Est-ce que la culture québécoise est en danger dans l’univers numérique ?


 Publié le 3 juillet 2025

Notre culture, c’est notre identité, c’est qui nous sommes comme Québécois. Elle nous fait vivre de grandes émotions et nous fait rayonner sur la scène internationale. Grâce au travail de Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et de la région de l’Outaouais, des pas importants ont été franchis pour permettre au Québec de préserver sa souveraineté culturelle, son identité et sa langue, en d’autres mots, sa culture. Ce travail nous permet aussi de nous assurer que notre jeunesse embarque dans ce mouvement car l’avenir leur appartient et cet avenir au Québec, on le chante ensemble, en français !

Rappelons-nous quelques chiffres issus de l’Observatoire de la langue française :

Un constat est clair : si nous voulons que la culture québécoise survive au XXIe siècle, qu’elle reste une culture qui touche au cœur les gens d’ici, alors il faut se mobiliser dès maintenant. Mais par où commencer? C’est pour répondre à cette question que Mathieu Lacombe a mandaté un comité d’experts afin de déterminer les meilleurs outils possibles pour préserver la souveraineté culturelle du Québec à l’ère du numérique. Leurs conclusions sont sans appel. Dans un rapport publié le 31 janvier 2024, ils recommandent au gouvernement québécois d’emboiter le pas au gouvernement fédéral (C-11 et C-18) et de lui aussi légiférer afin de garantir que les plateformes numériques mettent en avant les contenus francophones dans leurs opérations au Québec.

Un projet de loi historique

Le 21 mai dernier, Mathieu Lacombe dépose un projet de loi visant à insérer dans la Charte québécoise des droits et libertés du Québec, le droit pour tous les québécois d’avoir accès à des contenus culturels francophones. À ce droit, se joindra aussi une loi sur la découvrabilité des produits culturels francophones dans l’environnement numérique (Loi affirmant la souveraineté culturelle du Québec et édictant la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique.).

La culture québécoise doit prendre toute la place qui lui revient dans l’espace numérique. Des contenus francophones doivent naturellement faire partie de ce qui est proposé au public québécois.

Quatre grands aspects dans le projet de loi : 

  • Les Québécois et les Québécoises gagnent le droit d’avoir accès à leur culture.
  • Il y aura une obligation de visibilité, de promotion et de disponibilité des contenus culturels francophones pour les plateformes;
  • Si une entreprise ne peut pas se conformer à ses obligations, par exemple en raison de son modèle d’affaires, elle aura lors l’opportunité de conclure une entente de substitution avec le gouvernement, entente par laquelle l’entreprise et le gouvernement conviendront ensemble d’autres mesures à être posées par l‘entreprise pour que cette dernière se conforme tout de même aux objectifs de la loi.
  • Finalement, en plus de viser les services de visionnement en ligne de contenus audiovisuels et les services d’écoute de musique, de balados et de livres audios, nous incluons aussi dans cette loi les télévisions connectées. Nos diffuseurs nationaux, que ce soit Télé-Québec, Radio-Canada, TV5, mais aussi Crave et Illico doivent être accessibles facilement au grand public.

Le Québec à l’avant-garde de la francophonie numérique

En parallèle des travaux entourant ce projet de loi, le ministre de la Culture multiplie les actions auprès des instances internationales que sont l’UNESCO et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) afin d’y construire une coalition d’États déterminés à agir pour défendre la culture au travers des bouleversement technologiques que nous traverserons. D’ailleurs, Mathieu Lacombe et son homologue, la ministre de la Culture française, Mme Rachida Dati, ont co-présidé un groupe de travail sur la découvrabilité. En février 2025, ils ont dévoilé ensemble la Stratégie France-Québec pour la diversité des contenus culturels dans l’environnement numérique.

Le 21 mai dernier et à l’invitation de M. Lacombe, 40 États et gouvernements membres de l’OIF, dont 20 ministres de la Culture, se sont réunis à Québec. Ensemble, ils ont signé la déclaration de Québec, qui énonce l’engagement des États et gouvernements francophones à mettre en œuvre des mesures qui incitent les acteurs du numérique, en particulier les plateformes, à poser des gestes en faveur d’une plus grande découvrabilité des contenus culturels en langue française.

Les 19 et 20 juin derniers, à l’occasion de la Xe Conférence des parties de la Convention de 2005 sur la diversité culturelle de l’UNESCO, le Québec était parmi les joueurs clefs d’une vaste coalition d’États voulant convaincre la communité internationale qu’en plus du travail à l’échelle nationale, il nous faudra également travailler ensemble sur des outils normatifs contraignants internationaux. C’est la même révolution technologique qui nous frappe tous. Que les 178 États membres de l’UNESCO aient non seulement reconnu que les États devront agir pour défendre leur culture dans l’univers numérique, mais qu’ils aient de plus déjà lancés des travaux pour y parvenir, démontre que le Québec a eu raison de se mobiliser et qu’il a un rôle à jouer sur la scène internationale lorsqu’il est question de langue et de culture.

Comme parti, nous utilisons tous les moyens à notre disposition pour nous doter d’un cadre législatif robuste et d’une action politique forte, ensemble capables de résister à la grande vague d’homogénéisation culturelle qui frappe actuellement la planète tout entière. Il en va de la survie de notre culture et donc de notre identité.

Est-ce qu’il y a vraiment des coupes dans le budget de l’Éducation au Québec?


 Publié le 26 juin 2025

Les chiffres sont clairs : pas du tout!

Depuis l’élection du gouvernement de la CAQ et la fin de l’austérité libérale, les sommes allouées à l’éducation ont augmenté chaque année. Les services aux élèves aussi.

  1. Cette année, le budget de l’Éducation a augmenté de 5 %
  2. Sous la CAQ, le budget de l’Éducation a augmenté de 58 %
  3. Sous la CAQ, les services aux élèves ont augmenté plus vite que le nombre d’élèves

Le gouvernement de François Legault a réinvesti massivement dans les services publics, et les chiffres ci-dessous le démontrent.

1. Cette année, le budget de l’Éducation a augmenté de 5 %

Contrairement à ce que prétendent les oppositions, le budget du ministère de l’Éducation n’a pas été coupé cette année. Au contraire, il a augmenté de plus d’un milliard de dollars, de 22,4 G$ à 23,5 G$.

Source : Ministère des Finances du Québec

Alors que l’inflation ralentit au Québec et ailleurs au Canada, il s’agit d’une hausse réelle importante du budget consacré à rénover les écoles, rémunérer les enseignants et embaucher des professionnels pour soutenir les élèves.

Avec une hausse de 5 % en un an, on ne peut pas parler de coupes, tout simplement!

2. Sous la CAQ, le budget de l’Éducation a augmenté de 58 %

Non seulement le budget de l’Éducation a augmenté cette année, mais c’est le cas chaque année depuis que la Coalition Avenir Québec est au pouvoir.

Source : Ministère des Finances du Québec

La dernière fois qu’une coupure dans le budget de l’Éducation a eu lieu, c’est sous les libéraux de Philippe Couillard en 2015-16. Depuis son arrivée au pouvoir, la CAQ a augmenté les fonds alloués en éducation substantiellement chaque année.

Il s’agit d’une hausse cumulative de 58 % depuis 2018!

3. Sous la CAQ, les services aux élèves ont augmenté plus vite que le nombre d’élèves

Grâce aux sommes allouées, ce sont surtout les services aux élèves qui augmentent depuis que le gouvernement caquiste est au pouvoir.

Source : Ministère de l’Éducation du Québec

Depuis 2018, le nombre d’élèves a augmenté de manière importante, ce qui a nécessité plus de ressources dans le réseau de l’éducation. Cependant, le nombre d’enseignants, de professionnels et de personnel de soutien a augmenté encore plus rapidement.

