Chantal Soucy participe à la 2e édition de l’Atelier de leadership pour femmes parlementaires francophones


 Publié le 11 juillet 2018

La semaine dernière, la députée Chantal Soucy a pris part à la 2e édition de l’Atelier de leadership pour femmes parlementaires francophones, organisé par l’Assemblée nationale, en partenariat avec la Chaire en leadership de l’École nationale d’administration publique et le Groupe Femmes, Politique et Démocratie. Réunies au parlement de Québec, plus d’une vingtaine d’élues provenant de près de 15 pays de la Francophonie ont participé à cet événement visant à les outiller dans le développement de leur leadership, ainsi qu’à favoriser la présence des femmes dans l’arène politique mondiale.

En tant que membre du Cercle des femmes parlementaires de l’Assemblée nationale, Chantal Soucy s’implique activement sein de cette cause depuis son élection : « Chaque fois, nos rencontres sont enrichissantes. J’en suis à mon premier mandat à titre de députée et c’est une chance incroyable de pouvoir bénéficier de l’expérience de mes collègues. On se rend vite compte que malgré les frontières, malgré nos divergences politiques, on est souvent confrontées aux mêmes réalités et c’est en s’unissant qu’on peut briser le fameux plafond de verre et paver la voie à nos filles pour qu’elles puissent accéder plus facilement aux postes de pouvoir », a-t-elle déclaré, au lendemain de l’atelier. « Heureusement, on sent un véritable vent de changement pour la cause des femmes, en ce moment. Mon chef, François Legault, s’est d’ailleurs récemment engagé à former un conseil des ministres paritaire si la CAQ était portée au pouvoir en octobre prochain. Parce que nous voulons qu’un gouvernement de la CAQ soit le gouvernement de tous les Québécois. Il n’y a pas un genre, pas une origine culturelle, ni un groupe d’âge qui ait le monopole de la compétence. La force réside dans la diversité et c’est ce vers quoi on s’enligne à l’heure actuelle. En tant que femme, c’est un véritable privilège de pouvoir être aux premières loges de ce changement historique. » a conclu la députée de Saint-Hyacinthe, le sourire aux lèvres.

Élections provinciales 2018: La CAQ réformera le système de scrutin pour s’assurer que chaque voix compte


 Publié le 26 avril 2018

(CHAMBLY, le 25 avril 2018) – S’il n’en tient qu’à Jean-François Roberge et à sa formation politique, la Coalition Avenir Québec (CAQ), l’élection provinciale du 1er octobre prochain sera la dernière à se dérouler au mode de scrutin uninominal à un tour. Alors que les sondages nationaux donnent à la CAQ de bonnes chances de former le prochain gouvernement, celle-ci, loin de reculer sur cet engagement, s’est officiellement engagée à déposer un projet de loi afin d’implanter au Québec un système proportionnel mixte et ce, dès la première année de son mandat.

C’est par la voix de son porte-parole en matière de réforme des institutions démocratiques Simon Jolin-Barrette que la CAQ a pris cet engagement mercredi. Depuis des décennies, le mode de scrutin actuel, hérité de l’empire britannique, est l’objet de plusieurs critiques pour le manque de représentativité qu’il génère dans les assemblées législatives. Celui-ci a tendance à donner un avantage démesuré aux grands partis et à marginaliser les formations politiques plus petites.

«Aux dernières élections, le Parti libéral du Québec a fait élire 70 députés et  obtenu 56% des sièges de l’Assemblée nationale, en obtenant seulement 42% des votes exprimés», illustre le député de Chambly.

Le Québec et le Canada sont d’ailleurs parmi les dernières grandes démocraties occidentales à toujours fonctionner sous un tel modèle. La plupart des démocraties européennes ont déjà incorporé des éléments de proportionnalité à leur mode de scrutin afin de pallier à cette lacune, explique le député.

Pour le député Roberge, l’instauration d’un mode de scrutin proportionnel mixte aurait plusieurs avantages. En plus de réinteresser les citoyens à la politique et à la vie démocratique, celui-ci génèrerait plus de gouvernements minoritaires, et forcerait donc les formations politiques à plus de collaboration et à moins de partisannerie.

Si tous les partis, à l’exception notable du Parti Libéral du Québec au pouvoir, se sont engagés en ce sens, Jean-François Roberge souligne que seule sa formation politique a la crédibilité nécessaire pour mener à bien cette promesse. «Contrairement aux vieux partis qui nous le promettent depuis des décennies et reculent une fois rendus au pouvoir, la CAQ s’engage à déposer un projet de loi pour s’assurer que chaque voix soit entendue et représentée à l’Assemblée nationale et ce, dès la première année de son mandat. Un parti qui dit ce qui fait et surtout qui fait ce qui dit, ça, c’est du changement!», de conclure le député.

 

Parlement des jeunes: une expérience enrichissante pour les élèves de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme


 Publié le 30 janvier 2018

C’est avec grand plaisir que la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a accueilli les élèves de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme à l’Assemblée nationale, jeudi dernier, dans le cadre du Parlement des jeunes 2018.

Au cours de cette 16législature, plus de 135 jeunes de 3e et 4e secondaire, venant de 39 écoles du Québec, ont eu la chance de s’initier au travail parlementaire et de se familiariser avec les rôles de représentant, de législateur et de contrôleur des actions du gouvernement qu’exercent les députés. Ils ont notamment étudié trois projets de loi portant sur la création d’un cours de civisme et d’éducation à la citoyenneté pour les élèves du secondaire, sur le contrôle et la prévention des résidus alimentaires, ainsi que sur l’utilisation des véhicules électriques et l’amélioration des infrastructures de recharge de ces véhicules.

La députée Chantal Soucy s’est prêtée au jeu en assurant le rôle de présidente de commission, dans le cadre de l’étude du projet de loi no 3 – Loi sur l’électrification des transports à usage personnel, déposé par Benjamin Roy, élève de la Polyvalente Hyacinthe-Delorme. « Ce fut un véritable honneur pour moi de participer à cette édition du Parlement des jeunes et d’encourager les élèves de notre région. Nos jeunes sont talentueux, ils ont des idées plein la tête et il faut les écouter », a-t-elle déclaré avec enthousiasme. « Je suis convaincue que le Parlement des jeunes leur aura permis d’élargir leurs horizons, de mieux comprendre l’impact de la politique dans leur vie et de réaliser l’importance de l’implication citoyenne dans une démocratie comme la nôtre. C’est une expérience très enrichissante pour nos jeunes et je remercie d’ailleurs leur enseignant, M. Samuel Labrie, qui leur a permis de vivre cette aventure et qui a consacré temps et énergie à la préparation de ce projet », a conclu la députée caquiste, qui a également octroyé une aide financière à cette initiative.

« Sans le soutien financier précieux de Mme Soucy, l’activité n’aurait pas pu avoir lieu, puisque les coûts associés à ce projet sont très élevés. Pour une deuxième année consécutive, Mme Soucy a permis à nos jeunes de vivre une expérience hors du commun et nous l’en remercions », a déclaré, pour sa part, l’enseignant d’univers social.

Cette simulation, qui fait partie intégrante de la mission éducative de l’Assemblée nationale, est réalisée avec la collaboration de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant.