Recul du PQ sur le tchador : « Que Jean-François Lisée assume son vote! » -Nathalie Roy


 Publié le 24 novembre 2016
 

Après avoir relégué au second plan les questions identitaires, voilà que Jean-François Lisée fait un flip flop complet concernant le port du tchador par les enseignantes, pour finalement s’aligner directement sur la position de la Coalition Avenir Québec. Les députés du Parti québécois devraient toutefois savoir que la population les jugera sur leur vote en faveur du principe du projet de loi 62, qui donne toute la latitude aux enseignantes de porter ce symbole d’oppression et de soumission de la femme, a déclaré la critique de la CAQ en matière de laïcité, Nathalie Roy.

Mme Roy a souligné qu’à la demande de leur chef, tous les députés péquistes ont voté main dans la main avec le Parti libéral pour le principe du projet de loi 62, qualifié de « loi du tchador » par l’ex-députée libérale Fatima Houda-Pépin. Au moment de déposer ses amendements au projet de loi, puis de déposer une motion en chambre, les péquistes ont minutieusement évité d’inclure les enseignants dans la catégorie d’employés qui se verraient interdire de porter le tchador. « Autant Jean-François Lisée que Philippe Couillard ont accepté le principe d’une loi permettant le tchador pour les enseignantes. Faut le faire ! Aujourd’hui, on assiste à un recul majeur. Quand ça compte, le PQ vote pour le tchador, mais quand les sondages sont mauvais, il change de position. M. Lisée change d’idée au gré des sondages », a indiqué Nathalie Roy.

Remettre le dentifrice dans le tube

La députée de Montarville a rappelé que sa formation politique a toujours défendu l’interdiction des signes religieux pour les enseignants, car elle considère qu’ils sont en position d’autorité par rapport aux élèves. Selon elle, le chef péquiste a réalisé l’ampleur des conséquences du vote de ses députés au moment où la CAQ lançait une publicité visant à souligner la position intenable des péquistes et des libéraux.

« Pendant que Jean-François Lisée et sa troupe ont consenti au projet de loi 62, qui ouvre toute grande la porte au tchador dans nos écoles, tous les députés de la CAQ se sont levés pour défendre nos valeurs fondamentales, comme l’égalité entre les hommes et les femmes. Nous avons un plan concret et étoffé, qui comprend la francisation obligatoire des immigrants, un test de connaissance des valeurs québécoises et un plan pour lutter contre l’intégrisme religieux et les corporations religieuses radicalisées. Aujourd’hui, le PQ se rend compte qu’il y a un prix politique à payer pour son incohérence et M. Lisée tente de remettre le dentifrice dans le tube. Qu’il s’assume ! Il est hors de question de changer nos campagnes publicitaires en fonction des changements de cap de M. Lisée. Il faudrait faire une campagne par semaine ! » a conclu Nathalie Roy.

Élargissement de l’autoroute 15 : Bruno Laroche lance un cri d’alarme


 Publié le 24 novembre 2016
 

Accompagné du député de Groulx et porte-parole de la CAQ en transports, le candidat pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, a lancé un cri d’alarme au gouvernement libéral jeudi. Il réclame la concrétisation, dans les plus brefs délais, du projet d’élargissement de l’autoroute des Laurentides permettant l’ajout d’une voie réservée au transport collectif et le covoiturage.

Bruno Laroche rappelle qu’une étude se penchant sur l’aménagement d’une voie réservée pour le transport en commun a été présentée en 2012 au MTQ. Les coûts estimés étaient alors d’environ 47 millions de dollars, soit moins que le montant de 50 millions pour être inscrit au Plan québécois des infrastructures 2014-2024.

