Société de transport de Montréal : Des contrats qui auraient dû profiter aux entreprises québécoises


 Publié le 7 mai 2018

Récemment, on a vu le premier ministre Philippe Couillard annoncer des millions, voire des milliards de dollars, en investissement dans les transports routiers et collectifs, dans le cadre de sa Politique de mobilité durable. On apprenait toutefois ce matin que la Société de transport de Montréal (STM) a donné le contrat d’électrifier une partie de sa flotte d’autobus à une multinationale britannique, alors que deux entreprises de chez nous ont les ressources et l’expertise nécessaires pour livrer la commande, en respectant les coûts et les normes environnementales.

 

La Coalition Avenir Québec demande formellement à Philippe Couillard et à ses ministres des Transports et de l’Économie, André Fortin et Dominique Anglade, de s’activer et rapidement s’assurer de mettre en place un environnement qui va permettre à nos entreprises de  profiter pleinement des investissements prévus pour les 15 ou 20 prochaines années.

 

Pour la CAQ, il est essentiel de voir plus loin que les appels d’offres ponctuels. L’obtention de contrats locaux permettrait à nos entreprises québécoises de prospérer, de poursuivre leur développement, et de se tailler une place de choix dans le marché international. Malheureusement, elles sont négligées par le gouvernement libéral qui s’obstine à ne pas les soutenir pour qu’elles puissent bénéficier des retombées économiques de projets majeurs.

Éric Girard portera les couleurs de la CAQ dans Lac-Saint-Jean


 Publié le 4 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que le vice-président de la Fédération régionale de l’Union des producteurs agricoles (UPA) du Saguenay–Lac-Saint-Jean et ancien maire de Saint-Nazaire, Éric Girard, sera le candidat de sa formation politique dans la circonscription de Lac-Saint-Jean lors de la prochaine élection générale. M. Legault se réjouit de pouvoir compter sur cet agriculteur engagé qui a à cœur l’avenir et le développement de sa région.

François Legault explique que c’est en grande partie pour défendre les agriculteurs et les familles du Lac qu’Éric Girard, aussi copropriétaire d’une entreprise agricole, a décidé de se joindre à l’équipe de la CAQ. « Éric est un homme bien connu dans la région pour sa grande implication, notamment dans l’industrie agricole. On oublie trop souvent que les producteurs agricoles sont aussi des entrepreneurs. Ce que je souhaite le 1er octobre prochain, c’est un gouvernement d’entrepreneurs. Des entrepreneurs qui vont gérer l’argent des Québécois comme si c’était le leur. Et nous aurons besoin du maximum d’élus d’ici, pour que la région soit bien représentée au sein du gouvernement », a déclaré le chef de la CAQ.

Pour Éric Girard, cette nouvelle aventure est une suite logique, une évolution naturelle de son parcours. « La CAQ, c’est le parti des régions. Je sais qu’avec François Legault comme premier ministre, les régions ne seront pas tenues pour acquises et qu’elles seront une priorité pour lui. On ne se le cachera pas, les 15 ans du gouvernement libéral ont laissé des traces. Nous avons besoin d’un changement. Nous avons besoin d’une équipe de choc pour les régions », a déclaré de son côté le candidat caquiste.

Une voix forte pour Lac-Saint-Jean

Éric Girard soutient que la région a besoin d’une voix forte au sein d’un futur gouvernement caquiste. « Il y a beaucoup de travail à faire ici. C’est notamment le cas auprès de nos agriculteurs. Il faut les aider à prendre de l’expansion, à acheter de l’équipement, à améliorer leur productivité. Il faut aussi les aider à régler leur problème de main d’œuvre et de relève. La solution passe entre autres par la formation de nos jeunes et par l’immigration. Il faut assurer la réussite scolaire de nos jeunes pour leur permettre d’occuper des emplois de qualité. Je veux faire de notre région un endroit attrayant et prospère pour les familles », a-t-il ajouté.

