Taux de diplomation : Philippe Couillard incapable de se fixer un réel objectif


 Publié le 28 novembre 2017

Alors que l’Ontario a réussi au cours des 15 dernières années à faire grimper son taux de diplomation pour les élèves au secondaire à 86,5 %, le Québec ne parvient pas toujours pas à suivre la cadence, a déploré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Philippe Couillard a souhaité vouloir rattraper l’Ontario, mais refuse de dire quand il y parviendra, a-t-il dénoncé.

Quand le Parti libéral est arrivé au pouvoir en 2003, le taux de diplomation au secondaire était d’à peine 70 %, le même qu’en Ontario. Aujourd’hui, l’Ontario possède un taux de 86,5 %, alors que celui du Québec est de seulement 75 %. Pour François Legault, derrière ce chiffre se cachent des milliers d’enfants qui n’ont pas eu la chance d’aller au bout de leur potentiel.

Philippe Couillard a affirmé vouloir rattraper l’Ontario. Ce qu’il semble oublier, c’est que son gouvernement vise dans sa politique de la réussite éducative un taux de diplomation de 85 % en 2030, soit l’objectif atteint l’Ontario en 2015. Sous les libéraux, le Québec a voué à avoir au moins 15 ans de retard sur l’Ontario, a regretté François Legault.

Le chef caquiste a également rappelé que le taux de décrochage scolaire au Québec est le double de celui de l’Ontario, un autre héritage laissé par les 15 années de gouvernement libéral. Il est grand temps pour Philippe Couillard de se doter d’une vraie vision pour faire de l’éducation un investissement à long terme pour le Québec.

Maternelle 4 ans : Sébastien Proulx contredit par la Vérificatrice générale


 Publié le 28 novembre 2017

 Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx s’est fait démasquer par la Vérificatrice générale : ce ne sont pas les enfants les plus défavorisés qui bénéficient des classes de prématernelle 4 ans. Pour le député de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, cela démontre une fois de plus à quel point le bilan du gouvernement libéral en éducation ne repose que sur des annonces marketing qui ne se concrétisent pas sur le terrain.

Dans son rapport déposé il y a 5 jours, la Vérificatrice générale a dressé un constat choquant d’une des mesures phares du gouvernement Couillard : « La mesure pour la maternelle quatre ans à temps plein n’est accessible qu’aux écoles ayant des locaux disponibles (…). Ce n’est donc pas nécessairement les enfants les plus défavorisés qui en bénéficient ».

Pourtant, le gouvernement libéral prétend publiquement que le déploiement de la maternelle 4 ans se fait « pour les enfants en milieu défavorisé », a fait savoir M. Roberge. Le critique caquiste en éducation, Jean-François Roberge, a dénoncé le marketing politique libéral fait autour de l’éducation.

Formation préparatoire au travail : Sébastien Proulx défend les commissions scolaires


 Publié le 16 novembre 2017

Confronté à des témoignages et des cas précis d’élèves forcés de suivre le programme de formation préparatoire au travail (FPT), le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, refuse toujours d’envoyer une directive claire aux commissions scolaires pour que celles-ci cessent d’empêcher des jeunes d’accéder à un diplôme d’études secondaires.

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a talonné le ministre Proulx à l’Assemblée nationale, réaffirmant qu’il est inacceptable que des jeunes soient exclus de la formation générale et placés en FPT sans leur consentement ni celui de leurs parents. Ce programme ne répond ni à leurs intérêts ni à leurs besoins, a affirmé M. Roberge, qui a accueilli à Québec cette semaine de nombreux étudiants concernés.

Tout comme le Regroupement des organismes communautaires autonomes jeunesse du Québec, le député de Chambly souligne que cette situation est intenable. Il a souligné avoir été surpris et déçu d’entendre le ministre de l’Éducation dire que le FPT, « parfois, c’est le seul programme ». Pour la CAQ, c’est simple : la formation générale doit demeurer accessible pour tout jeune qui souhaite poursuivre son parcours vers le diplôme d’études secondaires.

