Scandale à la Société immobilière du Québec : Le gouvernement Couillard a caché un rapport accablant pour les libéraux


 Publié le 29 novembre 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a dévoilé mardi matin que le gouvernement de Philippe Couillard a caché un rapport accablant pour les libéraux dans le scandale entourant la Société immobilière du Québec (SIQ). « Les libéraux de Philippe Couillard ont voulu protéger l’image du Parti libéral du Québec », a tonné François Legault lors d’un point de presse où il a dévoilé le rapport en question.

Reçu en 2013 par le gouvernement, le rapport révèle notamment que les acheteurs des trois immeubles vendus par la SIQ en 2008 étaient en défaut de respecter leurs obligations dans les premiers mois suivant la transaction. Face à cette situation déplorable pour les contribuables, la ministre des Finances et le ministère du Conseil exécutif ont été consultés par la SIQ au sujet d’un avis juridique lui suggérant de reprendre les immeubles et récupérer des dépôts d’environ 53 M$. Or, le gouvernement a fait fi de cet avis juridique et n’a pas récupéré un seul sou. Selon les vérificateurs qui ont rédigé le rapport, il aurait pourtant été financièrement avantageux de suivre la recommandation de cette opinion légale et ce sont des considérations politiques qui expliqueraient qu’elle soit restée lettre morte.

Par ailleurs, le rapport confirme que les immeubles vendus par le gouvernement à M. George Gantcheff l’ont été à une valeur bien en dessous de la valeur marchande de l’époque. Les vérificateurs indépendants citent trois évaluations différentes qui situaient la valeur marchande des deux immeubles entre 227 M$ et 262 M$. Le gouvernement libéral les a finalement vendus 220 M$.

« Selon le rapport, M. Gantcheff a acheté les immeubles 42 M$ moins cher que ce qu’il pensait lui-même devoir débourser. Malgré cela, il était incapable de payer dans les premiers mois et un avis juridique a donc recommandé au gouvernement de reprendre les immeubles. Le gouvernement libéral n’a pourtant rien fait. Avec les révélations du reportage d’Enquête, selon lesquelles des collecteurs de fonds libéraux étaient en voie de recevoir des commissions en lien avec la vente de ces immeubles, les Québécois ont toutes les raisons d’être très inquiets », a exposé M. Legault, en se basant sur le rapport rédigé par la firme Accuracy en 2013, rapport qui a suivi celui de 2012 déjà paru dans les médias.

« Aujourd’hui, M. Couillard doit rendre des comptes à la population. On est face à un scandale immense qui implique des collecteurs de fonds libéraux. Son gouvernement a en main un rapport accablant pour les libéraux, et il le garde caché malgré toutes les révélations des derniers jours. Lui qui prétend agir de manière irréprochable depuis qu’il est premier ministre peut-il nous expliquer pourquoi il a caché ce rapport ? Qui voulait-il épargner ? », a conclu François Legault, entouré de sa porte-parole en matière d’intégrité, Nathalie Roy, et de son porte-parole pour le Conseil du trésor, Éric Caire.

Élection partielle dans Saint-Jérôme : Seule la CAQ propose des baisses d’impôt de 1 000 $ par famille


 Publié le 28 novembre 2016
 

Accompagné du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, le candidat pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, dresse un bilan positif de sa campagne. Il se dit convaincu d’être le seul candidat qui pourra redonner un « souffle » au portefeuille des familles, rétablir les services en santé, relancer l’économie, et protéger la langue française et les valeurs de la société québécoise.

Bruno Laroche a rappelé que la CAQ est le seul parti qui se préoccupe de la qualité de vie des familles. « Je suis sur le terrain depuis maintenant 5 mois à rencontrer les Jérômiens. Je suis le seul candidat qui se soucie réellement de la qualité de vie des citoyens et qui propose une baisse d’impôt de 1 000 $ par famille. Cette idée a été rejetée du revers de la main par le PQ et le Parti libéral », a-t-il insisté.

Pour le candidat caquiste, Saint-Jérôme a depuis trop longtemps souffert des coupures et du sous-financement en santé et rappelle que c’est possible de baisser les impôts tout en améliorant les services. « Saint-Jérôme attend depuis trop longtemps la construction du pavillon de santé mentale, promis à tour de rôle par le PQ et l’actuel gouvernement libéral. Je ne peux tolérer ce statu quo lamentable et je m’engage à travailler de pair avec mon collègue François Paradis et le maire Stephane Maher pour que Saint-Jérôme récupère sa juste part », a promis Bruno Laroche. Le candidat caquiste souhaite également prendre le parti des aînés, qui font les frais depuis trop longtemps du laxisme des deux vieux partis.

