Nomination de juges bilingues à la Cour suprême : Le gouvernement ne se tient pas debout pour le Québec


 Publié le 12 août 2016
 

Le porte-parole de la CAQ en matière de Justice et député de Borduas, Simon Jolin-Barrette, dénonce la complaisance du gouvernement Couillard dans le dossier de la nomination de juges bilingues à la Cour suprême.

Les Québécois ne peuvent accepter la définition de bilinguisme de la ministre de la Justice, Mme Jody Wylson Rayboul lorsqu’elle affirme « que la capacité pour un juge de s’engager dans une conversation en français n’est tout simplement pas requise. »

Pour le député de Borduas, cette définition du bilinguisme faite par la ministre devant le comité permanent de la justice et des droits de la personne est « non seulement inadéquate, mais totalement contradictoire avec la défense des intérieurs supérieurs du Québec. Elle cache aussi le fait qu’elle ne vient avec aucune modification de la loi sur la Cour Suprême à titre de critère de sélection de ses membres  »

« C’est totalement absurde qu’actuellement et dans le projet de la ministre qu’un juge ne puisse converser avec un avocat francophone ; je suis sidéré par l’inaction du premier ministre Couillard et du ministre Fournier dans ce dossier. Ils sont à plat ventre devant le gouvernement Trudeau » », a déploré M. Jolin-Barrette.

Pour le porte-parole de la CAQ en matière de Justice, il est impératif que le premier ministre Couillard exige que le gouvernement fédéral insère l’obligation de nommer des juges « non pas en partie bilingues, mais totalement bilingues dans la Loi sur la Cour suprême. »

Rappelons que la CAQ a dénoncé plusieurs fois dans ce dossier le manque d’intérêt et de leadership du gouvernement Couillard.

La CDP prend le contrôle du Projet McInnis : Philippe Couillard doit des explications aux Québécois


 Publié le 11 août 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, exige du Premier ministre qu’il fasse le point sur l’argent des contribuables investi dans la cimenterie McInnis en Gaspésie. «La Caisse de dépôt ajoute 125 M$, le fonds d’investissement BlackRock aussi. Qu’en est-il de la participation d’Investissement Québec dans le projet – dans lequel le gouvernement s’attend déjà à perdre jusqu’à 116 M$? Les Québécois ont le droit de savoir ce qui en est!», dit François Legault. Le chef caquiste somme le Premier ministre d’expliquer aux Québécois les impacts importants de cette nouvelle structure de l’actionnariat sur l’investissement d’argent public.

Des emplois menacés

Plus tôt dans la journée, François Legault a constaté les impacts négatifs du projet de cimenterie à Port-Daniel. «Le président de Ciment Québec, Luc Papillon, estime que le projet McInnis met à risque des emplois dans son entreprise de Saint-Basile; or, il est prévu que la cimenterie de Port-Daniel ne crée que 200 emplois en Gaspésie, malgré les sommes faramineuses dépensées. C’est un non-sens», déplore le chef de la CAQ. «Depuis le début, la CAQ martèle que ce projet est un scandale qui porte la marque des libéraux et qui est économiquement indéfendable», dit François Legault. Il appelle le Premier ministre à comprendre le message et à donner l’heure juste aux Québécois.

Françoi Legault s’est entretenu à ce sujet vendredi matin avec l’animateur Louis Lacroix, au 98,5 FM. Vous pouvez réécouter l’entrevue en cliquant ici.

Investissement majeur possible chez Alcoa : Philippe Couillard doit s’impliquer rapidement et prendre en main le dossier


 Publié le 11 août 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est ressorti inquiet d’une visite de plus de deux heures à l’usine Alcoa de Deschambault, dans le cadre de sa tournée «Debout pour le Québec». Il ne s’explique pas le peu d’intérêt du gouvernement pour le développement de l’industrie de l’aluminium au Québec.

«La multinationale attend un signal clair de ce gouvernement afin de prendre des décisions importantes sur ses investissements au Québec», affirme François Legault. Il déplore l’impasse dans laquelle se trouvent les négociations entre le gouvernement et la multinationale. «Le Premier ministre doit immédiatement saisir la balle au bond et faire preuve de leadership», a poursuivi le chef de la CAQ.

François Legault soutient que des investissements majeurs et créateurs d’emplois bien rémunérés pourraient résulter de l’implication du Premier ministre. «À condition qu’il mobilise Hydro-Québec et Investissements Québec, Alcoa envisagerait faire des investissements majeurs chez nous. Les emplois créés profiteraient à notre économie et à toute la communauté.»

