Moissonneurs Solidaires : près 900 000 $ pour faire pousser l’espoir et l’entraide


 Publié le 2 septembre 2025

Pour améliorer l’accès à une alimentation saine et renforcer les capacités du milieu communautaire, la ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire, Chantal Rouleau, accorde 884 642 $ à Moissonneurs Solidaires. Cet investissement s’inscrit dans l’objectif du Plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale visant à soutenir des initiatives concrètes qui répondent aux besoins réels des personnes vulnérables.

Depuis plusieurs années, Moissonneurs Solidaires se distingue par son engagement à rendre les aliments frais plus accessibles aux personnes en situation de pauvreté. En développant une solution d’approvisionnement en légumes pour les banques alimentaires, l’organisme contribue à promouvoir une alimentation saine et de proximité. Ses activités agricoles agissent aussi comme un levier d’inclusion, en offrant des possibilités concrètes de réinsertion sociale qui sous-tendent la lutte contre la pauvreté.

Grâce à ce financement, l’organisme pourra lancer une nouvelle serre et développer des activités éducatives et communautaires qui encouragent de saines habitudes alimentaires et le partage des savoirs. De plus, Moissonneurs Solidaires entend développer une nouvelle offre durable de légumes frais afin de soutenir les activités du réseau des Banques alimentaires du Québec (BAQ) et du Club des petits déjeuners. L’organisme investira plus de 200 000 $ dans ce projet, dont le budget total dépasse 1,1 million de dollars.

Citations

« Avec Moissonneurs Solidaires, on voit concrètement comment une idée bien ancrée sur le terrain peut transformer des vies. Ce n’est pas juste de l’aide alimentaire, c’est une façon nouvelle d’agir, ensemble, pour repenser notre manière de nourrir les communautés et avoir un impact réel sur le quotidien des personnes les plus vulnérables. Ce projet s’inscrit pleinement dans notre stratégie, qui vise à aller au-delà de l’achat de denrées pour les réseaux que nous soutenons. Ce genre d’initiative inspire, donne espoir, et ouvre la voie à une société plus juste et inclusive. »

Chantal Rouleau, ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire

« Je suis heureuse de l’octroi de ce montant à Moissonneurs Solidaires. L’organisme pourra poursuivre sa mission et les activités de sa ferme dans la municipalité de Lotbinière et ainsi encore mieux répondre aux besoins grandissants en alimentation des personnes vulnérables. C’est une excellente nouvelle pour la région et pour toute la province. »

Isabelle Lecours, députée de Lotbinière-Frontenac

« Moissonneurs Solidaires étant, depuis sa création en 2007, un partenaire de premier plan du réseau des BAQ, c’est avec joie et reconnaissance que nous avons accueilli la réponse du Ministère à notre demande de financement qui permettra de mettre en place des actions additionnelles visant à augmenter la capacité d’agir eu égard au phénomène de l’insécurité alimentaire. »

Ronald Lussier, directeur général de Moissonneurs Solidaires

Faits saillants 

  • Le financement accordé à l’organisme s’inscrit dans la mesure 2.1.1.5 – Bonifier le soutien financier à des initiatives porteuses en matière de sécurité alimentaire du Plan de lutte.
  • La mesure 2.1.1.5 du Plan de lutte vise à soutenir des initiatives porteuses qui engendreront des résultats positifs en matière d’aide alimentaire. Un budget de 4 M$ sur cinq ans est prévu.
  • Le projet présenté par Moissonneurs Solidaires permettra de :
    • mettre en place des activités de semis pour la production à grande échelle de nouveaux légumes qui seront distribués dans le réseau des BAQ;
    • produire en serre des légumes variés pour le réseau des BAQ et le Club des petits déjeuners;
    • organiser des ateliers et des conférences de sensibilisation entourant les enjeux de sécurité alimentaire, d’agriculture urbaine, des saines habitudes de vie et du développement durable;
    • renforcer la lutte au gaspillage alimentaire par l’augmentation de la récupération de denrées fraîches qui ne correspondent pas au standard de l’industrie alimentaire pour les distribuer dans le réseau des BAQ.
  • Par rapport à la saison 2024, sur une période de cinq ans, le projet de mise en opération des activités serricoles devrait permettre à l’organisme d’accroître de 50 % sa distribution de légumes frais au profit du réseau des BAQ.

Mise à l’essai du nouveau programme de français – Un programme modernisé, enraciné dans la culture québécoise, pour faire aimer notre langue


 Publié le 2 septembre 2025

Le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, dévoile aujourd’hui la toute nouvelle version du programme de français pour les élèves du primaire et du secondaire, tel qu’il s’était engagé à le faire et près d’un quart de siècle après la dernière révision en profondeur. Cette nouvelle version sera mise à l’essai dans une cinquantaine de classes dès maintenant et déployée dans toutes les écoles à la rentrée 2026.

Ce programme marque un tournant important dans l’enseignement de la langue. Il s’attache à la rendre vivante et attrayante, en puisant dans la richesse de la culture québécoise et en revoyant certains contenus pour la mettre en valeur. Nos œuvres d’ici deviennent autant de leviers pour enseigner les règles – de grammaire, d’orthographe et de ponctuation, par exemple – qui font la complexité et la beauté du français. L’objectif : amener les élèves à mieux communiquer, lire et écrire, tout en nourrissant leur plaisir d’apprendre et leur attachement à notre langue.

