Gestion chaotique de la tempête : Philippe Couillard doit congédier Laurent Lessard


 Publié le 16 mars 2017

Philippe Couillard n’a d’autre choix que de congédier son ministre des Transports, Laurent Lessard, a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Pour lui, il est inacceptable que son ministre n’ait pas prévu augmenter les effectifs en place après le début de la tempête et le carambolage survenu mardi après-midi en Estrie.

De son côté, le critique caquiste en matière de transports, Benoit Charette, a dénoncé le fait que M. Lessard ainsi que le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, aient préféré vaquer à leurs occupations mardi soir plutôt que de gérer la crise qui se dessinait. Par leur faute, ils n’ont appris la situation que le lendemain matin.

 

Employés fantômes chez Hydro-Québec : Les Québécois paient 10M$ par année pour 104 «Gilles»


 Publié le 15 mars 2017

Selon des informations obtenues par la CAQ en vertu de la Loi sur l’accès à l’information, il y a un peu plus de 100 employés dits « excédentaires » chez Hydro-Québec qui touchent un salaire moyen d’environ 86 000 $ par année alors qu’ils ne sont pas utilisés à leur plein potentiel.

Ni le ministre de l’Énergie, Pierre Arcand, ni Hydro-Québec ne sont en mesure de fournir une description de tâches pour ces travailleurs, a dénoncé Chantal Soucy.

 

François Legault dénonce l’entêtement de Philippe Couillard de ne pas vouloir réduire les impôts


 Publié le 15 mars 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a dénoncé une fois de plus l’entêtement du premier ministre de ne pas vouloir réduire les impôts des familles québécoises de 1 000 $ lors du prochain budget, alors qu’il a pigé plus de 1 300 $ dans leurs poches. Quoi qu’en dise Philippe Couillard, le gouvernement a assez d’argent pour réduire les impôts des Québécois, puisqu’il a accumulé un surplus de 2,3 G$, et ce, après versements au Fonds des générations, a souligné M. Legault.

Le chef caquiste a dénoncé les attaques désespérées et non fondées de Jean-François Lisée, qui s’oppose à toute forme de répit fiscal pour les familles québécoises pour plaire à Québec solidaire. Contrairement au chef péquiste, la CAQ estime que les Québécois touchant un salaire de 15 000 $ et payant des impôts méritent des baisses d’impôts.

 

Services spécialisés au Centre Christ-Roi : Gaétan Barrette rejette le consensus local


 Publié le 14 mars 2017

Le député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel, poursuit son combat pour rétablir les services spécialisés au Centre Christ-Roy, qui ont été coupés au cours des derniers mois par le gouvernement libéral, en raison de la centralisation des soins de santé imposée par le ministre Barrette. Rappelons que depuis le 1er janvier 2017, il n’y a plus de service d’orthopédie, d’oto-rhino-laryngologiste, d’endoscopie et de chirurgie générale.

Pour le caquiste Donald Martel, c’est une situation inacceptable, puisque de nombreux patients sont forcés de se rendre dans un centre de services à plusieurs kilomètres de distance. Les patients de la région ne méritent pas un tel traitement du Dr Barrette, a soutenu M. Martel.

 

Pas de baisses d’impôts : Philippe Couillard brise une autre promesse électorale


 Publié le 14 mars 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité de la période des questions à l’Assemblée nationale, mardi, pour déplorer que le Québec soit dorénavant au dernier rang des provinces canadiennes pour son revenu disponible par habitant. Pour lui, cela signifie que les familles québécoises ont maintenant moins d’argent dans leurs poches que les familles de partout ailleurs au Canada.

Alors que les finances du Québec devraient afficher un surplus total d’environ 3,8 milliards de dollars, les familles du Québec méritent un répit dès le prochain budget, selon la CAQ. M. Legault a répété sa demande de baisser les impôts des familles québécoises de 1 000 $ dès le budget du 28 mars.

 

Sous-représentation des femmes en politique: Chantal Soucy rencontre deux étudiantes du Cégep de Saint-Hyacinthe


 Publié le 14 mars 2017

Deux étudiantes du Cégep de Saint-Hyacinthe ont récemment rencontré leur députée, Chantal Soucy, afin de discuter de la sous-représentation des femmes en politique au Québec. Cette entrevue, réalisée dans le cadre du cours Démarche d’intégration des acquis en sciences humaines, a permis à Naomy Gagné et Melyna Bakalos de voir la vie politique à travers les yeux de l’une des 36 femmes députées à l’Assemblée nationale.