La loterie libérale des taxes scolaires

Éric Girard et François Legault unissent leur voix pour dénoncer la loterie libérale des taxes scolaires.  « Le gouvernement libéral a abandonné les familles de la région. Le taux de taxe scolaire ici est de 31 cents par tranche de 100 $ d’évaluation, soit le triple de celui d’une région comme les Laurentides, qui est à 10 cents. Ça veut dire concrètement que les gens des Laurentides paient en moyenne 200 $ de taxe scolaire, alors qu’au Saguenay-Lac- St-Jean, c’est 600 $. C’est le triple, pour les mêmes services. C’est injustifiable ! Si la CAQ forme le prochain gouvernement, nous corrigerons cette injustice en appliquant un taux uniforme, le plus bas taux actuellement en vigueur, à la grandeur du Québec. On a besoin d’un changement positif et responsable au Québec », ont conclu les deux hommes.

Chambre de commerce de Lévis : François Legault vante les avantages d’un 3e lien


 Publié le 3 mai 2018

En marge d’une conférence organisée par la Chambre de commerce de Lévis, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a tenu un discours à saveur économique au cours duquel il a notamment été question de la nécessité d’un troisième lien pour Lévis et pour la grande région de Québec.

 

Pour le chef caquiste, le troisième lien sera un outil de développement et d’avenir qui sera complémentaire au nouveau projet de transport en commun de la Ville de Québec. Il a expliqué que les goulots d’étranglement créés par la présence des deux ponts actuels l’un à côté de l’autre freinent la circulation et le développement économique. Ce projet permettra notamment de contribuer favorablement à l’environnement, en diminuant le nombre de voitures immobilisées aux heures de pointe. M. Legault a pris soin de rappeler l’importance d’une interconnexion efficace entre les deux rives et réitéré son engagement de faire tout le nécessaire afin que la construction du 3e lien débute d’ici la fin du premier mandat d’un gouvernement caquiste majoritaire. Cette volonté politique, malgré ce que le gouvernement libéral en dépeint, constitue un objectif réaliste selon le chef de la CAQ, qui critique la tendance des libéraux à travailler à deux vitesses : l’une, plus rapide, lorsqu’il s’agit de projets dans la région de Montréal et une seconde, plus lente, pour ceux de la région de Québec.

 

Le chef de la Coalition Avenir Québec a de plus rappelé que Lévis est une ville en pleine effervescence, mais que le gouvernement peut en faire davantage pour l’aider à poursuivre son élan. Il a spécifié qu’un gouvernement de la CAQ donnera à Lévis les outils nécessaires pour accroître son développement économique et démographique, tout en redonnant un répit financier aux familles qui ont peine à joindre les deux bouts.

Taux de diplomation : «Pas un décrochage parental, un décrochage libéral», dit la CAQ


 Publié le 3 mai 2018

Questionné hier sur l’étude démontrant le désastreux taux de diplomation au Québec, le ministre de l’Éducation a jeté la faute entièrement sur les parents, en leur mentionnant qu’ils doivent se regarder dans le miroir. La Coalition avenir Québec exige que le gouvernement fasse plutôt un sérieux examen de conscience sur la question, dépose des mesures tangibles pour redresser ce bilan désastreux et prenne ses responsabilités : c’est l’avenir de notre jeunesse qui est en jeu.

À entendre le ministre de l’Éducation, les résultats catastrophiques sont le résultat des parents qui ont décroché, de l’IDQ qui travaille mal, de l’Ontario qui donne des diplômes à rabais. Où est la responsabilité du gouvernement dans l’explication de ces piètres résultats ? Absolument nulle part. La Coalition avenir Québec est sceptique quant à l’éventualité d’une amélioration dans le système d’éducation au Québec : les libéraux ne sont pas encore à l’étape de reconnaître le problème, alors comment peut-on s’attendre à ce qu’ils prennent le dossier en main ?

Le rapport de l’IDQ déplore également un problème connu au gouvernement libéral : un accès aux données sur l’éducation laborieux et des statistiques si désuètes qu’il devient impossible de cerner les enjeux réels et de cibler des solutions concrètes. Un taux de diplomation de 76%, résultat d’un manque de transparence et d’un laxisme qui affecte directement notre jeunesse : voilà le triste héritage libéral après 15 ans au pouvoir.

Décrochage scolaire : Le Québec dernier de classe, gracieuseté de 15 années de règne libéral


 Publié le 2 mai 2018

Dur réveil ce matin pour tout le Québec, alors qu’on apprend, par la publication du rapport sur le décrochage de l’Institut du Québec, que nous sommes la province présentant le plus faible taux de diplomation au Canada. Non seulement y lit-on que nous avons les pires résultats au Canada, mais également que l’écart se creuse entre le Québec et les autres provinces : ceci veut donc dire que le reste du pays fait mieux en termes de diplomation de leurs jeunes, alors que le Québec continue d’obtenir des chiffres alarmants.

