Attentes pré-budgétaires : La CAQ priorise les baisses d’impôts, l’économie et la rénovation des écoles


 Publié le 8 mars 2016

Des baisses d’impôts, un plan de relance économique ambitieux et un vaste chantier pour rénover nos écoles: les députés François Bonnardel, André Lamontagne et Jean-François Roberge ont dévoilé, mardi, les priorités de la Coalition Avenir Québec en prévision du dépôt imminent du prochain budget Leitão.

Au premier chef, le porte-parole en matière de finances publiques et député de Granby, François Bonnardel, urge le ministre Carlos Leitão à présenter des mesures fortes pour soulager la classe moyenne et la protéger de futures hausses de taxes et de tarifs. Cette fois-ci, plus que jamais, le budget 2016-2017 doit être responsable et sous le signe de baisses d’impôt substantielles afin d’enrichir les Québécois, tout en assurant une croissance soutenue de notre économie.

« Depuis l’élection de Philippe Couillard, les familles et la classe moyenne ont l’impression que tout augmente autour d’eux, sauf leur salaire. Nous demandons au ministre des Finances de baisser leurs impôts immédiatement. Les pertes d’emplois par centaines et l’abandon de plusieurs projets industriels majeurs portent à croire que des nuages noirs planent sur notre économie. Il est grand temps de donner une bouffée d’air frais aux Québécois », estime François Bonnardel. « Le Parti libéral fait l’équilibre budgétaire sur le dos des familles grâce aux hausses de taxes et de tarifs de 1500 $ et aux coupures dans les services qu’on leur offre. Ils ont épargné la bureaucratie », se désole le leader parlementaire, tout en réclamant également que la hausse des taxes et tarifs soit limitée à l’inflation dans le prochain budget.

Son collègue député de Johnson, André Lamontagne, abonde dans le même sens. Pour le porte-parole caquiste en matière d’économie, le Parti libéral ne permet pas au Québec de tirer profit de la baisse du prix du pétrole et de la faiblesse du huard pour relancer son économie, notamment le secteur manufacturier. « La population est inquiète de l’incapacité de Philippe Couillard à gérer l’économie. Nous avons demandé la création d’un Fonds de relance pour notre secteur manufacturier. Carlos Leitão a refusé notre mesure, sans pour autant en proposer une en échange », explique André Lamontagne.

Priorité à l’éducation

En éducation, le député de Chambly, Jean-François Roberge, soutient que les priorités en tête de liste pour le budget doivent être le décrochage scolaire et la lutte contre la vétusté des écoles. À ce titre, le député demande au gouvernement Couillard de réserver, dès le 17 mars, d’importantes sommes dans son budget d’infrastructures afin de rénover et redresser le parc immobilier du réseau scolaire public du Québec.

« Au printemps vient le budget, mais vient aussi le grand ménage. On espère que le gouvernement Couillard va en profiter pour faire le grand ménage dans nos écoles. Il faut les rénover, les nettoyer, et leur redonner leurs lettres de noblesse. Les gens ont l’impression de payer toujours plus sans en avoir pour leur argent. L’état des écoles est la meilleure démonstration de la mauvaise gestion des fonds publics par les libéraux. Il est plus que temps que le gouvernement procède à cette grande corvée tant attendue par les parents, qui sont tannés d’envoyer leurs enfants dans des écoles délabrées », de conclure le critique de la CAQ en matière d’éducation.

Rappelons que la CAQ a dévoilé il y a quelques semaines que ce sont 478 écoles qui sont dans un état de vétusté jugé préoccupant par le ministère de l’Éducation et que les investissements nécessaires pour rénover nos écoles se chiffraient à 3,5 milliards de dollars.

De graves problèmes de gestion chez Hydro-Québec


 Publié le 7 mars 2016

La députée Chantal Soucy ne mâche pas ses mots à l’endroit des gestionnaires d’Hydro-Québec.

