Une Journée internationale des femmes en 2017?


 Publié le 8 mars 2017

Chaque année, la Journée internationale des femmes nous permet de rendre hommage à celles qui ont consacré leur vie à l’amélioration de nos conditions. Cette journée est l’occasion de contempler le chemin parcouru par nos prédécesseures dans cette longue lutte pour l’égalité :

Des moments importants de notre histoire :

  • 1940 : Les femmes obtiennent le droit de vote au Québec;
  • 1961 : Marie-Claire Kirkland-Casgrain devient la première femme élue à siéger l’Assemblée nationale;
  • 1969: Les hôpitaux peuvent pratiquer l’avortement, mais uniquement dans les cas où la santé physique ou mentale de la femme est en danger;
  • 1993 : Pour la première fois dans l’histoire du Canada, une femme, Kim Campbell, dirige le pays;
  • 1996 : La Loi sur l’équité salariale est adoptée à l’Assemblée nationale. Les entreprises de dix employés et plus doivent désormais corriger les iniquités de rémunération entre les hommes et les femmes.

Difficile à croire aujourd’hui, mais…

  • 1964: Une femme peut désormais encaisser un chèque sans devoir demander la signature de son mari. MERCI!
  • 1978: Le gouvernement du Québec instaure le congé de maternité de 18 semaines. OUF, le gros luxe !
  • 1983 : Le projet de loi C-127 est adopté et un conjoint peut désormais être inculpé d’agression sexuelle. Auparavant, toute relation sexuelle au sein du couple était considérée comme un devoir conjugal. ABERRANT !
  • 1989 : La Cour suprême autorise une femme à décider elle-même de subir un avortement. Auparavant, une tierce personne pouvait s’opposer à cette décision et obliger la femme à poursuivre sa grossesse non désirée. Il y a seulement 28 ans de ca….vous imaginez ?

En l’espace de quelques décennies, nous en avons fait du chemin! Mais ces acquis sont fragiles. Encore aujourd’hui, les femmes sont sous-représentées en politique. Encore aujourd’hui, l’équité salariale n’est pas atteinte dans tous les domaines. Encore aujourd’hui, des jeunes filles doivent se battre contre les stéréotypes pour réaliser leurs rêves.

Mettre un terme définitif aux idées préconçues nécessite la contribution de tous, hommes et femmes confondus. Parce que l’égalité n’est pas seulement qu’une affaire de femmes, elle est aussi l’affaire des hommes; celle des pères, des frères et des conjoints, qui, jour après jour, combattent les stéréotypes et font avancer la cause des femmes.

Je ne pourrais passer sous silence le dévouement et le travail acharné des organismes communautaires de ma circonscription qui font une réelle différence dans la vie des femmes: les AFÉAS, le Centre de Femmes L’Autonomie en soiE, la Clé sur la Porte, les Cercles de fermières, le Syndicat des agricultrices – Région Saint-Hyacinthe, ainsi que la Coalition des femmes de la MRC des Maskoutains.

À vous toutes et vous tous, qui avez défendu et qui continuent de défendre nos droits, cette journée vous est destinée. Pour que nous nous souvenions du chemin parcouru, mais aussi, et surtout, pour que nous continuions de paver tous ensemble la voie vers l’égalité.

Bonne Journée internationale des femmes!

Nominations des juges et décideurs administratifs : La CAQ veut contrer les nominations partisanes


 Publié le 7 mars 2017

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, a invité mardi la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, à dépoussiérer le rapport La justice administrative : entre indépendance et responsabilité, dirigé par le professeur Pierre Noreau, sur le processus de nomination des juges administratifs afin de le mettre en application le plus rapidement possible. Le député caquiste ne se fait toutefois pas d’illusion et a annoncé qu’il déposera dans les prochains jours un projet de loi à l’Assemblée nationale pour que le gouvernement du Québec se dote d’un processus transparent pour la sélection et la nomination de l’ensemble de ses juges et décideurs administratifs, basé sur leur indépendance et leur compétence.

