Une session bien remplie pour la députée Lise Lavallée


 Publié le 21 décembre 2017
 

Le printemps dernier, François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec confiait de nouvelles responsabilités à la députée de Repentigny, Lise Lavallée. Cette dernière est maintenant porte-parole du 2e groupe d’opposition en matière de condition féminine et de santé publique.  La lutte à l’intimidation complète ces champs d’intervention pour le mandat en cours. Madame Lavallée est intervenue dans plusieurs dossiers chauds au cours de la dernière session parlementaire, laquelle s’est terminée le 8 décembre dernier.

Un enjeu majeur en matière de condition féminine fut sans contredit le dossier de la prostitution juvénile. Tout au long de la période estivale, madame Lavallée a rencontré plusieurs intervenants sociaux et judiciaires ainsi que des organismes voués à la prévention et au soutien de nos jeunes adolescentes vivant cette réalité. Trop souvent, ces dernières sont sous le joug de proxénètes ou de prédateurs sexuels. « La prostitution est un fléau qui touche particulièrement notre jeunesse. Les élus de l’Assemblée nationale doivent s’élever au-dessus de toute partisanerie afin de définir las balises permettant d’endiguer ce phénomène», déclare madame Lavallée. À cet égard, la députée de Repentigny a présenté à l’Assemblée nationale deux motions et un mandat d’initiative lequel aurait permis la tenue d’une commission parlementaire sur cette problématique. Malheureusement, toutes ses initiatives ont reçu une fin de non-recevoir de la part du Gouvernement Couillard.

En tant que porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour la Santé publique, Lise Lavallée a participé activement, avec son collègue Simon Jolin-Barrette de la CAQ, aux travaux visant la légalisation prochaine du cannabis. «Dès le mois de septembre dernier, nous avons dévoilé une série de mesures contraignantes pour restreindre la consommation de marijuana, le plus possible. Parmi celles-ci, on compte notamment une interdiction de consommer cette drogue dans les lieux publics, une modification au Code de la sécurité routière afin d’imposer des peines sévères aux conducteurs ayant consommé du cannabis, une interdiction de faire la culture du cannabis à domicile et un âge légal de 21 ans pour acheter du cannabis. Les travaux en commission parlementaire sur ce dossier reprennent dès la mi-janvier», de souligner madame Lavallée.

Certains enjeux locaux demeurent des préoccupations constantes pour la députée et sont à la base même de son engagement politique. Ainsi, l’agrandissement de l’hôpital Pierre-Le Gardeur, «une promesse des libéraux en début de mandat et qui se fait toujours attendre. Je vais continuer à talonner le ministre de la Santé afin qu’une date de début des travaux soit enfin arrêtée», d’affirmer madame Lavallée. «Il en va ainsi pour l’installation et la mise en opération de l’appareil Tep Scan dont les patients ayant un diagnostic de cancer pourraient bénéficier. Les fonds sont disponibles. Il ne manque que l’autorisation du ministre Barrette. Je vais continuer à suivre ces dossiers pour le bien de la population que je représente», de conclure la députée.

Abolition des délais de prescription : La CAQ salue la proposition du Protecteur du citoyen


 Publié le 19 décembre 2017
 

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice et député de Borduas, Simon Jolin-Barrette, salue la proposition du Protecteur du citoyen qui recommande l’abolition de toute prescription pour les recours civils en cas d’agression sexuelle ou de violence. C’est une barrière qui doit être abolie pour aider et inciter les victimes à dénoncer leurs agresseurs. Ce n’est pas normal, dans notre système de justice, qu’une victime ne puisse plus porter plainte après un certain nombre d’années. Les victimes ont droit d’obtenir justice à n’importe quel moment de leur vie.

Rappelons que Simon Jolin-Barrette a déposé, en mars 2016, le projet de loi 596 qui vise à combler un trou dans la loi actuelle afin que les victimes d’agressions sexuelles puissent poursuivre leurs agresseurs et être indemnisées.

Rapport de la commission Chamberland : Simon Jolin-Barrette invite le gouvernement à donner suite aux recommandations


 Publié le 14 décembre 2017
 

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, accueille favorablement le rapport final de la Commission d’enquête sur la protection de la confidentialité des sources journalistiques, déposé jeudi. Le député de Borduas invite le gouvernement libéral de Philippe Couillard à donner suite le plus rapidement possible aux deux recommandations phares, soit :

– L’adoption d’une loi sur la protection du matériel et des sources journalistiques ;

– Un meilleur encadrement des rapports entre les autorités politiques et les corps de police.

