce pôle d’expertise favorisera l’établissement de nouvelles collaborations au sein du milieu québécois de la recherche. Le projet attirera aussi des investissements connexes à la technologie de l’ARN messager, ce qui propulsera l’industrie québécoise des sciences de la vie vers de plus hauts sommets.

« L’arrivée de Moderna est hautement stratégique pour le Québec. D’abord, elle va amener des retombées intéressantes à court terme avec des emplois de grande qualité dans un domaine de pointe. Ensuite, elle va sérieusement renforcer l’écosystème québécois des sciences de la vie. On a de grands atouts à promouvoir dans ce secteur, comme nos universités et nos chercheurs de calibre mondial, mais aussi nos entreprises innovantes, qui sont dotées d’une expertise grandissante. On parle d’un secteur regroupant déjà plus de 700 entreprises et plus de 36 000 emplois de qualité, sans compter les centres de recherche. Avec Moderna, on ajoute un acteur majeur qui va aider à structurer notre grappe et l’on fait valoir le Québec en tant que leader dans un domaine d’avenir. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Après plusieurs mois d’efforts, nous avons réussi à convaincre Moderna de s’implanter au Québec. Nous en sommes très fiers. Cet investissement permettra de développer chez nous un pôle nord-américain d’expertise dans une technologie d’avenir : l’ARN messager. C’est en misant sur des projets structurants comme celui de Moderna qu’on va accélérer la croissance économique de nos secteurs de pointe et de l’ensemble du Québec. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

« La pandémie nous a démontré à quel point notre autonomie en matière d’approvisionnement était essentielle, tout comme le fait de pouvoir miser sur notre écosystème local. Pour y arriver, il faut innover et améliorer nos capacités manufacturières. Le choix de Moderna d’établir son usine au Québec en est un exemple concret. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

« Investissement Québec salue la décision de l’entreprise Moderna de choisir le Québec pour y établir une usine de fabrication de vaccins. Un autre grand acteur international se tourne vers l’expertise et le talent d’ici. Ce faisant, nous contribuons aussi à soutenir les sciences de la vie, un secteur phare de notre économie qui se distingue par sa capacité d’innovation. »

Guy LeBlanc, président-directeur général d’Investissement Québec

Faits saillants :

  • Fondée en 2010, Moderna est une entreprise américaine spécialisée dans le domaine de la biofabrication. Elle développe des vaccins et des thérapies à base d’ARN messager, qui permettent de lutter contre la COVID-19 et qui pourraient éventuellement combattre plusieurs autres maladies infectieuses, telles que la grippe, le VIH, le Zika, le syndrome respiratoire syncytial et le virus d’Epstein-Barr (mononucléose).
  • Moderna est actuellement le deuxième producteur mondial de vaccins à base d’ARN messager visant à lutter contre le SRAS-CoV-2, lequel est à l’origine de la pandémie de COVID-19.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Shirley Dorismond assermentée à l’Assemblée Nationale


 Publié le 27 avril 2022
 

Hier, la nouvelle députée de la circonscription de Marie-Victorin a été assermentée et a fait son entrée à l’Assemblée nationale.

Femme d’action et très active sur le terrain, madame Dorismond s’est vu confier un mandat spécial de soutenir le ministre de la Santé à améliorer entre autres, les conditions de travail des infirmières, d’aller sur le terrain, chercher les commentaires, les suggestions et les recommandations des acteurs du secteur de la santé.

« La nouvelle députée de Marie-Victorin, Shirley Dorismond, a officiellement été assermentée à l’Assemblée nationale aujourd’hui! Quelle fierté de voir une nouvelle élue rejoindre nos rangs. Shirley, c’est une infirmière d’expérience et une femme d’action qui veut changer les choses en santé avec Christian Dubé.

