Parlement des jeunes: une expérience enrichissante pour les élèves de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme


 Publié le 30 janvier 2018
 

C’est avec grand plaisir que la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a accueilli les élèves de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme à l’Assemblée nationale, jeudi dernier, dans le cadre du Parlement des jeunes 2018.

Au cours de cette 16législature, plus de 135 jeunes de 3e et 4e secondaire, venant de 39 écoles du Québec, ont eu la chance de s’initier au travail parlementaire et de se familiariser avec les rôles de représentant, de législateur et de contrôleur des actions du gouvernement qu’exercent les députés. Ils ont notamment étudié trois projets de loi portant sur la création d’un cours de civisme et d’éducation à la citoyenneté pour les élèves du secondaire, sur le contrôle et la prévention des résidus alimentaires, ainsi que sur l’utilisation des véhicules électriques et l’amélioration des infrastructures de recharge de ces véhicules.

La députée Chantal Soucy s’est prêtée au jeu en assurant le rôle de présidente de commission, dans le cadre de l’étude du projet de loi no 3 – Loi sur l’électrification des transports à usage personnel, déposé par Benjamin Roy, élève de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme. « Ce fut un véritable honneur pour moi de participer à cette édition du Parlement des jeunes et d’encourager les élèves de notre région. Nos jeunes sont talentueux, ils ont des idées plein la tête et il faut les écouter », a-t-elle déclaré avec enthousiasme. « Je suis convaincue que le Parlement des jeunes leur aura permis d’élargir leurs horizons, de mieux comprendre l’impact de la politique dans leur vie et de réaliser l’importance de l’implication citoyenne dans une démocratie comme la nôtre. C’est une expérience très enrichissante pour nos jeunes et je remercie d’ailleurs leur enseignant, M. Samuel Labrie, qui leur a permis de vivre cette aventure et qui a consacré temps et énergie à la préparation de ce projet », a conclu la députée caquiste, qui a également octroyé une aide financière à cette initiative.

« Sans le soutien financier précieux de Mme Soucy, l’activité n’aurait pas pu avoir lieu, puisque les coûts associés à ce projet sont très élevés. Pour une deuxième année consécutive, Mme Soucy a permis à nos jeunes de vivre une expérience hors du commun et nous l’en remercions », a déclaré, pour sa part, l’enseignant d’univers social.

Cette simulation, qui fait partie intégrante de la mission éducative de l’Assemblée nationale, est réalisée avec la collaboration de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant.

3e lien : Le ministre André Fortin est totalement déconnecté


 Publié le 30 janvier 2018
 

Le député de La Peltrie, Éric Caire, a répliqué aux attaques du ministre des Transports, André Fortin, en lui rappelant que le seul dossier de transport concret sur lequel la population de Québec s’était prononcée dans une élection était le 3e lien entre Québec et Lévis. Il a rappelé que pour copier la CAQ, Philippe Couillard s’était engagé, lors de l’élection de 2014, à mener une étude sur un 3e lien et que cette promesse a été officiellement brisée une fois que M. Couillard a pris le pouvoir.

Pour M. Caire, M. Fortin tente de sauver la face de sa ministre déléguée, Véronyque Tremblay, qui doit vivre jour après jour avec les positions déconnectées de sa formation politique sur les enjeux de transports dans la région de Québec. Il a rappelé que contrairement à ce qui est avancé par le ministre libéral, la CAQ est favorable au développement d’un système de transport collectif dans la région de Québec, à la condition que son tracé bénéficie également à la population des banlieues et qu’il soit complémentaire au projet de 3e lien.

Il a de plus rappelé que la CAQ n’a pas de leçon de responsabilité à recevoir d’un ministre qui veut lancer un projet de monorail futuriste qui viendrait contrecarrer le projet de TGF de VIA Rail, qui fait consensus partout au Québec.

