Sous-représentation des femmes en politique: Chantal Soucy rencontre deux étudiantes du Cégep de Saint-Hyacinthe


 Publié le 14 mars 2017
 

Deux étudiantes du Cégep de Saint-Hyacinthe ont récemment rencontré leur députée, Chantal Soucy, afin de discuter de la sous-représentation des femmes en politique au Québec. Cette entrevue, réalisée dans le cadre du cours Démarche d’intégration des acquis en sciences humaines, a permis à Naomy Gagné et Melyna Bakalos de voir la vie politique à travers les yeux de l’une des 36 femmes députées à l’Assemblée nationale.

« Qu’on se le dise, l’égalité n’est pas encore acquise en politique. Pour nous, le principal obstacle demeure encore et toujours la conciliation travail-famille, qui est quasi inexistante. Il faut comprendre que la majorité des postes de décision sont occupés par des hommes qui sont très loin de notre réalité et que, pour gravir les échelons, les femmes doivent souvent mettre les bouchées doubles pour démontrer leurs compétences, même si elles sont aussi adéquates que leurs collègues masculins. Par exemple, à l’heure où on se parle, sur les quatre postes à la présidence et à la vice-présidente de l’Assemblée nationale, seule une femme s’y trouve », a déclaré Chantal Soucy. « En tant que députée, de voir que des jeunes femmes s’intéressent à ces enjeux et se promettent de continuer à briser les barrières pour en arriver à l’égalité, c’est encourageant! On a grandement besoin de cette relève en politique et, si j’ai pu les éclairer un peu sur notre réalité, j’en suis très heureuse! », a conclu l’élue caquiste, au terme de sa rencontre avec les deux étudiantes.

À la suite de l’obtention de leur diplôme d’études collégiales, Melyna Bakalos entamera un baccalauréat en science politique, alors que Naomy Gagné se dirigera vers le domaine de l’administration.

Bilan de l’année 2016: une année «hyperactive» pour le député Jean-François Roberge


 Publié le 21 décembre 2016
 

(CHAMBLY, le 13 décembre 2016) Plus que bien remplie, l’année qui se termine a été carrément hyperactive pour le député de Chambly Jean-François Roberge, qui a multiplié les grands projets, autant dans la circonscription de Chambly qu’en Éducation, dont il est porte-parole pour la Coalition Avenir Québec.

Éducation : Et si on réinventait l’école?

En éducation, l’année 2016 a été particulièrement productive pour le député de Chambly, porte-parole de sa formation politique en matière d’Éducation. Après une tournée du réseau de l’éducation qui l’a mené aux quatre coins du Québec, M. Roberge a été l’hôte d’Objectif réussite Québec, un sommet réunissant à Trois-Rivières les experts et les intervenants du monde scolaire québécois. L’année de Jean-François Roberge a aussi été marquée par la parution de Et si on réinventait l’école?, un essai sur le réseau de l’éducation québécois. Dans ce livre, unanimement salué par la critique, M. Roberge propose plusieurs solutions novatrices pour «réinventer» le réseau scolaire.

Suites aux nombreuses interventions de M. Roberge, certaines mesures ont depuis été reprises en totalité ou partiellement par le gouvernement libéral, telles la réintroduction des cours d’économie au secondaire et la présence d’au moins un jeune sur les conseils d’administration des sociétés d’État. D’autres propositions du député, comme la création d’un ordre professionnel des enseignants, la prématernelle 4 ans gratuite et offerte à tous et la scolarisation obligatoire jusqu’à 18 ans ou diplomation, figurent également à l’agenda du ministre de l’Éducation dans le cadre de sa consultation sur la réussite éducative. M. Roberge doute toutefois que le gouvernement aille de l’avant avec cette mesure, ainsi qu’avec des mesures-phare contenues dans son livre,  «parce qu’elles ne font pas consensus et que ça commanderait du leadership politique de la part du gouvernement. Or, avec le gouvernement Couillard, il faut baisser nos attentes!»

Course du député, distribution d’arbres, nettoyage des berges, assainissement de la rivière…

En parallèle, le député a continué de travailler pour les intérêts de ses concitoyens à l’Assemblée nationale et dans Chambly. En matière environnementale, M. Roberge a notamment organisé une opération de nettoyage des berges de la rivière Richelieu, en plus de tenir, fin novembre, une vaste consultation sur l’assainissement de la rivière et du Bassin de Chambly. De concert avec le COVABAR, M. Roberge a également procédé à la distribution de plus de 300 arbres aux citoyens de la circonscription. Celui-ci s’est également opposé à l’adoption du projet de loi 106 sur les hydrocarbures, «un projet de loi insidieux qui ne répond pas aux inquiétudes environnementales des Québécois», ainsi qu’au projet Énergie-Est, dont les paramètres actuels sont «tout simplement inacceptables».

Le député a aussi profité de l’année pour poursuivre son implication au sein de la communauté. Mi-septembre, la traditionnelle Course du député Jean-François Roberge aura permis d’amasser près de 5 500$ pour le Carrefour Familial du Richelieu et le Centre d’interprétation des énergies renouvelables, deux organismes qui œuvrent auprès des jeunes et des familles de  la région. M. Roberge est également intervenu auprès de différents ministères afin d’obtenir des aides financières spéciales à la demande de plusieurs organismes, dont la FADOQ de Chambly pour la réfection de la toiture de la salle des Aînés et Concept B pour l’organisation du Festival Bières et Saveurs de Chambly. De concert avec ses collègues de la CAQ, M. Roberge a aussi contribué à l’adoption, début novembre,  d’une motion de l’Assemblée nationale réclamant un meilleur financement des organismes communautaires.

Voir grand  pour la circonscription de Chambly

Jean-François Roberge a aussi profité de l’année 2016 pour poursuivre le travail dans des chantiers majeurs pour la circonscription de Chambly – ou pour en démarrer des nouveaux. Ainsi, avec le soutien de plusieurs acteurs du milieu, Jean-François Roberge a officiellement lancé les démarches en vue d’ajouter les secondaires 4 et 5 à Chambly. Tout juste avant la fin des travaux parlementaires, le député a d’ailleurs déposé une pétition approchant les 2 500 signataires à cet effet. «Les secondaires 4 et 5, c’est essentiel pour le développement de Chambly et des environs. Ça fait l’objet d’un large consensus au sein de notre communauté. J’ai présenté notre demande tout de suite après le dépôt de la pétition au ministre Proulx. Nous continuons notre travail dans ce dossier», explique le député.

Jean-François Roberge a aussi continué le combat en faveur de l’élargissement de la Route 112 entre Chambly, Carignan et Saint-Hubert. Le député a notamment pu mettre la main sur un rapport accablant commandé par le ministère des transports –et ce, malgré son refus de le lui transmettre – qui atteste de l’urgence d’agir rapidement afin de dégager cette artère. «Dans le rapport, il est écrit noir sur blanc que sans intervention rapide, les conditions de circulation sur la Route 112 vont devenir catastrophiques, autant sous l’aspect de la fluidité que de la sécurité routière. Sans intervention, on voit que les risques d’accidents de la route explosent pour les prochaines années. Qu’est-ce que le MTQ attend pour agir?»

D’ici la pause de Noël et du temps des fêtes,  le député compte aller à la rencontre des citoyens de la circonscription. «Être député, c’est se battre au quotidien pour les intérêts de ses concitoyens. Mais pour faire ça, il faut d’abord les connaitre. La relâche parlementaire hivernale est un moment privilégié pour se maintenir connecté avec les préoccupations de la population», conclut le député de Chambly. Si le député se dit fier du travail accompli, il se dit également «très optimiste pour l’année à venir!».