Bienvenue Shirley! »

–        François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

 « Aujourd’hui, j’ai découvert l’Assemblée nationale. Mon nouveau chez-moi, où j’aurai l’honneur de vous représenter. »

–        Shirley Dorismond

 Députée de la Coalition Avenir Québec dans Marie-Victorin

Amélie Dionne candidate dans Rivière-du-Loup–Témiscouata


 Publié le 21 avril 2022
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec, François Legault, est heureux d’annoncer qu’Amélie Dionne sera la candidate de sa formation politique dans la circonscription de Rivière-du-Loup–Témiscouata, en vue des élections générales à venir. 

Originaire de Rivière-du-Loup, Amélie Dionne est très impliquée dans sa communauté et possède une fine connaissance des enjeux régionaux. Détentrice d’un baccalauréat de l’Université Laval en communication, elle a contribué au succès de nombreuses initiatives locales et entrepreneuriales de sa région.

Pour la candidate, la défense des intérêts des familles de la classe moyenne et des gens plus vulnérables passe par l’engagement politique. C’est d’ailleurs ce qui l’a motivée à s’impliquer en politique municipale dans le passé, comme conseillère municipale et comme candidate à la mairie de Rivière-du-Loup. Elle a mis cet engagement au service du député sortant, à titre de conseillère politique en 2018, avant de travailler auprès de différents ministres en tant que conseillère en communications. Durant de nombreuses années, elle a géré sa propre entreprise dans le secteur de l’événementiel et des communications, ce qui lui a permis de développer un important réseau d’affaires. Récipiendaire de nombreux prix, comme le prix Entreprise de service de l’année de la Chambre de commerce de Rivière-du-Loup et le prix Service aux entreprises au concours en Entrepreneuriat québécois, madame Dionne possède une grande expérience et est reconnue par ses pairs.

Sensible aux besoins de la population, elle a été bénévole auprès de plusieurs organismes communautaires, en plus de siéger à de nombreux conseils d’administration. Mère de famille et très impliquée auprès des gens de sa communauté, elle est animée par le désir de développer le potentiel économique de la région et est déterminée à mettre en valeur les atouts uniques de la circonscription de Rivière-du-Loup–Témiscouata. En se portant candidate, Amélie Dionne fait le choix de mettre toutes ses expériences acquises lors de ses dernières années au service de sa communauté.

«Amélie et moi, on partage la vision d’un gouvernement proche des régions, proche des gens des régions. Amélie, c’est une rassembleuse. C’est une femme d’action. Je ne pourrais pas imaginer une meilleure personne pour représenter la circonscription de Rivière-du-Loup-Témiscouata.»

–        François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

 « J’habite dans Rivièredu-Loup–Témiscouata depuis toujours et le lien qui m’unit à cette circonscription est très fort. J’ai la ferme intention de travailler de concert avec les citoyens et les différents partenaires afin de leur offrir la meilleure qualité de vie possible et de permettre à notre formidable région de se déployer à son plein potentiel. »

–        Amélie Dionne

                    Candidate de la Coalition Avenir Québec dans Rivière-du-Loup–Témiscouata

Maïté Blanchette-Vézina candidate dans Rimouski


 Publié le 21 avril 2022
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec, François Legault, est fier d’annoncer que madame Maïté Blanchette-Vézina sera la candidate de sa formation politique dans la circonscription de Rimouski, en vue des élections générales à venir. 

Détentrice d’un baccalauréat en droit et d’un certificat en communications publiques de l’Université Laval, Maïté Blanchette-Vézina a fait le choix de s’établir à Rimouski il y a près de 10 ans. Elle a développé des liens forts avec les citoyens, les groupes communautaires et les gens d’affaires de la région.

Animée par la volonté de s’engager politiquement, elle devient mairesse de Sainte-Luce en 2017. Sa sensibilité à l’égard des plus vulnérables et son désir de mettre de l’avant le développement social l’amènent à accepter, 4 ans plus tard, le poste de directrice régionale chez Centraide Bas-Saint-Laurent. Très ancrée dans la communauté, elle s’implique auprès de nombreux organismes de Rimouski, et ce, dans le but d’aider les citoyens, d’encourager la culture et de faire grandir la fierté de sa région. 

