Les parcs nationaux ouvrent de nouveau gratuitement leurs portes cet hiver


 Publié le 29 novembre 2023
 

Afin d’offrir à tous les Québécois un meilleur accès à la nature, d’encourager la pratique d’activités physiques extérieures et de faire découvrir les joyaux naturels du Québec, le gouvernement du Québec offrira de nouveau à l’ensemble de la population plusieurs journées d’accès gratuit dans les parcs nationaux au cours de la saison hivernale. À la suite du succès de la première édition de l’hiver dernier, alors que plus de 57 000 visites gratuites avaient été offertes, une journée supplémentaire par semaine s’ajoute, faisant ainsi passer l’offre de gratuité de deux à trois journées par semaine, pour un total de 39 journées. La mesure représente un investissement de 800 000 $ par le gouvernement du Québec.

La ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air, Mme Isabelle Charest, la ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, et la présidente-directrice générale par intérim de la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq), Mme Nelly Rodrigue, en ont fait l’annonce aujourd’hui à la Station touristique Duchesnay. Ainsi, les droits d’accès quotidiens des visiteurs des parcs nationaux seront gratuits du 18 décembre 2023 au 13 mars 2024, selon un calendrier prédéfini et disponible en ligne sur le site de la Sépaq, où il sera également possible de réserver son accès.

« Les bienfaits de bouger en nature et de maintenir un mode de vie actif ne sont plus à prouver, d’autant plus qu’au Québec, nous avons la chance de profiter du terrain de jeu exceptionnel que représentent nos parcs nationaux et notre vaste territoire. Je suis donc fière que nous puissions offrir de nouveau cet hiver 39 journées d’accès gratuit dans nos magnifiques parcs nationaux. Je vous invite à remplir vos poumons d’air frais et vos yeux, de paysages grandioses! »

Isabelle Charest, ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air 

« Favoriser l’accès à la nature pour tout le monde, aux tout-petits comme aux plus grands, aux visiteurs du Québec comme de l’international, et ce, en plein hiver dans ces espaces magnifiques, ça fait partie des priorités de notre gouvernement. On souhaite qu’encore plus de visiteurs d’ici et d’ailleurs puissent admirer les beautés de l’hiver québécois et profiter des nombreuses activités qu’il offre. Le tourisme hivernal génère d’importantes retombées économiques au Québec et en ce sens, cette mesure aura des répercussions positives sur nos régions. Je vous invite tous à en profiter pleinement! 

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

« Nous sommes fiers que le rôle joué par les territoires naturels protégés dans l’amélioration de la santé publique soit reconnu et mis en valeur. Comme l’année dernière, l’initiative du gouvernement du Québec incitera certainement plus de gens à venir profiter des bienfaits de la nature, tout en découvrant des paysages à couper le souffle qui leur appartiennent. Nous espérons que les mesures annoncées aujourd’hui donneront envie à plusieurs de prendre rendez-vous avec la nature en semaine pour une journée de ressourcement et de plaisir en plein air. »

Nelly Rodrigue, présidente-directrice générale par intérim de la Sépaq

Faits saillants :

  • Les gratuités sont offertes pour un deuxième hiver consécutif. L’an passé, 24 journées ont été offertes à la population.
  • Les journées d’accès gratuit varient d’une semaine à l’autre de façon qu’elles soient le plus accessibles possible au plus grand nombre en fonction des différentes réalités individuelles.
  • Il en coûte généralement 9,55 $ par jour à un adulte pour accéder à un parc national de la Sépaq et l’entrée est gratuite pour les jeunes de 17 ans et moins.
  • La Sépaq invite les intéressés à réserver leur journée gratuite en ligne jusqu’à 30 jours à l’avance afin qu’ils puissent s’assurer une admission dans leur parc national préféré à la date de leur choix.
  • La mesure gouvernementale offre l’accès gratuit aux parcs nationaux à certains moments, mais pas à l’ensemble des activités tarifées des établissements, ni à la location d’équipement. 

Liens connexes :

Pour consulter le calendrier des journées de gratuité et les modalités d’accès à cette mesure, visitez le site Web de la Sépaq .

Semaine débutant leJournée 1Journée 2Journée 3
18 décembre 202318 décembre 202319 décembre 202320 décembre 2023
25 décembre 202327 décembre 202328 décembre 202329 décembre 2023
1er janvier 20243 janvier 20244 janvier 20245 janvier 2024
8 janvier 20248 janvier 20249 janvier 202410 janvier 2024
15 janvier 202417 janvier 202418 janvier 202419 janvier 2024
22 janvier 202424 janvier 202425 janvier 202426 janvier 2024
29 janvier 202431 janvier 20241er février 20242 février 2024
5 février 20245 février 20246 février 20247 février 2024
12 février 202412 février 202413 février 202414 février 2024
19 février 202421 février 202422 février 202423 février 2024
26 février 202427 février 202428 février 202429 février 2024
4 mars 20245 mars 20246 mars 20247 mars 2024
11 mars 202411 mars 202412 mars 202413 mars 2024
Total des jours13 journées26 journées39 journées

Au Québec, on bouge! 

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Ministère de l’Éducation : 

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Sépaq : 

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166 M$ d’investissement pour la zone d’innovation DistriQ


 Publié le 24 novembre 2023
 

Le gouvernement du Québec accorde plus de 65,3 millions de dollars pour soutenir la réalisation de cinq projets, dont les coûts totalisent plus de 166,1 millions de dollars, dans la zone d’innovation quantique DistriQ, à Sherbrooke.

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, en a fait l’annonce aujourd’hui en compagnie du ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, M. Pierre Fitzgibbon.

Pour l’occasion, le colauréat du prix Nobel de physique en 2022, M. Alain Aspect, était présent. Le premier ministre en a profité pour souligner la remise, le 22 novembre dernier, d’un doctorat honorifique de l’Université de Sherbrooke à ce grand physicien. Ses travaux ont ouvert la voie à la science de l’information quantique et au développement des technologies quantiques, qui sont au cœur de la recherche effectuée à l’Institut quantique.

L’Espace quantique 1, une vitrine en innovation

Afin de stimuler l’innovation québécoise en technologies quantiques et de faciliter son adoption par l’industrie, le gouvernement a attribué un montant de 28,77 millions de dollars pour appuyer l’implantation de l’Espace quantique 1 et l’ajout d’équipements spécialisés. Ce projet représente des coûts totaux de 40,8 millions de dollars. 

L’espace collaboratif, d’une superficie de 50 000 pieds carrés, accueillera au départ une quinzaine d’entreprises et d’organismes. À terme, ce nombre pourrait atteindre près d’une trentaine. Pensons notamment à PASQAL, Nord quantique, 1QBit, Multiverse, Les technologies nanoacademic, Qubit Pharmaceutiques, Numana, la Plateforme d’innovation numérique et quantique du Québec (PINQ2) et l’Institut national d’optique.