Tabletté par les libéraux, ce rapport est primordial pour le bon fonctionnement de nos institutions, a indiqué Simon Jolin-Barrette. En effet, l’absence de règles au sein des tribunaux et organismes laisse le champ libre aux nominations partisanes, si bien que celles-ci sont devenues monnaie courante. Le rapport dirigé par le professeur Pierre Noreau, déposé en février 2014, démontrait d’ailleurs que pour 9 des 15 principaux tribunaux administratifs, les modalités entourant la sélection, la nomination et le renouvellement des décideurs sont inefficients, voire inexistants.

« Philippe Couillard avait confié à Stéphanie Vallée le mandat d’étudier le rapport Noreau afin de mener une réforme de la justice administrative. Près de trois ans plus tard, on est encore et toujours à la case départ. Les juges et décideurs occupent des postes essentiels pour le bon fonctionnement de notre vie démocratique. Chaque jour, ils sont appelés à statuer sur les droits des Québécois dans des dossiers qui ont des répercussions directes sur les familles québécoises. Pensons simplement à la Régie de l’énergie ou à la Commission municipale du Québec. Le gouvernement libéral est incapable de démontrer que la personne choisie est à l’abri de toute intervention politique et la mieux qualifiée », a déclaré Simon Jolin-Barrette.

Le député de Borduas a poursuivi en indiquant que plus de 300 juges et décideurs œuvrent sur 15 tribunaux administratifs au Québec. Ils traitent annuellement plus de 140 000 dossiers. Ceci ne fait que démontrer l’importance de la réforme qu’il faut mener. « Il faut mettre un terme aux nominations partisanes, dont le Parti libéral est le maître incontestable. Pensons simplement à Françoise Gauthier, ex-députée libérale, qui a accédé à la présidence de la Commission québécoise des libérations conditionnelles ! Ce n’est pas sérieux. Les Québécois doivent pouvoir faire valoir leurs droits devant des juges et décideurs parfaitement indépendants et compétents. Si le gouvernement Couillard n’est pas prêt à poser les gestes nécessaires, un gouvernement de la CAQ le fera une fois élu, en octobre 2018 », a conclu Simon Jolin-Barrette.

De la lumière au bout du tunnel Casavant!


 Publié le 6 mars 2017

C’est avec grande satisfaction que le maire, le directeur général et la députée de Saint-Hyacinthe sont ressortis, jeudi dernier, de leur entretien avec le Ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire (MAMOT), dans le dossier du tunnel Casavant.

Cette rencontre, organisée par la députée Chantal Soucy, avait pour but de convaincre le sous-ministre aux infrastructures du MAMOT, le chef de cabinet du ministre Martin Coiteux, ainsi que son conseiller politique de l’importance pour la Ville de Saint-Hyacinthe d’obtenir une aide financière du Gouvernement du Québec dans ce projet. « Je voulais leur présenter le dossier sous un autre angle. Le projet du tunnel n’est pas qu’un simple projet d’infrastructure. Il s’agit d’un enjeu de taille, tant au point de vue économique que sécuritaire. Présentement, l’enclavement de notre quartier industriel empêche certaines de nos entreprises de se développer à leur plein potentiel et pourrait éventuellement dissuader les nouveaux investisseurs à venir s’établir chez nous », a souligné la députée. « Je leur ai aussi expliqué que, pour le Cégep de Saint-Hyacinthe, l’enclavement de ce secteur de la ville est bien plus qu’une simple question de circulation, c’est aussi un enjeu sécuritaire! Le Cégep n’a qu’une seule voie d’accès et, dans le contexte actuel, les conditions de sécurité en cas d’évacuation urgente sont préoccupantes. Ces risques, réels et documentés, seraient considérablement réduits avec le prolongement du boulevard Casavant », a conclu la députée caquiste.

Pour leur part, le maire et le directeur général de la Ville de Saint-Hyacinthe se sont attardés au volet technique du projet et en ont dressé les grandes lignes, détaillant notamment l’échéancier prévu, ainsi que le budget requis pour sa réalisation. Au terme de la rencontre, qu’ils ont qualifiée de « très positive », Chantal Soucy, Claude Corbeil et Louis Bilodeau se sont dits confiants pour la suite des choses.