Élection provinciale de 2018 : « Je serai candidat pour la Coalition Avenir Québec » – André Lamontagne


 Publié le 25 janvier 2018
 

Le député André Lamontagne a annoncé le 25 janvier qu’il sera candidat à l’élection provinciale d’octobre 2018. « Je porterai les couleurs de la Coalition Avenir Québec, a-t-il confirmé. Je suis heureux et emballé à l’idée d’offrir de nouveau aux citoyens et citoyennes du comté de Johnson mes talents et mes ressources pour les représenter à l’Assemblée nationale. »

« Un dynamisme peu commun pointe aux quatre coins du comté, observe le député. Je trouve très stimulant de collaborer avec tous ces gens qui, jour après jour, s’investissent à faire du bien, à améliorer le bien-être de leurs concitoyens et concitoyennes et à faire progresser notre belle région et ses communautés. Je veux continuer de les appuyer en leur donnant le meilleur de moi-même. »

« Dans une perspective plus large, le Québec peut et doit faire mieux, affirme André Lamontagne. On peut augmenter les chances de nos jeunes par un meilleur taux de diplomation, réduire et même éliminer notre écart de richesse avec nos voisins, alléger le fardeau fiscal des familles, améliorer l’accès aux soins de santé, mieux intégrer nos immigrants et faire plus pour protéger et développer notre langue et notre culture. »

« Le Québec a tous les atouts pour briller parmi les meilleurs, assure M. Lamontagne. La CAQ, par ses multiples propositions et la qualité de son équipe parlementaire, a su démontrer qu’elle a la vision et la capacité pour accompagner les Québécois et Québécoises à réaliser ce potentiel de fierté et de prospérité à l’intérieur du Canada. »

« Depuis près de 50 ans, le Québec a été gouverné par les deux mêmes partis et depuis 15 ans par un parti que le pouvoir a usé. Aujourd’hui, nous sommes mûrs pour un véritable changement et la CAQ incarne ce changement. À la prochaine élection, les Québécoises et Québécois se verront donc offrir, pour la première fois depuis longtemps, la réelle opportunité d’insuffler au Québec une nouvelle énergie positive en accordant leur appui à la CAQ. »

« C’est à un rendez-vous historique que le Québec tout entier est invité en octobre prochain. Et c’est à ce rendez-vous que je convie les citoyens et citoyennes du comté de Johnson », lance André Lamontagne

Réduction et uniformisation de la taxe scolaire sous un gouvernement de la CAQ


 Publié le 25 janvier 2018
 

Au terme du caucus présessionnel de sa formation politique, François Legault a annoncé qu’un gouvernement de la CAQ réduirait et gèlerait le taux de taxation scolaire au niveau le plus bas actuellement, soit 0,1054 $ par tranche de 100 $ d’évaluation foncière, sur une période de 4 ans. À titre comparatif, le taux établi par la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe pour l’année 2017-2018 se situe à 0,34161, frôlant ainsi la limite de 0,35 permise par le Ministère de l’Éducation.

Pour les citoyens de la grande région de Saint-Hyacinthe, cette mesure caquiste représenterait une réduction de 69 % de la taxe scolaire. À titre d’exemple, le propriétaire d’une résidence évaluée à 250 000 $ se retrouverait à verser 264 $ à la Commission scolaire, comparativement au montant actuel de 854 $, une économie non négligeable de près de 600 $.

« Actuellement, avec un taux de 0,34161, nous figurons parmi les régions les plus taxées à travers le Québec… et on ne peut pas dire que nos écoles se portent mieux qu’ailleurs pour autant ! », a dénoncé Chantal Soucy. « Depuis l’arrivée du gouvernement libéral au pouvoir, il y a 15 ans, le montant récolté par les taxes scolaires a grimpé de 113 %, soit environ 1,2 milliard de dollars. Seulement au cours des 5 dernières années, les Québécois ont subi une hausse de 700 millions de dollars », a-t-elle déploré. « Actuellement, les libéraux font miroiter une baisse de taxe scolaire, mais encore une fois, certaines régions seront désavantagées. Ce qu’on propose, à la CAQ, c’est de ramener les revenus de taxe scolaire au niveau où ils se situaient avant l’arrivée des libéraux au pouvoir, en 2003 et d’établir une mesure équitable pour toutes les régions du Québec, afin que les taux ne soient pas arbitraires et que les familles ne soient pas pénalisées par leur lieu de résidence », a conclu la députée Chantal Soucy.

Cette mesure de la CAQ représenterait une baisse de taxe globale de 700 millions de dollars pour les familles du Québec, par rapport à la nouvelle promesse libérale.

Taxe scolaire : La CAQ appliquera le taux le plus bas, peu importe la région


 Publié le 23 janvier 2018
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, souhaite mettre fin définitivement aux iniquités en matière de taxes scolaires en appliquant un taux unique à l’échelle du Québec : le plus bas en vigueur actuellement. M. Legault a fait cette annonce accompagné de son porte-parole en éducation, Jean-François Roberge, et de son porte-parole en finances publiques, François Bonnardel.