Le rapport Chamberland est le point de départ d’une série de réformes qui doivent être mises en place, souligne le caquiste Simon Jolin-Barrette. Philippe Couillard doit y donner suite, afin de rétablir la confiance du public envers les corps de police et pour protéger la liberté de presse.

D’abord, les libéraux doivent s’engager à déposer et à faire adopter, avant les prochaines élections générales, une loi sur la protection du matériel et des sources journalistiques. Ensuite, il faut mieux encadrer les rapports entre les autorités politiques et les corps de police. Simon Jolin-Barrette réitère que, pour assurer pleinement l’indépendance policière, les nominations du directeur général de la Sûreté du Québec et du commissaire de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) doivent être soumises à un vote des deux tiers de l’Assemblée nationale.

Le gouvernement libéral doit poser les gestes nécessaires afin de redonner confiance des Québécois en nos institutions, termine le député de la CAQ, Simon Jolin-Barrette.

Annonce du candidat de la CAQ dans Ungava : Un policier retraité de la Sûreté du Québec portera les couleurs de la CAQ


 Publié le 13 décembre 2017
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer que Denis Lamothe, qui a fait carrière pendant près de 30 ans comme policier à la Sûreté du Québec, portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription d’Ungava lors des prochaines élections générales.

Celui qui a vécu et travaillé dans le comté d’Ungava pendant 8 ans croit beaucoup à l’économie locale et régionale. « La CAQ, c’est le parti des familles. C’est un fait, plusieurs familles québécoises ont de la difficulté à arriver au bout du mois. C’est inconcevable! Il faut redonner de l’argent dans le portefeuille des familles et c’est ce que nous ferons une fois au pouvoir. François Legault veut aussi créer des emplois payants pour tous les Québécois afin que nous demeurions fiers et prospères. C’est avec des solutions aussi concrètes que nous améliorerons le sort des Québécois », a souligné Denis Lamothe.

Confiance et intégrité

Pour François Legault, l’expérience de Denis Lamothe permettra à la CAQ de se brancher sur les réalités vécues par les citoyens d’Ungava, autochtones ou non-autochtones. « Denis aime profondément le Nord québécois et les gens qui y vivent. Alors qu’il travaillait en milieu autochtone, Denis s’est bâti une réputation d’homme de confiance, intègre et doté d’un solide jugement. Si j’ai pris la peine de venir à Chibougamau pour présenter le candidat de la CAQ 9 mois avant les élections du 1er octobre, c’est en signe de respect pour les gens de la région », a souligné le chef de la CAQ.

L’équipe du changement prend forme

« L’équipe de la CAQ, c’est le changement dont le Québec a grandement besoin. Moi, ça m’inspire! Et c’est exactement ce pour quoi j’adhère à la CAQ : pour le changement. Pour améliorer les conditions de vie des Québécois. Et je peux vous assurer que vous pouvez compter sur moi pour promouvoir et défendre les intérêts de mes concitoyens et concitoyennes. Je ferai la différence. Et je tiens à lancer ce message à tous les citoyens du comté d’Ungava : joignez-vous à nous », a-t-il conclu.

Victimes d’agression sexuelle : Le gouvernement Couillard de plus en plus isolé


 Publié le 12 décembre 2017
 

À la suite d’un rapport dévoilé mardi par le Barreau du Québec, le gouvernement Couillard est de plus en plus isolé dans sa volonté de maintenir les délais de prescription empêchant des victimes d’agression à caractère sexuel de poursuivre leur agresseur au civil, constate le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette.

Dans ce rapport, intitulé « Réflexion sur le traitement des dossiers en matière d’agression sexuelle au Canada », le Barreau du Québec recommande au gouvernement libéral de modifier le Code civil du Québec afin de prévoir « l’imprescriptibilité des actions pour les agressions sexuelles », dans le but « d’assurer la pleine efficacité des mesures de facilitation des recours pour les victimes ».

Depuis un bon moment, M. Jolin-Barrette talonne la ministre de la Justice, Stéphane Vallée, afin que celle-ci assure à toutes les victimes d’agressions sexuelles de poursuivre leurs agresseurs et d’être indemnisées sans contrainte de temps. La CAQ a même déposé un projet de loi 596 à cet effet à l’Assemblée nationale.