Le Journal de Montréal a révélé lundi que la société d’État a déboursé 131 millions de dollars l’an dernier pour des heures supplémentaires effectuées par ses employés. Certains travailleurs ont même pu facilement doubler leur salaire annuel grâce aux heures supplémentaires et à diverses primes touchées en 2015.

Loin d’attribuer la faute aux travailleurs d’Hydro-Québec, la députée de Saint-Hyacinthe croit qu’il y a un sérieux coup de barre à donner lors des négociations des conventions collectives.

« Ce n’est pas normal de voir tout ce temps supplémentaire réalisé en une seule année. Il y a des gestionnaires qui ne mettent pas leurs culottes. Le ministre responsable d’Hydro-Québec, Pierre Arcand, doit s’en mêler », dénonce Chantal Soucy.

Il est important de rappeler qu’en 2014, le temps supplémentaire avait coûté 144 millions de dollars à Hydro-Québec.

La CAQ propose de mettre fin à l’incorporation des médecins pour offrir plus de soins à domicile


 Publié le 6 mars 2016

Alors que plus de 16 500 personnes attendent toujours pour obtenir un premier service de soins à domicile, le député François Paradis propose un électrochoc en mettant fin graduellement à l’incorporation des médecins et en investissant toutes les sommes qui découleraient de cette mesure dans les services de soins à domicile.

Récemment, le Protecteur du citoyen nous apprenait que de nombreux patients ne reçoivent pas tous les soins à domicile nécessaires ou que ceux-ci sont parfois même coupés. Or, pendant que la population manque de services, l’incorporation des médecins prive le gouvernement de dizaines de millions de dollars de revenus, un privilège qui est inaccessible à la plupart des contribuables de la classe moyenne, note François Paradis.

« On parle de dizaines de millions de dollars, chaque année, qui pourraient être investis pour améliorer le soutien à domicile. Ce faisant, ce sont des milliers de patients, bien souvent des aînés qui n’ont plus d’autres recours, qui pourraient être soignés chez eux », a expliqué François Paradis. « La population voit toutes les taxes et tous les tarifs augmenter autour d’elle, mais les services que le gouvernement lui offre ne s’améliorent pas en retour. Les soins à domicile en sont un exemple frappant. Le temps est venu de mettre fin à l’incorporation des médecins et de régler le problème d’attente dans les soins à domicile », a-t-il poursuivi.

Posté devant les bureaux de Revenu Québec, le député de Lévis a déploré que l’agence refuse de dévoiler l’évaluation de l’impact fiscal de l’incorporation des médecins qu’elle détient, tel que l’a appris la CAQ par l’accès à l’information. Malgré ce manque de transparence, différentes évaluations laissent croire que le phénomène priverait les gouvernements de plus de 150 millions de dollars à chaque année.

Le député de Lévis a enchaîné en rappelant que c’est le premier ministre du Québec Philippe Couillard, lui-même médecin, qui a permis l’incorporation des médecins alors qu’il était ministre de la Santé, en mars 2007. M. Paradis a également rappelé une des promesses clés des libéraux pendant de la campagne électorale de 2014, soit celle d’investir annuellement 150 millions de dollars pendant 5 ans pour consolider et renforcer le développement des services à domicile.

« Parfois, le hasard fait bien les choses. Le gouvernement n’a pas besoin de gratter les fonds de tiroirs, la solution est là, sous ses yeux! En mettant fin à l’incorporation des médecins, le premier ministre a non seulement l’occasion de respecter sa promesse électorale, mais l’opportunité d’offrir des soins adaptés et de qualité à nos aînés et aux malades qui ne demandent qu’à être respectés. À Gaétan Barrette de prouver qu’il n’y en a pas que pour les médecins au Québec, mais aussi pour les patients », fait savoir François Paradis.

