Est-ce que le Québec est en période d’austérité budgétaire?


 Publié le 30 janvier 2025

Bien que certains partis d’oppositions, commentateurs et groupes d’intérêts se plaisent à le répéter, la réponse est clairement non!

Depuis son arrivée en 2018, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec réinvestit dans les services publics, en particulier la santé et l’éducation, afin de prendre soin de nos enfants, de nos aînés et de nos plus vulnérables.

Au-delà des cas d’espèce montés en épingle et des appels à l’émotion qui ponctuent souvent le discours public, les chiffres sont clairs : dans les grandes missions de l’État, les budgets ont augmenté de manière importante depuis 2018!

Voici donc des indicateurs chiffrés, tirés de sources officielles, qui démontrent que le gouvernement de la CAQ a investi dans les services publics plus que jamais :

  1. 50 % plus d’argent en éducation
  2. Augmentation historique du salaire des enseignants
  3. 50 % plus d’argent en santé
  4. Augmentation historique du salaire des infirmières
  5. 50 % plus d’argent en infrastructures
  6. Presque 2 fois plus d’argent aux organismes communautaires
  7. 3 fois plus d’argent en francisation
  8. Et l’équilibre budgétaire, dans tout ça?

Le budget de l’éducation a augmenté de 50 %

Pour le premier ministre François Legault, c’est une question de principe : l’éducation est pour lui la priorité des priorités, et il était impératif de réinvestir pour les jeunes Québécois. Les élèves avec des besoins particuliers et l’entretien des écoles, entre autres, ont souffert des coupes effectuées par le précédent gouvernement libéral, et il n’était pas question de refaire la même erreur. C’est pourquoi le budget en éducation est passé de 14,89 G$ dans le dernier budget libéral à 22,54 G$ dans le budget 2024-25.

Source: Statistiques budgétaires du Québec - Le point sur la situation économique et financière du Québec – Novembre 2024

Ces sommes ont notamment permis d’embaucher de nouveaux enseignants pour combler la pénurie, bâtir de nouvelles écoles, ramener des professionnels pour s’occuper des élèves à besoins particuliers et embaucher des aides à la classe dans la moitié des classes du Québec. Réinvestir massivement a donné une bouffée d’air frais au réseau de l’éducation québécois!

Le salaire des enseignants a augmenté de manière historique

Dès la fondation de la CAQ en 2011, François Legault a proposé d’augmenter le salaire des enseignants, pour redonner le prestige que la profession mérite. Une fois au pouvoir, il a tenu parole, en offrant des augmentations historiques lors des deux négociations salariales pour le corps enseignant.

Source: CSQ - La Presse, Journal 24h

Ainsi, par rapport à 2019, un enseignant en début de carrière gagnera 28 % de plus en 2026, et un enseignant en fin de carrière gagnera quant à lui 35 % de plus. Le salaire annuel d’un enseignant atteindra donc 65 352 $ à l’entrée, et 109 121 $ en fin de carrière. Ces augmentations historiques feront en sorte que ceux qui dédient leur vie à l’éducation de nos enfants soient rémunérés à la valeur de ce travail indispensable.

Le budget de la santé a augmenté de 50 %

Le réseau de la santé a lui aussi été malmené par l’austérité libérale. Avec le vieillissement de la population, mais aussi la pandémie de COVID-19, le gouvernement de la CAQ a choisi de réinvestir massivement en santé pour prendre soin de ceux qui en ont besoin. Les sommes allouées à la santé ont donc passé de 41,75 G$ dans le dernier budget libéral à 62,81 G$ dans le budget 2024-2025.

Source: Statistiques budgétaires du Québec - Le point sur la situation économique et financière du Québec – Novembre 2024

Ces investissements ont permis de donner au ministre Christian Dubé les outils dont il a besoin pour redresser le réseau de la santé, notamment en augmentant les salaires dans le réseau pour attirer du nouveau personnel et en bâtissant de nouveaux hôpitaux. C’était le choix responsable à faire considérant que les besoins en santé vont continuer d’augmenter avec le vieillissement de la population.

Le salaire des infirmières a augmenté de manière historique

Pour améliorer les soins de santé que reçoivent les Québécois, il est indispensable de faire de notre réseau de santé publique un employeur de choix, notamment au niveau salarial. C’est pourquoi le salaire des infirmières a augmenté de manière importante depuis 2018.

Source: CPNSSS - Gouvernement du Québec

Pour une infirmière détenant une technique, le salaire d’entrée aura augmenté de 27 % entre 2019 et 2027, ainsi que de 26 % en fin de carrière. À la fin de l’entente, une infirmière gagnera donc 59 709 $ à l’entrée, et 95 726 $ en fin de carrière.

Source: CPNSSS - Gouvernement du Québec

Pour une infirmière clinicienne, les mêmes proportions s’appliquent, pour un salaire en fin de carrière en 2027 de 62 634 $ à l’entrée et 110 955 $ en fin de carrière. Avec ces conditions salariales plus attractives que jamais, les conditions sont en place pour attirer plus d’infirmières dans le réseau, et ainsi livrer des soins plus efficacement aux Québécois.

Les investissements en infrastructures ont augmenté de 50 %

La population du Québec est en croissance, et les besoins en infrastructures sont plus criants que jamais, notamment pour les écoles, les hôpitaux, les ponts ou les routes. De plus, bon nombre de nos infrastructures publiques, qui ont été construites pendant la Révolution tranquille, ont maintenant plus de 50 ans et doivent être entretenues. Malheureusement, les gouvernements précédents ont sous-investi dans l’entretien et la construction d’infrastructures, ce qui laisse au Québec un déficit d’entretien à rattraper.

Source: Plan budgétaire du Québec 2024-25, p. A24

Depuis l’arrivée de la CAQ en 2018, les investissements en infrastructures (comptabilisés dans le Plan québécois des infrastructures, et planifiés sur 10 ans) ont augmenté de 50 %. C’était le choix à faire pour prendre soin de nos infrastructures, qui sont indispensables pour offrir des services publics.

Le soutien aux organismes communautaires a presque doublé

Les organismes communautaires jouent un rôle essentiel pour prendre soin de nos concitoyens les plus vulnérables, en complémentarité avec l’État québécois. On a souvent fait état du financement insuffisant qu’ils reçoivent, et les années libérales ont marqué une croissance anémique du soutien offert aux organismes.

Source: Plan budgétaire du Québec 2024-25, p. C33

Lors de son arrivée au pouvoir, la Coalition Avenir Québec a pris ce déficit de soutien au sérieux, et a investi plus que jamais en soutien aux organismes communautaires. Si bien que le soutien financier que l’État québécois leur consacre a presque doublé : il a effectivement augmenté de 86 % depuis le dernier budget libéral!

Les sommes investies en francisation ont triplé

Avec la hausse importante de l’immigration temporaire au Québec dans les dernières années, provoquée en majeure partie par le gouvernement fédéral, les besoins en francisation au Québec ont grandement augmenté, comme en atteste un rapport du Commissaire à la langue française. En conséquence, le gouvernement de la CAQ a créé Francisation Québec, un guichet unique pour tous ceux et celles qui ont besoin d’obtenir des cours de français.

Source: Ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration - Le Devoir

Cette réforme majeure de la francisation a été accompagnée d’investissements très importants pour soutenir l’adoption de la langue française par les nouveaux arrivants : les budgets ont plus que triplé entre 2018 et 2024! Même si l’offre reste moins importante que la demande, en raison d’une immigration incontrôlée à Ottawa, le Québec fait mieux que jamais en francisation.

Et l’équilibre budgétaire, dans tout ça?

Pour de bonnes raisons, les investissements dans nos services publics ont augmenté de manière importante depuis 2018, comme nous l’avons expliqué plus haut. Cependant, il ne faut pas perdre de vue la nécessité d’atteindre l’équilibre budgétaire, particulièrement pour le gouvernement de la CAQ, qui est très attaché à la bonne gestion des finances publiques.

Lors de la mise à jour économique de l’automne 2024, le ministre des Finances, Eric Girard, a confirmé son intention de réduire progressivement le déficit jusqu’en 2029, pour revenir à l’équilibre budgétaire sans causer de période d’austérité qui serait dommageable pour le Québec, comme l’ont fait les libéraux.

Source: Mise à jour économique du Québec 2024, p. E30

Le gouvernement de François Legault a déjà commencé à rendre l’État plus efficace, en réduisant la paperasse, en accélérant certains processus et en éliminant des dépenses et des contraintes qui compliquent la vie des Québécois. Ces efforts continueront dans les prochaines années, car la règlementation qui touche les citoyens et les entreprises est encore beaucoup trop lourde!

Finalement, c’est en continuant de développer l’économie du Québec que le gouvernement de la CAQ réussira à atteindre l’équilibre budgétaire sans abîmer nos services publics. Alors que notre écart de richesse a stagné pendant 15 ans de gouvernements libéraux, il est passé de 20 % à 14 % sous la Coalition Avenir Québec. C’est en créant de la richesse que nous pouvons la redistribuer, et le gouvernement caquiste de François Legault a démontré qu’il est le meilleur pour y parvenir depuis 2018!

Bilan économique de la CAQ : que disent les chiffres?


 Publié le 27 janvier 2025

Les indicateurs économiques sont clairs : depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a insufflé un élan économique exceptionnel à la nation québécoise, après 15 ans de statu quo sous des gouvernements libéraux.

Malheureusement, il existe un écart de richesse persistant entre le Québec et le reste du Canada, pour plusieurs raisons. Citons notamment le retard de la majorité francophone avant la Révolution tranquille et l’éclosion du « Québec inc. », le développement des secteurs automobiles et bancaires à Toronto au détriment de Montréal, et l’exploitation de l’énergie fossile albertaine. Pour toutes ces raisons, le reste du Canada est en moyenne plus riche que le Québec, mais ce n’est pas une fatalité, au contraire.

Pour François Legault et la Coalition Avenir Québec, développer l’économie du Québec et enfin rattraper notre retard par rapport à nos voisins est une véritable urgence. En 2018, les Québécois ont élu un gouvernement économique pour enfin réussir ce grand défi. Alors que l’écart de richesse entre le Québec et le reste du Canada n’a pas changé en 15 ans de gouvernance libérale, il diminue désormais.

Plusieurs indicateurs nous permettent d’observer que l’économie du Québec performe davantage depuis 2018 :

  1. Le salaire hebdomadaire moyen
  2. Le revenu disponible après impôts
  3. Le PIB réel par habitant
  4. L’écart de richesse du Québec avec le reste du Canada

Le salaire hebdomadaire moyen

En économie, le gouvernement de la CAQ souhaite avant tout créer des emplois payants pour les Québécois. C’est notamment pourquoi les investissements en éducation ont augmenté de 50 % depuis 2018 : une main-d’œuvre éduquée et qualifiée est un atout essentiel dans de nombreux domaines de pointe. C’est aussi pourquoi Investissement Québec est plus actif que jamais, pour investir dans nos entreprises, attirer des investissements étrangers et aider les entreprises québécoises à exporter leurs produits.

Depuis 2018, la CAQ a également consenti des augmentations salariales historiques aux enseignants et aux infirmières, afin de renforcer nos services publics.

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

Pour toutes ces raisons, le salaire hebdomadaire moyen a augmenté plus rapidement au Québec que dans le reste du Canada, même lorsqu’on exclut l’inflation.

Le revenu disponible après impôts

Lorsqu’on regarde le revenu disponible, c’est-à-dire ce qu’il reste dans les poches des Québécois après les impôts, les cotisations sociales et les transferts gouvernementaux, on constate qu’il a augmenté presque deux fois plus vite au Québec qu’ailleurs au Canada!

