Projet d’un nouveau lien entre les routes 117 et 333 : Bruno Laroche s’engage à talonner le ministre des Transports


 Publié le 22 novembre 2016
 

À la suite de l’accident majeur survenu récemment à la jonction des routes 117 et 333, le candidat de la CAQ dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, s’est montré très préoccupé par les problèmes de congestion monstres qui perdurent depuis de nombreuses années à cet endroit et compte réanimer le projet de réalisation d’un nouveau lien au Ministère des Transports (MTQ).

Rappelons qu’en 2010, le MTQ commandait une étude confirmant le problème de capacité routière, qui était pourtant constaté depuis près 15 ans. « Les automobilistes sont pris en otage depuis beaucoup trop longtemps et en ont assez de subir le laxisme du gouvernement. Ces automobilistes sont pour la plupart des travailleurs qui, pour plusieurs, subissent déjà la congestion quotidienne sur l’autoroute 15. Le problème est reconnu par le ministère et pourtant, c’est toujours silence radio 5 ans après le dépôt du rapport. La réalisation d’un nouveau lien règlerait une portion importante du problème, puisque l’intersection est utilisée en majorité par les citoyens qui proviennent de Saint-Hippolyte! », a dénoncé le candidat.

Selon l’étude, plus de 160 collisions dans cette zone ont été recensées entre 2005-2009 seulement. « Les problèmes de congestion vont bien au-delà de la patience des automobilistes, mais affectent également la sécurité routière. Pire encore, près des deux tiers des accidents sont survenus dans une zone scolaire! C’est pour ces raisons que je m’engage à travailler de concert avec le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, pour sonner l’alarme au MTQ et talonner le ministre pour que le projet revienne sur la table en 2017 », de conclure Bruno Laroche.

Règlement sur les normes de sécurité des véhicules : Les libéraux barrent la route aux camionneurs, dénonce la CAQ


 Publié le 22 novembre 2016
 

« L’industrie du camionnage se voit imposer des règles sans même avoir été consultée. Ça ne tient pas la route ! Le gouvernement libéral doit faire son bout de chemin », exige le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de transports,Claude Surprenant, après que le ministre Laurent Lessard ait confirmé qu’il va de l’avant avec l’application de son règlement sur les normes de sécurité des véhicules.

Pourtant, des centaines de camionneurs indépendants n’ont pas été informés des modifications à apporter depuis dimanche à leur poids lourd, indique Claude Surprenant, qui a rencontré plusieurs d’entre eux samedi dernier lors d’une imposante manifestation devant l’Assemblée nationale. Rappelons que la CAQ demande un sursis de de 3 à 6 mois supplémentaires avant l’application du règlement afin de donner à l’industrie du camionnage le temps de s’adapter aux nombreuses restrictions imposées.

« Plus de 500 camionneurs de partout au Québec se sont rassemblés devant l’Assemblée nationale pour qu’on les entende. Ce sont des entrepreneurs qui travaillent tous les jours, bien souvent 80 heures par semaine, avec leur camion, leur principal gagne-pain. Le gouvernement a choisi de les pénaliser. La sécurité sur nos routes, c’est important pour la CAQ. Nous sommes donc d’accord avec l’uniformisation des règles de contrôle et de vérification à travers le Canada, mais le gouvernement appuie trop vite sur l’accélérateur pour les appliquer. La SAAQ n’a prévu aucune période transitoire pour accommoder les camionneurs. Le ministre doit faire marche arrière », exige Claude Surprenant, qui rappelle que l’industrie québécoise du camionnage représente plus de 41 000 emplois.

