Chantal Soucy décerne une médaille de l’Assemblée nationale à cinq Maskoutains d’origine


 Publié le 21 mars 2018
 

Le 20 mars dernier, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a rendu hommage à cinq Maskoutains d’origine, au salon bleu du parlement, avant de leur décerner une médaille de l’Assemblée nationale dans le cadre d’une cérémonie officielle au salon du président.

La députée de Saint-Hyacinthe a tenu à expliquer l’objectif de sa démarche : « Je constate que, trop souvent, les personnes qui contribuent à la richesse de notre communauté sont méconnues. Certaines d’entre elles ont fait leur chemin à l’ombre des projecteurs et, avec cette cérémonie, je voulais mettre en lumière leurs réalisations, afin d’encourager la relève maskoutaine à suivre leurs traces ». Elle a donc dressé un portrait des réalisations de chacun des récipiendaires.

 

Jean Bédard, président –directeur général du Groupe Sportscene

Comptable agréé au leadership indiscutable, Jean Bédard est un exemple de succès pour les entrepreneurs maskoutains, ainsi que pour les membres de la communauté d’affaires à travers la province.

Président-directeur général du Groupe Sportscène, Jean Bédard s’est impliqué activement dans la promotion du sport en acceptant la présidence des Jeux du Québec à Saint-Hyacinthe, en 2005. Il a également œuvré à titre de président du groupe Interbox, qui est demeuré durant de nombreuses années un incontournable de la boxe sur la scène locale et internationale. D’ailleurs, après dix ans et 46 galas de boxe, Jean Bédard s’est vu positionné au 25e rang du palmarès des meilleurs promoteurs par BoxingTonight.

Homme d’affaires passionné et reconnu pour son expertise, Jean Bédard a cumulé plusieurs fonctions de premier plan au sein du Conseil des chaînes de restaurants du Québec et de l’Association canadienne des restaurateurs et des services alimentaires.

Aujourd’hui, le Groupe Sportscene, dont le chiffre d’affaires dépasse les 120 millions de dollars, compte près de 3 000 employés et plus d’une cinquantaine de restaurants à travers la province.

Il se situe au 59e rang du palmarès des 500 plus grandes sociétés au Québec et fait également partie, depuis 2006, du groupe sélect des Sociétés les mieux gérées au Canada, à titre de membre platine.

Mais si Jean Bédard est un modèle de réussite en affaires, il est également un modèle de responsabilité sociale. Président du conseil d’administration de l’équipe de hockey des Gaulois de Saint-Hyacinthe, il s’est aussi impliqué au sein du Club Optimiste Douville et dans l’organisation des Méchants Mardis de Gars, au profit de la Société canadienne du cancer. Cet engagement indéniable a d’ailleurs valu à La Cage – Brasserie sportive de Saint-Hyacinthe le Prix du bénévolat en loisir et en sport Dollard-Morin, en 2015.

 

Chantal Fontaine, comédienne, actrice et femme d’affaires

Comédienne, actrice, animatrice et restauratrice, Chantal Fontaine a fait sa marque au cœur du paysage télévisuel québécois. Formée en théâtre au Cégep de Saint-Hyacinthe, cette Maskoutaine d’origine s’est méritée, au fil du temps, de nombreuses nominations aux Métrostar, aux Prix Gémeaux et au Gala Artis, à titre de « meilleure interprète » et de « personnalité de l’année », notamment pour ses rôles dans les téléromans Virginie  et Yamaska.

En plus de figurer dans la distribution de nombreuses séries télévisées, dont Scoop, Réseaux, Urgence et 1007, elle s’est également illustrée à titre d’animatrice au sein de plusieurs émissions, dont Les Chefs la Brigade, Par-dessus le marché, Oser une autre vie et Livraison d’artistes, en plus d’être le visage de nombreuses publicités.

Passionnée de cuisine et de produits du terroir, Chantal Fontaine se lance, en 2010, dans la restauration en ouvrant, avec Guy A. Lepage et Jean-Pierre Des Rosiers, le restaurant Accords bar à vin, dans le Vieux-Montréal, puis Accords le bistro, en 2014. Chantal Fontaine gère donc à présent près d’une centaine d’employés et mène de main de maître son entreprise.

Femme très engagée, elle prend à cœur la reconnaissance des produits d’ici et est très active dans la promotion des Aliments du Québec. Depuis près de 25 ans, elle est également marraine du Regroupement pour la Trisomie 21, qui offre soutien et écoute aux personnes atteintes de trisomie, ainsi qu’à leur famille. Elle siège aussi à de nombreux conseils d’administration visant à promouvoir le tourisme et le commerce local.

 

Roger Cantin, réalisateur, scénariste et producteur

Cinéaste chevronné, Roger Cantin a écrit, réalisé et produit de nombreux long-métrages marquants de la cinématographie québécoise. Son premier grand succès, La guerre des tuques, a été encensé par la critique et a fait l’objet de plusieurs adaptations. Présentée dans 125 pays et traduite en de nombreuses langues, La Guerre des tuques  s’est vue décerner plus de 14 prix internationaux, dont le « premier prix » au Festival de Moscou et celui du « meilleur film » au Festival de Laon, en France.

Pour son long-métrage L’assassin qui jouait du trombone, Roger Cantin s’est également vu décerner  la « prime à la qualité » de la SODEC et a remporté le titre de « meilleur scénario » au Festival de Laon, en France. Son téléfilm Le Grand Zèle s’est également mérité cinq nominations aux Prix Gémeaux, en 1993.

Le scénariste et réalisateur maskoutain est aussi à l’origine du long-métrage à succès La Forteresse suspendue, qui a été honoré à travers le monde. Son oeuvre Un cargo pour l’Afrique a également reçu de nombreuses distinctions, dont le prix du public pour le « meilleur film canadien » au Festival des Films du Monde de Montréal, le prix du « meilleur scénario » au Festival d’Olympie et au Bénin, ainsi que le « Grand Prix du Jury » au Festival international du film du Caire, en Égypte. L’année suivante, le long-métrage Les mains noires – procès de l’esclave incendiaire, qu’il a produit, a gagné le prix du « meilleur documentaire » au Festival International du Film PanAfricain de Cannes.

Prolifique, Roger Cantin a réalisé au cours de sa carrière plus d’une trentaine de courts-métrages se méritant de nombreuses distinctions, tant au Québec qu’à l’international. Il a également consacré une quinzaine d’années à l’enseignement de son art, à l’Université de Concordia.

 

Guy Brodeur, karatéka émérite

Champion du monde en karaté en 1985 et premier canadien à obtenir un 7e dan de l’Association nationale de karaté, Guy Brodeur a consacré sa vie à promouvoir le karaté Shotokan au Canada et à transmettre sa passion des arts martiaux aux jeunes Maskoutains. Il est d’ailleurs le fondateur de l’Association Shotokan Canada, reconnue par Karaté Canada et par la Fédération internationale de karaté.

Premier Québécois à récolter une médaille d’or en kata aux Championnats canadiens de 1986, 1987, 1988, 1992 et 1994, Guy Brodeur a cumulé les médailles d’argent en kata et en kumite, en plus de remporter la médaille de bronze en kata, en 1983, avec l’équipe du Québec. Décoré « athlète de l’année », en 1990, par l’Association nationale de Karaté pour ses performances,  Guy Brodeur a également été médaillé d’or en kata et en kumite lors de la World Kubota Cup, à Toronto.

Grand pédagogue, Guy Brodeur a assuré, de 1998 à 2001, le poste d’entraîneur de l’équipe canadienne de karaté qui, sous sa direction, a cumulé les victoires et fracassé tous ses records. Le karatéka maskoutain a également remporté, en 2003, la médaille d’argent en kata au Championnat canadien. Depuis un an, Guy Brodeur est représentant en chef du style Shotokan pour Karaté Canada.

