Qu’a fait le gouvernement de la CAQ pour mieux contrôler l’immigration temporaire?


 Publié le 23 août 2024

L’immigration temporaire est désormais au cœur du débat politique au Québec. En 2024, le nombre de résidents non permanents sur le territoire québécois est plus de 5 fois supérieur à ce qu’il était en 2016. Cet afflux rapide de nouveaux arrivants a des conséquences importantes sur le marché du logement, sur nos services publics comme la santé, l’éducation et l’aide sociale, ainsi que sur la place du français dans la région de Montréal et en Outaouais.

Source : Institut de la statistique du Québec, Statistique Canada

Depuis l’ouverture du chemin Roxham en 2017, François Legault et la Coalition Avenir Québec dénoncent cette situation intenable, et agissent depuis qu’ils sont au pouvoir pour rétablir un système d’immigration qui permette au Québec d’accueillir les nouveaux arrivants dignement, et en nombre raisonnable.

De nombreuses actions importantes ont été posées pour mieux réguler l’immigration temporaire :

  1. Dès 2017, François Legault a lancé l’alarme sur le chemin Roxham
  2. Le gouvernement de la CAQ est arrivé au pouvoir pour « en prendre moins, mais en prendre soin »
  3. Le gouvernement caquiste a fermé les établissements collégiaux qui faisaient entrer de faux étudiants étrangers
  4. François Legault a convaincu Justin Trudeau de fermer le chemin Roxham et de rétablir le visa pour les ressortissants mexicains
  5. Le gouvernement de la CAQ a exigé la connaissance du français pour renouveler les permis de travail temporaires
  6. Le gouvernement de la CAQ gèle l’arrivée de travailleurs temporaires dans la région de Montréal, et va établir un seuil pour les étudiants étrangers

1.    Dès 2017, François Legault a lancé l’alarme sur le chemin Roxham

L’afflux massif de demandeurs d’asile à la frontière canadienne a commencé en 2017, lorsque les États-Unis resserraient leur propre frontière. Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a alors adressé un tweet à tous ceux qui désirent quitter leur pays, pour les inviter au Canada. Il a ainsi créé une filière migratoire qui n’existait pas par le passé.

Au Québec, un seul chef de parti a réagi avec la prudence qui s’imposait : François Legault. Dès le début, le chef de la CAQ a rappelé que le Québec « ne doit pas devenir une passoire », et qu’il est impossible pour notre nation d’accueillir « toute la misère du monde ». Le Parti libéral et le Parti québécois ont tous deux dénoncé cette prise de position, et n’ont pas saisi la gravité de ce qui se tramait.

2.    Le gouvernement de la CAQ est arrivé au pouvoir pour « en prendre moins, mais en prendre soin »

En 2018, la position de la CAQ sur l’immigration était claire : en prendre moins, mais en prendre soin. Considérant que la capacité d’accueil du Québec était dépassée, et que les gouvernements libéraux avaient coupé dans la francisation et l’intégration, il fallait prendre un pas de recul pour mieux accueillir les immigrants qui arrivaient au Québec. Le gouvernement de la CAQ a donc réduit les seuils d’immigration permanente de 20 % dès 2019, et surtout réinvesti dans la francisation.

Source : Le Devoir

Depuis l’arrivée de la CAQ, l’argent investi pour offrir des cours de français aux immigrants a donc triplé. Francisation Québec, un guichet unique pour apprendre le français, a également vu le jour, afin de simplifier l’accès aux cours pour ceux qui en ont besoin. 

3. Le gouvernement caquiste a fermé les établissements collégiaux qui faisaient entrer de faux étudiants étrangers

À partir de 2019, on a constaté que des collèges privés non subventionnés profitaient du fait que le Québec octroyait la citoyenneté canadienne plus facilement aux étudiants étrangers diplômés du collégial pour faire venir de « faux étudiants » dans des programmes courts. Leur seul but était d’immigrer au Canada, et ces collèges leur permettaient de contourner les procédures habituelles à travers une faille dans le système.

Source : Banque de données des statistiques officielles sur le Québec

Rapidement, le ministre Simon Jolin-Barrette a agi pour fermer cette filière et l’UPAC a déclenché une enquête de fraude.  Le nombre d’étudiants étrangers dans les collèges privés non subventionnés est retombé. Il s’agit d’une victoire concrète pour assurer l’intégrité et la justice de notre système d’immigration. 

4. François Legault a convaincu Justin Trudeau de fermer le chemin Roxham et de rétablir le visa pour les ressortissants mexicains

Cependant, la majorité de l’explosion de l’immigration temporaire est le résultat des actions ou de l’inaction du gouvernement fédéral. D’abord, la complaisance du gouvernement Trudeau envers le chemin Roxham, où des milliers de personnes sont entrées de manière irrégulière à partir de 2017.

Après une pause pendant la pandémie, où le chemin a été fermé, le gouvernement fédéral l’a rouvert à la fin de l’année 2021, et les arrivées ont atteint un niveau jamais vu. Entre janvier 2021 et janvier 2023, le Québec est passé de 255 000 résidents non permanents à 386 000. En février 2023, le premier ministre François Legault a de nouveau interpellé Justin Trudeau pour exiger la fermeture du chemin Roxham, cette fois dans les médias anglo-canadiens. Le mois suivant, en mars 2023, le Canada signait une entente avec les États-Unis pour fermer le chemin Roxham. Immédiatement, les entrées à la frontière ont baissé.

Parallèlement, une nouvelle filière s’est développée en raison des choix du gouvernement fédéral. En 2016, le premier ministre Trudeau avait décidé de ne plus exiger de visa des ressortissants mexicains qui souhaitaient entrer au Canada. Ces visas avaient précédemment été imposés parce que de nombreuses personnes non admissibles prenaient l’avion vers le Canada pour demander l’asile. C’est ce qui s’est produit à nouveau, particulièrement à partir de 2021.

Le gouvernement québécois a donc mis de la pression sur le gouvernement fédéral pour qu’il exige à nouveau des visas des ressortissants mexicains. Il a finalement accepté en février 2024, et les entrées du Mexique ont grandement baissé depuis. Cependant, les entrées dans les aéroports continuent d’augmenter, notamment via les ressortissants indiens, en raison du laxisme du gouvernement fédéral dans l’octroi des visas. Il y a même eu des allégations de fraude et de corruption documentées

5. Le gouvernement de la CAQ a exigé la connaissance du français pour renouveler les permis de travail temporaires

L’augmentation importante des résidents non permanents a également fragilisé le statut du français, en particulier dans la région de Montréal et en Outaouais. Selon le Commissaire à la langue française, la population non permanente ne connaissant pas le français est passée d’à peine 20 000 personnes en 2011 à plus de 160 000 personnes en 2023.

Source : Commissaire à la Langue française

Pour s’assurer que ceux qui resteront au Québec contribueront à l’essor du français, le gouvernement de la CAQ a imposé en novembre 2023 la connaissance du français pour le renouvellement des permis de travail temporaires. Aucun gouvernement n’avait osé le faire par le passé. Cela faisait suite à l’obligation de connaître le français pour les immigrants économiques permanents.

6. Le gouvernement de la CAQ gèle l’arrivée de travailleurs temporaires dans la région de Montréal, et va établir un seuil pour les étudiants étrangers

Le 20 août 2024, le gouvernement de la CAQ a annoncé une nouvelle mesure pour limiter le nombre d’immigrants temporaires au Québec. Dès le début de septembre 2024, les nouvelles demandes et les renouvellements du Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET) pour les emplois en dessous du salaire médian à Montréal seront gelés, afin de ne pas aggraver une situation déjà critique. Des exceptions sont prévues pour les domaines essentiels comme la santé, l’éducation, la construction et l’agroalimentaire. Cela permettra d’alléger partiellement la pression sur les services publics, sur le marché du logement et sur la langue française dans la région montréalaise, où le taux de chômage est déjà deux fois plus élevé qu’ailleurs au Québec.

Le gouvernement a aussi annoncé qu’il adopterait bientôt un projet de loi pour règlementer le nombre d’étudiants étrangers qui peuvent étudier dans les établissements québécois. Cela permettra au gouvernement de mieux contrôler les arrivées selon des facteurs comme le type d’établissement, la région et le niveau d’études. Il s’agit d’un levier essentiel pour maîtriser le nombre d’étudiants étrangers au Québec, qui représentent environ 20 % des 600 000 résidents non permanents sur le territoire du Québec.

La balle est dans le camp du gouvernement fédéral

Malgré les efforts du gouvernement de la CAQ, la majorité des immigrants temporaires actuellement sur le territoire québécois, soit les demandeurs d’asile et les travailleurs étrangers du Programme de mobilité internationale (PMI), relève toujours du gouvernement fédéral.

Le Québec a posé de nombreuses actions dans ses champs de compétences, et continuera de le faire si nécessaire, pour réduire le nombre d’immigrants temporaires. Cependant, il est devenu urgent que le gouvernement Trudeau agisse pour diminuer la pression sur le marché du logement, sur les services publics et sur la langue française au Québec.