Implantation de PASQAL dans la zone DistriQ

Le gouvernement octroie, par l’entremise du programme ESSOR, administré par Investissement Québec à titre de mandataire, un prêt de 15 millions de dollars à PASQAL  afin de soutenir son implantation dans l’Espace quantique 1 ainsi que la fabrication, à même la zone d’innovation, de ses premiers ordinateurs quantiques destinés à l’Amérique du Nord. Ce projet représente des investissements totaux de 90,6 millions de dollars.

Lancement du fonds d’investissement Quantacet

Le gouvernement, par l’entremise d’Investissement Québec, participe à hauteur de 10 millions de dollars dans le nouveau fonds d’investissement Quantacet , le premier fonds spécialisé dans le secteur des technologies quantiques au Québec.

Doté d’une capitalisation minimale de 20 millions de dollars, ce fonds prévoit investir dans une vingtaine d’entreprises qui favoriseront le développement d’un écosystème québécois en quantique.

Quantum Venture Studio 

Une somme de 4,5 millions de dollars servira à la mise en place du Quantum Venture Studio pour créer des entreprises à fort potentiel de croissance (startups) du secteur des technologies quantiques. Évalué à 5,8 millions de dollars, ce projet hébergé dans l’Espace quantique 1 prévoit la création d’une vingtaine de jeunes pousses dans la zone d’innovation au cours des dix prochaines années.

Attirer et former les talents en sciences quantiques

Pour finir, le gouvernement accorde une contribution financière de 7,05 millions de dollars à l’Institut quantique  afin de soutenir la formation de talents en sciences quantiques. Quatre initiatives, dont les coûts totaux sont évalués à 8,91 millions de dollars, seront mises en place pour augmenter le bassin de main-d’œuvre dans ce secteur.

« En février 2022, on a lancé la zone d’innovation quantique de Sherbrooke, DistriQ, et on voit déjà les retombées positives. Il y a de plus en plus d’entreprises spécialisées qui viennent s’installer dans la région, notamment des entreprises françaises comme PASQAL, Qubit Pharmaceutiques, Quantonation et Exaion. Aujourd’hui, on annonce de nouveaux investissements de 166 millions de dollars, dont 65 millions viennent du gouvernement du Québec, pour continuer de se démarquer et d’attirer des entreprises de partout. L’informatique quantique, c’est une technologie d’avenir, et je suis fier que le Québec soit en avant de la parade avec la zone d’innovation à Sherbrooke. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Avec ces investissements majeurs dans la zone d’innovation DistriQ, on contribue à la création et à l’implantation de nouvelles entreprises dans un secteur stratégique d’avenir. Les retombées de ces projets assureront que les talents et l’expertise sont au rendez-vous. C’est grâce à de telles initiatives qu’on va hisser le Québec comme leader à l’échelle mondiale dans les sciences quantiques. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Depuis la désignation officielle de la zone d’innovation quantique DistriQ en février 2022, nous continuons de la faire évoluer et de promouvoir la synergie unique qui se déploie entre les milieux de l’enseignement, de la recherche, de l’innovation et de l’entrepreneuriat. Ces projets viennent s’ajouter à nos efforts pour faire rayonner les atouts durables de la région de l’Estrie en quantique. »

Donald Martel, député de Nicolet-Bécancour et adjoint parlementaire du ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (volet zones d’innovation)

« Ces initiatives ont toutes en commun de concerter et de mobiliser les acteurs régionaux pour qu’ils exploitent pleinement leur savoir-faire et les forces de notre territoire. C’est en multipliant les collaborations et les projets d’avenir comme ceux-ci dans la zone DistriQ que nous réunissons les conditions propices à la croissance, à la réussite et à la prospérité de notre région et de tout le Québec. »

Geneviève Hébert, députée de Saint-François et whip adjointe du gouvernement

« C’est un grand jour pour DistriQ, mais surtout pour toutes les entreprises et les organisations de l’écosystème collaboratif en quantique au Québec. La synergie mise en place à Sherbrooke est déjà de notoriété mondiale. Ces projets, sous un même toit à l’Espace quantique 1, renforceront les collaborations au quotidien et accéléreront l’innovation quantique. »

Martin Enault, directeur général de DistriQ, zone d’innovation quantique

« Le solide appui financier du gouvernement du Québec, à travers Investissement Québec, et sa vision unique pour la zone d’innovation quantique DistriQ ont été des facteurs déterminants pour notre décision de déployer sans hésitation notre ambitieuse stratégie industrielle à l’échelle mondiale. Dorénavant, le Québec représente notre point d’ancrage pour les marchés clés de l’Amérique du Nord. La singularité de l’Espace quantique 1 et de son écosystème diversifié conférera une visibilité de premier plan à nos activités à l’échelle internationale, générant une croissance porteuse de retombées locales et de nombreuses possibilités de développement. »

Georges-Olivier Reymond, président-directeur général de PASQAL

« Le Québec s’est doté d’un projet ambitieux. Chez Quantacet, nous sommes heureux de mettre notre capital au service de ce projet de société inspirant. Quantacet travaillera avec l’ensemble des partenaires de DistriQ et de l’écosystème quantique du Québec pour concrétiser cette vision commune d’une économie quantique québécoise s’imposant à l’international. »

Chloé Archambault, gestionnaire de Quantacet

« Avec ce financement, le Québec se dote du premier studio startup spécialisé en quantique au Canada. Ce financement jouera un rôle essentiel dans la création de jeunes pousses à fort potentiel, qui seront des pionnières dans l’industrie quantique et transformeront les secteurs de la santé, du développement durable, de l’énergie et bien d’autres, et ce, à l’échelle globale. »

Sarah Jenna, directrice générale de Quantum Venture Studio

« Les investissements annoncés constituent une avancée majeure pour l’épanouissement de l’écosystème quantique au sein de la zone d’innovation. Ce pas décisif offre aujourd’hui de nouvelles perspectives à l’Université de Sherbrooke et à son Institut quantique, renforçant ainsi notre engagement à mettre notre expertise au service du développement de la filière quantique au Québec. Priorisant l’attraction et la rétention des talents, cette initiative permettra d’intensifier notre mission de former la prochaine génération de scientifiques, contribuant ainsi à façonner l’avenir de la recherche quantique dans notre région et à la faire rayonner à l’échelle mondiale. »

Jean-Pierre Perreault, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures de l’Université de Sherbrooke

Faits saillants :