 

Luc Brodeur-Jourdain, joueur des Alouettes de Montréal

Athlète au talent incontesté et équipier apprécié par ses pairs, Luc Brodeur-Jourdain joue pour les Alouettes de Montréal depuis plusieurs années. Ce Maskoutain d’origine a fait ses débuts au football avec les Géants du Cégep de Saint-Jean, puis, avec le Rouge et Or de l’Université Laval, avec lequel il a remporté trois championnats de la Coupe Vanier.

Figurant en 2007 et 2008 sur la première équipe d’étoiles du Sport interuniversitaire canadien, il a également fait partie de l’équipe d’étoiles de la conférence Québec en 2006, 2007 et 2008, avant d’intégrer l’équipe des Alouettes de Montréal, avec qui il a remporté deux coupes Grey consécutives. Luc Brodeur-Jourdain a également été sélectionné à plusieurs reprises au sein de l’équipe  d’étoiles de la Ligue canadienne de football et de la division Est.

Sa détermination et son perfectionnisme lui ont d’ailleurs valu le titre de « joueur de ligne par excellence des Alouettes de Montréal », en 2013 et « Joueur canadien par excellence », en 2015. Son éthique de travail, son engagement et sa détermination ont également été récompensés en novembre dernier, lors du gala de la Ligue canadienne de football, où il a remporté le Trophée des anciens combattants Jake-Gaudar pour sa force, sa persévérance, son courage, sa camaraderie et son implication communautaire.

Son charisme, son leadership et son esprit d’équipe marquent ceux qui croisent le chemin de Luc Brodeur-Jourdain. Son engagement, tant au sein de la communauté maskoutaine que du programme Ensemble à l’école des Alouettes de Montréal, fait de lui un modèle pour les jeunes sportifs.

 

Une journée chargée au Parlement
Les invités et leurs proches ont assisté à la période de questions et réponses orales, au salon bleu, où ils ont pu entendre la déclaration de la députée Chantal Soucy. Ils ont ensuite participé à une visite guidée du parlement, avant de prendre part à la cérémonie de remise de médailles, où ils ont pu rencontrer le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, et discuter avec les députés présents.

Une image vaut mille mots : la ministre Stéphanie Vallée visite le palais de justice de Saint-Hyacinthe


 Publié le 19 mars 2018
 

C’est en réaction aux interventions répétées de la députée Chantal Soucy dans le dossier de l’agrandissement et de rénovation du palais de justice de Saint-Hyacinthe que la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, s’est finalement déplacée à Saint-Hyacinthe, le 16 mars dernier, afin de constater par elle-même l’état des lieux.

Accompagnée de la directrice de l’établissement, du juge en chef et de représentants du ministère, Stéphanie Vallée a dû admettre que les locaux du palais de justice de Saint-Hyacinthe étaient inadéquats. Également présente lors de la visite, la députée Chantal Soucy a soulevé de nombreuses failles au niveau de la sécurité des lieux : « Des bureaux de juges sont accessibles via un corridor commun, ce qui permet au public, entre autres aux accusés et à leurs proches, d’avoir un accès direct à ceux qui prononcent les sentences », a-t-elle souligné. « L’espace est si restreint que les accusés et leurs victimes se côtoient dans la salle d’attente que partagent le CAVAC et le prétoire. Au tribunal jeunesse, il n’y a même pas assez de place pour aménager un box des accusés, ce qui augmente considérablement les risques d’excès de violence. Et ce n’est pas tout ! Dans l’une des salles d’audience, qui est utilisée sur une base régulière, l’espace est si contigu que l’accusé, le procureur et le juge peuvent pratiquement se tenir la main ! Cette proximité malsaine menace gravement la sécurité de l’établissement. Du personnel a été ajouté pour palier le problème, mais ça revient à mettre un pansement sur une jambe de bois », s’est désolée la députée caquiste.