Notre nation est fière de sa tradition d’accueil des nouveaux arrivants, mais en raison de la situation actuelle, notre capacité d’intégration est dépassée. Pour continuer d’accueillir dignement, il faut dès maintenant réduire l’immigration temporaire sur le territoire du Québec et ça, c’est la responsabilité du gouvernement Trudeau. Ottawa a perdu le contrôle et comme le craignait M. Legault en 2017, les frontières canadiennes sont devenues de véritables passoires. Il est temps de reprendre le contrôle. 

8 livres québécois qui m’ont marqué cette année


 Publié le 8 août 2024

Depuis plusieurs années, on célèbre le 12 août une belle tradition, la Journée du livre québécois. Comme vous le savez sans doute, je suis un passionné de lecture : ça me permet de me détendre après une journée occupée, de rêver et d’en apprendre plus sur le monde.

Pour moi, c’est un devoir de faire la promotion de la lecture auprès des jeunes et des moins jeunes toute l’année, mais je suis particulièrement heureux de le faire en cette journée spéciale. Voici donc 8 livres d’auteurs québécois qui m’ont marqué dans la dernière année, que je vous invite à découvrir!

La blague du siècle, Jean-Christophe Réhel

Poète, romancier et scénariste, Jean-Christophe Réhel raconte, dans La blague du siècle, l’histoire d’un gars de Pointe-aux-Trembles qui travaille au Tim Hortons et rêve d’être humoriste. Il vit avec son père, atteint d’un cancer en phase terminale et qui cherche l’amour du Tinder, et son frère, schizophrène.
C’est un roman très touchant qui aborde l’amour fraternel et filial, et qui fait parfois rire malgré les sujets difficiles qu’il aborde. Écrit en joual, il nous rappelle la richesse du parler québécois.

Abordages, Jean-François Roberge

Jean-François Roberge est un collègue apprécié, que je côtoie à la CAQ depuis de nombreuses années, ainsi qu’un auteur d’expérience qui en est maintenant à son 4e livre. Dans Abordages, il raconte l’histoire de matelots partant d’Espagne pour aller chercher des métaux précieux dans les Antilles au XVIIIe siècle. Il s’inspire des romans de cape et d’épée comme ceux d’Alexandre Dumas, pour nous offrir de l’action en haute mer.
C’est un roman très recherché et bien écrit, avec un suspense qui nous donne envie de le lire jusqu’au bout. Une belle lecture pour sortir du quotidien et rêver d’aventure!

L’éveil des érables, Marie-Christine Chartier

Je l’ai souvent dit, je suis un admirateur de la plume de Marie-Christine Chartier, une auteure extrêmement talentueuse originaire de Repentigny. Quelle fierté qu’elle provienne de Lanaudière! L’éveil des érables est déjà son 6e roman, sur un couple qui se retrouve après une rupture.
Elle aborde des problèmes qui touchent plusieurs d’entre nous, comme le complexe de performance, la jalousie, les différences de revenus dans un couple et la conciliation travail-études-couple. Comme pour ses autres romans, on en ressort avec une meilleure compréhension de l’être humain, de nos relations et de ce qui se passe dans nos têtes.

Le Roy du Hockey, Gabriel Anctil et Josée Tellier

Gabriel Anctil est un auteur prolifique, qui a signé de nombreux romans et livres jeunesse. Comme moi, il est aussi un grand amateur de hockey! Le Roy du Hockey plonge dans ses propres souvenirs d’enfance pour raconter aux jeunes les deux dernières coupes Stanley des Canadiens de Montréal, en 1986 et 1993, notamment grâce aux performances exceptionnelles de Patrick Roy dans les buts.
Avec des illustrations magnifiques par Josée Tellier, je suis convaincu que ce livre a transmis la passion du hockey à beaucoup de jeunes Québécois. Je me souviens des coupes Stanley de 1986 et 1993 comme si c’était hier…et j’espère que l’on n’attendra pas trop longtemps encore pour enfin ramener la coupe à Montréal!

Si tu vois mon pays, Joseph Facal

J’ai connu Joseph Facal dans les gouvernements de Lucien Bouchard et Bernard Landry, et je lis régulièrement ses chroniques percutantes dans le Journal de Montréal, mais je ne lui connaissais pas le talent de romancier! Dans les deux tomes de Si tu vois mon pays, il raconte des passages marquants de notre histoire sous forme romancée : d’abord les Rébellions patriotes de 1837-38, puis les retombées de l’Acte d’Union entre 1840 et 1844. Non seulement Joseph a une très belle plume, c’est un passionné du Québec qui aime profondément notre nation. Ses romans nous permettent de mieux comprendre d’où on vient, et nous rappellent des moments méconnus de notre histoire.

Le mois des morts, Chrystine Brouillet

Qui ne connaît pas Chrystine Brouillet, une incontournable du roman policier québécois qui a maintenant publié plus de 20 polars mettant en vedette la détective Maud Graham? Le mois des morts se passe surtout dans la ville de Québec, et aborde avec finesse des thématiques difficiles comme la relation entre un jeune homme gay et son père homophobe, l’intervention auprès de jeunes en difficulté, les ravages de la drogue et les arnaques sur les personnes seules. Chrystine Brouillet met aussi en valeur les petits bonheurs de la vie, et des retrouvailles touchantes. Je sais que je ne suis pas le seul qui aime relaxer avec un bon roman policier, et je recommande Le mois des morts à tous les passionnés du genre. Une intrigue qui se passe dans notre Capitale-Nationale!

Le Retour des Bleus,
Étienne-Alexandre Beauregard

Étienne-Alexandre Beauregard est un jeune essayiste qui travaille également dans mon équipe, et qui en est déjà à son deuxième essai. Le Retour des Bleus met en scène le débat entre les Bleus nationalistes-conservateurs et les Rouges libéraux-progressistes depuis François-Xavier Garneau et Lord Durham, sur le devenir de la nation québécoise.
Étenne-Alexandre remonte aux origines du nationalisme québécois pour démontrer que le combat pour la suite du seul État francophone en Amérique du Nord a des racines profondes, qui remontent à Garneau, Mercier, Groulx, Duplessis et Lévesque, entre autres. Je le conseille à tous ceux qui aiment la politique!

À la conquête du pouvoir,
Pascal Mailhot et Éric Montigny

Pascal Mailhot et Éric Montigny sont des témoins privilégiés de la montée d’une « troisième voie » politique au Québec, qui s’est d’abord incarnée dans l’ADQ de Mario Dumont avant de prendre le pouvoir avec la CAQ en 2018. À la conquête du pouvoir raconte cette histoire qu’ils ont vécu de l’intérieur depuis 30 ans, et qui n’avait pratiquement jamais été racontée avant. C’est un devoir de mémoire important pour mieux comprendre la politique québécoise d’hier et d’aujourd’hui. Je suis fier de m’inscrire dans ce courant qui souhaite défendre la nation québécoise et réduire le fardeau fiscal des Québécois, et qui a enfin réussi à sortir le Québec du duopole des vieux partis, qui durait depuis 50 ans.

Bravo à nos auteurs québécois!

Qu’est-ce qui a changé au Québec grâce à la CAQ?


 Publié le 24 mai 2024

Quand la Coalition Avenir Québec est arrivée au pouvoir en 2018, le Québec était en mauvais état, fragilisé par le Parti libéral. L’économie du Québec stagnait par rapport à celle de nos voisins, et nos services publics étaient mis à mal par le régime d’austérité de Philippe Couillard. En environnement, le gouvernement faisait de beaux discours, sans agir concrètement. Surtout, pendant toutes ces années, les libéraux ont abandonné l’identité québécoise, en restant indifférents devant le déclin du français, en n’affirmant pas la laïcité de l’État et en défendant une politique multiculturaliste dont les Québécois ne veulent pas. Il y avait énormément à faire pour redresser le Québec.

En 2018, les Québécois ont élu l’équipe du changement de la CAQ pour remettre notre nation sur la bonne voie. Depuis, le gouvernement travaille pour rendre le Québec plus vert, plus fier et plus prospère. Il a déjà réalisé d’importants changements qui profitent à tous les Québécois avec ses 5 grandes priorités :

  1. L’économie
  2. La santé
  3. L’éducation
  4. L’environnement
  5. L’identité québécoise

1. L’économie

Depuis 2018, le Québec a un gouvernement économique, qui travaille sans relâche pour rendre notre nation plus riche, et remettre de l’argent dans le portefeuille des Québécois. Grâce à la CAQ, le Québec est champion du G7 pour l’augmentation du pouvoir d’achat, et crée plus de richesse que les autres provinces.

Baisser la taxe scolaire

Avant 2018, le taux de taxe scolaire était variable d’une région à l’autre, ce qui créait des iniquités importantes entre les régions. Par exemple, les citoyens de la Mauricie et du Saguenay-Lac-Saint-Jean payaient des taux trois fois plus élevés que dans les Laurentides. En 2020, le gouvernement de la CAQ a uniformisé la taxe scolaire à 0,1054 $ par tranche de 100 $, soit le plus bas taux au Québec. Il s’agit d’économies annuelles de plusieurs centaines de dollars pour les familles des régions qui étaient victimes de cette iniquité par le passé.


