Interruption de service sur la ligne Candiac-Montréal : La police aurait dû intervenir, dit la CAQ


 Publié le 17 novembre 2016

« C’est simple : le gouvernement libéral ne fait pas appliquer la même loi à tous les citoyens sur le territoire du Québec », s’est insurgé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de sécurité publique, André Spénard.

Il est inacceptable que des manifestants de la communauté mohawk de Kahnawake aient pris en otage mercredi des milliers d’usagers de la ligne de trains de banlieue Candiac-Montréal… pour contester la construction d’un pipeline au Dakota du Nord. Les Québécois n’avaient pas à faire les frais de cette manifestation, visiblement cautionnée par le gouvernement libéral.

« Une dizaine d’individus ont bloqué le pont ferroviaire enjambant le fleuve Saint-Laurent, privant des milliers de citoyens de leur transport pour aller et revenir du travail. Aucune force de police n’est intervenue pour simplement faire appliquer la loi. On parle de conséquences économiques tangibles ici. L’AMT a dû dépêcher des dizaines d’autobus aux frais des contribuables pour contourner ces quelques manifestants qui, soulignons-le, protestaient contre un projet de pipeline du Dakota du Nord. Pourtant, lors de manifestations au cours des dernières années, les forces de l’ordre n’avaient pas hésité à intervenir. Sous les libéraux, il semble y avoir deux classes de citoyens ! » a déclaré André Spénard, qui presse le ministre Martin Coiteux à simplement faire appliquer les lois du Québec sur son territoire.

Nouvelles révélations sur le scandale de la SIQ : François Legault talonne les libéraux


 Publié le 17 novembre 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a révélé ce matin que le loyer payé à la Société Québécoise des Infrastructures (SQI) par le gouvernement libéral pour les locaux de la commission Charbonneau à l’intérieur d’un immeuble appartenant à George Gantcheff était 40 % plus cher que le prix du marché. Les Québécois pourraient ainsi avoir versé 1,5 million de dollars de trop, a fustigé M. Legault.

Malheureusement, ça ne s’arrête pas là : le chef de la CAQ a dévoilé que le 12 mai 2012, l’entreprise de M. Gantcheff a obtenu un contrat sans appel d’offre, d’une valeur de 1,3 million de dollars, pour aménager les locaux de la commission Charbonneau. « Le scandale de la SIQ touche maintenant la commission d’enquête sur la corruption elle-même. Faut le faire : la commission responsable d’enquêter sur les magouilles a été menée dans un édifice qui appartient à un des bénéficiaires de la magouille ! L’empreinte du Parti libéral est partout dans le scandale de la SIQ. Les tentacules de la magouille libérale se sont rendues jusqu’à la commission Charbonneau », a pesté François Legault.

Face à toutes ces révélations, le député de L’Assomption a exigé que l’enquête du Vérificateur général scrute à la loupe non seulement les baux de location des immeubles de la SIQ, mais également tous les contrats octroyés par le gouvernement à George Gantcheff. La période qui sera couverte par l’enquête doit aller jusqu’en 2016, a ajouté François Legault. « Il faut que le ministre des Finances ordonne la vérification de tous les contrats accordés à cet ami du Parti libéral. On apprend aussi que George Gantcheff et son associé ont donné près de 10 000 $ à la caisse du Parti libéral. La question que tout le Québec se pose aujourd’hui est la suivante : est-ce que les collecteurs libéraux Fava, Rondeau et Bartlett se sont pris une cote sur les loyers et contrats payés par la SQI pour la commission Charbonneau ? » a conclu le chef caquiste.

Rappelons qu’une enquête de l’Unité permanente anticorruption a été déclenchée au sujet du scandale de la SIQ. Tous les députés de l’Assemblée nationale ont accepté une motion de la CAQ pour que le Vérificateur général se penche sur la question. Pour plusieurs analystes, il s’agit possiblement du plus grand scandale immobilier de l’histoire du Canada.