En résumé :

  • Culture québécoise : en intégrant les œuvres d’ici, on crée un lien d’affection avec la langue, ce qui renforce la motivation des élèves, leur persévérance scolaire et leur sentiment d’appartenance à notre culture;
  • Communication orale : le fait de donner plus de place à l’oral, particulièrement au primaire, améliore la maîtrise du français à long terme, car la langue orale sert de fondement à l’apprentissage de la langue écrite;
  • Écriture tous les jours : elle entraîne les élèves à structurer leur pensée et à s’exprimer clairement ;
  • Lecture tous les jours : elle développe la fluidité, le vocabulaire et la culture, qui sont autant de leviers pour l’apprentissage du français;
  • Liste orthographique commune : grâce à la liste orthographique obligatoire, tous les élèves du primaire auront les mêmes bases pour bien maîtriser l’orthographe des mots.

La culture au service de l’apprentissage

Musique, littérature, théâtre, cinéma, séries : la culture québécoise sera au cœur de l’enseignement du français.

Chaque élève prendra part, chaque année, à un minimum de cinq expériences culturelles choisies dans un éventail d’activités stimulantes : cercles de lecture, rencontres avec des écrivains, visites de lieux historiques ou patrimoniaux, animations littéraires en classe, découvertes d’artistes d’ici, etc.

Les élèves devront également lire au moins dix textes ou ouvrages chaque année, dont au moins la moitié mettront en valeur la culture québécoise et francophone (alors qu’auparavant, c’était huit textes québécois aux trois ans). Romans, nouvelles, poèmes, pièces de théâtre et récits divers élargiront leur horizon culturel, tout en enrichissant leur vocabulaire et en renforçant leurs compétences linguistiques.

La communication orale : s’exprimer pour mieux penser

Le programme accorde une nouvelle place à la communication orale, particulièrement en 1re et 2e année du primaire. Discussions, débats, dialogues, jeux de rôle et mises en situation remplaceront en partie les exposés traditionnels pour rapprocher l’apprentissage des réalités de la vie quotidienne. C’est en développant d’abord leurs compétences à l’oral que les élèves pourront ensuite mieux maîtriser l’écriture.

Lire et écrire tous les jours

Tout en renforçant la communication orale, le nouveau programme fait de la lecture et de l’écriture des pratiques quotidiennes dans la classe, et ce, dès la première année du primaire.

Écrire tous les jours des textes courts, surtout au primaire, des résumés, des réflexions ou des créations personnelles est l’approche priorisée. C’est la constance et la régularité qui comptent, car c’est en écrivant souvent que les élèves structurent leur pensée et acquièrent une véritable aisance langagière. L’apprentissage de l’écriture à la main demeure également essentiel, puisqu’il crée de meilleures connexions avec le cerveau et favorise la mémorisation.

La lecture quotidienne quant à elle – qu’il s’agisse d’un roman, d’une chanson, d’un article d’actualité – constitue une occasion de découvrir la richesse de la langue, d’en saisir les nuances et d’en approfondir la compréhension. Rappelons que la lecture est un déterminant majeur de la réussite éducative de nos jeunes. C’est pourquoi il est important que les enfants découvrent le plaisir de la lecture dès le plus jeune âge, notamment en compagnie de leurs parents.

Grammaire clarifiée et vocabulaire commun

Les contenus grammaticaux ont été repensés pour être mieux répartis tout au long du parcours scolaire et faciliter la transition entre le primaire et le secondaire. Ces ajustements visent à réduire les redondances et à permettre aux enseignants d’approfondir l’enseignement selon les niveaux.

Par ailleurs, la liste orthographique du primaire de 3 000 mots, autrefois facultative, devient obligatoire de façon à établir une base commune pour l’apprentissage de l’orthographe. Cette liste, actualisée et modernisée, prévoit 2 700 mots répartis de la 1re à la 6e année, auxquels s’ajoutent 300 mots choisis par l’enseignant en fonction des années scolaires.

Citation :

« Le français est notre langue, notre fierté, le lien qui nous unit comme peuple. Chaque journée d’école doit être l’occasion pour nos élèves d’apprendre à mieux parler, lire et écrire en français. Un crayon à la main, un livre ouvert, une chanson québécoise dans les oreilles : c’est ainsi qu’on développe l’amour et la maîtrise de notre langue. Avec ce programme renouvelé, nous plaçons le français et la culture québécoise au cœur de l’expérience scolaire. Nous le modernisons pour répondre aux besoins des élèves d’aujourd’hui et leur offrir une langue de qualité, essentielle à leur réussite scolaire, personnelle et professionnelle. Nous le faisons pour eux et pour l’avenir du Québec. »

Bernard Drainville, ministre de l’Éducation

•  Informations complémentaires:

  • Le ministre de l’Éducation, M. Bernard Drainville, a annoncé la révision du programme de français en juin 2023.
  • Voici quelques changements apportés à la répartition des contenus grammaticaux :
    • Le complément direct et le complément indirect sont maintenant vus au secondaire;
    • Les constituants de la phrase (sujet-prédicat et complément de phrase) sont maintenant abordés dès la 1re année du primaire;
    • L’apprentissage des principaux verbes modèles à l’infinitif présent, tels que les verbes avoirêtreaimermanger et savoir débutera désormais dès la 3e année du primaire;
    • Pour permettre ces changements, l’étude de certains verbes particuliers sera déplacée au secondaire, ce qui assurera une progression plus cohérente.
  • Dès cette année, 55 enseignants et 51 conseillers pédagogiques, issus d’écoles publiques et privées réparties dans tous les coins du Québec, mettront ce programme à l’épreuve. Les observations recueillies permettront d’apporter, au besoin, les derniers ajustements en vue de son implantation officielle dans l’ensemble du réseau scolaire québécois à la rentrée 2026.