Un tel investissement renforcerait inévitablement les liens entre Alcoa et le Québec. D’ailleurs, en mai dernier, le vice-président exécutif de la multinationale affirmait «réfléchir aux emplacements de ses bureaux administratifs» dans l’éventualité d’un tel renforcement. « Notre économie a un besoin criant d’attirer des sièges sociaux afin de maintenir chez nous les prises de décisions; récupérer celui d’Alcoa serait en ce sens un retour du balancier salutaire après la perte du siège social d’Alcan», dit François Legault.

Le chef de la CAQ conclut en pressant le Premier ministre Couillard de s’impliquer personnellement dans le dossier. «Il doit passer à l’action pour que les négociations débloquent; il ne doit pas laisser passer cette occasion. Il doit s’impliquer rapidement et prendre en main le dossier».

Samuel Lemire nommé président de la CRCAQ


 Publié le 11 août 2016
 

La Coalition Avenir Québec est fière d’annoncer la nomination de Samuel Lemire à titre de président de la Commission de la Relève de la CAQ. L’exécutif a voté unanimement pour que Samuel occupe la présidence de la Relève jusqu’au congrès 2017. Il remplissait le rôle de vice-président de la CRCAQ depuis septembre 2015.

Natif de Lanaudière et résidant désormais dans la Capitale-Nationale, Samuel Lemire étudie le droit à l’Université Laval. Passionné par le droit constitutionnel et par les affaires publiques, il a aussi suivi des cours à l’Université Harvard, à Boston, ainsi qu’à l’Académie de Turku, en Finlande. Samuel a également effectué un stage au Sénat français.

Il est membre de la Coalition Avenir Québec depuis sa fondation. Après s’être impliqué dans la circonscription de Taschereau, il est devenu en 2013 président de son Comité d’Action Local (CAL) et a occupé cette fonction jusqu’en décembre 2015. Depuis, il a occupé de nombreuses fonctions au sein de la Relève.

« Je veux contribuer à la victoire de la Coalition Avenir Québec en 2018, par la défense d’une idée claire et innovatrice de la nation québécoise, pour que la Relève puisse s’inscrire dans la lignée des pionniers qui, génération après génération, ont créé l’avenir du Québec. J’agirai pour offrir à la relève québécoise une véritable politique nationaliste », soutient le nouveau président, âgé de 21 ans.

Un avenir prometteur

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, se réjouit de cette nomination. « Samuel est un jeune homme engagé et intelligent, qui nous donne de l’espoir pour l’avenir du Québec. Son dévouement pour le Québec et notre parti est considérable. Je suis fier de pouvoir compter sur des jeunes aussi inspirants au sein de notre relève », explique-t-il.

Samuel Lemire succède ainsi à Marie-Christine Fortin-Morand, qui s’absente pour un congé de maternité.

Emplois et prévisions économiques en baisse: «On a un gouvernement déconnecté» – André Lamontagne


 Publié le 11 août 2016
 

Le député de Johnson et porte-parole de la CAQ en économie, André Lamontagne, souligne que les données sur l’emploi publiées le 5 août sont décevantes. « Une fois de plus, les prévisions du ministre des Finances ne tiennent pas la route. Avec 4000 emplois en moins en juillet, le Québec accuse une perte cumulative de 2800 emplois depuis le 1er janvier; ce sont 400 emplois qui disparaissent chaque mois au lieu des milliers que le gouvernement a promis à répétition de créer lors du dépôt de chacun de ses budgets. »

« Dans son plan budgétaire présenté pour 2017, le ministre des Finances a projeté une croissance économique de 2,0 %, rappelle André Lamontagne. Or à ce jour, la majorité des économistes prédisent plutôt une croissance réelle inférieure à 1,5 %. Cet écart n’augure rien de bon pour l’emploi! »

« Par-dessus le marché, les exportations qui devraient propulser la création d’emplois stagnent et les investissements privés ne sont tout simplement pas au rendez-vous. Pendant ce temps, le premier ministre publie des communiqués vantant la bonne performance économique du Québec. On a vraiment un gouvernement déconnecté de ce qui se passe sur le terrain. Ç’en est exaspérant », se désole le député.

« Après 28 mois au pouvoir, force est de constater que le gouvernement libéral n’avait aucun plan pour faire face à nos défis économiques. Et s’il en a un comme il le prétend, eh bien les résultats nous démontrent que ce n’est pas un bon plan! Le gouvernement n’est pas à la hauteur et ne livre pas la marchandise. »

Le premier ministre doit faire de la croissance économique une priorité de son gouvernement. « Que va-t-il faire cet automne? Quel secteur priorisera-t-il? Quels moyens utilisera-t-il? Comment va-t-il mobiliser le Québec pour s’assurer de réussir? » Vivement des réponses!