« Ça fait près de onze ans que la Ville travaille activement sur ce dossier-là. Il faut que ça bouge! Enfin, on sent une réelle ouverture de la part du ministère. Le chef de cabinet et le sous-ministre se sont montrés très réceptifs à notre présentation et je vous mentirais si je vous disais que je n’éprouve pas un petit sentiment de satisfaction en ce moment. Rien n’est gagné, mais on sent qu’on vient de faire un grand pas dans la bonne direction! Il s’agit d’un important investissement pour les contribuables maskoutains et je compte bien me battre jusqu’au bout pour réduire le coût de la facture pour mes citoyens », a affirmé la députée de Saint-Hyacinthe.

« Le projet d’étagement ferroviaire est un dossier prioritaire du Conseil », a , pour sa part, déclaré le maire Claude Corbeil. « Pour l’instant, les prévisions pour sa construction tournent autour de 32 M$ incluant le prolongement du boulevard Casavant Ouest et le développement du ruisseau Plein Champ, de même que les frais de financement. Nous sommes en démarche active de subventions et nous allons faire tout en notre pouvoir pour en obtenir. À ce sujet, je tiens à souligner la bonne collaboration et l’énergie déployée par nos députées provinciales et fédérales. Au cours des prochaines semaines, nous comptons redoubler d’ardeur et effectuer toutes les interventions nécessaires pour obtenir une aide financière des deux paliers de gouvernement », a-t-il souligné.

Dons illégaux : Le PQ a mis en place une fiducie bidon


 Publié le 6 mars 2017

« Après s’être fait traîner en cour par le Directeur général des élections du Québec, le Parti Québécois a mis en place une fiducie bidon. On aura tout vu! », s’est exclamé le député de Borduas et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de réforme des institutions démocratiques, Simon Jolin-Barrette.

Lundi, on apprenait que la somme de 159 000 $ de dons illégaux réclamés par le DGEQ n’avait pas été versée dans la fiducie instaurée par le chef du PQ Jean-François Lisée, tel qu’il l’avait promis. Pour Simon Jolin-Barrette, cette situation est inacceptable, d’autant plus que le PQ poursuit ses dépenses, puisées à même la subvention que lui octroie annuellement le DGEQ.

« Le PQ n’est plus seulement déconnecté, il est complètement désespéré. Sa fiducie bidon n’est qu’une diversion, un écran de fumée. Mais tous les Québécois voient clair dans son jeu. Endetté jusqu’au cou, Jean-François s’achète du temps et n’a aucun problème à ce que les contribuables québécois épongent sa dette. Je n’arrive pas à croire qu’après tout ce qu’on a entendu au cours des dernières années en matière de financement, le PQ accepte de garder dans ses coffres de l’argent sale, qui, je le rappelle, lui a servi à payer des élections partielles. Le parti fondé par René Lévesque a perdu toutes ses racines, toutes ses valeurs. Jean-François Lisée doit cesser de se penser au-dessus de tout et rembourser immédiatement les 194 950 $ de dons illégaux exigés par le DGEQ. C’est non-négociable », a déclaré Simon Jolin-Barrette.

Pour le député de Borduas, il s’agit avant tout d’une question de principe. Cette fiducie bidon contribue à alimenter le cynisme de la population envers la classe politique. « Si Jean-François Lisée est incapable d’administrer et de balancer les comptes de son propre parti, comment peut-il aspirer à gérer les finances publiques du Québec ? Les Québécois ne sont pas dupes. Que Jean-François Lisée cesse de trouver des excuses auprès du DGEQ et qu’il passe à la caisse, une bonne fois pour toutes », a conclu Simon Jolin-Barrette.