Un partenariat novateur pour les soins palliatifs et de fin de vie dans Lanaudière


 Publié le 2 septembre 2025

La ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides, Sonia Bélanger, a procédé aujourd’hui à l’inauguration du Pavillon de soins palliatifs et de fin de vie dans la région de Lanaudière.

Ce projet novateur, une première dans la région, est rendu possible grâce à un partenariat public-privé entre le Centre intégré de santé et de services sociaux de Lanaudière (CISSS), la Fondation pour la Santé du Nord de Lanaudière, Medifice et Desjardins. La construction du pavillon a été réalisée par le secteur privé, tandis que la gestion des soins sera financée par le système de santé public, garantissant ainsi un modèle complémentaire.

Situé à proximité du Centre hospitalier De Lanaudière, ce nouveau pavillon dispose de 10 lits, qui viennent s’ajouter à l’offre de soins palliatifs et de fin de vie dans le secteur nord de la région de Lanaudière. Rappelons que l’installation a été aménagée dans un environnement distinct, personnalisé et bienveillant pour l’accompagnement de la personne en fin de vie et de ses proches. Cette personne a accès à l’aide médicale à mourir si elle le souhaite. Les services fournis par le pavillon sont assurés par une équipe interdisciplinaire couvrant notamment l’accompagnement global, le contrôle de la douleur, les services sociaux et le service spirituel, ainsi que par une équipe médicale et des infirmières spécialisées. Les familles et les proches font partie intégrante des approches adoptées et bénéficient d’un lieu bienveillant et apaisant.

Citations :

« La construction de ce nouveau pavillon témoigne de notre volonté d’innover afin d’assurer un accès optimal aux soins palliatifs et de fin de vie pour l’ensemble de la population. Ce projet, né d’un partenariat audacieux et collaboratif, souligne l’importance de nos alliés dans la création de milieux de soins humains, adaptés et empreints de dignité. Dans un contexte de vieillissement de la population et de transformation des valeurs sociétales, il est plus que jamais essentiel que chaque citoyenne et chaque citoyen puisse recevoir des soins de fin de vie empreints de compassion, dans sa communauté, avec ses proches, comme le permettra cette nouvelle installation dans la région de Lanaudière. »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides

« Notre gouvernement fait tout le nécessaire pour fournir à la population des soins de fin de vie qui répondent non seulement à ses besoins, mais également à ses désirs et à ses valeurs. En effet, la demande ne cessera de croître au cours des prochaines années, et la mise en place d’une offre de service telle que celle de ce pavillon viendra garantir un meilleur accès à ces services pour toute la communauté lanaudoise. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

« Ce nouveau pavillon permettra aux personnes en fin de vie de bénéficier d’un milieu adapté à leurs besoins. Sa création témoigne de l’importance que nous accordons au fait d’offrir les meilleurs soins possibles à ces personnes. Ce nouvel établissement leur apportera, j’en suis persuadé, un peu plus de paix et de sérénité. »

François St-Louis, député de Joliette

Opération couverture cellulaire : activation de 11 nouveaux sites cellulaires en Mauricie


 Publié le 29 août 2025

Le ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Gilles Bélanger, a annoncé aujourd’hui l’activation de 11 nouveaux sites cellulaires en Mauricie lors d’une conférence de presse. Pour l’occasion, il était accompagné de la députée de Laviolette-Saint-Maurice, Marie-Louise Tardif, ainsi que des représentants de Vidéotron et d’ECOTEL, les opérateurs cellulaires.

Le financement pour la construction de ces sites cellulaires a entièrement été réalisé par le gouvernement du Québec dans le cadre de l’Étape 2 de l’Opération couverture cellulaire. Débutée en 2024, cette deuxième phase prévoit 118 sites cellulaires additionnels répartis dans 11 régions administratives, pour un investissement total de 186,4 M$ entièrement financé par le gouvernement du Québec, à l’exception de projets spécifiques.

L’ajout de ces 11 sites cellulaires porte à 44 le nombre de sites cellulaires mis en service dans le cadre de l’Opération couverture cellulaire.

Plusieurs autres sites cellulaires sont en cours de construction afin de renforcer la sécurité publique et d’accroître la vitalité des régions en contribuant à leur développement socioéconomique de façon durable.

Citations :
« L’activation de ces nouveaux sites cellulaires représente une amélioration significative de la qualité de vie des citoyennes et des citoyens de la Mauricie. En contribuant à l’élargissement de la couverture cellulaire sur l’ensemble du territoire québécois, le gouvernement du Québec renforce la sécurité ainsi que l’attractivité économique, sociale et touristique des régions. »
Gilles Bélanger, ministre de la Cybersécurité et du Numérique

« La mise en service de cette tour cellulaire dans le secteur Saint-Joseph-de-Mékinac représente une autre importante étape par rapport à l’amélioration de la qualité de vie et de la sécurité dans ma circonscription. Dans mes bureaux, de nombreux citoyens m’ont exprimé leurs préoccupations au sujet de la desserte cellulaire. Je porte votre voix : sachez que votre gouvernement est déterminé à relever le défi d’une couverture complète à travers le Québec d’ici au 31 décembre 2026. »
Marie-Louise Tardif, députée de Laviolette-Saint-Maurice