Forum Social Mondial : Nathalie Roy demande au gouvernement de retirer sa subvention et faire preuve de plus de discernement


 Publié le 10 août 2016
 

La porte-parole de la CAQ en matière d’Intégrité, Laïcité, Immigration et de Condition féminine, Nathalie Roy, ainsi que son collègue Benoît Charette, porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’affaires intergouvernementales canadiennes, de réformes des institutions démocratiques, de relations internationales et de Francophonie, demandent au gouvernement de retirer la subvention de 100 000$ accordés au Forum Social Mondial, qui se tient cette semaine à Montréal.

Si elle reconnaît que la présence de groupes crédibles de nombreux horizons au Forum Social Mondial est saine dans une société démocratique, Nathalie Roy estime absurde et inadmissible d’engager des fonds publics – en période de restrictions budgétaires – dans un événement réunissant aussi des organisations dont les buts ou bien le passé sont discutables. «Un des groupes participants est Palestinian House, qui s’est vu couper son financement par Ottawa en 2012 en raison de son soutien à l’extrémisme ! Je vois mal les raisons qui justifient de s’associer, de près ou de loin, à une organisation qui fait l’éloge de terroristes et qui fête leur libération», dit Nathalie Roy. La députée s’étonne de l’incohérence du ministre Martin Coiteux. En effet, la subvention provient de son ministère des Affaires municipales ; or, monsieur Coiteux est également à la tête de la Sécurité publique. «C’est comme le serpent qui se mord la queue», ironise Nathalie Roy. Elle déplore enfin l’opacité entourant le nom des participants aux différents ateliers ainsi que les contenus abordés. «Une porte-parole du gouvernement a même reconnu que la subvention avait été accordée sans que l’on connaisse bien le programme du Forum ; il s’agit d’un grave manque de rigueur et de discernement», conclut la députée de Montarville.

De son côté, Benoit Charette se dit inquiet de la place accordée lors du Forum Social Mondial au mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), qui défend des positions anti-Israël qui vont à l’encontre du consensus international sur la solution négociée de deux États pour deux peuples au conflit israélo-palestinien. «Il revient au gouvernement du Québec d’être cohérent non seulement envers les positions traditionnelles du Québec, mais également envers ses valeurs. Or, plusieurs groupes présents ont un discours carrément antisémite qui menace la cohésion sociale.»

Les deux députés caquistes vont continuer de réclamer du gouvernement Couillard qu’il entende raison rapidement en retirant sa subvention à l’événement en cours. Ils demandent aussi qu’il revoie tout le processus d’attribution de ces subventions à des forums ou colloques dont les buts sont discutables.

« Pourquoi le ministre Paradis tient-il à cacher l’identité de nos aliments? »


 Publié le 9 août 2016
 

La députée Sylvie D’Amours est choquée d’apprendre que l’indication « Produit du Québec » n’est plus obligatoire pour nos producteurs agricoles et nos détaillants. La députée de Mirabel déplore le manque de leadership du gouvernement et demande au ministre de cesser de jouer à « Où est Charlie? » et de revenir sur cette décision afin de démontrer de l’ambition pour notre industrie agroalimentaire.

« Nos agriculteurs doivent se sentir appuyés par le gouvernement et les consommateurs doivent avoir les outils nécessaires pour facilement repérer les aliments québécois dans les étalages. Le rejet de la mention « Produit du Québec » pour nos aliments brise ce lien de confiance et démontre le peu d’importance qu’accorde le gouvernement à l’économie agricole. D’autant plus que les aliments provenant d’autres régions comme l’Ontario ou les États-Unis auront leurs propres indications pour leurs produits », indique Sylvie D’Amours.

Pendant que le ministre Paradis commande puis décommande un sommet de l’alimentation, la Coalition Avenir Québec se fait une priorité de défendre l’agriculture québécoise et continue d’être le véritable porte-étendard des enjeux agroalimentaires. « Nous avions l’occasion de mettre en valeur notre garde-manger et d’encourager l’économie de nos agriculteurs et de nos régions, et nous avons décidé de les laisser à eux-mêmes. Monsieur Paradis, il est temps de revenir sur terre et de constater que notre identité est tout aussi importante sur nos aliments que sur nos passeports », conclut Sylvie D’Amours.

Debout pour le Québec : François Legault lance sa tournée du Québec


 Publié le 9 août 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a donné mardi le coup d’envoi à sa tournée régionale qui le mènera dans une cinquantaine de circonscriptions à travers le Québec. Intitulée «Debout pour le Québec», cette tournée lui permettra d’aller directement à la rencontre des citoyens.