Patients orphelins : La CAQ met au jour une faille importante de la réforme Barrette pour la région de Montréal


 Publié le 6 mars 2017

Des milliers de patients dans la région de Montréal cherchant toujours un médecin de famille vont demeurer orphelins une fois que la cible du ministre Gaétan Barrette sera atteinte, a révélé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, après avoir obtenu et analysé de nouvelles données de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

Les chiffres obtenus par la CAQ démontrent que même si la cible nationale d’inscription de 85 % est atteinte dans la grande région de Montréal, des milliers de patients risquent malgré tout se retrouver sans médecin de famille, et ce, même s’ils en cherchent un, a expliqué François Paradis. Ce faisant, ces patients orphelins seront laissés à eux-mêmes par le gouvernement libéral, puisque la réforme Barrette ne se concentre que sur l’atteinte de la cible du ministre Barrette. « Gaétan Barrette va échapper des milliers de patients orphelins qui recherchent un médecin de famille. Qu’est-ce qu’il va répondre aux pères et aux mères de famille qui cherchent un médecin alors que la cible est atteinte dans leur région ? » s’est interrogé François Paradis.

En janvier 2017, la cible d’inscription était d’à peine 61,1 % à Montréal. De plus, grâce aux informations obtenues par la CAQ, on remarque dans les quartiers de Montréal, les cibles d’inscriptions varient actuellement de 53 % à 67 %, ce qui est très loin de la cible nationale de 85 %, a indiqué le député caquiste. La CAQ exige du ministre de la Santé qu’il change immédiatement la cible de 85 % pour la fixer à 100 %, comme le permet une disposition contenue dans l’entente conclut avec la FMOQ, afin que les patients qui cherchent et désirent un médecin de famille puissent véritablement en trouver un.

« Des patients orphelins dans la région de Montréal pourraient donc être abandonnés par le système. Le ministre doit immédiatement corriger le tir. Gaétan Barrette doit reconnaitre les failles de sa réforme et agir en conséquence », a conclu le député de Lévis.

Voici le détail des chiffres obtenus en exclusivité par la CAQ pour la région de Montréal:

% de la population inscrite auprès d’un médecin de famille Patients à inscrire pour atteindre la cible de 85 % selon la RAMQ (1) Patients inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille (GAMF) (2) Différence entre les patients inscrits au GAMF et les cibles d’inscriptions de la RAMQ (Total de 2-1) 
PIERREFONDS – LAC SAINT-LOUIS 66,9 % 38 918 8 817 -30 101
DORVAL – LACHINE – LASALLE 66,2 % 25 712 5 922 -19 790
VERDUN – COTE ST-PAUL – ST-HENRI – POINTE-ST-CHARLES 65,6 % 28 362 6 521 -21 841
RIVIÈRE-DES-PRAIRIES – ANJOU – MONTRÉAL-EST 63,2 % 42 196 13 132 -29 064
HOCHELAGA – MERCIER-OUEST – ROSEMONT 59,2 % 43 978 17 362 -26 616
SAINT-LÉONARD – SAINT-MICHEL 53,3 % 41 368 9 507 -31 861
COTE-DES-NEIGES – METRO – PARC-EXTENSION 56,3 % 58 335 7 080 -51 255
RLS DE CÔTE-SAINT-LUC – NDG – MONTRÉAL-OUEST 66,2 % 22 115 3 132 -18 983
FAUBOURGS – PLATEAU-MONT-ROYAL – ST-LOUIS-DU-PARC 57,5 % 37 245 9 549 -27 696
RLS DU NORD DE L’ILE – SAINT-LAURENT 59,5 % 37 777 6 862 -30 915
PETITE PATRIE – VILLERAY 56,9 % 28 798 9 535 -19 263
D’AHUNTSIC – MONTRÉAL-NORD 60,3 % 39 371 12 317 -27 054
MONTRÉAL 61,1 % 444 175 109 736 - 334 439

Patients orphelins : La CAQ met au jour une faille importante de la réforme Barrette pour la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean


 Publié le 6 mars 2017

Des milliers de patients dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean cherchent toujours un médecin de famille, même si la cible du ministre Gaétan Barrette est déjà atteinte, a révélé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, après avoir obtenu et analysé de nouvelles données de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

Les chiffres obtenus par la CAQ démontrent que même si la cible nationale d’inscription de 85 % est atteinte dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, des milliers de patients se retrouvent sans médecin de famille, a expliqué François Paradis. « Gaétan Barrette échappe des milliers de patients orphelins qui recherchent un médecin de famille. Qu’est-ce qu’il va répondre aux pères et aux mères de famille qui cherchent un médecin alors que la cible est atteinte dans leur région ? » s’est interrogé François Paradis.