Afin de remédier au manque d’espace, un étage complet du palais de justice a fait l’objet d’un désamiantage, il y a longtemps, mais les travaux demeurent inachevés, à ce jour. « C’est un éléphant blanc. Beaucoup d’argent a été investi dans la décontamination, mais cet espace reste inutilisé et, selon les informations que j’ai obtenues, aucun aménagement n’est prévu dans un avenir rapproché », a déploré Chantal Soucy. La députée de Saint-Hyacinthe a également été stupéfaite par l’étroitesse des bureaux du Directeur des poursuites criminelles et pénales, où les procureurs doivent cohabiter en groupe de deux. Elle se dit toutefois optimiste et espère que la visite de la ministre de la Justice accélérera les procédures dans ce dossier qui stagne depuis dix ans : « Ce que l’expérience m’a démontré, c’est que les ministres ont souvent besoin de voir les failles de leurs propres yeux pour comprendre l’ampleur du problème. On a beau exposer un problème cent fois sur papier, rien ne vaut une visite des lieux en bonne et due forme », a déclaré Chantal Soucy, rappelant que la visite de l’urgence de l’Hôpital Honoré-Mercier par le ministre Gaétan Barrette, en 2016, avait été déterminante  dans l’octroi d’une subvention de 45 M$ pour sa réfection.

Le projet d’agrandissement et de rénovation du palais de justice de Saint-Hyacinthe connaîtra enfin un développement au cours des prochains mois, avec le dépôt du dossier d’opportunités. À l’heure actuelle, plusieurs scénarios concernant la réorganisation des locaux pendant la période de rénovation du palais de justice sont toujours en cours d’analyse.

Parlement des jeunes: une expérience enrichissante pour les élèves de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme


 Publié le 30 janvier 2018
 

C’est avec grand plaisir que la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a accueilli les élèves de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme à l’Assemblée nationale, jeudi dernier, dans le cadre du Parlement des jeunes 2018.

Au cours de cette 16législature, plus de 135 jeunes de 3e et 4e secondaire, venant de 39 écoles du Québec, ont eu la chance de s’initier au travail parlementaire et de se familiariser avec les rôles de représentant, de législateur et de contrôleur des actions du gouvernement qu’exercent les députés. Ils ont notamment étudié trois projets de loi portant sur la création d’un cours de civisme et d’éducation à la citoyenneté pour les élèves du secondaire, sur le contrôle et la prévention des résidus alimentaires, ainsi que sur l’utilisation des véhicules électriques et l’amélioration des infrastructures de recharge de ces véhicules.

La députée Chantal Soucy s’est prêtée au jeu en assurant le rôle de présidente de commission, dans le cadre de l’étude du projet de loi no 3 – Loi sur l’électrification des transports à usage personnel, déposé par Benjamin Roy, élève de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme. « Ce fut un véritable honneur pour moi de participer à cette édition du Parlement des jeunes et d’encourager les élèves de notre région. Nos jeunes sont talentueux, ils ont des idées plein la tête et il faut les écouter », a-t-elle déclaré avec enthousiasme. « Je suis convaincue que le Parlement des jeunes leur aura permis d’élargir leurs horizons, de mieux comprendre l’impact de la politique dans leur vie et de réaliser l’importance de l’implication citoyenne dans une démocratie comme la nôtre. C’est une expérience très enrichissante pour nos jeunes et je remercie d’ailleurs leur enseignant, M. Samuel Labrie, qui leur a permis de vivre cette aventure et qui a consacré temps et énergie à la préparation de ce projet », a conclu la députée caquiste, qui a également octroyé une aide financière à cette initiative.

« Sans le soutien financier précieux de Mme Soucy, l’activité n’aurait pas pu avoir lieu, puisque les coûts associés à ce projet sont très élevés. Pour une deuxième année consécutive, Mme Soucy a permis à nos jeunes de vivre une expérience hors du commun et nous l’en remercions », a déclaré, pour sa part, l’enseignant d’univers social.

Cette simulation, qui fait partie intégrante de la mission éducative de l’Assemblée nationale, est réalisée avec la collaboration de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant.

Réduction et uniformisation de la taxe scolaire sous un gouvernement de la CAQ


 Publié le 25 janvier 2018
 

Au terme du caucus présessionnel de sa formation politique, François Legault a annoncé qu’un gouvernement de la CAQ réduirait et gèlerait le taux de taxation scolaire au niveau le plus bas actuellement, soit 0,1054 $ par tranche de 100 $ d’évaluation foncière, sur une période de 4 ans. À titre comparatif, le taux établi par la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe pour l’année 2017-2018 se situe à 0,34161, frôlant ainsi la limite de 0,35 permise par le Ministère de l’Éducation.