Le chef de la CAQ a expliqué qu’il invitera les citoyens à se poser une question fondamentale : est-ce que le Québec va mieux aujourd’hui que lors de l’arrivée du Parti libéral au pouvoir en 2003? « Je constate, après plus d’une décennie de règne du Parti libéral, que nous pouvons faire mieux pour l’économie, pour les services aux élèves dans les écoles et pour défendre notre identité québécoise. Le Québec peut faire mieux. Plus que jamais, le Québec a besoin de leadership », a-t-il affirmé.

Au fil des semaines, le message qu’il entend donc marteler aux Québécois qu’il croisera la nécessité de se tenir debout face aux libéraux. «Que ce soit pour réduire les impôts des Québécois, pour offrir à tous les enfants de 4 ans la prématernelle, pour la création de bons emplois dans toutes les régions du Québec ou pour défendre notre langue et nos valeurs, il faut que la politique retrouve sa première vocation, celle de servir les citoyens. Il faut se tenir debout pour le Québec », a-t-il ajouté.

M. Legault a de nouveau invité les Québécois à se rassembler derrière la CAQ pour mettre fin au monopole libéral lors des prochaines élections. « On en a assez des vieux partis et des vieilles chicanes. Ce sera mon message partout où j’irai : la CAQ est l’alternative pour remplacer les libéraux. Le seul parti qui peut rassembler les Québécois et relancer le Québec. Pour y arriver, nous devons nous tenir debout pour le Québec! », a-t-il conclu.

Debout pour le Québec : François Legault lance sa tournée du Québec


 Publié le 9 août 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a donné mardi le coup d’envoi à sa tournée régionale qui le mènera dans une cinquantaine de circonscriptions à travers le Québec. Intitulée «Debout pour le Québec», cette tournée lui permettra d’aller directement à la rencontre des citoyens.

Le chef de la CAQ a expliqué qu’il invitera les citoyens à se poser une question fondamentale : est-ce que le Québec va mieux aujourd’hui que lors de l’arrivée du Parti libéral au pouvoir en 2003? « Je constate, après plus d’une décennie de règne du Parti libéral, que nous pouvons faire mieux pour l’économie, pour les services aux élèves dans les écoles et pour défendre notre identité québécoise. Le Québec peut faire mieux. Plus que jamais, le Québec a besoin de leadership », a-t-il affirmé.

Au fil des semaines, le message qu’il entend donc marteler aux Québécois qu’il croisera la nécessité de se tenir debout face aux libéraux. «Que ce soit pour réduire les impôts des Québécois, pour offrir à tous les enfants de 4 ans la prématernelle, pour la création de bons emplois dans toutes les régions du Québec ou pour défendre notre langue et nos valeurs, il faut que la politique retrouve sa première vocation, celle de servir les citoyens. Il faut se tenir debout pour le Québec », a-t-il ajouté.

M. Legault a de nouveau invité les Québécois à se rassembler derrière la CAQ pour mettre fin au monopole libéral lors des prochaines élections. « On en a assez des vieux partis et des vieilles chicanes. Ce sera mon message partout où j’irai : la CAQ est l’alternative pour remplacer les libéraux. Le seul parti qui peut rassembler les Québécois et relancer le Québec. Pour y arriver, nous devons nous tenir debout pour le Québec! », a-t-il conclu.

Pitbulls : la sécurité de la population avant tout


 Publié le 9 août 2016
 

La porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, de pêcheries et d’alimentation et députée de Mirabel, Sylvie D’Amours soupçonne le gouvernement libéral de vouloir reculer dans le dossier de l’interdiction des pitbulls, à la lumière des informations contenues dans un rapport préliminaire dévoilé dans les médias.

Sylvie D’Amours rappelle que la position de la Coalition Avenir Québec n’a pas changé depuis juin dernier : il faut interdire la possession de pitbulls afin d’éviter des drames comme celui qui a coûté la vie à une Montréalaise ce printemps. En revanche, elle dénonce l’inaction des libéraux et les accuse encore une fois d’avoir voulu gagner du temps en mettant sur pied un comité de réflexion. «On en a vu de toutes les couleurs avec le gouvernement libéral dans ce dossier: hésitation, contradictions, improvisation. Quand va-t-il comprendre que ce que les Québécois veulent, c’est se sentir en sécurité? Que ce qu’ils souhaitent, c’est de l’action, pas des consultations?, s’interroge-t-elle.

Sylvie D’Amours attend avec impatience la publication du rapport final, qui doit être remis le 31 août au ministre de la Sécurité publique. Elle et son équipe travaillent toujours sur le dossier et sont impatients de pouvoir en débattre avec le gouvernement.