Le candidat caquiste est catégorique : le gouvernement délaisse la région des Laurentides. « Les automobilistes et les usagers du transport en commun de la rive-nord de Montréal vivent un véritable calvaire pour se rendre dans la métropole le matin et en ressortir le soir. Il y a des bouchons de circulation monstres. La région a subi une explosion démographique. Que fait la ministre responsable de la région, Christine Saint-Pierre? Elle se promène aux quatre coins de la planète, mais est complètement invisible dans sa région! De mon côté, je m’engage à oeuvrer avec le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, pour que ce projet se réalise enfin. Travaillons ensemble afin que les Jérômiens aient enfin une qualité de vie digne de ce qu’ils méritent. C’est pour changer le quotidien des Jérômiens que je me suis lancé en politique! », soutient-il.

Le député de Groulx, Claude Surprenant, explique pour sa part que la voie réservée, aménagée sur le terre-plein déjà existant, permettrait de favoriser le transport en commun et le covoiturage. « De cette façon, on réduirait la congestion et les gaz à effet de serre. Au total, il n’y aurait que 11 km de route à construire entre les kilomètres 19 et 8. Il ne faut pas oublier que 180 000 véhicules circulent sur cette autoroute quotidiennement. Visiblement, ce projet semble perdu dans les limbes et n’est pas une priorité pour le gouvernement », conclut-il.

Élection partielle dans Arthabaska : La CAQ réclame la création d’un fonds pour aider les agriculteurs


 Publié le 23 novembre 2016
 

Le candidat de la Coalition Avenir Québec dans la circonscription d’Arthabaska, Éric Lefebvre, a profité du débat organisé par le Syndicat de la relève agricole pour annoncer que son parti propose la création d’un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture.

Pour Éric Lefebvre, cette proposition appuyée par le président de l’Union des producteurs agricoles, Marcel Groleau, est une preuve de plus que la CAQ a toujours considéré les agriculteurs comme des entrepreneurs importants pour le Québec. Il a rappelé que depuis quelques années, les agriculteurs du Québec sont négligés par le gouvernement. Depuis août 2015, 2 200 emplois ont été perdus dans ce domaine névralgique. Les investissements annuels ont chuté de 111 M$ depuis 5 ans. Pendant ce temps, en Ontario, c’est le contraire. Les investissements ont augmenté de 450 M$. On constate que le Québec est en train de prendre un retard considérable. Pour le candidat caquiste, il est temps de réagir.
« Actuellement, le gouvernement accumule les surplus via la Financière agricole. Mon parti proposera d’utiliser une partie de cet argent pour créer immédiatement un fonds d’investissement de 50 M$ par année. À notre avis, ce levier permettra des investissements de plus de 1 milliard de dollars sur cinq ans », a lancé M. Lefebvre lors du débat tenu au Cégep de Victoriaville.

L’agriculture étant un fleuron de la région d’Arthabaska et de l’Érable, M. Lefebvre croit que les agriculteurs doivent être appuyés. « Les producteurs agricoles de notre région sont parmi les meilleurs dans le monde. Ils réussissent à compétitionner dans des marchés où les autres pays subventionnent de façon importante l’industrie agricole. Pour continuer à être les meilleurs, il ont besoin eux aussi d’être appuyés. Ce sont des entrepreneurs et si on les appuie, ils vont investir et créer de la richesse », a-t-il ajouté.

Éric Lefebvre a souligné en terminant que si le gouvernement refuse de bouger, en 2018, un gouvernement de la CAQ va aller de l’avant et va soutenir les producteurs agricoles.

André Spénard déplore l’échec des programmes de réinsertion sociale


 Publié le 23 novembre 2016
 

Lorsqu’il est question de réinsertion sociale, le Québec est à la traîne et accuse un retard inquiétant depuis plus de 15 ans, constate le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de sécurité publique, André Spénard. Ce constat, le député de Beauce-Nord le fait à la suite du dépôt du dernier rapport de la Vérificatrice générale, qui révèle l’inefficacité des programmes de réinsertion sociale des détenus.

La situation est plus qu’inquiétante, établit la Vérificatrice générale, qui dénonce l’absence de suivi, l’absence de plan d’intervention en prison pour les délinquants, l’absence d’évaluation des programmes et un taux de récidive atteignant 55 % dans certains cas. Pour le député caquiste, le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, doit faire preuve de leadership, mener une évaluation de ses programmes d’ici la fin de l’année et assurer une réinsertion sociale réussie pour tous les détenus visés par ces programmes.

« La Vérificatrice générale revient à la charge, alors qu’il avait déjà sonné l’alarme en 1997. La seule mesure prise par les 3 derniers ministres libéraux pour assurer la réinsertion sociale de nos détenus, c’est d’envoyer Flocon et Dentelle les tourterelles, Boule et Tarzan les furets, et Mousseline et Pichounette les gentils chatons, pour des séances de zoothérapie dans les prisons du Québec. Ce matin, la Vérificatrice générale nous confirme que le ministère de la Sécurité publique n’évalue pas ses programmes. Les prisonniers suivent donc des programmes de réinsertion, mais le ministre ne sait même pas s’ils fonctionnent. Manifestement, c’est un échec. La preuve : plus d’une personne sur deux récidive. Martin Coiteux doit nous déposer une évaluation d’ici décembre. Ça fait 15 ans que les libéraux agissent aveuglément », a déploré André Spénard, citant comme exemple le programme phare du ministère, le Programme Parcours, qui n’a été appliqué que dans 8 des 16 établissements correctionnels du Québec.

Révision de la loi sur la qualité de l’environnement


 Publié le 23 novembre 2016
 

Scandale à la SIQ : Le gouvernement Couillard donne des contrats sans appel d’offres à Marc Bibeau


 Publié le 23 novembre 2016
 

Depuis 2010, la Société immobilière du Québec (SIQ), devenue ensuite la Société québécoise des infrastructures (SQI), a accordé des contrats sans appel d’offres d’une valeur totale de plus de 1,7 million de dollars pour l’aménagement de bureaux à l’entreprise Les centres d’achats Beauward… présidée par le plus important collecteur de fonds du Parti libéral, Marc Bibeau.

Dévoilée par le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, cette nouvelle révélation est inquiétante, puisque l’Unité permanente anticorruption (UPAC) a mené en août dernier des perquisitions chez Shockbéton, une des entreprises de Marc Bibeau. M. Legault s’inquiète d’autant plus que certains de ces contrats sans appel d’offres ont été donnés en 2015 et en 2016 à une entreprise de Marc Bibeau, par l’actuel gouvernement libéral de Philippe Couillard. Le chef caquiste a exigé du ministre des Finances, Carlos Leitão, une vérification immédiate et particulière de l’ensemble des contrats octroyés par la SIQ et la SQI à des entreprises de Marc Bibeau.

« On découvre aujourd’hui qu’il n’y a pas seulement les collecteurs de fonds libéraux Franco Fava et Charles Rondeau qui ont fait de l’argent avec les transactions de la SIQ, qui est devenue la SQI. Dans le cas de Marc Bibeau, il ne s’agit pas de vieilles histoires : en ce moment même, des fonds publics sont versés aux entreprises de ce grand argentier libéral ! Les enquêtes de la police, c’est une chose. La vérification des contrats et des baux de la SIQ, c’en est une autre. Le ministre des Finances doit ordonner immédiatement la vérification de tous les contrats du gouvernement avec les entreprises de Marc Bibeau », a déclaré le chef de la CAQ, François Legault.

« J’ai à cœur d’encourager les jeunes à apprendre la musique » – André Lamontagne


 Publié le 23 novembre 2016
 

« J’ai à cœur d’encourager les jeunes à apprendre la musique », confie André Lamontagne, le député de Johnson. « J’ai consacré beaucoup de temps dans ma jeunesse à jouer d’un instrument, mais toujours à l’oreille. Après toutes ces années, j’ai encore un regret de ne pas avoir appris la musique. Alors, j’aimerais que son apprentissage devienne accessible à tous et, en ce sens, je suis content de soutenir le programme de bourses à l’école À la portée des sons de Drummondville. Ce programme s’adresse à des élèves talentueux âgés de 5 à 17 ans, dans le but de les aider financièrement. »

Organisme à but non lucratif fondé en 1985, À la portée des sons offre des cours en piano, violon, guitare, chant, batterie et violoncelle, tant en loisir culturel qu’en formation spécialisée. Elle propose aussi un éveil musical aux petits bouts de chou, une initiation au violon parents-enfants et un ensemble à cordes pour adultes. Son équipe se compose d’interprètes-enseignants. Quatre-vingt-dix personnes la fréquentent actuellement, incluant des petits de moins de 5 ans qui apprennent à lire la musique avant l’écriture.