Les investissements de la CAQ donnent plus de services pour nos enfants!

Le bilan de la CAQ, c’est plus d’argent en éducation et plus de services aux élèves!

Loin de couper en éducation, le gouvernement de la CAQ a investi plus que jamais! Avec une hausse de 5 % l’an dernier, et une hausse cumulative de 58 % depuis 2018, le système d’éducation québécois n’a jamais eu autant de moyens.

Comme l’affirmait Mario Dumont dans le Journal de Montréal, même lorsqu’on prend en compte l’inflation, il s’agit d’une hausse significative des sommes allouées par élève : « nous en sommes venus à confondre une coupe avec une augmentation de budget de 5 % ». Ce réinvestissement a permis d’amener plus d’enseignants, de professionnels et de personnel de soutien dans les classes. Ce sont les élèves qui en sortent gagnants.

Le gouvernement de la Coalition Avenir Québec va continuer de réinvestir en éducation, dans l’intérêt de nos enfants.

Pourquoi le gouvernement de la CAQ veut changer le mode de rémunération des médecins?


 Publié le 10 juin 2025

Pour que tous les Québécois aient accès aux soins quand ils en ont besoin!

Le 8 mai dernier, le ministre de la Santé, Christian Dubé, a déposé le projet de loi 106 pour revoir le mode de rémunération des médecins au Québec. Il propose notamment qu’une partie de la rémunération des médecins soit liée à des résultats d’accès pour les Québécois, comme des rendez-vous disponibles au bon moment, moins d’attente pour voir un spécialiste ou se faire opérer.

C’est un changement majeur pour le système de santé québécois, fondé sur plusieurs constats qui démontrent le besoin de changer le mode de rémunération actuel :

  1. Plus de Québécois ont accès à un professionnel depuis 2018, mais l’inscription à un médecin diminue
  2. Les médecins du Québec sont les mieux payés au Canada
  3. Le Québec a plus de médecins par habitant que la moyenne canadienne, mais moins qui travaillent à temps plein
  4. Alors que le salaire des médecins a beaucoup augmenté depuis 10 ans, le nombre d’actes médicaux et de patients vus est en baisse
  5. Il faut lier le salaire des médecins à la prise en charge des Québécois

Avant d’aller plus loin, précisons clairement que tous les Québécois qui ont actuellement un médecin de famille vont le conserver. C’est la même chose pour toutes les personnes inscrites collectivement à un milieu de soin.

Plus de Québécois ont accès à un professionnel depuis 2018, mais l’inscription à un médecin diminue

Depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a accompli des gestes importants pour améliorer l’accès. Depuis 2022, le Guichet d’accès à la première ligne (GAP) permet d’offrir à des patients qui n’ont pas de médecin de famille, un accès aux soins dont ils ont besoin.

Les Québécois peuvent également être affiliés à un groupe de médecins depuis 2022, et, depuis 2024, à une infirmière praticienne spécialisée. Ces changements ont fait en sorte que l’affiliation à un professionnel est passée de 77,5 % de la population en 2018 à 83,5 % en 2025.

Source : Tableau de bord, ministère de la Santé et des Services sociaux

Malgré ces progrès importants, l’affiliation des Québécois stagne sous la barre des 85 %. Pour que 100 % des Québécois soient pris en charge, il faut aller plus loin. Les médecins ont un rôle central à jouer pour que cela arrive. Tout le monde doit faire sa part.

Les médecins du Québec sont les mieux payés au Canada

Actuellement, les Québécois paient plus de 8 milliards de dollars par année pour rémunérer les médecins, ce qui représente 16 % des dépenses en santé. Lorsque l’on prend en compte le coût de la vie, on constate également que les médecins omnipraticiens du Québec sont les mieux payés à l’échelle du Canada : un médecin qui travaille à temps plein gagne 414 000 $, soit 105 000 $ de plus qu’en Ontario!

Source : Données BDNM, ICIS 2022

Quant aux médecins spécialistes, ils se situent au-dessus de la moyenne canadienne. Pour augmenter l’accès, la solution n’est donc pas d’augmenter à nouveau le salaire de ces derniers. 

Le Québec a plus de médecins par habitant que la moyenne canadienne, mais moins qui travaillent à temps plein

Plus encore, les données nous montrent que le Québec a plus de médecins par habitant que la moyenne canadienne. Cependant, pour 263 médecins par 100 000 habitants, seulement 170 travaillent à temps plein. Ainsi, le Québec est à l’avant-dernier rang des provinces canadiennes quant au nombre de médecins à temps plein pour 100 000 habitants.

Source : Données BDNM, ICIS 2022

Pour assurer une meilleure prise en charge des Québécois, il faut donc travailler différemment.

Alors que le salaire des médecins a beaucoup augmenté depuis 10 ans, le nombre d’actes médicaux est en baisse

Une récente étude de la Chaire de recherche Jacques-Parizeau en politiques économiques de HEC Montréal met en lumière un phénomène troublant : alors que la rémunération des médecins a augmenté de manière importante depuis 2010, le nombre d’actes posés a diminué depuis 2011.

Source : Données BDNM, ICIS 2022

Depuis 2010, on constate que la rémunération des médecins omnipraticiens a augmenté de 63 %, alors que celle des médecins spécialistes a augmenté de 65 %. Cette hausse provient des tarifs plus élevés payés à l’acte, et non d’une hausse d’actes effectués. Au contraire, le nombre d’actes posés a baissé!

Source : Données BDNM, ICIS 2022

Entre 2011 et 2023, la quantité d’actes posés par les médecins spécialistes au Québec a baissé de 5 %. Quant aux omnipraticiens, le nombre d’actes a chuté de 26 %, plus du quart! C’est ainsi que les chercheurs de HEC Montréal affirment que « la hausse des prix pour les actes réalisés a eu un effet négatif dans l’ensemble sur le volume d’actes réalisés et sur le nombre de visites effectuées par les médecins au Québec ».

Autrement dit, plus le salaire des médecins a augmenté, moins ils ont fait d’actes et de visites!

Il faut lier le salaire des médecins à la prise en charge des Québécois

Les chiffres le démontrent, le mode de rémunération actuel des médecins ne fonctionne pas. Présentement, 1,5 million de Québécois n’ont pas de médecin de famille ni de professionnel de la santé attitré. De ce nombre, plus de la moitié sont vulnérables, c’est-à-dire qu’ils ont des ennuis de santé importants, nécessitant plus de suivi.

Pour que tous les Québécois soient enfin pris en charge, il faut changer les choses.

C’est pourquoi le gouvernement de la CAQ propose de lier une partie de la rémunération des médecins à la prise en charge des patients, selon le principe de capitation, c’est-à-dire une rémunération basée sur le nombre de patients pris en charge plutôt que sur le nombre d’actes médicaux. Il y aura aussi une prise en compte de la vulnérabilité des patients, pour que les Québécois qui ont des problèmes de santé importants ne soient pas laissés de côté.

Depuis l’annonce du projet de loi de Christian Dubé, les syndicats de médecins mettent beaucoup de pression sur le gouvernement, et même sur leurs patients

100 % des Québécois méritent d’être pris en charge dans notre système de santé. Pour avoir des résultats différents, on doit faire les choses autrement. Le gouvernement de la CAQ aura le courage d’aller jusqu’au bout.

Un budget responsable pour faire face à Donald Trump


 Publié le 28 mars 2025

Face aux turbulences économiques, l’économie québécoise traverse des défis, et le gouvernement de la CAQ doit protéger notre économie en soutenant nos entrepreneurs et en réinvestissant dans les services publics.