Nomination au Conseil exécutif national : De l’expérience et de la jeunesse s’ajoutent au groupe


 Publié le 16 novembre 2016

La CAQ est fière de souligner la nomination de Mario Asselin à titre de vice-président Est-du-Québec, Murielle Di Batista comme vice-présidente Ouest-du-Québec, ainsi que l’élection de David Raynaud à titre de vice-président Ouest-du-Québec pour le Conseil exécutif national. Ces nominations ont été dévoilées lors du Congrès national de la CAQ qui a ressemblé plus de 500 militants tout au long de la fin de semaine.

Mario Asselin est un chroniqueur et blogueur assidu. Il participe depuis 2011 aux projets de la CAQ et a été candidat à deux reprises lors des dernières élections générales. Il a également occupé la fonction de conseiller senior de l’aile parlementaire en 2013. Mario Asselin mettra tous les efforts pour mobiliser et recruter des nouveaux membres dans l’est du Québec.

Pour sa part, Murielle Di Batista est très engagée dans sa communauté depuis plus de deux décennies. Elle a occupée plusieurs fonctions à différents conseils d’administration d’organismes oeuvrant dans le domaine de l’éducation, de l’économie, de la santé, des transports, et de la francophonie. Dans ces nouvelles fonctions, Mme Di Batista aura notamment la responsabilité de tisser des liens avec les communautés culturelles.

La Relève a sa place à la CAQ

Une preuve de plus que les jeunes ont leur place à la Coalition Avenir Québec, les membres de la formation politique ont élu David Raynaud à titre de vice-président Ouest-du-Québec. En février 2014, il est devenu le premier Président élu de la Commission de la Relève de la Coalition Avenir Québec. Son implication depuis la fondation de la CAQ est irréprochable et son élection est pleinement méritée.

À noter que la Coalition Avenir Québec a reconduit le mandat de son président, Stéphane Le Bouyonnec, ainsi que ceux de tous les autres membres du Conseil exécutif national.

Taxes agricoles : Philippe Couillard veut des preuves… la CAQ lui en donne


 Publié le 16 novembre 2016

C’est au tour des agriculteurs d’être victimes de l’arrogance et de l’insouciance du premier ministre Philippe Couillard, qui ne croit pas à l’augmentation abusive de leurs comptes de taxes liée aux changements apportés par Québec au programme de crédit de taxes foncières agricoles.

« Depuis le Maroc, le premier ministre regarde de haut les agriculteurs, disant ne pas croire en leurs augmentations de taxes à moins d’en avoir la preuve. Philippe Couillard veut des preuves ? On va lui en donner », a tonné François Bonnardel, leader parlementaire de la Coalition Avenir Québec, offusqué par l’attitude méprisante du chef libéral. Au Salon bleu, M. Bonnardel a déposé le rôle de taxation partagé par un agriculteur, dont la terre était évaluée à 1,2 million de dollars de 2014 à 2016.

« Pour son rôle triennal de 2017-2019, il sera de 2,1 M$. C’est 75 % de plus. Comment le premier ministre peut-il dire à cet agriculteur, qui voit son programme de crédits de taxes foncières diminuer, qu’il ne paiera pas plus de taxes ? Le ministre de l’Agriculture se réfugie toujours derrière la même excuse : le budget du programme augmente. Mais en réalité, c’est la valeur des terres qui le fait augmenter. Le ministère de l’Agriculture l’a dit : 83 % des entreprises agricoles vont subir une hausse de leur compte de taxes. Philippe Couillard voulait des preuves, en voici.Va-t-il nier ces informations ? Va-t-il encore regarder de haut nos agriculteurs ? » a déclaré François Bonnardel.

Le député de Granby a révélé avoir reçu plus de 140 lettres de producteurs agricoles de la Montérégie, qui soutiennent noir sur blanc que leurs taxes vont leur coûter plus cher. « Juste pour la région de la Montérégie, on parle de 8 M$ d’augmentation de taxe l’année prochaine. Le gouvernement libéral met en péril des entreprises agricoles. Il est temps pour lui de revenir sur terre et d’écouter les craintes des Québécois », a conclu le caquiste.

