Bilan de la session parlementaire : L’équipe du changement se renforce pour 2018


 Publié le 8 décembre 2017
 

Fort d’une session marquée par une victoire éclatante de sa formation politique dans un château fort libéral et par le début d’un vent de changement positif au Québec, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a tenu à spécifier que rien n’est joué, à 10 mois des élections générales, notamment face à un gouvernement libéral qui demeure un adversaire redoutable et qui n’hésitera pas à multiplier les cadeaux électoraux d’ici octobre 2018.

Entouré de l’ensemble de ses député(e)s, François Legault a souligné que son parti a fait des gains importants pour les Québécois au cours de la dernière session. Pensons aux baisses d’impôt pour les familles, aux chèques de 100 $ par enfant, au deuxième bain pour nos aînés, à l’abolition des clauses orphelin, à la création du comité de surveillance de l’UPAC, par exemple.

La stratégie libérale est de plus en plus claire : critiquer les idées de la CAQ sur toutes les tribunes. Or, ils ont passé la session à reprendre ces idées. Entre une pâle copie ou l’original, les Québécois sauront faire le bon choix, a estimé M. Legault. Le chef caquiste a appelé les Québécois à tenir bon. Il existe un fort désir de changement dans la population et pour que ce désir devienne réalité, il faudra rester au plus près des préoccupations des Québécois.

Patrons temporaires au SPVM et à la SQ : L’improvisation de Philippe Couillard fragilise nos institutions


 Publié le 8 décembre 2017
 

Pour le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, il est inacceptable que les deux principaux corps de police au Québec, la Sûreté du Québec (SQ) et le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), soient maintenant dirigés par des chefs temporaires. Cette situation n’est aucunement rassurante pour les Québécois, dont la confiance envers nos institutions est fragilisée.

François Legault a souligné que les corps policiers ont besoin de stabilité. Il était de la responsabilité de Philippe Couillard de trouver un bon gestionnaire pour relever la gestion du SPVM, sans rien enlever à la SQ. Il y avait forcément d’autres personnes compétentes au Québec, qu’ils soient civils ou policiers, capables de redresser la barre à la police de Montréal, a ajouté M. Legault.

L’improvisation libérale fragilise nos institutions, a déploré le chef de la CAQ.

Commerce interprovincial : Philippe Couillard fait un autre flip-flop


 Publié le 7 décembre 2017
 

Le gouvernement libéral de Philippe Couillard a bloqué une motion de la Coalition Avenir Québec visant à ce que le gouvernement du Québec adhère au libre-échange interprovincial, y compris dans ses représentations judiciaires qui se déroulent actuellement devant la Cour suprême sur un cas spécifique sur le transport d’alcool.

Le leader parlementaire de la CAQ, François Bonnardel, a dénoncé la volte-face du premier ministre Couillard qui, le 21 juillet dernier, en marge du Conseil de la fédération, annonçait qu’une ouverture des frontières à l’alcool était imminente. « En même temps qu’on négocie des accords de commerce avec les autres pays du monde, on devrait être capables d’en avoir un entre nous », avait déclaré Philippe Couillard. Jeudi, on apprend toutefois que le procureur du gouvernement du Québec plaide contre un libre-échange de l’alcool et va jusqu’à affirmer qu’une telle entente irait à l’encontre de la fédération canadienne.

Une fois de plus, l’improvisation libérale nuit aux consommateurs québécois. Le député Bonnardel a fait savoir qu’une entente visant à améliorer le commerce avec les autres provinces canadiennes ne pourra être que bénéfique pour les Québécois. La motion de la CAQ se lisait comme suit : « Que l’Assemblée nationale demande au gouvernement du Québec d’adhérer et de prôner le libre-échange interprovincial pleinement et sans contraintes, y compris dans ses représentations judiciaires. »

Loterie vidéo : Carlos Leitão refuse de dévoiler le nombre d’appareils retirés


 Publié le 7 décembre 2017
 

Bien qu’il ait pris l’engagement formel de faire retirer 1100 appareils de loterie vidéo sur les 11 000 installés au Québec, le ministre des Finances, Carlos Leitão, n’entend pas dévoiler le nombre d’appareils qui ont été retirés jusqu’à maintenant.

Le leader parlementaire de la Coalition Avenir Québec, François Bonnardel, a adressé une demande d’accès à l’information à Loto-Québec dans laquelle il désirait connaître le nombre d’appareils qui ont été retirés au cours de la dernière année. La société d’État a refusé de partager ces données, ni même de préciser le nombre d’appareils de loterie vidéo retiré dans le cadre du programme de retrait volontaire et le nombre d’exploitants qui ont obtenu une compensation financière pour retirer des appareils. Le ministre Leitão, lui, s’est défendu en disant qu’il est impossible de faire un bilan du programme, puisque celui-ci s’échelonne sur 2 ans. C’est d’une absurdité totale, a réagi M. Bonnardel.

Pour le député de Granby, il est primordial d’avoir un portrait de la situation compte tenu de la sensibilité du dossier. Alors que le jeu pathologique ruine carrément des vies et brise des familles, le gouvernement libéral tolère que ces chiffres soient gardés dans le plus grand secret.

Congrès de l’UPA : Un gouvernement de la CAQ agira en agriculture pour créer de la richesse partout au Québec


 Publié le 7 décembre 2017
 

Finis les comités, les tables d’experts, les forums et les consultations : un gouvernement de la Coalition Avenir Québec dirigé par François Legault, fera du domaine agroalimentaire un des plus grands moteurs de notre économie. Voilà le message qu’a lancé le chef de la CAQ, François Legault, lors d’une allocution devant les membres de l’Union des producteurs agricoles, réunis en congrès mercredi.

Accompagné de sa porte-parole en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, François Legault a réitéré sa promesse de mettre sur pied un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture. Après près de 15 années de règne libéral, où tous les dossiers stratégiques ont pris la poussière, il est essentiel de stimuler la production et la transformation agroalimentaire par tous les moyens. L’aide promise par la CAQ permettra aux agriculteurs qui n’en ont pas les moyens de s’acheter de nouveaux équipements et d’augmenter ainsi leur productivité.

 Pour accompagner cette transformation et percer de nouveaux marchés, il faut aider nos producteurs à innover et à saisir les opportunités d’affaires. Or, sous les libéraux, le Québec est en train de prendre un retard considérable par rapport au reste du Canada, a déploré le chef de la CAQ.

 Legault s’est également engagé à créer un département chez Investissement Québec spécialisé en agriculture, qui aidera les projets au mérite, ainsi qu’à obliger les institutions publiques qui offrent un service alimentaire de s’approvisionner d’abord auprès des producteurs locaux.

Congrès de l’UPA : Un gouvernement de la CAQ agira en agriculture pour créer de la richesse partout au Québec


 Publié le 6 décembre 2017
 

Finis les comités, les tables d’experts, les forums et les consultations : un gouvernement de la Coalition Avenir Québec dirigé par François Legault, fera du domaine agroalimentaire un des plus grands moteurs de notre économie. Voilà le message qu’a lancé le chef de la CAQ, François Legault, lors d’une allocution devant les membres de l’Union des producteurs agricoles, réunis en congrès mercredi.

Accompagné de sa porte-parole en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, François Legault a réitéré sa promesse de mettre sur pied un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture. Après près de 15 années de règne libéral, où tous les dossiers stratégiques ont pris la poussière, il est essentiel de stimuler la production et la transformation agroalimentaire par tous les moyens. L’aide promise par la CAQ permettra aux agriculteurs qui n’en ont pas les moyens de s’acheter de nouveaux équipements et d’augmenter ainsi leur productivité.

Pour accompagner cette transformation et percer de nouveaux marchés, il faut aider nos producteurs à innover et à saisir les opportunités d’affaires. Or, sous les libéraux, le Québec est en train de prendre un retard considérable par rapport au reste du Canada, a déploré le chef de la CAQ.

M. Legault s’est également engagé à créer un département chez Investissement Québec spécialisé en agriculture, qui aidera les projets au mérite, ainsi qu’à obliger les institutions publiques qui offrent un service alimentaire de s’approvisionner d’abord auprès des producteurs locaux.

La victoire des Lauréats soulignée à l’Assemblée nationale


 Publié le 6 décembre 2017
 

À la suite de la victoire des Lauréats du Cégep de Saint-Hyacinthe au championnat provincial de football, la députée Chantal Soucy a tenu à féliciter l’équipe, ce matin, dans une déclaration prononcée à l’Assemblée nationale.

« Par le passé, je me suis souvent levée en chambre pour vanter le Cégep de Saint-Hyacinthe, qui fait la fierté de notre région », a débuté Chantal Soucy. « Cette fois-ci, j’ai le plaisir de souligner les prouesses de son équipe de football, qui a récemment remporté le prestigieux Bol d’Or. Après seulement quatre années d’existence, l’équipe des Lauréats a réussi à se démarquer parmi toutes les autres équipes collégiales à travers le Québec », a-t-elle poursuivi. « C’est grâce à la détermination des joueurs, à la compétence de leurs entraîneurs et au soutien de la direction du Cégep de Saint-Hyacinthe que nous pouvons nous joindre à eux, aujourd’hui, pour célébrer cette grande victoire », a souligné Chantal Soucy.