Madame Blanchette-Vézina est très impliquée pour faire plus de place aux jeunes et aux femmes en politique. L’arrimage entre le développement social de sa communauté et le développement économique est au cœur de son engagement. Elle a par ailleurs les enjeux du transport et environnementaux à cœur. 

Reconnue pour son sens inné de la politique, ses qualités de gestionnaire et sa grande intelligence émotionnelle, Maïté Blanchette-Vézina aspire à travailler conjointement avec les citoyennes et citoyens de Rimouski afin d’améliorer la qualité de vie de chacun et de propulser le développement de la circonscription.

CITATIONS :

« Maïté, c’est une voix forte pour nos régions. C’est une fière Québécoise. Et c’est une femme qui a un grand leadership, c’est une rassembleuse. Je ne pourrais pas imaginer une meilleure personne pour représenter la circonscription de Rimouski. On a besoin de plus de femmes comme elle à Québec. On a besoin de Maïté comme députée de Rimouski. Maïté va faire entendre la voix de votre région au gouvernement. »

–        François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

 « J’ai un grand attachement à la circonscription de Rimouski. J’ai choisi d’y travailler et d’y vivre parce que je l’aime. Je sais que les défis de notre région sont nombreux, mais je sais aussi que son potentiel de développement est immense… Je crois sincèrement à l’atteinte d’une meilleure qualité de vie dans Rimouski et je m’y investirai sans relâche.»

–        Maïté Blanchette-Vézina

                        Candidate de la Coalition Avenir Québec dans Rimouski

1,35 M $ par année à l’UQAR


 Publié le 20 avril 2022
 

 Afin d’offrir une meilleure accessibilité à la formation universitaire en région et pour combler les besoins de main-d’œuvre prioritaires, le premier ministre du Québec, M. François Legault, accompagné du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine, M. Jonatan Julien, a annoncé aujourd’hui une aide financière totale de 1,35 million de dollars par année à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) pour développer une antenne universitaire dans la région de la Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine.

L’antenne permettra à l’UQAR d’offrir des cours universitaires dans les trois campus du Cégep de la Gaspésie et des Îles, soit à Gaspé, à Carleton-sur-Mer et aux Îles-de-la-Madeleine. Ainsi, les étudiantes et étudiants désirant poursuivre une formation universitaire en sciences de la gestion, en sciences infirmières, en travail social et en éducation, soit les quatre domaines de formation ciblés pour le moment et dont trois s’inscrivent dans les domaines prioritaires définis dans l’Opération main-d’œuvre, pourront le faire dans leur région. Il est aussi prévu que l’UQAR développe une offre de formation destinée aux entreprises, en plus d’intensifier ses activités de recherche en Gaspésie.

« Nous allons investir 1,35 million de dollars par année pour que l’UQAR offre des programmes en continu en Gaspésie et aux Îles, avec des professeurs sur place. Cela permettra de mieux structurer les programmes et d’assurer une stabilité dans le démarrage de nouvelles cohortes. Ainsi, un jeune pourra s’inscrire au programme de son choix sans craindre qu’il ne soit pas offert parce qu’il n’y a pas assez d’inscriptions. Les cours vont se faire en personne dans les installations du Cégep, ici aux Îles, à Gaspé, à Carleton-sur-Mer et à Grande-Rivière. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Depuis des générations, les Madelinots et les Gaspésiens qui veulent poursuivre des études supérieures doivent s’expatrier. La création de l’antenne universitaire donne aux gens de la région la possibilité de compléter leur parcours de formation chez eux et de se trouver un emploi localement. En plus des grandes avancées qu’a connues le bilan migratoire ces dernières années, cette solution aidera à renverser la tendance une bonne fois pour toutes. C’est une excellente nouvelle pour la région et pour les bâtisseurs qui continueront de la faire croître. »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