François Legault prend des engagements clairs pour améliorer la représentativité féminine en politique


 Publié le 4 mars 2016

Dans le cadre d’une allocution prononcée au Sommet des Femmes qui se tenait ce vendredi à Montréal, le chef de la Coalition Avenir Québec et député de L’Assomption, François Legault, a pris des engagements clairs visant à améliorer la représentativité des femmes en politique.

Avec une Assemblée nationale qui ne compte présentement que 27 % de femmes élues, le chef caquiste a déclaré que le Québec ne pourra pas se contenter des gains du passé et devra poser de nouveaux gestes. Tout d’abord, s’il devient premier ministre, M. Legault entend passer de la parole aux actes et procéder à une réforme du mode de scrutin pour y inclure davantage de proportionnalité et de représentativité. Parallèlement, M. Legault imposera aux partis sur la ligne de départ un quota de 50 % de femmes pour les candidatures de listes.

« Il faut des engagements clairs des partis politiques pour atteindre la parité une fois pour toutes. Il faut percer le Boys Club qu’est l’Assemblée nationale. La proportionnelle est un pas dans la bonne direction. Ça a été clairement démontré que c’est un système qui favorise une meilleure représentation des femmes dans plusieurs parlements. La parité ne sera vraiment atteinte en politique que lorsque le conseil des ministres sera également composé de 50 % de femmes. C’est ça la vraie égalité : une égalité décisionnelle », a déclaré François Legault devant le parterre du Sommet des Femmes.

Le chef de la CAQ a indiqué avoir été surpris de lire dans le Manifeste des femmes que le Québec se classe au 44e rang des 125 États pour ses mesures incitatives en matière d’égalité. Ce constat lui apparait tout simplement inacceptable et il a fait la promesse solennelle de poser les gestes qui s’imposent pour corriger le tir dans les premiers jours d’un gouvernement caquiste. Ainsi, François Legault mettra fin aux nominations partisanes dans les conseils d’administration d’organismes publics et parapublics, en plus de prêcher par l’exemple en assurant la parité dans la désignation des sous-ministres qui dirigent nos ministères, nominations qui découlent de la prérogative du premier ministre.

« Dans le milieu des affaires, les histoires à succès se multiplient. Quand les femmes québécoises réussissent, c’est tout le Québec qui réussit. Plongeons dans l’époque moderne des Monique Leroux, Isabelle Hudon et Sophie Brochu, pour ne nommer qu’elles. Soyons la génération de la parité et de l’égalité! Mais il faut continuer le combat. Vous pouvez compter sur moi pour continuer à combattre avec toute la détermination possible toutes les formes de discrimination auxquelles font face les femmes dans leur milieu professionnel. Je serais prêt à utiliser tous les outils à ma disposition comme premier ministre », a conclu François Legault.

Réforme du mode de scrutin : Le gouvernement ne peut plus ignorer le consensus social


 Publié le 4 mars 2016

À la suite de la conférence de presse tenue par le Mouvement pour une démocratie nouvelle, le leader parlementaire de la Coalition Avenir Québec et député de Granby, François Bonnardel, a souhaité témoigner l’appui de sa formation politique à ce regroupement de citoyens qui, à leur tour, urgent les libéraux à enfin mettre sur les rails une vaste réforme de notre mode de scrutin.

Selon François Bonnardel, le gouvernement Couillard ne peut plus ignorer les appels et les attentes des Québécois sur cet enjeu. Le premier ministre est de plus en plus isolé, alors que tous les partis d’opposition ont montré un réel intérêt pour l’étude approfondie d’une réforme du mode de scrutin au Québec. D’ailleurs, pas plus tard que lundi, la CAQ a proposé aux libéraux d’instaurer un comité technique transpartisan dans le but d’aboutir à l’adoption d’un système plus démocratique, en mettant un accent particulier sur la représentativité régionale et la parité homme-femme.

