La députée Chantal Soucy sollicite un nouveau mandat


 Publié le 16 août 2018
 

À l’aube du déclenchement hâtif des élections provinciales, la députée caquiste sortante, Chantal Soucy, a confirmé qu’elle solliciterait un deuxième mandat, le 14 août dernier, dans le cadre d’un 6 à 8, au Club de golf de Saint-Hyacinthe. C’est donc entourée de son équipe, de ses bénévoles, ainsi que de ses collègues François Bonnardel, député de Granby et Sonia LeBel, candidate de la CAQ dans Champlain, qu’elle a procédé à cette annonce.

Le président du comité d’action local de la CAQ à Saint-Hyacinthe, Olivier Blanchard, a profité de l’occasion pour rappeler les nombreux gains obtenus pour la région, ainsi que la longue liste de projets structurants mis sur pied par l’élue caquiste au cours de son premier mandat. Mais Chantal Soucy n’a pas l’intention de se contenter uniquement de ce bilan positif. Optimiste, elle a de nombreux objectifs pour les années à venir: « J’ai encore beaucoup d’ambition pour la grande région de Saint-Hyacinthe. Nous avons des solutions concrètes pour améliorer l’accès aux soins de santé de première ligne, pour agrandir et rénover nos écoles – dont seulement 3 sont jugées « acceptables » par le ministère, dans notre circonscription – pour s’attaquer concrètement au décrochage scolaire – notre commission scolaire est la 5e au Québec où les résultats académiques de nos jeunes ont le plus décliné au cours des dernières années – et pour déployer la fibre optique dans nos municipalités, afin que tous aient accès à Internet haute vitesse. »

Celle qui s’engage à mener une campagne positive et respectueuse entend bien faire connaître le programme de la CAQ aux citoyens de sa circonscription, d’ici le 1er octobre prochain : « La CAQ, c’est un changement positif, une alternative aux vieux partis qui s’échangent le pouvoir depuis des décennies. La CAQ, c’est un parti moderne, ouvert et créatif; un parti qui veut un Québec fort, dans un Canada uni. L’engagement de la CAQ, c’est de former un gouvernement intègre, qui va mieux gérer chaque dollar que les contribuables leur confieront et qui a la ferme intention de faire plus, de faire mieux en éducation, en santé et en économie. Il est grand temps que le Québec se dote d’un premier ministre économique qui tient à faire plus pour nos familles, pour nos agriculteurs et pour nos aînés. Le premier octobre prochain, nous aurons l’occasion de marquer l’histoire et de tourner la page sur 15 longues années de gouvernance libérale », a conclu Chantal Soucy.

La députée sortante a également profité de l’occasion pour dévoiler le lieu de son quartier général pendant la campagne électorale, qui sera situé au 1250, boulevard Choquette, à Saint-Hyacinthe, dans les locaux anciennement utilisés par Café Donut. L’ouverture officielle du local est prévue pour le 27 août prochain.

Déversements dans la Rivière Richelieu et le Bassin de Chambly Jean-François Roberge transporte la question à l’Assemblée nationale


 Publié le 15 juin 2018
 

(CHAMBLY, le 14 juin 2018) – Alors que le Flushgate à Montréal en 2015 avait soulevé l’indignation nationale, des milliers de déversements d’eaux usées se produisent à chaque année et ce, dans la plus grande indifférence libérale, ont dénoncé en chœur les députés de Chambly et de Borduas, deux circonscriptions riveraines, à l’Assemblée nationale ce jeudi. Jean-François Roberge et Simon Jolin-Barrette réclament du gouvernement un meilleur soutien aux municipalités pour leur permettre de mettre à jour leurs infrastructures de traitement des eaux usées et ainsi remédier à la situation.

C’est le député de Chambly Jean-François Roberge qui a ouvert la charge. «Juste en 2016, il y a eu plus de 2527 déversements d’eaux usées dans la Rivière Richelieu. On parle d’eau de nos toilettes, de l’eau qui n’est passée par aucun traitement avant d’être rejetée dans la nature. Les municipalités ont besoin d’aide pour mettre leurs usines d’épuration, pour mettre leurs infrastructures à jour pour que ça n’arrive plus.»

Devant le refus de la ministre de l’Environnement, Isabelle Melançon, de se lever pour répondre à la question de son collègue, le député de Borduas Simon Jolin-Barrette en a rajouté. Rappelant qu’un programme fédéral-provincial, le Fonds pour l’eau potable et le traitement des eaux usées (FEPTEU), avait été mis en place pour tenter de répondre à cette problématique, M. Jolin-Barrette a  déploré que «l’an passé le programme n’avait pas assez de fonds. Plusieurs projets soumis par les municipalités de la Vallée-du-Richelieu ont été refusés, faute d’argent. Est-ce que vous trouvez-ça normal?»

Le député de Chambly a insisté sur l’urgence de la situation auprès du ministre des Affaires municipales, dont relève le programme FEPTEU. «Des dizaines de municipalités tirent leur eau potable de la Rivière Richelieu.  C’est une question environnementale, c’est une question de santé publique, et c’est une question économique, car l’industrie récréotouristique est bien implantée tout le long de la Rivière», a souligné Jean-François Roberge.

Jean-François Roberge s’explique mal qu’encore aujourd’hui, autant de déversements d’eaux usées puissent survenir dans les rivières du Québec.  «Que nous soyons encore réduits à rejeter nos déchets dans nos lacs et nos rivières en 2018, à l’heure où l’eau potable se raréfie dans le monde, est tout simplement inacceptable. Comment le gouvernement libéral, qui est au pouvoir depuis pourtant  plus de quinze ans, peut-il accepter qu’encore aujourd’hui, on déverse des millions de litres d’eaux usées dans une de nos plus belles rivières, la Rivière Richelieu et le Bassin de Chambly?» de conclure le député Roberge.

Lien de l’intervention : https://www.facebook.com/roberge.chambly/videos/1838116102876688/

Perte de services au CLSC du Richelieu Front commun des élus locaux pour le maintien du sans-rendez-vous


 Publié le 15 juin 2018
 

(RICHELIEU, le 4 juin 2018) – La  décision prise par le CISSS Montérégie-Centre de fermer les portes du CLSC du Richelieu aux citoyens n’ayant  pas de médecin de famille dans l’établissement passe très mal dans la région.  Faisant écho au torrent de critiques qui a déferlé sur les réseaux sociaux après l’annonce officielle, les élus provinciaux et municipaux se sont retrouvés lundi matin devant le CLSC pour signifier leur vive opposition à cette décision présentée comme une attaque à l’accessibilité des soins de Santé dans les régions du Bassin de Chambly et de Rouville. L’intervention du ministre de la Santé a été demandée pour mettre un frein au projet.

Rassemblés devant le CLSC du Richelieu, les maires et mairesses de Richelieu, Saint-Mathias-sur-Richelieu, Chambly, Saint-Césaire, Rougemont et Marieville ainsi que les députés de Chambly et d’Iberville ont tour à tour dénoncé la décision du CISSS Montérégie-Centre de fermer les portes du CLSC du Richelieu aux citoyens qui n’ont pas déjà un médecin de famille dans l’établissement. Pour les élus locaux, cette décision se traduira par une coupure de services inacceptable pour la population.

«Alors que le CISSS Montérégie-Centre prétend que cette décision n’affectera qu’environ un patient par jour, on nous confirme plutôt que c’est près de 25 personnes par jour qui pouvaient avoir accès à rendez-vous, même sans avoir un médecin de famille dans l’établissement» a révélé le député de Chambly. «Cela aura un impact énorme pour nos citoyens, et surtout les plus vulnérables. On veut nous envoyer à Saint-Jean, ou va-t-on nous envoyer après, à Montréal?» a pour sa part déploré sa collègue d’Iberville Claire Samson.

Les élus municipaux ont également très mal digéré cette annonce, faite dans la plus grande discrétion.