Faits saillants :

  • Dans le cadre de l’Opération couverture cellulaire, le gouvernement du Québec finance, en tout ou en partie, la construction de 202 sites cellulaires additionnels sur le territoire du Québec.
  • Selon les projections du ministère de la Cybersécurité et du Numérique, les étapes 1 et 2 de l’Opération couverture cellulaire devraient être terminées d’ici à la fin de l’année 2026, selon les technologies disponibles et la capacité de déploiement des fournisseurs de services cellulaires.
  • Depuis le 1er avril 2025, la réalisation de l’Opération couverture cellulaire est sous la responsabilité du ministère de la Cybersécurité et du Numérique.
  • On entend par « site cellulaire » l’emplacement de la station de base où l’on retrouve généralement une tour munie d’antennes reliées à des appareils de contrôle installés dans un petit bâtiment.

Transport collectif dans la région métropolitaine de Québec : pour une répartition plus équitable des contributions des automobilistes


 Publié le 28 août 2025

La vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable, Mme Geneviève Guilbault, annonce la prépublication dans la Gazette officielle du Québec du projet de règlement modifiant le Règlement sur la contribution des automobilistes au transport en commun. Cette modification réglementaire vise à répartir plus équitablement, entre le Réseau de transport de la Capitale (RTC) et la Société de transport de Lévis (STLévis), le montant perçu lors de l’immatriculation d’un véhicule de promenade.

Depuis 1992, l’attribution des contributions entre le RTC et la STLévis se fait respectivement à 80 % en fonction des recettes générées par les usagers de leurs réseaux et à 20 %, en fonction des contributions des automobilistes résidant dans les territoires concernés. Le gouvernement propose de revoir le critère de répartition afin que les contributions perçues sur le territoire d’une municipalité soient entièrement remises à la société de transport en commun opérant sur ce territoire, comme c’est le cas ailleurs au Québec.

L’application de ce nouveau critère permettrait à la STLévis de recevoir un montant supplémentaire annuel estimé à 1,3 M$. Si ce projet de règlement est adopté, le nouveau critère entrerait en vigueur le 1er janvier 2026.

Citation

« Aujourd’hui, c’est l’aboutissement de près de trois ans d’efforts pour mettre fin à une iniquité historique vieille de plus de 30 ans, et enfin assurer un financement équitable entre le RTC et la STLévis. La volonté derrière ce geste, réclamé depuis fort longtemps par les Lévisiens, est simple et logique : appliquer la même méthode dans la région métropolitaine de Québec que dans les autres régions du Québec, de sorte que les revenus issus des contributions des automobilistes retournent sur le territoire de résidence de ces automobilistes. »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre et ministre des Transports et de la Mobilité durable

Faits saillants

  • La Loi sur les transports prévoit une contribution des automobilistes pour le financement du transport en commun. Le Règlement sur la contribution des automobilistes au transport en commun fixe le montant de cette contribution à 30 $. Le montant est perçu par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) lors de l’immatriculation d’un véhicule de promenade. Les sommes issues des contributions sont versées au Fonds consolidé du revenu, conformément à la Loi, et créditées au Fonds des réseaux de transport terrestre (FORT) pour être redistribuées par le ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) aux organismes publics de transport en commun.
  • En principe, chaque société de transport en commun reçoit les contributions perçues sur son territoire ou dans sa région, à l’exception de la région de Montréal, où elles sont versées à l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), et de la région de Québec, où elles sont réparties entre le RTC et la STLévis.

600 logements abordables pour aînés de plus seront construits rapidement par Mission Unitaînés


 Publié le 28 août 2025

Les gouvernements du Québec et du Canada, de concert avec la Ville de Granby, ont inauguré aujourd’hui la toute première bâtisse construite grâce à l’entente de partenariat avec l’organisme Mission Unitaînés. Cet événement a aussi été l’occasion d’annoncer que 600 logements abordables supplémentaires seront livrés au cours des 2 prochaines années dans 6 villes du Québec : Laval, Valleyfield, Québec, Victoriaville, Trois-Rivières et Saguenay.

Les 6 milieux de vie seront construits grâce à de nouveaux investissements des gouvernements du Québec et du Canada de 135,1 M$. Cette somme est liée aux 992 M$ du gouvernement fédéral versés au Québec par l’entremise de l’Entente Canada-Québec concernant le Fonds pour accélérer la construction de logements (FACL) et aux nouveaux investissements équivalents annoncés par Québec lors de ses mises à jour économiques de 2023 et 2024.

Rappelons que la première phase du projet de Mission Unitaînés, entamée en 2024, visait à ajouter rapidement 1 100 logements abordables au parc immobilier québécois par la construction de 11 nouvelles résidences dans 11 villes différentes. La deuxième phase annoncée aujourd’hui s’inscrit dans la continuité des efforts déployés collectivement pour répondre à la demande croissante de logements abordables destinés aux personnes âgées autonomes à faible revenu.

La ministre responsable de l’Habitation, Mme France-Élaine Duranceau, a rappelé le caractère inédit et les avantages considérables de ce partenariat aux médias, en compagnie de M. Louis Villeneuve, député de Brome-Missisquoi, de Mme Julie Bourdon, mairesse de Granby, de M. Luc Maurice, président du conseil d’administration de Mission Unitaînés, et de Mme Caroline Sauriol, présidente-directrice générale de Mission Unitaînés.