Nouvelles révélations sur Georges Gantcheff : François Legault dévoile des faits inquiétants


 Publié le 16 novembre 2016

Non seulement le gouvernement du Québec a vendu à rabais des immeubles à George Gantcheff, mais il les lui a reloués au-dessus du prix du marché… en plus de payer pour les travaux d’entretien de ces mêmes édifices, a dévoilé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. « Georges Gantcheff a gagné le jackpot dans cette Trifecta qui lui a rapporté des millions de dollars qui appartiennent aux Québécois », a soutenu le chef caquiste.

Mardi, François Legault révélait que le gouvernement du Québec détient 21 baux de locations pour des immeubles appartenant à Georges Gantcheff, pour lesquels ils paient facture annuelle de 26 millions de dollars. Aujourd’hui, le chef de la CAQ a dévoilé deux nouvelles irrégularités :

–          Pour un des baux, le ministère des Transports (MTQ) débourse 12 % de plus que le prix moyen du marché ;

–          Depuis 2009, le gouvernement libéral a accordé 43 contrats de gré à gré à des entreprises de M. Gantcheff pour faire des travaux payés par le gouvernement… dans des édifices qui appartiennent à ce même M. Gantcheff.

M. Legault est satisfait d’avoir fait comprendre au ministre des Finances l’importance de faire une vérification de l’ensemble de baux signés avec la Société immobilière du Québec. Il a exigé toutefois que la vérification porte prioritairement sur les baux impliquant Georges Gantcheff.

« À partir des données publiques, la CAQ a analysé 1 bail sur 21 et on constate que le ministère des Transports a payé une facture de 12 % plus élevée que le prix du marché. Ça représente un demi-million de dollars qu’on paie de trop par année sur seulement 1 bail sur 21 ! Ça signifie que le gouvernement paie possiblement des millions en trop par année sur ces loyers. Ça ne s’arrête pas là. Il y a 43 contrats de gré à gré depuis 2009 pour des travaux d’entretien, soit des millions de dollars qui sont ainsi pris à même les poches des Québécois pour être versés dans celles d’un ami du gouvernement libéral », a pesté François Legault.

« La vérification des baux de la SIQ va prendre un certain temps, mais il y a urgence d’agir pour ceux concernant M. Gantcheff. Le ministre des Finances doit vérifier au plus vite non seulement les baux de la SIQ, mais aussi tous les contrats de gré à gré qui ont été donnés à M. Gantcheff à rendre compte à l’Assemblée nationale avant la fin de la session parlementaire », a exigé M. Legault.

Chronique de Donald Martel à la radio de CKBN, le vendredi 11 novembre 2016


 Publié le 16 novembre 2016

Permis d’école à la Mission de l’Esprit-Saint : Les libéraux se font complices d’enseignements absurdes


 Publié le 15 novembre 2016

La Coalition Avenir Québec dénonce vivement la décision du gouvernement libéral d’octroyer un permis d’enseignement au groupe religieux la Mission de l’Esprit-Saint, qui a pu rouvrir ses portes en septembre dernier malgré sa fermeture en 2004 et un verdict ferme de la Cour supérieure en 2007.

Le porte-parole en matière d’éducation, Jean-François Roberge, rappelle que depuis son élection, le gouvernement libéral parle beaucoup dans le dossier des écoles religieuses illégales, mais au moment d’agir, il se ramollit et plie sous la pression. Le député caquiste de Chambly entend cette fois-ci faire entendre raison au ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, puisque la Mission de l’Esprit-Saint transmet des valeurs totalement absurdes et des connaissances erronées à sa clientèle.

« Il s’agit d’une école où on propage de la désinformation scientifique. Comment le gouvernement peut-il donner un permis à une école où on enseigne le matin que la terre est ronde, pour ensuite enseigner l’après-midi que la terre est en forme de poire ? Une étudiante a courageusement accepté de dénoncer la pression mise sur les jeunes filles. Elle a dit : “À 14 ans, on nous prépare à avoir des enfants”. À l’école de la Mission de l’Esprit-Saint, on force les jeunes filles à faire des enfants, on leur enseigne que la terre est en forme de poire, et pour le ministre, tout va bien ! Comment peut-on autoriser une école comme celle-là ? » a lancé Jean-François Roberge, qui a eu droit à des réponses laconiques du ministre Proulx.

