Place en CHSLD dans la région des Laurentides : Une attente inacceptable de 269 jours pour nos aînés, déplore la CAQ


 Publié le 1 décembre 2016

Dans la région des Laurentides, en mars 2016, 324 aînés devaient attendre en moyenne 269 jours pour obtenir une place en CHSLD, selon des informations obtenues par la CAQ et révélées par le député de Lévis, François Paradis. Le critique caquiste en matière de santé réclame à nouveau du gouvernement libéral un plan concret pour s’attaquer aux listes d’attente.

À Saint-Jérôme, la situation est d’autant plus intenable, a regretté François Paradis, alors que près d’une centaine d’aînés attendent une place permanente en CHSLD. En effet, le député de la CAQ a révélé que :

– 42 aînés attendent 248 jours pour une place au CHSLD d’Youville Saint-Jérôme ;

– 29 aînés attendent 301 jours pour une place au CHSLD l’Auberge ;

– 26 aînés attendent 336 jours pour une place au CHSLD Lucien-G. Rolland.

« Le gouvernement a prévu la construction d’un nouveau CHSLD qui accueillera, d’ici un an, les résidents des CHSLD d’Youville et de l’Auberge qui vont fermer leurs portes. Malgré cette annonce, il n’y aura pas de lits additionnels pour réduire la liste d’attente, alors que ça prend 300 jours pour qu’un aîné obtienne sa place. Le ministre Gaétan Barrette n’a encore rien fait pour s’attaquer à ces délais. Ce qu’il doit comprendre, c’est que les personnes qui résident en CHSLD ne le font pas par choix, mais parce que leur santé les y oblige. Il est inacceptable que des aînés aient à attendre 300 jours en moyenne à Saint-Jérôme pour obtenir leur place en CHSLD ! » a déclaré François Paradis, qui fait de la protection et de la défense des droits des aînés une de ses priorités à l’Assemblée nationale.

Le porte-parole de la CAQ pour la région des Laurentides, Benoit Charette, a poursuivi en ajoutant que faute de place en CHSLD, 66 aînés occupent actuellement un lit dans les hôpitaux des Laurentides. Or, ces lits occupés par des aînés engorgent les urgences de la région. M. Charette demande au ministre Gaétan Barrette de déposer un vrai plan de réduction des listes d’attente et de mettre fin aux mesures cosmétiques.

« À Saint-Jérôme, l’urgence déborde continuellement. Cette semaine encore, l’attente sur civière était de 26 heures et demie ! Il est grand temps pour Gaétan Barrette de descendre de son nuage pour que nos personnes âgées, tant à Saint-Jérôme qu’à travers tout le Québec, puissent obtenir les services et le soutien qu’ils méritent, dans des délais raisonnables », a conclu le député de Deux-Montagnes.

De son côté, le candidat de la CAQ dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, rappelle que les conditions de vie des aînés sont une priorité pour lui et qu’il entend talonner le gouvernement libéral pour que les aînés obtiennent enfin les services qu’ils méritent.

Mais qui conseillait le Premier ministre quand il coupait sans vergogne en éducation?


 Publié le 1 décembre 2016

Vous ne pouvez pas vous dissocier des pires compressions faites en 20 ans dans le réseau de l’éducation au Québec alors que vous conseilliez le Premier ministre tout ce temps. Nous ne sommes pas dupes, Monsieur Proulx.

Élection partielle dans Arthabaska : « Seule la CAQ propose une réduction d’impôts de 1000 $ par famille » – Éric Lefebvre


 Publié le 1 décembre 2016

Après avoir sillonné les 17 municipalités de la circonscription d’Arthabaska-L’Érable à la rencontre des électeurs, le candidat de la Coalition Avenir Québec, Éric Lefebvre, se dit fier d’avoir mené une campagne d’idées positive. Il assure être le mieux placé pour obtenir des gains concrets pour la région une fois élu le 5 décembre prochain.

Éric Lefebvre termine sa campagne positivement en insistant sur la reconnaissance régionale, notamment dans le système de santé, la réalisation dans les plus brefs délais de l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska, la baisse d’impôt de 1000 $ par famille, la création d’un fonds de 50 M$ par année pour l’industrie agricole, la restauration du réservoir Beaudet et l’amélioration des soins pour les aînés dans les CHSLD.

« Parmi les fautes du gouvernement libéral, je m’élève contre le refus de l’établissement d’un Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) pour le Centre-du-Québec. Je déplore aussi le transfert d’expertise, par exemple en centralisant toutes les analyses à Trois-Rivières, ce qui entraînera une réduction importante des services de proximité et un risque de conséquences graves sur la santé de nos concitoyens. J’ajoute à ce palmarès peu reluisant l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu, alors que la première pelletée de terre n’est pas prévue avant 5 à 7 ans. Le gouvernement libéral doit cesser de nous prendre pour des citoyens de seconde zone. De plus, je tiens à faire changer le nom du comté qui est en ce moment Arthabaska pour Arthabaska-L’Érable afin que les gens de cette MRC se sentent inclus », réaffirme-t-il.