Formation préparatoire au travail : Une voie de garage forcée pour des jeunes en difficulté, dénonce la CAQ


 Publié le 13 novembre 2017

Accompagné de plusieurs jeunes venus jusqu’à Québec pour témoigner, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, demande au ministre Sébastien Proulx d’agir et de faire en sorte que plus aucun jeune ne puisse être placé dans un programme de Formation préparatoire au travail (FPT) contre sa volonté ou celle de ses parents.

Bien qu’il s’avère pertinent pour certains jeunes aux prises avec des difficultés, le programme FPT est actuellement imposé de force à des étudiants qui ne souhaitent pas s’y retrouver. Selon le caquiste Jean-François Roberge, la FPT est malheureusement devenue la voie de garage du réseau de l’éducation, alors que ces jeunes âgés entre 15 et 18 ans y voient un obstacle à leur avenir académique et professionnel.

Le député de Chambly a invité Sébastien Proulx à rappeler à l’ordre les commissions scolaires en émettant immédiatement une directive stipulant clairement qu’un jeune qui ne souhaite pas suivre une FPT ne devrait pas être contraint de le faire. M. Roberge a souligné que les conséquences sont trop importantes. En effet, une fois le programme entamé, il n’y a aucun retour possible vers le parcours régulier. De plus, un certificat en FPT n’a que très peu de valeur sur le marché du travail.

Il est temps de mettre fin à cette dérive du réseau de l’éducation et de faire respecter la Loi sur l’instruction publique, qui prévoit pourtant le libre choix aux étudiants.

Projet de loi 144 : Les libéraux en voie de légaliser les écoles religieuses illégales


 Publié le 8 novembre 2017

Philippe Couillard persiste et signe : les enfants scolarisés à la maison, notamment pour des raisons religieuses, n’auront pas à suivre le programme ni à passer les examens du ministère de l’Éducation. Pour François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec, le gouvernement libéral manque à son devoir de protéger des milliers d’enfants en leur assurant une éducation de qualité et digne de ce nom.

Le projet de loi 144 ouvre une brèche dangereuse, s’est inquiété M. Legault, puisque les parents qui choisissent de faire l’école à la maison pour leur enfant, entre autres pour des raisons religieuses, pourront le faire sans enseigner des matières essentielles comme l’histoire et la science. Pire : Philippe Couillard ouvre la porte aux écoles religieuses qui jusqu’à hier étaient illégales et clandestines.

Le chef caquiste a ajouté que le gouvernement libéral ne peut fermer les yeux face à cette situation, puisque l’école à la maison est un phénomène grandissant au Québec, alors que depuis 5 ans, le nombre de parents qui scolarisent leur enfant chez eux a doublé.

Projet de loi 144 : Sébastien Proulx trace la voie pour l’accès aux écoles religieuses illégales


 Publié le 26 octobre 2017

Sébastien Proulx propose dans son projet de loi un mode d’emploi pour avoir accès aux écoles religieuses illégales

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, n’en revient tout simplement pas que Sébastien Proulx permettra à des enfants de fréquenter une école religieuse sans suivre un programme scolaire digne de ce nom. La scolarisation à la maison, selon la vision du Parti libéral, ne comprend ni cours d’histoire, niscience, ni examens ministériels.

Le député de Chambly a déposé plusieurs amendements pour qu’un enfant scolarisé à la maison soit exposé à l’ensemble du programme du ministère, passe des examens ministériels et voit minimalement quelques notions de science et d’histoire. Ils ont tous été refusés par le ministre Proulx. Avec le projet de loi 144, le ministre ouvre une voie légale aux écoles religieuses qui jusqu’à hier étaient illégales et clandestines.

Deux poids deux mesures : Sébastien Proulx laisse tomber les enfants scolarisés à la maison


 Publié le 4 octobre 2017

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, refuse d’inscrire dans son projet de loi 144 sur l’instruction publique l’obligation pour tous les enfants scolarisés à la maison de :

  • Suivre le cursus scolaire et les programmes d’études établis par le Ministère ;
  • Passer les examens ministériels nécessaires pour l’obtention d’un diplôme.

Le député de Chambly pour la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, a talonné Sébastien Proulx lors de la période des questions, puis en commission parlementaire, mais celui-ci persiste dans son entêtement.