« L’annonce d’aujourd’hui offre une solution alternative supplémentaire de taille aux membres de la communauté étudiante gaspésienne et madelinienne qui songent à poursuivre leurs études universitaires, soit la possibilité de le faire dans leur magnifique région. Je suis très fière que le Québec puisse compter sur des partenaires comme l’UQAR et le Pôle régional de l’Est-du-Québec en enseignement supérieur. L’accessibilité à l’enseignement supérieur en région est un facteur de développement incontournable pour le Québec et nous devons tous contribuer à la favoriser. »

Danielle McCann, ministre de l’Enseignement supérieur

« Depuis sa création, l’UQAR a pour mission d’offrir de la formation universitaire accessible au plus grand nombre de personnes dans l’Est-du-Québec. Une telle offre à proximité contribue à attirer de nouvelles personnes, à en retenir qui auraient dû quitter la région pour étudier et, ultimement, à favoriser la présence d’un plus grand nombre de personnes détenant un diplôme universitaire. La création de cette antenne, en étroite collaboration avec le Cégep de la Gaspésie et des Îles, se traduira par une présence universitaire réelle et permanente qui contribuera à améliorer l’offre, tant en matière de formation et de recherche que de services à la collectivité. Je tiens par ailleurs à remercier tous nos partenaires, sans lesquels ce projet n’aurait pu devenir réalité. »

François Deschênes, recteur de l’Université du Québec à Rimouski 

Faits saillants :

  • Le gouvernement du Québec accorde 1,35 million de dollars par année à l’UQAR pour qu’elle puisse s’établir de façon permanente dans la région de la Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine.
  • Quatre domaines d’études universitaires sont ciblés :
    • Sciences de la gestion;
    • Sciences infirmières;
    • Travail social;
    • Éducation (éducation préscolaire et enseignement primaire).
  • Rappelons qu’au printemps 2021, le gouvernement du Québec a accordé une aide financière de 750 000 $ à l’UQAR afin de développer une antenne universitaire à Baie-Comeau.

Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de l’Enseignement supérieur, suivez-le sur les médias sociaux :

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Transport aérien régional : des vols à 500 $ et moins


 Publié le 19 avril 2022
 
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Le gouvernement du Québec est fier de dévoiler son nouveau plan québécois de transport aérien régional qui permettra notamment à la population de se procurer, dès cet été, des billets d’avion à un maximum de 500 $ l’aller-retour à destination de plusieurs régions du Québec. Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, a confirmé aujourd’hui un investissement de 261 M$ pour les cinq prochaines années.

Pour cette importante annonce, il était accompagné de la ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent, Mme Caroline Proulx, du maire de la municipalité de Sainte-Catherine-de-Hatley et président de la Fédération québécoise des municipalités, M. Jacques Demers, et du maire de Rimouski et représentant de la région du Bas-Saint-Laurent au sein de l’Union des municipalités du Québec, M. Guy Caron.

Un plan en deux volets

Le gouvernement du Québec procédera d’abord au renouvellement des programmes d’aide d’urgence existants. En effet, ceux-ci seront prolongés jusqu’au 31 mars 2023 afin de soutenir les transporteurs aériens régionaux et les administrations aéroportuaires.

Pour la deuxième phase, qui vise à offrir à la population de meilleurs tarifs pour des vols à l’intérieur du Québec, le gouvernement versera une compensation financière aux transporteurs admissibles. Ces derniers rendront disponibles des billets à un tarif maximal de 500 $ l’aller-retour. Le programme sera en vigueur dès cet été.