En janvier 2017, la cible d’inscription était de 87,3 % au Saguenay-Lac-St-Jean, mais 14 021 patients étaient tout de même inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille, , a indiqué le député caquiste. Dans le secteur de La Baie, même si la cible de 85 % était atteinte, 906 patients chercheraient encore un médecin. Or, si l’on suit la logique du ministre, il ne devrait plus y avoir de patients qui cherchent un médecin avec un taux de 85 %, mais ce n’est pas le cas. En mai 2015, le ministre Barrette affirmait pourtant haut et fort que « 85 % de la population à inscrire, c’est la totalité de la population qui le désire. 85 %, c’est 100 % des gens qui recherchent un médecin de famille ». Or, rien n’est plus faux, selon les données recueillies par M. Paradis.

La CAQ exige du ministre de la Santé qu’il change immédiatement la cible de 85 % pour la fixer à 100 %, comme le permet une disposition contenue dans l’entente conclut avec la FMOQ, afin que les patients qui cherchent et désirent un médecin de famille puissent véritablement en trouver un. « Des patients orphelins dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean sont abandonnés par le système. Le ministre doit immédiatement corriger le tir. Gaétan Barrette doit reconnaitre les failles de sa réforme et agir en conséquence », a conclu le député de Lévis.

Voici le détail des chiffres obtenus en exclusivité par la CAQ pour la région du Saguenay-Lac-St-Jean :

% de la population inscrite auprès d’un médecin de famille Patients à inscrire pour atteindre la cible de 85 % selon la RAMQ (1) Patients inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille (GAMF) (2) Différence entre les patients inscrits au GAMF et les cibles d’inscriptions de la RAMQ (Total de 2-1) 
RLS DE LA BAIE 78,8 % 1 321 2227 906
RLS DE CHICOUTIMI 84,6 % 307 3 703 3 396
RLS DE JONQUIERE 85,1 % 0 5 275 5 275
RLS DU DOMAINE-DU-ROY 89,3 % 0 209 209
RLS DE MARIA-CHAPDELAINE 95,6 % 0 853 853
RLS DE LAC-SAINT-JEAN-EST 92,1 % 0 1 754 1 754
SAGUENAY-LAC-ST-JEAN 87,3 % 0 14 021 12 393

Patients orphelins : La CAQ met au jour une faille importante de la réforme Barrette pour la région de l’Estrie


 Publié le 6 mars 2017

Des milliers de patients dans la région de l’Estrie cherchant toujours un médecin de famille vont demeurer orphelins une fois que la cible du ministre Gaétan Barrette sera atteinte, a révélé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, après avoir obtenu et analysé de nouvelles données de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

Les chiffres obtenus par la CAQ démontrent que même si la cible nationale d’inscription de 85 % est atteinte dans la région de l’Estrie, des milliers de patients risquent malgré tout se retrouver sans médecin de famille, et ce, même s’ils en cherchent un, a expliqué François Paradis. Ce faisant, ces patients orphelins seront laissés à eux-mêmes par le gouvernement libéral, puisque la réforme Barrette ne se concentre que sur l’atteinte de la cible du ministre Barrette. « Gaétan Barrette va échapper des milliers de patients orphelins qui recherchent un médecin de famille. Qu’est-ce qu’il va répondre aux pères et aux mères de famille qui cherchent un médecin alors que la cible est atteinte dans leur région ? » s’est interrogé François Paradis.

En janvier 2017, la cible d’inscription était de 78,1 % en Estrie, mais il y a 7 766 patients de plus inscrits au Guichet d’accès au médecin de famille que de patients à inscrire par rapport aux cibles régionales établies par la RAMQ. Ainsi, même si la cible de 85 % était atteinte, des milliers de patients pourraient tout de même rester sur la liste d’attente, a indiqué le député caquiste. Pourtant, en mai 2015, le ministre Barrette affirmait haut et fort que « 85 % de la population à inscrire, c’est la totalité de la population qui le désire. 85 %, c’est 100 % des gens qui recherchent un médecin de famille ». Or, rien n’est plus faux, selon les données recueillies par M. Paradis.