« Qu’on se le dise, l’égalité n’est pas encore acquise en politique. Pour nous, le principal obstacle demeure encore et toujours la conciliation travail-famille, qui est quasi inexistante. Il faut comprendre que la majorité des postes de décision sont occupés par des hommes qui sont très loin de notre réalité et que, pour gravir les échelons, les femmes doivent souvent mettre les bouchées doubles pour démontrer leurs compétences, même si elles sont aussi adéquates que leurs collègues masculins. Par exemple, à l’heure où on se parle, sur les quatre postes à la présidence et à la vice-présidente de l’Assemblée nationale, seule une femme s’y trouve », a déclaré Chantal Soucy. « En tant que députée, de voir que des jeunes femmes s’intéressent à ces enjeux et se promettent de continuer à briser les barrières pour en arriver à l’égalité, c’est encourageant! On a grandement besoin de cette relève en politique et, si j’ai pu les éclairer un peu sur notre réalité, j’en suis très heureuse! », a conclu l’élue caquiste, au terme de sa rencontre avec les deux étudiantes.

À la suite de l’obtention de leur diplôme d’études collégiales, Melyna Bakalos entamera un baccalauréat en science politique, alors que Naomy Gagné se dirigera vers le domaine de l’administration.

Transferts fédéraux en santé : Philippe Couillard n’a pas défendu les intérêts des Québécois


 Publié le 10 mars 2017

« Philippe Couillard vient de signer une entente à rabais. Il a préféré défendre les intérêts du gouvernement fédéral avant ceux des Québécois. Il a choisi la voie facile », a déploré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, à la suite de l’entente survenue entre les gouvernements Couillard et Trudeau sur les transferts fédéraux en santé.

Philippe Couillard peut ajouter une autre entente mal négociée à son tableau de chasse, a indiqué François Legault, qui constate qu’une fois de plus ce sont les familles québécoises qui subiront les conséquences néfastes. En effet, les libéraux viennent d’annoncer une croissance des transferts en santé de 3 %, 4 % en tenant compte d’un montant forfaitaire, plutôt que le 6 % traditionnellement demandé par Québec depuis plusieurs années. Résultat : les besoins du Québec, aux prises avec un vieillissement accru de sa population, ne seront pas correctement assurés sous le régime libéral. « C’est un échec. Depuis des années, le Québec a toujours réclamé sa juste part et son gouvernement annonce aujourd’hui qu’il a été incapable d’obtenir plus que la proposition initiale du gouvernement fédéral. Philippe Couillard n’a pas su défendre les intérêts du Québec et s’est résigné à signer une entente nettement insuffisante pour répondre aux besoins des familles du Québec. M. Couillard n’a pas exercé assez de leadership », a accusé François Legault.

Le député de L’Assomption a poursuivi en qualifiant de très révélateur le fait que le communiqué émis par Québec pour annoncer la conclusion d’une entente est signé par le ministre des Finances, Carlos Leitão, et non par celui de la Santé, Gaétan Barrette. Rappelons que le chef de la CAQ avait réclamé, pas plus tard que le mois dernier, la tenue d’une rencontre au sommet entre Philippe Couillard et les premiers ministres des provinces qui n’avaient toujours pas conclu d’entente avec le fédéral, soit l’Ontario, le Manitoba et l’Alberta. Le premier ministre avait refusé cette proposition.

« Après avoir laissé Gaétan Barrette se défouler sur Twitter, il oublie les revendications de son ministre. Aujourd’hui, Philippe Couillard et Gaétan Barrette ne peuvent pas se cacher. Ils doivent rendre des comptes aux patients du Québec, qui attendent des soins à domicile. Comment vont-ils leur expliquer qu’ils ont échoué et que cette entente va les priver des soins dont ils ont cruellement besoin ? » a conclu François Legault.

La CAQ souhaite la parité à la présidence de l’Assemblée nationale


 Publié le 10 mars 2017

Afin de favoriser une meilleure représentation féminine dans la sphère politique et combattre la faible présence des femmes dans nos institutions politiques, la Coalition Avenir Québec va d’une proposition concrète et pragmatique : la parité à la présidence de l’Assemblée nationale.

Selon la porte-parole de la CAQ en matière de condition féminine, Lise Lavallée, cette mesure sera un important pas en avant pour inciter les femmes à revendiquer leur place en politique. À l’heure actuelle, sur les 4 postes à la présidence et à la vice-présidente de l’Assemblée nationale, seule 1 femme s’y trouve, a regretté Lise Lavallée. Selon la caquiste, si l’on veut véritablement sensibiliser les Québécoises aux débats politiques et leur ouvrir toutes grandes les portes, c’est aux plus hautes instances de l’Assemblée nationale qu’il faut commencer.

« L’Assemblée nationale, c’est la maison du peuple, la maison de chaque citoyen et citoyenne du Québec. C’est l’endroit où se votent les lois qui régissent notre société, où les débats les plus cruciaux se tiennent. Or, il fait qu’elle soit accessible pour tous… et pour toutes. Au cours des derniers jours, nous avons entendu toute sorte de témoignages pour encourager les femmes à faire leurs marques et à s’impliquer davantage en politique. Les paroles sont une chose, mais elles sont vite oubliées. Ce que la CAQ propose aujourd’hui, c’est un geste concret, un gain pour toutes les femmes », a déclaré Lise Lavallée.