Pour les citoyens de la grande région de Saint-Hyacinthe, cette mesure caquiste représenterait une réduction de 69 % de la taxe scolaire. À titre d’exemple, le propriétaire d’une résidence évaluée à 250 000 $ se retrouverait à verser 264 $ à la Commission scolaire, comparativement au montant actuel de 854 $, une économie non négligeable de près de 600 $.

« Actuellement, avec un taux de 0,34161, nous figurons parmi les régions les plus taxées à travers le Québec… et on ne peut pas dire que nos écoles se portent mieux qu’ailleurs pour autant ! », a dénoncé Chantal Soucy. « Depuis l’arrivée du gouvernement libéral au pouvoir, il y a 15 ans, le montant récolté par les taxes scolaires a grimpé de 113 %, soit environ 1,2 milliard de dollars. Seulement au cours des 5 dernières années, les Québécois ont subi une hausse de 700 millions de dollars », a-t-elle déploré. « Actuellement, les libéraux font miroiter une baisse de taxe scolaire, mais encore une fois, certaines régions seront désavantagées. Ce qu’on propose, à la CAQ, c’est de ramener les revenus de taxe scolaire au niveau où ils se situaient avant l’arrivée des libéraux au pouvoir, en 2003 et d’établir une mesure équitable pour toutes les régions du Québec, afin que les taux ne soient pas arbitraires et que les familles ne soient pas pénalisées par leur lieu de résidence », a conclu la députée Chantal Soucy.

Cette mesure de la CAQ représenterait une baisse de taxe globale de 700 millions de dollars pour les familles du Québec, par rapport à la nouvelle promesse libérale.

Sensible à la récente vague de dénonciation, la députée Chantal Soucy se mobilise avec les acteurs du milieu


 Publié le 4 décembre 2017
 

Dans le cadre des 12 journées d’action contre la violence faite aux femmes, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, s’est jointe à la Clé sur la Porte, ainsi qu’au Centre de femmes L’Autonomie en SoiE, pour dénoncer la violence faite aux femmes, lors d’une conférence de presse à son bureau de circonscription.

Les représentantes des organismes présents se sont relayées pour souligner l’importance des 12 journées d’action contre la violence faite aux femmes, campagne qui se déroule du 25 novembre au 6 décembre, au Québec. « Nous sommes dans une période historique », a déclaré Céline Coulombe, coordonnatrice de la Clé sur la Porte. « Nous sommes témoins d’une vague de dénonciation sans précédent qui fait bouger les consciences. Partout et à tous les niveaux, des gens se mobilisent et prennent conscience  de l’ampleur de la problématique de la violence faite aux femmes et de la nécessité de s’impliquer personnellement pour changer les mentalités ».

Un financement supplémentaire pour la Clé sur la Porte, obtenu par Chantal Soucy

Sensible à la situation, la députée Chantal Soucy a décidé d’agir concrètement. « Lorsque j’ai vu les chiffres, lorsque j’ai appris qu’au Québec, en 2014, 18 746 cas de violence conjugale avaient été répertoriés et qu’au cours des deux dernières années, 3 femmes de notre région avaient été assassinées par leur conjoint, j’ai senti le besoin d’en faire plus. Alors, quand Céline Coulombe de la Clé sur la Porte m’a approchée pour me demander une aide financière dans le cadre du programme de soutien à l’action bénévole, j’ai eu envie d’aller plus loin » a-t-elle déclaré. « Je lui ai proposé d’aller chercher un financement supplémentaire pour que l’organisme puisse moderniser ses installations. Pour moi, c’était clair : les femmes victimes de violence conjugale et leurs enfants doivent pouvoir avoir accès à un milieu de vie sécuritaire, chaleureux et adapté à leurs besoins. C’est ce qui a motivé mes démarches auprès du ministre de la Santé et des Services sociaux, qui a accepté d’octroyer un montant de son budget discrétionnaire à la Clé sur la Porte », a expliqué Chantal Soucy. « La violence conjugale n’a pas sa place et ne peut être tolérée dans notre société.  En tant que députée de Saint-Hyacinthe, en tant que femme, mais aussi en tant que mère, je me devais d’envoyer un message clair et de soutenir concrètement la cause », a-t-elle ajouté.

