Transparence des organismes publics : La CAQ veut que les contribuables québécois soient mieux renseignés


 Publié le 15 juin 2017
 

Dans le but de renforcer l’imputabilité et la transparence des organismes financés par des fonds publics, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de finances, François Bonnardel, a déposé à l’Assemblée nationale le projet de loi 892, afin que les quelques 280 organismes publics et parapublics rendent disponibles leurs états financiers officiels, vérifiés par une firme comptable indépendante, sur leur site internet.

Le caquiste François Bonnardel estime qu’il n’est pas normal que les contribuables québécois ne soient pas en mesure de consulter facilement ces documents, qui concernent plusieurs sociétés d’État, commissions scolaires et les centres intégrés de santé et de services sociaux. Financés partiellement ou en totalité par des fonds publics, ces organismes gèrent plusieurs centaines de millions de dollars, souligne-t-il.

La CAQ souhaite aussi, tel que le recommande l’Ordre des comptables agréés du Québec, que les documents dévoilés soient accompagnés de leurs notes explicatives, souvent en annexe, afin que les Québécois aient réellement l’heure juste. Le projet de loi de M. Bonnardel prévoit également que la présentation des états financiers soit standardisée.

La transparence ne devrait plus être un idéal à atteindre en 2017, souligne le député de Granby. Philippe Couillard déçoit en la matière, lui qui avait promis de diriger le gouvernement le plus transparent de l’histoire. Le projet de loi de la CAQ assurera ainsi aux Québécois de mieux comprendre où va leur argent et, surtout, s’il est utilisé à bon escient par le gouvernement du Québec.

Réseau électrique Métropolitain (REM) : Laurent Lessard contredit Philippe Couillard


 Publié le 15 juin 2017
 

Le ministre des Transports, Laurent Lessard, a fait un aveu lourd de sens, jeudi à l’Assemblée nationale, en réponse à une question du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault : il souhaite lui aussi que la Caisse de dépôt et placement exige du contenu local dans le cadre du projet de train électrique.

Laurent Lessard contredit ainsi son chef et premier ministre Philippe Couillard qui, depuis deux semaines, s’attaque à cette idée en disant que cela revient à être « sur la défensive ». Lorsqu’un gouvernement décide d’investir des milliards de dollars d’argent public, il a le devoir de garantir des retombées concrètes pour ses entrepreneurs et travailleurs, a réitéré François Legault.

Bien qu’il salue l’investissement du gouvernement fédéral de 1,3 milliard dans le projet de Réseau électrique Métropolitain, M. Legault a réclamé à nouveau 25 % de contenu local lors de la fabrication du train. Ce seuil est indispensable si l’on souhaite relancer le secteur manufacturier québécois.

Dépôt d’un projet de loi : La CAQ veut garantir la liberté de choix des parents dans le choix de l’école de leurs enfants


 Publié le 15 juin 2017
 

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a déposé jeudi à l’Assemblée nationale le projet de loi 898, qui vise à donner aux parents plus de liberté pour choisir l’école de leurs enfants.

Selon le député caquiste, il ne fait aucun doute que les parents sont les seuls à pouvoir déterminer l’école la mieux adaptée aux besoins de leurs enfants. Pourvu qu’il y ait de la place dans l’école souhaité et que les parents assument le transport scolaire, il n’y a aucune raison qui justifie l’interdiction à des parents d’envoyer leur enfant à l’école de leur choix.

Jusqu’à maintenant, le gouvernement libéral a refusé d’écouter les parents d’élèves, puisqu’aux yeux du ministre Sébastien Proulx, ce sont les commissions scolaires et uniquement elles qui doivent assurer la répartition des élèves. Jeudi matin, au Salon bleu, Sébastien Proulx a refusé de se prononcer et préféré une fois de plus défendre de vieilles règles bureaucratiques. La CAQ, elle, met plutôt ses énergies au bénéfice des parents.

Pour mettre de la pression sur le gouvernement, la CAQ a mis en ligne une pétition pour inviter les parents à appuyer le projet de loi 898 : www.monecolemonchoix.com

Le député Lamontagne souligne le 35e du Centre communautaire St-Pierre


 Publié le 15 juin 2017
 

En soulignant les 35 ans du Centre communautaire Saint-Pierre à l’Assemblée nationale, le député de Johnson, André Lamontagne, a voulu reconnaître la contribution de tous ceux et celles qui y donnent le meilleur d’eux-mêmes pour le mieux-être de leur quartier. Il en a profité pour remercier tous ses bénévoles et ses employés.