ÉCONOMIE MOYENNE PAR RÉGION

  • Nord-du-Québec : 205,84 $
  • Lanaudière : 332,45 $
  • Mauricie : 256,34 $
  • Côte-Nord : 154,11 $
  • Laurentides : 0 $
  • Chaudière-Appalaches : 202,50 $
  • Îles-de-la-Madeleine : 175,87 $
  • Abitibi-Témiscamingue : 47,52 $
  • Saguenay-Lac-Saint-Jean : 299,37 $
  • Gaspésie : 166,60 $
  • Outaouais : 64,50 $
  • Québec (Cap.-Nationale) : 69,07 $
  • Bas-Saint-Laurent : 187,49 $
  • Westmount : 1 041,52 $
  • Mont-Royal : 687,08 $
  • Senneville : 592,31 $
  • Laval : 379,13 $
  • Montréal : 294,01 $
  • Centre-du-Québec : 279,33 $
  • Montérégie : 185,23 $
  • Estrie : 158,46 $

Source : Journal de Québec.

Baisser le coût des permis de conduire

Le gouvernement de la CAQ a annoncé pour 2022 une réduction du coût du permis de conduire pour 2 ans, à 24 $ seulement. Il s’agit d’une économie de 184,11 $ pour un titulaire de permis de conduire un véhicule de promenade. Pour les titulaires d’un permis de conduire jumelant la classe auto et la classe moto, l’économie totalisera 338,15 $.

Plafonner les tarifs d’Hydro-Québec, les frais de scolarité et les frais de garde

Face à la hausse du coût de la vie, le Bouclier contre l’inflation de la CAQ a permis de plafonner l’indexation des tarifs du gouvernement à un maximum de 3 % par année, soit moins que l’inflation. Cette mesure s’applique entre autres aux factures d’Hydro-Québec, aux frais de scolarité, aux frais de garde et à la contribution payée pour l’hébergement en CHSLD.

Offrir jusqu’à 2000 $ par année pour les aînés à faible revenu

Pour de nombreux aînés à faible revenu, il devient de plus en plus difficile de joindre les deux bouts avec leur seule pension de retraite. C’est pourquoi le gouvernement caquiste a mis en place le crédit d’impôt pour soutien aux aînés, qui représente jusqu’à 2000 $ par personne, ou 4000 $ pour un couple, pour les aînés de 70 ans et plus avec de faibles revenus. Ceci bénéficie à plus de 730 000 aînés à chaque année au Québec.

Créer des zones d’innovation pour enrichir les régions du Québec

Depuis 2013, François Legault a une vision pour enrichir le Québec : des zones d’innovation où les entreprises privées, la recherche universitaire et la formation professionnelle dans un secteur particulier collaborent étroitement pour innover.

De plus en plus de zones d’innovation naissent désormais dans les régions du Québec, dans des secteurs de pointe où notre nation se démarque : l’informatique quantique à Sherbrooke, les technologies numériques à Bromont, les batteries vertes à Bécancour, Trois-Rivières et Shawinigan et l’aérospatiale dans le Grand Montréal. Ces moteurs vont créer de l’emploi et de la richesse aux quatre coins du Québec, avec des salaires d’entrée entre 70 000 et 75 000 $ pour les travailleurs.

Créer l’étiquetage « Produit du Québec » pour favoriser l’achat local

Pour aider les Québécois à repérer les produits de chez nous et à acheter local, le gouvernement de la CAQ a créé des étiquettes « produits du Québec », qui sont faciles à repérer, afin de certifier officiellement les produits québécois dans les magasins. Elles rendent ainsi la tâche plus facile aux citoyens qui souhaitent encourager notre économie dans leurs achats.

Source : Les Produits du Québec.

Déployer Internet haute vitesse sur tout le territoire du Québec

L’iniquité d’accès à Internet haute vitesse était l’une des plus grandes injustices qui frappaient les régions du Québec et freinait leur développement économique. En avance sur plusieurs provinces canadiennes, le gouvernement de la CAQ a réussi à brancher l’ensemble des foyers québécois à Internet haute vitesse en 2023, ce qui représente un progrès historique pour toutes nos régions.

Rendre le Québec plus riche par rapport au reste du Canada

Depuis 2018, le Québec avance à pas de géant pour rattraper son retard économique sur le reste du Canada. Alors que notre écart de richesse avec l’Ontario était de 15,9 % en 2018, il est désormais de 11,9 % en 2024, un rattrapage majeur en 6 ans! C’est le signe que l’économie du Québec va dans la bonne direction.

Source : Ministère des Finances du Québec.

2. La santé

L’austérité libérale a fait très mal au réseau de la santé sous le règne du PLQ, et la pandémie a attiré l’attention sur des problèmes qui existaient déjà dans le réseau par le passé. Après cet exercice éprouvant, le gouvernement de la CAQ s’attaque au statu quo afin de rendre le système de santé plus efficace et plus humain pour tous les Québécois.

Augmenter les pouvoirs des infirmières et des pharmaciens

Pour réduire l’achalandage à l’urgence et permettre aux Québécois d’obtenir des soins plus rapidement, la CAQ a augmenté les pouvoirs des professionnels de la santé, comme les pharmaciens et les infirmières. Depuis 2019, les pharmaciens peuvent notamment prescrire et administrer des vaccins, et prescrire certains médicaments en cas d’urgence, comme lors d’une réaction allergique sévère. Les infirmières praticiennes spécialisées ont aussi plus de pouvoirs, comme celui de formuler des diagnostics ou de prendre en charge des patients qui n’ont pas de médecins de famille.

Réduire la paperasse pour les soignants

La mission du personnel de santé, c’est de soigner les patients, pas de remplir des formulaires. C’est pourquoi le gouvernement de la CAQ a agi afin de réduire de manière importante la paperasse pour les intervenants en soutien à domicile, pour en finir avec la reddition de compte à toutes les 15 minutes et les formulaires de 36 pages. Pour les médecins aussi, la paperasse a été réduite afin d’offrir 138 000 rendez-vous de plus chaque année aux Québécois.

Augmenter le nombre d’étudiants en médecine

Alors que les Québécois sont de plus en plus nombreux à avoir besoin de soins, notamment en raison du vieillissement de la population, le ministre de la Santé, Christian Dubé, a augmenté le nombre d’admissions en médecine dans les prochaines années. Sur 4 ans, ce seront donc 660 médecins de plus qui seront formés, ce qui permettra une meilleure prise en charge des patients.

Proposer des formations accélérées en santé

Pendant que la pandémie frappait le Québec, le gouvernement de la CAQ a innové en offrant une première formation accélérée pour devenir préposé aux bénéficiaires, avec une rémunération compétitive. Ce modèle a été répété dans les dernières années, avec notamment une formation de 14 mois pour devenir infirmière auxiliaire et une formation sur 5 mois pour devenir préposé au soutien à domicile. Ces formations attirent de très nombreux candidats, et amènent des renforts rapidement dans le réseau de la santé.

Rendre le stationnement gratuit dans les hôpitaux pour 2 heures

Pendant trop longtemps, les personnes qui allaient à l’hôpital pour consulter ou voir un proche devaient payer jusqu’à 25 $ par jour. Dès 2020, le gouvernement de la CAQ a agi pour que les 2 premières heures soient désormais gratuites, et que le coût du stationnement soit plafonné à 10  $ par jour. Il s’agit d’un soutien concret aux familles et aux aînés, qui fréquentent souvent les hôpitaux et devaient débourser chaque fois pour se stationner.

Source : TVA Nouvelles.

3. L’éducation

L’éducation est au cœur de l’avenir des jeunes et de notre nation. Dès sa création, la CAQ a promis de revaloriser le réseau de l’éducation et la profession enseignante, pour mettre les jeunes Québécois au cœur des priorités de la société. C’est ce que le gouvernement de François Legault fait depuis 2018.

Bâtir une nouvelle génération de belles écoles

Alors que les précédents gouvernements avaient laissé nos écoles se dégrader faute d’investissement, le gouvernement caquiste a lancé un grand chantier pour construire une nouvelle génération de belles écoles, avec de grandes fenêtres qui laissent entrer la lumière et des matériaux naturels. Avec des écoles qui donnent envie d’apprendre et d’enseigner, les élèves et les enseignants disposent d’un milieu de vie accueillant et stimulant.

Source : Émilie Nadeau, Cabinet du premier ministre du Québec.

Déployer des aides à la classe pour épauler les enseignants

Malheureusement, les enseignants se retrouvent trop souvent obligés de faire de la discipline dans leur classe, ce qui les détourne de leur mission première : enseigner et transmettre leur passion aux jeunes. C’est pourquoi le gouvernement de la CAQ a commencé à déployer des aides à la classe, afin d’avoir un deuxième adulte pour intervenir auprès des élèves pendant les heures de cours. À terme, plus de 4000 aides à la classe au primaire viendront en aide aux enseignants.

Introduire des programmes courts pour devenir enseignant

En raison de la pénurie d’enseignants, de nombreux enseignants non légalement qualifiés, c’est-à-dire sans brevet d’enseignement, ont été embauchés en renfort dans les écoles. Afin de permettre à ces enseignants d’obtenir leur qualification, le gouvernement a travaillé en partenariat avec les universités pour offrir des programmes courts, qui sont déjà très populaires et appréciés. Il s’agit d’une solution concrète et efficace pour contrer la pénurie d’enseignants.