Pour la coordonnatrice de la Clé sur la Porte, cette contribution de la députée Chantal Soucy a été grandement appréciée. « Chaque année,  depuis 36 ans maintenant, la maison accueille plus d’une centaine de femmes et autant d’enfants en hébergement pour des séjours de quelques jours à quelques mois. Une subvention gouvernementale permet de couvrir une partie des frais de fonctionnement, mais il nous faut toujours chercher de l’aide supplémentaire pour boucler le budget, ce qui nous laisse très peu de marge de manœuvre pour les réparations ou le remplacement de mobilier. Grâce à l’aide que nous recevons aujourd’hui de Mme Soucy, nous pouvons remplacer des appareils électroménagers qui ne pouvaient plus être réparés et changer des recouvrements de sol.  C’est une aide inestimable pour nous et pour toutes les femmes et enfants qui, grâce à ce genre de solidarité, peuvent trouver refuge dans un endroit non seulement sécuritaire, mais salubre et accueillant », a conclu la coordonnatrice de l’organisme, qui a profité de l’occasion pour remettre une plaque de remerciement à la députée caquiste, en guise de reconnaissance. Cette plaque sera d’ailleurs exposée à la maison d’hébergement de la Clé sur la Porte.

Chantal Soucy a conclu la conférence de presse en remerciant l’ensemble des administrateurs et des bénévoles des organismes communautaires présents. « Ces personnes offrent un soutien incroyable aux femmes de notre région dans le besoin. Elles font une réelle différence dans la vie des femmes et des enfants qu’elles aident. Je leur témoigne toute mon appréciation et les remercie du fond du cœur pour leur travail acharné », a-t-elle déclaré.

Les services offerts par la Clé sur la Porte, tels que l’hébergement et le soutien, sont disponibles 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ils sont gratuits et confidentiels.  De son côté, le Centre de femmes L’Autonomie en SoiE offre un lieu de rencontre où les femmes de tous les milieux peuvent venir échanger entre elles à partir d’expériences de vie communes, trouver des services d’accompagnement et d’information liés à leur vécu, ou encore être référées à un autre organisme.

La députée Chantal Soucy accueille les organismes communautaires de la Montérégie au parlement


 Publié le 30 novembre 2017
 

La députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a accueilli les représentants d’une quinzaine d’organismes communautaires de la Montérégie, dont cinq provenant de la grande région de Saint-Hyacinthe (le Centre Louise Bibeau, la Maison alternative de développement humain, le Centre de bénévolat d’Acton Vale, l’Auberge du cœur Le Baluchon et la Maison des Jeunes des Quatre-Vents) ce matin, à l’Assemblée nationale, pour un point de presse.

Cette démarche, initiée par la Table régionale des organismes communautaires et bénévoles de la Montérégie, visait à dénoncer le sous-financement dont sont victimes 90 % des organismes communautaires de la Montérégie. La députée Chantal Soucy a accepté de se joindre à eux pour interpeller la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie, Lucie Charlebois, et lui rappeler l’importance capitale des organismes communautaires dans la société québécoise. « Ce sont des partenaires essentiels au réseau de la santé et des services sociaux de la Montérégie. Chaque jour, sur le terrain, je constate leur rôle primordial dans ma circonscription. Ils écoutent, hébergent, conseillent et accueillent des milliers de citoyens dans le besoin. Depuis des années, ils font des miracles avec très peu de ressources et aujourd’hui, ils sonnent l’alerte. Plus que jamais, la pérennité des services qu’ils offrent, aussi essentiels soient-ils, est en péril. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’être à leurs côtés ce matin : pour leur témoigner toute ma gratitude, mais aussi pour manifester mon appui à leur cause », a expliqué la députée caquiste.