Le député de Groulx est catégorique : il n’est pas question de faire de compromis sur la sécurité des automobilistes, mais force est de constater que le gouvernement Couillard refuse d’accompagner convenablement les camionneurs dans cette transition qui nécessite des ajustements de taille, notamment en ce qui concerne la vérification, l’entretien et l’aspect physique des véhicules. « Les camionneurs veulent s’adapter. Tout ce qu’ils demandent, c’est un peu plus de temps et une meilleure communication avec la SAAQ. Un représentant d’une compagnie m’a dit que pour son entreprise, les coûts pour se conformer du jour au lendemain seraient d’environ 70 000 $. Il faut parler à ces gens-là, les écouter et leur accorder ce qu’ils réclament. Le gouvernement libéral doit cesser de regarder les camionneurs de haut et leur accorder un répit de 3 à 6 mois ! » conclut Claude Surprenant.

Élection partielle dans Marie-Victorin : «Jean-François Lisée et le PQ ont trahi l’héritage de Bernard Drainville» – François Legault


 Publié le 21 novembre 2016
 

De passage dans la circonscription de Marie-Victorin lundi, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a soutenu  que sa formation politique est la seule qui se tient encore debout pour défendre les valeurs québécoises. Selon lui, les déclarations du nouveau chef péquiste, Jean-François Lisée, qui a avoué délaisser la question identitaire, renie les positions défendues par l’ancien député de Marie-Victorin, Bernard Drainville.

« Jean-François Lisée s’est fait élire en promettant de porter le flambeau de l’identité, le flambeau de la charte des valeurs. Le nouveau chef du PQ a promis de défendre nos valeurs, de défendre l’égalité homme-femme face aux intégristes religieux. Depuis qu’il a été élu, il a décidé d’oublier ces engagements pour séduire la gauche, pour faire des mamours à Québec Solidaire. Comme si l’égalité homme-femme c’était négociable! », dénonce François Legault.

Le chef de la CAQ rappelle que le Parti québécois a voté avec les libéraux en faveur du projet de loi 62. « Ce n’est pas rien! Ce projet de loi permet le port de la Burqa pour passer un permis de conduire et même pour enseigner. C’est rendu que le PQ vote avec les libéraux contre la laïcité! », dénonce-t-il.

François Legault est clair : c’est la CAQ qui a repris le flambeau de la protection de nos valeurs que défendait Bernard Drainville. « La CAQ est maintenant le seul parti qui se tient debout contre les accommodements religieux déraisonnables. Ceux qui se battent pour défendre nos valeurs contre les intégristes religieux, ce sont les hommes et les femmes de la CAQ comme Nathalie Roy et notre candidate dans Marie-Victorin, Julie Chapdelaine », explique M. Legault.

La candidate caquiste, Julie Chapdelaine, dit ressentir l’amertume des électeurs envers le Parti québécois. « Le PQ est en train de trahir ce pour quoi il s’est battu. Les péquistes qui ont voté pour Jean-François Lisée doivent se sentir trahis aujourd’hui. Le 5 décembre, j’invite les électeurs de Marie-Victorin qui veulent défendre nos valeurs et se tenir debout pour nos valeurs à voter pour moi », conclut-elle.

Élection partielle dans Arthabaska : La CAQ dénonce les hausses de taxes imposées aux agriculteurs


 Publié le 21 novembre 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité de son passage à Victoriaville pour appuyer le candidat de sa formation politique à l’élection partielle dans Arthabaska, Éric Lefebvre, et pour se porter à la défense des agriculteurs qui ont vu leur compte de taxes municipales exploser en raison des modifications apportées par le gouvernement Couillard au programme de crédits de taxes foncières agricoles.

Le chef caquiste et le candidat Éric Lefebvre en ont contre la condescendance du premier ministre dans ce dossier, lui qui demandait la semaine dernière à voir des preuves de ces hausses de taxes. « Le gouvernement libéral de Philippe Couillard a décidé de modifier le programme de crédits de taxes foncières agricoles. C’est ni plus ni moins qu’une autre augmentation de taxes qui va toucher 83 % des producteurs agricoles.On a reçu des  lettres d’agriculteurs qui nous font part d’augmentations de 75 % et même de 120 % de leurs taxes. Malgré ça, Philippe Couillard refuse d’admettre l’évidence et il laisse entendre que ce n’est pas vrai. C’est vraiment condescendant de la part du chef libéral », affirme François Legault.