  • DistriQ  zone d’innovation quantique est située au cœur de Sherbrooke et jouit d’un écosystème bien établi dans le secteur des sciences quantiques et des applications technologiques. Elle peut notamment compter sur l’apport d’entreprises, d’établissements d’enseignement et d’instituts de recherche reconnus pour propulser le Québec comme chef de file de ce domaine à l’international.
  • De calibre international, les zones d’innovation du Québec  regroupent des acteurs de la recherche, de l’industrie ainsi que des milieux de l’enseignement et de l’entrepreneuriat afin de mettre en valeur les avantages concurrentiels et durables de celles-ci et de favoriser la culture d’innovation.
  • L’Espace quantique 1 hébergera le laboratoire de développement en technologies quantiques DevTeQ, qui est destiné aux activités de R-D et aux essais de prototype. Cette plateforme technologique partagée et ouverte à tous les membres de DistriQ permettra aux entreprises émergentes d’accéder à des équipements scientifiques de pointe pour favoriser leur croissance.
  • Initiatives de l’Institut quantique :
    • l’AlgoLab quantique regroupera une équipe chevronnée en programmation et en développement d’algorithmes afin de poursuivre des projets collaboratifs en informatique quantique et de fournir l’expertise et l’accompagnement nécessaires au transfert technologique en quantique;
    • l’Institut quantique fournira de l’expertise au DevTeQ afin d’assurer le bon fonctionnement des équipements scientifiques et soutiendra la recherche partenariale qui émergera de ce laboratoire;
    • l’initiative Curieux quantiques sensibilisera la relève pour recruter davantage d’étudiantes et d’étudiants dans la filière quantique au sein des cégeps et des universités;
    • la Stratégie de développement de l’expertise en quantique mettra en place une chaîne de formation continue allant du scolaire au personnel déjà en place dans les entreprises afin de fournir rapidement de la main-d’œuvre qualifiée en quantique.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

2 M$ à La Tablée des Chefs pour augmenter sa portée auprès des jeunes de 12 à 17 ans


 Publié le 22 novembre 2023
 

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, annonce l’octroi de 2 millions de dollars à La Tablée des Chefs. Cette aide financière permettra à l’organisme d’éduquer plus de jeunes en matière d’alimentation et de les accompagner dans le développement de leurs compétences culinaires. Cette annonce a eu lieu lors de La Grande Tablée Montréal 2023.

Plus précisément, La Tablée des Chefs vise trois objectifs :

  1. Étendre la portée de son programme de récupération alimentaire en accroissant de 12,5 % le nombre d’établissements donateurs du réseau HRI (hôtellerie, restauration et services alimentaires en établissement), et ainsi passer de 1,8 million de portions de nourriture récupérées en 2023 à 2,13 millions en 2024.
  2. Mobiliser davantage de jeunes de 12 à 17 ans autour de la cuisine et d’une alimentation saine et locale par le biais des Brigades culinaires, en faisant passer le nombre d’écoles participantes de 250 en 2023 à 275 en 2024.
  3. Élargir l’accompagnement d’une clientèle vulnérable en milieu scolaire grâce au programme Cuisine ton avenir, en faisant passer le nombre d’écoles participantes de 30 en 2023 à 45 en 2024, ce qui portera le nombre de jeunes rejoints à 720.

En 20 ans, grâce à l’organisme, c’est plus de 15 millions de portions qui ont été distribuées et plus de 4 500 tonnes d’aliments qui ont été revalorisés. C’est également plus de 50 000 jeunes qui ont pu développer leurs connaissances et leurs compétences culinaires dans une perspective d’autonomie alimentaire. 

« La forte capacité de mobilisation et d’innovation de La Tablée des Chefs joue un rôle important auprès des Québécois et des Québécoises dans le besoin. Collectivement, nous devons allier nos forces pour lutter contre l’insécurité et le gaspillage alimentaires. Je salue l’engagement de La Tablée ainsi que celui des chefs qui contribuent chaque jour à nourrir et à éduquer nos jeunes. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« La Tablée des Chefs apprend à nos jeunes comment cuisiner, comment éviter de gaspiller. C’est un savoir précieux qui les guidera tout au long de leur vie. Jean-François et son équipe sont pour moi de véritables partenaires mobilisés dans la lutte pour enrayer l’insécurité alimentaire au Québec. Je les remercie d’avoir participé activement aux consultations qui mèneront au 4e Plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale que je déposerai en 2024. »

Chantal Rouleau, ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire

« Nous nous réjouissons de ce soutien supplémentaire qui confirme la pertinence de nos activités, tant pour nourrir que pour éduquer. Il permettra de subvenir aux besoins immédiats pour la prochaine année en assurant la continuité de nos initiatives, dans les écoles ainsi qu’auprès des personnes les plus vulnérables, d’ici la mise en place de notre nouveau plan d’action. Il est important que nous poursuivions nos actions et que nous continuions à nous projeter dans les années à venir pour nous assurer de répondre à la demande croissante en matière d’insécurité alimentaire. »

Jean-François Archambault, directeur général et fondateur de La Tablée des Chefs

Faits saillants :

  • La Tablée des Chefs agit comme agent de liaison entre les donateurs de surplus alimentaires et les organismes communautaires locaux qui prennent en charge la récupération des dons et leur distribution aux personnes en situation d’insécurité alimentaire.
  • Quelques retombées de La Tablée des Chefs depuis ses débuts :
    • 15 millions de portions de nourriture ont été distribuées notamment grâce au programme de récupération alimentaire;
    • Plus de 200 établissements donateurs participent au programme de récupération alimentaire et le soutiennent;
    • 250 écoles secondaires accueillent le programme des Brigades culinaires et 90 milieux (DPJ et écoles) offrent le programme Cuisine ton avenir.
  • Les programmes de La Tablée des Chefs sont présents à travers les 17 régions administratives du Québec.

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Réhabilitation du chemin de fer de la Gaspésie


 Publié le 17 novembre 2023
 

De passage à New Carlisle aujourd’hui, le premier ministre du Québec, M. François Legault, s’est rendu sur l’un des chantiers du projet de réhabilitation du chemin de fer de la Gaspésie. Pour cette occasion, il était accompagné de la députée de Bonaventure, Mme Catherine Blouin, ainsi que du député de Gaspé, M. Stéphane Sainte-Croix.

Ensemble, ils ont pu constater l’ampleur des travaux à réaliser, soit le déplacement de la voie ferrée en raison de l’érosion de la falaise et la construction de murs de soutènement pour la protéger des aléas côtiers. Un travail colossal est en cours sur le tronçon de 72 km entre Caplan et Port-Daniel-Gascons. Plusieurs chantiers de réfection et de construction de ponts, ponceaux et murs de soutènement sont également en cours.

M. Legault a également profité de cette visite pour annoncer la publication d’un appel d’offres en vue d’entreprendre, en 2024, les travaux sur neuf structures du dernier tronçon entre Port-Daniel-Gascons et Gaspé. Ces travaux visent notamment la réhabilitation des ponts au-dessus de la Grande Rivière et de la rivière de l’Anse à Brillant, ainsi que la reconstruction complète des ponts qui enjambent le ruisseau à Émile-Couture à Grande-Rivière et la rue de La Plage, à Gaspé.

Cet appel d’offres est le premier d’une série de quatre devant être émis d’ici la fin de l’année.

À ce jour, plus de 310 M$ ont été engagés dans la réhabilitation du chemin de fer de la Gaspésie, et ce, sur l’ensemble des trois tronçons. Ce montant comprend les travaux majeurs effectués pour la réfection et la reconstruction des infrastructures, ainsi que les travaux de maintien des actifs. À terme, plus de 870 M$ seront investis dans la réalisation du projet.

« Le chemin de fer de la Gaspésie, c’est un projet d’avenir pour la région : un train qui va relier la région, d’un bout à l’autre, au reste du Québec. Le projet va faciliter la vie des entreprises et des touristes qui veulent se rendre en Gaspésie. On lance aujourd’hui un appel d’offres pour commencer, en 2024, des travaux sur le dernier tronçon entre Port-Daniel-Gascons et Gaspé. Je suis fier que notre gouvernement ait investi 871,8 M$ pour que ce projet-là voit le jour d’ici 2026. C’est un engagement important pour la région, et on tient parole. »

François Legault, premier ministre du Québec

« La série d’appels d’offres à venir démontre bien la complexité du projet ainsi que l’ampleur des travaux à réaliser. En 2024, la population gaspésienne pourra constater qu’il y a beaucoup d’action sur le terrain. C’est une vingtaine de chantiers qui devraient être actifs simultanément afin de poursuivre la réhabilitation du chemin de fer. J’invite les entrepreneurs de la région à déposer leurs propositions pour faire partie de ce projet historique ! »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

« Franchir cette nouvelle étape est, une fois de plus, la preuve que le projet de réhabilitation du chemin de fer en Gaspésie est sur la bonne voie et chemine à vitesse grand V. Je salue d’ailleurs la Société du chemin de fer de la Gaspésie pour son agilité dans ce dossier. On accueille chaque nouvel appel d’offres avec enthousiasme, sachant que ça nous rapproche toujours un peu plus de la ligne d’arrivée. »

Catherine Blouin, députée de Bonaventure

« Les citoyens et les entreprises de la Gaspésie attendent avec impatience le retour du train jusqu’à Gaspé. Les appels d’offres annoncés aujourd’hui représentent les premiers travaux d’envergure dans la circonscription de Gaspé depuis plus de 10 ans. C’est un sentiment de fierté de voir notre gouvernement réaliser ce projet majeur qui marquera le développement du transport des personnes et des marchandises de la péninsule pour les prochaines années. »

Stéphane Sainte-Croix, député de Gaspé

« Encore une fois, nous démontrons tout le sérieux dans la démarche de réhabilitation du rail gaspésien. Je suis très fier du chemin parcouru au cours des 10 dernières années à ce sujet. La Gaspésie sera dotée d’une infrastructure qui fera l’envie de bien des régions ! »

Éric Dubé, préfet de la MRC de Bonaventure et président de la Société du chemin de fer de la Gaspésie

Faits saillants

  • Le chemin de fer de la Gaspésie, qui s’étend sur 325 km entre Matapédia et Gaspé, est la propriété du ministère des Transports et de la Mobilité durable depuis 2015.
  • Le projet a été scindé en trois tronçons pour faciliter sa réalisation :
    • Matapédia à Caplan – en exploitation ;
    • Caplan à Port-Daniel-Gascons – travaux en cours et mise en service prévue en 2024 ;
    • Port-Daniel-Gascons à Gaspé – travaux en cours et mise en service prévue en 2026.
  • Un investissement total de 871,8 M$ a été confirmé par le gouvernement du Québec pour l’ensemble du projet :
    • Matapédia à Caplan – 54,5 M$ ;
    • Caplan à Port-Daniel-Gascons – 299,7 M$ ;
    • Port-Daniel-Gascons à Gaspé – 517,6 M$.
  • Le gouvernement du Canada contribue financièrement aux travaux entre Port-Daniel-Gascons et Gaspé, à hauteur de 45,8 M$ provenant du Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes, et de 10 M$ en vertu du Programme d’amélioration de la sécurité ferroviaire.
  • Partenaire de premier plan, la Société du chemin de fer de la Gaspésie est responsable de l’exploitation du chemin de fer de la Gaspésie et de son entretien, en plus de la réalisation de plusieurs travaux s’inscrivant dans le projet de réhabilitation.

Liens connexes

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Tables de réflexion sur l’avenir de la forêt


 Publié le 17 novembre 2023
 

En marge de sa participation à l’événement Feux de forêt 2023 – Bilan et constats, qui se déroule aujourd’hui à Québec, la ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, annonce la réalisation, à l’hiver 2024, d’une démarche intitulée Tables de réflexion sur l’avenir de la forêt.

Les travaux des Tables de réflexion sur l’avenir de la forêt se dérouleront dans les différentes régions forestières du Québec. Ces consultations permettront d’élaborer une vision d’avenir partagée entre les divers intervenants et intervenantes et d’identifier des solutions d’adaptation, notamment aux changements climatiques, pour assurer la pérennité du secteur forestier.

Cette annonce répond également à la recommandation du Forestier en chef qui, dans un document publié le 1er septembre dernier, demandait d’entreprendre une réflexion globale sur l’aménagement de la forêt.

Au cours de l’événement Feux de forêt 2023 – Bilan et constats, qui se tient aujourd’hui, une cinquantaine d’acteurs clés des principaux ministères impliqués, de la SOPFEU, des municipalités, de l’industrie forestière et minière, des communautés autochtones et du milieu scientifique font un retour sur les feux de forêt de l’été 2023. C’est l’occasion de dresser le bilan de la saison 2023, d’échanger sur les apprentissages, de tirer des leçons et de mettre en lumière les efforts qui ont été déployés. Ce bilan et ces discussions contribueront eux aussi à alimenter la réflexion dans cette démarche sur l’avenir forestier.

« La démarche annoncée aujourd’hui traduit encore une fois la volonté de notre gouvernement d’être à l’écoute des parties prenantes. Il était primordial pour moi de donner suite à la recommandation du Forestier en chef puisque c’est ce qui va nous permettre de définir ensemble des solutions d’avenir pour l’optimisation de l’aménagement des forêts québécoises. Avec ces consultations, nous continuons d’avancer pour nous adapter aux défis du futur, tout en prenant en compte les réalités de chaque région. La gestion forestière étant en constante évolution, il est essentiel de s’interroger sur les meilleures pratiques avant de les mettre en œuvre, car la vitalité économique de nos régions en dépend. »

Maïté Blanchette Vézina, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine

Faits saillants :

  • La Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier est en vigueur depuis le 1er avril 2013. À l’automne 2020, le bilan de l’aménagement durable des forêts portant sur la période 2013-2018 a été déposé à l’Assemblée nationale. Une révision ciblée du régime forestier, comprenant 26 mesures administratives concrètes, avait alors été adoptée pour améliorer l’environnement d’affaires et favoriser la compétitivité des entreprises. Selon les constats qui émergeront de la démarche participative à venir, de nouvelles mesures pourraient être envisagées.