De plus, les résidentes et résidents des régions éloignées et isolées qui sont déjà admissibles à l’actuel Programme de réduction des tarifs aériens (PRTA) bénéficieront d’ajustements. Ainsi, l’aide maximale annuelle par personne sera abolie, ce qui aura pour effet de ne plus limiter leurs déplacements. Finalement, un soutien financier gouvernemental sera proposé afin d’assurer une fréquence minimale des vols vers les régions isolées. Une entente pourra être conclue avec certains transporteurs de manière à offrir une desserte adéquate aux destinations desservies par un seul transporteur ou dont le niveau de service est jugé insuffisant.

« Notre gouvernement croit que l’accès aux régions du Québec est essentiel pour leur vitalité économique. Le transport aérien en région est un enjeu complexe sur lequel les gouvernements précédents n’ont jamais voulu se pencher. Pour nous, c’était un incontournable pour qu’enfin, les Québécoises et Québécois aient accès à des vols abordables. Je suis fier de dire que nous y sommes parvenus. Grâce au soutien que nous annonçons aujourd’hui, nous démontrons de nouveau notre engagement pour une industrie aérienne dynamique et des régions fières. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie

« Nous avons le privilège de vivre au Québec, une destination touristique incroyable, qui devient d’autant plus attirante avec ce tout nouveau plan québécois de transport aérien régional. Grâce à celui-ci, nous ouvrons encore plus grande la porte à l’ensemble des régions du Québec et à leurs attraits. Comme jamais auparavant, les Québécoises et Québécois ont redécouvert leur Québec, et avec l’offre de billets à 500 $ que nous annonçons aujourd’hui, ils pourront profiter encore plus de l’incroyable diversité et de la richesse des expériences touristiques offertes ici, chez nous. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent

Faits saillants

  • Lors de la première année, une somme de 61 M$ sera consacrée au déploiement complet du plan.
  • La population du Nunavik dispose de ses propres mesures visant à rendre plus abordable le transport aérien : le programme IIaujuq et le Programme de réduction des tarifs aériens de l’Administration régionale Kativik (ARK). Elle pourra également bénéficier des mesures du Plan québécois de transport aérien régional qui concernent la réduction du coût des billets d’avion si elle voyage sur les liaisons visées.

Merci M. Tardif


 Publié le 15 avril 2022
 

Le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata à l’Assemblée nationale, Denis Tardif, annonce aujourd’hui qu’il ne sollicitera pas un second mandat l’automne prochain. « En 2018, je suis allé cogner à chacune des 7 000 portes de notre belle circonscription. Je voulais être à l’écoute de notre monde. Ce fut ma base pour mener à bien mon mandat à l’Assemblée nationale. Je suis fier du chemin parcouru ».  

Les enjeux du comté, il les connaissait par cœur. Il avait un objectif très clair : répondre aux aspirations de la population : « Pensons à l’importance de compléter les travaux de l’autoroute Claude-Béchard. C’est maintenant chose faite à l’avantage de la sécurité des utilisateurs ». Avec ses collègues ministres, il a pris les moyens pour améliorer la qualité de vie de chacun dans ce qu’il qualifie de la plus belle région du Québec : la construction de la plus grande maison des aînés au Bas-Saint-Laurent, la construction d’une résidence pour aînés à L’Isle-Verte, une toute nouvelle école à Rivière-du-Loup, le financement des deux traversiers privés : l’Héritage à Trois-Pistoles et le Corégone à Témiscouata-sur-le-Lac.

En santé, le député a obtenu l’ajout de chaises en hémodialyse au GHRGP. Parmi l’amélioration   d’infrastructures sportives et de loisirs, il y a la rénovation de la piscine régionale des Basques, le camping de la plage à Pohénégamook et l’ajout du financement pour la réalisation des Jeux du Québec au profit du comité de Rivière-du-Loup. « Ce fut un mandat rempli de vraies belles annonces dans toutes les municipalités. Mon équipe et moi avons été à l’œuvre en permanence pour bien représenter la circonscription et livrer la marchandise.  C’est ce que nous avons fait en annonçant 241 nouvelles places en CPE. Il s’agit d’un grand pas dans la bonne direction pour améliorer notre milieu de vie ».