Elle a d’ailleurs conclu le point de presse en s’adressant directement à la ministre libérale Lucie Charlebois : « Madame la ministre, dans le contexte actuel de surplus budgétaires, il faut avoir le courage politique de revoir le financement des organismes communautaires qui peinent à suffire à la demande, afin de faciliter leur travail et de leur permettre de se concentrer sur leur mission ».

La députée Chantal Soucy rend hommage à Fernand Grégoire, grand bâtisseur du mouvement communautaire maskoutain


 Publié le 16 novembre 2017
 

C’est dans les tribunes du Salon bleu de l’Assemblée nationale et entouré de ses proches que Fernand Grégoire a assisté, ce matin, à l’hommage que lui a rendu la députée Chantal Soucy.

Véritable artisan du mouvement communautaire maskoutain, Fernand Grégoire a consacré plus de 40 ans de sa vie aux personnes vulnérables de sa région. Il a notamment oeuvré au sein de trois coopératives et d’une quinzaine d’organismes communautaires. Il est d’ailleurs le cofondateur de neuf d’entre eux, dont le Mouvement Action-Chômage, l’Association coopérative d’économie familiale et le comité Logemen’mêle, qui existent encore à ce jour.

À l’aube de la retraite de celui qui est considéré comme l’un des piliers du milieu communautaire à Saint-Hyacinthe, la députée Chantal Soucy a tenu à lui témoigner toute sa gratitude. « Le temps dont je dispose aujourd’hui n’est pas suffisant pour dresser la liste de tout ce qu’a accompli M. Grégoire au cours des 40 dernières années », a-t-elle précisé. « Je ne peux que souligner son apport indéniable à notre communauté et le remercier pour son dévouement exemplaire. Nous savons à quel point les personnes impliquées comme Monsieur Grégoire ont une valeur inestimable pour la société québécoise. Monsieur Grégoire, mille fois merci », a-t-elle conclu.

Les députées Brigitte Sansoucy et Chantal Soucy unissent leurs voix pour féliciter les élus municipaux et souligner l’implication des femmes en politique municipale


 Publié le 7 novembre 2017
 

Au lendemain des élections municipales, les députées Chantal Soucy et Brigitte Sansoucy ont tenu à féliciter les candidats élus dans leurs circonscriptions respectives. Elles ont également profité de l’occasion pour souligner de façon particulière l’implication significative des femmes de leur région.

« Nous sommes à un tournant de notre histoire. Pour la première fois en 375 ans, Montréal a choisi une femme à la mairie. Dans la circonscription de Saint-Hyacinthe seulement, neuf femmes ont été nouvellement élues, pour un total de 19. À Saint-Hyacinthe et à Saint-Dominique, les conseils municipaux ont presque atteint la parité  », a souligné la députée caquiste, Chantal Soucy. « S’impliquer en politique, ça prend du courage, surtout lorsqu’on est une femme. Concilier nos rôles de mère, de conjointe et d’élue n’est pas une tâche facile et, souvent, on se heurte aux doubles standards. Je salue donc toutes celles qui ont eu le courage de soumettre leur candidature et de plonger dans l’arène politique. Nous avons besoin davantage de femmes pour nous représenter au sein des postes de pouvoir et je suis ravie de constater qu’on tend à y arriver », a-t-elle poursuivi.

« J’ai toujours encouragé la relève en politique, particulièrement lorsqu’elle est féminine. En tant que membre et donatrice du Groupe Femmes, Politique et Démocratie, je réfère souvent des femmes à leurs formations, qui sont toujours très pertinentes », d’ajouter la députée à la Chambre des communes, Brigitte Sansoucy. « De plus, j’ai tenu à deux reprises des rencontres d’information destinées aux femmes qui désirent s’impliquer en politique et j’ai l’intention d’en tenir d’autres, tant la réponse de mes consœurs est vive », a-t-elle renchéri.

En terminant, les deux députées ont tenu à réitérer leur soutien aux nouveaux élus : «  Je félicite l’ensemble des maires et des conseillers municipaux pour l’obtention de leur nouveau mandat. C’est avec plaisir que je poursuivrai mon travail avec eux et, comme toujours, ils pourront compter sur mon entière collaboration », a conclu Chantal Soucy.