Dans la belle région d’Arthabaska-L’Érable, nombreuses sont les familles qui vivent de l’agriculture. La CAQ se donne le mandat de les aider et de les protéger contre les hausses de taxes des libéraux. « On sait que le métier de producteur agricole est difficile. La concurrence des pays qui subventionnent l’agriculture, les exigences environnementales, les prix qui sont parfois trop bas rendent la vie dure à nos agriculteurs. C’est déjà difficile, mais quand en plus notre propre gouvernement leur met des bâtons dans les roues, là c’est carrément frustrant! », s’exclame le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Le candidat de la CAQ dans Arthabaska, Éric Lefebvre, travaillera d’arrache-pied une foi élu pour aider les agriculteurs de son comté. Il dénonce l’attitude des libéraux dans ce dossier, et rappelle que les producteurs agricoles constituent l’une des plus grandes richesses du Québec. « J’ai rencontré des dizaines d’agriculteurs depuis le début de la campagne et ils me parlent de l’augmentation de leur compte de taxes municipales. C’est une grande préoccupation pour eux et je les comprends. L’attitude du gouvernement dans ce dossier est inacceptable! De mon côté, je m’engage à tout mettre en oeuvre pour les aider une fois que je serai élu », s’est exprimé Éric Lefebvre.

Élection partielle dans Marie-Victorin : La francisation des immigrants, une préoccupation pour les citoyens de Marie-Victorin


 Publié le 21 novembre 2016
 

La candidate de la CAQ pour la circonscription de Marie-Victorin, Julie Chapdelaine, a profité du passage de Claire Samson, la députée d’Iberville et porte-parole de la CAQ pour la protection et la promotion de la langue française, pour rappeler que sa formation politique est la seule à avoir un plan solide pour la défense de notre langue.

Julie Chapdelaine soutient que la francisation et l’intégration des immigrants est une réelle préoccupation chez les citoyens de Longueuil qu’elle rencontre quotidiennement depuis le début de sa campagne. « La francisation réussie de nos immigrants est l’un des plus grands défis des prochaines années. C’est normal de s’en préoccuper. Ce n’est pas être intolérant. La CAQ est la seule formation à réclamer d’abaisser le seuil d’immigration et de mettre en place des mesures pour mieux intégrer les immigrants. Pour consolider et renforcer la présence du français au Québec, il faut en faciliter l’apprentissage à ceux et celles qui choisissent de venir vivre ici », soutient la candidate.

La députée d’Iberville, Claire Samson, a révélé cette semaine qu’au cours des cinq dernières années, 105 000 immigrants sont arrivés au Québec sans parler français. Mme Samson rappelle qu’elle a déposé un rapport, pas plus tard que la semaine dernière, contenant une série de 9 propositions et 22 mesures ambitieuses et concrètes visant à assurer la pérennité de notre langue, le français. « Compte tenu de la volonté du gouvernement de Philippe Couillard de hausser significativement les seuils d’immigration, sans pour autant augmenter les ressources financières liées à la francisation des nouveaux arrivants, il est de notre responsabilité de mettre des solutions sur la table », a conclu Claire Samson.

Jeu libre dans les rues : La CAQ invite les municipalités à se mettre au jeu


 Publié le 20 novembre 2016
 

Pour encourager les jeunes à adopter de saines habitudes de vie, assurer le bien-être des familles et freiner la progression de l’embonpoint et de l’obésité juvénile, le député de Borduas pour la Coalition Avenir Québec, Simon Jolin-Barrette, a fait part de son intention d’encourager les municipalités à adopter une réglementation qui encadre de façon sécuritaire le jeu libre dans toutes les rues du Québec.