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Inauguration de la nouvelle maison des aînés et alternative de Rivière-au-Renard


 Publié le 17 novembre 2023
 

 Le premier ministre du Québec, François Legault, ainsi que le député de Gaspé, Stéphane Sainte-Croix, ont procédé aujourd’hui à l’inauguration de la maison des aînés et alternative (MDA MA) de Rivière-au-Renard. Celle-ci a accueilli ses premiers résidents et résidentes le 31 octobre dernier.

Située au 180, boulevard Renard Ouest, cette nouvelle MDA MA offrira 48 nouvelles places pour la population de la région, dont 36 pour les personnes aînées et 12 pour les adultes ayant des besoins particuliers. L’installation est constituée de 4 maisonnées de 12 places chacune avec des chambres individuelles dotées d’une toilette et d’une douche adaptées.

La MDA MA de Rivière-au-Renard a été conçue pour recréer davantage l’environnement d’un domicile et offrir aux résidents et résidentes un milieu de vie à dimension plus humaine.

Ce nouveau type de milieu de vie, ouvert sur la communauté, favorise les contacts humains ainsi qu’un mode de vie plus actif, entre autres grâce à des aménagements extérieurs et intérieurs mieux adaptés aux besoins des personnes hébergées et de leurs proches. Ces espaces ont par ailleurs été conçus de façon à intégrer les personnes proches aidantes au quotidien des résidents et résidentes et à favoriser leurs interactions.

« La maison des aînés et alternative de Rivière-au-Renard était une de nos promesses importantes pour améliorer les soins aux aînés dans la région. Le but des maisons des aînés et des maisons alternatives, c’est d’offrir à nos aînés, et à des adultes qui ont des besoins particuliers, un hébergement chaleureux, qui ressemble à une maison. Je suis très fier du travail de Sonia Bélanger et de notre gouvernement pour qu’ils puissent vieillir bien entourés, dans des milieux de vie plus humains. On leur doit bien ça. »

François Legault, premier ministre du Québec

« C’est avec fierté que je prends part à l’inauguration de la maison des aînés de Rivière-au-Renard, un projet que je suis de près depuis le début et qui me touche grandement. Les personnes aînées auront accès à des services et des soins de qualité, dans un environnement stimulant, épanouissant et sécuritaire, ici même, dans la région de la Gaspésie. Merci aux équipes qui ont contribué à la réalisation de ce projet tant attendu dans la région. »

Stéphane Sainte-Croix, député de Gaspé

« Je suis très fière de voir un engagement phare de notre gouvernement continuer à se concrétiser. Nous pouvons nous réjouir de savoir que plusieurs personnes de la région pourront bénéficier de ce modèle d’hébergement visionnaire et novateur, que nous avons voulu à échelle humaine, inclusif et agréable. Merci à tous ceux et celles qui ont contribué à sa concrétisation. »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés et ministre déléguée à la Santé

Faits saillants :

  • La MDA MA de Rivière-au-Renard fait partie des 46 maisons des aînés et maisons alternatives annoncées. Elle s’inscrit dans le cadre d’une démarche de transformation des milieux d’hébergement et de soins de longue durée.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur le projet des maisons des aînés et maisons alternatives : Québec.ca/maisonsaines-alternatives .

Développer le plein potentiel de l’Est de Montréal 


 Publié le 14 novembre 2023
 

Le gouvernement du Québec appuie la création de la Société de mise en valeur de terrains dans l’Est de Montréal (SMTEM) en investissant un montant de 100 millions de dollars par l’entremise d’Investissement Québec. Le projet vise l’acquisition, la mise en valeur et la gestion de terrains industriels et d’actifs connexes dans ce secteur de l’île de Montréal.

La ministre responsable de l’Habitation, Mme France-Élaine Duranceau, et le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, M. Pierre Fitzgibbon, en ont fait l’annonce aujourd’hui en marge du Sommet de l’Est de Montréal. 

La Société, issue d’un partenariat stratégique avec Fondaction, travaillera directement à la réhabilitation des terrains contaminés à fort potentiel économique. L’argent investi par le gouvernement servira à acheter des terrains ainsi qu’à réaliser les études et les travaux de décontamination requis en collaboration avec la Ville de Montréal et la Ville de Montréal-Est.

« La Société verra à convenir d’une planification concertée pour les terrains acquis, qui tiendra compte de la vision des parties prenantes. On pourra ainsi prévoir les infrastructures nécessaires pour recevoir des projets économiques et créer des milieux de vie à la hauteur des ambitions des gens de l’Est. »

France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation

« La décontamination et la mise en valeur de terrains industriels dans l’Est de Montréal sont des conditions essentielles pour revitaliser ce territoire stratégique. Aujourd’hui, on se donne les moyens pour développer l’Est à son plein potentiel. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Avec la création de cette société, le développement de l’Est de l’île entre dans une nouvelle ère. On se donne les moyens pour favoriser l’essor de ce secteur, assurer la croissance économique de la métropole et, ultimement, rehausser la qualité de vie des citoyens. »

Karine Boivin Roy, députée d’Anjou-Louis-Riel

« Il est essentiel de mettre en place les conditions favorables au développement durable de ce territoire, en intégrant les dimensions économiques, sociales et environnementales dans chacun de nos choix. Fondaction est engagé dans l’Est de Montréal depuis de nombreuses années et continuera de travailler avec la même intention, c’est-à-dire de faire les bonnes choses et de les faire de la bonne façon. »

Geneviève Morin, présidente-directrice générale de Fondaction

Faits saillants :

  • Au printemps 2019, la Ville de Montréal a bénéficié d’une enveloppe de 100 millions de dollars pour la mise en place d’un programme de subvention pour la réhabilitation de terrains contaminés dans l’Est de Montréal. L’investissement dans la création de la SMTEM vient compléter l’engagement du gouvernement du Québec de consacrer 200 millions de dollars au développement de ce secteur de l’île.
  • Investissement Québec sera d’abord l’unique commanditaire de la SMTEM. Fondaction Gestion d’actifs agira comme commandité.
  • Le montant de 100 millions de dollars sera investi sous forme de parts de société en commandite.

Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie sur les réseaux sociaux :

Importante entente afin d’appuyer la construction accélérée de logements


 Publié le 9 novembre 2023
 

Aujourd’hui, le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, et le premier ministre du Québec, François Legault, ont annoncé une entente concernant le Fonds pour accélérer la construction de logements (FACL) par laquelle le Canada versera au Québec une contribution totale de 900 millions de dollars afin d’accélérer la construction d’unités résidentielles au Québec.