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

C’est notamment parce que le gouvernement de la CAQ a remis énormément d’argent dans les poches des familles et des aînés depuis 2018. Pensons aux baisses d’impôts, à la baisse des taxes scolaires, au retour du tarif unique en service de garde, au montant de 2000 $ par année pour les aînés à faible revenu, entre autres. Toutes ces actions ont eu un impact concret sur le portefeuille des Québécois.

Le PIB réel par habitant

En créant des emplois payants, en attirant des milliards en investissements et en aidant les entreprises québécoises à atteindre de nouveaux marchés, le gouvernement de la CAQ a fait augmenter le PIB réel par habitant du Québec depuis 2018… alors que celui du Canada a diminué!

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

Le PIB réel correspond à la valeur de la production totale de biens et de services sur un territoire, exprimée en dollars constants, donc sans l’inflation. On le divise par le nombre d’habitants pour évaluer notre productivité.
Autrement dit, alors que le Canada est devenu moins productif depuis six ans, le Québec est plus productif que jamais!

L’écart de richesse du Québec avec le reste du Canada diminue!

Pour toutes ces raisons, on constate donc que l’écart de richesse entre le Québec et le reste du Canada se referme depuis que le gouvernement économique de la CAQ est au pouvoir.

Source : Institut de la Statistique du Québec, Statistique Canada

Par comparaison, les 15 années des gouvernements libéraux de Jean Charest et de Philippe Couillard ont été marquées par le statu quo : le Québec est resté 20 % moins riche que le reste du Canada.

Depuis 2018, cet écart a baissé de 6 points pour atteindre 14 % : c’est l’équivalent de milliards de dollars de plus dans l’économie québécoise!

Un élan économique exceptionnel depuis 2018

Les indicateurs économiques sont clairs : depuis 2018, le gouvernement caquiste a donné un élan exceptionnel à l’économie québécoise.

S’enrichir n’est pas une fin en soi, c’est ce qui nous permet d’avoir les moyens de nos ambitions, de financer nos services publics et de prendre soin de nos plus vulnérables. Tous les Québécois ont intérêt à ce que l’économie du Québec devienne de plus en plus productive et à ce que nous devenions collectivement plus riches.

Avec le retour du protectionnisme américain, des turbulences économiques guettent le Québec dans les prochaines années. Dans ce contexte incertain, le Québec a besoin plus que jamais d’un gouvernement économique et solide, et surtout d’un capitaine qui a fait ses preuves, et qui sait traverser des crises. Le premier ministre François Legault et le gouvernement de la Coalition Avenir Québec sauront relever ce défi.

Le gouvernement de la CAQ est-il celui qui en a fait le plus pour les places en service de garde?


 Publié le 17 janvier 2025

La réponse est claire, c’est oui!

Depuis la création des centres de la petite enfance (CPE), aucun gouvernement n’en a fait autant pour rendre des places subventionnées accessibles pour les familles du Québec. De nombreux indicateurs démontrent concrètement les progrès réalisés par la CAQ pour offrir à tous les enfants, qui en ont besoin, une place en garderie :

1. Le réseau des services de garde est complété à 95 %
2. Plus de places subventionnées ont été créées par année que sous les autres gouvernements
3. Le tarif unique de 9,10 $ a remplacé la taxe-famille libérale
4. Près de 10 000 places non-subventionnées ont été converties en places subventionnées
5. 7 500 éducatrices de plus ont rejoint le réseau des services de garde au cours des trois dernières années.
6. On met en place des conditions pour accélérer la création de places subventionnées

Le réseau des services de garde est complété à 95 %

Depuis que les Québécois lui ont accordé leur confiance, le gouvernement de la CAQ travaille pour renforcer le réseau des services de garde du Québec et assurer des places de qualité dans des milieux sécuritaires. Dans le Grand chantier pour les familles, lancé en 2021, on estimait qu’il fallait atteindre un total de 320 000 places pour répondre adéquatement aux besoins des Québécois.

En 2021, le réseau comptait environ 293 000 places subventionnées ou non. À l’automne 2024, il en compte environ 305 000 : le réseau est maintenant complété à 95 %. Si la construction du réseau des garderies est un chantier porté par tous les gouvernements depuis le début des années 2000, celui de la CAQ s’est montré particulièrement efficace pour accélérer la création de places, surtout dans les milieux subventionnés.

Plus de places créées en moyenne chaque année

Sous le gouvernement de la CAQ, plus de places subventionnées ont été créées en moyenne par année que sous les gouvernements précédents.

Source : Ministère de la Famille

D’ailleurs, plus de 25 000 nouvelles places subventionnées ont été créées depuis le lancement du Grand chantier pour les familles en 2021. Ça fait une différence majeure dans le budget de toutes ces familles chaque semaine.

Fin de la taxe-famille libérale et retour du tarif unique à 9,10 $

Sous les gouvernements libéraux, le coût d’une place a augmenté constamment, pour atteindre jusqu’à 19,35 $ par jour, au détriment des familles de la classe moyenne. L’approche de la Coalition Avenir Québec, c’est au contraire de remettre de l’argent dans le portefeuille des Québécois. C’est pourquoi le gouvernement Legault a ramené le tarif unique en service de garde et l’a indexé à un maximum de 3 % par année, même avec l’inflation.

Ainsi, en 2024, le tarif en garderie subventionnée coûte 9,10 $ par jour. Cette mesure aide concrètement les parents de la classe moyenne à boucler leur budget chaque mois.

10 000 places non-subventionnées converties
en places subventionnées

En 2021, lorsque le gouvernement caquiste a lancé son Grand chantier pour les familles, 75 % des places en garderie étaient subventionnées. Ce chiffre s’élève à 80 % aujourd’hui, car près de 10 000 places non-subventionnées ont été converties en places subventionnées.

Dans le but d’aider les familles et d’alléger leur portefeuille, le gouvernement de la CAQ s’est engagé à convertir des places non subventionnées en places à 9,10 $ par jour. Il a aussi bonifié le crédit d’impôt pour frais de garde d’enfants afin de réduire la facture assumée par plusieurs parents.

7 500 nouvelles éducatrices dans les services de garde

Le gouvernement de la CAQ a lancé un effort important pour attirer plus d’éducatrices dans le réseau des services de garde, notamment en encourageant la formation en éducation à l’enfance. Il a notamment rendu gratuite la démarche de reconnaissance des acquis pour les professionnelles qui souhaitent se qualifier pour un poste en CPE. Il offre aussi des bourses allant jusqu’à 9 000 $ pour les étudiantes qui choisissent d’étudier en éducation à l’enfance au collégial.

Sous le leadership de la ministre de la Famille Suzanne Roy, un programme d’étudiantes ambassadrices a aussi été mis en place afin de valoriser ce parcours d’étude auprès des jeunes du secondaire. Un éventail de mesures ciblées qui ont toutes pour objectif la qualification de la main-d’œuvre dans ce réseau contribue à l’épanouissement et au bien-être des enfants.

Depuis 2021, les mesures du gouvernement ont porté ses fruits et ont attiré près de 7 500 nouvelles éducatrices pour s’occuper de nos tout-petits.

De nouvelles façons d’accélérer la création
de places subventionnées

La ministre de la Famille, Suzanne Roy, met en place plusieurs moyens qui visent tous à accélérer la création de places subventionnées ce qui bénéficie aux parents du Québec. Elle s’est d’abord tournée vers une solution novatrice : la réalisation de CPE en méthode de construction préfabriquée. Il s’agit d’un modèle qui a fait ses preuves, et qui peut réduire les délais de construction à 12 mois environ, au lieu des 24 à 36 mois requis traditionnellement.

De plus, la ministre Roy a mis sur pied un bureau d’accélération des projets qui a permis de débloquer plus de 3 000 places qui sont en cours de réalisation. Elle permet aussi à des CPE et des garderies d’optimiser leurs installations en offrant plus rapidement des places aux enfants.

Un gouvernement qui livre la marchandise pour les familles!

Le bilan du gouvernement de François Legault pour les familles est remarquable. Le réseau des services de garde à l’enfance prend en charge plus d’enfants que jamais et a franchi la barre des 300 000 places. Grâce à des investissements importants, des mesures fortes pour attirer des milliers de nouvelles éducatrices dans le réseau et des nouvelles initiatives pour accélérer la création de nouvelles places subventionnées. Les services de garde du Québec prennent un nouvel envol.

Depuis que la taxe-famille libérale a été abolie et que 10 000 places non-subventionnées ont été converties en places subventionnées, des milliers de parents profitent de centaines de dollars de plus dans leur portefeuille chaque année. Depuis 2018, les familles du Québec peuvent compter sur un gouvernement qui livre la marchandise pour les familles et qui rend la vie plus abordable.

À quel point le gouvernement de la CAQ rend l’État plus efficace?


 Publié le 12 décembre 2024

Faire plus et faire mieux, c’est au cœur de l’ADN de la CAQ. C’est pourquoi, depuis 2018, le gouvernement de François Legault agit pour alléger la bureaucratie au Québec, offrir des services publics plus efficaces et simplifier la vie des Québécois. Il n’a jamais eu peur de changer les façons de faire établies ou de bousculer les vieilles habitudes pour en donner plus aux citoyens.

Voici dix initiatives des ministres de la CAQ pour réduire la bureaucratie :

  1. Accélérer de 66 à 8 jours le délai pour obtenir un certificat de décès
  2. Éliminer la paperasse pour les soins à domicile
  3. Supprimer l’obligation de présenter un billet de médecin pour les absences scolaires
  4. Mettre sur pied des formations accélérées en santé, en éducation et en construction
  5. Construire plus vite et moins cher grâce au mode collaboratif
  6. Décloisonner le secteur de la construction
  7. Alléger la paperasse pour plus de 2 000 organismes communautaires
  8. Accélérer le déploiement de places en garderies avec des CPE préfabriqués
  9. Simplifier le renouvèlement du permis de conduire pour les 75 ans et plus
  10. Simplifier la vie des agriculteurs

Le délai pour obtenir un certificat de décès passe de 66 à 8 jours

En date de juillet 2024, les délais pour obtenir un certificat de décès auprès du Directeur de l’état civil ont atteint 66 jours ouvrables, une situation inacceptable pour toutes les familles qui ont besoin de ce document pour régler une succession suite à un décès.

La ministre de l’Emploi, Kateri Champagne Jourdain, a pris cette situation à bras le corps. Les processus ont changé, les employés sont devenus plus polyvalents et la formation a été accélérée. Ainsi, la capacité de traitement de l’état civil est passée de 1 500 à 3 500 dossiers par semaine, et le délai de traitement d’un dossier a chuté à 8 jours seulement.

Grâce à ce regain d’efficacité, les Québécois endeuillés peuvent plus rapidement obtenir les documents dont ils ont besoin pour compléter la succession.

Fini les formulaires de 36 pages pour les soins à domicile

La ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger, a lancé une petite révolution pour que les personnes qui donnent des soins à domicile passent plus de temps avec les patients et moins de temps à remplir des formulaires.

Elle a donc aboli un formulaire de 36 pages, qui prenait plus de 5 heures à remplir, lorsqu’un nouveau patient était traité, pour le remplacer par un outil abrégé qui prendra entre 30 et 60 minutes à remplir. Les intervenants n’auront plus à réévaluer l’ensemble de leur clientèle chaque année si leur état de santé ne change pas, ce qui leur prenait jusqu’à 80 heures par le passé. Finalement, ils n’auront plus à remplir une feuille qui indique ce qu’ils font à chaque 15 minutes. De quoi leur donner beaucoup plus de temps pour faire leur métier, soit s’occuper des patients.

Par le passé, les tâches administratives et les déplacements occupaient plus de 70 % du temps du personnel en soins à domicile. C’est en train de changer, grâce à la CAQ, pour le bien des patients.