À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, Simon Jolin-Barrette a souligné qu’enfants et parents devraient pouvoir jouer à l’extérieur en toute légalité. Il n’est pas normal qu’en 2016, des avertissements, pouvant mener à des contraventions et des constats d’infraction, soient encore émis par la police parce que nos jeunes veulent bouger, a indiqué le député de Borduas, qui déposera la semaine prochaine à l’Assemblée nationale un projet de loi pour favoriser le jeu à l’extérieur en proposant aux municipalités qui le désirent un cadre réglementaire.

« Jouer, c’est le seul moment où un enfant est totalement libre. C’est par le jeu qu’il apprend à vivre en société, qu’il teste ses propres limites. Malheureusement, aujourd’hui, le jeu libre est très restreint. Trop restreint. Si bien que l’embonpoint et l’obésité chez les jeunes sont devenus des fléaux de société. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le quart des jeunes âgés de 6 à 17 ans étaient en situation de surplus de poids entre 2009 et 2013 et seulement 13 % des garçons et 6 % des filles atteignent présentement les recommandations de 60 minutes d’activité physique par jour. On ne peut pas rester les bras croisés. C’est par un accès facilité à nos rues que nous serons en mesure de renverser cette tendance », a déclaré le député de la CAQ Simon Jolin-Barrette, qui reçoit l’appui d’une quinzaine d’organismes et de regroupements, dont la Coalition québécoise sur la problématique du poids, l’Association pour la santé publique du Québec et la Ville de Belœil.

Le caquiste s’est grandement inspiré de Belœil qui, en avril dernier, est devenue la première ville au Québec à permettre le jeu dans l’espace public dans le cadre d’un projet pilote. « La Ville de Belœil a jeté les bases d’un vrai projet de société. Si elle a su établir des balises claires et sécuritaires pour faire de l’activité physique une partie intégrante du mode de vie des jeunes enfants, pourquoi le reste du Québec ne pourrait pas le faire ? Il y a des leçons à en tirer. Il est temps de leur dire qu’ils sont en droit d’être des enfants. Dans nos rues, faut que ça bouge ! » a conclu Simon Jolin-Barrette, qui entend sensibiliser personnellement les ministres Gaétan Barrette (Santé), Lucie Charlebois (Saines habitudes de vie) et Martin Coiteux (Affaires municipales) à cet enjeu touchant la vie de nombreuses familles québécoises.

La CAQ réclame la création d’un registre québécois des délinquants sexuels


 Publié le 18 novembre 2016
 

Pour endiguer la délinquance sexuelle en progression au Québec, la Coalition Avenir Québec propose la création d’un registre québécois public des délinquants sexuels récidivistes et à haut risque. Porte-parole de sa formation politique en matière de sécurité publique, André Spénard estime qu’il est temps d’adopter de nouvelles mesures pour protéger nos enfants et familles québécoises.

Le député caquiste dit qu’un tel outil est rendu nécessaire en raison de la croissance des cas de pédophilie et de l’utilisation d’Internet par de nombreux délinquants sexuels pour rejoindre les enfants. En 2015 seulement, il y a eu 1 636 infractions sexuelles contre des enfants au Québec, comparativement à 894 en Ontario, une tendance à la hausse chez nous depuis quelques années, souligne M. Spénard. Pour lutter contre la délinquance sexuelle, la CAQ propose ainsi la mise sur pied d’un registre public, comparable à ceux d’autres provinces canadiennes.

« Il s’agit avant tout d’un outil de prévention. L’objectif est de prévenir les crimes, de s’assurer que les délinquants récidivistes respectent leurs conditions de libération. Malgré le travail remarquable et la bonne foi de nos policiers, ils ne peuvent être partout à la fois et veiller au bien-être de toutes les familles. Le fait de tenir un tel registre apportera un soutien aux policiers et un réconfort aux parents, puisqu’on sera en mesure de garder à l’œil les délinquants sexuels libérés. Au Québec, on perd la trace de 26 % d’entre eux, alors qu’en Ontario, c’est seulement 4 %. Ajoutez à cela le fait que près d’un récidiviste québécois sur quatre risque de commettre de nouveau un acte à caractère sexuel. C’est troublant ! Il faut protéger les victimes. Et pour ça, ça nous prend un registre », déclare André Spénard, qui reçoit l’appui de Sophie Dupont, fondatrice du mouvement Protection enfants contre agressions sexuelles (PECAS), et de Me Marc Bellemare, ancien ministre libéral de la Justice.