Citations :

« Je l’ai dit souvent : il faut innover pour construire plus et mieux, surtout en contexte de crise du logement. J’étais convaincue que le partenariat avec Mission Unitaînés porterait fruit et aujourd’hui, je me réjouis de constater le résultat concret à Granby. Je me réjouis tout autant d’annoncer que 600 logements de plus sortiront de terre grâce à cette collaboration. C’est la preuve que notre gouvernement agit concrètement, de pair avec notre partenaire fédéral et les municipalités, pour mieux loger nos aînés au Québec. Ce projet était ambitieux et il continue de m’emballer, car il mobilise l’expertise des parties prenantes pour construire des logements de qualité et abordables dans des délais très rapides. Je suis résolue à livrer des résultats pour tous les Québécois. »

France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation et députée de Bertrand

« Notre gouvernement s’engage à aider les collectivités à élaborer des solutions locales aux défis en matière de logement. L’annonce d’aujourd’hui illustre ce qu’il est possible d’accomplir lorsque les gouvernements collaborent. C’est aussi un autre pas en avant dans notre plan audacieux et ambitieux pour bâtir un Canada fort. »

L’honorable Gregor Robertson, ministre du Logement et de l’Infrastructure et ministre responsable de Développement économique Canada pour le Pacifique

« Aujourd’hui, grâce à la collaboration entre les gouvernements du Québec et du Canada, la Ville de Granby et notre partenaire Mission Unitaînés, et grâce à leur engagement, nous franchissons une étape importante dans l’amélioration des conditions de vie des aînés. Le nouveau milieu de vie qu’on inaugure aujourd’hui est une preuve tangible de notre volonté de bâtir des communautés inclusives et solidaires, où chacun et chacune puisse vivre dans la dignité et en sécurité. »

François Bonnardel, député de Granby, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de l’Estrie

« Notre gouvernement est déterminé à soutenir les municipalités dans la recherche de solutions locales aux problèmes de logement. Ce projet permettra de répondre rapidement aux besoins pressants en logement des aînés, ici à Granby, mais aussi dans 6 autres villes à travers le Québec. En collaboration avec le gouvernement du Québec, les municipalités et Mission Unitaînés, nous contribuons à bâtir des collectivités plus fortes et un Canada plus solidaire pour toutes et tous. »

Louis Villeneuve, député de Brome-Missisquoi

« Ce projet incarne pleinement notre vision d’un Québec où chaque personne aînée a droit à un milieu de vie sécuritaire, abordable et inclusif. Grâce à ce partenariat ambitieux, nous répondons concrètement aux besoins des aînés à faible revenu, tout en favorisant leur inclusion sociale et leur qualité de vie. Ce projet est aussi en parfaite cohérence avec notre plan d’action La fierté de vieillir qui vise à créer des milieux de vie accueillants pour les personnes aînées. Je suis fière de constater que nos actions portent fruit et que notre gouvernement continue de livrer des résultats concrets pour celles et ceux qui ont bâti notre société le Québec. »

Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés, ministre déléguée à la Santé et ministre responsable de la région des Laurentides

« Je suis honorée que Granby soit la première ville au Québec à inaugurer un projet d’habitation signé Mission Unitaînés. Cet immeuble de 100 logements abordables situé au centre-ville de Granby permet à notre communauté de compter sur un nouveau milieu de vie pour les personnes aînées autonomes. Je tiens à remercier tous les partenaires pour leur engagement et leur collaboration exceptionnelle dans ce projet qui répond aux demandes de notre communauté et, particulièrement, à saluer le don philanthropique de M. Luc Maurice. Je remercie également l’expertise et la rigueur des services municipaux, qui ont su rapidement mettre en place les conditions de réalisation du projet. Nous franchissons, une fois de plus, une étape importante dans la bonification de l’offre de logements abordables dans notre région. Je suis aussi convaincue que la gestion réalisée ultérieurement par la Corporation Action Logements Granby assurera le succès du projet au sein de la communauté. J’en profite pour remercier sincèrement l’Office d’habitation de la Haute-Yamaska-Rouville, qui voit d’ores et déjà à l’accueil des premiers occupants. »

Julie Bourdon, mairesse de Granby

« C’est avec beaucoup de fierté que nous concrétisons aujourd’hui, par cette inauguration, la mission que nous nous étions donnée il y a moins de 2 ans d’offrir des logements de qualité, sécuritaires et accessibles financièrement aux personnes aînées les moins nanties de notre société. Nous sommes très fiers d’avoir réalisé cette vision et de savoir que, dès le mois prochain, des aînés pourront emménager dans cette bâtisse que nous avons construite, ensemble. Ce fut un partenariat efficace entre la Ville, les gouvernements, notre équipe, pour réaliser ce projet dans des délais et des coûts records. Cette vision se poursuivra avec une seconde phase, et nous sommes très reconnaissants de continuer sur cette lancée et de bientôt pouvoir offrir encore davantage de logements à plus de 1 800 personnes aînées du Québec. »

Luc Maurice, président du conseil d’administration de Mission Unitaînés

« Nous sommes fiers et ravis de collaborer avec la Ville de Granby et Mission Unitainés pour offrir des logements de qualité, accessibles à tous. Ce projet incarne notre vision d’un Granby plus solidaire, plus inclusif. Merci à tous nos partenaires pour leur engagement. »

Robert Riel, président du conseil d’administration de l’Office d’habitation de la Haute-Yamaska-Rouville

Développement éolien : Un partenariat historique pour l’Est-du-Québec


 Publié le 28 août 2025

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, les chefs de la Nation Mi’gmaq du Gespe’gewa’gi, Cheffe Céline Cassivi, Chef Scott Martin et Chef Roderick Larocque, le directeur général de la Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation (MMBC), M. Frédéric Vicaire, le président de l’Alliance de l’énergie de l’Est, M. Michel Lagacé, et la présidente-directrice générale d’Hydro-Québec, Mme Claudine Bouchard, annoncent la signature d’un partenariat entre les Mi’gmaq du Gespe’gewa’gi, actionnaires de la MMBC, l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec, visant le développement éolien du territoire des Mi’gmac de Gespe’gewa’gi, qui correspond à la Gaspésie et à l’Est du Bas-Saint-Laurent. Ce territoire pourrait accueillir jusqu’à 6 000 MW au cours des prochaines années.