Simon Jolin-Barrette, appuyé par sa collègue critique en matière de condition féminine Lise Lavallée, estime que le délai de prescription constitue toujours à ce jour une barrière juridique qui n’a pas sa place, alors que de nombreuses victimes peinent à dénoncer et à obtenir justice. M. Jolin-Barrette espère que cette position du Barreau du Québec convaincra enfin le gouvernement libéral de Philippe Couillard à abolir définitivement tout délaidans le système judiciaire québécois, comme c’est le cas en matière criminelle.

Annonce du candidat de la CAQ dans Rouyn-Noranda-Témiscamingue : Jeremy Bélanger se joint à l’équipe du changement


 Publié le 11 décembre 2017
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est ravi d’annoncer que Jeremy Bélanger, ingénieur chez Hydro-Québec, portera fièrement les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Rouyn-Noranda-Témiscamingue lors des prochaines élections générales.

Pour François Legault, Jeremy Bélanger est un candidat très solide, avec une feuille de route déjà impressionnante. « En plus d’être ingénieur chez Hydro-Québec, il complète une maîtrise en administration des affaires. Jeremy croit au potentiel de développement de grands projets chez Hydro-Québec, en vue d’exporter de l’électricité chez nos voisins canadiens et américains. Jeremy veut contribuer à développer notre économie, ici en Abitibi et au Témiscamingue. C’est un amoureux de la région, où il a décidé de fonder sa famille. Il comprend donc bien les réalités des jeunes familles d’ici », a indiqué François Legault.

De l’ambition pour l’Abitibi-Témiscamingue

C’est la grande vision économique de François Legault qui a convaincu le père de deux jeunes filles de faire le saut en politique. « Pour la CAQ et pour moi, le bien-être des familles québécoises est essentiel. D’ailleurs, j’ai la conviction profonde que des familles prospères et heureuses représentent l’élément clé d’une société grandissante et épanouie. Plus près de chez moi, en Abitibi-Témiscamingue, la CAQ proposera des mécanismes de développement régional efficaces et concrets. L’idée de donner le contrôle du développement des régions aux gens au coeur de l’action est excellente. Car ce sont eux qui connaissent les besoins pour assurer un développement rationnel qui reflète leurs attentes », a expliqué le nouveau candidat.

L’équipe du changement

« Des idées honnêtes et efficaces, une intégrité impeccable et notre engagement à poser des gestes concrets; c’est ça qui nous place dans la meilleure position pour servir les Québécois en 2018. Et c’est pour cela que la Coalition Avenir Québec est mon parti. Je suis fier d’être le candidat de l’équipe du changement de François Legault. J’invite tous mes concitoyens à se joindre à la CAQ pour assurer un meilleur avenir à tous les Québécois », a conclu Jeremy Bélanger.

Gicleurs dans les résidences pour aînés : La CAQ exige une modification du programme d’aide


 Publié le 10 décembre 2017
 

En présence de quelques propriétaires de petites résidences, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé et pour les aînés, François Paradis, a exigé que le gouvernement libéral modifie le versement de la subvention du programme d’aide pour l’installation les gicleurs.

Les résidences pour ainés doivent obtenir leur financement pour l’installation de gicleurs auprès d’institutions financières. Mais malgré le programme d’aide annoncé par les libéraux en 2015, elles éprouvent toujours beaucoup de difficultés à obtenir un financement et la subvention du gouvernement leur parvient beaucoup trop tard. Avec le changement proposé par la CAQ, lorsque les propriétaires auront les plans et les devis signés par un ingénieur et accepté la soumission d’un entrepreneur certifié, le gouvernement devra verser la subvention avant le début des travaux.

Le député de Lévis a soutenu que les résidences veulent assurer la sécurité des aînés. Mais, actuellement, le programme d’aide est trop rigide et mal adapté à la réalité des propriétaires, qui doivent entièrement financer les travaux avant un remboursement partiel. Or, ces travaux peuvent coûter entre 50 000 $ et 200 000 $ par résidence.

Selon des informations obtenues par la CAQ, en date du 12 octobre 2017, 902 résidences pour aînés ne sont pas encore munies d’un système de gicleurs contre les incendies, soit près de 50 % des résidences du Québec.

La CAQ dénonce la mauvaise gestion libérale


 Publié le 9 décembre 2017
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, appuyé par ses députés Mathieu Lemay et Lise Lavallée, dénonce la situation intenable dans les urgences du Québec, particulièrement celles dans Lanaudière. Le gouvernement libéral n’a que lui-même à blâmer pour cette gestion chaotique du réseau de la santé depuis le début de la période des fêtes.