Le registre proposé par la CAQ serait partiellement accessible au public, indique le député caquiste. Il contiendra uniquement le nom, la photo, les trois premiers caractères du code postal et l’historique du dossier criminel de chaque prédateur récidiviste considéré à haut risque. André Spénard évalue qu’environ 20 % des délinquants seraient ciblés par cette mesure.

« Le gouvernement libéral doit dire oui à cette volonté populaire, car les Québécois sont en droit de savoir si des agresseurs sexuels récidivistes habitent dans leur voisinage par exemple, pour protéger leurs proches et vivre en toute tranquillité d’esprit. Une agression sexuelle, particulièrement sur un mineur, détruit à jamais une vie. Aujourd’hui, ces informations sont très difficiles à obtenir, voire impossibles. La seule façon de les connaître, c’est qu’elles fassent partie d’un registre public », conclut le député de Beauce-Nord, qui invite les Québécois à signer en grand nombre une pétition au www.pourunregistre.com.

Élection partielle dans Arthabaska : Registre des délinquants sexuels, Éric Lefebvre veut poursuivre le travail de Sylvie Roy


 Publié le 18 novembre 2016
 

Le candidat de la Coalition Avenir Québec dans Arthabaska, Éric Lefebvre, a fait sienne la décision de son parti de réclamer la création d’un registre public national des délinquants sexuels. Cette prise de position d’Éric Lefebvre s’inscrit dans sa démarche de poursuite des revendications majeures de Sylvie Roy.

Dès le 6 décembre prochain, s’il est élu dans Arthabaska-L’Érable, M. Lefebvre travaillera de concert avec ses collègues André Spénard, député de Beauce-Nord, et Nathalie Roy, députée de Montarville, afin que le Québec se dote de cet outil de protection de nos enfants.

« Ce n’est pas d’hier que mon amie Sylvie Roy a milité pour la création d’un tel registre public des délinquants sexuels. Ce sera une façon pour moi de perpétuer son œuvre en poussant un dossier qui lui tenait à coeur. Nos enfants sont notre richesse et nous devons les protéger. En tant que père de famille, je tiens à ce que mes enfants soient en sécurité », a affirmé M. Lefebvre.

Outil de prévention

Le député de Beauce-Nord et porte-parole de la CAQ en matière de sécurité publique, André Spénard, soutient que le taux moyen de récidive chez les délinquants sexuels s’établit à 24 % sur une période de suivi de 15 ans. « On sait donc qu’un récidiviste sur quatre va commettre de nouveau un acte à caractère sexuel. Il faut dire qu’au Québec, on perd la trace d’environ 26 % de nos délinquants sexuels libérés, contre 4 % en Ontario », a expliqué M. Spénard.

La députée de Montarville, Nathalie Roy, explique pour sa part que l’objectif est de prévenir les crimes. « Nous devons nous assurer que les délinquants récidivistes respectent leurs conditions de libération. Malgré la bonne foi des policiers, ils ne peuvent pas être partout et le fait d’avoir un registre aura pour effet d’éviter des crimes. Vous savez, lorsqu’un délinquant sexuel récidiviste est libéré et qu’il est dangereux, qui veut-on protéger le plus, les victimes potentielles ou les délinquants? Nous, on veut protéger les citoyens », a-t-elle indiqué.
La Coalition Avenir Québec invite la population à signer la pétition en ligne demandant la création d’un registre public national des délinquants sexuels au www.pourunregistre.com.