300 $ pour l’accès aux programmes particuliers à l’école publique

Les programmes particuliers offrent des concentrations spécifiques, par exemple en arts et en sports, qui sont très appréciées des élèves et qui favorisent la persévérance scolaire. Afin de les rendre disponibles au plus grand nombre dans le réseau public, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a mis de l’avant un montant de 300 $ couvert par l’État pour chaque élève du réseau public qui souhaite participer à un programme particulier. Ainsi, de plus en plus d’élèves ont accès à des programmes particuliers qui les intéressent et les motivent à aller à l’école.

Rendre la profession d’enseignant plus attractive

Depuis 2018, le gouvernement de la CAQ a augmenté de manière très importante le salaire des enseignants, afin d’attirer plus de personnes dans ce métier indispensable. Après une première augmentation qualifiée « d’historique » par les syndicats, le gouvernement a augmenté à nouveau la rémunération des enseignants de manière importante, pour que leur salaire maximal atteigne désormais plus de 109 000 $ par année. C’est une avancée importante pour attirer plus d’enseignants dans les écoles du Québec et revaloriser leur profession.

 

4. L’environnement

Les changements climatiques et la protection de l’environnement sont l’enjeu du XXIe siècle. Après des décennies de beaux discours sans actions véritables, le gouvernement de la CAQ a amorcé une stratégie extrêmement ambitieuse pour décarboner le Québec d’ici 2050, qui fera de notre nation la première à atteindre la carboneutralité en Amérique du Nord.

Mettre en œuvre un des meilleurs plans verts au monde

Pour la première fois, le Québec s’est doté d’un Plan pour une économie verte afin d’atteindre ses cibles de réduction de gaz à effet de serre. Cette stratégie ambitieuse et chiffrée, mise à jour annuellement, compte désormais plus de 9 milliards de dollars investis au service de la décarbonation du Québec. Selon Dunsky Énergie + Climat, une firme experte en transition énergétique, notre nation est désormais l’un des chefs de file planétaires pour la lutte contre les changements climatiques grâce à ces efforts concrets et efficaces.

Mettre en place une consigne élargie, notamment pour les bouteilles de vin

Plusieurs gouvernements ont évoqué par le passé l’idée d’élargir la consigne, notamment aux contenants en verre comme les bouteilles de vin, mais aucun n’a eu le courage et la vision de la réaliser avant la CAQ. D’ici le 1er mars 2025, tous les contenants « prêts à boire » seront donc visés par la consigne, une grande avancée pour le recyclage et la réutilisation des matériaux jetables.

Interdire l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures au Québec

Alors que le Québec se mobilise pour réussir la transition énergétique, le gouvernement de la CAQ a résolument tourné la page sur les énergies fossiles : depuis 2022, la recherche et la production d’hydrocarbures sont interdites au Québec, et toutes les licences en lien avec ces activités ont été révoquées. C’est un symbole fort quant à la volonté du Québec de sortir du pétrole et du gaz pour embrasser les énergies vertes.

Atteindre notre objectif d’aires protégées sur le territoire québécois

En 2020, grâce à l’action de la CAQ, le Québec a atteint son objectif de protéger l’équivalent de 17 % de son territoire terrestre et d’eau douce, soit une surface plus grande que le Royaume-Uni. Cet accomplissement marque la volonté du gouvernement de mettre en valeur le territoire québécois, qui fait partie de notre patrimoine commun, pour les générations futures.

Créer le Fonds bleu pour protéger notre eau

On retrouve au Québec près de 3 % des réserves d’eau douce renouvelables de la planète, et nous avons le devoir de protéger cette ressource précieuse qui appartient à tous les Québécois. En augmentant la redevance sur l’eau, le gouvernement de la CAQ a institué un Fonds bleu de 500 millions de dollars qui sera consacré à assurer la protection, la restauration et la mise en valeur de nos cours d’eau.

 

5. L’identité québécoise

Le Québec est le seul État francophone en Amérique du Nord, et cela vient avec la responsabilité unique de défendre notre identité, notre langue et nos valeurs. Après 15 ans d’abandon libéral, le gouvernement de la CAQ travaille pour redonner au Québec sa fierté.

Mettre fin au débat sur les signes religieux avec la Loi 21

Depuis la crise des accommodements religieux de 2006-2007, les Québécois se divisaient sur la question des signes religieux, et les gouvernements libéraux n’ont rien fait pour régler ce problème. Dès son élection, la CAQ a adopté la Loi 21 sur la laïcité de l’État, qui interdit au personnel de l’État en position d’autorité, comme les policiers, les juges, les enseignants et les gardiens de prison, d’afficher leurs convictions religieuses dans le cadre de leur travail. Cette loi, appuyée par une grande majorité de Québécois, constitue un compromis raisonnable qui a mis fin à ce débat qui a trop longtemps divisé notre nation.

Protéger la langue française avec la Loi 96

Pour répondre au déclin du français que l’on observe malheureusement au Québec depuis quelques années, le gouvernement de la CAQ a adopté la Loi 96, la plus ambitieuse protection de notre langue commune depuis la Loi 101 en 1977. Grâce à cette loi, le français est renforcé comme seule langue officielle et commune, de l’État, de la justice et de l’enseignement au Québec, et la différence québécoise est inscrite pour la première fois dans la Constitution du Canada.

Exiger que tous les immigrants économiques maîtrisent le français

Le Québec est une nation francophone, et les Québécois sont en droit d’exiger que les nouveaux arrivants qui se joignent à eux apprennent aussi notre langue commune. Le gouvernement de la CAQ a eu le courage de faire ce que personne n’avait osé avant lui, et a exigé que tous les immigrants économiques sélectionnés par le Québec maîtrisent le français. C’est une mesure forte pour contrer le déclin du français.

Créer le Musée national de l’histoire du Québec

La nation québécoise a une histoire unique, celle d’une nation francophone qui persévère et prospère depuis 400 ans en Amérique du Nord, et elle mérite d’être racontée. En 2024, le premier ministre Legault a annoncé la création du Musée national de l’histoire du Québec, le tout premier musée dédié à 100 % à l’histoire de la nation québécoise. Il permettra aux touristes, aux familles, aux groupes scolaires et aux nouveaux arrivants de mieux connaître notre histoire.

Source : Caroline Grégoire, Le Soleil.

Introduire le cours de Culture et citoyenneté québécoise

Le cours d’Éthique et culture religieuse a été souvent critiqué parce qu’il mettait l’accent sur ce qui divise les Québécois plutôt que sur ce qui unit notre nation. Avec Culture et citoyenneté québécoise, le gouvernement de la CAQ a introduit dans les écoles un cours qui porte sur la pensée critique, sur nos valeurs communes, comme la laïcité, et sur la culture québécoise pour former des citoyens allumés qui pourront pleinement participer à notre vie démocratique et sociale.

Un Québec plus prospère et plus fier

Grâce à l’équipe de la Coalition Avenir Québec, notre nation retrouve le chemin de l’optimisme et de la fierté depuis 2018. Notre économie devient plus prospère, et le gouvernement remet enfin de l’argent dans les poches des familles et des aînés. En santé, on forme plus de professionnels et on leur donne plus de temps avec les patients en coupant dans la paperasse. En éducation, la profession enseignante se revalorise, et les élèves ont plus de soutien dans les classes. En environnement, le Québec fait des pas de géant pour être le premier État carboneutre en Amérique du Nord d’ici 2050. Finalement, la nation québécoise retrouve sa fierté grâce à un gouvernement qui défend notre langue, notre histoire et nos valeurs.

Depuis 2018, le Québec a accompli de grands progrès, et le gouvernement de la CAQ continue à changer le Québec, dans le meilleur intérêt de tous les Québécois.

Le projet Northvolt est-il bon pour le Québec?


 Publié le 26 avril 2024

La réponse à cette question est sans équivoque et c’est oui. Grâce à la vision du gouvernement de la Coalition Avenir Québec pour la filière batterie, la venue de l’entreprise Northvolt en Montérégie sera bénéfique à la fois pour l’économie du Québec et pour la transition énergétique.

Le projet Northvolt vise à produire au Québec les batteries les plus vertes au monde, et comporte de nombreux avantages pour notre nation :

  • Attirer des investissements étrangers de plus de 5 milliards de dollars au Québec;
  • Créer jusqu’à 3 000 nouveaux emplois bien payés au Québec;
  • Injecter jusqu’à 1,6 milliard de dollars dans le PIB annuellement;
  • Réduire nos GES d’ici 2030 et atteindre la carboneutralité d’ici 2050;
  • Augmenter nos exportations;
  • Décarboner et électrifier l’Amérique du Nord;
  • Développer les ressources naturelles québécoises chez nous, de la mine au recyclage;
  • Favoriser le développement économique régional;

1-   Attirer des investissements étrangers de plus de 5 milliards de dollars au Québec

Dans un contexte mondial où les compagnies de véhicules électriques font la course pour développer des batteries plus durables, plus légères et moins coûteuses, les gouvernements des pays développés tentent de convaincre les entreprises de la filière batterie de s’installer sur leur territoire. Aux États-Unis, l’Inflation Reduction Act (IRA) adopté par l’administration de Joe Biden prévoit une enveloppe de 370 milliards de dollars US pour subventionner des projets visant à lutter contre les changements climatiques.