L’école donne aussi des classes de maître et prépare les élèves aux examens du Conservatoire de musique de Trois-Rivières. L’an dernier, les dix candidats et candidates, d’entre 5 et 12 ans, qui se sont présentés ont tous réussi. Ces examens servent, entre autres, à accéder à une formation postsecondaire au conservatoire, au cégep ou à l’université.

« Non seulement une école de musique met des sons à la portée des élèves, c’est aussi une véritable école de vie, considère André Lamontagne. La musique ouvre les horizons, cultive la beauté, met en contact avec les émotions et contribue à développer le potentiel. La discipline et la persévérance dont les jeunes musiciens doivent faire preuve dans l’apprentissage de la maîtrise de leur instrument les préparent à naviguer avec succès dans la société. »

François Legault annonce que la CAQ mettra sur pied un fonds pour aider les agriculteurs


 Publié le 23 novembre 2016
 

La Coalition Avenir Québec a toujours considéré les agriculteurs comme des entrepreneurs importants pour le Québec. C’est pour cette raison que le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, annonce aujourd’hui qu’un gouvernement caquiste mettrait sur pied un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture. La proposition de la CAQ reçoit de plus l’appui du président de l’Union des producteurs agricoles (UPA), M. Marcel Groleau.

Le chef de la CAQ rappelle que les agriculteurs ont grandement besoin d’un coup de main depuis que le gouvernement libéral a coupé de 20 % les budgets en agriculture. « Depuis quelques années, les agriculteurs du Québec sont négligés par le gouvernement. Le résultat : depuis octobre 2015, il y a 2 200 emplois qui ont été perdus dans ce secteur névralgique. Les investissements annuels ont chuté de 111 millions depuis 5 ans », rappelle François Legault.

Selon lui, les agriculteurs québécois ont plus que jamais besoin d’être appuyés par le gouvernement, eux qui évoluent dans un secteur où les subventions coulent à flot ailleurs que chez nous. « Le Québec est en train de prendre un retard considérable. Un retard très inquiétant. Nos régions en souffrent, et surtout les femmes et les hommes qui cultivent la terre et élèvent des animaux. Il faut se dire une chose : les producteurs agricoles québécois sont parmi les meilleurs au monde », affirme-t-il.

Pour financer ce nouveau fonds, la CAQ propose d’utiliser les surplus de la Financière agricole du Québec. « La CAQ propose d’utiliser une partie de cet argent pour créer immédiatement un fonds d’investissement de 50 millions de dollars par année. À notre avis, ce levier va permettre des investissements totaux d’un milliard de dollars sur 5 ans. L’agriculture, c’est absolument essentiel pour l’occupation et l’aménagement de notre territoire, de nos régions. Mais c’est aussi fondamental pour notre économie, pour notre richesse collective », déclare-t-il.

Le chef caquiste considère que cette proposition concrète pourrait s’appliquer très rapidement. « Si le gouvernement libéral accepte de nous suivre, on va applaudir. Si M. Couillard refuse de bouger, en 2018, un gouvernement de la CAQ va aller de l’avant et nous, on va les soutenir nos producteurs agricoles », conclut-il.

Projet de loi 62 : Philippe Couillard ne s’oppose pas au port du tchador par une enseignante


 Publié le 22 novembre 2016
 

Le premier ministre Philippe Couillard ne voit aucun inconvénient à ce qu’une personne en position d’autorité, comme une enseignante, porte un tchador ou même un voile en classe, déplore le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui réclame le retrait immédiat du projet de loi 62.

Le Parti libéral ne défend plus les valeurs communes québécoises, constate M. Legault, qui souligne l’appui de plusieurs députés libéraux à cette affirmation. Pour la CAQ, il est clair que le tchador envoie un signal de soumission, contraire au principe fondamental d’égalité entre les hommes et les femmes. Philippe Couillard n’a plus qu’une chose à faire : retirer son projet de loi du tchador, exige le chef caquiste.

« Les Québécois veulent qu’on encadre les demandes d’accommodements religieux, en interdisant le port de signes religieux par les employés de l’État en position d’autorité. Or, le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse fait exactement le contraire. Il permet, par exemple, qu’une enseignante porte un tchador ou un voile face à une élève de 5 ans. L’enseignante est un modèle et on ne peut accepter qu’elle porte un voile ou un tchador. C’est une question de principe fondamental. Le premier ministre devrait au moins écouter ses propres députés ! Si ça continue ainsi, il ne restera que la ministre de la Justice, le premier ministre et le chef du PQ qui voudront de ce projet de loi ! Je demande à Philippe Couillard de retirer le projet de loi 62 et de repenser à son affaire », déclare François Legault.

Sécurité de l’autoroute 50 : La CAQ presse les libéraux à passer à la vitesse supérieure


 Publié le 22 novembre 2016
 

« Tous les signaux sont au rouge, mais les élus libéraux de l’Outaouais dorment au gaz. Ils ont tellement pris pour acquis les Québécois de la région qu’ils ne voient pas l’urgence d’agir ! » lance le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de transports, Claude Surprenant.

L’autoroute 50 pose de sérieux problèmes de sécurité, convient Claude Surprenant, qui évoque six accidents mortels au cours des trois dernières années seulement. Malgré cette triste réalité, le gouvernement libéral demeure au neutre dans ce dossier. Pire : le député de Papineau, Alexandre Iracà, n’a toujours pas rempli ses engagements électoraux, déplore le caquiste.

« Combien de tragédies humaines faudra-t-il encore pour que le gouvernement libéral écoute sa population et cesse de se traîner les pieds ? Le député Iraca fait des beaux discours, dit trouver la situation inquiétante, mais il n’a ni plan ni échéancier précis à proposer alors qu’il fait partie de l’équipe gouvernementale ! Les Gatinois et tous les Québécois se souviennent parfaitement qu’il s’était engagé en campagne électorale à réaliser des études sur les investissements nécessaires pour rendre l’autoroute 50 sécuritaire, mais elles se font toujours attendre. Deux ans et demi plus tard, le Parti libéral fait du surplace et met la sécurité des gens à risque. Quel manque de leadership et d’engagement des élus libéraux envers la population de la région », souligne Claude Surprenant.

La CAQ, elle, répond aux appels de détresse des élus locaux, qui réclament des gestes concrets et immédiats afin de rendre l’autoroute 50 plus sécuritaire pour les automobilistes et éviter que d’autres drames humains ne surviennent. Le député de Groulx réclame toutes les études commandées et réalisées par le ministère des Transports ou de mandataires. La population pourra ainsi juger de l’état d’avancement et surtout de l’inaction du gouvernement libéral qui, depuis 2003, n’a pas su présenter un plan précis pour améliorer la sécurité sur l’autoroute 50.

« Il y a beaucoup de pain sur la planche. Il faut bonifier rapidement l’éclairage de certains tronçons la nuit, prévoir des espaces de répit, ajouter des séparateurs dans les virages problématiques, en plus d’envisager des travaux à long terme pour répondre à l’achalandage sur la 50, qui a grimpé en flèche au cours des dernières années pour atteindre un débit journalier de près de 10 000 véhicules par jour en 2015. La région de l’Outaouais ne doit plus être prise pour acquise. Qu’attendent les députés libéraux pour défendre leurs citoyens au gouvernement ? » conclut Claude Surprenant.