Le député Denis Tardif aurait souhaité poursuivre sur cette lancée, mais son état de santé est venu mettre un frein à cet élan. « Malheureusement, ma condition ne me permet pas de repartir pour un autre 4 ans. C’est une situation qui me joue des tours depuis plusieurs années. J’ai tout donné et maintenant, je dois prendre du recul pour récupérer. En conséquence, je préfère ne pas solliciter un nouveau mandat. Ce fut un grand privilège de porter votre voix à l’Assemblée nationale et je vous remercie encore pour votre collaboration au cours des dernières années ».

À l’annonce de son départ, monsieur Tardif tient à remercier l’ensemble de la population. « Merci aux citoyennes et aux citoyens des MRC de Rivière-du-Loup, du Témiscouata et des Basques. Je souligne la présence constante et le soutien des gens d’affaires tout au long de mon mandat. Je félicite aussi les organismes communautaires et les nombreux bénévoles qui donnent de leur temps. Ce sont les forces vives de nos communautés ».

Le député remercie chaleureusement son équipe qui est constamment à l’écoute des citoyens, des organismes et des municipalités de la circonscription depuis le tout début.

Le premier ministre du Québec, François Legault, tient à saluer le travail et l’engagement de Denis Tardif. « Je le remercie d’avoir été à nos côtés pour la campagne de 2018. Nous avions besoin d’un homme d’expérience comme lui pour amorcer le changement dont le Québec avait besoin. Il a été un député dévoué à faire avancer les dossiers de sa circonscription. Merci pour tout Denis! »

Une nouvelle certification pour les produits québécois


 Publié le 14 avril 2022
 

Les consommateurs québécois pourront dorénavant identifier les produits fabriqués et conçus au Québec grâce aux nouvelles marques de certification Produits du Québec, dévoilées par le gouvernement. Celles-ci seront apposées selon trois catégories : Produit du Québec, Fabriqué au Québec et Conçu au Québec.

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, en a fait l’annonce aujourd’hui en compagnie de la ministre déléguée à l’Économie, Mme Lucie Lecours, et du député de Mégantic et adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation (volet affaires municipales), M. François Jacques.

Ces nouvelles marques de certification s’inscrivent dans la vision économique du gouvernement en faveur de l’achat québécois. Grâce à des visuels simples à reconnaître, la population pourra facilement identifier les produits faits ici. Cette initiative répond ainsi à la volonté des consommateurs, qui sont de plus en plus nombreux à vouloir s’approvisionner en produits locaux.

L’organisme sans but lucratif Les Produits du Québec a mis en place un processus rigoureux d’identification des différents produits que proposeront les entreprises québécoises.

Pour la première étape, un appel est lancé aux entreprises qui souhaitent apposer l’une ou l’autre de ces marques distinctives sur leurs produits. Le cas échéant, elles doivent remplir et soumettre un formulaire d’intérêt sur le site Les Produits du Québec – Encourager notre économie et reconnaître le savoir-faire québécois . Les consommateurs retrouveront les nouveaux logos sur leurs produits favoris d’ici l’automne prochain.

« On va maintenant avoir des logos avec la fleur de lys facilement identifiables. Ça va permettre aux Québécois de trouver en un coup d’œil les produits locaux sur les tablettes et favoriser l’achat auprès de nos entreprises. Quand on les encourage, on crée de la richesse pour nos entrepreneurs et nos travailleurs et, en même temps, on rend tous les citoyens fiers. C’est ce qu’on vise : plus de prospérité et de fierté pour notre nation. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Les Québécois veulent acheter des produits fabriqués et conçus ici, mais ils doivent d’abord pouvoir les identifier. Avec la nouvelle famille de marques de certification, on leur donne finalement un outil pour le faire. J’invite les entreprises à arborer fièrement ces nouveaux logos pour qu’on puisse tous privilégier l’achat local. »