Malgré les nombreux projets annoncés par le gouvernement de la CAQ avant septembre 2023 (EcoPro CAM; Lion; Lithion Technologies; Moteurs Taiga; Nemaska Lithium; Nouveau Monde Graphite; Solutions énergétiques Volta Canada; UgoWork – Ingeniarts; Ultium CAM; Vale), la chaîne de valeur de la filière batterie québécoise était toujours incomplète, puisqu’il manquait sur le territoire québécois la présence d’un fabricant de cellules de batteries lithium-ion.

Or, en égalisant l’aide financière d’environ 3 milliards de dollars proposée par la Californie avec l’IRA américain, le gouvernement de la CAQ a, non seulement, convaincu le fabricant de cellules de batteries Northvolt de s’installer au Québec, mais aussi d’y investir 5 milliards de dollars pour la construction de sa méga-usine. Il s’agit du plus grand investissement manufacturier de toute l’histoire du Québec !

En rendant le Québec plus attrayant, le gouvernement de la CAQ est ainsi parvenu à compléter la chaîne de valeur de sa filière batterie, ce qui est susceptible d’attirer bien d’autres investissements étrangers sur son territoire.

2-   Créer jusqu’à 3 000 nouveaux emplois bien payés au Québec

Située à la jonction des villes de Saint-Basile-le-Grand et de McMasterville en Montérégie, la méga-usine de Northvolt comprend 3 phases de construction : la construction d’une première installation pour la fabrication de matières actives de cathodes, essentielles à la fabrication des batteries lithium-ion; puis d’une seconde installation pour la fabrication des batteries; et enfin d’une troisième installation pour le recyclage des batteries usagées.

Lorsque toutes les phases du projet Northvolt seront complétées, jusqu’à 3 000 nouveaux emplois et des dizaines de milliers d’emplois indirects seront créés dans la région. Ces emplois seront très bien rémunérés, avec des salaires d’entrée entre 70 000 et 75 000 $ par année. Des travailleurs obtiendront donc des emplois mieux payés que ceux qu’ils occupent actuellement et plusieurs jeunes intègreront le marché du travail avec une rémunération avantageuse. Ces travailleurs québécois auront également la fierté de fabriquer les batteries les plus vertes au monde !

Le projet Northvolt devrait générer à lui seul près de 30 % des 10 000 nouveaux emplois qui sont projetés pour la filière batterie au Québec, comme en témoigne le graphique ci-dessous.

3-   Injecter jusqu’à 1,6 milliard de dollars dans le PIB annuellement

Lorsqu’elles auront atteint leur plein potentiel, les installations de Northvolt injecteront annuellement jusqu’à 1,6 milliard de dollars au sein du PIB du pays.

En développant une économie d’avenir basée sur la filière batterie, le gouvernement de la CAQ va créer de la richesse collective pour le Québec, et réduire l’écart de richesse entre notre nation et le reste du Canada. De telles retombées économiques pourront être réinvesties dans les services publics, comme la santé et l’éducation, la priorité actuelle des Québécois.

4-   Réduire nos GES d’ici 2030 et atteindre la carboneutralité d’ici 2050

Avec son ambitieux Plan pour une économie verte 2030, le gouvernement de la CAQ s’est engagé à réduire nos émissions de GES de 37,5 %[1] d’ici 2030 et à atteindre la carboneutralité d’ici 2050. Pour réussir à décarboner l’économie québécoise, il faut prioriser l’électrification des transports, puisque ce secteur représentait 44,8 % des émissions de GES au Québec en 2017.

Ayant une capacité de production annuelle de 60 GWh, soit une capacité suffisante pour alimenter environ 1 million de nouveaux véhicules électriques par an, le projet Northvolt permettra d’électrifier les transports, de réduire les GES et de faire avancer la transition énergétique au Québec.

Grâce à notre électricité renouvelable à près de 100 %, les entreprises de la filière batterie pourront produire des biens au Québec ou offrir des services en émettant moins de GES que si elles menaient leurs activités ailleurs dans le monde.

5-   Augmenter nos exportations

Sur la scène mondiale, le marché des véhicules électriques connaît une croissance fulgurante d’environ 23 % par année. La demande pour les cellules lithium-ion et leurs composantes est donc en forte augmentation.

Dans un contexte où l’industrie mondiale de l’automobile et des batteries souhaite s’implanter en Amérique du Nord et s’approvisionner à proximité, les projets de la filière batterie comme celui de Northvolt feront augmenter les exportations du Québec partout sur le continent. Selon Investissement Québec, d’ici 2030, 28 % de la production de cathodes en Amérique du Nord proviendra de Bécancour et 25 % des véhicules électriques produits sur le continent auront du contenu québécois.

6- Décarboner et électrifier l’Amérique du Nord

Avec le projet Northvolt et à ceux de la zone d’innovation de la Vallée de la transition énergétique, nous sommes en voie de devenir un chef de file nord-américain de la filière batterie. Le Québec profite d’ailleurs d’un emplacement hautement stratégique dans le corridor manufacturier automobile et de batteries de l’Est américain.

En multipliant ses exportations vers les États-Unis, le Québec accélérera la décarbonation et l’électrification de l’Amérique du Nord, ce qui fera de notre nation un leader de la transition énergétique nord-américaine !

7- Développer les ressources naturelles québécoises chez nous, de la mine au recyclage

Alors que le Québec dispose de plusieurs atouts dans la filière batterie, dont un sous-sol riche en minéraux, une électricité renouvelable et une vaste expertise en matière de minéraux critiques et stratégiques (MCS), c’est la première fois dans l’histoire du Québec que nos ressources naturelles vont générer de la valeur ajoutée ici même. On est loin de l’époque où on vendait nos ressources naturelles pour « une cenne la tonne », et c’est tant mieux !

La filière québécoise possède les technologies pour recycler 95 % des matériaux de batteries, et permettra de réutiliser les batteries usagées en misant sur l’économie circulaire. Avec l’implantation de Northvolt, les ressources naturelles québécoises seront donc développées ici, au Québec, durant toute la chaîne de valeur des batteries, de la mine au recyclage.

8- Favoriser le développement économique régional

En attirant des milliers de travailleurs en Montérégie, le projet Northvolt favorisera le développement économique régional. La vitalité économique de cette région sera accrue par l’arrivée de nouvelles PME, la construction d’infrastructures modernes (routes, logements, écoles) et la bonification des services présentement offerts (à la petite enfance, scolaires, médicaux et communautaires).

Voilà pourquoi les villes de Saint-Basile-le-Grand et de McMasterville ne cachent pas leur grand enthousiasme depuis le lancement de Northvolt : l’avenir s’annonce prospère en Montérégie!

Conclusion

Northvolt est plus qu’un bon projet pour le Québec, c’est un projet-clé dans la création de la filière batterie. Grâce au gouvernement de la CAQ, celui-ci laissera sa marque sur l’économie québécoise pour les décennies à venir et fera progresser la transition énergétique. Pierre angulaire de la filière batterie, Northvolt positionnera le Québec comme un leader de la transition énergétique, en Amérique du Nord et dans le monde.

[1] Sous leur niveau de 1990.

Des avancées pour les femmes du Québec


 Publié le 8 mars 2024

La Journée internationale des droits des femmes est une journée qui marque les avancées réalisées au niveau économique, social, politique et culturel. Le gouvernement de la Coalition Avenir Québec, soutenu par la Commission Relève, a mis en œuvre de nombreuses actions pour améliorer la condition des femmes au Québec. Que ce soit dans le secteur de la santé ou de la justice, la question des droits des femmes a largement été au centre de discussions et de nouvelles politiques ces dernières années.

En 2021, le gouvernement de la CAQ a versé de grandes sommes dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux femmes et des féminicides. Cet engagement financier visait à renforcer les mesures de prévention, de sensibilisation et de soutien aux victimes. Un plan sur cinq ans, porté par une somme de 223 millions de dollars, a été mis en place par le gouvernement. D’ailleurs, de 2018 à 2021, le gouvernement Legault a investi un total de 425 millions de dollars. La Relève soutient et encourage le gouvernement à poursuivre ses efforts pour créer un environnement sûr et égalitaire pour toutes les femmes.

On peut aussi parler du bracelet antirapprochement qui a été introduit par le gouvernement du Québec en 2022. Il a été instauré afin de s’assurer que les victimes de violence conjugale ou d’exploitation sexuelle soient mieux protéger et plus en sécurité. La même année, suivant le vote de la Loi visant la création d’un tribunal spécialisé en matière de violence sexuelle et de violence conjugale, le gouvernement a annoncé un projet pilote de tribunaux spécialisés. Cette loi est un pas important vers la protection des victimes et la réforme du système de justice pour mieux répondre aux enjeux de la violence sexuelle et conjugale.

D’un autre côté, cette année, en santé, la ministre responsable de la Condition féminine, Martine Biron, annonçait un investissement de 1,4 million de dollars pour soutenir des organismes et leurs services en santé reproductive. En considérant le renversement par la Cour suprême du jugement Roe vs Wade, la Relève tient à souligner l’importance de cette initiative qui est essentielle pour garantir l’accès à des soins de santé de qualité pour les femmes.

En l’espace de cinq ans, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec a mené de nombreuses initiatives pour faire avancer les conditions des femmes au Québec. La Commission de la Relève de la CAQ soutient grandement les projets mis en œuvre. Par notre brunch de la Journée internationale des droits des femmes, nous témoignons un profond engagement et une volonté de souligner les accomplissements de ces dernières années.