Le maire de Richelieu Jacques Ladouceur a dénoncé «une décision inacceptable. Nous avons trois résidences de personnes âgées ici à Richelieu et aucun hôpital. On ne peut pas couper dans ces services de proximité. Qu’est-ce qu’on va couper après, les prises de sang? Où s’en va-t-on avec ça?»

Le maire de Chambly Denis Lavoie a déploré «une décision difficile à comprendre. Les CLSC ont une raison primaire, c’est leur raison d’être de donner un service de proximité. Ça le dit même dans leur nom! On va compliquer l’accessibilité au système qui déjà, est compliqué. Cette décision va toucher des gens à mobilité réduite, des gens vulnérables.»

La mairesse de Saint-Mathias-sur-Richelieu Jocelyne Deswarte a rappelé quant à elle l’importance de «penser en fonction de nos personnes âgées», ce qui ne semble pas avoir été fait dans le présent cas.

Le maire de Saint-Césaire Guy Benjamin a lui aussi regretté cette décision, qui nuira certainement à la population de Saint-Césaire.

Pour la mairesse de Marieville Caroline Gagnon, elle-même jeune mère de famille, «c’est impensable d’aller faire la ligne à 25-30 minutes d’ici.»

Le maire de Rougemont Michel Arsenault regrette «une décision improvisée, un manque de stratégie, de communication. On ne devrait pas agir comme ça dans notre système de santé.»

Les responsables de la clinique médicale de Marieville, présents lors du point de presse, ont eux aussi dénoncé cette décision. «C’est certain qu’en n’offrant plus ce service, on ne répond pas à la demande des clients. Le sans rendez-vous au CLSC du Richelieu nous permettait à la Clinique d’offrir des services supplémentaires. C’est un service qui devrait être offert par toutes les institutions de Santé de la région» d’affirmer Daniel Choquette.

L’intervention du ministre de la Santé demandée

Ne pouvant se résoudre à cette perte d’accès aux soins de santé pour leurs citoyens, le député de Chambly Jean-François Roberge et la députée d’Iberville Claire Samson ont révélé avoir exposé la situation directement au ministre de la Santé Gaétan Barrette et demandé son intervention pour stopper cette réorganisation. «Nous avons eu de nombreux échanges avec le ministre de la Santé Gaétan Barrette la semaine dernière. Celui-ci se penche actuellement sur la question, et nous attendons une réponse de sa part incessamment. Il a même mon téléphone personnel. La balle est dans son camp», d’expliquer M. Roberge. Les deux députés ont bon espoir que la décision du CISSS Montérégie-Centre sera renversée.

Le temps presse cependant : cette décision est prévue entrer en vigueur le 18 juin prochain, soit dans moins de deux semaines. Les élus provinciaux promettent d’utiliser tous les recours à leur disposition pour freiner cette coupure de services.

Bilan de la 41e législature: un vent de changement souffle sur le Québec


 Publié le 15 juin 2018
 

Au terme de son premier mandat à titre de députée de Saint-Hyacinthe, c’est avec fierté, mais également avec un brin de nostalgie que Chantal Soucy dresse le bilan de la 41e législature de l’Assemblée nationale.

« Ce qui marque particulièrement cette législature, mais également ces quinze années de gouvernance libérale, c’est la pluie de réinvestissements qui s’abat actuellement sur les Québécois, à quelques mois des élections, après des années de vaches maigres », constate-t-elle. « Depuis deux mois, les libéraux s’abreuvent sans vergogne des milliards de dollars arrachés des poches des Québécois pour les redistribuer à des fins électoralistes. Après avoir annoncé, réannoncé et surannoncé de nombreuses stratégies, plans et politiques, le grand total de ce recyclage libéral atteint maintenant 38 milliards de dollars. Mais c’est trop peu trop tard! Des écoles qui tombent en ruine, des retards d’apprentissage chez nos jeunes, des patients qui n’ont pas eu les soins nécessaires et du surmenage chez nos infirmières et nos enseignants, rien de tout ça ne s’efface magiquement avec des réinvestissements électoralistes! », dénonce la députée de Saint-Hyacinthe. « Après 15 ans de règne libéral, notre taux de diplomation a chuté de 10 %. Alors que le Québec était au 4e rang des 10 provinces concernant le revenu disponible il y a 15 ans, il est aujourd’hui bon dernier, résultat de l’augmentation des taxes et tarifs de toutes sortes. Finalement, la dernière brillante idée du gouvernement aura été l’augmentation démesurée du salaire des médecins spécialistes pour conclure son bilan catastrophique en santé »!