La députée de Repentigny a ajouté qu’en 150 ans d’histoire parlementaire, l’Assemblée nationale n’a eu qu’une femme à titre de présidente (Louise Harel) et 6 femmes à titre de vice-présidente (Louise Cuerrier, Louise Bégin, Diane Leblanc, Fatima Houda-Pépin, Carole Poirier, Maryse Gaudreault). « Il est grand temps de briser complètement ce plafond de verre pour les femmes du Québec. La présidence et la vice-présidence de l’Assemblée nationale sont considérées par plusieurs comme les fonctions parlementaires les plus prestigieuses et élevées qui soient au sein de nos institutions démocratiques. Je pense sincèrement que la parité à la présidence de l’Assemblée nationale sera un de ses gestes symboliques et très significatifs pour toutes celles qui rêvent un jour de fouler le Salon bleu », a souligné Lise Lavallée.

Au cours des prochains jours, la CAQ entend sensibiliser les membres du Bureau de l’Assemblée nationale à cette proposition, afin que les représentants de toutes les formations publiques puissent l’étudier sérieusement en vue de son instauration dès le début de la 42ème législature.

Congés de maternité des femmes médecins : La CAQ réclame l’annulation de la nouvelle directive ministérielle


 Publié le 10 mars 2017

« Les femmes représentent près de la moitié des médecins du Québec et elles ont le droit d’obtenir un congé de maternité et de s’occuper de leurs enfants. Le ministère de la Santé n’a pas à s’ingérer là-dedans », a déclaré la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de famille, Sylvie D’Amours, après avoir appris que le ministère de la Santé exige aux hôpitaux de limiter la durée des absences des femmes médecins lors de leurs congés de maternité.

Même si le ministre de la Santé affirme qu’il n’est pas contre les congés de maternité pour les femmes médecins, les directives envoyées par ses sous-ministres ont exactement l’effet contraire, a souligné Sylvie D’Amours, qui réclame dès aujourd’hui que Gaétan Barrette annule la directive de son sous-ministre et stipule clairement que les femmes peuvent disposer d’un congé de maternité d’une durée maximale d’un an.

« Aujourd’hui, c’est au tour des femmes médecins qui songent à fonder une famille de se sentir visées par l’attitude cavalière du Dr Barrette. Le gouvernement libéral n’a pas à dicter aux hôpitaux la façon de gérer les demandes des femmes à disposer librement et sans répercussions de leurs congés de maternité. Quand des femmes sont rendues à se battre pour devoir obtenir un congé de maternité, un droit qu’elles ont acquis et qui leur est dû, on a un sérieux problème », a déploré Sylvie D’Amours.

La critique en matière de familles a poursuivi en indiquant que des congés de maternité raccourcis pourraient avoir des effets néfastes tant pour le développement de l’enfant que pour les femmes qui souhaitent faire carrière dans le domaine de la médecine. Mme D’Amours a invité le ministre Gaétan Barrette à ne pas obliger ces femmes à faire un choix difficile. « Les réformes du Dr Barrette ont des effets plus forts et plus néfastes que prévu, si bien que plusieurs ne veulent plus travailler dans le système de santé. Or, il faut trouver des moyens pour attirer les jeunes étudiants à aller en médecine et couper dans les congés parentaux ne fait que décourager les hommes et les femmes qui souhaitent réussir professionnellement, tout en fondant une famille. Est-ce que le ministre de la Santé peut envoyer une directive claire aux hôpitaux et garantir aux médecins leurs congés parentaux ? »

Sébastien Schneeberger souligne la Journée des femmes


 Publié le 8 mars 2017

« Ensemble, continuons la lutte pour la justice sociale et l’égalité entre les sexes », exhorte le député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger. « Chaque année, la Journée internationale des femmes nous donne l’occasion de prendre conscience des obstacles qui restent à franchir pour parvenir à une véritable parité entre les genres. »

« Des progrès ont été accomplis, rappelle M. Schneeberger, depuis le droit de vote jusqu’à l’accès aux études supérieures et à des métiers non traditionnels, en passant par les garderies et la Loi sur l’équité salariale. Ces avancées sont dues en grande partie aux milliers de femmes qui ont milité pour introduire plus de justice, de compassion et de dignité au cœur de nos sociétés. »

« J’encourage les femmes à aller au bout de leurs rêves, poursuit le député. Je souhaite qu’elles soient plus nombreuses à se présenter en politique et à occuper des postes de direction. Il appartient autant aux hommes qu’aux femmes de faire évoluer les mentalités et les comportements pour que chaque personne puisse réaliser ses aspirations sans discrimination. »