 

Le chef de la Coalition avenir Québec s’est fortement indigné, mardi matin lors de la période de questions, de la mauvaise gestion libérale dans le système d’éducation québécois. La CAQ maintient que ces chiffres sont le résultat des 15 dernières années de gouvernement libéral et de la lenteur dont ils ont fait preuve pour proposer de nouvelles mesures et les mettre en application. Ils ont failli à leur devoir de doter le Québec d’un système d’éducation de qualité qui assurera un avenir de qualité pour nos jeunes.

 

La Coalition avenir Québec, tout comme le rapport de l’Institut du Québec publié ce matin, soutient que la maternelle à 4 ans offerte à tous les enfants est une mesure concrète, qui donnera une réelle chance de réussite scolaire à tous nos jeunes, non pas seulement à 5% d’entre eux, en milieux défavorisés.

Légalisation du cannabis : Chantal Soucy sollicite un financement additionnel pour l’organisme Satellite


 Publié le 1 mai 2018

À l’aube de la légalisation du cannabis, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a profité de la période d’étude de crédits budgétaires à l’Assemblée nationale pour demander une fois de plus à la ministre Lucie Charlebois de prioriser Satellite, un organisme de sa circonscription, dans la répartition de la nouvelle enveloppe dédiée aux organismes communautaires agissant en prévention des dépendances.

Dans son dernier budget, dévoilé en mars dernier, le gouvernement annonçait que des sommes de 11 M$ en 2017-2018 et de 20 M$ en 2018-2019 seraient consacrées à la lutte aux dépendances. Récemment, la Fondation Jean Lapointe s’est vu octroyer une subvention de 1,5 M$ à même cette nouvelle enveloppe, mais les organismes locaux, eux, attendent toujours un rehaussement de leur financement. « On peut se réjouir, évidemment, pour la Fondation Jean Lapointe, mais je suis d’avis que les interventions locales ne doivent pas être oubliées et qu’on doit être prêt à agir dès la rentrée scolaire, en septembre prochain », a plaidé la députée Chantal Soucy. « Dans ma circonscription, l’organisme Satellite possède déjà toute l’expertise nécessaire pour répondre aux besoins de prévention en matière de dépendance au cannabis chez les jeunes, tant au niveau primaire que secondaire. L’an dernier seulement, il a desservi 23 écoles primaires et 7 écoles secondaires. Il ne lui manque donc que les ressources financières suffisantes pour bonifier ses services et prendre en charge la prévention de la dépendance au cannabis sur l’ensemble du territoire de la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe », a poursuivi la députée, soulignant au passage que Satellite ne bénéficiait que d’un financement annuel de 60 000 $ (provenant du Programme de soutien aux organismes communautaires) pour rencontrer ses objectifs.

Chantal Soucy a terminé son intervention en questionnant la ministre : « Avez-vous l’intention de faire descendre rapidement les montants annoncés dans nos organismes locaux, tels que Satellite, qui possèdent déjà toute l’expertise nécessaire pour mener à bien la mission de prévention des dépendances chez nos jeunes? » La ministre s’est alors contentée de répondre que les sommes prévues serviraient bel et bien à la prévention des dépendances et au financement de divers organismes, sans toutefois préciser quand, et surtout, comment ces montants seraient répartis.

Soucieuse de la santé des jeunes de sa circonscription et sensible aux inquiétudes des parents, la députée Chantal Soucy entend suivre le dossier de près afin de s’assurer que les besoins du milieu en ce sens soient comblés.

Remplacement des traversiers de Tadoussac : 3 fois le prix, 5 ans de retard … le naufrage de la STQ se poursuit


 Publié le 1 mai 2018

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de stratégie maritime, Donald Martel, a dénoncé la gestion catastrophique du gouvernement dans le dossier de la construction des deux navires, qui relieront Tadoussac et Baie-Ste-Catherine.Après 15 ans de régime libéral, la CAQ est d’avis que la Société des traversiers est un symbole d’échec et de mauvaise gestion.

