Politique de la réussite éducative : Belle prestation, peu de décisions


 Publié le 21 juin 2017

Après avoir sondé pendant des mois le milieu de l’éducation et la population québécoise, le gouvernement libéral repousse à nouveau les grandes décisions et retourne en consultation, a déploré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge.

Selon le député caquiste, Sébastien Proulx est devenu mercredi le ministre des comités. Sa très attendue politique de la réussite éducation se résume assez facilement : 4 plans d’action, 3 stratégies gouvernementales, 3 chantiers, 2 tables de concertation et 1 groupe de travail. Pourtant, le Québec en a assez des belles intentions et des phrases creuses, a souligné Jean-François Roberge, qui aurait souhaité voir Philippe Couillard et Sébastien Proulx mettre en place des mesures concrètes, notamment pour les enfants en difficulté et pour les enseignants.

Au pouvoir depuis près de 15 ans, les libéraux n’ont cessé de se défiler des grands enjeux touchant l’éducation. Il est temps de donner de l’espoir à tous les acteurs du réseau et de prendre les décisions qui s’imposent pour assurer la réussite et l’accomplissement de nos jeunes et des prochaines générations.

Rappelons que la CAQ s’engage à offrir à tous les parents du Québec la possibilité d’envoyer leur enfant de 4 ans à la prématernelle, afin de dépister plus rapidement tous les enfants aux prises avec des difficultés d’apprentissage, en plus d’implanter l’école jusqu’à 18 ans ou diplomation et d’ajouter des professionnels dans les classes.

Dépôt d’un projet de loi : La CAQ veut garantir la liberté de choix des parents dans le choix de l’école de leurs enfants


 Publié le 15 juin 2017

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a déposé jeudi à l’Assemblée nationale le projet de loi 898, qui vise à donner aux parents plus de liberté pour choisir l’école de leurs enfants.

Selon le député caquiste, il ne fait aucun doute que les parents sont les seuls à pouvoir déterminer l’école la mieux adaptée aux besoins de leurs enfants. Pourvu qu’il y ait de la place dans l’école souhaité et que les parents assument le transport scolaire, il n’y a aucune raison qui justifie l’interdiction à des parents d’envoyer leur enfant à l’école de leur choix.

Jusqu’à maintenant, le gouvernement libéral a refusé d’écouter les parents d’élèves, puisqu’aux yeux du ministre Sébastien Proulx, ce sont les commissions scolaires et uniquement elles qui doivent assurer la répartition des élèves. Jeudi matin, au Salon bleu, Sébastien Proulx a refusé de se prononcer et préféré une fois de plus défendre de vieilles règles bureaucratiques. La CAQ, elle, met plutôt ses énergies au bénéfice des parents.

Pour mettre de la pression sur le gouvernement, la CAQ a mis en ligne une pétition pour inviter les parents à appuyer le projet de loi 898 : www.monecolemonchoix.com

Écoles religieuses illégales : La CAQ veut faire intervenir la DPJ


 Publié le 1 juin 2017

La Coalition Avenir Québec a déposé, jeudi à l’Assemblée nationale, le projet de loi 897 afin de donner plus de mordant à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) et lui permettre d’intervenir pour assurer à tous les enfants, peu importe la religion de leur parent, une scolarisation qui répond aux valeurs québécoises et aux normes du ministère de l’Éducation.

Selon les députés Jean-François Roberge et Sébastien Schneeberger, instigateurs du projet de loi, les concepts de négligence et de scolarisation prévue actuellement dans la Loi sur la protection de la jeunesse sont trop flous et donnent carte blanche à certains milieux religieux pour scolariser des enfants sans suivre le cursus scolaire conforme aux exigences du gouvernement et valeurs québécoises.

Roberge et Schneeberger demandent au gouvernement libéral de saisir cette opportunité et d’enfin régler le problème grandissant des écoles religieuses clandestines. La solution du Parti libéral, qui a été de conclure des ententes avec certaines de ces écoles afin que les enfants puissent être scolarisés à la maison, ne fonctionne visiblement pas, puisque les cas d’enfants privés d’une éducation de qualité ne cessent de se multiplier.