Cette entente marque une nouvelle ère pour le développement énergétique de l’Est-du-Québec, reconnu comme le pôle stratégique de l’éolien au Québec. En plus des collectivités locales du territoire de Gespe’gewa’gi, qui profiteront des retombées du développement éolien, la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk bénéficiera également du partenariat, en tant que membre de l’Alliance de l’énergie de l’Est.

L’ampleur des projets envisagés représente des investissements pouvant atteindre 18 milliards de dollars, auxquels pourraient s’ajouter plusieurs milliards pour le prolongement du réseau de transport d’électricité en Gaspésie. Ces investissements généreront des retombées économiques et sociales majeures pour la région, notamment en matière de création d’emplois, de formation de la main-d’œuvre et de diversification des revenus des communautés et des municipalités.

La MMBC, l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec, en collaboration avec les communautés de Gespeg, Gesgapegiag et Listuguj, amorcent ainsi une démarche structurée et conjointe pour évaluer l’acceptabilité sociale et environnementale, ainsi que l’intégration des savoirs et priorités des Premières Nations dans le développement éolien dans le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie. Conscients des effets cumulés que cela peut entraîner, les partenaires mèneront des consultations auprès des Premières Nations et des parties prenantes afin d’assurer une intégration harmonieuse et responsable des projets.

Ce partenariat s’inscrit dans la stratégie du gouvernement et d’Hydro-Québec de développer plus de 10 000 MW de nouvelle capacité éolienne d’ici 2035, en collaboration avec les Premières Nations et les municipalités.

Rappelons qu’Hydro-Québec a également annoncé des partenariats de développement éolien pour un total pouvant atteindre 5 000 MW au Saguenay-Lac-Saint-Jean et au Bas-Saint-Laurent. Ces ententes représentent des investissements totaux de l’ordre de 15 milliards de dollars.

Le gouvernement du Québec et Hydro-Québec souhaitent doubler la production d’électricité verte au Québec d’ici 2050 pour répondre aux besoins additionnels et à la demande des entreprises qui souhaitent se décarboner. Dans le contexte de transition énergétique, le Québec dispose d’une occasion en or pour développer son économie et devenir une véritable puissance nord-américaine en matière d’énergie renouvelable.

Citations

« L’Est-du-Québec jouera un rôle de premier plan dans le développement énergétique du Québec. Avec Hydro-Québec, les Premières Nations et les municipalités, nous allons créer des milliers d’emplois et générer des retombées économiques significatives pour nos régions. Tout ça s’inscrit dans le plan très ambitieux de doubler la production d’électricité au Québec d’ici 2050. C’est ainsi que nous allons bâtir un Québec plus prospère. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Notre gouvernement s’assure de transformer les défis de la transition énergétique en occasions de développement économique pour nos régions. Ce qu’on annonce aujourd’hui va se traduire par la création d’emplois payants en Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et dans le Bas-Saint-Laurent, en plus de générer de l’énergie pour les entreprises de la région. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie

« Les projets comme celui annoncé aujourd’hui sont la concrétisation d’une relation fondée sur le respect et la collaboration, dont nous pouvons tous être fiers. Les Premières Nations et les Inuit, premiers témoins des changements climatiques, sont des partenaires incontournables dans la transition énergétique. Elles veulent faire partie de la solution. Collaborer sur ce chantier génère des retombées économiques importantes pour nos régions, les communautés autochtones, puis contribue à bâtir un Québec plus vert pour tous les Québécois. »

Ian Lafrenière, ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit

« Cette entente reflète notre vision commune d’un avenir énergétique durable à Gespe’gewa’gi. En tant que communautés mi’gmaq de Gesgapegiag, Gespeg et Listuguj, réunies au sein de la Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation, nous sommes fiers de nous associer à l’Alliance de l’énergie de l’Est et à Hydro-Québec pour faire progresser le développement de l’énergie éolienne sur notre territoire. Ce partenariat garantit que ces projets contribueront non seulement à la transition énergétique, mais qu’ils généreront également des retombées concrètes et durables pour notre peuple, notre territoire et les générations futures, tout en renforçant notre rôle de gardiens de la terre. »

Frédéric Vicaire, directeur général de la MMBC

« La création d’un partenariat qui inclue la Première Nation Mi’gmaq de Gespe’gewa’gi, l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec est un grand pas en avant qui permettra une exploration, et potentiellement, des développements éoliens durables et qui contribuent à la nécessaire transition énergétique. La participation aux développements énergétiques des communautés, tant autochtones qu’allochtones, est le moyen le plus pertinent afin d’être impliqués activement dans la grande démarche d’information, de consultations et d’acceptabilité sociale qui concernent le développement des territoires pour les communautés. Tout ça, en plus de nous permettre d’obtenir des retombées économiques importantes, tant pour les Premières Nations que les MRC impliquées qui seront utilisées au bénéfice des populations selon les priorités de ces entités. »