Élection partielle dans Verdun : Ginette Marotte souhaite un poste de police satellite à l’Île-des-Soeurs


 Publié le 18 novembre 2016
 

La candidate de la CAQ pour le comté de Verdun, Ginette Marotte, s’engage à travailler étroitement avec l’administration municipale de Montréal et de Verdun pour faciliter l’implantation d’un poste de police satellite sur l’Île-des-Sœurs une fois élue le 5 décembre prochain. La candidate caquiste soutient qu’il s’agit là d’une demande plus que  légitime des résidents de l’île qui souhaitent vivre en toute quiétude.

Ginette Marotte explique qu’avec les travaux de construction du pont Champlain et de ses abords, les entrées et les sorties de l’île des Sœurs seront de plus en plus problématiques. Il devient donc essentiel de développer un sentiment de sécurité chez les résidents de l’Île-des-Soeurs. « Ce sentiment de sécurité passe en grande partie par une présence policière accrue et par la mise en place d’un poste de police satellite sur l’Île-des-Sœurs », indique Mme Marotte.

La candidate de la CAQ ajoute que le Centre Elgar serait le meilleur endroit pour y établir ce poste. « C’est situé au coeur de l’île! Un tel poste permettrait des interventions plus rapides et une meilleure présence policière dans le contexte des travaux du nouveau pont Champlain. Les voitures de police n’auront plus à quitter la terre ferme et zigzaguer dans la congestion pour intervenir sur l’île », soutient la candidate.

Élection partielle dans Saint-Jérôme : Bruno Laroche s’engage à obtenir le financement pour l’agrandissement de l’UQO


 Publié le 18 novembre 2016
 

Le candidat de la CAQ pour Saint-Jérôme, Bruno Laroche, s’engage à travailler de concert avec le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, pour que le gouvernement du Québec octroie enfin le financement nécessaire pour l’agrandissement du pavillon de l’Université du Québec en Outaouais. Pour le candidat caquiste, le pavillon de Saint-Jérôme est le principal pôle universitaire des Laurentides et il doit être financé comme tel.

Accompagné du député de Chambly et porte-parole de la CAQ en éducation, Jean-François Roberge, le candidat caquiste a rappelé qu’initialement, l’édifice a été construit en fonction d’accueillir 1000 étudiants à temps plein. Six ans après sa construction, le campus de l’UQO accueille près de deux fois plus d’étudiants que sa capacité d’accueil prévue. « Cela a pour conséquence que l’UQO est forcé de contingenter certains programmes et s’empêchent d’en ouvrir d’autres. C’est inacceptable! Le pavillon lutte contre l’exode des jeunes. Ils sont notre plus grande richesse collective. Il est donc vital que la planification de l’agrandissement de l’UQO soit étudiée en fonction des besoins de la région et de Saint-Jérôme sur une plus longue période. Le maire Maher peut compter sur mon appui afin que ce dossier essentiel se concrétise le plus rapidement possible », a-t-il expliqué.

La jeunesse, notre plus grande richesse

Le député de Chambly, Jean-François Roberge, a pour sa part rappelé que la CAQ a proposé des mesures ambitieuses en éducation au cours de la dernière année. Il en a profité pour écorcher au passage les trop nombreux ministres de l’éducation qui se sont succédés au cours des derniers mois. « L’éducation, c’est la fondation d’une société en santé. Quand je vois le gouvernement couper dans les services aux élèves en difficulté, quand je vois l’état lamentable de nos écoles, cela renforce ma volonté de me battre pour que la situation change. La CAQ propose d’offrir la prématernelle 4 ans pour tous les enfants du Québec dans un avenir rapproché. Ça, ça s’appelle avoir de l’ambition pour nos jeunes. Et j’ai besoin de Bruno à mes côtés à l’Assemblée nationale pour mener cette bataille et les autres pour nos jeunes », a conclu Jean-François Roberge.