La CAQ exige du ministre de la Santé qu’il change immédiatement la cible de 85 % pour la fixer à 100 %, comme le permet une disposition contenue dans l’entente conclut avec la FMOQ, afin que les patients qui cherchent et désirent un médecin de famille puissent véritablement en trouver un. « Des patients orphelins dans la région de l’Estrie pourraient donc être abandonnés par le système. Le ministre doit immédiatement corriger le tir. Gaétan Barrette doit reconnaitre les failles de sa réforme et agir en conséquence », a conclu le député de Lévis.

Voici le détail des chiffres obtenus en exclusivité par la CAQ pour la région de la de l’Estrie :

% de la population inscrite auprès d’un médecin de famille Patients à inscrire pour atteindre la cible de 85 % selon la RAMQ (1) Patients inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille (GAMF) (2) Différence entre les patients inscrits au GAMF et les cibles d’inscriptions de la RAMQ (Total de 2-1) 
RLS DU GRANIT 76,9 % 1 727 2 588 861
RLS D’ASBESTOS 78,6 % 896 1 811 915
RLS DU HAUT-SAINT-FRANCOIS 76,5 % 1 836 2 362 526
RLS DE VAL SAINT-FRANCOIS 84,5 % 160 1 369 1 209
RLS DE COATICOOK 81,9 % 553 1 674 1 121
RLS DE MEMPHREMAGOG 78,7 % 3 178 4 577 1 399
RLS DE SHERBROOKE 76,5 % 13 150 14 885 1 735
ESTRIE 78,1 % 21 500 29 266 7 766

Patients orphelins : La CAQ met au jour une faille importante de la réforme Barrette pour la région de la Mauricie–Centre-du-Québec


 Publié le 6 mars 2017

Des milliers de patients dans la région de la Mauricie–Centre-du-Québec cherchant toujours un médecin de famille vont demeurer orphelins une fois que la cible du ministre Gaétan Barrette sera atteinte, a révélé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, après avoir obtenu et analysé de nouvelles données de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

Les chiffres obtenus par la CAQ démontrent que même si la cible nationale d’inscription de 85 % est atteinte dans la grande région de la Mauricie–Centre-du-Québec, des milliers de patients risquent malgré tout se retrouver sans médecin de famille, et ce, même s’ils en cherchent un, a expliqué François Paradis. Ce faisant, ces patients orphelins seront laissés à eux-mêmes par le gouvernement libéral, puisque la réforme Barrette ne se concentre que sur l’atteinte de la cible du ministre Barrette. « Gaétan Barrette va échapper des milliers de patients orphelins qui recherchent un médecin de famille. Qu’est-ce qu’il va répondre aux pères et aux mères de famille qui cherchent un médecin alors que la cible est atteinte dans leur région ? » s’est interrogé François Paradis.

En janvier 2017, la cible d’inscription était de 82,6 % de la  Mauricie–Centre-du-Québec, mais il y a 20 666 patients de plus inscrits au Guichet d’accès au médecin de famille que de patients à inscrire par rapport à la cible régionale établie par la RAMQ. Ainsi, même si la cible régionale de 85 % était atteinte, des milliers de patients pourraient tout de même rester sur la liste d’attente. Dans les régions de Drummondville, de Batiscan et de Bécancour Nicolet-Yamaska, la cible de 85 % est déjà dépassée, mais il reste encore des milliers de patients qui se cherchent un médecin de famille, a indiqué le député caquiste. Pourtant, en mai 2015, le ministre Barrette affirmait haut et fort que « 85 % de la population à inscrire, c’est la totalité de la population qui le désire. 85 %, c’est 100 % des gens qui recherchent un médecin de famille ». Or, rien n’est plus faux, selon les données recueillies par M. Paradis.