Le Ministère de la Santé a besoin de gestionnaires efficaces, souligne M. Legault, qui invite le Dr. Barrette à régler au plus vite l’engorgement des urgences de la région. Mardi, le Centre hospitalier régional de Lanaudière affichait un taux d’occupation sur civière de 218 % ; à l’Hôpital Pierre-Le-Gardeur, ce taux était de 183 %.

Selon la CAQ, il est urgent pour le gouvernement libéral de revoir l’entrée et le tri aux urgences. M. Legault souligne que beaucoup de patients de priorités 4 et 5 dans les urgences des 2 hôpitaux de Lanaudière auraient dû avoir été vus non pas aux urgences, mais dans des cliniques par des médecins de famille.

Le député de L’Assomption presse Philippe Couillard à négocier une nouvelle entente avec les médecins de famille afin de réviser leur mode de rémunération et de déléguer plus d’actes aux infirmières. Les GMF doivent également augmenter leurs heures d’ouverture, propose François Legault.

Accès à un médecin de famille : Des délais de plus de 48 h pour 2 aînés sur 3


 Publié le 8 décembre 2017
 

Les deux tiers des aînés au Québec ne parviennent pas à consulter un médecin ou une infirmière en moins de 2 jours selon une enquête internationale publique publiée par le Commissaire à la santé et au bien-être, a dénoncé vendredi le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Cette proportion est nettement inférieure qu’en Ontario et les 11 pays étudiés par le Commissaire, a noté le chef de la CAQ lors de la période des questions à l’Assemblée nationale.

Après 15 années de gouvernement libéral, les Québécois doivent encore se battre pour voir un médecin de famille dans des délais raisonnables. Philippe Couillard a beau se vanter d’avoir fourni un médecin de famille des milliers de Québécois, mais à quoi sert d’avoir un médecin de famille s’il n’est pas disponible quand on est malade, a lancé le chef de la CAQ.

François Legault a rappelé les mesures proposées par la CAQ afin que les patients malades ne se retrouvent plus aux urgences pour faire soigner des petits problèmes de santé alors qu’ils devraient facilement pouvoir consulter un médecin :

  • Réviser le mode de rémunération des médecins ;
  • Accepter que plus d’actes soient délégués à des infirmières ;
  • Augmenter les heures d’ouverture des Groupes de médecine familiale (GMF)

Annonce de la candidate de la CAQ dans Jean-Lesage : Christiane Gamache fait le saut en politique avec l’équipe du changement


 Publié le 8 décembre 2017
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est heureux d’annoncer que Christiane Gamache, qui a fait carrière dans le réseau de l’éducation, portera fièrement les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Jean-Lesage lors des prochaines élections générales.

« Vous savez tous l’importance que la CAQ et moi-même accordons à l’éducation. Christiane Gamache a justement travaillé pour nos enfants pendant 35 ans. J’ai un énorme respect pour elle et pour tous les enseignants qui, quotidiennement, aident nos jeunes à atteindre leur plein potentiel », a indiqué François Legault.

L’éducation, une priorité

La nouvelle candidate de la CAQ, spécialiste en éducation, est une femme de terrain et d’action. Elle en fait preuve chaque jour par son implication active dans sa communauté. « Je collabore et participe à de nombreux comités locaux afin de mieux comprendre les enjeux et besoins en lien avec la famille, la santé, l’éducation et l’économie du milieu. Je souhaite résolument contribuer à apporter un vent de changement dans notre société en me lançant en politique provinciale. Ce défi répond à mon désir d’améliorer la qualité et les conditions de vie des familles en favorisant le mieux vivre ensemble dans un environnement sain et sécuritaire », annonce la nouvelle candidate de la CAQ.
« Mes nombreuses années de vie professionnelle dans le milieu de l’éducation m’ont permis d’acquérir une grande expertise dans différents domaines tels que la pédagogie, la gestion participative et proactive, l’administration, l’évaluation et le développement. La réussite éducative de tous a toujours fait partie intégrante de mes grandes préoccupations. La CAQ répond en tout point à mes convictions les plus chères, soit d’améliorer le système d’éducation et de venir en aide aux familles », poursuit Christiane Gamache.

L’équipe du changement prend forme

« On ne se le cachera pas, dans l’arrondissement Limoilou, il y a de la pauvreté et aussi de l’exclusion sociale de nos aînés. Pourtant, il y a eu des coupures de budget. Il faut s’attaquer à ces problèmes, et les résoudre. Il faut absolument du changement. À la Coalition Avenir Québec, notre but est de rassembler les Québécois pour préparer l’avenir. Et pour y parvenir, il faut doter le Québec de l’équipe du changement qu’est la CAQ », conclut-elle.