En période de crise, ce n’est pas le temps de revenir à l’austérité libérale. Au contraire, c’est le moment d’épauler nos entrepreneurs, de faire rouler notre économie, et de continuer de réinvestir dans nos services publics face à des besoins sans précédent.

Voici les faits saillants du budget :

  1. Soutenir nos entreprises et diversifier notre économie
  2. 64 % plus d’investissements en infrastructures 
  3. 57 % plus d’investissements dans notre réseau de la santé
  4. 57 % plus d’investissements dans notre système d’éducation
  5. 61 % plus de moyens pour notre culture 
  6. 3 milliards d’économies en optimisant le régime fiscal
  7. Un plan pour revenir à l’équilibre budgétaire en 2030

Soutenir nos entreprises et diversifier notre économie

Face à l’attaque sans précédent de Donald Trump contre l’économie du Québec. Le gouvernement de la CAQ a agi pour protéger notre économie, et venir en aide aux entrepreneurs touchés directement par les tarifs américains.

Le budget 2025-26 contient donc 5,4 milliards pour stimuler la création de richesse, notamment pour :

  • Offrir des prêts aux entreprises qui manqueraient de liquidités en raison des tarifs
  • Appuyer la réalisation de projets d’investissements au Québec
  • Favoriser la diversification des marchés en concrétisation des projets d’exportation

Il aurait été irresponsable de rester les bras croisés dans cette période de bouleversements économiques. Nos entreprises et nos travailleurs peuvent compter sur le gouvernement de François Legault pour les soutenir tant qu’il le faudra.

64 % plus d’investissements dans nos infrastructures

Face à la menace des tarifs américains sur les emplois manufacturiers, les chantiers en infrastructures offrent une solution productive pour créer des emplois manuels au Québec et accélérer des projets essentiels.

Cette année, le gouvernement de la CAQ ajoute 11 milliards en infrastructures dans les prochaines années. Ces sommes permettront notamment de construire plus rapidement les écoles, hôpitaux, routes, projets de transport en commun et infrastructures sportives dont le Québec a besoin. Par rapport à 2018, c’est une augmentation de 64 % du budget consacré aux infrastructures au Québec.

57 % plus d’investissements dans notre réseau de la santé

Alors que les besoins sont plus importants que jamais en raison notamment du vieillissement de la population, ce n’est pas le temps de couper dans les soins de santé offerts aux Québécois. Au contraire, Christian Dubé est en train de réformer le réseau pour faciliter l’accès, notamment en embauchant du personnel.

Ainsi, par rapport à 2018, le budget du ministère de la Santé et des Services sociaux a augmenté de 57 %. Le gouvernement de la CAQ réinvestit dans les missions essentielles de l’État, pour offrir aux citoyens les services qu’ils méritent.

57 % plus d’investissements dans notre système d’éducation

En éducation, la CAQ investit aussi plus que jamais depuis 2018. Une augmentation de 57 % du budget du ministère de l’Éducation a notamment permis d’engager des milliers d’enseignants et de leur offrir de meilleures conditions salariales, d’engager des aides à la classe et d’offrir un montant de 300 $ à chaque enseignant pour acheter des livres pour sa classe.

En raison de l’augmentation importante de la population du Québec dans les dernières années, il y a plus de besoins que jamais en éducation, et le gouvernement a le devoir d’investir en conséquence.

61 % plus de moyens pour notre culture

Le gouvernement de la CAQ est fièrement nationaliste, et investit de manière majeure en culture depuis son arrivée au pouvoir. Encore cette année, il investit plus de 500 millions supplémentaires pour soutenir le milieu culturel, qui façonne notre identité nationale unique en Amérique du Nord.

Sous le gouvernement de François Legault, le budget de la culture a donc augmenté de 61 %. C’est la preuve que la culture québécoise est essentielle pour ce gouvernement, notamment afin que le Québec continue de se distinguer face à l’hégémonie américaine. C’est plus important que jamais!

3 milliards d’économies en optimisant le régime fiscal

En parallèle avec les investissements nécessaires dans nos services publics, le gouvernement de la CAQ demeure soucieux de bien gérer les finances publiques. C’est pourquoi le ministre des Finances, Eric Girard, a mené une révision du régime fiscal afin de faire des économies de 3 milliards de dollars d’ici 2030.

Il s’agit d’un exercice important, qui simplifie le régime fiscal et met à jour certaines mesures datées dans l’objectif de contribuer au retour à l’équilibre budgétaire d’ici 2030.

Un plan pour revenir à l’équilibre budgétaire dès 2030

En raison des turbulences économiques que traverse le Québec, il n’aurait pas été responsable de précipiter un retour à l’équilibre budgétaire, qui aurait nui à nos entreprises ou à nos services publics. Cependant, le gouvernement de la CAQ a un plan sérieux pour revenir à l’équilibre budgétaire d’ici 5 ans, soit 2030.

Un premier pas est accompli dès cette année en optimisant le régime fiscal, mais un examen des dépenses budgétaires suivra dans les prochaines années, afin que l’équilibre soit atteint d’ici 2030. C’est un échéancier raisonnable, qui permettra au Québec de garder de saines finances publiques sans retomber dans l’austérité libérale ou mettre les citoyens à risque en période d’incertitude économique.

Le choix responsable en temps de turbulences

Les tarifs et les menaces de Donald Trump ont des conséquences sur l’économie du Québec, et menacent nos emplois et nos entreprises. Dans ce contexte difficile, le gouvernement de la CAQ a fait le choix responsable en épaulant les entreprises, et en continuant de réinvestir en santé, en éducation et dans nos infrastructures.

Dès cette année, le ministre des Finances, Eric Girard, prend des mesures pour rendre l’État plus efficace et revenir à l’équilibre budgétaire d’ici 2030. La CAQ a fait le choix d’une approche prudente, pour répondre aux besoins dans la crise actuelle tout en assainissant progressivement les finances publiques.

Quels gains les aînés du Québec ont-ils faits grâce au gouvernement de la CAQ?


 Publié le 14 mars 2025

Nos aînés sont ceux qui ont bâti le Québec, et nous avons la responsabilité collective de prendre soin d’eux. Après avoir travaillé toute leur vie pour le bien commun, ils font désormais face à des enjeux de santé ou financiers auxquels nous devons répondre en tant que nation.

Les préoccupations des aînés sont d’autant plus importantes avec le vieillissement de la population, car les Québécois de 65 ans et plus, qui représentaient 20 % de la population en 2021, seront bientôt 28 % en 2041. Depuis 2018, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec prend les besoins des personnes âgées au sérieux et a mis en place de nombreuses mesures pour leur permettre de vieillir dans la prospérité, en santé et bien entourés.

Voici cinq changements importants apportés par le gouvernement de la CAQ au bénéfice des personnes âgées du Québec :

  • 2000 $ par année pour les aînés de 70 ans et plus à faible revenu
  • Possibilité de cesser de cotiser au RRQ pour les travailleurs de 65 ans et plus
  • Bonification de l’Allocation-logement pour 93 000 ménages aînés
  • 66 % plus d’heures de soutien à domicile pour nos aînés
  • Plus de 3000 places dans les Maisons des aînés, un modèle révolutionnaire d’hébergement de longue durée

2000 $ par année pour plus de 500 000 aînés à faible revenu

Trop d’aînés au Québec ont de la misère à joindre les deux bouts, en particulier ceux et celles qui dépendent principalement de la rente de retraite du Québec. C’est pourquoi, dès son arrivée en 2018, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec a mis sur pied le Crédit d’impôt pour soutien aux aînés, versé aux aînés de 70 ans et plus à revenu modique.