La CAQ exige du ministre de la Santé qu’il change immédiatement la cible de 85 % pour la fixer à 100 %, comme le permet une disposition contenue dans l’entente conclut avec la FMOQ, afin que les patients qui cherchent et désirent un médecin de famille puissent véritablement en trouver un. « Des patients orphelins en Mauricie et au Centre-du-Québec pourraient donc être abandonnés par le système. Le ministre doit immédiatement corriger le tir. Gaétan Barrette doit reconnaitre les failles de sa réforme et agir en conséquence », a conclu le député de Lévis.

Voici le détail des chiffres obtenus en exclusivité par la CAQ pour la région de la Mauricie–Centre-du-Québec :

% de la population inscrite auprès d’un médecin de famille Patients à inscrire pour atteindre la cible de 85 % selon la RAMQ (1) Patients inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille (GAMF) (2) Différence entre les patients inscrits au GAMF et les cibles d’inscriptions de la RAMQ (Total de 2-1) 
RLS DU HAUT-SAINT-MAURICE 78,6 % 919 596 -323
RLS DE LA VALLÉE DE LA BATISCAN 89,0 % 0 786 786
RLS DU CENTRE-DE-LA-MAURICIE 83,6 % 848 3 860 3 012
RLS DE MASKINONGÉ 86,2 % 0 1 447 1 447
RLS DE TROIS-RIVIÈRES 78,6 % 8 594 11 445 2 851
RLS DE BÉCANCOUR – NICOLET-YAMASKA 89,6 % 0 1 166 1 166
RLS DE DRUMMOND 86,1 % 0 5 531 5 531
RLS D’ARTHABASKA – DE L’ÉRABLE 78,9 % 5 701 7 598 1 897
MAURICIE–CENTRE-DU-QUÉBEC 82,6 % 11 763 32 429 20 666

Patients orphelins : La CAQ met au jour une faille importante de la réforme Barrette pour la région du Bas-Saint-Laurent


 Publié le 6 mars 2017

Des milliers de patients dans la région du Bas-Saint-Laurent cherchent toujours un médecin de famille, même si la cible du ministre Gaétan Barrette est déjà atteinte, a révélé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, après avoir obtenu et analysé de nouvelles données de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

Les chiffres obtenus par la CAQ démontrent que même si la cible nationale d’inscription de 85 % est atteinte dans la grande région du Bas-Saint-Laurent, des milliers de patients se retrouvent sans médecin de famille, a expliqué François Paradis. « Gaétan Barrette échappe des milliers de patients orphelins qui recherchent un médecin de famille. Qu’est-ce qu’il va répondre aux pères et aux mères de famille qui cherchent un médecin alors que la cible est atteinte dans leur région ? » s’est interrogé François Paradis.

En janvier 2017, la cible d’inscription était de 87,1 % dans le Bas-Saint-Laurent, mais 6 493 patients étaient tout de même inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille, a indiqué le député caquiste. À Rimouski, même si la cible de 85 % était atteinte, 1 435 patients chercheraient encore un médecin. Or, si l’on suit la logique du ministre, il ne devrait plus y avoir de patients qui cherchent un médecin avec un taux de 85 %, mais ce n’est pas le cas. En mai 2015, le ministre Barrette affirmait pourtant haut et fort que « 85 % de la population à inscrire, c’est la totalité de la population qui le désire. 85 %, c’est 100 % des gens qui recherchent un médecin de famille ». Or, rien n’est plus faux, selon les données recueillies par M. Paradis.

La CAQ exige du ministre de la Santé qu’il change immédiatement la cible de 85 % pour la fixer à 100 %, comme le permet une disposition contenue dans l’entente conclut avec la FMOQ, afin que les patients qui cherchent et désirent un médecin de famille puissent véritablement en trouver un. « Des patients orphelins dans la région du Bas-Saint-Laurent sont abandonnés par le système. Le ministre doit immédiatement corriger le tir. Gaétan Barrette doit reconnaitre les failles de sa réforme et agir en conséquence », a conclu le député de Lévis.