« Je tiens à féliciter tous les élus de l’élection 2017. Le nombre impressionnant de candidatures dans l’ensemble de nos municipalités démontre la vigueur de la démocratie ainsi que l’intérêt des citoyens pour la vie politique locale. J’encourage chacun de nos élus à ne pas hésiter à entrer en contact avec moi. Le dynamisme de notre région passe par la collaboration et c’est avec enthousiasme que j’entends le faire », de conclure Brigitte Sansoucy.

La députée Chantal Soucy souligne l’ordination de Monseigneur Rodembourg, dans une déclaration prononcée à l’Assemblée nationale


 Publié le 24 octobre 2017
 

Le 27 septembre dernier, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a rendu hommage au nouvel évêque de Saint-Hyacinthe, Monseigneur Christian Rodembourg, dont l’ordination épiscopale a eu lieu le 17 septembre.

Dans son discours, la députée caquiste a d’abord relaté la vie de l’évêque. Ordonné prêtre en 1995, Monseigneur Rodembourg est connu pour son livre Prier 15 jours avec Père Eusèbe-Henri Ménard,  traduit en trois langues. Durant 22 ans, il a exercé son ministère presbytéral dans le diocèse de Saint-Jean-Longueuil, tout en apportant sa contribution à différents conseils diocésains. Il s’est également impliqué au sein de plusieurs mouvements, dont la Société des Missionnaires des Saints-Apôtres et les Équipes Notre-Dame du Canada.

« Partout où il passe, Monseigneur Rodembourg laisse derrière lui le souvenir d’un homme d’équipe, dévoué et près des gens », a affirmé Chantal Soucy. « Après 19 ans de loyaux services, Monseigneur Lapierre peut donc se retirer en toute quiétude ; son diocèse continuera d’être entre bonnes mains avec Monseigneur Rodembourg », a-t-elle conclu.

Mgr Rodembourg étant à l’extérieur du pays lors de la déclaration, la députée de Saint-Hyacinthe lui a rendu visite, le 23 octobre dernier, pour lui remettre en mains propres la transcription officielle de sa déclaration.

La députée Chantal Soucy rend hommage à Stéphane Martineau


 Publié le 5 octobre 2017
 

La députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a souligné la détermination d’un jeune homme de sa circonscription, Stéphane Martineau, à l’occasion du Gala des Prix Leviers qui s’est tenu le 4 octobre dernier, à Québec.

Cet événement, initiative du Regroupement des Organismes Communautaires Autonomes Jeunesse du Québec (ROCAJQ), rend hommage aux jeunes qui, malgré un parcours de vie atypique, ont réussi à se tailler une place au sein de la société et à devenir des acteurs de changement.

Un jeune qui se distingue

Pour Stéphane Martineau, la poursuite des études, ainsi que l’intégration au marché du travail ont toujours représenté un défi de taille. Ce sont ces difficultés qui l’ont incité à joindre les Ateliers Transition, il y a quelques mois. Dès son arrivée, son assiduité et sa persévérance ont été remarqués par l’équipe. Très vite, il a su démontrer du leadership en accueillant les nouveaux employés et en les prenant sous son aile.

C’est d’ailleurs ce qu’a voulu mettre en relief la députée Chantal Soucy, lorsqu’elle s’est adressée à lui pour la remise du prix et d’un certificat de l’Assemblée nationale: « À travers les embuches auxquelles vous avez fait face, vous avez toujours fait preuve de persévérance, d’assiduité et de courage. Votre dévouement, votre résilience et votre ouverture aux autres ont été remarqués par vos pairs aux Ateliers Transition. Ces qualités vous suivront toute votre vie et vous ouvriront les portes des plus belles opportunités. Continuez de foncer tête baissée dans la vie, de croire en vous et de surmonter les obstacles qui se mettront en travers de votre chemin. Vous êtes un exemple de détermination pour nos jeunes! Toutes mes félicitations! »  a-t-elle déclaré.