Depuis l’arrivée du gouvernement libéral, il y a 15 ans, le montant récolté par les taxes scolaires a grimpé de 113 %, soit environ 1,2 milliard de dollars. Au cours des 5 dernières années uniquement, on parle d’une hausse de 700 millions de dollars, a dénoncé le chef caquiste. Actuellement, les libéraux font miroiter une baisse de taxe scolaire qui est inéquitable d’une région à l’autre. Comment justifier qu’un citoyen de la Mauricie ou du Saguenay-Lac-Saint-Jean paie un taux trois fois plus élevé qu’un citoyen d’une autre région ? Pour François Legault, la solution libérale est broche à foin.

Un gouvernement de la CAQ va donc ramener le taux de taxation scolaire sur une période de 4 ans au niveau le plus bas actuellement, soit 10,54 cents. Il s’agit d’une baisse de taxes de 700 millions de dollars pour les familles du Québec par rapport à la promesse libérale. Ce faisant, la CAQ va ramener les revenus de taxe scolaire au niveau où ils se situaient avant l’arrivée des libéraux au pouvoir en 2003, a expliqué le chef caquiste.

Et contrairement aux libéraux, qui ouvrent la porte dans leur projet de loi 166 à une nouvelle hausse de taxes scolaires au lendemain des élections, un gouvernement de la CAQ décrèterait un gel des taxes scolaires pour toute la durée du mandat.

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Petite enfance : Un gouvernement de la CAQ lancera une offensive pour dépister plus tôt les troubles d’apprentissage


 Publié le 22 janvier 2018
 

À l’ouverture du caucus présessionnel de sa formation politique, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a annoncé qu’il confiait au Dr Lionel Carmant, un neurologue et chercheur qui travaille auprès des enfants à l’hôpital Sainte-Justine depuis de nombreuses années, le mandat de préparer une stratégie de dépistage et d’intervention précoce des problèmes de neuro-développement chez tous les enfants du Québec. M. Carmant sera aidé par les députés Geneviève Guilbault, François Paradis et Jean-François Roberge, respectivement porte-paroles de la CAQ en matière de famille, santé et éducation, pour accomplir ce mandat.

Un gouvernement de la CAQ compte mettre en œuvre plusieurs mesures pour dépister plus tôt les troubles d’apprentissage chez les jeunes enfants, a promis François Legault. Parmi celles-ci : une garantie d’accès pour tous les nouveau-nés et jeunes enfants auprès d’un médecin de famille au maximum un mois après leur naissance.

Selon M. Legault, il est primordial que les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage soient dépistés le plus tôt possible et que leurs parents aient accès rapidement à des services spécialisés, entre autres des services d’orthophonistes.

En mars 2017, près de 17 000 enfants de 5 ans et moins attendaient sur une liste d’attente pour trouver un médecin de famille, a regretté le chef caquiste. Or les médecins de famille sont souvent le premier filtre dans le dépistage précoce des problèmes de neuro-développement.

La stratégie caquiste misera toutefois beaucoup sur l’interdisciplinarité, car le dépistage et le traitement ne peuvent pas se faire uniquement par les médecins. Pour la CAQ, ils doivent se faire dans les CLSC en mettant à profit tous les professionnels et les spécialistes de la santé, comme les infirmières, les orthophonistes ou les ergothérapeutes, par exemple.

Fermeture temporaire de l’unité de psychiatrie de l’hôpital de Thetford Mines : « Laurent Lessard et Gaétan Barrette doivent régler cette crise au plus vite! » – Isabelle Lecours


 Publié le 11 janvier 2018
 

La candidate de la CAQ dans Lotbinière-Frontenac, Isabelle Lecours, interpelle les ministres Laurent Lessard et Gaétan Barrette pour qu’ils trouvent une solution le plus rapidement possible afin d’empêcher la fermeture temporaire de l’unité de psychiatrie de l’hôpital de Thetford Mines. Mme Lecours rappelle qu’après la démission en bloc de trois psychiatres, l’unité de psychiatrie de l’Hôpital de Thetford Mines fermera temporairement ses portes à compter du 17 janvier.

Pour la candidate caquiste, c’est impératif : Thetford Mines ne doit pas perdre ce service. « Il est clair que le gouvernement doit rendre des comptes: il a laissé la situation se détériorer et maintenant il doit régler cette crise. Quel est le plan de Laurent Lessard et de Gaétan Barrette pour régler la situation? », s’insurge-t-elle.