Les parents ont le droit de faire le choix de l’école à la maison, mais le gouvernement a le devoir de l’encadrer sérieusement, estime M. Roberge. La vision actuellement défendue par le ministre Proulx est inacceptable : pas de programme, pas d’examen, pas de diplôme. En somme, le ministre propose de laisser à eux-mêmes des enfants scolarisés à la maison, sans suivre de cursus et ultimement, sans diplôme. Pour le caquiste Jean-François Roberge, c’est non négociable : l’éducation à domicile doit conduire à un diplôme.

Il est au courant depuis 10 ans : Le gouvernement libéral tolère les frais abusifs dans les écoles


 Publié le 21 septembre 2017

Lors de la période des questions à l’Assemblée nationale, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge, a dévoilé un rapport de la Commission des droits de la personne confirmant que les commissions scolaires imposent des « pratiques et frais illégaux ou non conformes » relativement aux matériel et transport scolaire et recommande même « de les abolir immédiatement ». Le hic : c’est un rapport qui date de 2007!

Le député de Chambly n’en revient pas que les libéraux sont au courant de cette pratique depuis maintenant dix ans et ont refusé de s’y attaquer. Jean-François Roberge a indiqué qu’à la CAQ, c’est clair : un gouvernement en 2018 versera 100 $ par élève à toutes les écoles du Québec pour qu’elles achètent les fournitures scolaires. Il est impératif de libérer les parents du fardeau qui leur est imposé chaque rentrée scolaire.

Politique de la réussite éducative : Belle prestation, peu de décisions


 Publié le 21 juin 2017

Après avoir sondé pendant des mois le milieu de l’éducation et la population québécoise, le gouvernement libéral repousse à nouveau les grandes décisions et retourne en consultation, a déploré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge.

Selon le député caquiste, Sébastien Proulx est devenu mercredi le ministre des comités. Sa très attendue politique de la réussite éducation se résume assez facilement : 4 plans d’action, 3 stratégies gouvernementales, 3 chantiers, 2 tables de concertation et 1 groupe de travail. Pourtant, le Québec en a assez des belles intentions et des phrases creuses, a souligné Jean-François Roberge, qui aurait souhaité voir Philippe Couillard et Sébastien Proulx mettre en place des mesures concrètes, notamment pour les enfants en difficulté et pour les enseignants.

Au pouvoir depuis près de 15 ans, les libéraux n’ont cessé de se défiler des grands enjeux touchant l’éducation. Il est temps de donner de l’espoir à tous les acteurs du réseau et de prendre les décisions qui s’imposent pour assurer la réussite et l’accomplissement de nos jeunes et des prochaines générations.

Rappelons que la CAQ s’engage à offrir à tous les parents du Québec la possibilité d’envoyer leur enfant de 4 ans à la prématernelle, afin de dépister plus rapidement tous les enfants aux prises avec des difficultés d’apprentissage, en plus d’implanter l’école jusqu’à 18 ans ou diplomation et d’ajouter des professionnels dans les classes.

Dépôt d’un projet de loi : La CAQ veut garantir la liberté de choix des parents dans le choix de l’école de leurs enfants


 Publié le 15 juin 2017

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a déposé jeudi à l’Assemblée nationale le projet de loi 898, qui vise à donner aux parents plus de liberté pour choisir l’école de leurs enfants.

Selon le député caquiste, il ne fait aucun doute que les parents sont les seuls à pouvoir déterminer l’école la mieux adaptée aux besoins de leurs enfants. Pourvu qu’il y ait de la place dans l’école souhaité et que les parents assument le transport scolaire, il n’y a aucune raison qui justifie l’interdiction à des parents d’envoyer leur enfant à l’école de leur choix.

Jusqu’à maintenant, le gouvernement libéral a refusé d’écouter les parents d’élèves, puisqu’aux yeux du ministre Sébastien Proulx, ce sont les commissions scolaires et uniquement elles qui doivent assurer la répartition des élèves. Jeudi matin, au Salon bleu, Sébastien Proulx a refusé de se prononcer et préféré une fois de plus défendre de vieilles règles bureaucratiques. La CAQ, elle, met plutôt ses énergies au bénéfice des parents.

Pour mettre de la pression sur le gouvernement, la CAQ a mis en ligne une pétition pour inviter les parents à appuyer le projet de loi 898 : www.monecolemonchoix.com