 

 La Relève de la Coalition Avenir Québec

 

Le fleurdelisé, symbole de notre identité


 Publié le 19 janvier 2024

Le 21 janvier 2024 marque le 76e anniversaire du fleurdelisé, le drapeau national du Québec. Avec son fond bleu, sa croix blanche et ses quatre fleurs de lys, notre drapeau représente la différence québécoise dans le monde entier. Il a d’ailleurs été couronné 3e plus beau drapeau d’Amérique du Nord, parmi les 72 présentés. 

Bien qu’il n’ait été adopté qu’en 1948, cet emblème a des racines qui remontent loin dans notre histoire, et s’inspire notamment de la bannière de Carillon, utilisée par les troupes françaises en 1758. À l’image de la nation québécoise, le drapeau a évolué à travers les années, tout en gardant la mémoire de ses racines françaises, pour devenir celui qu’on connaît aujourd’hui. 

Le fleurdelisé incarne le rôle de l’État québécois, seul État francophone en Amérique du Nord, pour préserver notre identité, nos valeurs et la langue française. Cette responsabilité, le gouvernement de la CAQ la prend très au sérieux, et multiplie les actions structurantes depuis 2018 pour rendre le Québec plus fier, affirmer nos valeurs de laïcité et renverser le déclin du français. Pensons à la loi 21, à la loi 96, et à l’inscription dans la Constitution canadienne que le Québec est une nation dont la langue commune est le français. Ces gestes d’affirmation sont fondamentaux pour bâtir un Québec plus fier. La CAQ continue dans cette direction, en unissant tous les nationalistes de bonne volonté qui veulent faire avancer notre nation ici et maintenant, sans attendre ni après Ottawa, ni après un référendum.

Avant tout, notre drapeau est la bannière derrière laquelle se rassemblent les Québécois et Québécoises, peu importe leurs opinions politiques ou leurs origines. Ce drapeau appartient à tous, et représente l’histoire que nous avons en partage, et celle qu’il nous reste encore à écrire tous ensemble, en français.

En cette journée de fierté, bon 76e jour du drapeau à tous les Québécois!

Noël, une fête qui rassemble les Québécois!


 Publié le 15 décembre 2023

Alors que le congé des Fêtes approche, l’esprit de Noël gagne progressivement le Québec et ses paysages enneigés. Contrairement à ce que peuvent prétendre certains « grincheux », l’Assemblée nationale a réitéré le mois dernier que fêter Noël n’a rien d’exclusif ou de discriminatoire, bien au contraire.

Profondément ancrée dans notre histoire, c’est une fête qui rassemble tous les Québécois autour de célébrations, de traditions et de valeurs qui vont bien au-delà des confessions de chacun ou de nos différences.

Profiter de la saison hivernale

Pour une nation nordique comme le Québec, Noël vient avec le froid, la neige…et les sports d’hiver! Le congé des fêtes est le moment parfait pour faire du ski, pour patiner, pour faire de la raquette ou simplement prendre une marche en famille dans la neige craquante.

Avec un territoire magnifique comme le nôtre, toutes les raisons sont bonnes pour sortir et profiter de la saison froide. Le gouvernement de la CAQ a d’ailleurs annoncé que, du 18 décembre 2023 au 13 mars 2024, tous les parcs de la SÉPAQ seront accessibles gratuitement 3 jours par semaine, afin que tous les Québécois puissent apprécier ces espaces qui nous appartiennent collectivement. Cet hiver, il n’y a pas de raison de rester encabané!

La musique et le réveillon

Noël, au Québec, c’est toute une ambiance musicale qui reflète la saison hivernale, les célébrations familiales et le plaisir d’être ensemble. Pensons à des chansons comme 23 décembre de Beau dommage ou Marie-Noël de Robert Charlebois, qui rappellent des souvenirs d’enfance à construire des forts de neige, à déballer ses cadeaux et à passer du temps en famille.

Les rigodons et les réveillons sont aussi au cœur du temps des fêtes québécois. Notamment issues d’influences irlandaises, nous avons une musique traditionnelle distinctive, qui donne envie de danser et de se rassembler le temps d’une veillée. C’est aussi l’occasion d’inviter les personnes seules à réveillonner, afin que personne ne soit laissé à l’écart en ce temps de réjouissances.

Ciné-cadeau, un rendez-vous à partager

Ciné-cadeau, sur les ondes de Télé-Québec pour une 41e année, est devenu une authentique tradition québécoise, qui attire plus de 500 000 auditeurs simultanément autour des dessins animés d’Astérix et de Lucky Luke, entre autres. Après quatre décennies en ondes, ce rendez-vous est devenu un pont entre les générations, alors que les enfants et même les petits-enfants de ceux qui ont grandi avec Ciné-cadeau en font la découverte. C’est aussi un pont entre les cultures, qui permet à des jeunes issus de l’immigration d’apprendre le français, comme le rapportait La Presse.

À l’ère des plateformes de diffusion qui nous offrent une sélection hyper-individualisée, des rassemblements comme Ciné-cadeau sont indispensables pour se rassembler et partager des moments de plaisir autour de divertissements francophones.

Une tradition de générosité

Le temps de Noël est aussi synonyme de nombreuses initiatives pour redonner aux plus démunis. Pensons à la Grande guignolée des médias, qui a permis de récolter plus de 4,6 M$ l’an dernier pour aider les familles aux prises avec l’insécurité alimentaire.

Chaque année, des organismes préparent des paniers pour que les plus vulnérables d’entre nous puissent passer un joyeux Noël, avec des cadeaux sous le sapin et un bon repas sur la table. Les Québécois sont toujours nombreux à participer à ces initiatives et à faire des dons, et cette tradition d’entraide doit nous rendre fiers.

Joyeux Noël et bonne année 2024!

Durant les Fêtes, c’est le temps de se rassembler et célébrer ensemble. Au Québec, Noël est pour tout le monde : les plus démunis, les nouveaux arrivants, les personnes seules, les familles, tout comme l’ensemble des Québécois.

Les sports d’hiver, les réveillons, nos rendez-vous télévisuels et nos initiatives d’entraide sont autant de traditions québécoises qui ne laissent personne à l’écart, et qui font de Noël un moment spécial qui termine l’année en beauté.

De la part de toute l’équipe de la Coalition Avenir Québec, joyeux Noël et bonne année 2024!

Hommage à nos bénévoles


 Publié le 5 décembre 2023

À l’occasion de la Journée internationale des bénévoles, je prends un peu de temps pour vous remercier pour votre implication dans notre parti au quotidien.

Le militantisme au sein des partis politiques, peu importe le parti, est indispensable dans une démocratie en santé. L’implication de citoyens issus de tous les horizons enrichit la discussion publique, rapproche la prise de décisions des Québécois et fait entendre leur voix dans les sphères de pouvoir. Dans tous les secteurs de la société, le bénévolat fait une différence et rend le Québec meilleur.

Vous consacrez une partie de vos temps libres, de vos soirées et de vos fins de semaine à notre famille politique parce que vous croyez en notre idéal, celui d’un Québec plus prospère et plus fier. Vous êtes les forces vives de notre parti, et c’est en grande partie grâce à vous si la CAQ est aujourd’hui enracinée aux quatre coins du Québec. Merci pour tout.

Comme chef de la CAQ, je ressens une grande responsabilité envers vous : je veux vous faire honneur, je veux vous rendre fiers de donner de votre temps pour poser des pancartes, faire du porte-à-porte, et surtout donner vos idées, débattre des enjeux et assister à nos congrès.

Quand c’est plus difficile, quand on a le vent de face, ça me rend plus fort de savoir que vous êtes là. C’est ce qu’on vit en ce moment et j’ai besoin de vous savoir à nos côtés, même et surtout quand ça brasse.

Encore une fois, je veux vous remercier pour votre implication à la Coalition Avenir Québec. C’est un privilège de pouvoir compter sur des militants brillants, engagés et enracinés comme vous.

Continuons de travailler ensemble pour bâtir le Québec dont nous rêvons, riche et fier de son identité!

 

François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

Le gouvernement de la CAQ a-t-il un bon plan en immigration ?


 Publié le 3 novembre 2023

Non seulement le gouvernement de la CAQ a un bon plan en immigration, mais son plan est historique ! En exigeant pour la première fois que tous les immigrants économiques parlent français, et en maintenant les seuils de 50 000 immigrants permanents par année, le gouvernement de la CAQ se donne les moyens de freiner le déclin du français au Québec et respecte la capacité d’accueil et d’intégration de la société québécoise. Voici 6 mesures tirées du plan de la CAQ en immigration :

  1. Maintenir la cible de 50 000 immigrants permanents/année pour 2024 et 2025 ;
  2. Rendre obligatoire la connaissance du français aux immigrants économiques avant leur admission ;
  3. Admettre en continu les étudiants francophones diplômés au Québec ;
  4. Conditionnaliser le renouvellement de permis de travail des travailleurs étrangers temporaires à la connaissance du français ;
  5. Accroître la connaissance du français chez les immigrants ;
  6. Réévaluer le plan en 2025.

1 — Maintenir la cible de 50 000 immigrants permanents/année pour 2024 et 2025

À la suite de consultations publiques, le gouvernement de la CAQ maintient sa cible annuelle à 50 000 immigrants permanents par année pour 2024 et 2025. Il respecte du même coup sa promesse électorale.