La CAQ : l’espoir d’un changement

Mais si les 15 années de règne libéral ont été marquées par les compressions budgétaires, la mauvaise gestion des contrats publics, les scandales et le copinage, un vent de changement et d’espoir souffle désormais sur le Québec.

Au cours de la dernière session législative, la CAQ a su assurer le rôle de véritable opposition officielle, notamment, avec le dépôt de deux projets de loi visant à faciliter l’accès de tous les Québécois à un système de justice moderne et fonctionnel, ainsi que par la création d’un plan concret de valorisation de la profession enseignante, dans le but de libérer le plein potentiel du personnel enseignant et de favoriser la réussite scolaire. La CAQ s’est aussi engagée à réduire et uniformiser le taux de taxe scolaire au niveau le plus bas actuellement, soit 0,1054 $ par tranche de 100 $ d’évaluation foncière, sur une période de 4 ans. François Legault s’est d’ailleurs levé à plusieurs reprises en chambre afin d’exiger cette équité pour l’ensemble des régions du Québec.

En tant que porte-parole de la CAQ en matière d’énergie, Chantal Soucy s’est également portée à la défense des contribuables en dénonçant la volonté du gouvernement libéral de contraindre Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier qui représenterait une perte de 1,5 milliard de dollars pour les Québécois. Avec ses nombreuses interventions, elle a également porté le dossier visant à permettre aux entreprises actives dans la chaîne de blocs (dont l’entreprise Bitfarms, située à Saint-Hyacinthe) de prendre de l’essor et de contribuer à l’économie du Québec.

Très satisfait de cette dernière session législative, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a positionné son parti comme l’alternative pragmatique à un gouvernement usé: « Aujourd’hui, je veux dire aux Québécois qu’il y a un espoir. L’espoir d’un gouvernement qui va faire de l’éducation une vraie priorité nationale, qui va enrichir les Québécois, stimuler l’innovation, les investissements des entreprises et les exportations. Un gouvernement qui va remettre plus d’argent dans les poches des familles et des Québécois.  Le Québec peut faire mieux, faire plus, en éducation, en santé et en économie. C’est un engagement ferme!»

Projet de parc éolien à Port-Cartier: Chantal Soucy se lève en chambre pour défendre les contribuables


 Publié le 6 juin 2018
 

À la veille des élections, les libéraux veulent contraindre Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, ce qui représenterait une perte de 1,5 milliard de dollars pour les Québécois. Ce contrat forcerait Hydro-Québec, qui baigne actuellement dans les surplus d’électricité et qui prévoit le demeurer jusqu’en 2026, à acheter 200 MW d’électricité dont elle n’a pas besoin, et ce, à un coût presque deux fois plus élevé que celui des projets éoliens conclus précédemment.

C’est ce qu’a dénoncé, hier, au salon bleu, la députée de Saint-Hyacinthe et porte-parole de la CAQ en matière d’Énergie, Chantal Soucy. Selon elle, cette stratégie électoraliste affectera durement les familles québécoises, qui ont déjà chèrement payé le prix des décisions libérales au cours des quatre dernières années. « Pour acheter des votes sur la Côte-Nord, le gouvernement de Philippe Couillard est prêt à dilapider l’argent des Québécois. C’est la méthode libérale. D’ailleurs, la Vérificatrice générale révélait dans son dernier rapport que les achats inutiles imposés par le gouvernement ont fait grimper la facture d’électricité des Québécois de 2,5 milliards de dollars en huit ans », a-t-elle déploré.

La députée de Saint-Hyacinthe a renchéri, aujourd’hui, en déposant une motion à l’Assemblée nationale, exigeant que le gouvernement du Québec fasse marche arrière et renonce à sa volonté d’obliger Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, d’ici le 1er octobre prochain. Cette motion s’est vue rejetée par les libéraux.

« La production d’électricité d’Hydro-Québec doit être relancée, mais on doit d’abord avoir signé des ententes d’exportation avec des états américains et d’autres provinces canadiennes, pour écouler nos surplus afin que la facture ne soit pas refilée aux Québécois. Il faut être beaucoup plus proactif pour conclure de tels partenariats et c’est précisément ce que prévoit le projet d’Alliance énergétique de la CAQ », a, pour sa part, déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

La crise du recyclage menace la Montérégie, Jean-François Roberge et la CAQ réclament une intervention de la ministre de l’Environnement


 Publié le 17 mai 2018
 

(CHAMBLY, le 17 mai 2018) – Il n’y a pas que la Ville de Montréal qui soit frappée de plein fouet par la crise du recyclage : plusieurs municipalités de la Montérégie, dont Chambly et Saint-Basile-le-Grand, pourraient voir leur centre de tri des matières recyclables fermer au cours des prochains mois si rien n’est fait. Le député Jean-François Roberge et la CAQ pressent le gouvernement du Québec d’intervenir rapidement pour garantir la pérennité du bac vert et éviter que les matières recyclables prennent le chemin du dépotoir.

Rappelons qu’au début de l’année, la Chine, le principal importateur des matières recyclables du Québec, a resserré drastiquement ses critères d’importation, fermant de fait son marché à l’immense majorité des matières recyclées de la province. Devant l’absence de débouchés et devant composer avec une baisse phénoménale des prix sur les marchés, de nombreux centres de tri et leurs opérateurs se retrouvent aujourd’hui sur la corde raide.

Dans une lettre qu’elle a fait parvenir aux élus de la région, la société Services Ricova Inc., qui s’occupe notamment de la collecte et de la valorisation des matières recyclables à Chambly et à Saint-Basile-le-Grand, sonne l’alarme. La situation est si grave, affirme-t-elle,  qu’ «il ne s’agit que d’une question de quelques mois avant que certains centres de tri et opérateurs de centres de tri, incluant nous, mettent la clé sous la porte faute de liquidités».

Devant cette situation, Mathieu Lemay, collègue du député Roberge et porte-parole de la CAQ en matière d’Environnement, s’est levé à l’Assemblée nationale pour exiger une intervention rapide de la ministre de l’Environnement Isabelle Melançon. «Les centres de tri enregistrent de lourdes pertes […] Les municipalités et les centres de tri demandent l’aide du gouvernement. Il est minuit moins une. Que compte faire la ministre? »

Mais les réponses de la ministre n’ont pas satisfait le député de Chambly : «les sommes annoncées par le gouvernement libéral pour accompagner les centres de tri dans leur modernisation, auxquelles la ministre a fait référence, sont largement insuffisantes pour régler la présente situation. La Ville de Montréal, à elle seule, a octroyé 29,2 millions de dollars pour soutenir son centre de tri. Et on voudrait nous faire croire que 3 millions sont suffisants pour les centres de tri de l’ensemble du Québec?»

Jean-François Roberge rencontrera les responsables de Services Ricova Inc. ainsi que la Ville de Chambly dans les prochains jours pour faire le point sur la situation. Son collègue Mathieu Lemay travaille de son côté sur une proposition visant à régler la situation. «Nous ne comptons certainement pas en rester là. Si les centres de tri ferment, nos matières recyclables prendront le chemin du dépotoir. On risque de perdre la confiance de la population envers le recyclage. Il faut éviter de jeter 37 ans de bonnes habitudes à la poubelle».

Légalisation du cannabis : Chantal Soucy sollicite un financement additionnel pour l’organisme Satellite


 Publié le 1 mai 2018
 

À l’aube de la légalisation du cannabis, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a profité de la période d’étude de crédits budgétaires à l’Assemblée nationale pour demander une fois de plus à la ministre Lucie Charlebois de prioriser Satellite, un organisme de sa circonscription, dans la répartition de la nouvelle enveloppe dédiée aux organismes communautaires agissant en prévention des dépendances.