Source : Chaire en fiscalité et en finances publiques

Initialement établi à 200 $ par année, ce crédit d’impôt remboursable a été bonifié progressivement jusqu’à atteindre 2000 $ à partir de 2022. Ce crédit d’impôt donne un bon coup de pouce à plus de 552 759 Québécois de 70 ans et plus, dont les revenus ont été fragilisés par l’inflation des dernières années.

Possibilité de cesser de cotiser au RRQ pour les travailleurs
de 65 ans et plus

Il y a actuellement environ 222 000 travailleurs âgés de 65 ans et plus au Québec, soit environ 4,9 % des personnes en emploi. Ces travailleurs expérimentés constituent un atout important pour leur entreprise et pour notre nation. Jusqu’à la fin de 2023, ils étaient contraints de continuer de cotiser au Régime des rentes du Québec, ce qui pouvait représenter un montant important, particulièrement pour les travailleurs autonomes.

Source : Retraite Québec

Depuis janvier 2024, le gouvernement caquiste a rendu la cotisation au RRQ facultative pour les travailleurs de 65 ans et plus. Il est donc possible pour les travailleurs expérimentés de s’en retirer et de garder ce montant d’argent dans leurs poches. Comme le démontrent les chiffres de Retraite Québec ci-dessus, cela peut représenter plusieurs milliers de dollars. Il devient donc plus avantageux de rester sur le marché du travail pour les personnes de 65 ans et plus!

Bonification de l’Allocation-logement pour 93 000 ménages aînés

Depuis sa création en 1997, le programme Allocation-logement vient en aide aux familles ayant au moins un enfant à charge et aux personnes âgées de 50 ans et plus qui consacrent une part importante de leur revenu pour se loger. Il couvre donc une partie des frais de logement de milliers d’aînés ayant peu de moyens, afin qu’ils puissent rester chez eux.

Source : Chaire en fiscalité et en finances publiques

Entre 1997 et 2021, ce programme offrait un appui maximum de 80 $ par mois, sans jamais être indexé. Le gouvernement de la CAQ l’a augmenté une première fois à 100 $ par mois en 2021, puis à 170 $ en 2022, pour répondre à la hausse du coût de la vie. Il a également élargi les critères d’accès au programme, et aujourd’hui, 93 000 ménages aînés en bénéficient.

66 % plus d’heures de soutien à domicile pour
plus de 386 000 usagers

Au Québec, 97 % des personnes de 65 ans et plus vivent à domicile. Les aînés souhaitent majoritairement continuer de vivre chez eux le plus longtemps possible, et le soutien à domicile est un appui précieux pour y parvenir. Trop longtemps, les gouvernements se sont concentrés uniquement sur l’hébergement de longue durée, délaissant les soins à domicile.

Source : Ministère de la Santé et des Services sociaux

Depuis l’arrivée du gouvernement de la CAQ, le nombre d’heures de soutien à domicile dispensées chaque année a augmenté de 66 %, bénéficiant à plus de 386 000 usagers partout au Québec. Cela résulte d’une augmentation de 50 % du budget alloué à la Santé, ainsi que de la réduction de la paperasse opérée par la ministre Sonia Bélanger pour les soins à domicile. Avec plus de moyens et d’efficacité, le Québec réussit mieux que jamais à soutenir les aînés qui souhaitent demeurer chez eux.

Plus de 3000 places dans les Maisons des aînés, un modèle révolutionnaire d’hébergement de longue durée

Cependant, ce ne sont pas tous les aînés qui peuvent demeurer chez eux. Pour les 3 % en perte d’autonomie grave, qui nécessite des soins de longue durée, il faut des établissements adaptés et humains. Les dernières années ont prouvé les limites du modèle des CHSLD, et c’est pourquoi, dès son élection en 2018, la CAQ a annoncé son intention de les remplacer par un nouveau modèle : les Maisons des aînés.

Il s’agit d’une véritable révolution pour les soins de longue durée au Québec! Les Maisons des aînés sont composées de maisonnées de 12 chambres individuelles, chacune équipée d’une salle de bain adaptée. On y trouve également des aires communes, un jardin extérieur et des espaces pour accueillir les proches aidants et les familles lors d’événements. Ce sont des lieux chaleureux, axés sur les besoins des résidents.

Source : Ministère de la Santé et des Services sociaux

Les Maisons des aînés sont extrêmement appréciées par les résidents et leurs familles, et représentent un immense progrès pour les aînés nécessitant des soins de longue durée. Plus de 3000 places dans 46 établissements ont été annoncées selon ce modèle innovant, offrant enfin aux aînés un hébergement adapté et humain, où l’on se sent comme à la maison.

Le gouvernement de la CAQ, champion du portefeuille et des soins pour les aînés!

Depuis 2018, on peut dire que le gouvernement de la CAQ a réalisé des gains importants pour tous les Québécois de 65 ans et plus. L’équipe de François Legault a remis de l’argent dans le portefeuille des personnes retraitées grâce au crédit d’impôt pour soutien aux aînés, et aux travailleurs expérimentés en leur permettant d’arrêter de cotiser au RRQ à partir de 65 ans. 

En investissant plus de ressources et d’efficacité dans les soins à domicile et en bonifiant l’Allocation-logement, la CAQ a également offert plus de soutien que jamais aux aînés qui demeurent chez eux. Avec les Maisons des aînés, le gouvernement a accompli une véritable révolution des soins de longue durée, saluée par les résidents et leurs familles. 

Avec la CAQ de François Legault, le Québec a un gouvernement qui prend soin des générations ayant bâti notre nation.

Avec la CAQ, de grandes avancées pour les femmes du Québec


 Publié le 6 mars 2025

L’égalité entre les hommes et les femmes est une valeur fondamentale de la nation québécoise, ainsi qu’un acquis social dont nous pouvons tous être fiers. Les Québécoises ont fait des progrès importants depuis la Révolution tranquille, et ces avancées ont continué depuis 2018 sous le gouvernement de la Coalition Avenir Québec.

Que ce soit pour améliorer la conciliation travail-famille, revaloriser les emplois majoritairement féminins ou protéger la sécurité et les droits des femmes, le gouvernement de la CAQ a un bilan exemplaire depuis 2018. En voici des exemples :

  1. Création de plus de places en service de garde subventionnées par année que les autres gouvernements
  2. Revalorisation des salaires des infirmières et des enseignantes
  3. Instauration des bracelets antirapprochement pour protéger les femmes victimes de violence
  4. Création des tribunaux spécialisés en matière de violence sexuelle et conjugale
  5. Adoption de la loi sur la laïcité, un rempart pour les droits des femmes
  6. Défense du droit des femmes de disposer de leur corps

Création de plus de places en service de garde subventionnées par année que les autres gouvernements

Les services de garde jouent un rôle fondamental pour permettre aux femmes de prendre part au marché du travail, en conciliation avec la vie familiale. Grâce aux services de garde subventionnés et abordables, le Québec est à l’avant-garde quant au taux d’emploi des femmes : il est premier au Canada et deuxième au monde derrière la Suède.

Source : Ministère de la Famille

Pour maintenir cette situation enviable malgré une hausse importante de la demande pour des places subventionnées, le gouvernement de la CAQ a investi pour créer et convertir des places, et cette approche a porté fruit. Le gouvernement caquiste a créé plus de places subventionnées en moyenne par année que tous les autres gouvernements dans les 20 dernières années. Ces investissements permettent à toujours plus de femmes de concilier travail et famille.

Revalorisation des salaires des infirmières et des enseignantes

Depuis son arrivée en 2018, le gouvernement de François Legault a réinvesti massivement dans les services publics, après l’austérité libérale. Alors que les besoins sont plus importants que jamais, en raison du vieillissement de la population et de la hausse importante de la population québécoise, il fallait revaloriser les emplois dans nos réseaux de santé et d’éducation. Ces emplois sont majoritairement occupés par des femmes.