Michel Lagacé, président de l’Alliance de l’énergie de l’Est

« Ce partenariat structurant constitue une avancée majeure pour un développement éolien durable et concerté. Les développements éventuels renforceront la vitalité économique de l’Est-du-Québec et contribueront à répondre à la demande croissante en électricité de nos clients. Aux côtés des communautés Mi’gmaq de Gespe’gewa’gi et de l’Alliance de l’énergie de l’Est, Hydro-Québec réaffirme son engagement à établir des partenariats porteurs afin de favoriser l’implantation de futurs parcs éoliens au bénéfice des Premières Nations et des collectivités. »

Claudine Bouchard, présidentedirectrice générale, Hydro-Québec

Plus de 1,9 M$ pour bonifier l’offre touristique d’Extéria Terrain d’aventures


 Publié le 28 août 2025

La ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière, Mme Caroline Proulx, et le député de Drummond-Bois-Francs, M. Sébastien Schneeberger, sont fiers d’annoncer un appui financier de 1 940 000 $ pour soutenir le développement de l’offre d’Extéria Terrain d’aventures.

Le projet consiste à implanter un parc thématique dans un cadre naturel. Accessible à tous, la nouvelle expérience immersive se nommera Le Bois des lutins. Plus précisément, cette initiative comprend :

  • l’acquisition et l’installation des attractions aériennes et au sol ainsi que des décors;
  • la mise en place d’un kiosque préfabriqué pour l’accueil;
  • l’aménagement de sentiers, d’un stationnement et d’espaces pour la restauration et la détente.

Fondé en 2006, Extéria Terrain d’aventures est un organisme à but non lucratif situé à Drummondville. Son objectif principal est d’offrir aux familles une variété d’activités de plein air pour s’amuser et bouger, dont des parcours d’hébertisme aérien, de la glissade sur tube, du vélo à roues surdimensionnées et de la raquette.

L’industrie touristique joue un rôle économique important dans le Centre-du-Québec. On y compte près de 580 entreprises, représentant quelque 8 620 emplois. Selon les données les plus récentes, la contribution des secteurs associés au tourisme s’élevait à 364 millions de dollars dans la région.

Citations :

« Pour que le tourisme enrichisse davantage nos régions comme le Centre-du-Québec, nous avons besoin d’entreprises et d’organismes qui proposent des produits uniques et attrayants. Avec cette initiative, Extéria Terrain d’aventures aura une offre encore plus riche, ce qui permettra d’augmenter l’achalandage et les retombées économiques pour le milieu. Notre gouvernement continuera d’appuyer des projets porteurs qui contribuent à la croissance durable de l’industrie. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Lanaudière

« Bouger, repousser ses limites et profiter des plaisirs extérieurs illustrent parfaitement la mission d’Extéria Terrain d’aventures. C’est cette vision qui a assuré son succès dans notre communauté et au-delà. Je me réjouis de la bonification annoncée aujourd’hui, qui viendra soutenir et enrichir l’offre touristique de plein air du Centre-du-Québec. »

André Lamontagne, député de Johnson, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec 

« Extéria Terrain d’aventures est un attrait très apprécié dans la région. En plus de permettre à nos familles de bouger et de s’amuser, cet endroit attire à Drummondville des visiteurs qui participent au dynamisme de l’économie locale. Avec ce soutien, notre gouvernement démontre encore une fois qu’il est présent pour appuyer l’industrie touristique du Centre-du-Québec, contribuant ainsi à générer des retombées qui bénéficient à notre communauté. »

Sébastien Schneeberger, député de Drummond-Bois-Francs

« C’est avec beaucoup de fierté et d’enthousiasme que nous accueillons cet appui financier majeur puisqu’il vient concrétiser des années de travail, de passion et de vision partagée avec nos partenaires. Le Bois des lutins marquera une nouvelle étape importante dans le développement d’Extéria Terrain d’aventures. Il donnera un second souffle à notre organisation et nous permettra d’élargir notre offre de services pour notre clientèle actuelle et de rejoindre encore mieux les familles avec un produit qui leur est totalement destiné. Je tiens à remercier tous les gens qui ont contribué de près ou de loin à la concrétisation de ce projet récréotouristique novateur pour la région. »

Yanik Lefebvre, président d’Extéria Terrain d’aventures

Québec renouvelle son appui à Ouranos pour faire avancer la recherche sur l’adaptation aux changements climatiques


 Publié le 28 août 2025

Le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, M. Benoit Charette, annonce l’octroi d’une subvention de 17,8 M$ à Ouranos, afin de soutenir ses travaux de recherche sur l’adaptation aux changements climatiques au Québec.

La population québécoise vit déjà les conséquences bien réelles des changements climatiques, qu’il s’agisse d’inondations répétées ou de pertes agricoles qui fragilisent nos communautés. Le gouvernement est pleinement conscient de l’urgence climatique et prend des mesures concrètes pour y faire face. La subvention annoncée permettra non seulement de renforcer l’expertise québécoise en gestion des risques climatiques, mais aussi d’accélérer le déploiement de solutions concrètes pour protéger notre territoire, soutenir nos producteurs et renforcer la résilience de notre société.