« Le système actuel a souvent montré ses limites. Il y a souvent de grosses différences entre la répartition des sièges et la répartition du vote. Ce n’est pas toujours très démocratique. Tout le monde est arrivé à cette même conclusion, la balle est maintenant dans le camp du Parti libéral. À la CAQ, nous sommes tous d’avis que la volonté populaire n’est clairement pas respectée et qu’une représentation de type proportionnelle mixte servirait mieux les intérêts de tous les Québécois. Gouverner différemment et adéquatement, c’est respecter le choix de la population et écouter leurs revendications. À Philippe Couillard de prêcher par l’exemple », a déclaré François Bonnardel.

16 000 Québécois en attente de soins à domicile


 Publié le 4 mars 2016

Le député François Paradis se désole de constater que plus de 16 000 Québécois sont en attente de soins à domicile.

C’est en consultant les données de tous les Centres intégrés de santé et de services sociaux de la province que le député de Lévis a pu faire ce constat regrettable souligne Canoe.

À noter que François Paradis avait auparavant demandé à obtenir des chiffres du ministère de la Santé, sans succès.

«Ce qui est étonnant dans ce dossier, c’est que le ministère à qui on a fait des demandes par le biais de l’accès à l’information n’a aucune réponse dans ce dossier-là», déplore-t-il.

François Paradis en a d’ailleurs discuté plus longuement vendredi matin au micro de Paul Arcand, au 98,5FM.

Tests Pap : Improvisation inquiétante du ministre de la Santé


 Publié le 3 mars 2016

Le député François Paradis soutient que Gaétan Barrette a fait preuve d’une improvisation inquiétante en affirmant que le délai observé dans la région de l’Outaouais pour obtenir les résultats d’un test Pap de routine était répandu à l’échelle provinciale.

Le ministre de la Santé a admis mercredi qu’il n’était pas au courant des délais régionaux d’attente pour l’obtention des résultats des tests de dépistage du cancer du col de l’utérus.

«C’est extrêmement décevant pour la population de l’Outaouais. Manifestement, dans ce dossier-là, il y a une grosse somme d’improvisation. Comment peux-tu régler un dossier quand tu n’es même pas au courant qu’il existe? Avant de choisir la méthode pour régler la situation, il faut toujours bien être au courant», déplore François Paradis en entrevue au journal Le Droit.

Selon le député de Lévis, « le ministère gagnerait à faire en sorte d’avoir un portrait global de la situation qui prévaut dans les différentes sphères du réseau de la santé, puisqu’il y a des dossiers où il y a des disparités importantes. Gaétan Barrette manque de sensibilité envers le patient. Il devra se mettre dans la tête que derrière ces chiffres-là, il y a des histoires, il y a des patients, de l’anxiété et du stress », conclut-il.

Jean D’Amour annonce de l’argent… déjà annoncé


 Publié le 3 mars 2016

Visiblement, le ministre délégué à l’Implantation de la stratégie maritime, Jean D’Amour, a la mémoire courte, a fait savoir le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de développement économique régional et de stratégie maritime, Donald Martel. C’est que l’annonce que le ministre a faite en grande pompe jeudi matin d’un investissement de 300 millions de dollars pour le développement de zones industrialo-portuaires avait déjà été faite, lors du dernier budget. Pire encore, en un an, cette enveloppe budgétaire n’a permis à aucun projet de voir le jour, a révélé le député grâce à des documents obtenus en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.

« En termes de résultats, la stratégie maritime de Philippe Couillard, c’est zéro comme dans Ouellet! », s’est exclamé Donald Martel, avant d’ajouter qu’au fond, « Jean D’Amour est au diapason de son premier ministre et n’obtient aucun résultat en termes de projets concrets et de création d’emplois ».

« Le ministre ne fait que répéter de belles annonces devant les caméras, mais il ne livre pas la marchandise. Tout ce que le gouvernement a fait de nouveau depuis 8 mois, c’est de placer 16 points sur la carte du Québec pour identifier où seront créées les zones industrialo-portuaires. Nous n’avons pas besoin d’un cours de géographie, nous avons besoin d’une relance de l’économie », a déclaré Donald Martel, tout en reconnaissant qu’un succès de la stratégie maritime est souhaitable.