Agrandissement du pavillon de l’UQO

Bruno Laroche s’est également engagé à faire pression afin d’obtenir le financement pour l’agrandissement du pavillon de Saint-Jérôme de l’Université du Québec en Outaouais. « Le pavillon lutte contre l’exode des jeunes. Ils sont notre plus grande richesse collective. Il est donc vital que la planification de l’agrandissement de l’UQO soit étudiée en fonction des besoins de la région et de Saint-Jérôme sur une plus longue période », a-t-il affirmé.

Position claire sur l’identité

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a pour sa part rappelé que seule la CAQ a une position claire sur la question identitaire. « Pendant que Jean-François Lisée et sa troupe ont consenti au projet de loi 62, qui ouvre toute grande la porte au tchador dans nos écoles, tous les députés de la CAQ se sont levés pour défendre nos valeurs fondamentales, comme l’égalité entre les hommes et les femmes. Quand ça compte, le PQ vote pour le tchador, mais quand les sondages sont mauvais, il change de position », a-t-il déploré.

Une campagne sous le signe du respect et de l’écoute : « J’ai la conviction que nous réaliserons de grandes choses ensemble » – Ginette Marotte


 Publié le 28 novembre 2016
 

C’est accompagnée du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, que Ginette Marotte a dressé un bilan très positif de sa campagne électorale qui se terminera le 5 décembre prochain. La candidate caquiste est convaincue que les citoyens de Verdun se sentent directement interpellés par les priorités de la CAQ et sont prêts pour le changement.

Baisse d’impôt pour les familles, qualité des soins aux aînés, lutte au décrochage scolaire, protection du patrimoine religieux et établissement d’un lien additionnel entre l’Île-des-Sœurs et la terre ferme, ce sont toutes des positions qui rejoignent la population de Verdun selon la candidate caquiste.

« Il ne faut pas oublier que depuis deux ans, les citoyens doivent payer 1 300$ de plus de leurs poches en raison des hausses de taxes et de tarifs de toutes sortes. Je l’ai bien senti sur le terrain, Verdun veut être entendu, respecté et représenté par quelqu’un qui leur ressemble. Dès le 5 décembre, je serai la députée de tous les Verdunois et je me ferai un devoir de les représenter dignement, avec transparence et éthique », a indiqué madame Marotte.

Deux ans après sa retraite de la politique municipale pour s’occuper de sa mère, Ginette Marotte a repris le travail avec la même énergie et les mêmes convictions qu’autrefois. « J’ai retrouvé des Verdunois toujours aussi engagés envers la communauté, intéressés par son développement et soucieux de son avenir. Tout au long de mes rencontres et lors du porte-à-porte, j’ai écouté et compris ce que les Verdunois voulaient d’une députée et je suis prête à leur offrir mon temps et mon expertise », a mentionné la candidate qui a été la première mairesse de Verdun.

Pour sa part, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault s’est dit « fier de pouvoir compter sur une candidate d’expérience qui connaît Verdun comme pas un et qui sera en mesure de mettre sur pied des projets répondant à leurs besoins. Verdun passera à l’histoire en élisant la première députée caquiste sur l’île de Montréal. Nous avons la meilleure députée pour représenter les citoyens de Verdun. Ce n’est pas pour rien qu’on la surnomme Madame Verdun! », a-t-il lancé.

Fidèle à elle-même, Ginette Marotte a tenu à remercier son groupe de bénévoles qui l’accompagne sur le terrain et au local électoral depuis plusieurs semaines. Elle tient aussi à remercier toutes celles et tous ceux qui ont pris le temps de la contacter, de l’accoster sur la rue ou qui lui ont ouvert leur porte afin d’échanger sur les défis et les opportunités qui touchent le comté de Verdun. Elle invite tous ses sympathisants à concrétiser leur engagement en votant pour elle le 5 décembre.

Élection partielle dans Arthabaska : Éric Lefebvre reçoit des appuis massifs de tous les horizons


 Publié le 28 novembre 2016
 

Vingt-neuf personnalités du milieu des affaires, de la politique municipale, des organismes sociaux et communautaires, de la santé et du secteur culturel prennent position publiquement pour appuyer Éric Lefebvre, le candidat de la Coalition Avenir Québec dans Arthabaska-L’Érable.

Éric Lefebvre se réjouit de l’appui officiel des personnes suivantes : Harold Poisson, maire de Saint-Rosaire; Alexandre Côté, conseiller municipal de Victoriaville; Ricardo Dorcal; Gabriel Viens, ex-directeur de la Fondation HDA; Michel Larochelle, maire de Saint-Christophe-d’Arthabaska; Daniel Fleury, ancien professeur de Cégep; Georges Boucher, homme d’affaires; Clermont Paquet, homme d’affaires; Jocelyn Bédard, maire de Notre-Dame-de-Lourdes; Jean Marcotte, comptable CPA; Simon Arsenault, conseiller municipal de Saint-Christophe-d’Arthabaska; Jacques Gagnon, ex-conseiller municipal de Victoriaville; Donald Dumont, ex-conseiller municipal de Victoriaville; Bertrand Lambert, ex-conseiller municipal de Victoriaville; Francine Rainville, ex-conseillère municipale de Saint-Christophe-d’Arthabaska; Alain François; Yannick Fréchette, conseiller pédagogique; Philippe Rancourt, ex-dg de CHSLD; Jacques Leahey; Stéphane Bilodeau; Jean-Claude Laroche, ex-directeur de la Sécurité publique de Victoriaville; René Laprise, ingénieur; Michel Vigneault et Normand Vigneault, hommes d’affaires de Saint-Ferdinand; Robert Carrier; Jaïda Provencher; Bianca Hamel; Jean-François Dubois, homme d’affaires de Plessisville; Andrée-Anne Rochefort, présidente régionale de l’APCHQ Bois-Francs ; Robert Jutras, directeur général régional de l’APCHQ Bois-Francs.

Ces personnes se reconnaissent dans les thèmes et engagements d’Éric Lefebvre :

•       Une baisse d’impôt de 1000 $ par famille.

•       La reconnaissance régionale, notamment dans le système de santé où le gouvernement libéral a fermé la porte à un Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) pour le Centre-du-Québec.

•       L’importance de talonner le gouvernement pour accélérer la réalisation de l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska, alors que le gouvernement parle d’une première pelletée de terre dans cinq à sept ans.

•       Des investissements de 50 M$ par année dans l’industrie agricole du Québec, un engagement appuyé par le président de l’Union des producteurs agricoles, Marcel Groleau. Le montant, qui pourrait être plus important, proviendra des surplus annuels de la Financière agricole et sera donc sans impact sur le budget du Québec.

•       La restauration du réservoir Beaudet, l’une des principales sources d’eau potable de la Ville de Victoriaville.

•       L’amélioration des soins aux personnes aînées dans les CHSLD où la nourriture doit être de meilleure qualité et l’hygiène plus adéquate avec plus d’une douche par semaine.

Élection partielle dans Arthabaska : La CAQ réclame un sursis pour les camionneurs


 Publié le 25 novembre 2016
 

Accompagné du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, le candidat dans la circonscription d’Arthabaska, Éric Lefebvre, demande au gouvernement de reporter de six mois l’entrée en vigueur de son Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers.

Le candidat caquiste a profité de son passage à Plessisville, où il y a plusieurs entreprises de transport, en compagnie de François Legault pour réitérer que la CAQ partage les préoccupations des camionneurs. Il rappelle que des centaines de camionneurs indépendants n’ont pas été informés des modifications qu’ils devaient apporter depuis dimanche à leur poids lourd.

La CAQ demande un sursis de 6 mois avant l’application du règlement afin de donner à l’industrie du camionnage le temps de s’adapter aux nombreuses restrictions imposées. Les nouvelles règles comportent des ajustements de taille qui entraîneront nécessairement des coûts pour les camionneurs et les exploitants.

« Tout d’abord, on aurait dû consulter et mieux informer l’industrie concernant ces changements, fait valoir M. Lefebvre. La plupart des entreprises de transport et les camionneurs trouvent ridicule le fait qu’ils doivent réduire la longueur du pare-soleil sur leur pare-brise. Ils devront débourser entre 500 et 800 $ par camion afin de les raccourcir. D’autres changements concernent l’entretien, l’aspect physique des véhicules et une liste de vérifications deux fois plus longue. »

Le chef de la CAQ, François Legault est clair : « Il n’est pas question de faire de compromis sur la sécurité des automobilistes, mais force est de constater que le gouvernement Couillard refuse d’accompagner convenablement les camionneurs dans cette transition. En même temps que la sécurité routière doit être la priorité numéro un de tous, nous désirons laisser le temps à l’industrie de se conformer. L’intention ne doit pas être d’utiliser ce moyen pour donner des contraventions », a-t-il conclu.

 

Et si on réinventait l’école? Le Webinaire! Partie 1: école de 4 à 18 ans (ou diplomation)


 Publié le 25 novembre 2016
 

Premier Webinaire sur mon essai sur l’éducation, Et si on réinventait l’école?