Plus besoin d’aller voir le médecin pour une absence scolaire de moins de 5 jours

Une des raisons qui explique les difficultés d’accès au système de santé, ce sont les tâches, qu’on impose au personnel, qui ne sont pas liées aux soins directs pour les patients. Parmi ces tâches, il y a notamment la signature de billets d’absence scolaire pour des ennuis de santé de courte durée.

Les ministres de la Santé, de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur se sont donc coordonnés pour réduire la charge administrative des médecins afin qu’ils puissent consacrer plus de leur temps à soigner leurs patients. Le gouvernement s’attaque aussi à la paperasse demandée aux médecins par les employeurs et les assureurs, pour libérer jusqu’à 600 000 rendez-vous pour les Québécois qui en ont vraiment besoin. Résultats : moins de paperasse, plus de soins.

Formation rapide de préposé.e.s aux bénéficiaires
et d’enseignants

Pendant la pandémie, le gouvernement de la CAQ a innové en lançant une formation rapide et rémunérée pour devenir préposé.e aux bénéficiaires en moins de six mois. Cette initiative novatrice a permis d’amener dans le réseau 7 500 préposés qui sont toujours en poste.

Face au besoin grandissant d’enseignants qualifiés dans les classes, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, est lui aussi sorti des sentiers battus avec une formation à distance sur un an pour former des enseignants qualifiés. Cette formation a un grand succès, et le programme de la TELUQ a attiré plus de 450 candidatures dès sa première année.

Le modèle des formations rapides et rémunérées du gouvernement de la CAQ chamboule les vieilles façons de faire et les corporatismes, et a permis d’amener des milliers de professionnels en éducation et en santé.

Construire 25 % plus vite et 15 % moins cher

Le Québec a besoin plus que jamais d’infrastructures importantes, notamment des routes, des écoles et des hôpitaux. Malheureusement, les coûts de construction ne cessent d’augmenter. C’est pourquoi le ministre responsable des Infrastructures, Jonatan Julien, a lancé un changement de culture avec un objectif ambitieux : construire 25 % plus vite et 15 % moins cher.

Comment y arriver? En allégeant le fardeau administratif du gouvernement pour accélérer l’autorisation des grands projets, et en impliquant le secteur privé dès la construction des projets. La méthode a déjà été testée pour la construction de quatre écoles, et elle a atteint son objectif de livrer des infrastructures de qualité, moins chères et plus rapidement pour les Québécois.

Plus besoin de 7 métiers pour changer une porte sur un chantier

Si la construction d’infrastructures est plus longue et plus coûteuse qu’on le souhaiterait, c’est aussi à cause des barrières qui pèsent sur les métiers de la construction. Par exemple, il fallait jusqu’à tout récemment 7 ouvriers différents pour changer une porte dans une école!

Grâce à la réforme de la construction menée par le ministre du Travail, Jean Boulet, beaucoup moins de barrières empêchent les travailleurs d’accomplir des tâches sur les chantiers. L’interdiction des clauses qui limitent l’embauche de travailleurs d’autres régions permettra aussi de trouver plus rapidement des travailleurs sur les chantiers. Cette révolution de la construction va enlever des bâtons dans les roues de l’industrie pour bâtir plus vite les infrastructures dont le Québec a besoin.

Moins de paperasse pour 2 000 organismes communautaires

Le Québec est riche de milliers d’organismes communautaires qui accomplissent un travail essentiel. Par contre, chaque heure qu’ils doivent passer à remplir des formulaires réduit le temps qu’ils ont pour servir concrètement la communauté.

La ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire, Chantal Rouleau, a pris le taureau par les cornes en haussant le seuil de subvention à partir duquel ils doivent produire des audits financiers. Par le passé, tout organisme qui recevait plus de 150 000 $ devait trouver un comptable pour faire un audit chaque année. Maintenant, ce sont seulement ceux qui reçoivent plus de 500 000 $ qui devront le faire. Plus de 2 000 petits organismes auront donc plus de temps pour prendre soin des plus vulnérables, au lieu de remplir des papiers.

Des CPE construits en un an grâce au catalogue préfabriqué

Avec l’augmentation marquée des besoins au Québec, il fallait trouver de nouvelles initiatives pour ouvrir rapidement des nouvelles places en CPE. La ministre de la Famille, Suzanne Roy, a innové en lançant 8 projets de CPE préfabriqués, afin de créer plus de 700 nouvelles places dans des délais records.

Le premier projet préfabriqué verra le jour à Saint-Prosper, en Beauce. Cette nouvelle façon de faire a permis de réduire le délai de construction d’un nouveau CPE à environ un an au lieu de deux. C’est une excellente nouvelle pour tous les parents du Québec qui attendent encore une place en CPE.

Moins compliqué de renouveler son permis de conduire à 75 ans

Afin de s’assurer que les aînés ont toujours les facultés nécessaires pour conduire, la SAAQ exige une procédure de renouvèlement différente à partir de 75 ans. Par le passé, les personnes qui atteignaient 75 ans devaient soumettre à la SAAQ des résultats d’examens médicaux dans deux formulaires remplis par un médecin et un spécialiste de la vue. Moins de 2 % des conducteurs de 75 ans perdaient leur permis à la suite de ce contrôle.

Pour libérer du temps aux conducteurs et aux professionnels, le gouvernement de la CAQ a changé la procédure pour que seules les personnes avec certains problèmes médicaux aient à subir ces examens, repoussant le seuil pour tous à 80 ans. Cet allègement simplifie la vie des aînés, et donne plus de temps aux professionnels de la santé pour soigner ceux qui en ont besoin.

Plus de temps dans les champs pour les agriculteurs

Les agriculteurs du Québec pratiquent un métier difficile, et essentiel pour mettre de la nourriture dans nos assiettes. Pour leur permettre de passer plus de temps dans leurs champs et moins de temps à remplir des formulaires, le ministre de l’Agriculture, André Lamontagne, a agi pour réduire le fardeau administratif du monde agricole : 15 % moins de documents à rendre, des formalités administratives 20 % moins coûteuses.

Par exemple, cela implique de réduire la fréquence et la complexité des demandes d’autorisation de prélèvement d’eau, de simplifier la règlementation liée au lavage de fruits et légumes et de réduire de moitié les informations à consigner au registre d’utilisation de pesticides par les producteurs agricoles. Grâce à ces mesures, les agriculteurs pourront se concentrer sur l’essentiel : nourrir les Québécois.

Le gouvernement de la CAQ rend l’État plus efficace !

Depuis 2018, le Québec a un gouvernement économique, un gouvernement de bons gestionnaires qui bousculent le statu quo pour rendre l’État plus efficace. Les exemples ne manquent pas pour démontrer que la CAQ parvient à faire plus et mieux pour les contribuables du Québec, qui sont en droit de s’attendre à des services publics de qualité.

Grâce aux changements de l’équipe de François Legault, les professionnels de la santé, les agriculteurs et les organismes communautaires ont plus de temps pour faire leur travail. L’industrie de la construction peut construire nos infrastructures plus rapidement, avec un processus moins lourd. Et surtout, les Québécois obtiennent des services plus rapidement et plus facilement.

Le gouvernement de la CAQ, plus grand défenseur des consommateurs?


 Publié le 5 décembre 2024

Dans les dernières années, nos méthodes de consommation ont beaucoup changé, notamment avec le virage numérique. Les droits des consommateurs doivent évoluer en conséquence, afin qu’ils soient adéquatement protégés et puissent faire des choix éclairés.

Le ministre de la Justice du Québec, Simon Jolin-Barrette, a fait adopter de nombreuses réformes visant à moderniser la Loi sur la protection du consommateur, au bénéfice de tous les Québécois. On peut ainsi dire que le gouvernement de la CAQ est celui qui a fait les plus grandes avancées pour les droits des consommateurs depuis le gouvernement de René Lévesque!

Voici quelques-uns de ces gains, qui viennent en aide aux Québécois dans leur vie de tous les jours :

  1. Présentation des suggestions de pourboire avant taxes et sans pression
  2. Hausse à 15 $ du rabais prévu par la Politique d’exactitude des prix
  3. Limitation à 50 $ de la pénalité en cas de fraude de carte de débit
  4. Protection contre les voitures « citrons »
  5. Meilleure garantie pour les voitures d’occasion
  6. Plus de transparence sur le prix de l’essence
  7. Renforcement du droit à la réparation
  8. Interdiction de l’obsolescence programmée

Des suggestions de pourboire avant taxes et sans pression

La question des pourboires présentés sur les terminaux de paiement a interpellé énormément de consommateurs dernièrement. Des techniques d’influence sont employées pour inciter les consommateurs à donner plus qu’ils ne le souhaiteraient.

De plus, la plupart des machines calculent le pourboire après les taxes, alors qu’il est coutume au Québec de le calculer avant les taxes. Cela signifie que lorsqu’ils sélectionnent 15 % sur un terminal de paiement, les Québécois paient en vérité 17,25 %. Les Québécois ont le droit de faire des choix en toute connaissance de cause.

Grâce aux réformes du gouvernement, les terminaux de paiement devront calculer les suggestions de pourboire sur le montant de la facture avant les taxes, et devront présenter les options de manière neutre et uniforme, tout en laissant le choix aux Québécois de donner le montant qu’ils désirent.

Le rabais de la Politique d’exactitude des prix passe
de 10 $ à 15 $

La Politique d’exactitude des prix vise à faire en sorte que les prix affichés par les commerçants sur les tablettes soient exactement ceux qui sont payés par les consommateurs. Ainsi, lorsque le prix affiché ne reflète pas le prix réel, les Québécois ont droit à un rabais de 10 $ sur le prix du produit, et obtiennent l’article gratuitement s’il vaut moins de 10 $.

Le seuil de 10 $ a été fixé en 2001, lors de l’adoption de la Politique. Cependant, les prix ont beaucoup augmenté depuis, et le seuil n’avait jamais rattrapé l’inflation. C’est pourquoi le rabais garanti par la Politique d’exactitude des prix est maintenant de 15 $, grâce à la CAQ.

Pas de pénalité de plus de 50 $ en cas de fraude de carte de débit

Avec la croissance du commerce en ligne et la baisse de l’utilisation de l’argent comptant au profit des cartes, les fraudes bancaires sont plus nombreuses que par le passé. Malheureusement, plusieurs banques ont imposé aux consommateurs des conditions irréalistes afin de ne pas les compenser en cas de fraude.

Dans son projet de loi 72, le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, a imposé un montant maximum de 50 $ de responsabilité pour le consommateur en cas de fraude de sa carte de débit. Les Québécois ne doivent pas être injustement pénalisés lorsqu’ils sont victimes de fraude.

Une protection contre les voitures « citron »

Même si le prix des voitures neuves a grandement augmenté depuis plusieurs années, elles ne sont pas toujours fiables. Par le passé, les consommateurs qui avaient acheté un « citron » devaient prouver eux-mêmes qu’il existait un vice caché dans leur voiture pour espérer obtenir une compensation, en faisant parfois appel à un technicien. Il s’agissait d’une procédure coûteuse et complexe.

Grâce au gouvernement caquiste, le Québec a maintenant la première protection « anti-citron » au Canada. Désormais, un véhicule citron neuf, acheté ou loué depuis moins de 3 ans et n’ayant pas parcouru plus de 60 000 kilomètres, est un « véhicule gravement défectueux » selon la loi. Les citoyens qui ont acheté un véhicule défectueux peuvent maintenant obtenir l’annulation de la vente, la diminution du prix ou le rachat par le constructeur. C’est une grande avancée pour les automobilistes québécois.