Taxes scolaires en Outaouais : La CAQ demande au gouvernement Couillard d’empêcher la hausse


 Publié le 30 mai 2017

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, doit mettre son pied à terre et annoncer clairement aux familles de l’Outaouais qu’elles ne paieront pas des hausses de taxes scolaires de près de 11 % à compter de l’an prochain, a exigé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge.

Les contribuables de l’Outaouais qui paient leurs taxes aux quatre commissions scolaires francophones de la région n’ont pas à être pénalisés pour le manque de leadership du ministre Proulx.

Roberge a rappelé que Sébastien Proulx n’a toujours pas trouvé de solution aux problèmes que lui ont soulevés les dirigeants des commissions scolaires il y a plus d’un mois. Rappelons que de plus en plus de contribuables de la région choisissent de payer leurs taxes à la commission scolaire anglophone, où le taux de taxation est beaucoup plus bas.

La hausse prévue des taxes scolaires avoisine les 11 %, alors que les services aux élèves ont durement écopé sous le règne libéral. Jean-François Roberge est d’avis que les députés libéraux de l’Outaouais doivent faire pression sur Sébastien Proulx afin qu’il empêche les commissions scolaires d’augmenter les taxes scolaires au-delà de l’inflation.

Éducation : La CAQ demande une directive ministérielle pour mettre fin au phénomène des notes gonflées


 Publié le 25 mai 2017

Le cirque a assez duré, a tonné le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, après avoir consulté les résultats d’un sondage réalisé auprès d’enseignants sur l’enjeu des notes gonflées.

À la veille des examens ministériels et de fins d’années, Jean-François Roberge exige du ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, qu’il mette ses culottes en posant deux gestes forts : mettre fin immédiatement au gonflage des notes aux examens ministériels (58 et 59 % montés à 60 %) et envoyer une directive ministérielle à tous les acteurs du réseau pour que cesse immédiatement le phénomène démontré des notes gonflées et falsifiées.

Pour le député de Chambly, les professeurs doivent être les seuls maîtres pour décider des notes de leurs élèves. Cela relève de leur autonomie professionnelle.

900 nouvelles ressources : De la poudre aux yeux, dénonce la CAQ


 Publié le 11 mai 2017

Alors qu’il avait promis l’embauche de près de 900 ressources partout au Québec pour offrir des services directs aux élèves, le ministre de l’Éducation Sébastien Proulx n’a en réalité ajouté que 111 postes professionnels dans le réseau durant la dernière année scolaire, soit à peine 13 % des embauches effectuées. En contrepartie, plus du quart des embauches annoncées sont pour du personnel de soutien.

Le réseau a pourtant cruellement besoin d’orthophonistes, d’orthopédagogues, de psychologues, de psychoéducateurs et de conseillers d’orientation pour venir en aide aux élèves les plus vulnérables et mettre fin aux longs délais dans le diagnostic des troubles et difficultés d’apprentissage, soutient le député de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge. Le gouvernement libéral a beau faire croire qu’il a embauché 900 nouvelles ressources en services directs aux élèves, dans les faits, il embauche du personnel de soutien, mais trop peu de professionnels.

Si le ministre veut vraiment ajouter des services pour les élèves en difficultés, il doit donner aux commissions scolaires une ligne directrice claire et exiger l’embauche de ressources professionnelles, a lancé le député caquiste.

Notes gonflées : La CAQ réclame la fin du nivellement vers le bas


 Publié le 2 mai 2017

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, exige du ministre Sébastien Proulx qu’il rétablisse la note de passage à 60 % dans les établissements scolaires en vue des examens ministériels de juin prochain.