« Le Centre communautaire Saint-Pierre (CCSP) favorise la croissance personnelle et collective des gens, quels que soient leur âge, leur statut et leur condition, a déclaré M. Lamontagne. Leader de la mobilisation bénévole dans son milieu, il travaille pour la communauté et surtout avec elle. Il a 23 comités et compte près de 500 bénévoles qui investissent plus de 4000 heures par année. »

« En complémentarité, en partenariat ou en concertation avec les organismes environnants, a ajouté le député, le CCSP offre une grande variété d’activités auxquelles environ 1000 personnes s’inscrivent annuellement. En plus, des milliers de citoyennes et citoyens participent aux fêtes de quartier et aux activités communautaires qu’il organise. Ses actions développent la qualité de vie dans les sphères de la famille, de l’éducation populaire, du travail, des loisirs, des sports et de la vie sociale. »

Le Centre devient un milieu de vie pour les personnes qui le fréquentent. On y trouve, entre autres, un jardin éducatif, un club photo, une ligue de cartes, des ateliers de formation, un service de location de locaux et des cours d’informatique, de danse, de karaté ou de conditionnement physique.

Tarifs de garderie : La taxe libérale afflige des milliers de familles québécoises


 Publié le 14 juin 2017
 

Les familles du Québec ont toutes les raisons d’être en colère, a affirmé la députée de Mirabel pour la Coalition Avenir Québec, Sylvie D’Amours, alors qu’elles apprennent aujourd’hui que le gouvernement de Philippe Couillard a pigé près de 130 millions de dollars dans leurs poches en 2016, suite à la modulation des tarifs dans les garderies. Pire : ce montant, qui est déjà supérieur de 22 millions par rapport à 2015, risque d’augmenter, puisque ce ne sont pas tous les Québécois qui ont terminé de soumettre leur rapport d’impôt.

Pour Sylvie D’Amours, les familles québécoises ont été la cible d’une attaque vicieuse du gouvernement libéral, puisque c’est Philippe Couillard lui-même qui a imposé un choc tarifaire dès son élection aux parents dont les enfants fréquentent un service de garde subventionné. La situation est d’autant plus aberrante, puisqu’en campagne électorale, il avait promis de ne pas augmenter les tarifs de garderie au-delà de l’inflation.

Cette taxe libérale cachée fait rager les Québécois, qui n’hésiteront pas à montrer leur insatisfaction et leur ras-le-bol face au gouvernement libéral lors des prochaines élections, a soutenu le caquiste.

Mme D’Amours a rappelé qu’à cause de Philippe Couillard, en plus de la contribution de base de 7,75 $ par jour, les familles à moyens et hauts revenus doivent ajouter une contribution additionnelle pouvant aller jusqu’à 20 $ par jour.

Réseau électrique Métropolitain : Philippe Couillard est isolé


 Publié le 14 juin 2017
 

Lorsqu’un gouvernement injecte des milliards d’argent public dans un projet, il a le devoir de poser des conditions pour assurer la prospérité des entreprises québécoises, a souligné le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui a talonné une fois de plus Philippe Couillard sur la nécessité d’exiger un contenu local dans les projets de transport collectif.

Philippe Couillard est de plus en plus isolé dans ce dossier. Alors que lundi, des entrepreneurs et élus locaux de La Pocatière manifestaient contre la position du gouvernement libéral, c’est au tour mercredi du président des Manufacturiers et Exportateurs du Québec, Éric Tétrault, de dénoncer l’absence d’exigence de contenu local dans le projet de Réseau électrique Métropolitain.

Pour François Legault, il est grand temps pour le premier ministre de comprendre enfin que sans aucune obligation de fabriquer au Québec, ce sont des entreprises détenant des installations ailleurs dans le monde qui décrocheront les contrats de fabrication et d’assemblage. Un non-sens, selon le chef caquiste, alors que la compétition s’annonce féroce au cours des prochaines années dans le secteur manufacturier, en particulier avec la Chine et les États-Unis.

REM : Les libéraux risquent d’investir des milliards de dollars dans un train électrique Made in China


 Publié le 13 juin 2017
 

Alors qu’une conférence de presse se tenait lundi à La Pocatière, au cours de laquelle des dizaines d’entrepreneurs et d’élus locaux réclamaient du gouvernement libéral qu’il impose un minimum de contenu local lors d’octroi de contrats de transport collectif, Philippe Couillard a confirmé qu’il n’avait pas l’intention de bouger pour garantir la création d’emplois payants au Québec lorsqu’il investira dans des projets majeurs, comme le train REM de la Caisse de dépôt.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, et son porte-parole en matière d’économie régionale, Éric Lefebvre, ont porté la voix de ces entrepreneurs jusqu’à l’Assemblée nationale, mardi, mais rien à faire : Philippe Couillard a refusé de répondre à leurs inquiétudes en exigeant une part de 25 % de contenu local dans les projets de transport collectif.