En restant les bras croisés devant ce phénomène, le gouvernement libéral semble vouloir passer un message dangereux dans la société : il est normal de cautionner la marginalisation et la ghettoïsation des jeunes et de favoriser leur exclusion sociale, déplore le député de Chambly. « Le Parti libéral est prêt à accepter n’importe quoi au nom du multiculturalisme ! Le ministre doit revenir sur sa décision et révoquer le permis de cette école où on enseigne aux enfants que la mort d’un policier en 1925 est l’incarnation du Saint-Esprit », a conclu Jean-François Roberge.

Baux de location sur des immeubles de George Gantcheff : Le gouvernement libéral verse 26 M$ par année sans aucune vérification


 Publié le 15 novembre 2016

Le gouvernement du Québec paie une facture annuelle de 26 millions de dollars pour des immeubles appartenant à Georges Gantcheff, a révélé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

La CAQ a présenté à l’Assemblée nationale une compilation de tous les baux liant les ministères du gouvernement aux entreprises de George Gantcheff, qui a mis les mains sur les immeubles vendus par la Société immobilière du Québec (SIQ). Malgré les révélations troublantes de l’émission Enquête, comme quoi les collecteurs de fonds libéraux Rondeau, Fava et Bartlett auraient détourné des millions de dollars dans le cadre de la prolongation de baux sur des immeubles de M. Gantcheff, le Parti libéral n’a pas jugé nécessaire de vérifier si l’ensemble des baux actuels, qui totalisent une facture de 26 millions, sont au-dessus ou non de la valeur du marché.

« Suite au scandale de la SIQ, la Caisse de dépôt et placement n’a pas tardé à agir. Elle a annoncé qu’elle ne prêterait plus un sou à George Gantcheff. On comprend aujourd’hui que le ministre des Finances, lui, n’a aucune idée de ce qui se passe. Il n’a pas fait vérifier si les baux signés avec George Gantcheff ont été conclus à la valeur du marché. Ce n’est pas le travail des policiers de voir si les baux signés par la SIQ ont été conclus à la valeur du marché, c’est le travail des gestionnaires. Après le scandale de la SIQ, le gouvernement ne peut pas payer 26 M$ par année les yeux fermés, sans faire de vérifications. Il est primordial que Carlos Leitão commande une vérification pour voir si les loyers payés à George Gantcheff sont soufflés », a déclaré François Legault.

Le chef caquiste a poursuivi en déplorant cet autre laisser-aller du gouvernement, qui joue avec l’argent des Québécois et qui ne fait que renforcer leur sentiment de colère à l’égard de la classe politique. « Quoi qu’en disent certains députés libéraux, ce n’est pas un problème de perception des Québécois. C’est un problème de refus du gouvernement libéral de prendre ses responsabilités. Pourquoi la Caisse de dépôt prend-elle ses responsabilités avec George Gantcheff, mais pas le gouvernement ? Est-ce que le ministre des Finances va enfin vérifier si les Québécois paient 1, 2 ou 5 millions de dollars de trop sur les loyers avec George Gantcheff ? » a exigé M. Legault.

Ajout d’une lumière pour l’accès aux piétons de l’hôpital de Saint-Jérôme : « Une question de sécurité » – Bruno Laroche


 Publié le 15 novembre 2016

Le candidat de la CAQ pour Saint-Jérôme, Bruno Laroche, compte s’attaquer au problème de l’accès des piétons à l’entrée principale du Centre hospitalier de Saint-Jérôme une fois qu’il sera élu le 5 décembre prochain, une demande qui traîne en longueur depuis plusieurs années.

Après avoir rencontré à plusieurs occasions les occupants de la résidence La Noblesse, Bruno Laroche a constaté qu’il s’agit d’une très grande préoccupation à Saint-Jérôme. C’est une preuve de plus que le candidat caquiste est à l’écoute des Jérômiens.