L’entente confirme que les gouvernements du Canada et du Québec partagent des objectifs communs de réduire le nombre de ménages québécois ayant des besoins en matière de logement. Dans ce contexte, l’apport financier du Canada viendra appuyer les initiatives du Québec en vue d’accélérer la construction d’unités résidentielles afin de répondre aux besoins en matière de logement au Québec.

Le Québec s’engage à utiliser la contribution de 900 millions de dollars du Canada afin d’augmenter l’offre d’unités résidentielles sur son territoire, ce qui correspond à près de 23 % du financement fédéral total qui vise à ajouter sur quatre ans au moins 100 000 unités résidentielles au-dessus des moyennes historiques à travers le Canada. Dans le cadre de sa mise à jour économique et financière du 7 novembre dernier, le gouvernement du Québec a annoncé qu’il investira également une somme de 900 millions de dollars, portant la valeur totale combinée de l’enveloppe des deux gouvernements à 1,8 milliard de dollars en nouveaux fonds disponibles pour la construction de logements. Cet investissement créera directement 8 000 logements sociaux et abordables, dont 500 qui seront réservés à des clientèles itinérantes ou à risque de le devenir.

Nous verrons la création de dizaines de milliers de logements additionnels au cours des prochaines années au Québec grâce à cette entente, en plus de réformes réglementaires, ce qui est une excellente nouvelle.

Le Québec est résolument engagé à poursuivre ses efforts visant à accélérer la construction d’unités résidentielles sur le territoire québécois en s’appuyant notamment sur la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme et d’autres dispositions. De plus, le gouvernement du Québec mettra en place une cellule interministérielle d’accélération des projets en collaboration avec les municipalités québécoises et adoptera de nouvelles orientations gouvernementales en aménagement du territoire comportant des indicateurs liés à la construction de logements à partir desquels les municipalités devront se doter de cibles. Il entend proposer des modifications législatives, en cours d’élaboration et sous réserve de leur adoption par l’Assemblée nationale, visant à améliorer la densification urbaine, à faciliter l’autorisation de la construction d’immeubles en habitation et à diminuer les délais afférents en conséquence.

« Nous avons entendu les Canadiens et nous nous efforçons de construire plus de logements, plus rapidement. L’entente annoncée aujourd’hui est historique et vient appuyer les efforts du Québec pour offrir aux Québécois un endroit sûr et abordable où vivre. Avec nos partenaires provinciaux et municipaux, nous continuerons à réduire les formalités administratives et à construire les communautés sûres et abordables dont les Canadiens ont besoin et qu’ils méritent, d’un océan à l’autre. »
— Le très hon. Justin Trudeau, premier ministre du Canada

« La crise du logement qu’on vit en ce moment est un problème complexe, qui touche beaucoup de Québécois. Je suis fier d’annoncer, en partenariat avec le gouvernement fédéral, une entente de 900 millions de dollars sans condition pour construire plus de logements abordables. Cette semaine, dans la mise à jour économique, nous avons aussi ajouté 900 millions de dollars en habitation, et c’est donc 1,8 milliard de dollars qu’on investit ensemble. Tout le monde doit mettre l’épaule à la roue pour accélérer la construction de logements, et le Québec fait sa part. »
— François Legault, premier ministre du Québec

« L’accord que nous avons conclu avec le gouvernement du Québec va permettre de construire plus de logements, plus rapidement pour les Québécois. Les investissements historiques et les initiatives que le gouvernement du Québec mettra en place pour aider les municipalités à augmenter la densité et à réduire les délais de construction permettront à des dizaines de milliers de nouveaux logements de voir le jour. »
— L’hon. Sean Fraser, ministre du Logement, de l’Infrastructure et des Collectivités

« Quelle excellente nouvelle pour les ménages à la recherche d’un logement abordable, mais également pour les municipalités et les organismes qui tentent de développer ce genre de projet pour leurs citoyens dans un contexte où il coûte de plus en plus cher de construire. Je me réjouis de la saine collaboration que le ministre Fraser et moi avons pu établir lors de nos pourparlers qui ont permis de prendre en compte dans cette entente les priorités et les besoins énoncés par le Québec. Maintenant qu’une somme considérable est ajoutée pour la construction de logements, nous devons passer sans tarder du financement à la construction des projets. Chaque partenaire devra agir en ce sens. De notre côté, nous mettrons à profit nos véhicules financiers déjà place pour accélérer le cheminement de l’aide accordée. »
— France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation du Québec

Faits saillants

  • L’annonce d’aujourd’hui a été faite par le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, le premier ministre du Québec, François Legault, le ministre du Logement, de l’Infrastructure et des Collectivités, Sean Fraser, et la ministre responsable de l’Habitation du Québec, France-Élaine Duranceau.
  • Le gouvernement du Canada fournira au gouvernement du Québec une contribution de 900 millions de dollars pour financer la réalisation des projets choisis par la Société d’habitation du Québec (SHQ). Ce montant correspond à une proportion de près de 23 % du financement fédéral.
  • Les versements, d’un total de 900 millions de dollars, seront répartis sur quatre ans, à compter de 2023-2024, afin de favoriser l’accélération de la construction d’unités résidentielles au Québec.
  • Dans le choix des projets, la SHQ retiendra ceux répondant aux objectifs du Fonds pour accélérer la construction de logements (FACL) ainsi qu’aux exigences des programmes et initiatives du Québec applicables. La SHQ s’engage aussi à ce que le choix des projets tienne compte, dans la mesure du possible, d’une répartition régionale en adéquation avec les besoins de ces régions.
  • Lancé en mars 2023, le FACL est une initiative de 4 milliards de dollars du gouvernement du Canada visant à fournir des fonds afin d’accélérer la construction de 100 000 nouveaux logements à l’échelle du Canada.
  • Le FACL encourage les administrations locales à mettre en œuvre des initiatives durables qui réduisent les obstacles à l’offre de logements et aux approbations des projets d’aménagement. À long terme, il vise à rendre le logement plus abordable pour les gens au Canada.
  • La Loi sur l’aménagement et l’urbanisme et d’autres dispositions est l’une des assises de la Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire : mieux habiter et bâtir notre territoire du Québec.

Liens connexes :

L’accueil Passe-Partout pour l’apprentissage du français de nos tout-petits nouveaux arrivants


 Publié le 9 novembre 2023
 

La ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, Mme Christine Fréchette, est fière d’annoncer une aide financière de 2 691 600 $ à Télé-Québec, chef de file en contenus jeunesse, pour le déploiement d’un vaste projet éducatif qui participera à l’apprentissage du français chez les enfants d’âge préscolaire, notamment les enfants de parents immigrants nouvellement arrivés au Québec. Elle en a fait l’annonce dans les bureaux de Télé-Québec, en compagnie du ministre de la Culture, M. Mathieu Lacombe, et de la présidente-directrice générale de Télé-Québec, Mme Marie Collin.