Une meilleure garantie pour les voitures d’occasion

Acheter un véhicule d’occasion ne devrait pas être un pari risqué. C’est pourquoi le gouvernement Legault a bonifié la garantie de bon fonctionnement, qui s’étend maintenant jusqu’à 6 mois ou 10 000 kilomètres pour un véhicule ayant 4 ans et moins, et ayant parcouru un maximum de 80 000 kilomètres. Auparavant, pour une voiture comparable, cette protection était moitié moins généreuse, et couvrait seulement des modèles vieux de 2 ans et moins, avec un maximum de 40 000 kilomètres.

Les consommateurs québécois qui achètent des voitures usagées sont donc mieux protégés contre les véhicules défectueux.

Des prix plus transparents à la pompe à essence

Depuis la montée de l’inflation en 2022, le prix de l’essence a augmenté de manière importante. Cependant, on ne sait pas toujours si la hausse vient du prix du carburant lui-même, ou si ce sont les revendeurs qui s’en mettent plus dans les poches.

Grâce au projet de loi 72 de la CAQ, et à sa bonification par le député de Beauce-Sud Samuel Poulin, le gouvernement a maintenant le pouvoir d’obliger les stations-services à fournir des informations sur le prix de l’essence et du carburant diesel. Ultimement, les Québécois pourront être mieux informés sur la marge de profit des commerçants, et prendre des décisions plus éclairées dans leurs achats de carburant.

Un droit à la réparation plus large

Quand ils achètent un bien, les Québécois ont le droit de s’attendre à ce qu’il fonctionne pendant une durée raisonnable, et qu’il puisse être réparé au besoin. C’est pourquoi, dans son projet de loi 29, le ministre Jolin-Barrette a renforcé le droit à la réparation dont jouissent les consommateurs.

Les pièces de rechange, services de réparation et renseignements nécessaires à l’entretien ou à la réparation d’un bien devront être disponibles pendant une durée raisonnable et pouvoir être installées à l’aide d’outils couramment disponibles et sans endommager le bien. Les Québécois doivent aussi pouvoir faire affaire avec le réparateur de leur choix, plutôt que d’être contraints de faire affaire avec le vendeur ou le fabricant. Par exemple, les automobilistes québécois auront accès à leurs données et pourront donc faire affaire avec leur garagiste indépendant plutôt que d’être forcés de retourner au concessionnaire.

Cette garantie de réparation s’applique aux voitures, cuisinières, réfrigérateurs, lave-vaisselles, machines à laver, tablettes et téléviseurs, entre autres. Si ces biens cessent de fonctionner normalement à l’intérieur de la garantie normale de bon fonctionnement, ils devront être réparés gratuitement.

Interdiction de l’obsolescence programmée

On parle de plus en plus du phénomène de l’obsolescence programmée, soit le fait pour des fabricants de réduire volontairement la durée de vie de leurs produits pour forcer le consommateur à les remplacer plus rapidement.

Grâce au gouvernement de la CAQ, cette pratique est maintenant interdite au Québec. Ainsi, si les consommateurs suspectent qu’un bien qui leur a été vendu en est l’objet, ils peuvent porter plainte auprès de l’Office de la protection du consommateur. Le Québec est donc le 2e endroit au monde, après la France, à avoir posé ce geste important.

Un gouvernement qui protège notre pouvoir d’achat!​

Avec les projets de loi 29 et 72, pilotés par le ministre Simon Jolin-Barrette, le gouvernement de la CAQ a renforcé de manière substantielle les droits des consommateurs québécois. Avec la hausse du coût de la vie que nous connaissons depuis 2 ans, chaque dollar compte.

Nous devons tous pouvoir faire des choix de consommation libres et éclairés, et avoir des recours appropriés en cas de dysfonctionnement ou de fraude. Plus que jamais, le Québec est l’endroit le plus avancé en Amérique du Nord en matière de droit des consommateurs.

Est-ce que les Québécois ont plus d’argent dans leurs poches grâce au gouvernement de la CAQ?


 Publié le 19 novembre 2024

La réponse est oui, chiffres à l’appui!
Il est indéniable que plusieurs personnes et plusieurs familles éprouvent des difficultés financières depuis quelques années. La hausse des taux d’intérêt, du coût des loyers, les factures d’épicerie, tout ça contribue à rendre les fins de mois plus difficiles pour certains. Cette réalité est la même partout dans le monde.
Au Québec, ces difficultés ont été atténuées. Depuis 2018, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec a fait de nombreux gestes importants pour redonner de l’argent aux Québécois, de telle sorte que le Québec est maintenant le champion du G7 pour la croissance du pouvoir d’achat depuis 2019, selon une étude indépendante. C’est en bonne partie grâce au « Bouclier anti-inflation » de la CAQ, et à ses politiques pour regarnir le portefeuille des citoyens.

Quand on mesure l’effet des politiques fiscales du gouvernement caquiste sur le portefeuille des Québécois, les résultats sont clairs :

  1. Plus d’argent dans le portefeuille des familles
  2. Plus d’argent dans le portefeuille des aînés
  3. Plus d’argent dans le portefeuille des étudiants
  4. Le Québec est le champion du G7 pour le pouvoir d’achat malgré la hausse du coût de la vie

Les scénarios ci-dessous sont fictifs et représentent des profils-types, mais ils démontrent comment les choix budgétaires du gouvernement de François Legault ont permis de rendre la vie plus abordable, concrètement, pour tous les Québécois.

Plus d’argent dans le portefeuille des familles

Les familles du Québec ont toutes sortes de dépenses, et il n’est pas facile pour plusieurs d’entre elles de joindre les deux bouts à la fin du mois. C’est pourquoi, depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a posé des actions importantes pour améliorer les revenus des familles.

Dans le cas des Gélinas, une famille de Trois-Rivières avec deux enfants, la bonification de l’allocation-famille permet aux parents, Sébastien et Audrey, de recevoir 1392 $ de plus par année pour leurs deux filles. L’abolition de la taxe-famille libérale fait en sorte que les parents doivent débourser 279 $ de moins par année pour les frais de garde de leurs enfants. Grâce au programme Mieux voir pour réussir, ils reçoivent également 300 $ pour rembourser les lunettes de leur fille aînée, Charlotte. L’harmonisation de la taxe scolaire leur redonne plus de 800 $, et la baisse de l’impôt sur le revenu leur laisse aussi plus d’argent dans le portefeuille pour s’occuper de leurs enfants. Ainsi, les mesures du gouvernement de la CAQ ont remis 3629 $ à la famille Gélinas.

Isabella Fernandez est mère monoparentale de deux enfants, au Saguenay-Lac-Saint-Jean. La bonification de l’allocation-famille lui offre 1507 $ de plus pour prendre soin de ses deux enfants. L’harmonisation de la taxe scolaire lui laisse 594 $ dans les poches, et le programme Mieux voir pour réussir lui a offert 300 $ pour les lunettes de son fils Mathias. Finalement, la baisse de l’impôt sur le revenu et la hausse du crédit d’impôt pour solidarité ajoutent 463 $ de plus à son budget annuel. C’est donc 2864 $ de plus pour Isabella et ses deux enfants.

Plus d’argent dans le portefeuille des aînés

Les aînés du Québec ont été particulièrement touchés par l’inflation des dernières années. Nombre d’entre eux doivent compter sur de faibles revenus, qui ne leur permettaient pas de suivre la hausse du coût de la vie. Depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a donné un coup de pouce important aux retraités.

Les Poulin sont un couple d’aînés à faible revenu de Saint-Georges, en Beauce. Grâce à la création et à la bonification du montant pour le soutien aux aînés, ils touchent 2977 $ de plus. L’harmonisation de la taxe scolaire leur redonne 541 $ de plus. La baisse de l’impôt sur le revenu et la hausse du crédit d’impôt pour solidarité leur offrent 227 $ de plus. Marie et Jean Poulin sont donc 3745 $ plus riches grâce aux choix du gouvernement de François Legault.

Diane Lévesque est une aînée de 81 ans résidant à Rimouski, et sa pension de vieillesse est son unique revenu. Grâce à la bonification du programme Allocation-logement, elle touche 1800 $ de plus chaque année pour payer le loyer de son appartement. Grâce à la bonification du crédit d’impôt pour maintien à domicile des aînés et du crédit d’impôt pour solidarité, elle a 172 $ de plus pour répondre à ses besoins de base. Elle reçoit aussi 2000 $ par année en vertu du montant pour le soutien aux aînés, ce qui lui permet de boucler ses fins de moins sans craindre de manquer d’argent.

Plus d’argent dans le portefeuille des étudiants

Les étudiants du Québec vivent aussi avec des revenus précaires, et les études à temps plein font souvent en sorte qu’ils ne réussissent pas à accumuler des revenus de travail importants. Depuis 2019, le gouvernement de la CAQ a donc bonifié l’Aide financière aux études en modifiant plusieurs paramètres pour que les étudiants touchent de meilleures prestations.

Patrice est étudiant au baccalauréat à l’Université Laval, à Québec. Ses parents ont un revenu de 74 000 $ par année et habitent La Pocatière, il a donc dû déménager pour poursuivre ses études. Il retourne travailler dans sa région natale pendant l’été, et gagne un revenu de 5000 $. Grâce à la bonification de l’aide financière aux études, il a obtenu 7991 $ de plus en bourses pour se consacrer pleinement à ses études. La composante logement du crédit d’impôt pour solidarité lui offre aussi un coup de pouce de 39 $ pour payer sa résidence étudiante.

Le Québec est le champion du G7 pour le pouvoir d’achat

Les scénarios ci-haut parlent d’eux-mêmes: grâce au gouvernement de la Coalition Avenir Québec, les Québécois ont plus d’argent dans leur portefeuille, autant chez les familles, les travailleurs expérimentés, les aînés et les étudiants. La Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke a même démontré, dans une étude de 2023, que le Québec est l’endroit parmi les pays du G7 où le pouvoir d’achat des citoyens a le plus augmenté.

Quand les Québécois lui ont fait confiance en 2018, le gouvernement de la CAQ promettait de remettre toujours plus d’argent dans le portefeuille des citoyens. Il a tenu parole. Grâce aux décisions de François Legault et son équipe, les familles, les aînés et les étudiants ont maintenant plus de moyens pour affronter la hausse du coût de la vie.

Qu’a fait le gouvernement de la CAQ pour mieux contrôler l’immigration temporaire?


 Publié le 23 août 2024

L’immigration temporaire est désormais au cœur du débat politique au Québec. En 2024, le nombre de résidents non permanents sur le territoire québécois est plus de 5 fois supérieur à ce qu’il était en 2016. Cet afflux rapide de nouveaux arrivants a des conséquences importantes sur le marché du logement, sur nos services publics comme la santé, l’éducation et l’aide sociale, ainsi que sur la place du français dans la région de Montréal et en Outaouais.

Source : Institut de la statistique du Québec, Statistique Canada

Depuis l’ouverture du chemin Roxham en 2017, François Legault et la Coalition Avenir Québec dénoncent cette situation intenable, et agissent depuis qu’ils sont au pouvoir pour rétablir un système d’immigration qui permette au Québec d’accueillir les nouveaux arrivants dignement, et en nombre raisonnable.