Ainsi, depuis l’arrivée au pouvoir de la Coalition Avenir Québec, les enseignantes et les infirmières du Québec ont pu compter sur des augmentations de salaire historiques, qui permettront d’attirer plus de personnes dans ces emplois importants. Surtout, elles feront en sorte que les femmes qui dédient leur vie à la santé et à l’éducation des Québécois soient mieux rémunérées que jamais.

Instauration des bracelets antirapprochement pour protéger les femmes victimes de violence

Trop de femmes sont encore victimes de violences sexuelles et conjugales, et nous avons le devoir de les protéger face à ce fléau. C’est pourquoi, dès 2022, le gouvernement de la CAQ a mis en place les bracelets antirapprochements, qui permettent d’empêcher des contrevenants de s’approcher de leur victime, en avertissant une centrale de surveillance en lien avec les policiers en cas de contact.

Cette technologie novatrice est désormais mise en application partout au Québec pour permettre aux victimes de violence de vivre en toute sécurité, loin de leur agresseur. Il s’agit d’un gain concret pour les femmes qui doivent composer avec cette réalité difficile.

Création des tribunaux spécialisés en matière de violence sexuelle et conjugale

Trop longtemps, le système de justice est apparu froid et inadapté envers les victimes de violence sexuelle et conjugale, au risque d’en dissuader certaines de dénoncer leur agresseur. Sous le leadership du ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, le gouvernement caquiste a mis en place une véritable révolution du processus judiciaire pour mieux accompagner les victimes et leur permettre d’obtenir justice.

Les tribunaux spécialisés en matière de violence sexuelle et conjugale sont en déploiement progressif dans toutes les régions du Québec, jusqu’en 2026. Déjà, des milliers de femmes ayant subi des violences sexuelles ou conjugales ont pu bénéficier d’un accompagnement adapté dans le processus judiciaire, afin de faire valoir leurs droits.

Adoption de la loi 21 sur la laïcité, un rempart pour
les droits des femmes

En adoptant la loi 21 sur la laïcité de l’État, le Québec a affirmé haut et fort son attachement à la séparation entre l’Église et l’État, ainsi qu’à l’égalité entre hommes et femmes.

Malheureusement, de nombreuses entorses aux droits des femmes se font au nom de la religion, comme le cas de l’école Bedford nous l’a rappelé dernièrement. En exigeant que l’État québécois et ses représentants en position d’autorité soient laïques, le gouvernement caquiste prend le parti de l’égalité contre celui des dérives religieuses, et fait de notre État un rempart pour les droits des femmes.

Défense du droit des femmes de disposer de leur corps

Les reculs qui ont eu lieu aux États-Unis concernant le droit des femmes d’avoir recours à l’avortement ont ramené cette question dans l’actualité partout dans le monde. Au Québec, notre gouvernement est clair : les femmes ont et auront toujours le droit de disposer de leur corps comme elles l’entendent.

En s’appuyant sur le consensus québécois sur cette question, la ministre Martine Biron a annoncé, en 2024, le tout premier plan d’action pour assurer aux Québécoises l’accès à l’avortement. Il s’agit d’une prise de position forte du gouvernement de la CAQ, qui affirme qu’aucun recul n’aura lieu au Québec sur cet acquis important pour les femmes.

Le gouvernement caquiste a fait de grandes avancées
pour les Québécoises!

Le Québec est l’un des endroits au monde où les droits des femmes sont les plus avancés et les mieux protégés, et nous pouvons tous en être fiers. Depuis 2018, le gouvernement de François Legault a pris à cœur l’affirmation de cette valeur fondamentale qu’est l’égalité hommes-femmes, et ses nombreuses initiatives en ce sens en sont la preuve.

La CAQ est aussi le gouvernement qui a fait élire le plus de femmes à l’Assemblée nationale de toute notre histoire. Après l’élection de 2022, 46 % des députés du Québec étaient des femmes, ce qui atteste du progrès important qui a eu lieu au sein des sphères de pouvoir dans les dernières années. Sous la Coalition Avenir Québec, les femmes québécoises continuent de s’épanouir, de s’enrichir et de s’affirmer plus que jamais.

Quels sont les résultats de la stratégie économique de la CAQ?


 Publié le 20 février 2025

En 2018, les Québécois ont fait le choix d’un gouvernement économique en portant au pouvoir la Coalition Avenir Québec. Pour le premier ministre François Legault et son équipe, il fallait changer d’approche pour accélérer la création de richesse au Québec, qui stagnait sous les gouvernements libéraux.
Le gouvernement a donc effectué une réforme majeure d’Investissement Québec, afin d’atteindre trois principaux objectifs : augmenter les investissements étrangers, augmenter les exportations et rattraper l’écart de productivité des entreprises québécoises.
Six ans plus tard, que disent les chiffres? Ces objectifs ont-ils été accomplis? On entend beaucoup de critiques venant des oppositions et de certains chroniqueurs, mais dans les faits, de nombreux indicateurs montrent que la stratégie économique de la CAQ est un succès :

  1. 92 % des investissements dans les entreprises vont aux PME.
  2. La productivité du Québec rattrape l’Ontario
  3. Augmentation exponentielle des investissements étrangers
  4. Augmentation de 33 % des exportations au Canada
  5. Augmentation de 30 % des exportations à l’international
  6. Croissance des exportations plus rapide que sous les libéraux

92 % des investissements dans les entreprises vont aux PME

Beaucoup de critiques du gouvernement caquiste prétendent qu’il investit uniquement dans de grandes entreprises, au détriment des PME québécoises. C’est faux! Si certains grands projets sont plus discutés dans les médias en raison de leur taille, ce n’est pas représentatif de l’ensemble des investissements dans l’économie québécoise.

Au contraire, 92 % des interventions d’Investissement Québec depuis 2019 sont allées à des entreprises de moins de 200 employés, alors que seulement 8 % ont bénéficié aux grandes entreprises. Le Québec bénéficie de ces grands projets, et nous pouvons en être fiers, mais il est faux de prétendre qu’ils représentent la majorité des interventions, ou que les PME québécoises en souffrent. Nos PME sont les grandes gagnantes des interventions d’Investissement Québec!

La productivité du Québec rattrape l’Ontario

L’écart de richesse qui s’est creusé entre le Québec et l’Ontario est un cheval de bataille de longue date du premier ministre François Legault, avec raison. Si le Québec s’appauvrit par rapport à ses voisins, nous perdons les moyens de nos ambitions : c’est ce qui s’est produit sous les libéraux, alors que la productivité des entreprises québécoises a augmenté d’à peine 0,97 %, pendant que celle de l’Ontario s’est améliorée substantiellement (5,76 %).

Source : Statistique Canada

Depuis l’arrivée de la CAQ, c’est l’inverse qui se produit : la productivité du Québec augmente de façon majeure (6,35 %), pendant que celle de l’Ontario stagne (0,35 %). C’est une excellente nouvelle pour l’économie du Québec, qui indique que nous rattrapons le retard accumulé sous les libéraux!

Augmentation exponentielle des investissements étrangers

L’attraction de capitaux étrangers joue un rôle important pour créer de la richesse au Québec. Avec le virage économique des délégations et bureaux du Québec à l’étranger, ainsi que l’action renforcée d’Investissement Québec International, Québec International et Montréal International, on assiste à une véritable explosion des investissements au Québec depuis 2019.

Source : Investissement Québec

De 2,9 G$ en 2019-20, les investissements directs étrangers au Québec ont plus que triplé, pour atteindre 13,1 G$ en 2023-24. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour l’économie québécoise, qui entraîne la création de nombreux projets industriels et emplois payants.