Dans son dernier budget, dévoilé en mars dernier, le gouvernement annonçait que des sommes de 11 M$ en 2017-2018 et de 20 M$ en 2018-2019 seraient consacrées à la lutte aux dépendances. Récemment, la Fondation Jean Lapointe s’est vu octroyer une subvention de 1,5 M$ à même cette nouvelle enveloppe, mais les organismes locaux, eux, attendent toujours un rehaussement de leur financement. « On peut se réjouir, évidemment, pour la Fondation Jean Lapointe, mais je suis d’avis que les interventions locales ne doivent pas être oubliées et qu’on doit être prêt à agir dès la rentrée scolaire, en septembre prochain », a plaidé la députée Chantal Soucy. « Dans ma circonscription, l’organisme Satellite possède déjà toute l’expertise nécessaire pour répondre aux besoins de prévention en matière de dépendance au cannabis chez les jeunes, tant au niveau primaire que secondaire. L’an dernier seulement, il a desservi 23 écoles primaires et 7 écoles secondaires. Il ne lui manque donc que les ressources financières suffisantes pour bonifier ses services et prendre en charge la prévention de la dépendance au cannabis sur l’ensemble du territoire de la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe », a poursuivi la députée, soulignant au passage que Satellite ne bénéficiait que d’un financement annuel de 60 000 $ (provenant du Programme de soutien aux organismes communautaires) pour rencontrer ses objectifs.

Chantal Soucy a terminé son intervention en questionnant la ministre : « Avez-vous l’intention de faire descendre rapidement les montants annoncés dans nos organismes locaux, tels que Satellite, qui possèdent déjà toute l’expertise nécessaire pour mener à bien la mission de prévention des dépendances chez nos jeunes? » La ministre s’est alors contentée de répondre que les sommes prévues serviraient bel et bien à la prévention des dépendances et au financement de divers organismes, sans toutefois préciser quand, et surtout, comment ces montants seraient répartis.

Soucieuse de la santé des jeunes de sa circonscription et sensible aux inquiétudes des parents, la députée Chantal Soucy entend suivre le dossier de près afin de s’assurer que les besoins du milieu en ce sens soient comblés.

Élections provinciales 2018: La CAQ réformera le système de scrutin pour s’assurer que chaque voix compte


 Publié le 26 avril 2018
 

(CHAMBLY, le 25 avril 2018) – S’il n’en tient qu’à Jean-François Roberge et à sa formation politique, la Coalition Avenir Québec (CAQ), l’élection provinciale du 1er octobre prochain sera la dernière à se dérouler au mode de scrutin uninominal à un tour. Alors que les sondages nationaux donnent à la CAQ de bonnes chances de former le prochain gouvernement, celle-ci, loin de reculer sur cet engagement, s’est officiellement engagée à déposer un projet de loi afin d’implanter au Québec un système proportionnel mixte et ce, dès la première année de son mandat.

C’est par la voix de son porte-parole en matière de réforme des institutions démocratiques Simon Jolin-Barrette que la CAQ a pris cet engagement mercredi. Depuis des décennies, le mode de scrutin actuel, hérité de l’empire britannique, est l’objet de plusieurs critiques pour le manque de représentativité qu’il génère dans les assemblées législatives. Celui-ci a tendance à donner un avantage démesuré aux grands partis et à marginaliser les formations politiques plus petites.

«Aux dernières élections, le Parti libéral du Québec a fait élire 70 députés et  obtenu 56% des sièges de l’Assemblée nationale, en obtenant seulement 42% des votes exprimés», illustre le député de Chambly.

Le Québec et le Canada sont d’ailleurs parmi les dernières grandes démocraties occidentales à toujours fonctionner sous un tel modèle. La plupart des démocraties européennes ont déjà incorporé des éléments de proportionnalité à leur mode de scrutin afin de pallier à cette lacune, explique le député.

Pour le député Roberge, l’instauration d’un mode de scrutin proportionnel mixte aurait plusieurs avantages. En plus de réinteresser les citoyens à la politique et à la vie démocratique, celui-ci génèrerait plus de gouvernements minoritaires, et forcerait donc les formations politiques à plus de collaboration et à moins de partisannerie.