Legault a pourtant indiqué que l’économie québécoise ne peut pas se permettre de lancer des appels d’offres sans garantir une part de contenu canadien. Il faut en effet miser sur des emplois de qualité, notamment dans le secteur manufacturier, pour enfin s’attaquer à l’écart toujours présent du salaire moyen entre le Québec et l’Ontario. Il est grand temps pour Philippe Couillard de s’occuper de l’économie québécoise.

Projet d’Amos Daragon à Magog : La ministre Dominique Anglade se terre dans le mutisme


 Publié le 13 juin 2017
 

La ministre de l’Économie, Dominique Anglade, a refusé d’aborder le « dossier précis » de l’avancement du projet d’animation Amos Daragon à Magog, alors qu’elle était questionnée par le porte-parole caquiste pour la région de l’Estrie, François Bonnardel, à l’Assemblée nationale.

Le député de Granby tentait de savoir les raisons pour lesquelles le gouvernement Couillard refuse d’accorder la subvention de 2,7 M$ d’Investissement Québec nécessaire pour la concrétisation de ce projet, conçu autour du personnage littéraire créé par l’auteur Bryan Perro. Même le député libéral d’Orford, Pierre Reid, a critiqué publiquement la lenteur de son propre gouvernement, alors qu’une cinquantaine d’emplois sont en jeu dans la région de l’Estrie.

François Bonnardel a également déploré l’attitude des libéraux envers les régions du Québec. Alors qu’à Montréal, capitale des technologies de l’information, il est facile pour des firmes d’obtenir des subventions pour leurs projets, l’entreprise IceWorks Animation, à Magog, a toutes les misères du monde pour convaincre le gouvernement.

Maladies rares : La CAQ réclame une stratégie québécoise


 Publié le 12 juin 2017
 

Le bien-être des patients atteints de maladies rares ne peut plus attendre : le Québec doit se doter d’une stratégie québécoise en la matière et rattraper son retard par rapport à d’autres pays industrialisés, comme la France.

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, a critiqué le laxisme du gouvernement libéral qui, en 2010, avait pourtant confié un mandat à l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Ce dernier avait dressé un portrait complet de ce qui se fait à l’étranger en matière de prise en charge des maladies rares. Déposé en 2011, le rapport de l’INESS a été tabletté par les libéraux, si bien que les Québécois atteints de cancers rares, de maladies auto-immunes ou d’origine toxique, de malformations congénitales et autres, sont parfois laissés à eux-mêmes.

Pour François Paradis, cette injustice doit cesser. Appuyé par le Regroupement québécois des maladies orphelines et l’Association des patients immunodéficients du Québec et de patients atteints de maladies rares, le député de Lévis a pressé le gouvernement à agir et à se doter d’une stratégie qui mobilisera l’ensemble du réseau de la santé, afin que les meilleures pratiques en matière de diagnostic, de prise en charge, de traitement et de prévention soient instaurées en matière de maladies rares au Québec.

Arthabaska-L’Érable : Éric Lefebvre dépose un projet de loi pour changer le nom de sa circonscription


 Publié le 9 juin 2017
 

Le député d’Arthabaska pour la Coalition Avenir Québec, Éric Lefebvre, met à exécution sa promesse de faire pression auprès du gouvernement libéral pour remplacer le nom de sa circonscription électorale, pour Arthabaska-L’Érable. Éric Lefebvre a déposé à cet effet, vendredi à l’Assemblée nationale, le projet de loi 896.

Le caquiste est à pied d’œuvre depuis son élection, en décembre dernier. Tout au long de sa campagne, le député avait fait de la reconnaissance régionale son thème de prédilection, en s’engageant à tout faire en son possible pour modifier le nom de la circonscription. Selon M. Lefebvre, il est impératif de favoriser la reconnaissance régionale et le sentiment d’appartenance des citoyens d’Arthabaska-L’Érable.

Le caquiste rappelle que sa circonscription regroupe l’entièreté des 11 municipalités de la MRC de l’Érable et des 6 municipalités de la MRC d’Arthabaska. Il est donc logique, à ses yeux, que la circonscription porte le nom des deux MRC.

Éric Lefebvre espère bien obtenir le consentement du gouvernement libéral pour l’étude de son projet de loi, d’autant plus qu’il a reçu l’appui de plusieurs entités régionales, notamment du conseil des maires de la MRC de l’Érable, de la MRC d’Arthabaska et des municipalités de Plessisville, Saint-Christophe-d’Arthabaska, Saint-Rosaire, Lyster, Saint-Ferdinand, Sainte-Sophie-d’Halifax, Saint-Louis-de-Blandford, Saint-Pierre-Baptiste et Saint-Valère.