Le contexte actuel et l’augmentation rapide du nombre de résidents non permanents (travailleurs temporaires, étudiants internationaux et demandeurs d’asile) exercent une pression énorme sur la capacité d’accueil et d’intégration des immigrants au Québec. En raison du manque de logements et de la pénurie de main-d’œuvre, entre autres, une hausse trop brusque et élevée du nombre d’immigrants permanents se ferait au détriment d’une intégration réussie.

En maintenant sa cible et sans compromettre la prospérité du Québec, le gouvernement de la CAQ fait preuve de prudence et adopte une attitude responsable à l’égard de l’immigration permanente, comme le recommandait le Commissaire de la langue française dans son mémoire.

2 — Rendre obligatoire la connaissance du français aux immigrants économiques avant leur admission

À l’heure actuelle, l’usage exclusif du français diminue au Québec, alors que l’usage conjoint du français et de l’anglais dans différents lieux publics, dont au travail, dans l’affichage commercial et comme langue d’accueil dans les services, augmente. Nous avons le devoir de lutter contre le déclin du français, pour l’avenir de la nation québécoise.

L’immigration est un des leviers qui permet d’assurer la vitalité et la pérennité du français au Québec. C’est pourquoi le gouvernement de la CAQ a rendu la connaissance du français obligatoire pour les immigrants économiques (travailleurs qualifiés, gens d’affaires et autres) qui souhaitent s’installer sur le territoire québécois.

Depuis juin 2023, seuls les immigrants qui déclarent une connaissance minimale du français de niveaux 5 à l’écrit et 7 à l’oral peuvent venir s’installer au Québec de manière permanente. C’est la première fois qu’un gouvernement québécois va aussi loin : jamais le Parti québécois ni le Parti libéral, n’ont osé faire de la connaissance du français une condition pour s’installer au Québec comme immigrant économique.

Avec cette mesure du gouvernement de la CAQ, la proportion d’immigrants économiques connaissant le français augmentera. De 81 % en 2023, elle passera à 89 % en 2024 et à 93 % en 2025. D’ailleurs, ces proportions seront probablement plus élevées, parce qu’elles ne considèrent pas les admissions des personnes sélectionnées dans le volet « Diplômés du Québec » du Programme de l’expérience québécoise (PEQ).

3 — Admettre en continu les étudiants francophones diplômés au Québec

Parallèlement au seuil annuel de 50 000 immigrants permanents, le Québec admettra en continu les étudiants diplômés d’universités québécoises dans un programme francophone (ou qui ont eu un parcours académique dans notre langue, comme les étudiants français).

Concrètement, les quelque 6 500 diplômés francophones du PEQ en 2024 ont le profil idéal pour notre immigration. Ils parlent le français et ils détiennent un diplôme du Québec, ce qui ne pose pas d’enjeu de reconnaissance des compétences. Ils ont étudié ici plusieurs années, occupent déjà un logement et sont prêts à travailler. Ils sont donc déjà intégrés au Québec, et représentent un atout pour notre société et notre économie.

Grâce à leur admission en continu, le gouvernement de la CAQ haussera la part de la sélection québécoise de l’immigration, la part de l’immigration économique et, surtout, la part des immigrants qui connaissent le français, car la connaissance du français est une condition de sélection du PEQ.

4 — Conditionnaliser le renouvellement de permis de travail des travailleurs étrangers temporaires à la connaissance du français

Bien que la pénurie de main-d’œuvre exige de faire appel à l’immigration temporaire, l’augmentation importante des travailleurs étrangers temporaires (TET) au cours des dernières années est préoccupante, notamment parce qu’il n’y a aucune exigence en matière de connaissance du français lors de leur sélection. D’autant plus que les TET parlent souvent l’anglais plutôt que le français, comme l’a rappelé le Commissaire à la langue française.

En conséquence, le gouvernement de la CAQ rendra le renouvellement des permis de travail des TET conditionnel à la connaissance du français. Les travailleurs agricoles ne seront pas soumis à cette exigence, puisqu’ils sont ici pour une courte période et contribuent à notre autonomie alimentaire.

Après trois ans de séjour au Québec, les TET du Programme de travailleurs étrangers temporaires (PTET) qui souhaitent renouveler leur permis de travail devront démontrer une connaissance du français de niveau 4 à l’oral, ce qui leur permettra de s’exprimer en français dans l’espace public au quotidien.

En 2022, 21 525 travailleurs temporaires avaient un permis de travail valide du PTET, sans compter les travailleurs agricoles. Tous ceux d’entre eux qui voudront obtenir un renouvellement de leur permis après trois ans de séjour devront apprendre le français s’ils ne le connaissent pas déjà. Les employeurs devront également soutenir leur francisation, notamment en leur allouant des créneaux horaires pour l’apprentissage du français pendant leurs heures de travail.

C’est la première fois de l’histoire du Québec qu’un gouvernement impose des exigences et des mesures de francisation aux immigrants temporaires, et c’est le gouvernement de la CAQ qui a le courage de le faire.

5 — Accroître la connaissance du français chez les immigrants

Avec l’adoption du projet de loi 96 en 2022, le gouvernement de la CAQ a créé Francisation Québec, un guichet unique offrant notamment des services de francisation aux immigrants résidant déjà au Québec, à ceux qui ne sont pas encore arrivés sur le territoire ou encore à ceux qui y sont temporairement.

Depuis que la CAQ est au pouvoir, jamais le Québec n’a autant francisé ses immigrants. De 28 086 immigrants francisés en 2017-2018, on est passé à 46 855 en 2022-2023. C’est une augmentation de plus de 66 % !

Considérant la demande sans cesse grandissante pour la francisation, le travail continue. Cet appétit témoigne du succès du guichet unique et de l’approche du gouvernement de la CAQ.

6— Réévaluer le plan en 2025

Alors que les gouvernements réévaluent habituellement leur plan d’immigration aux quatre ans, le gouvernement de la CAQ réévaluera plutôt le sien dans deux ans, dès 2025. Cette approche permettra une plus grande flexibilité pour considérer l’évolution de la situation linguistique et le nombre de résidents non permanents. Cela permettra également d’évaluer l’impact des différentes mesures mises en place pour renforcer la connaissance du français et l’intégration des immigrants.

Conformément à la vision pragmatique de la CAQ, ce plan en immigration sur deux ans est prudent.

Conclusion

Le plan du gouvernement de la CAQ en immigration respecte la capacité d’accueil et d’intégration du Québec. Il est équilibré et prudent. Il est aussi historique, car c’est la première fois qu’un gouvernement ose exiger de tous les immigrants économiques permanents une connaissance du français, ainsi qu’à certains immigrants temporaires. Ces mesures auront un effet positif sur la connaissance du français chez les immigrants et contribueront à freiner le déclin du français au Québec.

Le gouvernement de la CAQ est celui qui en a fait le plus pour la langue française depuis celui de René Lévesque. Et il est déterminé à ce que le Québec demeure une nation francophone, prospère et accueillante.

Est-ce que les choses s’améliorent en santé avec le gouvernement de la CAQ?


 Publié le 22 septembre 2023

La réponse est oui et c’est impressionnant. Il reste encore beaucoup de travail à faire, mais voici 10 avancées concrètes qui donnent un meilleur accès et de meilleurs services de santé pour les Québécois:

  1. Une prise en charge par un groupe de médecine familiale pour 735 000 Québécois de plus
  2. Pour éviter d’aller à l’urgence, une prise en charge rapide grâce au Guichet d’accès à la première ligne – GAP
  3. La formation et le recrutement de préposés aux bénéficiaires
  4. L’ouverture des premières maisons des aînés
  5. Plus de services offerts par les infirmières et les pharmaciens
  6. Une entente pour le rattrapage des chirurgies en attente depuis la pandémie
  7. La conversion des centres de vaccination en points de services locaux
  8. Une diminution de la liste d’attente en santé mentale chez les enfants
  9. Une réduction de moitié du recours au temps supplémentaire obligatoire
  10. Une gestion des données moins lourdes pour le patient

735 000 Québécois de plus pris en charge par un groupe de médecine familiale

Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Il s’agit d’un progrès exceptionnel, réalisé grâce à la collaboration entre le gouvernement et les médecins de famille. Le ministre Dubé ne compte pas s’arrêter là, et continue de travailler pour que chaque Québécois puisse être suivi par le bon professionnel de la santé au bon moment.

Une prise en charge rapide grâce au Guichet d’accès à la première ligne

En septembre 2022, le gouvernement de la CAQ a lancé le Guichet d’accès à la première ligne (GAP), un service téléphonique qui permet d’obtenir des conseils en santé, mais aussi un rendez-vous si une consultation est nécessaire. L’objectif c’est de donner une porte d’entrée au réseau de la santé sans que les Québécois soient obligés d’aller à l’urgence. Le GAP permet aux personnes sans médecin de famille d’avoir accès à des services de première ligne, de telle sorte que le pourcentage de la population ayant accès à ces services est passé de 78% à 90% depuis son lancement. C’est une mesure concrète, avec des résultats exceptionnels, pour que toujours plus de Québécois aient accès à des soins de première ligne. Maintenant, il faut travailler à réduire le temps d’attente.