Augmentation de 33 % des exportations au Canada

Le Québec est une nation exportatrice : nous avons la chance d’avoir des entreprises qui exportent des produits de qualité dans de nombreuses juridictions, dont les autres provinces canadiennes. Plus encore, la montée du protectionnisme américain fait en sorte que le marché canadien sera de plus en plus important pour notre économie à court et moyen terme.

Source : Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie

Depuis 2019, les exportations du Québec vers le reste du Canada ont augmenté de 33,5 %, alors qu’elles n’ont crû que de 14,6 % sous le gouvernement libéral précédent. Ces chiffres exceptionnels démontrent que l’approche de la CAQ porte fruit pour le commerce interprovincial.

Augmentation de 30 % des exportations à l’international

La majorité des exportations du Québec vont à nos partenaires internationaux. Comme pour les exportations dans les autres provinces, leur croissance a été plus rapide sous le gouvernement de la CAQ.

Source : Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie

Sous le gouvernement libéral de Philippe Couillard, les exportations du Québec à l’international ont augmenté de 23,2 %, contre 29,7 % sous le gouvernement de François Legault. C’est notamment le résultat de la présence économique plus importante du Québec à l’international, et des efforts de nos délégations et bureaux pour ouvrir des portes aux entreprises québécoises partout dans le monde.

Croissance des exportations plus rapide que sous les libéraux

Quand on regarde le portrait global des exportations des entreprises québécoises, on constate qu’elles ont augmenté bien plus rapidement sous le gouvernement de la CAQ que sous les libéraux.

Source : Ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie

Alors que les exportations totales du Québec ont augmenté de 19,8 % sous le dernier gouvernement libéral, elles ont bondi de 31,1 % sous le gouvernement de François Legault. Avec un gouvernement économique, l’économie exportatrice du Québec s’est renforcée!

Une approche économique qui rend le Québec plus riche!

Quand on lit attentivement les chiffres plutôt que les faits divers, la conclusion est claire : la stratégie économique de la Coalition Avenir Québec fait progresser l’économie québécoise. En réformant Investissement Québec pour mettre l’accent sur la productivité, les investissements étrangers et les exportations, le gouvernement a atteint des résultats impressionnants!

Le Québec devra faire face à des turbulences économiques dans les prochaines années. Pour protéger notre économie, nos emplois et nos entreprises en ces temps difficiles, nous avons besoin d’un gouvernement économique et solide, qui sait traverser les crises. La CAQ de François Legault a fait ses preuves : c’est la bonne équipe pour développer l’économie du Québec face à ces nouveaux défis.

Est-ce que le Québec est en période d’austérité budgétaire?


 Publié le 30 janvier 2025

Bien que certains partis d’opposition, commentateurs et groupes d’intérêts se plaisent à le répéter, la réponse est clairement non!

Depuis son arrivée en 2018, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec réinvestit dans les services publics, en particulier la santé et l’éducation, afin de prendre soin de nos enfants, de nos aînés et de nos plus vulnérables.

Au-delà des cas d’espèce montés en épingle et des appels à l’émotion qui ponctuent souvent le discours public, les chiffres sont clairs : dans les grandes missions de l’État, les budgets ont augmenté de manière importante depuis 2018!

Voici donc des indicateurs mesurés, tirés de sources officielles, qui démontrent que le gouvernement de la CAQ a investi dans les services publics plus que jamais :

  1. 50 % plus d’argent en éducation
  2. Augmentation historique du salaire des enseignants
  3. 50 % plus d’argent en santé
  4. Augmentation historique du salaire des infirmières
  5. 50 % plus d’argent en infrastructures
  6. Presque 2 fois plus d’argent aux organismes communautaires
  7. 3 fois plus d’argent en francisation
  8. Et l’équilibre budgétaire, dans tout ça?

Le budget de l’éducation a augmenté de 50 %

Pour le premier ministre François Legault, c’est une question de principe : l’éducation est pour lui la priorité des priorités, et il était impératif de réinvestir pour les jeunes Québécois. Les élèves avec des besoins particuliers et l’entretien des écoles, entre autres, ont souffert des coupes effectuées par le précédent gouvernement libéral, et il n’était pas question de refaire la même erreur. C’est pourquoi le budget en éducation est passé de 14,89 G$ dans le dernier budget libéral à 22,54 G$ dans le budget 2024-25.

Source: Statistiques budgétaires du Québec - Le point sur la situation économique et financière du Québec – Novembre 2024

Ces sommes ont notamment permis d’embaucher de nouveaux enseignants pour combler la pénurie, bâtir de nouvelles écoles, ramener des professionnels pour s’occuper des élèves à besoins particuliers et embaucher des aides à la classe dans la moitié des classes du Québec. Réinvestir massivement a donné une bouffée d’air frais au réseau de l’éducation québécois!

Le salaire des enseignants a augmenté de manière historique

Dès la fondation de la CAQ en 2011, François Legault a proposé d’augmenter le salaire des enseignants, pour redonner le prestige que la profession mérite. Une fois au pouvoir, il a tenu parole, en offrant des augmentations historiques lors des deux négociations salariales pour le corps enseignant.

Source: CSQ - La Presse, Journal 24h

Ainsi, par rapport à 2019, un enseignant en début de carrière gagnera 28 % de plus en 2026, et un enseignant en fin de carrière gagnera quant à lui 35 % de plus. Le salaire annuel d’un enseignant atteindra donc 65 352 $ à l’entrée, et 109 121 $ en fin de carrière. Ces augmentations historiques feront en sorte que ceux qui dédient leur vie à l’éducation de nos enfants soient rémunérés à la valeur de ce travail indispensable.

Le budget de la santé a augmenté de 50 %

Le réseau de la santé a lui aussi été malmené par l’austérité libérale. Avec le vieillissement de la population, mais aussi la pandémie de COVID-19, le gouvernement de la CAQ a choisi de réinvestir massivement en santé pour prendre soin de ceux qui en ont besoin. Les sommes allouées à la santé ont donc passé de 41,75 G$ dans le dernier budget libéral à 62,81 G$ dans le budget 2024-2025.

Source: Statistiques budgétaires du Québec - Le point sur la situation économique et financière du Québec – Novembre 2024

Ces investissements ont permis de donner au ministre Christian Dubé les outils dont il a besoin pour redresser le réseau de la santé, notamment en augmentant les salaires dans le réseau pour attirer du nouveau personnel et en bâtissant de nouveaux hôpitaux. C’était le choix responsable à faire considérant que les besoins en santé vont continuer d’augmenter avec le vieillissement de la population.

Le salaire des infirmières a augmenté de manière historique

Pour améliorer les soins de santé que reçoivent les Québécois, il est indispensable de faire de notre réseau de santé publique un employeur de choix, notamment au niveau salarial. C’est pourquoi le salaire des infirmières a augmenté de manière importante depuis 2018.

Source: CPNSSS - Gouvernement du Québec

Pour une infirmière détenant une technique, le salaire d’entrée aura augmenté de 27 % entre 2019 et 2027, ainsi que de 26 % en fin de carrière. À la fin de l’entente, une infirmière gagnera donc 59 709 $ à l’entrée, et 95 726 $ en fin de carrière.

Source: CPNSSS - Gouvernement du Québec

Pour une infirmière clinicienne, les mêmes proportions s’appliquent, pour un salaire en fin de carrière en 2027 de 62 634 $ à l’entrée et 110 955 $ en fin de carrière. Avec ces conditions salariales plus attractives que jamais, les conditions sont en place pour attirer plus d’infirmières dans le réseau, et ainsi livrer des soins plus efficacement aux Québécois.