Voici le détail des chiffres obtenus en exclusivité par la CAQ pour la région du Bas-Saint-Laurent :

% de la population inscrite auprès d’un médecin de famille Patients à inscrire pour atteindre la cible de 85 % selon la RAMQ (1) Patients inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille (GAMF) (2) Différence entre les patients inscrits au GAMF et les cibles d’inscriptions de la RAMQ (Total de 2-1) 
RLS DE RIMOUSKI 81,9 % 1714 3 149 1 435
RLS DE LA MITIS 86,3 % 0 897 897
RLS DE MATANE 91,3 % 0 341 341
RLS DE LA MATAPEDIA 85,1 % 0 812 812
RLS DES BASQUES 92,7 % 0 22 22
RLS DE TEMISCOUATA 91,6 % 0 81 81
RLS DE RIVIÈRE-DU-LOUP 90,9 % 0 489 489
RLS DE KAMOURASKA 86,8 % 0 702 702
BAS-SAINT-LAURENT 87,1 % 0 6493 4 779

Patients orphelins : La CAQ met au jour une faille importante de la réforme Barrette pour la région de la Capitale-Nationale


 Publié le 6 mars 2017

Des milliers de patients dans la région de la Capitale-Nationale cherchant toujours un médecin de famille vont demeurer orphelins une fois que la cible du ministre Gaétan Barrette sera atteinte, a révélé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, après avoir obtenu et analysé de nouvelles données de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

Les chiffres obtenus par la CAQ démontrent que même si la cible nationale d’inscription de 85 % est atteinte dans la grande région de Québec, des milliers de patients risquent malgré tout se retrouver sans médecin de famille, et ce, même s’ils en cherchent un, a expliqué François Paradis. Ce faisant, ces patients orphelins seront laissés à eux-mêmes par le gouvernement libéral, puisque la réforme Barrette ne se concentre que sur l’atteinte de la cible du ministre Barrette. « Gaétan Barrette va échapper des milliers de patients orphelins qui recherchent un médecin de famille. Qu’est-ce qu’il va répondre aux pères et aux mères de famille qui cherchent un médecin alors que la cible est atteinte dans leur région ? » s’est interrogé François Paradis.

En janvier 2017, la cible d’inscription était de 79,1 % dans la Capitale-Nationale, mais il y a 10 635 patients de plus inscrits au Guichet d’accès au médecin de famille que de patients à inscrire par rapport à la cible régionale établie par la RAMQ, a indiqué le député caquiste. Pourtant, en mai 2015, le ministre Barrette affirmait haut et fort que « 85 % de la population à inscrire, c’est la totalité de la population qui le désire. 85 %, c’est 100 % des gens qui recherchent un médecin de famille ». Or, rien n’est plus faux, selon les données recueillies par M. Paradis.

La CAQ exige du ministre de la Santé qu’il change immédiatement la cible de 85 % pour la fixer à 100 %, comme le permet une disposition contenue dans l’entente conclut avec la FMOQ, afin que les patients qui cherchent et désirent un médecin de famille puissent véritablement en trouver un. « Des patients orphelins dans la Capitale-Nationale pourraient donc être abandonnés par le système. Le ministre doit immédiatement corriger le tir. Gaétan Barrette doit reconnaitre les failles de sa réforme et agir en conséquence », a conclu le député de Lévis.

Voici le détail des chiffres obtenus en exclusivité par la CAQ pour la région de la Capitale-Nationale :

% de la population inscrite auprès d’un médecin de famille Patients à inscrire pour atteindre la cible de 85 % selon la RAMQ (1) Patients inscrits au Guichet d’accès à un médecin de famille (GAMF) (2) Différence entre les patients inscrits au GAMF et les cibles d’inscriptions de la RAMQ (Total de 2-1) 
RLS DE PORTNEUF 88,3 % 0 1 170 1 170
RLS DE QUÉBEC-SUD 77,2 % 23 076 19 556 -3 520
RLS DE QUÉBEC-NORD 78,5 % 21 359 30 245 8 886
RLS DE CHARLEVOIX 90,5 % 0 861 861
CAPITALE-NATIONALE 79,1 % 41 197 51 832 10 635