Lucie Lecours, ministre déléguée à l’Économie

« En Estrie comme partout au Québec, de nombreuses PME mettent en valeur notre savoir-faire et nos produits. Avec ces nouvelles marques de certification, nous offrons un point de repère de confiance aux consommateurs pour qu’ils puissent encourager davantage les entreprises qui participent à l’autonomie du Québec et au rayonnement de l’entrepreneuriat dans nos régions. »

François Jacques, député de Mégantic et adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation (volet affaires municipales)

« L’achat québécois peut faire toute la différence pour nos commerçants. On doit donc être en mesure de reconnaître les produits locaux afin d’en prioriser l’achat. Quand on achète des produits d’ici, c’est tout le Québec qui y gagne. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

Faits saillants :

  • Un produit du Québec est un produit manufacturé dont au moins 85 % des coûts directs liés à l’achat d’intrants, y compris les matières premières, à leur transformation et à leur assemblage sont réalisés au Québec. La dernière transformation substantielle doit également être effectuée au Québec.
  • Un produit fabriqué au Québec est un produit manufacturé dont la dernière transformation substantielle est effectuée au Québec. La transformation substantielle représente un changement fondamental de fonction, de caractère ou de nature, réalisé habituellement par un processus de traitement ou de fabrication, et qui confère au produit ses caractéristiques essentielles.
  • Un produit conçu au Québec est un produit manufacturé dont la main-d’œuvre affectée aux activités de design et de conception est entièrement localisée au Québec.
  • La famille de marques de certification Produits du Québec ne s’appliquera pas aux boissons et aux produits alimentaires destinés à la consommation humaine, pour lesquels les logos Aliments du Québec et Aliments préparés au Québec, ainsi que leurs déclinaisons, demeureront la référence. Il en va de même pour les logos Origine Québec, Préparé au Québec et Embouteillé au Québec, qui demeureront la référence pour les produits de la Société des alcools du Québec.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Des milieux familiaux sous un même toit


 Publié le 14 avril 2022
 

Dans la foulée des objectifs fixés par le Grand chantier pour les familles, et toujours dans le but de compléter le réseau des services de garde éducatifs à l’enfance (SGEE) le plus rapidement possible, le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, lance aujourd’hui des projets-pilotes spécialement conçus pour la garde en milieu familial. Ce type de projet ouvre la porte aux personnes responsables de services de garde en milieu familial (RSG) qui pourront explorer de nouvelles formules de garde, complémentaires à celles actuellement offertes dans le réseau des SGEE. Par cette initiative innovante, le gouvernement montre qu’il met tout en œuvre pour répondre promptement aux besoins des familles du Québec, en leur offrant des milieux de garde flexibles, de qualité et adaptés à leur réalité.

Tout en conservant les principaux avantages de la garde en milieu familial, soit un environnement convivial, stable, composé d’enfants d’âges différents et qui rappelle à ceux-ci leur propre milieu de vie, tous les bureaux coordonnateurs de la garde en milieu familial (BC) du Québec auront la possibilité de déposer des projets-pilotes qui pourraient prendre différentes formes pour répondre aux besoins des communautés et des familles. Par exemple :

  • Une personne responsable d’un service de garde pourrait offrir ses services à l’intérieur d’un local fourni par un partenaire de la communauté (situé dans un édifice municipal, un milieu de travail, un milieu scolaire, un établissement du réseau de la santé, un organisme communautaire, etc.);
  • Un partenariat pourrait être créé entre deux personnes responsables d’un service de garde qui travailleraient ensemble dans un local qu’elles auraient trouvé ou qui serait fourni par un partenaire de la communauté;
  • Un partenariat pourrait être créé entre quatre personnes responsables d’un service de garde selon des horaires partagés dans un local fourni par la communauté, à raison de deux RSG par période de garde, notamment pour permettre une offre de garde à horaires atypiques.