Sujets: La prématernelle 4 ans offerte à tous et l’école obligatoire jusqu’à 18 ans ou diplomation.

Bon visionnement!

Et si on réinventait l’école? Le Webinaire! Partie 2: élèves HDAA et valorisation de l’Éducation


 Publié le 25 novembre 2016
 

Deuxième Webinaire sur mon essai sur l’éducation, Et si on réinventait l’école?

Sujets: Les élèves handicapés ou avec des difficultés d’apprentissage ou d’adaptation (EHDAA) et la valorisation de l’éducation.

Bon visionnement!

Ordre professionnel des enseignants: débat avec le Syndicat Champlain


 Publié le 25 novembre 2016
 

La Coalition Avenir Québec et moi sommes en faveur de la création d’un ordre professionnel enseignant. Le 31 octobre dernier, j’ai participé à un débat sur la question avec Éric Gingras, président du syndicat de l’enseignement de Champlain, qui est opposé à une telle mesure.

Bon visionnement!

Simon Jolin-Barrette déplore l’inaction libérale dans l’abandon des accusations contre Luigi Coretti


 Publié le 24 novembre 2016
 

« Il est inacceptable que de nombreux accusés dans des affaires de corruption soient libres comme l’air en raison des trop longs délais à tenir leurs procès », a déclaré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, en réaction à la décision du DPCP d’abandonner ses accusations de fraude, de fabrication de faux et d’usage de faux contre Luigi Coretti, proche de l’ex-ministre libéral Tony Tomassi.

Après les arrêts des procédures en 2011 et en 2015 à l’endroit de nombreux Hells Angel, puis l’arrêt des procédures visant l’influent SalvatoreCazzetta en septembre dernier, c’est au tour de Luigi Correti d’échapper à la justice… non pas pour faute de preuves, mais parce que les délais sont trop longs, a déploré Simon Jolin-Barrette.

« Pendant que la ministre de la Justice invente des excuses et nous accuse à tort de mépriser le système de justice, les Québécois perdent patience et confiance envers leur système de justice. En septembre dernier, j’avais demandé à Stéphanie Vallée ce qu’elle comptait faire pour que ce genre de situation ne se reproduise plus jamais. Deux mois plus tard et 13 années de gouvernement libéral plus tard, nous sommes toujours au même stade. Les libéraux envoient un signal dangereux d’impunité pour les criminels. Combien de criminels libérés faudra-t-il avant que la ministre de la Justice agisse ? On veut des gestes concrets, pas des rencontres et des tables de concertation. La ministre ne prend aucune action pour s’assurer qu’aucun autre criminel n’échappe à la justice », a fustigé le caquiste.

Scandale à la SIQ : Le gouvernement a fait le contraire de ce qu’il avait promis, révèle la CAQ


 Publié le 24 novembre 2016
 

Le gouvernement libéral a vendu l’immeuble du 500 René-Lévesque à Montréal, détenu par la Société immobilière du Québec (SIQ), à George Gantcheff dans l’objectif de vider les bureaux de ses fonctionnaires… mais 9 ans plus tard, c’est exactement le contraire qui s’est produit, a révélé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

L’ancienne ministre libérale Monique Jérôme-Forget affirmait en 2007 que la vente au privé de certains édifices visait à recentrer la SIQ sur sa mission essentielle, soit de loger les ministères et organismes du gouvernement du Québec dans des locaux appartenant à la SIQ. La SIQ indiquait de son côté que ces immeubles étaient jugés « hors mission ». Contrairement à ces orientations, presque tous les locaux du 500 René-Lévesque sont aujourd’hui loués par le gouvernement. « Les Québécois ont le droit de savoir ce qui s’est passé : pourquoi le gouvernement loue-t-il aujourd’hui presque tous les espaces de l’édifice alors qu’il avait annoncé son intention d’en sortir ses fonctionnaires ? Pour quelles raisons retrouve-t-on plus de fonctionnaires dans cet édifice en 2016 qu’il y en avait en 2007 ? Qui est responsable de ce changement de cap ? »

Le chef de la CAQ a tenté de savoir si le ministre Carlos Leitão considère toujours qu’être propriétaire des immeubles occupés par des fonctionnaires fait partie de la mission du gouvernement. Le ministre a refusé de s’expliquer et de préciser ses intentions quant au 500 René-Lévesque. « Le ministre des Finances nous dit qu’il n’est responsable de rien. C’est incroyable ! Je lui rappelle que c’est lui le grand patron de la Société québécoise des Infrastructures. C’est à lui de donner les grandes orientations ! », a conclu François Legault.