Le joueur Émile Grenier a assisté à la déclaration, accompagné de ses deux entraîneurs, Sébastien Deschamps et Sébastien Blanchette, ainsi que du directeur des études et de la vie étudiante du Cégep de Saint-Hyacinthe, Pierre Leblanc. Ils ont ensuite pu rencontrer leur députée et échanger avec elle, à la suite de la période de questions et réponses orales.

 

Agriculture : Le cannabis vendu par Québec devrait provenir des producteurs québécois, estime la CAQ


 Publié le 6 décembre 2017
 

Si le cannabis est pour être considéré comme un produit agricole, comme le laisse entendre le fédéral, il faut que les producteurs du Québec reçoivent un message clair du gouvernement de Philippe Couillard à l’effet que le cannabis vendu au Québec sera produit au Québec, a déclaré la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours.

Les autres provinces canadiennes n’ont pas l’intention de manquer le train, a souligné la caquiste. Pour preuve : l’Ontario compte déjà 38 producteurs de cannabis, alors que le Québec n’en a que 2 pour le moment. Il est clair que si on ne donne pas la priorité aux agriculteurs et producteurs québécois, d’autres provinces combleront les besoins du Québec, a prédit Sylvie D’Amours.

La députée de Mirabel a convenu que la décision de légaliser le cannabis n’est pas idéale. Toutefois, face à cette décision d’Ottawa, il est de la responsabilité du gouvernement du Québec d’appuyer nos producteurs agricoles et de leur offrir de nouvelles opportunités d’affaires. Mais pour cela, ça prend un signal clair du ministre Laurent Lessard, sans quoi peu oseront investir dans le développement d’une production de cannabis. D’ailleurs, mercredi, des producteurs en commission parlement ont confirmé que Laurent Lessard ne les avait toujours pas interpellés à ce sujet.

UPAC : Philippe Couillard refuse toujours un vote aux deux tiers


 Publié le 6 décembre 2017
 

Philippe Couillard ne voit toujours aucun intérêt à ce que le commissaire de l’UPAC soit nommé aux deux tiers de l’Assemblée nationale. Son entêtement ne fait que fragiliser davantage la confiance des Québécois envers nos institutions, a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

L’UPAC a un gros travail de crédibilité à faire au cours des prochains mois, a souligné M. Legault. Une des manières concrètes de rétablir la confiance des Québécois en l’UPAC, c’est que ce soit l’Assemblée nationale, et non le gouvernement en place, qui désigne son commissaire. En refusant cette simple proposition, Philippe Couillard donne toutes les raisons aux Québécois de croire que son gouvernement souhaite conserver un levier d’influence sur le patron de l’UPAC.

Le chef de la CAQ a également dénoncé le manque de courage de Philippe Couillard, qui refuse d’imposer à l’UPAC une transparence irréprochable. En effet, pas plus tard que mardi, le gouvernement libéral a voté une fois de plus contre une motion de la CAQ exigeant que l’UPAC remette ses rapports sur son climat de travail. Pour le chef caquiste, il est impératif que les problèmes internes de l’UPAC ne retardent pas l’enquête sur le financement illégal du Parti libéral.

Nouvelles règles de Gaétan Barrette : Des milliers de Québécois exclus du service sans rendez-vous, dénonce la CAQ


 Publié le 5 décembre 2017
 

De nouvelles règles imposées par le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, ont donné naissance à un phénomène inquiétant qui prend de l’ampleur partout au Québec : l’abandon de la prise en charge de patients orphelins par les groupes de médecine de famille (GMF). Pour le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, c’est une faille importante qui pourrait pénaliser jusqu’à 1,8 million de Québécois.

Parce qu’ils doivent respecter un taux d’assiduité de 80 %, plusieurs médecins ferment les portes de leurs cliniques sans rendez-vous aux patients orphelins, les dirigeant plutôt vers les urgences, quels que soient leurs maux. Ainsi, à Baie-Comeau, aucune clinique médicale n’accepte de traiter les 8 000 patients orphelins de la ville et des environs. Même chose pour ceux de Sainte-Claire, de Saint-Anselme et de Saint-Charles de Bellechasse.

Le député de Lévis a soutenu qu’il est primordial d’assurer un équilibre entre la prise en charge des patients et l’accès à des consultations sans rendez-vous, partout au Québec et pour toutes les catégories de patients, qu’ils soient orphelins ou non. Les Québécois sont en droit d’aller où ils veulent pour consulter un médecin de famille, selon lui.