« La direction du CIUSSS de Chaudière-Appalaches savait depuis des mois que la situation était difficile dans l’unité de psychiatrie de l’hôpital de Thetford Mines. Malheureusement, encore une fois, ce sont les patients qui vont écoper. Le ministre Barrette doit garantir rapidement le maintien intégral de l’unité de psychiatrie de l’hôpital de Thetford Mines. Quel est son plan pour y arriver ? », conclut Isabelle Lecours.

Interdiction du cannabis dans les lieux publics : La CAQ déposera un amendement visant l’ensemble du territoire québécois


 Publié le 11 janvier 2018
 

Philippe Couillard doit assumer ses responsabilités et dire clairement à toutes les municipalités qu’il sera interdit de consommer du cannabis dans tous les lieux publics au Québec, a exigé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette.

À ses yeux, le gouvernement libéral s’apprête à créer une véritable confusion en permettant la consommation de cannabis dans certaines municipalités, tout en l’interdisant dans d’autres. L’approche du cas par cas sur un sujet aussi sensible et important pour la sécurité et la santé publique est irresponsable, a lancé Simon Jolin-Barrette.

Puisque les libéraux continuent à minimiser les effets du cannabis, la CAQ annonce qu’elle déposera, lors de l’étude du projet de loi, un amendement visant à interdire la consommation de pot dans les lieux publics sur tout le territoire du Québec.

Stages de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant: Chantal Soucy invite les jeunes de sa circonscription à s’inscrire


 Publié le 10 janvier 2018
 

La période de mise en candidature pour les stages 2018-2019 de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant bat actuellement son plein. Chaque année, ces stages pratiques de dix mois, assortis d’une bourse d’excellence de 21 000 $, offrent à cinq jeunes diplômés universitaires l’opportunité de plonger au cœur de l’activité parlementaire et de vivre une incursion privilégiée dans les coulisses de l’Assemblée nationale. Les participants, jumelés à un député, ont l’opportunité de rédiger un essai et de le déposer à la Bibliothèque de l’Assemblée nationale, ainsi que d’effectuer une mission à l’étranger afin de comparer les différents systèmes parlementaires.

Pour la députée Chantal Soucy, ces stages représentent une porte d’entrée formidable vers le monde politique. « Il s’agit d’une expérience enrichissante et surtout très concrète pour les diplômés. C’est l’occasion pour eux de mettre en pratique les connaissances qu’ils ont acquises durant leur parcours universitaire et de consolider leur intérêt pour la politique », a-t-elle déclaré, encourageant du même souffle les jeunes de sa circonscription à soumettre leur candidature. « L’engagement de la relève en politique est crucial et je serais ravie de pouvoir accueillir un de nos jeunes à l’Assemblée nationale, dans le cadre de ces stages. La politique est un monde palpitant et cette expérience est un excellent tremplin vers une carrière dans le domaine », a-t-elle conclu.

La période de mise en candidature pour les stages 2018-2019 de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant prendra fin le 15 février 2018. Les critères de sélection, ainsi que les conditions d’admissibilité figurent sur le site Internet de la Fondation, au www.fondationbonenfant.qc.ca. Des dépliants d’information sont également disponibles au bureau de la députée Chantal Soucy, situé au 1970, rue des Cascades Ouest, à Saint-Hyacinthe.

Urgences débordées dans les Laurentides : La CAQ appelle Gaétan Barrette à l’action


 Publié le 9 janvier 2018
 

Les députés de la Coalition Avenir Québec des Laurentides, Benoit Charette, Mario Laframboise et Sylvie D’Amours, exhortent le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, à passer à l’action et désengorger le réseau de la santé, alors que les urgences des hôpitaux de la région sont pleines à craquer depuis le début de la période des fêtes.

Mardi matin, la grande majorité des hôpitaux affichait encore des taux d’occupation sur civières supérieurs à 100 %. C’est notamment le cas de l’Hôpital de St-Jérôme (192 %), l’Hôpital de St-Eustache (178 %) et l’Hôpital Laurentien (172 %). M. Barrette doit régler au plus vite le problème de planification au Ministère de la Santé, exigent M. Charette, M. Laframboise et Mme D’Amours.

Les députés caquistes soulignent que des solutions existent pour mettre fin aux débordements récurrents dans les urgences du Québec :

– Une meilleure planification des vacances des médecins lors de la période des fêtes ;

– Une révision du mode de rémunération des médecins ;

– La délégation d’actes aux infirmières ;

– L’augmentation des heures d’ouverture des GMF.