Si tous les partis, à l’exception notable du Parti Libéral du Québec au pouvoir, se sont engagés en ce sens, Jean-François Roberge souligne que seule sa formation politique a la crédibilité nécessaire pour mener à bien cette promesse. «Contrairement aux vieux partis qui nous le promettent depuis des décennies et reculent une fois rendus au pouvoir, la CAQ s’engage à déposer un projet de loi pour s’assurer que chaque voix soit entendue et représentée à l’Assemblée nationale et ce, dès la première année de son mandat. Un parti qui dit ce qui fait et surtout qui fait ce qui dit, ça, c’est du changement!», de conclure le député.

 

Les artisans du « meilleur camembert au monde », honorés par Chantal Soucy, à l’Assemblée nationale


 Publié le 11 avril 2018
 

« Monsieur le président, c’est maintenant officiel : le meilleur camembert au monde se trouve à Saint-Hyacinthe! » C’est avec cette phrase empreinte de fierté que la députée Chantal Soucy a entamé son hommage aux artisans de l’Extra d’Agropur, au salon bleu de l’Assemblée nationale, le 10 avril dernier.

Fièrement fabriqué à Saint-Hyacinthe, l’Extra d’Agropur s’est récemment distingué lors du World Championship Cheese Contest, aux États-Unis, où il s’est imposé face à 17 autres fromages et s’est vu décerner le titre de « meilleur camembert au monde ». Lors de ce concours international de fromages, considéré comme la plus grande compétition de ce genre, L’Extra a su séduire un jury composé de 50 experts de différents pays, reconnus des plus grands maîtres fromagers.

La députée Chantal Soucy a tenu à souligner cet honneur maskoutain devant ses collègues de l’Assemblée nationale : « Monsieur le Président, nous avons, à Saint-Hyacinthe, une solide expertise dans le domaine de la transformation alimentaire et l’obtention de ce prix vient une fois de plus faire rayonner notre technopole agroalimentaire, à travers le monde. Félicitations à tous les artisans de l’Extra, vous contribuez à notre fierté collective! »

REM: La CAQ vote en faveur, le député Roberge se battra pour une gare à l’axe 10-35


 Publié le 3 octobre 2017
 

(Chambly, le 27 septembre 2017) – Le député de Chambly Jean-François Roberge et sa formation politique, la CAQ, se sont prononcés en faveur du projet de loi 137, Loi concernant le réseau électrique métropolitain, qui devrait donner le coup d’envoi à la construction du REM, lors du vote tenu à cet effet la semaine dernière à l’Assemblée nationale.

«Le REM est un projet de train électrique moderne qui sera un vecteur de développement pour Chambly, Richelieu, Saint-Basile-le-Grand, Carignan et Saint-Mathias, mais aussi pour l’ensemble de la Montérégie. Il permettra aux gens de se déplacer rapidement et à peu de frais. À terme, ce projet permettra aussi de retirer de nombreuses voitures sur les routes, ce qui aidera à lutter contre la congestion routière mais aussi contre l’émission de gaz à effet de serre, nuisibles pour l’environnement et la santé», explique le député.

Jean-François Roberge a voté en faveur du projet de loi, mais il ne compte pas donner carte blanche au gouvernement pour autant. «Le plan actuellement sur la table est bon, mais il est loin d’être parfait. Selon moi, il faut dès maintenant prévoir une gare à l’intersection des autoroutes 10 et 35, là où se joignent Chambly et Saint-Jean-sur-Richelieu», rappelle le député, qui compte revenir à la charge auprès du ministre des Transports à ce sujet.

Celui-ci déplore d’ailleurs qu’un projet d’une telle importance pour Chambly et l’ensemble de la Montérégie n’ait pas fait consensus à l’Assemblée nationale. «Je déplore vivement l’attitude des députés du Parti Québécois dans ce dossier. Je n’en reviens pas qu’ils aient voté contre le plus ambitieux projet de transport collectif électrique depuis le métro de Montréal!», a dénoncé le député.