La situation actuelle est absolument déplorable : un dépassement de coût de près de trois fois le budget initial, toujours aucun des deux traversiers en opération 5 ans après la date prévue de livraison, et aucune mention de ce dossier dans les rapports à venir de la Vérificatrice générale.

Rappelons que les interventions de la Coalition Avenir Québec ont fait en sorte que celle-ci enquête sur ce fiasco financier. Les libéraux ont toutefois attendu si longtemps avant de lui demander de s’emparer du dossier que les Québécois n’auront pas droit à ce rapport dévastateur avant les élections.

Agrandissement de l’hôpital Pierre-Le-Gardeur : Les libéraux se traînent les pieds depuis 8 ans


 Publié le 1 mai 2018

Depuis 8 ans, le gouvernement libéral promet aux citoyens du sud de Lanaudière l’agrandissement du seul hôpital de leur région, Pierre-Le-Gardeur, mais n’a rien fait pour que le projet se concrétise, ont dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, et les députés de Masson et de Repentigny, Mathieu Lemay et Lise Lavallée.

L’ancien ministre libéral de la Santé, Yves Bolduc, avait promis que l’agrandissement de l’hôpital devait être terminé en 2014. Huit ans plus tard, le projet est encore en « planification » dans le Plan québécois des infrastructures, ont-ils déploré.

Depuis plusieurs années, le sud de Lanaudière a connu une des plus fortes croissances démographiques du Québec, ce qui justifie totalement ce projet pour le bénéfice des patients et des familles de la région. Les députés caquistes ont rappelé que l’hôpital Pierre Le Gardeur, à Lachenaie, est l’un des plus achalandés du Québec. Pour preuve, il déborde tout le temps. D’ailleurs, mardi matin, le taux d’occupation de l’urgence était de 161 % et il y avait 56 patients sur des civières pour un espace de seulement 36 places.

Le projet d’agrandissement de l’hôpital Pierre-Le-Gardeur doit se réaliser et aller de l’avant. Un gouvernement de la CAQ s’en assurera, a promis le chef François Legault.

1,3 milliard $ dans la C Series : Un investissement qui fond comme neige au soleil?


 Publié le 1 mai 2018

Il ne fallait pas une boule de cristal pour anticiper, dès le départ, que l’investissement de 1,3G$ dans la C Series était un pari très risqué pour le portefeuille des Québécois. En 2016 déjà, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, mettait en garde le premier ministre du danger d’investir uniquement dans la C Series, plutôt que d’investir dans la compagnie-mère de Bombardier.

L’entêtement du premier ministre à investir exclusivement dans cette division qui connaissait déjà de graves difficultés, semble avoir abouti aux résultats appréhendés : une perte comptable de plusieurs centaines de millions de dollars de l’argent des Québécois.

François Legault a une fois de plus déploré, lors de la période de questions ce mardi, que le gouvernement investisse un montant si important, sans aucune garantie sur les autres divisions de Bombardier. Il exige que le gouvernement libéral s’engage à ce que les Québécois puissent prendre connaissance des résultats de l’analyse de la Vérificatrice générale portant sur la valeur marchande de l’investissement dans Bombardier, avant le déclenchement des prochaines élections générales.

Manifeste de Profs en mouvement : La CAQ, à l’écoute des enseignants à bout de souffle


 Publié le 1 mai 2018

Après 15 ans d’un régime libéral qui n’a eu d’yeux, et d’argent, que pour les médecins, il serait temps que le gouvernement soit à l’écoute de la situation de nos enseignants. La Coalition Avenir Québec salue l’initiative Profs en mouvement, qui publie aujourd’hui un manifeste dénonçant certaines situations relatives aux difficiles conditions d’enseignement. On y expose un nombre trop élevé d’enseignants épuisés, démotivés, et qui tentent par tous les moyens de gérer les crises relatives à notre système d’éducation, qui a été délaissé par les libéraux au fil des ans.

 

Sous un gouvernement de la CAQ, la reconnaissance de l’expertise des enseignants et la valorisation de la profession seront des priorités. Jean-François Roberge, porte-parole de la CAQ en matière d’éducation, mentionne que sa formation politique s’engage à porter une attention particulière aux demandes faites par le groupe Profs en mouvement. Ces professeurs réclament notamment une diminution du nombre de jeunes par classe, du soutien pour les élèves handicapés, en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage et de meilleures conditions de travail pour faciliter l’enseignement.