Inondations printanières 2017 : La mauvaise gestion de crise se poursuit… un an plus tard


 Publié le 16 mai 2018

La Coalition Avenir Québec a déposé, ce mercredi, une motion déplorant que de nombreux dossiers ne soient toujours pas fermés, un an après que des centaines de résidences aient subis de sérieux dommages, à la suite de l’importante crue printanière en 2017.

 

La vie normale n’a toujours pas repris son cours habituel pour plusieurs victimes de ces inondations. Un an plus tard, certains n’ont toujours pas réintégré leur résidence et la lenteur administrative du traitement des dossiers ne fait qu’empirer leur situation, déjà insupportable. Cette motion demande formellement au ministre d’accélérer le traitement des requêtes afin de mettre un baume sur la douleur toujours vive des victimes de ces inondations.

Pénurie de médecins de famille : Philippe Couillard a éteint l’intérêt des étudiants pour la médecine familiale


 Publié le 16 mai 2018

Une triste réalité a été portée à notre attention ce matin : 19 postes en médecine familiale sont inoccupés, seulement en Abitibi-Témiscamingue. Ce phénomène, qui n’existe pourtant pas ailleurs au Canada, affecte les régions et, à raison, inquiète considérablement les citoyens.

 

La faute revient en grande partie à la généreuse entente entre le gouvernement de Philippe Couillard et les médecins spécialistes et sa clause cadenas, effective jusqu’en 2023, qui rend la médecine familiale beaucoup moins attrayante que la médecine spécialisée. Les réformes imposées par le ministre Barrette ont aussi démobilisé les jeunes médecins à choisir la médecine de famille.

 

En effet, on souligne que de nombreux étudiants en médecine font le choix de prendre une année sabbatique, dans l’espoir d’être ultérieurement acceptés dans une spécialité. Le résultat de cette entente qui profite aux amis du premier ministre et de son ministre de la Santé se fait concrètement sentir en région, par un désintérêt considérable de la médecine familiale, a dénoncé François Legault, lors de la période de questions.

Projet de loi 173 : Le ministre a renié sa parole et abandonné 8 000 familles


 Publié le 16 mai 2018

Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, s’est engagé, mardi dernier lors de la période de questions, à proposer une solution pour corriger l’injustice dans le calcul d’aide sociale. Dans le cadre de l’étude du projet de loi 173, la CAQ avait effectivement demandé au gouvernement libéral d’exclure complètement les pensions alimentaires pour enfants du calcul des prestations d’aide sociale. Hier, le ministre a failli à son engagement, n’a pas tenu parole, et a de ce fait laissé tomber 8 000 familles bénéficiaires de l’aide sociale, majoritairement des mères monoparentales.

 

Aujourd’hui en chambre, le porte-parole de la Coalition avenir Québec en matière d’Emploi et de Solidarité sociale, Sébastien Schneeberger, a dénoncé que le gouvernement libéral ait laissé miroiter une solution pour ces familles, sans toutefois y donner suite. Voyant le refus du ministre Blais d’exempter les pensions alimentaires pour enfants dans le calcul de l’aide sociale, le député de Drummond – Bois-Francs a soumis la proposition, comme il l’avait déjà fait lors de l’étude détaillée du projet de loi, de faire un premier pas pour dispenser, dans un premier temps, les personnes qui ont des contraintes sévères ou jugées inaptes à l’emploi et qui sont prestataires de la solidarité sociale.

Tordeuse des bourgeons de l’épinette : Le ministre n’a pas fait les représentations nécessaires pour obtenir l’argent du fédéral


 Publié le 16 mai 2018

À la lueur des résultats dans le dossier de la tordeuse des bourgeons de l’épinette, il y a lieu de se questionner sur le travail du ministre des Forêts, Luc Blanchette.

 

À la suite de 31 rencontres entre des lobbyistes du Nouveau-Brunswick et le cabinet du ministre fédéral, 75 M$ ont été annoncés par le gouvernement fédéral pour lutter contre cet insecte ravageur au Nouveau-Brunswick. Du côté du Québec, le ministre Blanchette n’a transmis que deux lettres à son homologue fédéral, sans aucun résultat.

 

Au Québec, de nouvelles zones sont affectées, chaque année, par la tordeuse des bourgeons de l’épinette. Ces zones auraient dû faire partie des projets pilotes du gouvernement fédéral. Malheureusement, le Québec n’y figure pas puisque le ministre n’a pas fait les représentations nécessaires afin que la province obtienne elle aussi de l’aide de la part du gouvernement fédéral pour la protection de nos forêts.

Harmoniser l’offre de divertissement à l’offre touristique – La CAQ déménagera le Salon de jeux de Québec


 Publié le 15 mai 2018

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de Finances publiques et député de Granby, François Bonnardel, la porte-parole en matière de Famille et députée de Louis-Hébert, Geneviève Guilbault, ainsi que le candidat dans la circonscription de Vanier-Les Rivières, Mario Asselin, ont annoncé ce matin qu’un gouvernement de la CAQ déménagera le Salon de jeux de Québec vers un secteur touristique et étudiera l’opportunité de renouveler l’offre de divertissement en le transformant en casino.

Situé aux limites des circonscriptions de Vanier-Les Rivières et Jean-Lesage, où on retrouve le plus bas revenu moyen des ménages au Québec, le Salon de jeux a des impacts importants sur la santé publique de l’aveu même de la Direction de la santé publique (DSP) de Québec, qui plaide depuis plusieurs années pour le déménagement de l’établissement. De plus, selon la DSP, les joueurs évoluant sur les appareils de loterie vidéo, comme c’est le cas dans la presque totalité du Salon de jeux, sont les plus susceptibles de développer des problèmes de dépendance aux jeux de hasard. Jusqu’à 20 % d’entre eux seraient à risque de devenir des joueurs pathologiques. D’un autre côté, la région de la Capitale-Nationale a la chance d’accueillir des centaines de milliers de touristes annuellement, et leur nombre est en constante augmentation. Les entrées des touristes internationaux au Québec ont crû de 8,4 % entre 2016 et 2017, dans une proportion de 5,4 % pour les Américains et de 13,3 % pour les touristes en provenance des autres pays. De notre point de vue, il paraît idéal de viser une clientèle touristique plus fortunée et de plus en plus nombreuse, qui vient dépenser de l’argent neuf au Québec, plutôt que la clientèle locale présentement ciblée.

Projet de loi 1193 : La CAQ souhaite mettre fin aux publicités partisanes payées à même les fonds publics


 Publié le 15 mai 2018

Le député de La Peltrie et porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour le Conseil du trésor, Éric Caire, a déposé aujourd’hui un projet de loi encadrant les communications des organismes publics. Si adopté, ce projet de loi aurait comme principal objectif d’empêcher l’utilisation des fonds publics à des fins partisanes, ou encore pour promouvoir les intérêts du gouvernement au pouvoir.

 

Depuis leur entrée en poste en 2014, ce sont plus de 12,4M$ qui ont été dépensés par les libéraux de Philippe Couillard à même les fonds publics, pour des fins partisanes. À titre d’exemple, un montant démesuré de 5 millions de dollars a été décaissé entre avril et décembre, l’an dernier, afin de faire la promotion du Plan économique 2017 des libéraux. Pour la Coalition Avenir Québec, c’est tout à fait inacceptable que les deniers publics soient utilisés uniquement dans l’objectif mettre en valeur le parti au pouvoir et cette pratique doit cesser, par respect pour l’argent des contribuables.

 

Avec ce projet de loi déposé par la CAQ, il serait désormais interdit de promouvoir le parti politique au pouvoir, de critiquer directement ou indirectement un parti politique ou un membre de l’Assemblée nationale, et il est prévu que le vérificateur général puisse vérifier la conformité d’une communication avec les normes prescrites. Les fonds publics serviront donc directement au citoyen, à des fins d’information ou de prévention.

Lock-out à l’UQTR : La CAQ réclame une loi spéciale si le dossier ne se règle pas dans les prochaines 24 heures


 Publié le 14 mai 2018

L’ultimatum lancé par la ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David a échoué : le conseil d’administration et le recteur de l’UQTR ont ignoré l’appel de la ministre et rendent le président du syndicat responsable de lever ou non le lock-out, en acceptant la dernière proposition de l’établissement. Si la situation perdure encore 24 heures, le député de Nicolet-Bécancour pour la Coalition avenir Québec, Donald Martel, demande au gouvernement Couillard le dépôt d’un projet de loi spéciale pour forcer la levée du lock-out des professeurs de l’UQTR, qui perdure depuis le 2 mai dernier.

 

Le conseil d’administration de l’UQTR a littéralement fait fi de la demande de la ministre, dont se vantait pourtant le député de Trois-Rivières, soutient Donald Martel, porte-parole de la CAQ pour la région de la Mauricie. Celui-ci dénonce le manque de leadership et d’autorité de la ministre, qui refuse de s’impliquer concrètement depuis le début dans la gestion du conflit, prenant littéralement en otage les finissants et étudiants de l’établissement, qui ne peuvent commencer leur recherche d’emploi et qui risquent de passer à côté d’opportunités de carrière.

 

La Coalition Avenir Québec offre sa pleine collaboration et invite les autres partis d’opposition à en faire autant, afin de régler le différend par une loi spéciale qui mettra rapidement fin au conflit.

L’économiste Éric Girard est le candidat de la CAQ dans Groulx


 Publié le 14 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que l’économiste Éric Girard portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Groulx lors de la prochaine élection générale. M. Legault se réjouit de pouvoir compter sur ce poids lourd économique, qui était jusqu’à tout récemment le premier vice-président et trésorier de la Banque Nationale, au sein de son équipe du changement.

Pour François Legault, la venue d’Éric Girard en politique provinciale est un ajout de taille pour le Québec. « Éric a une maîtrise en économie. Il est à la Banque Nationale depuis 25 ans. C’est lui qui, jusqu’à vendredi dernier, gérait les liquidités, le financement et le risque de taux d’intérêt de la Banque Nationale. Concrètement, le gouvernement du Québec ne peut pas avoir une personne plus compétente pour gérer le placement de ses obligations sur les marchés internationaux. On ne peut pas espérer une personne qui connaît mieux les agences de notation. Avec les défis économiques que le Québec a à relever, on a besoin d’un homme comme lui en politique », a déclaré le chef caquiste.

Éric Girard a décidé de faire le saut en politique pour poursuivre sa contribution, cette fois à la gestion des finances publiques et à l’économie du Québec. « Mes rencontres avec François Legault et son équipe m’ont convaincu qu’à la CAQ, il y a une réelle volonté de changement, notamment dans la gestion de nos finances publiques. L’équilibre des finances publiques est essentiel pour faire face au vieillissement de la population, mais surtout pour pouvoir investir en éducation et en innovation qui sont des clés pour la création de richesse », a expliqué le candidat caquiste.

La voix de Groulx à l’Assemblée nationale

Éric Girard a tenu à adresser quelques mots aux électeurs de Groulx qu’il ira rencontrer sur le terrain au cours des prochaines semaines. « J’aimerais vraiment pouvoir porter la voix de Groulx à l’Assemblée nationale en octobre prochain. J’irai à votre rencontre et c’est vous qui me direz ce qui est important. Vous me direz ce que votre député peut et doit faire pour vous. J’aspire à vous représenter dignement avec passion et compassion. Je sais d’ores et déjà que le transport et la qualité de nos infrastructures sont des enjeux majeurs ici. Je serai un partenaire de premier plan pour régler ces dossiers. Je crois fermement que c’est l’équipe de François Legault, dont je fais maintenant partie, qui a les meilleures idées pour faire avancer Groulx et le Québec », a conclu M. Girard.

Élection générale de 2018 – L’équipe du changement prend forme à Montréal


 Publié le 12 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité de la tenue d’un événement militant de sa formation politique, samedi à Montréal, pour présenter sept nouveaux candidats pour l’élection générale de 2018 : Julie Séide (Bourassa-Sauvé), Simon Langelier (Laurier-Dorion), Vicky Michaud (Marguerite-Bourgeoys), Marc Hétu (Marquette), Sonya Cormier (Rosemont), Janny Gaspard (Viau) et Michelle Morin (Westmount–Saint-Louis).

Pour François Legault, ces nouveaux candidats sur l’île de Montréal démontrent que l’équipe du changement prend forme en vue de la prochaine élection générale. « Le parcours de vie de nos candidats est extraordinaire. La diversité de leurs intérêts m’inspire. Ils sont à l’image de la métropole », s’est réjoui le chef de la CAQ.

François Legault souhaite faire de Montréal une source d’inspiration pour le Québec. « Vous savez, il y a deux Montréal : celui des festivals, des restaurants, du tourisme, des start-ups, des universités, mais il y a aussi un autre Montréal dont on ne parle pas assez : le Montréal de tous les jours, celui des familles. Nous avons besoin de répondre aux besoins des deux Montréal. Un moteur économique, un incubateur d’entreprises, mais aussi un lieu où on peut élever une famille, une ville où il fait bon vivre », a-t-il expliqué.

Montréal appartient à tous les Montréalais

Le chef de la CAQ soutient que depuis trop longtemps, le Parti libéral tient Montréal pour acquis. « L’une des preuves, c’est l’état des écoles à Montréal. Les écoles de la Commission scolaire de Montréal sont parmi les pires au Québec. Elles tombent en ruines. Les libéraux ont laissé les écoles se dégrader pendant trop longtemps. De plus en plus de familles pensent s’installer en banlieue. Après 15 ans, c’est le temps que ces familles disent ce qu’elles pensent du gouvernement libéral. Nous avons rassemblé pour elles l’équipe du changement, en vue du 1er octobre. L’île de Montréal n’appartient pas au Parti libéral. Elle appartient à tous les Montréalais et à tout le Québec », a conclu François Legault.

Stationnements des hôpitaux : Les libéraux remplissent les coffres de l’État sur le dos des patients


 Publié le 11 mai 2018

Alors que les libéraux affirment que la santé est au cœur de leurs préoccupations, on apprend que les hôpitaux et CHSLD ont fait 70 millions de dollars de profits avec les stationnements, l’an dernier, sur le dos des patients qui peinent à joindre les deux bouts.

Pour la Coalition avenir Québec, il est tout simplement inacceptable et inconcevable que le gouvernement encaisse d’imposants profits et remplisse ses coffres aux dépens des gens qui nécessitent des consultations ou des traitements en raison de leur condition de santé.

Depuis maintenant plus de deux ans, la CAQ propose la gratuité pour les deux premières heures de stationnement dans tous les hôpitaux, CHSLD et autres installations de santé, de même qu’un tarif maximal entre 7 $ et 10 $ quotidiennement, alors que certains établissements ont actuellement des tarifs allant jusqu’à 25$ par jour. Il s’agit là d’une mesure concrète visant à soulager l’impact important des coûts associés à une maladie ou à une condition particulière sur le portefeuille des patients.