Baisse d’impôt de 1000 $ par famille

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, rappelle pour sa part que la CAQ est le seul parti qui se soucie réellement de la population. « Alors que le gouvernement fait des surplus budgétaires, les Québécois ont vu les taxes et tarifs augmenter de 1300 $ depuis deux ans. C’est aberrant! Nous réclamons une baisse d’impôt de 1000 $ par famille pour donner un nouveau souffle aux contribuables. Tant Philippe Couillard que Jean-François Lisée rejettent notre proposition. Ils sont complètement déconnectés. »

Élection partielle dans Arthabaska : Éric Caire lance un appel à voter contre la corruption


 Publié le 1 décembre 2016

Le député de la Coalition Avenir Québec et ancien député de l’ADQ, Éric Caire, invite les citoyens d’Arthabaska à sortir massivement voter pour Éric Lefebvre le 5 décembre prochain. . Pour lui, le moment est idéal pour lancer un message clair : donnons une première leçon au gouvernement libéral. »

« Les électeurs d’Arthabaska doivent dire aux libéraux : Non, je ne peux pas voter pour un parti gangréné par les scandales de corruption. Je ne peux pas voter pour un parti qui prend le monde pour acquis, qui augmente les taxes et tarifs sans cesse sans redonner un peu d’oxygène aux contribuables et qui fait des nominations partisanes sans compter. Je ne peux voter pour un parti qui est affligé toutes les semaines par de nouveaux scandales. L’équipe libérale de Philippe Couillard, c’est la même équipe que celle de Jean Charest », soutient le député de La Peltrie.

Éric Caire est convaincu que le candidat de la CAQ, Éric Lefebvre, sera le meilleur député pour défendre les intérêts des citoyens du comté. « Éric est un homme intègre et impliqué. Il pourra parler très fort pour faire des gains pour la région. Il ne sera pas assis sur la banquette des spectateurs libéraux d’arrière banc à applaudir les décisions injustifiables de son parti. Éric, il est là pour les bonnes raisons », conclut-il.

Scandale à la SIQ : La CAQ démontre que le gouvernement Couillard était informé du scandale


 Publié le 30 novembre 2016

« Les Québécois se sont fait plumer par les amis du Parti libéral et Philippe Couillard le savait ! » a déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, après avoir révélé l’existence d’un troisième rapport, datant d’août 2014, qui confirme que le gouvernement libéral était au courant du scandale de la Société immobilière du Québec (SIQ) bien avant qu’il ne soit révélé dans les médias. Le rapport démontre que les libéraux de Philippe Couillard ont consenti à la prolongation jusqu’en 2038 des baux de location des immeubles appartenant à la firme de George Gantcheff.

Cet autre rapport dévastateur de la firme Accuracy dévoile que le propriétaire George Gantcheff a demandé à son locataire – le gouvernement – de payer 21 millions de dollars de rénovations majeures sur son immeuble, a fustigé M. Legault. Et pour résoudre ce problème, Philippe Couillard a accepté de prolonger de 10 ans les baux avec George Gantcheff.

« Hier, le premier ministre s’est défendu de ne pas avoir déposé publiquement un des rapports accablants. Il a dit que le scandale de la SIQ, ce n’était pas de son époque, mais de celle de Jean Charest. Le problème pour lui, c’est que la CAQ a mis la main sur un autre rapport, déposé le 28 août 2014, donc sous sa gouverne ! Il était premier ministre quand ce rapport accablant a été déposé, mais il l’a gardé secret. Il peut bien prétendre être irréprochable, mais en réalité, il agit exactement comme l’ancien gouvernement libéral. Ce que le premier ministre nous dit aujourd’hui, c’est que les Québécois risquent fort bien de devoir endurer le coût des manigances de collecteurs de fonds libéraux jusqu’en 2038 », a déclaré François Legault.

En cachant ce rapport depuis 2 ans, Philippe Couillard a encore une fois préféré défendre l’héritage libéral au lieu de protéger les Québécois, a poursuivi le chef de la CAQ. « C’est son gouvernement qui a prolongé le bail de 10 ans ! Le premier ministre choisit de ne pas révéler ce rapport accablant pour le Parti libéral. Il regarde de haut le scandale de la SIQ, comme si le fait que les Québécois perdent des millions n’était qu’un détail. Franchement ! » a lancé François Legault.