De nombreuses actions importantes ont été posées pour mieux réguler l’immigration temporaire :

  1. Dès 2017, François Legault a lancé l’alarme sur le chemin Roxham
  2. Le gouvernement de la CAQ est arrivé au pouvoir pour « en prendre moins, mais en prendre soin »
  3. Le gouvernement caquiste a fermé les établissements collégiaux qui faisaient entrer de faux étudiants étrangers
  4. François Legault a convaincu Justin Trudeau de fermer le chemin Roxham et de rétablir le visa pour les ressortissants mexicains
  5. Le gouvernement de la CAQ a exigé la connaissance du français pour renouveler les permis de travail temporaires
  6. Le gouvernement de la CAQ gèle l’arrivée de travailleurs temporaires dans la région de Montréal, et va établir un seuil pour les étudiants étrangers

1.    Dès 2017, François Legault a lancé l’alarme sur le chemin Roxham

L’afflux massif de demandeurs d’asile à la frontière canadienne a commencé en 2017, lorsque les États-Unis resserraient leur propre frontière. Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a alors adressé un tweet à tous ceux qui désirent quitter leur pays, pour les inviter au Canada. Il a ainsi créé une filière migratoire qui n’existait pas par le passé.

Au Québec, un seul chef de parti a réagi avec la prudence qui s’imposait : François Legault. Dès le début, le chef de la CAQ a rappelé que le Québec « ne doit pas devenir une passoire », et qu’il est impossible pour notre nation d’accueillir « toute la misère du monde ». Le Parti libéral et le Parti québécois ont tous deux dénoncé cette prise de position, et n’ont pas saisi la gravité de ce qui se tramait.

2.    Le gouvernement de la CAQ est arrivé au pouvoir pour « en prendre moins, mais en prendre soin »

En 2018, la position de la CAQ sur l’immigration était claire : en prendre moins, mais en prendre soin. Considérant que la capacité d’accueil du Québec était dépassée, et que les gouvernements libéraux avaient coupé dans la francisation et l’intégration, il fallait prendre un pas de recul pour mieux accueillir les immigrants qui arrivaient au Québec. Le gouvernement de la CAQ a donc réduit les seuils d’immigration permanente de 20 % dès 2019, et surtout réinvesti dans la francisation.

Source : Le Devoir

Depuis l’arrivée de la CAQ, l’argent investi pour offrir des cours de français aux immigrants a donc triplé. Francisation Québec, un guichet unique pour apprendre le français, a également vu le jour, afin de simplifier l’accès aux cours pour ceux qui en ont besoin. 

3. Le gouvernement caquiste a fermé les établissements collégiaux qui faisaient entrer de faux étudiants étrangers

À partir de 2019, on a constaté que des collèges privés non subventionnés profitaient du fait que le Québec octroyait la citoyenneté canadienne plus facilement aux étudiants étrangers diplômés du collégial pour faire venir de « faux étudiants » dans des programmes courts. Leur seul but était d’immigrer au Canada, et ces collèges leur permettaient de contourner les procédures habituelles à travers une faille dans le système.

Source : Banque de données des statistiques officielles sur le Québec

Rapidement, le ministre Simon Jolin-Barrette a agi pour fermer cette filière et l’UPAC a déclenché une enquête de fraude.  Le nombre d’étudiants étrangers dans les collèges privés non subventionnés est retombé. Il s’agit d’une victoire concrète pour assurer l’intégrité et la justice de notre système d’immigration. 

4. François Legault a convaincu Justin Trudeau de fermer le chemin Roxham et de rétablir le visa pour les ressortissants mexicains

Cependant, la majorité de l’explosion de l’immigration temporaire est le résultat des actions ou de l’inaction du gouvernement fédéral. D’abord, la complaisance du gouvernement Trudeau envers le chemin Roxham, où des milliers de personnes sont entrées de manière irrégulière à partir de 2017.

Après une pause pendant la pandémie, où le chemin a été fermé, le gouvernement fédéral l’a rouvert à la fin de l’année 2021, et les arrivées ont atteint un niveau jamais vu. Entre janvier 2021 et janvier 2023, le Québec est passé de 255 000 résidents non permanents à 386 000. En février 2023, le premier ministre François Legault a de nouveau interpellé Justin Trudeau pour exiger la fermeture du chemin Roxham, cette fois dans les médias anglo-canadiens. Le mois suivant, en mars 2023, le Canada signait une entente avec les États-Unis pour fermer le chemin Roxham. Immédiatement, les entrées à la frontière ont baissé.

Parallèlement, une nouvelle filière s’est développée en raison des choix du gouvernement fédéral. En 2016, le premier ministre Trudeau avait décidé de ne plus exiger de visa des ressortissants mexicains qui souhaitaient entrer au Canada. Ces visas avaient précédemment été imposés parce que de nombreuses personnes non admissibles prenaient l’avion vers le Canada pour demander l’asile. C’est ce qui s’est produit à nouveau, particulièrement à partir de 2021.

Le gouvernement québécois a donc mis de la pression sur le gouvernement fédéral pour qu’il exige à nouveau des visas des ressortissants mexicains. Il a finalement accepté en février 2024, et les entrées du Mexique ont grandement baissé depuis. Cependant, les entrées dans les aéroports continuent d’augmenter, notamment via les ressortissants indiens, en raison du laxisme du gouvernement fédéral dans l’octroi des visas. Il y a même eu des allégations de fraude et de corruption documentées

5. Le gouvernement de la CAQ a exigé la connaissance du français pour renouveler les permis de travail temporaires

L’augmentation importante des résidents non permanents a également fragilisé le statut du français, en particulier dans la région de Montréal et en Outaouais. Selon le Commissaire à la langue française, la population non permanente ne connaissant pas le français est passée d’à peine 20 000 personnes en 2011 à plus de 160 000 personnes en 2023.

Source : Commissaire à la Langue française

Pour s’assurer que ceux qui resteront au Québec contribueront à l’essor du français, le gouvernement de la CAQ a imposé en novembre 2023 la connaissance du français pour le renouvellement des permis de travail temporaires. Aucun gouvernement n’avait osé le faire par le passé. Cela faisait suite à l’obligation de connaître le français pour les immigrants économiques permanents.

6. Le gouvernement de la CAQ gèle l’arrivée de travailleurs temporaires dans la région de Montréal, et va établir un seuil pour les étudiants étrangers

Le 20 août 2024, le gouvernement de la CAQ a annoncé une nouvelle mesure pour limiter le nombre d’immigrants temporaires au Québec. Dès le début de septembre 2024, les nouvelles demandes et les renouvellements du Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET) pour les emplois en dessous du salaire médian à Montréal seront gelés, afin de ne pas aggraver une situation déjà critique. Des exceptions sont prévues pour les domaines essentiels comme la santé, l’éducation, la construction et l’agroalimentaire. Cela permettra d’alléger partiellement la pression sur les services publics, sur le marché du logement et sur la langue française dans la région montréalaise, où le taux de chômage est déjà deux fois plus élevé qu’ailleurs au Québec.

Le gouvernement a aussi annoncé qu’il adopterait bientôt un projet de loi pour règlementer le nombre d’étudiants étrangers qui peuvent étudier dans les établissements québécois. Cela permettra au gouvernement de mieux contrôler les arrivées selon des facteurs comme le type d’établissement, la région et le niveau d’études. Il s’agit d’un levier essentiel pour maîtriser le nombre d’étudiants étrangers au Québec, qui représentent environ 20 % des 600 000 résidents non permanents sur le territoire du Québec.

La balle est dans le camp du gouvernement fédéral

Malgré les efforts du gouvernement de la CAQ, la majorité des immigrants temporaires actuellement sur le territoire québécois, soit les demandeurs d’asile et les travailleurs étrangers du Programme de mobilité internationale (PMI), relève toujours du gouvernement fédéral.

Le Québec a posé de nombreuses actions dans ses champs de compétences, et continuera de le faire si nécessaire, pour réduire le nombre d’immigrants temporaires. Cependant, il est devenu urgent que le gouvernement Trudeau agisse pour diminuer la pression sur le marché du logement, sur les services publics et sur la langue française au Québec.

Notre nation est fière de sa tradition d’accueil des nouveaux arrivants, mais en raison de la situation actuelle, notre capacité d’intégration est dépassée. Pour continuer d’accueillir dignement, il faut dès maintenant réduire l’immigration temporaire sur le territoire du Québec et ça, c’est la responsabilité du gouvernement Trudeau. Ottawa a perdu le contrôle et comme le craignait M. Legault en 2017, les frontières canadiennes sont devenues de véritables passoires. Il est temps de reprendre le contrôle. 

Qu’est-ce qui a changé au Québec grâce à la CAQ?


 Publié le 24 mai 2024

Quand la Coalition Avenir Québec est arrivée au pouvoir en 2018, le Québec était en mauvais état, fragilisé par le Parti libéral. L’économie du Québec stagnait par rapport à celle de nos voisins, et nos services publics étaient mis à mal par le régime d’austérité de Philippe Couillard. En environnement, le gouvernement faisait de beaux discours, sans agir concrètement. Surtout, pendant toutes ces années, les libéraux ont abandonné l’identité québécoise, en restant indifférents devant le déclin du français, en n’affirmant pas la laïcité de l’État et en défendant une politique multiculturaliste dont les Québécois ne veulent pas. Il y avait énormément à faire pour redresser le Québec.

En 2018, les Québécois ont élu l’équipe du changement de la CAQ pour remettre notre nation sur la bonne voie. Depuis, le gouvernement travaille pour rendre le Québec plus vert, plus fier et plus prospère. Il a déjà réalisé d’importants changements qui profitent à tous les Québécois avec ses 5 grandes priorités :

  1. L’économie
  2. La santé
  3. L’éducation
  4. L’environnement
  5. L’identité québécoise

1. L’économie

Depuis 2018, le Québec a un gouvernement économique, qui travaille sans relâche pour rendre notre nation plus riche, et remettre de l’argent dans le portefeuille des Québécois. Grâce à la CAQ, le Québec est champion du G7 pour l’augmentation du pouvoir d’achat, et crée plus de richesse que les autres provinces.

Baisser la taxe scolaire

Avant 2018, le taux de taxe scolaire était variable d’une région à l’autre, ce qui créait des iniquités importantes entre les régions. Par exemple, les citoyens de la Mauricie et du Saguenay-Lac-Saint-Jean payaient des taux trois fois plus élevés que dans les Laurentides. En 2020, le gouvernement de la CAQ a uniformisé la taxe scolaire à 0,1054 $ par tranche de 100 $, soit le plus bas taux au Québec. Il s’agit d’économies annuelles de plusieurs centaines de dollars pour les familles des régions qui étaient victimes de cette iniquité par le passé.


ÉCONOMIE MOYENNE PAR RÉGION

  • Nord-du-Québec : 205,84 $
  • Lanaudière : 332,45 $
  • Mauricie : 256,34 $
  • Côte-Nord : 154,11 $
  • Laurentides : 0 $
  • Chaudière-Appalaches : 202,50 $
  • Îles-de-la-Madeleine : 175,87 $
  • Abitibi-Témiscamingue : 47,52 $
  • Saguenay-Lac-Saint-Jean : 299,37 $
  • Gaspésie : 166,60 $
  • Outaouais : 64,50 $
  • Québec (Cap.-Nationale) : 69,07 $
  • Bas-Saint-Laurent : 187,49 $
  • Westmount : 1 041,52 $
  • Mont-Royal : 687,08 $
  • Senneville : 592,31 $
  • Laval : 379,13 $
  • Montréal : 294,01 $
  • Centre-du-Québec : 279,33 $
  • Montérégie : 185,23 $
  • Estrie : 158,46 $

Source : Journal de Québec.

Baisser le coût des permis de conduire

Le gouvernement de la CAQ a annoncé pour 2022 une réduction du coût du permis de conduire pour 2 ans, à 24 $ seulement. Il s’agit d’une économie de 184,11 $ pour un titulaire de permis de conduire un véhicule de promenade. Pour les titulaires d’un permis de conduire jumelant la classe auto et la classe moto, l’économie totalisera 338,15 $.