Les investissements en infrastructures ont augmenté de 50 %

La population du Québec est en croissance, et les besoins en infrastructures sont plus criants que jamais, notamment pour les écoles, les hôpitaux, les ponts ou les routes. De plus, bon nombre de nos infrastructures publiques, qui ont été construites pendant la Révolution tranquille, ont maintenant plus de 50 ans et doivent être entretenues. Malheureusement, les gouvernements précédents ont sous-investi dans l’entretien et la construction d’infrastructures, ce qui laisse au Québec un déficit d’entretien à rattraper.

Source: Plan budgétaire du Québec 2024-25, p. A24

Depuis l’arrivée de la CAQ en 2018, les investissements en infrastructures (comptabilisés dans le Plan québécois des infrastructures, et planifiés sur 10 ans) ont augmenté de 50 %. C’était le choix à faire pour prendre soin de nos infrastructures, qui sont indispensables pour offrir des services publics.

Le soutien aux organismes communautaires a presque doublé

Les organismes communautaires jouent un rôle essentiel pour prendre soin de nos concitoyens les plus vulnérables, en complémentarité avec l’État québécois. On a souvent fait état du financement insuffisant qu’ils reçoivent, et les années libérales ont marqué une croissance anémique du soutien offert aux organismes.

Source: Plan budgétaire du Québec 2024-25, p. C33

Lors de son arrivée au pouvoir, la Coalition Avenir Québec a pris ce déficit de soutien au sérieux, et a investi plus que jamais en soutien aux organismes communautaires. Si bien que le soutien financier que l’État québécois leur consacre a presque doublé : il a effectivement augmenté de 86 % depuis le dernier budget libéral!

Les sommes investies en francisation ont triplé

Avec la hausse importante de l’immigration temporaire au Québec dans les dernières années, provoquée en majeure partie par le gouvernement fédéral, les besoins en francisation au Québec ont grandement augmenté, comme en atteste un rapport du Commissaire à la langue française. En conséquence, le gouvernement de la CAQ a créé Francisation Québec, un guichet unique pour tous ceux et celles qui ont besoin d’obtenir des cours de français.

Source: Ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration - Le Devoir

Cette réforme majeure de la francisation a été accompagnée d’investissements très importants pour soutenir l’adoption de la langue française par les nouveaux arrivants : les budgets ont plus que triplé entre 2018 et 2024! Même si l’offre reste moins importante que la demande, en raison d’une immigration incontrôlée à Ottawa, le Québec fait mieux que jamais en francisation.

Et l’équilibre budgétaire, dans tout ça?

Pour de bonnes raisons, les investissements dans nos services publics ont augmenté de manière importante depuis 2018, comme nous l’avons expliqué plus haut. Cependant, il ne faut pas perdre de vue la nécessité d’atteindre l’équilibre budgétaire, particulièrement pour le gouvernement de la CAQ, qui est très attaché à la bonne gestion des finances publiques.

Lors de la mise à jour économique de l’automne 2024, le ministre des Finances, Eric Girard, a confirmé son intention de réduire progressivement le déficit jusqu’en 2030, pour revenir à l’équilibre budgétaire sans causer de période d’austérité qui serait dommageable pour le Québec, comme l’ont fait les libéraux.

Source: Mise à jour économique du Québec 2024, p. E30

Le gouvernement de François Legault a déjà commencé à rendre l’État plus efficace, en réduisant la paperasse, en accélérant certains processus et en éliminant des dépenses et des contraintes qui compliquent la vie des Québécois. Ces efforts continueront dans les prochaines années, car la règlementation qui touche les citoyens et les entreprises est encore beaucoup trop lourde!

Finalement, c’est en continuant de développer l’économie du Québec que le gouvernement de la CAQ réussira à atteindre l’équilibre budgétaire sans abîmer nos services publics. Alors que notre écart de richesse a stagné pendant 15 ans de gouvernements libéraux, il est passé de 20 % à 14 % sous la Coalition Avenir Québec. C’est en créant de la richesse que nous pouvons la redistribuer, et le gouvernement caquiste de François Legault a démontré qu’il est le meilleur pour y parvenir depuis 2018!

Bilan économique de la CAQ : que disent les chiffres?


 Publié le 27 janvier 2025

Les indicateurs économiques sont clairs : depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a insufflé un élan économique exceptionnel à la nation québécoise, après 15 ans de statu quo sous des gouvernements libéraux.

Malheureusement, il existe un écart de richesse persistant entre le Québec et le reste du Canada, pour plusieurs raisons. Citons notamment le retard de la majorité francophone avant la Révolution tranquille et l’éclosion du « Québec inc. », le développement des secteurs automobiles et bancaires à Toronto au détriment de Montréal, et l’exploitation de l’énergie fossile albertaine. Pour toutes ces raisons, le reste du Canada est en moyenne plus riche que le Québec, mais ce n’est pas une fatalité, au contraire.

Pour François Legault et la Coalition Avenir Québec, développer l’économie du Québec et enfin rattraper notre retard par rapport à nos voisins est une véritable urgence. En 2018, les Québécois ont élu un gouvernement économique pour enfin réussir ce grand défi. Alors que l’écart de richesse entre le Québec et le reste du Canada n’a pas changé en 15 ans de gouvernance libérale, il diminue désormais.

Plusieurs indicateurs nous permettent d’observer que l’économie du Québec performe davantage depuis 2018 :

  1. Le salaire hebdomadaire moyen
  2. Le revenu disponible après impôts
  3. Le PIB réel par habitant
  4. L’écart de richesse du Québec avec le reste du Canada

Le salaire hebdomadaire moyen

En économie, le gouvernement de la CAQ souhaite avant tout créer des emplois payants pour les Québécois. C’est notamment pourquoi les investissements en éducation ont augmenté de 50 % depuis 2018 : une main-d’œuvre éduquée et qualifiée est un atout essentiel dans de nombreux domaines de pointe. C’est aussi pourquoi Investissement Québec est plus actif que jamais, pour investir dans nos entreprises, attirer des investissements étrangers et aider les entreprises québécoises à exporter leurs produits.

Depuis 2018, la CAQ a également consenti des augmentations salariales historiques aux enseignants et aux infirmières, afin de renforcer nos services publics.

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

Pour toutes ces raisons, le salaire hebdomadaire moyen a augmenté plus rapidement au Québec que dans le reste du Canada, même lorsqu’on exclut l’inflation.

Le revenu disponible après impôts

Lorsqu’on regarde le revenu disponible, c’est-à-dire ce qu’il reste dans les poches des Québécois après les impôts, les cotisations sociales et les transferts gouvernementaux, on constate qu’il a augmenté presque deux fois plus vite au Québec qu’ailleurs au Canada!

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

C’est notamment parce que le gouvernement de la CAQ a remis énormément d’argent dans les poches des familles et des aînés depuis 2018. Pensons aux baisses d’impôts, à la baisse des taxes scolaires, au retour du tarif unique en service de garde, au montant de 2000 $ par année pour les aînés à faible revenu, entre autres. Toutes ces actions ont eu un impact concret sur le portefeuille des Québécois.

Le PIB réel par habitant

En créant des emplois payants, en attirant des milliards en investissements et en aidant les entreprises québécoises à atteindre de nouveaux marchés, le gouvernement de la CAQ a fait augmenter le PIB réel par habitant du Québec depuis 2018… alors que celui du Canada a diminué!

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

Le PIB réel correspond à la valeur de la production totale de biens et de services sur un territoire, exprimée en dollars constants, donc sans l’inflation. On le divise par le nombre d’habitants pour évaluer notre productivité.
Autrement dit, alors que le Canada est devenu moins productif depuis six ans, le Québec est plus productif que jamais!