Carlos Leitão doit s’excuser

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour le Conseil du trésor, Éric Caire, a pour sa part réclamé du ministre des Finances, Carlos Leitão, des excuses pour les propos mensongers tenus la veille au Salon bleu. Après avoir d’abord affirmé que le gouvernement avait fait une bonne affaire dans ses transactions avec George Gantcheff, il a soutenu qu’il n’existait que deux rapports sur le scandale de la SIQ. « Non seulement le ministre des Finances a menti en refusant d’admettre qu’il existait un troisième rapport, mais il continue de dire que la transaction est fructueuse pour les contribuables ! Il y a trois rapports qui démontrent que les Québécois se sont fait floués dans ce scandale, présidé par le gouvernement libéral et orchestré par les collecteurs de fonds du Parti libéral. S’il a un peu de respect pour les contribuables, il s’excusera pour ses propos méprisants. C’est la moindre des choses », a exigé le député Éric Caire.

Délais de traitement à la Régie des marchés agricoles et à la CPTAQ : Des projets porteurs pour l’agriculture sont freinés, déplore la CAQ


 Publié le 30 novembre 2016

Malheureusement, il n’y a pas que dans les palais de justice où les délais sont complètement déraisonnables, a indiqué la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, qui évoque des délais de traitement de 440 jours en 2015-2016 à la Régie des marchés agricoles.

« Dans le monde agricole, il faut s’armer de patience », a lancé la députée caquiste. L’année dernière, 28 dossiers remis à la Régie des marchés agricoles ont pris 1 308 jours à aboutir. Le constat est aussi alarmant du côté de la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ), où seulement 37 % des orientations préliminaires arrivent dans les temps. Ces délais sont inacceptables, mais non surprenants, a souligné Mme D’Amours, qui a fait savoir que la CPTAQ a dû couper 10 % de ses effectifs sans voir en échange le nombre de dossiers à analyser diminuer.

« La Régie des marchés agricoles et la CPTAQ sont deux organismes qui ont une très grande importance en agriculture. Depuis 2014, j’interpelle régulièrement le ministre sur ce problème spécifique, mais rien n’a encore été fait. J’ai un exemple d’une entreprise qui doit passer devant la CPTAQ pour un projet de culture biologique évalué à 100 millions de dollars. Dans sa réponse, on évoque des contraintes d’effectifs pour justifier les délais. Comment le ministre peut-il accepter qu’on mette des initiatives porteuses pour notre agriculture et notre économie en péril à cause des retards dans les traitements? Des exemples comme celui-là, il y en a des dizaines d’autres au Québec. Ces organismes ne devraient pas représenter un frein, mais plutôt des vecteurs de développement économique. Il est temps pour Pierre Paradis d’agir comme ministre de l’Agriculture plutôt qu’en spectateur », a déclaré la députée de Mirabel.

Gouvernance scolaire: Top 5 des problèmes non-résolus par le PL105 (1)


 Publié le 30 novembre 2016

La Coalition Avenir Québec a été la seule formation politique à voter contre l’adoption du Projet de loi 105 du gouvernement libéral à l’Assemblée nationale. Pourquoi? Car il ne s’attaque pas aux principales problématiques qui plombent le réseau de l’Éducation au Québec.

Premier écueil: le maintien des élections scolaires et de la taxation scolaire.

Gouvernance scolaire: Top 5 des problèmes non-résolus par le PL105 (2)


 Publié le 30 novembre 2016

La Coalition Avenir Québec a été la seule formation politique à voter contre l’adoption du Projet de loi 105 du gouvernement libéral à l’Assemblée nationale. Pourquoi? Car il ne s’attaque pas aux principales problématiques qui plombent le réseau de l’Éducation au Québec.

Deuxième écueil: un système de traitement des plaintes et un accès au réseau défaillants.

Gouvernance scolaire: Top 5 des problèmes non-résolus par le PL105 (3)


 Publié le 30 novembre 2016

LES PROFS OUBLIÉS PAR LE PROJET DE LOI 105

Troisième problème majeur avec le projet de loi 105: il n’offre pas d’autonomie accrue à la profession enseignante. Alors que le projet de loi 86 (déposé, puis retiré par le ministre) accordait aux profs le statut d’experts, rien de tout cela dans le projet de loi 105. Pourtant, les enseignant(e)s sont au cœur de la réussite éducative.

Gouvernance scolaire: Top 5 des problèmes non-résolus par le PL105 (4)


 Publié le 30 novembre 2016

UN COMITÉ DE RÉPARTITION DES RESSOURCES SANS POUVOIR

Quatrième défaut au projet de loi 105: il ne contient aucune décentralisation vers les écoles. S’il crée un comité de répartition des ressources composé majoritairement de directeurs d’école, celui-ci n’a aucun pouvoir de décision. Il n’a qu’un caractère consultatif auprès du conseil des commissaires de la commission scolaire.