Plafonner les tarifs d’Hydro-Québec, les frais de scolarité et les frais de garde

Face à la hausse du coût de la vie, le Bouclier contre l’inflation de la CAQ a permis de plafonner l’indexation des tarifs du gouvernement à un maximum de 3 % par année, soit moins que l’inflation. Cette mesure s’applique entre autres aux factures d’Hydro-Québec, aux frais de scolarité, aux frais de garde et à la contribution payée pour l’hébergement en CHSLD.

Offrir jusqu’à 2000 $ par année pour les aînés à faible revenu

Pour de nombreux aînés à faible revenu, il devient de plus en plus difficile de joindre les deux bouts avec leur seule pension de retraite. C’est pourquoi le gouvernement caquiste a mis en place le crédit d’impôt pour soutien aux aînés, qui représente jusqu’à 2000 $ par personne, ou 4000 $ pour un couple, pour les aînés de 70 ans et plus avec de faibles revenus. Ceci bénéficie à plus de 730 000 aînés à chaque année au Québec.

Créer des zones d’innovation pour enrichir les régions du Québec

Depuis 2013, François Legault a une vision pour enrichir le Québec : des zones d’innovation où les entreprises privées, la recherche universitaire et la formation professionnelle dans un secteur particulier collaborent étroitement pour innover.

De plus en plus de zones d’innovation naissent désormais dans les régions du Québec, dans des secteurs de pointe où notre nation se démarque : l’informatique quantique à Sherbrooke, les technologies numériques à Bromont, les batteries vertes à Bécancour, Trois-Rivières et Shawinigan et l’aérospatiale dans le Grand Montréal. Ces moteurs vont créer de l’emploi et de la richesse aux quatre coins du Québec, avec des salaires d’entrée entre 70 000 et 75 000 $ pour les travailleurs.

Créer l’étiquetage « Produit du Québec » pour favoriser l’achat local

Pour aider les Québécois à repérer les produits de chez nous et à acheter local, le gouvernement de la CAQ a créé des étiquettes « produits du Québec », qui sont faciles à repérer, afin de certifier officiellement les produits québécois dans les magasins. Elles rendent ainsi la tâche plus facile aux citoyens qui souhaitent encourager notre économie dans leurs achats.

Source : Les Produits du Québec.

Déployer Internet haute vitesse sur tout le territoire du Québec

L’iniquité d’accès à Internet haute vitesse était l’une des plus grandes injustices qui frappaient les régions du Québec et freinait leur développement économique. En avance sur plusieurs provinces canadiennes, le gouvernement de la CAQ a réussi à brancher l’ensemble des foyers québécois à Internet haute vitesse en 2023, ce qui représente un progrès historique pour toutes nos régions.

Rendre le Québec plus riche par rapport au reste du Canada

Depuis 2018, le Québec avance à pas de géant pour rattraper son retard économique sur le reste du Canada. Alors que notre écart de richesse avec l’Ontario était de 15,9 % en 2018, il est désormais de 11,9 % en 2024, un rattrapage majeur en 6 ans! C’est le signe que l’économie du Québec va dans la bonne direction.

Source : Ministère des Finances du Québec.

2. La santé

L’austérité libérale a fait très mal au réseau de la santé sous le règne du PLQ, et la pandémie a attiré l’attention sur des problèmes qui existaient déjà dans le réseau par le passé. Après cet exercice éprouvant, le gouvernement de la CAQ s’attaque au statu quo afin de rendre le système de santé plus efficace et plus humain pour tous les Québécois.

Augmenter les pouvoirs des infirmières et des pharmaciens

Pour réduire l’achalandage à l’urgence et permettre aux Québécois d’obtenir des soins plus rapidement, la CAQ a augmenté les pouvoirs des professionnels de la santé, comme les pharmaciens et les infirmières. Depuis 2019, les pharmaciens peuvent notamment prescrire et administrer des vaccins, et prescrire certains médicaments en cas d’urgence, comme lors d’une réaction allergique sévère. Les infirmières praticiennes spécialisées ont aussi plus de pouvoirs, comme celui de formuler des diagnostics ou de prendre en charge des patients qui n’ont pas de médecins de famille.

Réduire la paperasse pour les soignants

La mission du personnel de santé, c’est de soigner les patients, pas de remplir des formulaires. C’est pourquoi le gouvernement de la CAQ a agi afin de réduire de manière importante la paperasse pour les intervenants en soutien à domicile, pour en finir avec la reddition de compte à toutes les 15 minutes et les formulaires de 36 pages. Pour les médecins aussi, la paperasse a été réduite afin d’offrir 138 000 rendez-vous de plus chaque année aux Québécois.

Augmenter le nombre d’étudiants en médecine

Alors que les Québécois sont de plus en plus nombreux à avoir besoin de soins, notamment en raison du vieillissement de la population, le ministre de la Santé, Christian Dubé, a augmenté le nombre d’admissions en médecine dans les prochaines années. Sur 4 ans, ce seront donc 660 médecins de plus qui seront formés, ce qui permettra une meilleure prise en charge des patients.

Proposer des formations accélérées en santé

Pendant que la pandémie frappait le Québec, le gouvernement de la CAQ a innové en offrant une première formation accélérée pour devenir préposé aux bénéficiaires, avec une rémunération compétitive. Ce modèle a été répété dans les dernières années, avec notamment une formation de 14 mois pour devenir infirmière auxiliaire et une formation sur 5 mois pour devenir préposé au soutien à domicile. Ces formations attirent de très nombreux candidats, et amènent des renforts rapidement dans le réseau de la santé.

Rendre le stationnement gratuit dans les hôpitaux pour 2 heures

Pendant trop longtemps, les personnes qui allaient à l’hôpital pour consulter ou voir un proche devaient payer jusqu’à 25 $ par jour. Dès 2020, le gouvernement de la CAQ a agi pour que les 2 premières heures soient désormais gratuites, et que le coût du stationnement soit plafonné à 10  $ par jour. Il s’agit d’un soutien concret aux familles et aux aînés, qui fréquentent souvent les hôpitaux et devaient débourser chaque fois pour se stationner.

Source : TVA Nouvelles.

3. L’éducation

L’éducation est au cœur de l’avenir des jeunes et de notre nation. Dès sa création, la CAQ a promis de revaloriser le réseau de l’éducation et la profession enseignante, pour mettre les jeunes Québécois au cœur des priorités de la société. C’est ce que le gouvernement de François Legault fait depuis 2018.

Bâtir une nouvelle génération de belles écoles

Alors que les précédents gouvernements avaient laissé nos écoles se dégrader faute d’investissement, le gouvernement caquiste a lancé un grand chantier pour construire une nouvelle génération de belles écoles, avec de grandes fenêtres qui laissent entrer la lumière et des matériaux naturels. Avec des écoles qui donnent envie d’apprendre et d’enseigner, les élèves et les enseignants disposent d’un milieu de vie accueillant et stimulant.

Source : Émilie Nadeau, Cabinet du premier ministre du Québec.

Déployer des aides à la classe pour épauler les enseignants

Malheureusement, les enseignants se retrouvent trop souvent obligés de faire de la discipline dans leur classe, ce qui les détourne de leur mission première : enseigner et transmettre leur passion aux jeunes. C’est pourquoi le gouvernement de la CAQ a commencé à déployer des aides à la classe, afin d’avoir un deuxième adulte pour intervenir auprès des élèves pendant les heures de cours. À terme, plus de 4000 aides à la classe au primaire viendront en aide aux enseignants.

Introduire des programmes courts pour devenir enseignant

En raison de la pénurie d’enseignants, de nombreux enseignants non légalement qualifiés, c’est-à-dire sans brevet d’enseignement, ont été embauchés en renfort dans les écoles. Afin de permettre à ces enseignants d’obtenir leur qualification, le gouvernement a travaillé en partenariat avec les universités pour offrir des programmes courts, qui sont déjà très populaires et appréciés. Il s’agit d’une solution concrète et efficace pour contrer la pénurie d’enseignants.

300 $ pour l’accès aux programmes particuliers à l’école publique

Les programmes particuliers offrent des concentrations spécifiques, par exemple en arts et en sports, qui sont très appréciées des élèves et qui favorisent la persévérance scolaire. Afin de les rendre disponibles au plus grand nombre dans le réseau public, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a mis de l’avant un montant de 300 $ couvert par l’État pour chaque élève du réseau public qui souhaite participer à un programme particulier. Ainsi, de plus en plus d’élèves ont accès à des programmes particuliers qui les intéressent et les motivent à aller à l’école.

Rendre la profession d’enseignant plus attractive

Depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a augmenté de manière très importante le salaire des enseignants, afin d’attirer plus de personnes dans ce métier indispensable. Après une première augmentation qualifiée « d’historique » par les syndicats, le gouvernement a augmenté à nouveau la rémunération des enseignants de manière importante, pour que leur salaire maximal atteigne désormais plus de 109 000 $ par année. C’est une avancée importante pour attirer plus d’enseignants dans les écoles du Québec et revaloriser leur profession.

 

4. L’environnement

Les changements climatiques et la protection de l’environnement sont l’enjeu du XXIe siècle. Après des décennies de beaux discours sans actions véritables, le gouvernement de la CAQ a amorcé une stratégie extrêmement ambitieuse pour décarboner le Québec d’ici 2050, qui fera de notre nation la première à atteindre la carboneutralité en Amérique du Nord.

Mettre en œuvre un des meilleurs plans verts au monde

Pour la première fois, le Québec s’est doté d’un Plan pour une économie verte afin d’atteindre ses cibles de réduction de gaz à effet de serre. Cette stratégie ambitieuse et chiffrée, mise à jour annuellement, compte désormais plus de 9 milliards de dollars investis au service de la décarbonation du Québec. Selon Dunsky Énergie + Climat, une firme experte en transition énergétique, notre nation est désormais l’un des chefs de file planétaires pour la lutte contre les changements climatiques grâce à ces efforts concrets et efficaces.

Mettre en place une consigne élargie, notamment pour les bouteilles de vin

Plusieurs gouvernements ont évoqué par le passé l’idée d’élargir la consigne, notamment aux contenants en verre comme les bouteilles de vin, mais aucun n’a eu le courage et la vision de la réaliser avant la CAQ. D’ici le 1er mars 2025, tous les contenants « prêts à boire » seront donc visés par la consigne, une grande avancée pour le recyclage et la réutilisation des matériaux jetables.

Interdire l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures au Québec

Alors que le Québec se mobilise pour réussir la transition énergétique, le gouvernement de la CAQ a résolument tourné la page sur les énergies fossiles : depuis 2022, la recherche et la production d’hydrocarbures sont interdites au Québec, et toutes les licences en lien avec ces activités ont été révoquées. C’est un symbole fort quant à la volonté du Québec de sortir du pétrole et du gaz pour embrasser les énergies vertes.

Atteindre notre objectif d’aires protégées sur le territoire québécois

En 2020, grâce à l’action de la CAQ, le Québec a atteint son objectif de protéger l’équivalent de 17 % de son territoire terrestre et d’eau douce, soit une surface plus grande que le Royaume-Uni. Cet accomplissement marque la volonté du gouvernement de mettre en valeur le territoire québécois, qui fait partie de notre patrimoine commun, pour les générations futures.

Créer le Fonds bleu pour protéger notre eau

On retrouve au Québec près de 3 % des réserves d’eau douce renouvelables de la planète, et nous avons le devoir de protéger cette ressource précieuse qui appartient à tous les Québécois. En augmentant la redevance sur l’eau, le gouvernement de la CAQ a institué un Fonds bleu de 500 millions de dollars qui sera consacré à assurer la protection, la restauration et la mise en valeur de nos cours d’eau.

 

5. L’identité québécoise

Le Québec est le seul État francophone en Amérique du Nord, et cela vient avec la responsabilité unique de défendre notre identité, notre langue et nos valeurs. Après 15 ans d’abandon libéral, le gouvernement de la CAQ travaille pour redonner au Québec sa fierté.