Performance du réseau de la santé et des services sociaux 2

Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

La formation et le recrutement de préposés aux bénéficiaires

La rareté de main-d’œuvre est l’un des défis les plus importants pour notre système de santé. En mai 2023, le gouvernement de la CAQ a remis sur pied une formation accélérée de préposés aux bénéficiaires d’ici la fin de l’année, à l’image de celles qui avaient été offertes durant la pandémie. Cette nouvelle formation dure 3 mois, et vient avec une bourse d’études de 12 000 $. En date du mois d’août de cette année, 10 000 Québécois ont manifesté de l’intérêt pour la formation.

Plus de 2500 candidats ont déjà été sélectionnés

Les candidats sélectionnés apporteront des renforts bienvenus aux préposés qui effectuent un travail exceptionnel auprès de nos aînés, que ce soit en CHSLD et dans les maisons des aînés. Cette initiative est l’une des nombreuses actions de l’Opération main-d’œuvre lancée par le gouvernement pour trouver davantage d’employés dans les secteurs prioritaires.

L’ouverture des premières maisons des aînés

Les maisons des aînés et maisons alternatives sont un engagement phare du gouvernement de la CAQ, qui vise à offrir des milieux de vie de qualité pour les aînés du Québec, où on se sent presque comme à la maison. Ce sont des maisons chaleureuses, qui offrent de l’intimité aux résidents et qui sont pensées pour accueillir les proches.

Maisons des aînés et maisons alternatives

Source : Québec.ca

En novembre 2022, la ministre Sonia Bélanger a inauguré la toute première maison des aînés et alternatives à Sherbrooke. En date d’août 2023, 17 maisons des aînés ont été construites dans 8 régions du Québec, et 29 autres sont à venir d’ici 2026. Avec ces nouveaux milieux de vie, la CAQ améliore concrètement la vie de milliers d’aînés.

On entend bien sûr souvent les oppositions qui prétendent que le gouvernement devrait seulement investir dans les soins à domicile, mais c’est une affirmation absurde. D’abord parce que le gouvernement de la CAQ a investi beaucoup d’argent dans les soins à domicile, mais surtout parce les deux services sont complémentaires. Les personnes en CHSLD ont besoin d’un niveau de soins qu’on ne peut offrir à domicile.

Plus de services offerts par les infirmières et les pharmaciens

Pour permettre à tous les Québécois d’obtenir les soins dont ils ont besoin et désengorger les urgences, il est essentiel de faire de l’hôpital un dernier recours, et d’ouvrir d’autres portes pour des besoins courants. C’est ce que fait le gouvernement de la CAQ en ouvrant des cliniques d’infirmières praticiennes spécialisées (IPS). Il y a déjà sept cliniques d’ouvertes et on prévoit en avoir 23 dans les cinq prochaines années. Ces cliniques peuvent compter sur une équipe d’infirmières praticiennes spécialisées, d’infirmières cliniciennes et d’infirmières auxiliaires capables de s’occuper de problèmes de santé courants, aigus ou chroniques. Depuis 2021, les IPS, qui détiennent une maîtrise en sciences infirmières, peuvent notamment diagnostiquer des maladies, prescrire des examens diagnostiques, prescrire la médication, déterminer des traitements médicaux et effectuer des suivis de grossesse sans la surveillance d’un médecin.

En plus des infirmières, le gouvernement permet aussi aux pharmaciens d’offrir davantage de services aux Québécois. Depuis 2023, ils peuvent offrir des consultations et des suivis médicaux pour les personnes souffrant de douleurs chroniques, d’asthme ou de la maladie pulmonaire obstructive chronique. En élargissant aux pharmaciens ces responsabilités qui étaient réservées aux seuls médecins et infirmières, les Québécois peuvent profiter davantage de l’expertise considérable de ces professionnels de la santé, et s’éviter une visite à la clinique ou à l’hôpital.

Une entente pour le rattrapage des chirurgies en attente depuis la pandémie

En mai 2023, le ministre Christian Dubé a signé une entente avec la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) pour rattraper le retard dans les chirurgies en attente qui s’était accumulé pendant la pandémie. En effet, la pandémie a fait en sorte que le nombre de patients en attente d’une chirurgie depuis plus d’un an est passé d’environ 2600 en janvier 2020 à un pic de 22 000 en septembre 2022. Le gouvernement et la FMSQ se donnent jusqu’à la fin 2024 pour revenir au niveau pré-COVID, soit 2500 chirurgies en attente, mais la liste d’attente a déjà fondu de 22 000 à environ 14 600 en date d’août 2023.

Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

La conversion des centres de vaccination en points de services locaux

Toujours dans l’idée d’offrir aux Québécois plus d’endroits de proximité où obtenir des services, le gouvernement de la CAQ a décidé de transformer les centres de vaccination ouverts pendant la pandémie en points de services locaux plutôt que de les démanteler. En plus de continuer la vaccination contre la COVID-19, l’influenza et le zona ainsi que la distribution de tests de dépistage rapides, ces établissements pourront faire des prélèvements sanguins, de selles et d’urine, ainsi que dépister des infections. Les rendez-vous se prendront toujours sur le site web Clic Santé.

Alors que la saison des virus approche, ces points de services locaux offriront une nouvelle alternative à l’urgence ou la clinique pour les patients, et permettront d’obtenir des services plus rapidement. Situés à l’extérieur des établissements habituels du réseau de la santé, ces sites permettent de rapprocher les services de la population, et ce, aux quatre coins du Québec.

Une diminution de la liste d’attente en santé mentale chez les jeunes

Le ministre responsable de la santé mentale, Lionel Carmant, a réussi un véritable exploit en réduisant la liste d’attente pour des services dans ce domaine.  L’accès aux services en santé mentale demeure un défi important pour le système de santé québécois, notamment en raison de la hausse des demandes due à la pandémie. Le gouvernement agit pour combler ces besoins, notamment en faisant de la prévention chez les jeunes. Par exemple, HORS-PISTE, un programme qui vise à sensibiliser les élèves du primaire et du secondaire aux symptômes d’anxiété et de dépression, et les Aires ouvertes, qui offrent des services en santé mentale sans rendez-vous aux jeunes de 12 à 25 ans à travers le Québec.

Ces initiatives ont permis de diminuer la liste d’attente en santé mentale chez les jeunes de plus de 20%, alors que le nombre de jeunes en attente de services a chuté d’environ 8 000 à environ 6 000. Il s’agit d’un premier pas important pour offrir des services en santé mentale à tous les Québécois qui en ont besoin.

Une réduction de moitié du recours au temps supplémentaire obligatoire

Bien qu’il puisse être nécessaire dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, le temps supplémentaire obligatoire demeure une pratique exceptionnelle qui doit être réduite autant que possible, pour faire du réseau de la santé un employeur de choix, qui valorise la conciliation travail-famille et attire ainsi plus d’employés.

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Source : Tableau de bord – Performance du réseau de la santé et des services sociaux

Le Plan santé a permis, depuis janvier 2023, de réduire de moitié le recours au temps supplémentaire obligatoire dans les urgences du Québec. À l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont par exemple, c’est la première fois en 25 ans qu’il n’y a pas eu de temps supplémentaire obligatoire en été. Parmi les raisons de ce succès, il y a notamment la collaboration régionale avec les autres hôpitaux environnants ainsi que l’autogestion des horaires des infirmières. Ces progrès sont prometteurs, et permettent d’envisager, à terme, la fin du temps supplémentaire obligatoire.

Une gestion des données moins lourdes pour le patient

Par le passé, lorsque leur dossier médical passait d’un professionnel de la santé à un autre, ou d’un établissement à un autre, les patients québécois faisaient face à des délais puisqu’ils devaient donner leur autorisation chaque fois que leur dossier changeait de mains. En enlevant une étape administrative, la nouvelle loi du ministre Dubé entrera en vigueur en avril 2024 et permettra désormais de consulter un professionnel, puis un autre dans une région différente, et que les renseignements suivent le patient. Il sera aussi possible pour les Québécois de voir quels professionnels de la santé ont consulté leur dossier.

Avec cet allègement concret des procédures, les patients du Québec pourront obtenir des soins plus rapidement, sans devoir s’assurer que leurs données soient bien transférées aux établissements ou aux professionnels, puisqu’elles le sont automatiquement. C’est un gain réel en efficacité, qui aide tout le monde.

Le Plan Santé de Christian Dubé, des réussites concrètes pour tous les Québécois

Depuis l’arrivée de la Coalition Avenir Québec au pouvoir, le réseau de la santé devient plus efficace et plus humain, afin de mieux servir tous les Québécois. Grâce au Plan santé, on voit maintenant des améliorations concrètes, à la fois dans la rapidité d’accès aux soins, la multiplication des services offerts hors des hôpitaux, ainsi que le recrutement et le traitement des employés du réseau. Les ministres Lionel Carmant et Sonia Bélanger obtiennent aussi des résultats concrets pour nos aînés, pour nos jeunes et pour la santé mentale.

Peu de gouvernements ont autant fait que celui de la CAQ pour changer le réseau de la santé pour le mieux. Un an après le dépôt du Plan santé, Christian Dubé poursuit son travail, avec l’appui du réseau, et dépose son Projet de loi 15 afin de rendre plus efficace le réseau de la santé. On le fait pour les patients et pour tout le personnel du réseau de la santé. Le statuquo en santé, ce n’est pas une option.