L’idée de la mise en place de ce type de projets pilotes novateurs découle, entre autres, des consultations sur l’avenir du réseau des SGEE qui ont eu lieu au printemps 2021.

« Lors du lancement du Grand chantier en octobre dernier, notre gouvernement s’est engagé à ce que chaque enfant puisse avoir une place d’ici mars 2025, et ce, le plus rapidement possible. Pour y arriver, nous devons sortir des sentiers battus, notamment en mettant de l’avant une variété d’outils et de mesures pour favoriser la rétention et le recrutement de RSG. Je suis donc très fier de cette annonce parce qu’elle démontre toute la créativité de nos équipes sur le terrain et la volonté du Ministère de mettre en œuvre rapidement des actions concrètes. Ces solutions amélioreront le quotidien de nos tout-petits, de leurs parents ainsi que de leurs éducatrices et de leurs éducateurs. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Famille

« Ce nouveau projet en milieu de garde arrive juste à temps dans notre municipalité pour combler un besoin urgent de 12 nouvelles places en garderie. Il va dans le même sens que notre vision municipale qui est d’attirer de nouvelles familles dans notre communauté, et nous sommes fiers que notre municipalité soit la première au Québec à offrir gratuitement un local dans notre édifice municipal. »

Daniel Caron, maire suppléant de Saint-Michel-du-Squatec, au nom de Bruno Malenfant, maire de la municipalité de Saint-Michel-du-Squatec

« Nous espérions cette avancée depuis plusieurs années au Témiscouata et c’est d’ailleurs pour cette raison que le CPE les Calinours a travaillé en partenariat avec le Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance pour que le ministère de la Famille nous offre enfin cette opportunité. Nous sommes très fiers d’être le premier CPE au Québec à démarrer ce nouveau modèle de service de garde, car il est le fruit d’un travail acharné et d’une importante concertation avec notre milieu municipal. L’annonce d’aujourd’hui nous permet d’espérer que chacun des parents de notre région pourra avoir sa place au travail. »

Denis Blais, directeur général du CPE les Calinours et maire de Témiscouata

« Le Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance est extrêmement fier d’avoir participé activement au développement de ce nouveau type de service de garde qui offrira des places aux familles du Québec, particulièrement dans les plus petites communautés où la construction d’une installation n’est pas possible. Le mandat de notre organisation sera maintenant d’en assurer l’évaluation et le suivi auprès des bureaux coordonnateurs participant au projet-pilote pour garantir sa pérennité. »

Francine Lessard, directrice générale du Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance

Faits saillants :

  • Le ministère de la Famille collaborera avec le Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance à l’évaluation de ces projets-pilotes et à l’accompagnement des BC dans la mise en œuvre de leurs projets.
  • Le Grand chantier pour les familles lancé en octobre dernier vise à faire en sorte que chaque enfant puisse avoir accès à une place dans le réseau des services de garde éducatif à l’enfance, que ce soit en installation ou encore en milieu familial. Il comporte six objectifs, dont celui de consolider la garde en milieu familial. Il s’agit du plan le plus ambitieux depuis la création du réseau, qui prévoit la création de 37 000 places subventionnées nécessaires pour compléter le réseau des SGEE d’ici 2025.

Liens connexes :

Pour connaître les détails de ce type de projet-pilote s’adressant aux bureaux coordonnateurs et aux responsables de services de garde en milieu familial, consultez : https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/services-de-garde/bc/Pages/projets-pilotes.aspx .

Pour obtenir davantage d’informations sur le Grand chantier pour compléter le réseau des services de garde éducatifs à l’enfance et sur le projet de loi modifiant la Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance afin d’améliorer l’accessibilité au réseau des services de garde éducatifs à l’enfance : https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/services-de-garde/developpement-du-reseau/grand-chantier-familles/Pages/index.aspx .

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de la Famille, suivez-le sur les médias sociaux :

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