Selon le député caquiste, il est primordial de mettre fin au nivellement vers le bas et de ce qu’il qualifie de « traficotage » des notes, à la veille des examens de fin d’année. Le gouvernement libéral doit s’engager à tout mettre en œuvre pour non seulement soutenir les enseignants, mais mener tous les élèves du Québec vers une véritable réussite.

Cette demande de la CAQ survient après que le ministre de l’Éducation ait révélé au grand public, la semaine dernière, que pour les examens obligatoires de son ministère, les notes de 58 % et 59 % sont systématiquement majorés à 60 %.

Bureaucratie scolaire : Les parents doivent pouvoir choisir l’école de leurs enfants


 Publié le 11 avril 2017

La Coalition Avenir Québec interpelle le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, pour que les commissions scolaires ne puissent plus imposer aux parents le choix de l’établissement scolaire fréquenté par leurs enfants, a déclaré le député de Chambly, Jean-François Roberge.

Les commissions scolaires sont un obstacle bureaucratique injustifié à la liberté de choix des parents. La CAQ l’a démontré à nouveau, mardi, alors que M. Roberge était accompagné de parents qui désirent que leurs enfants puissent fréquenter une école en dehors des limites territoriales de leur commission scolaire. Le député caquiste a notamment déploré que les critères de proximité et de fratrie ne soient même pas considérés.

Chantal Soucy rend hommage à la municipalité de La Présentation


 Publié le 30 mars 2017

Le 29 mars dernier, la députée Chantal Soucy a rendu hommage aux élus de la municipalité de La Présentation, dans une déclaration prononcée à l’Assemblée nationale.

« Alors que les budgets des Commissions scolaires sont réduits, que les classes débordent et que des centaines d’élèves sont relocalisés chaque année, la municipalité de La Présentation a décidé de prendre la situation en main. Les élus ont choisi de construire un centre multisports adjacent à l’école, qui abritera deux nouvelles classes pour répondre aux besoins des familles de leur communauté », a affirmé Chantal Soucy. « Non seulement ce projet permettra aux citoyens de bénéficier de plus de services en sports et loisirs, mais il évitera également aux enfants de La Présentation d’être déracinés et relocalisés vers les écoles des municipalités voisines », a-t-elle poursuivi, soulignant la sensibilité et le leadership des élus de La Présentation dans ce dossier.

Le maire de La Présentation, M. Claude Roger, les conseillers municipaux, Mme Mélanie Simard et M. Rosaire Phaneuf, ainsi que la directrice générale, Mme Josiane Marchand, étaient dans les tribunes pour assister à l’hommage de Chantal Soucy. Ils ont également profité de l’invitation pour visiter l’Assemblée nationale, partager un repas avec leur députée et assister à la période de questions.

« Je suis très honoré de l’hommage que nous a rendu Mme Soucy aujourd’hui. La construction de notre centre multisports est le résultat d’un travail d’équipe exceptionnel. La délocalisation de nos élèves est un dossier qui nous préoccupait depuis longtemps et nous avons saisi cette opportunité pour changer les choses. Je pense que nous pouvons tous être fiers de ce projet qui, j’en suis certain, répondra adéquatement aux besoins des familles de notre municipalité. Nous avons bien hâte d’inaugurer nos nouvelles installations ! » a commenté le maire de La Présentation.

Financement des cégeps en région : La CAQ fait bouger le gouvernement libéral


 Publié le 23 mars 2017

Le député de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, a obtenu la confirmation de la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, qu’elle procédera rapidement à la révision de la formule de financement des cégeps en région pour garantir leur survie.

Il y a un an, la Fédération des cégeps sonnait l’alarme dans une lettre destinée à la ministre, l’implorant de revoir la formule de financement afin de tenir compte de la réalité des cégeps régionaux. La ministre s’était engagée à se mettre au travail… en 2016.

La Fédération a remis au gouvernement libéral un rapport, le 9 février dernier, pour lequel un accusé de réception n’a même pas été envoyé. Il aura finalement fallu une question à l’Assemblée nationale du porte-parole caquiste en matière d’éducation pour faire bouger le gouvernement.