Mettre fin au débat sur les signes religieux avec la Loi 21

Depuis la crise des accommodements religieux de 2006-2007, les Québécois se divisaient sur la question des signes religieux, et les gouvernements libéraux n’ont rien fait pour régler ce problème. Dès son élection, la CAQ a adopté la Loi 21 sur la laïcité de l’État, qui interdit au personnel de l’État en position d’autorité, comme les policiers, les juges, les enseignants et les gardiens de prison, d’afficher leurs convictions religieuses dans le cadre de leur travail. Cette loi, appuyée par une grande majorité de Québécois, constitue un compromis raisonnable qui a mis fin à ce débat qui a trop longtemps divisé notre nation.

Protéger la langue française avec la Loi 96

Pour répondre au déclin du français que l’on observe malheureusement au Québec depuis quelques années, le gouvernement de la CAQ a adopté la Loi 96, la plus ambitieuse protection de notre langue commune depuis la Loi 101 en 1977. Grâce à cette loi, le français est renforcé comme seule langue officielle et commune, de l’État, de la justice et de l’enseignement au Québec, et la différence québécoise est inscrite pour la première fois dans la Constitution du Canada.

Exiger que tous les immigrants économiques maîtrisent le français

Le Québec est une nation francophone, et les Québécois sont en droit d’exiger que les nouveaux arrivants qui se joignent à eux apprennent aussi notre langue commune. Le gouvernement de la CAQ a eu le courage de faire ce que personne n’avait osé avant lui, et a exigé que tous les immigrants économiques sélectionnés par le Québec maîtrisent le français. C’est une mesure forte pour contrer le déclin du français.

Créer le Musée national de l’histoire du Québec

La nation québécoise a une histoire unique, celle d’une nation francophone qui persévère et prospère depuis 400 ans en Amérique du Nord, et elle mérite d’être racontée. En 2024, le premier ministre Legault a annoncé la création du Musée national de l’histoire du Québec, le tout premier musée dédié à 100 % à l’histoire de la nation québécoise. Il permettra aux touristes, aux familles, aux groupes scolaires et aux nouveaux arrivants de mieux connaître notre histoire.

Source : Caroline Grégoire, Le Soleil.

Introduire le cours de Culture et citoyenneté québécoise

Le cours d’Éthique et culture religieuse a été souvent critiqué parce qu’il mettait l’accent sur ce qui divise les Québécois plutôt que sur ce qui unit notre nation. Avec Culture et citoyenneté québécoise, le gouvernement de la CAQ a introduit dans les écoles un cours qui porte sur la pensée critique, sur nos valeurs communes, comme la laïcité, et sur la culture québécoise pour former des citoyens allumés qui pourront pleinement participer à notre vie démocratique et sociale.

Un Québec plus prospère et plus fier

Grâce à l’équipe de la Coalition Avenir Québec, notre nation retrouve le chemin de l’optimisme et de la fierté depuis 2018. Notre économie devient plus prospère, et le gouvernement remet enfin de l’argent dans les poches des familles et des aînés. En santé, on forme plus de professionnels et on leur donne plus de temps avec les patients en coupant dans la paperasse. En éducation, la profession enseignante se revalorise, et les élèves ont plus de soutien dans les classes. En environnement, le Québec fait des pas de géant pour être le premier État carboneutre en Amérique du Nord d’ici 2050. Finalement, la nation québécoise retrouve sa fierté grâce à un gouvernement qui défend notre langue, notre histoire et nos valeurs.

Depuis 2018, le Québec a accompli de grands progrès, et le gouvernement de la CAQ continue à changer le Québec, dans le meilleur intérêt de tous les Québécois.

Le gouvernement de la CAQ a-t-il un bon plan en immigration ?


 Publié le 3 novembre 2023

Non seulement le gouvernement de la CAQ a un bon plan en immigration, mais son plan est historique ! En exigeant pour la première fois que tous les immigrants économiques parlent français, et en maintenant les seuils de 50 000 immigrants permanents par année, le gouvernement de la CAQ se donne les moyens de freiner le déclin du français au Québec et respecte la capacité d’accueil et d’intégration de la société québécoise. Voici 6 mesures tirées du plan de la CAQ en immigration :

  1. Maintenir la cible de 50 000 immigrants permanents/année pour 2024 et 2025 ;
  2. Rendre obligatoire la connaissance du français aux immigrants économiques avant leur admission ;
  3. Admettre en continu les étudiants francophones diplômés au Québec ;
  4. Conditionnaliser le renouvellement de permis de travail des travailleurs étrangers temporaires à la connaissance du français ;
  5. Accroître la connaissance du français chez les immigrants ;
  6. Réévaluer le plan en 2025.

1 — Maintenir la cible de 50 000 immigrants permanents/année pour 2024 et 2025

À la suite de consultations publiques, le gouvernement de la CAQ maintient sa cible annuelle à 50 000 immigrants permanents par année pour 2024 et 2025. Il respecte du même coup sa promesse électorale.

Le contexte actuel et l’augmentation rapide du nombre de résidents non permanents (travailleurs temporaires, étudiants internationaux et demandeurs d’asile) exercent une pression énorme sur la capacité d’accueil et d’intégration des immigrants au Québec. En raison du manque de logements et de la pénurie de main-d’œuvre, entre autres, une hausse trop brusque et élevée du nombre d’immigrants permanents se ferait au détriment d’une intégration réussie.

En maintenant sa cible et sans compromettre la prospérité du Québec, le gouvernement de la CAQ fait preuve de prudence et adopte une attitude responsable à l’égard de l’immigration permanente, comme le recommandait le Commissaire de la langue française dans son mémoire.

2 — Rendre obligatoire la connaissance du français aux immigrants économiques avant leur admission

À l’heure actuelle, l’usage exclusif du français diminue au Québec, alors que l’usage conjoint du français et de l’anglais dans différents lieux publics, dont au travail, dans l’affichage commercial et comme langue d’accueil dans les services, augmente. Nous avons le devoir de lutter contre le déclin du français, pour l’avenir de la nation québécoise.

L’immigration est un des leviers qui permet d’assurer la vitalité et la pérennité du français au Québec. C’est pourquoi le gouvernement de la CAQ a rendu la connaissance du français obligatoire pour les immigrants économiques (travailleurs qualifiés, gens d’affaires et autres) qui souhaitent s’installer sur le territoire québécois.

Depuis juin 2023, seuls les immigrants qui déclarent une connaissance minimale du français de niveaux 5 à l’écrit et 7 à l’oral peuvent venir s’installer au Québec de manière permanente. C’est la première fois qu’un gouvernement québécois va aussi loin : jamais le Parti québécois ni le Parti libéral, n’ont osé faire de la connaissance du français une condition pour s’installer au Québec comme immigrant économique.

Avec cette mesure du gouvernement de la CAQ, la proportion d’immigrants économiques connaissant le français augmentera. De 81 % en 2023, elle passera à 89 % en 2024 et à 93 % en 2025. D’ailleurs, ces proportions seront probablement plus élevées, parce qu’elles ne considèrent pas les admissions des personnes sélectionnées dans le volet « Diplômés du Québec » du Programme de l’expérience québécoise (PEQ).

3 — Admettre en continu les étudiants francophones diplômés au Québec

Parallèlement au seuil annuel de 50 000 immigrants permanents, le Québec admettra en continu les étudiants diplômés d’universités québécoises dans un programme francophone (ou qui ont eu un parcours académique dans notre langue, comme les étudiants français).

Concrètement, les quelque 6 500 diplômés francophones du PEQ en 2024 ont le profil idéal pour notre immigration. Ils parlent le français et ils détiennent un diplôme du Québec, ce qui ne pose pas d’enjeu de reconnaissance des compétences. Ils ont étudié ici plusieurs années, occupent déjà un logement et sont prêts à travailler. Ils sont donc déjà intégrés au Québec, et représentent un atout pour notre société et notre économie.

Grâce à leur admission en continu, le gouvernement de la CAQ haussera la part de la sélection québécoise de l’immigration, la part de l’immigration économique et, surtout, la part des immigrants qui connaissent le français, car la connaissance du français est une condition de sélection du PEQ.

4 — Conditionnaliser le renouvellement de permis de travail des travailleurs étrangers temporaires à la connaissance du français

Bien que la pénurie de main-d’œuvre exige de faire appel à l’immigration temporaire, l’augmentation importante des travailleurs étrangers temporaires (TET) au cours des dernières années est préoccupante, notamment parce qu’il n’y a aucune exigence en matière de connaissance du français lors de leur sélection. D’autant plus que les TET parlent souvent l’anglais plutôt que le français, comme l’a rappelé le Commissaire à la langue française.

En conséquence, le gouvernement de la CAQ rendra le renouvellement des permis de travail des TET conditionnel à la connaissance du français. Les travailleurs agricoles ne seront pas soumis à cette exigence, puisqu’ils sont ici pour une courte période et contribuent à notre autonomie alimentaire.

Après trois ans de séjour au Québec, les TET du Programme de travailleurs étrangers temporaires (PTET) qui souhaitent renouveler leur permis de travail devront démontrer une connaissance du français de niveau 4 à l’oral, ce qui leur permettra de s’exprimer en français dans l’espace public au quotidien.

En 2022, 21 525 travailleurs temporaires avaient un permis de travail valide du PTET, sans compter les travailleurs agricoles. Tous ceux d’entre eux qui voudront obtenir un renouvellement de leur permis après trois ans de séjour devront apprendre le français s’ils ne le connaissent pas déjà. Les employeurs devront également soutenir leur francisation, notamment en leur allouant des créneaux horaires pour l’apprentissage du français pendant leurs heures de travail.

C’est la première fois de l’histoire du Québec qu’un gouvernement impose des exigences et des mesures de francisation aux immigrants temporaires, et c’est le gouvernement de la CAQ qui a le courage de le faire.

5 — Accroître la connaissance du français chez les immigrants

Avec l’adoption du projet de loi 96 en 2022, le gouvernement de la CAQ a créé Francisation Québec, un guichet unique offrant notamment des services de francisation aux immigrants résidant déjà au Québec, à ceux qui ne sont pas encore arrivés sur le territoire ou encore à ceux qui y sont temporairement.

Depuis que la CAQ est au pouvoir, jamais le Québec n’a autant francisé ses immigrants. De 28 086 immigrants francisés en 2017-2018, on est passé à 46 855 en 2022-2023. C’est une augmentation de plus de 66 % !

Considérant la demande sans cesse grandissante pour la francisation, le travail continue. Cet appétit témoigne du succès du guichet unique et de l’approche du gouvernement de la CAQ.

6— Réévaluer le plan en 2025

Alors que les gouvernements réévaluent habituellement leur plan d’immigration aux quatre ans, le gouvernement de la CAQ réévaluera plutôt le sien dans deux ans, dès 2025. Cette approche permettra une plus grande flexibilité pour considérer l’évolution de la situation linguistique et le nombre de résidents non permanents. Cela permettra également d’évaluer l’impact des différentes mesures mises en place pour renforcer la connaissance du français et l’intégration des immigrants.

Conformément à la vision pragmatique de la CAQ, ce plan en immigration sur deux ans est prudent.

Conclusion

Le plan du gouvernement de la CAQ en immigration respecte la capacité d’accueil et d’intégration du Québec. Il est équilibré et prudent. Il est aussi historique, car c’est la première fois qu’un gouvernement ose exiger de tous les immigrants économiques permanents une connaissance du français, ainsi qu’à certains immigrants temporaires. Ces mesures auront un effet positif sur la connaissance du français chez les immigrants et contribueront à freiner le déclin du français au Québec.