En plus de l’absence de projets ayant vu le jour grâce au 300 M$, les documents que la CAQ a obtenu en vertu de la Loi sur l’accès à l’information ont permis de constater qu’autant le ministère de l’Économie que le ministère des Relations internationales admettent qu’aucune action concrète n’a été posée pour faire la promotion de ces zones à l’international et la prospection d’investissements.

« Il est inacceptable qu’aucun projet n’ait vu le jour 8 mois après le lancement de la stratégie maritime. Nous ne sommes pas contre l’implantation de telles zones, mais nous constatons que les résultats ne sont tout simplement pas au rendez-vous. Je vous rappelle que Jean D’Amour est là depuis deux ans. Au départ, j’étais bien prêt à lui donner une chance, mais à un moment donné, il va falloir qu’il soit imputable de son bilan très décevant jusqu’à maintenant », a conclu le député de Nicolet-Bécancour.

Aveos : Québec ne peut se désister de la poursuite en Cour suprême


 Publié le 3 mars 2016

Selon un avis juridique commandé par l’Association des anciens travailleurs des centres de révision d’Air Canada obtenu par la chaîne Argent, le gouvernement du Québec ne peut, par une entente, se désister d’une poursuite en Cour suprême dans le dossier Aveos.

Pour le chef de la CAQ, François Legault, cet avis juridique vient confirmer ce que la CAQ dit depuis le début. « Non seulement les employés ont raison, et le gouvernement a tort, mais on apprend qu’il ne peut pas se désister! Les 1 800 employés peuvent espérer soit retrouver leur emploi, soit obtenir une compensation.»

À la suite de la conférence de presse tenue par Jean Poirier et les chefs de l’opposition, Philippe Couillard a déclaré que les chefs des partis de l’opposition ne « disaient pas toute la vérité aux anciens travailleurs d’Aveos ».

« Cette déclaration surprend un peu lorsque l’on constate que le gouvernement a lui-même omis d’informer les citoyens sur le contexte judiciaire dans lequel l’entente a été conclue avec Air Canada et Bombardier », écrit Me Bruno-Pierre Allard. «De plus, cette allégation n’est pas bien fondée puisque tout ce qui a été mentionné dans la conférence de presse était conforme aux décisions rendues par la Cour supérieure et la Cour d’appel.»

« Je suggère au premier ministre de cesser ses déclarations non fondées, qui sont utilisées par Air Canada. Ses propos portent préjudices aux travailleurs d’Aveos », conclut François Legault.

Vivement une libéralisation de la vente d’alcool au Québec!


 Publié le 2 mars 2016

Le député François Bonnardel dénonce haut et fort l’augmentation substantielle du prix d’environ 200 produits sur les 1200 que la SAQ offre, et ce à compter d’aujourd’hui.

La hausse moyenne sera de 65 ¢ pour une bouteille de 15 $ rapporte Radio-Canada.

Onze fois par année, la SAQ peut augmenter ou réduire le prix de certains vins, en fonction de la valeur du dollar canadien, lorsque celui-ci fluctue de plus ou moins 3 %.

Le député de Granby soutien qu’il ne se rappelle curieusement pas d’avoir vu les prix à la SAQ diminuer lorsque le dollar canadien était au pair avec le dollar US.

« Clairement, tout ce qui monte ne redescend pas forcément à la SAQ. Ce qui me désole, c’est que c’est encore la classe moyenne qui se voit plumer par notre société d’État. On parle ici d’une augmentation de presque 65 cents pour un vin à 15$, ce n’est pas rien », déplore-t-il.

Pour François Bonnardel, il s’agit de l’une des conséquences néfastes d’avoir un monopole d’État pour la vente d’alcool.