L’écart de richesse du Québec avec le reste du Canada diminue!

Pour toutes ces raisons, on constate donc que l’écart de richesse entre le Québec et le reste du Canada se referme depuis que le gouvernement économique de la CAQ est au pouvoir.

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

Par comparaison, les 15 années des gouvernements libéraux de Jean Charest et de Philippe Couillard ont été marquées par le statu quo : le Québec est resté 20 % moins riche que le reste du Canada.

Depuis 2018, cet écart a baissé de 6 points pour atteindre 14 % : c’est l’équivalent de milliards de dollars de plus dans l’économie québécoise!

Un élan économique exceptionnel depuis 2018

Les indicateurs économiques sont clairs : depuis 2018, le gouvernement caquiste a donné un élan exceptionnel à l’économie québécoise.

S’enrichir n’est pas une fin en soi, c’est ce qui nous permet d’avoir les moyens de nos ambitions, de financer nos services publics et de prendre soin de nos plus vulnérables. Tous les Québécois ont intérêt à ce que l’économie du Québec devienne de plus en plus productive et à ce que nous devenions collectivement plus riches.

Avec le retour du protectionnisme américain, des turbulences économiques guettent le Québec dans les prochaines années. Dans ce contexte incertain, le Québec a besoin plus que jamais d’un gouvernement économique et solide, et surtout d’un capitaine qui a fait ses preuves, et qui sait traverser des crises. Le premier ministre François Legault et le gouvernement de la Coalition Avenir Québec sauront relever ce défi.

Le gouvernement de la CAQ est-il celui qui en a fait le plus pour les places en service de garde?


 Publié le 17 janvier 2025

La réponse est claire, c’est oui!

Depuis la création des centres de la petite enfance (CPE), aucun gouvernement n’en a fait autant pour rendre des places subventionnées accessibles pour les familles du Québec. De nombreux indicateurs démontrent concrètement les progrès réalisés par la CAQ pour offrir à tous les enfants, qui en ont besoin, une place en garderie :

1. Le réseau des services de garde est complété à 95 %
2. Plus de places subventionnées ont été créées par année que sous les autres gouvernements
3. Le tarif unique de 9,10 $ a remplacé la taxe-famille libérale
4. Près de 10 000 places non-subventionnées ont été converties en places subventionnées
5. 7 500 éducatrices de plus ont rejoint le réseau des services de garde au cours des trois dernières années.
6. On met en place des conditions pour accélérer la création de places subventionnées

Le réseau des services de garde est complété à 95 %

Depuis que les Québécois lui ont accordé leur confiance, le gouvernement de la CAQ travaille pour renforcer le réseau des services de garde du Québec et assurer des places de qualité dans des milieux sécuritaires. Dans le Grand chantier pour les familles, lancé en 2021, on estimait qu’il fallait atteindre un total de 320 000 places pour répondre adéquatement aux besoins des Québécois.

En 2021, le réseau comptait environ 293 000 places subventionnées ou non. À l’automne 2024, il en compte environ 305 000 : le réseau est maintenant complété à 95 %. Si la construction du réseau des garderies est un chantier porté par tous les gouvernements depuis le début des années 2000, celui de la CAQ s’est montré particulièrement efficace pour accélérer la création de places, surtout dans les milieux subventionnés.

Plus de places créées en moyenne chaque année

Sous le gouvernement de la CAQ, plus de places subventionnées ont été créées en moyenne par année que sous les gouvernements précédents.

Source : Ministère de la Famille

D’ailleurs, plus de 25 000 nouvelles places subventionnées ont été créées depuis le lancement du Grand chantier pour les familles en 2021. Ça fait une différence majeure dans le budget de toutes ces familles chaque semaine.

Fin de la taxe-famille libérale et retour du tarif unique à 9,10 $

Sous les gouvernements libéraux, le coût d’une place a augmenté constamment, pour atteindre jusqu’à 19,35 $ par jour, au détriment des familles de la classe moyenne. L’approche de la Coalition Avenir Québec, c’est au contraire de remettre de l’argent dans le portefeuille des Québécois. C’est pourquoi le gouvernement Legault a ramené le tarif unique en service de garde et l’a indexé à un maximum de 3 % par année, même avec l’inflation.

Ainsi, en 2024, le tarif en garderie subventionnée coûte 9,10 $ par jour. Cette mesure aide concrètement les parents de la classe moyenne à boucler leur budget chaque mois.

10 000 places non-subventionnées converties
en places subventionnées

En 2021, lorsque le gouvernement caquiste a lancé son Grand chantier pour les familles, 75 % des places en garderie étaient subventionnées. Ce chiffre s’élève à 80 % aujourd’hui, car près de 10 000 places non-subventionnées ont été converties en places subventionnées.

Dans le but d’aider les familles et d’alléger leur portefeuille, le gouvernement de la CAQ s’est engagé à convertir des places non subventionnées en places à 9,10 $ par jour. Il a aussi bonifié le crédit d’impôt pour frais de garde d’enfants afin de réduire la facture assumée par plusieurs parents.

7 500 nouvelles éducatrices dans les services de garde

Le gouvernement de la CAQ a lancé un effort important pour attirer plus d’éducatrices dans le réseau des services de garde, notamment en encourageant la formation en éducation à l’enfance. Il a notamment rendu gratuite la démarche de reconnaissance des acquis pour les professionnelles qui souhaitent se qualifier pour un poste en CPE. Il offre aussi des bourses allant jusqu’à 9 000 $ pour les étudiantes qui choisissent d’étudier en éducation à l’enfance au collégial.

Sous le leadership de la ministre de la Famille Suzanne Roy, un programme d’étudiantes ambassadrices a aussi été mis en place afin de valoriser ce parcours d’étude auprès des jeunes du secondaire. Un éventail de mesures ciblées qui ont toutes pour objectif la qualification de la main-d’œuvre dans ce réseau contribue à l’épanouissement et au bien-être des enfants.

Depuis 2021, les mesures du gouvernement ont porté ses fruits et ont attiré près de 7 500 nouvelles éducatrices pour s’occuper de nos tout-petits.

De nouvelles façons d’accélérer la création
de places subventionnées

La ministre de la Famille, Suzanne Roy, met en place plusieurs moyens qui visent tous à accélérer la création de places subventionnées ce qui bénéficie aux parents du Québec. Elle s’est d’abord tournée vers une solution novatrice : la réalisation de CPE en méthode de construction préfabriquée. Il s’agit d’un modèle qui a fait ses preuves, et qui peut réduire les délais de construction à 12 mois environ, au lieu des 24 à 36 mois requis traditionnellement.

De plus, la ministre Roy a mis sur pied un bureau d’accélération des projets qui a permis de débloquer plus de 3 000 places qui sont en cours de réalisation. Elle permet aussi à des CPE et des garderies d’optimiser leurs installations en offrant plus rapidement des places aux enfants.

Un gouvernement qui livre la marchandise pour les familles!

Le bilan du gouvernement de François Legault pour les familles est remarquable. Le réseau des services de garde à l’enfance prend en charge plus d’enfants que jamais et a franchi la barre des 300 000 places. Grâce à des investissements importants, des mesures fortes pour attirer des milliers de nouvelles éducatrices dans le réseau et des nouvelles initiatives pour accélérer la création de nouvelles places subventionnées. Les services de garde du Québec prennent un nouvel envol.

Depuis que la taxe-famille libérale a été abolie et que 10 000 places non-subventionnées ont été converties en places subventionnées, des milliers de parents profitent de centaines de dollars de plus dans leur portefeuille chaque année. Depuis 2018, les familles du Québec peuvent compter sur un gouvernement qui livre la marchandise pour les familles et qui rend la vie plus abordable.