Basé sur l’univers rassurant et accueillant de la populaire émission jeunesse Passe-Partout, ce projet à valeur pédagogique vise le développement des compétences langagières par le jeu et encouragera son usage auprès des familles et en services de garde. Il mettra à leur disposition une multitude d’outils alliant des capsules langagières télévisuelles, des histoires audios interactives, ainsi qu’une trousse d’accueil pour les enfants d’âge préscolaire nouvellement arrivés au Québec. Les premières capsules, intitulées « Les Mots de Passe-Partout », sont déjà disponibles sur le site web de Télé-Québec.

La trousse d’accueil pourra être distribuée dès février 2024 aux enfants de parents immigrants nouvellement arrivés, directement à l’aéroport. Ce projet a pour objectif de permettre aux nouvelles générations de Québécoises et de Québécois de s’approprier la langue française, tout en facilitant leur intégration à la culture québécoise.   

Cette initiative s’inscrit dans le Plan du Groupe d’action pour l’avenir de la langue française (GAALF). Il s’agit d’un projet phare dans le cadre de Francisation Québec, une nouvelle approche québécoise en matière d’apprentissage du français pour les individus, les entreprises, la famille et la petite enfance. Depuis l’adoption du projet de loi 96, Francisation Québec s’inscrit dans une volonté gouvernementale d’harmonisation des services d’apprentissage du français au Québec, ainsi que de renforcement de leur efficacité et de leur qualité.

« Avec ce projet innovant et éducatif, nous démontrons notre volonté d’agir avec détermination auprès des tout-petits, notamment issus de l’immigration, et de leur famille pour favoriser leur éveil à la langue française dès le plus jeune âge, tout en facilitant leur intégration citoyenne et culturelle à la société québécoise. La pérennité et la vitalité de la langue française font partie de nos priorités et nous agissons pour que tous les Québécois, les petits comme les grands, aient accès à une offre de services d’apprentissage du français variés, flexibles, adaptés et gratuits. »

Christine Fréchette, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration

« Nous sommes très enthousiastes à l’endroit de ce projet partenarial mettant en valeur le travail de créateurs d’ici pour développer des contenus éducatifs riches et de qualité qui contribueront à faire de la langue française une source de fierté. Passe-Partout, c’est plus qu’une émission éducative destinée aux enfants d’âge préscolaire, c’est un référent commun fort autour de la langue française et de la culture québécoise. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications

« Il est primordial que les jeunes enfants qui doivent maîtriser le français puissent se l’approprier rapidement. Ils doivent pouvoir apprendre de façon ludique la langue qui leur permettra d’interagir et de s’intégrer à la culture québécoise. Nous saluons ce projet qui propose de nombreux outils conçus spécialement pour faciliter cet apprentissage. »

Jean-François Roberge, ministre de la Langue française, ministre responsable des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne, ministre responsable des Institutions démocratiques, ministre responsable de l’Accès à l’information et de la Protection des renseignements personnels et ministre responsable de la Laïcité

« Ce nouveau projet de Télé-Québec a été conçu pour répondre à des objectifs très précis à l’égard des tout-petits immigrants, en plus de réunir tous les éléments nécessaires pour résonner auprès des enfants québécois d’âge préscolaire. Télé-Québec est un service essentiel et incontournable au Québec en matière d’éducation et cette nouvelle initiative nous permettra notamment de créer un réel dialogue avec les néo-Québécois. Nous considérons que les tout-petits méritent toute notre attention dans l’apprentissage de la langue française. Plus que jamais, nous assumerons ainsi notre rôle de média public unique et fort, tel un réel reflet de notre société. » 

Marie Collin, présidente-directrice générale de Télé-Québec

Fait saillant

Depuis 2018, le gouvernement du Québec a doublé les budgets alloués à la francisation et plus de 186 millions de dollars ont été investis pour 2022-2023.

Pour découvrir le contenu de la trousse, cliquez ici 

Des gestes ciblés pour répondre aux priorités des Québécois


 Publié le 7 novembre 2023
 

Le ministre des Finances, M. Eric Girard, a confirmé aujourd’hui, dans la mise à jour économique et financière, des investissements additionnels totalisant 4,3 milliards de dollars d’ici cinq ans pour offrir un meilleur accès au logement, lutter contre l’itinérance, bonifier l’aide alimentaire, appuyer la formation dans des domaines spécifiques, s’adapter aux changements climatiques et favoriser l’investissement des entreprises.

La gestion prudente et responsable des finances publiques dans les dernières années permet au gouvernement de répondre aux priorités des Québécois et d’accroître le potentiel économique du Québec au moyen de gestes ciblés, et ce, en maintenant les objectifs de retour à l’équilibre budgétaire et de réduction du poids de la dette.

Une indexation de 2 G$ par année au bénéfice des Québécois

La mise à jour économique et financière est également l’occasion de rappeler que les contribuables pourront bénéficier, à compter du 1er janvier 2024, d’une indexation de 5,08 % du régime d’imposition des particuliers et des prestations d’assistance sociale. Concrètement, il s’agit d’un rehaussement important des montants de plusieurs déductions, crédits d’impôt et aides fiscales aux particuliers. Cette indexation, qui dépasse le taux d’inflation prévu pour la même période, représente 2,0 milliards de dollars par année au bénéfice de tous les Québécois.

L’indexation correspondra à un montant moyen de 282 $ par contribuable pour l’année 2024.

1,8 G$ pour offrir un meilleur accès au logement

Dans le contexte de rareté des logements et afin d’en favoriser l’accessibilité, le gouvernement prévoit un investissement de 1,8 milliard de dollars au cours des cinq prochaines années pour construire 8 000 nouveaux logements sociaux et abordables et aider les ménages à plus faible revenu à se loger.

Cette somme permettra de construire 7 500 logements par l’entremise du Programme d’habitation abordable Québec et du partenariat avec les fonds fiscalisés, et de réaliser 500 logements destinés aux personnes en situation d’itinérance.

De plus, 107 millions de dollars sont prévus pour aider les ménages à plus faible revenu à se loger, par l’octroi de 4 000 nouvelles unités du Programme de supplément au loyer et la bonification du programme Allocation-logement.

145 M$ pour lutter contre l’itinérance et pour bonifier l’aide alimentaire

Devant la hausse préoccupante de l’itinérance, le gouvernement investira 124 millions de dollars sur cinq ans pour rehausser l’aide d’urgence, bonifier l’appui aux services culturellement sécurisants pour les Autochtones en situation d’itinérance et favoriser la réinsertion sociale afin d’éviter le basculement vers l’itinérance. Ces mesures s’ajoutent aux 500 nouveaux logements prévus pour des personnes en situation d’itinérance.