Le gouvernement de la CAQ est celui qui en a fait le plus pour la langue française depuis celui de René Lévesque. Et il est déterminé à ce que le Québec demeure une nation francophone, prospère et accueillante.

Est-ce que les choses s’améliorent en santé avec le gouvernement de la CAQ?


 Publié le 22 septembre 2023

La réponse est oui et c’est impressionnant. Il reste encore beaucoup de travail à faire, mais voici 10 avancées concrètes qui donnent un meilleur accès et de meilleurs services de santé pour les Québécois:

  1. Une prise en charge par un groupe de médecine familiale pour 735 000 Québécois de plus
  2. Pour éviter d’aller à l’urgence, une prise en charge rapide grâce au Guichet d’accès à la première ligne – GAP
  3. La formation et le recrutement de préposés aux bénéficiaires
  4. L’ouverture des premières maisons des aînés
  5. Plus de services offerts par les infirmières et les pharmaciens
  6. Une entente pour le rattrapage des chirurgies en attente depuis la pandémie
  7. La conversion des centres de vaccination en points de services locaux
  8. Une diminution de la liste d’attente en santé mentale chez les enfants
  9. Une réduction de moitié du recours au temps supplémentaire obligatoire
  10. Une gestion des données moins lourdes pour le patient

735 000 Québécois de plus pris en charge par un groupe de médecine familiale

Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Il s’agit d’un progrès exceptionnel, réalisé grâce à la collaboration entre le gouvernement et les médecins de famille. Le ministre Dubé ne compte pas s’arrêter là, et continue de travailler pour que chaque Québécois puisse être suivi par le bon professionnel de la santé au bon moment.

Une prise en charge rapide grâce au Guichet d’accès à la première ligne

En septembre 2022, le gouvernement de la CAQ a lancé le Guichet d’accès à la première ligne (GAP), un service téléphonique qui permet d’obtenir des conseils en santé, mais aussi un rendez-vous si une consultation est nécessaire. L’objectif c’est de donner une porte d’entrée au réseau de la santé sans que les Québécois soient obligés d’aller à l’urgence. Le GAP permet aux personnes sans médecin de famille d’avoir accès à des services de première ligne, de telle sorte que le pourcentage de la population ayant accès à ces services est passé de 78% à 90% depuis son lancement. C’est une mesure concrète, avec des résultats exceptionnels, pour que toujours plus de Québécois aient accès à des soins de première ligne. Maintenant, il faut travailler à réduire le temps d’attente.

Performance du réseau de la santé et des services sociaux 2

Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

La formation et le recrutement de préposés aux bénéficiaires

La rareté de main-d’œuvre est l’un des défis les plus importants pour notre système de santé. En mai 2023, le gouvernement de la CAQ a remis sur pied une formation accélérée de préposés aux bénéficiaires d’ici la fin de l’année, à l’image de celles qui avaient été offertes durant la pandémie. Cette nouvelle formation dure 3 mois, et vient avec une bourse d’études de 12 000 $. En date du mois d’août de cette année, 10 000 Québécois ont manifesté de l’intérêt pour la formation.

Plus de 2500 candidats ont déjà été sélectionnés

Les candidats sélectionnés apporteront des renforts bienvenus aux préposés qui effectuent un travail exceptionnel auprès de nos aînés, que ce soit en CHSLD et dans les maisons des aînés. Cette initiative est l’une des nombreuses actions de l’Opération main-d’œuvre lancée par le gouvernement pour trouver davantage d’employés dans les secteurs prioritaires.

L’ouverture des premières maisons des aînés

Les maisons des aînés et maisons alternatives sont un engagement phare du gouvernement de la CAQ, qui vise à offrir des milieux de vie de qualité pour les aînés du Québec, où on se sent presque comme à la maison. Ce sont des maisons chaleureuses, qui offrent de l’intimité aux résidents et qui sont pensées pour accueillir les proches.

Maisons des aînés et maisons alternatives

Source : Québec.ca

En novembre 2022, la ministre Sonia Bélanger a inauguré la toute première maison des aînés et alternatives à Sherbrooke. En date d’août 2023, 17 maisons des aînés ont été construites dans 8 régions du Québec, et 29 autres sont à venir d’ici 2026. Avec ces nouveaux milieux de vie, la CAQ améliore concrètement la vie de milliers d’aînés.

On entend bien sûr souvent les oppositions qui prétendent que le gouvernement devrait seulement investir dans les soins à domicile, mais c’est une affirmation absurde. D’abord parce que le gouvernement de la CAQ a investi beaucoup d’argent dans les soins à domicile, mais surtout parce les deux services sont complémentaires. Les personnes en CHSLD ont besoin d’un niveau de soins qu’on ne peut offrir à domicile.

Plus de services offerts par les infirmières et les pharmaciens

Pour permettre à tous les Québécois d’obtenir les soins dont ils ont besoin et désengorger les urgences, il est essentiel de faire de l’hôpital un dernier recours, et d’ouvrir d’autres portes pour des besoins courants. C’est ce que fait le gouvernement de la CAQ en ouvrant des cliniques d’infirmières praticiennes spécialisées (IPS). Il y a déjà sept cliniques d’ouvertes et on prévoit en avoir 23 dans les cinq prochaines années. Ces cliniques peuvent compter sur une équipe d’infirmières praticiennes spécialisées, d’infirmières cliniciennes et d’infirmières auxiliaires capables de s’occuper de problèmes de santé courants, aigus ou chroniques. Depuis 2021, les IPS, qui détiennent une maîtrise en sciences infirmières, peuvent notamment diagnostiquer des maladies, prescrire des examens diagnostiques, prescrire la médication, déterminer des traitements médicaux et effectuer des suivis de grossesse sans la surveillance d’un médecin.

En plus des infirmières, le gouvernement permet aussi aux pharmaciens d’offrir davantage de services aux Québécois. Depuis 2023, ils peuvent offrir des consultations et des suivis médicaux pour les personnes souffrant de douleurs chroniques, d’asthme ou de la maladie pulmonaire obstructive chronique. En élargissant aux pharmaciens ces responsabilités qui étaient réservées aux seuls médecins et infirmières, les Québécois peuvent profiter davantage de l’expertise considérable de ces professionnels de la santé, et s’éviter une visite à la clinique ou à l’hôpital.

Une entente pour le rattrapage des chirurgies en attente depuis la pandémie

En mai 2023, le ministre Christian Dubé a signé une entente avec la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) pour rattraper le retard dans les chirurgies en attente qui s’était accumulé pendant la pandémie. En effet, la pandémie a fait en sorte que le nombre de patients en attente d’une chirurgie depuis plus d’un an est passé d’environ 2600 en janvier 2020 à un pic de 22 000 en septembre 2022. Le gouvernement et la FMSQ se donnent jusqu’à la fin 2024 pour revenir au niveau pré-COVID, soit 2500 chirurgies en attente, mais la liste d’attente a déjà fondu de 22 000 à environ 14 600 en date d’août 2023.

Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

La conversion des centres de vaccination en points de services locaux

Toujours dans l’idée d’offrir aux Québécois plus d’endroits de proximité où obtenir des services, le gouvernement de la CAQ a décidé de transformer les centres de vaccination ouverts pendant la pandémie en points de services locaux plutôt que de les démanteler. En plus de continuer la vaccination contre la COVID-19, l’influenza et le zona ainsi que la distribution de tests de dépistage rapides, ces établissements pourront faire des prélèvements sanguins, de selles et d’urine, ainsi que dépister des infections. Les rendez-vous se prendront toujours sur le site web Clic Santé.

Alors que la saison des virus approche, ces points de services locaux offriront une nouvelle alternative à l’urgence ou la clinique pour les patients, et permettront d’obtenir des services plus rapidement. Situés à l’extérieur des établissements habituels du réseau de la santé, ces sites permettent de rapprocher les services de la population, et ce, aux quatre coins du Québec.

Une diminution de la liste d’attente en santé mentale chez les jeunes

Le ministre responsable de la santé mentale, Lionel Carmant, a réussi un véritable exploit en réduisant la liste d’attente pour des services dans ce domaine.  L’accès aux services en santé mentale demeure un défi important pour le système de santé québécois, notamment en raison de la hausse des demandes due à la pandémie. Le gouvernement agit pour combler ces besoins, notamment en faisant de la prévention chez les jeunes. Par exemple, HORS-PISTE, un programme qui vise à sensibiliser les élèves du primaire et du secondaire aux symptômes d’anxiété et de dépression, et les Aires ouvertes, qui offrent des services en santé mentale sans rendez-vous aux jeunes de 12 à 25 ans à travers le Québec.

Ces initiatives ont permis de diminuer la liste d’attente en santé mentale chez les jeunes de plus de 20%, alors que le nombre de jeunes en attente de services a chuté d’environ 8 000 à environ 6 000. Il s’agit d’un premier pas important pour offrir des services en santé mentale à tous les Québécois qui en ont besoin.

Une réduction de moitié du recours au temps supplémentaire obligatoire

Bien qu’il puisse être nécessaire dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, le temps supplémentaire obligatoire demeure une pratique exceptionnelle qui doit être réduite autant que possible, pour faire du réseau de la santé un employeur de choix, qui valorise la conciliation travail-famille et attire ainsi plus d’employés.

Performance du réseau de la santé et des services sociaux 4

Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Le Plan santé a permis, depuis janvier 2023, de réduire de moitié le recours au temps supplémentaire obligatoire dans les urgences du Québec. À l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont par exemple, c’est la première fois en 25 ans qu’il n’y a pas eu de temps supplémentaire obligatoire en été. Parmi les raisons de ce succès, il y a notamment la collaboration régionale avec les autres hôpitaux environnants ainsi que l’autogestion des horaires des infirmières. Ces progrès sont prometteurs, et permettent d’envisager, à terme, la fin du temps supplémentaire obligatoire.

Une gestion des données moins lourdes pour le patient

Par le passé, lorsque leur dossier médical passait d’un professionnel de la santé à un autre, ou d’un établissement à un autre, les patients québécois faisaient face à des délais puisqu’ils devaient donner leur autorisation chaque fois que leur dossier changeait de mains. En enlevant une étape administrative, la nouvelle loi du ministre Dubé entrera en vigueur en avril 2024 et permettra désormais de consulter un professionnel, puis un autre dans une région différente, et que les renseignements suivent le patient. Il sera aussi possible pour les Québécois de voir quels professionnels de la santé ont consulté leur dossier.

Avec cet allègement concret des procédures, les patients du Québec pourront obtenir des soins plus rapidement, sans devoir s’assurer que leurs données soient bien transférées aux établissements ou aux professionnels, puisqu’elles le sont automatiquement. C’est un gain réel en efficacité, qui aide tout le monde.

Le Plan Santé de Christian Dubé, des réussites concrètes pour tous les Québécois

Depuis l’arrivée de la Coalition Avenir Québec au pouvoir, le réseau de la santé devient plus efficace et plus humain, afin de mieux servir tous les Québécois. Grâce au Plan santé, on voit maintenant des améliorations concrètes, à la fois dans la rapidité d’accès aux soins, la multiplication des services offerts hors des hôpitaux, ainsi que le recrutement et le traitement des employés du réseau. Les ministres Lionel Carmant et Sonia Bélanger obtiennent aussi des résultats concrets pour nos aînés, pour nos jeunes et pour la santé mentale.

Peu de gouvernements ont autant fait que celui de la CAQ pour changer le réseau de la santé pour le mieux. Un an après le dépôt du Plan santé, Christian Dubé poursuit son travail, avec l’appui du réseau, et dépose son Projet de loi 15 afin de rendre plus efficace le réseau de la santé. On le fait pour les patients et pour tout le personnel du réseau de la santé. Le statuquo en santé, ce n’est pas une option.