« Je veux résoudre le problème de l’accès des piétons à l’entrée principale du Centre hospitalier de Saint-Jérôme, rue de Montigny. À cet endroit, l’entrée de l’hôpital se trouve entre deux intersections et elle est dépourvue de feux de circulation. Le trafic y est souvent lourd, et les limites de vitesse ne sont pas toujours respectées. Pour des personnes présentant des difficultés de mobilité en raison de l’âge ou de divers problèmes de santé, et qui se déplacent plutôt lentement, il est donc très ardu de traverser la rue de Montigny (route 117) pour rejoindre l’entrée principale de l’hôpital », a déclaré Bruno Laroche.

Rappelons que le problème a déjà maintes fois été porté à l’attention des autorités, mais sans résultat jusqu’à présent. Sensible à l’importance de cette question pour de très nombreuses personnes touchées par la maladie ou les handicaps, le candidat caquiste est déterminé, une fois élu, à y trouver une solution satisfaisante.

« L’ajout de feux de circulation, ce n’est tout de même pas un défi de physique nucléaire. Je m’engage à travailler de concert avec l’administration du maire Stéphane Maher et des instances du MTQ afin de trouver une solution concrète à ce problème d’accessibilité qui traîne en longueur. C’est une question de sécurité et de respect pour nos aînés et des patients du Centre hospitalier de Saint-Jérôme », a conclu Bruno Laroche.

Élection partielle dans Verdun : Les Verdunois avant tout pour Ginette Marotte


 Publié le 15 novembre 2016

La candidate de la CAQ pour le comté de Verdun, Ginette Marotte, conduit sa campagne autour de quatre grandes priorités : la qualité de vie des aînés, le décrochage scolaire, la préservation du patrimoine religieux et un lien additionnel entre l’Île-des-Sœurs et Verdun. Selon elle, il est grand temps que la circonscription élise un député qui met Verdun au centre de ses priorités.

« Ces priorités sont celles de la Coalition Avenir Québec, mais surtout, ce sont celles des Verdunoises et des Verdunois. Ces demandes, je les entends continuellement sur le terrain, lors de mes rencontres avec les électeurs. Notre comté a trop souvent été pris pour acquis, et oublié à plusieurs reprises », a expliqué madame Marotte.

Celle qui travaille pour Verdun depuis près de deux décennies multiplie les rencontres et les échanges avec les citoyens depuis les dernières semaines. Habitant et travaillant à Verdun depuis de nombreuses années, elle est bien placée pour concilier les besoins de la classe moyenne et ceux des organismes communautaires. « La réponse sur le terrain est extrêmement positive et je remarque un détachement des Verdunois par rapport aux deux vieux partis. C’est normal, quand vous pensez que la candidate libérale doit passer plus de temps dans son auto dans le trafic que faire campagne chez nous. Les gens veulent du changement. C’est rire des Verdunois!», s’est exclamé Ginette Marotte.
Lien additionnel entre Verdun et l’Île-des-Soeurs

Ginette Marotte propose de profiter des travaux de remplacement du pont de l’Île-des-Sœurs pour mettre en place un lien qui serait réservé au transport en commun, aux vélos et aux véhicules d’urgence, reliant Verdun et l’Île-des-Sœurs. « Ce projet dont le coût est évalué entre 15 et 20 millions de dollars combine la protection de la qualité de vie des riverains et celle des usagers de la route. C’est le devoir de tout bon député de s’assurer que la sécurité soit bonifiée partout sur le territoire. Avoir un lien réservé pour les véhicules d’urgence est une nécessité. Imaginez l’impact positif pour des interventions où la rapidité peut faire toute la différence », a-t-elle soutenu.

Aînés

Ginette Marotte entend mettre le respect des personnes âgées au cœur des priorités. « Le respect de nos aînés, ça commence par des repas décents et par un nombre de bain suffisant. Mais le respect passe aussi dans la façon dont on s’adresse aux aînés. Ces gens ont bâti notre société, ils ont brisé les barrières pour nous permettre d’avancer.  Si j’ai pu être la première femme élue à Verdun dans la nouvelle Ville de Montréal, si j’ai pu être la première mairesse de Verdun et si je peux être candidate pour la CAQ, c’est grâce au travail de tous ces hommes et de toutes ces femmes », a-t-elle conclu.