Une somme additionnelle de 21 millions de dollars est également versée dès cette année à des organismes œuvrant en matière d’aide alimentaire.

329 M$ pour appuyer la formation dans des domaines spécifiques

Afin de contrer la pénurie de main-d’œuvre, le gouvernement investira 329 millions de dollars de plus au cours des deux prochaines années pour appuyer la formation dans des domaines prioritaires. Cette somme permettra de donner suite à l’Offensive formation en construction, qui vise à rehausser l’offre de main-d’œuvre dans ce secteur important, et de soutenir l’attractivité du réseau public de la santé et des services sociaux en appuyant notamment la formation accélérée des préposés aux bénéficiaires.

961 M$ pour soutenir la transition climatique et les communautés

La mise à jour économique et financière permet également d’agir pour soutenir la transition climatique et les communautés par des mesures totalisant 961 millions de dollars au cours des cinq prochaines années.

De cette somme, 292 millions de dollars permettront d’appuyer les initiatives en matière d’adaptation aux changements climatiques et d’atténuer les risques associés aux feux de forêt. De plus, 404 millions de dollars soutiendront les communautés et le secteur forestier en réponse aux feux de forêt de l’été 2023.

Enfin, une aide d’urgence additionnelle de 265 millions de dollars est prévue en 2023-2024 pour soutenir la relance du transport collectif.

995 M$ pour favoriser l’investissement des entreprises et accroître le potentiel économique

Des objectifs ambitieux ont été fixés en matière de création de richesse et d’accroissement du potentiel économique, et les gestes posés au cours des dernières années à ce chapitre portent fruit. Ainsi, l’écart de richesse avec l’Ontario s’est réduit de manière importante, passant de 16,1 % à 13,5 % entre 2018 et 2022.

Le gouvernement entend poursuivre ses efforts pour éliminer cet écart d’ici 2036. Au cours des derniers mois, le ministère des Finances du Québec a donc mené une consultation auprès d’experts provenant du secteur privé et du milieu universitaire afin d’identifier les leviers qui permettront d’accroître le potentiel économique du Québec. Les experts ont proposé plusieurs pistes de solution en matière d’investissement pour combler les écarts de niveau de vie entre le Québec et ses principaux partenaires commerciaux. Les principaux constats et recommandations sont présentés dans le cadre de cette mise à jour.

Pour répondre dès aujourd’hui à certaines de ces recommandations, dont celles de favoriser l’investissement en entreprise et de simplifier le régime fiscal, le gouvernement annonce qu’il bonifiera le crédit d’impôt à l’investissement et à l’innovation. Cette mesure représentera 1,3 milliard de dollars pour les cinq prochaines années.

Croissance économique revue à la baisse pour 2024

La persistance de l’inflation et les taux d’intérêt demeurant à des niveaux élevés freineront l’activité économique cette année et l’an prochain dans la plupart des économies, et le Québec n’y échappera pas. Pour 2023, la croissance économique prévue au Québec (0,6 %) est semblable à ce qui avait été prévu en mars dernier. Pour 2024, l’activité économique est révisée à la baisse, passant de 1,4 % à 0,7 %. 

Maintien de l’engagement de retourner à l’équilibre budgétaire en 2027-2028

Malgré le ralentissement économique prévu, le gouvernement maintient les cibles budgétaires établies dans le plan de retour à l’équilibre présenté en mars 2023.

Les révisions liées à la situation budgétaire et la mise en œuvre de gestes ciblés ont une incidence négative de l’ordre de 1,0 milliard de dollars par année sur l’horizon du cadre financier. Dans ce contexte, une partie de la provision pour éventualités sera utilisée afin de respecter les objectifs fixés. Ainsi, le déficit sera limité à 4,0 milliards de dollars en 2023-2024, après versements des revenus consacrés au Fonds des générations, puis sera réduit graduellement de 1,0 milliard de dollars par année jusqu’à l’atteinte de l’équilibre budgétaire en 2027-2028.

Objectif maintenu de réduction du poids de la dette

La réduction du poids de la dette demeure une priorité pour le gouvernement, car elle contribue positivement à la croissance économique par l’instauration d’un climat de confiance propice à l’investissement privé et à la hausse de la productivité, et elle favorise également l’équité intergénérationnelle. Le poids de la dette nette s’établira à 37,9 % du PIB au 31 mars 2024, un niveau inférieur à celui d’avant la pandémie. L’objectif de réduire le poids de la dette nette à 30 % du PIB d’ici 2037-2038 est maintenu.

« Notre gestion responsable des finances publiques nous permet de poser des gestes ciblés pour répondre aux priorités des Québécois et accroître le potentiel économique du Québec, et ce, en maintenant nos objectifs de retour à l’équilibre budgétaire et de réduction du poids de la dette. »

Eric Girard, ministre des Finances et ministre responsable des Relations avec les Québécois d’expression anglaise

Faits saillants :

  • Investissements totalisant 4,3 milliards de dollars de plus d’ici cinq ans pour répondre de façon ciblée aux priorités des Québécois.
  • Indexation de 2 milliards de dollars par année du régime fiscal et des prestations d’assistance sociale au bénéfice des Québécois.
  • Construction de 8 000 nouveaux logements sociaux et abordables, dont 500 seront destinés à des personnes en situation d’itinérance.
  • Soutien de 145 millions de dollars pour lutter contre l’itinérance et bonifier l’aide alimentaire.
  • 329 millions de dollars pour notamment mettre en œuvre l’Offensive formation en construction et appuyer la formation accélérée des préposés aux bénéficiaires.
  • 696 millions de dollars pour appuyer les initiatives en matière d’adaptation aux changements climatiques, atténuer les risques associés aux feux de forêt et appuyer le secteur forestier.
  • Aide additionnelle de 265 millions de dollars en 2023-2024 pour le transport collectif.
  • Un écart de richesse avec l’Ontario qui est passé de 16,1 % à 13,5 % entre 2018 et 2022.
  • Consultation menée auprès d’experts du secteur privé et du milieu universitaire afin d’identifier les leviers qui permettront d’accroître le potentiel économique du Québec.
  • Bonification du crédit d’impôt à l’investissement et à l’innovation et simplification du régime d’aide fiscale à l’investissement.
  • Malgré un ralentissement de l’économie mondiale auquel le Québec n’échappe pas, maintien des objectifs du gouvernement quant au retour à l’équilibre budgétaire en 2027-2028 et à la réduction du poids de la dette nette à 30 % du PIB d’ici 2037-2038.
  • Croissance économique prévue en 2023 au Québec (0,6 %) semblable à la prévision de mars dernier. Pour 2024, activité économique révisée à la baisse, passant de 1,4 % à 0,7 %.

Lien connexe :

Le point sur la situation économique et financière du Québec : www.québec.ca/lepoint .