Créé en 2001 avec l’appui du gouvernement du Québec, le consortium Ouranos joue un rôle central dans la production de connaissances et le développement d’outils pour soutenir l’adaptation aux changements climatiques. Ses travaux sont essentiels pour guider les actions du gouvernement, du secteur privé ainsi que des municipalités, qui devront toutes avoir un plan climat d’ici 2030.

Citations :

« Notre gouvernement est conscient que les changements climatiques frappent déjà nos communautés et notre territoire. Pour y faire face, nous devons nous appuyer sur une expertise de pointe. Avec cette subvention qui vient appuyer les travaux d’Ouranos, notre gouvernement renforce cette expertise afin de bâtir un Québec plus résilient. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs

« Les récents événements climatiques extrêmes survenus au Québec, à l’image des catastrophes observées partout dans le monde, nous rappellent avec force que les impacts des changements climatiques sont de plus en plus concrets et coûteux, se chiffrant désormais en milliards de dollars annuellement. Le refinancement d’Ouranos par le gouvernement arrive à un moment crucial. C’est une reconnaissance essentielle de l’importance de s’appuyer sur une science robuste et avancée pour réduire les impacts croissants des changements climatiques sur la santé et la sécurité de la population, nos infrastructures et notre économie. Nous sommes déterminés à mettre à profit cet investissement pour accélérer le développement et la mise en œuvre de solutions fondées sur les meilleures connaissances scientifiques, afin de renforcer la résilience de notre société face aux défis climatiques à venir. »

Alain Bourque, directeur général d’Ouranos

Faits saillants :

  • Fort d’un réseau de quelque 450 scientifiques et professionnels issus de différentes disciplines, le consortium Ouranos se concentre sur la science du climat, les vulnérabilités, les impacts et l’adaptation. Il vise l’acquisition et le développement de connaissances sur les changements climatiques et leurs impacts, ainsi que sur les vulnérabilités socioéconomiques et environnementales, de façon à informer les décideurs sur l’évolution du climat et à les conseiller pour identifier, évaluer, promouvoir et mettre en œuvre des stratégies d’adaptation locales et régionales.
  • Le soutien gouvernemental est accordé dans le cadre de l’action « Renforcer l’expertise et la capacité du Consortium sur la climatologie régionale et l’adaptation aux changements climatiques » du Plan pour une économie verte 2030, dont le financement provient principalement des revenus générés par le marché du carbone.

Québec appuie l’expansion de GE Vernova à Sorel-Tracy


 Publié le 27 août 2025

Le député de Richelieu, M. Jean-Bernard Émond, au nom de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional, Mme Christine Fréchette, annonce 2,5 millions de dollars pour l’agrandissement de l’usine de fabrication et de conditionnement de turbines hydroélectriques de GE Vernova à Sorel-Tracy, en Montérégie.

Ce projet de 16,2 millions de dollars vise notamment la modernisation de l’atelier mécanique, y compris le réaménagement du bâtiment en vue d’optimiser l’espace de production. Il créera en tout 28 emplois, en plus d’en consolider 75 autres, et augmentera la productivité de l’entreprise.

Dans le contexte économique actuel, le gouvernement du Québec est fier d’appuyer les entreprises qui investissent dans la modernisation et l’automatisation de leurs installations afin d’assurer leur compétitivité à l’échelle internationale.

Citations

« À travers le monde, GE Vernova est un acteur majeur de la transition énergétique en cours. Grâce à l’accroissement de ses activités à Sorel-Tracy, son projet l’amènera à répondre à la forte demande en hydroélectricité, notamment pour les projets de modernisation au Canada, au bénéfice de l’économie chez nous, dans Richelieu. Je félicite toute l’équipe pour son excellent travail et pour sa détermination à faire de GE Vernova une entreprise prospère de la Montérégie! »

Jean-Bernard Émond, député de Richelieu

« Le Québec compte dans ses rangs plusieurs entreprises dynamiques et reconnues mondialement comme GE Vernova. En plus de contribuer directement à la transition énergétique chez nous, avec ses turbines hydroélectriques performantes, elle participe grandement à la vigueur économique et sociale de la région montérégienne et du Québec. Notre gouvernement appuie donc son projet avec fierté jusqu’à hauteur de 2,5 millions de dollars! »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie et ministre responsable du Développement économique régional

« Notre usine GE Vernova à Sorel-Tracy, qui existe depuis près de soixante-dix ans, joue un rôle essentiel pour répondre à la demande croissante d’hydroélectricité au Canada. Je suis ravie d’annoncer aujourd’hui cet investissement, et de ce soutien pour agrandir l’usine et installer de nouvelles machines d’usinage à grande échelle. Celles-ci amélioreront notre capacité à fournir des composants complexes aux projets hydroélectriques, et nous permettront de créer au Québec des dizaines d’emplois techniques spécialisés, directs et indirects, et bien rémunérés. »

Heather Chalmers, présidente et chef de la direction de GE Vernova Canada et présidente de GE Vernova Hydro Power Amérique du Nord

Faits saillants

  • GE Vernova est une société énergétique mondiale s’appuyant sur plus de cent-trente années d’expérience dans la résolution des défis mondiaux. Elle occupe une position unique pour contribuer à la transition énergétique en continuant d’électrifier le monde tout en œuvrant simultanément à sa décarbonisation. GE Vernova compte plus de 80 000 employés dans plus de 140 pays à travers le monde.
  • L’aide financière, accordée sous forme de prêt, provient du programme ESSOR, administré par Investissement Québec à titre de mandataire du gouvernement.