Vernissage et épluchette de blé d’Inde gratuite au centre-ville: Chantal Soucy et le 1855, Exposition collective invitent les citoyens à participer en grand nombre!


 Publié le 24 août 2017
 

La députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy et le 1855, Exposition collective ouvriront leurs portes samedi, le 2 septembre prochain, de 12h à 16h, dans le cadre d’un vernissage sous le thème « Saint-Hyacinthe, terre agricole ».

Pour l’occasion, les citoyens seront d’abord invités à participer à une épluchette de blé d’Inde, qui se tiendra devant les locaux du 1855, Exposition collective. Ils seront ensuite dirigés au bureau de la députée Chantal Soucy, où ils pourront admirer les œuvres inédites d’artistes locaux, échanger avec leur députée et savourer un gâteau offert par la boutique Produits de l’érable 4 saisons.

« Cette journée est l’occasion parfaite pour les familles de se réunir pour découvrir nos produits locaux et encourager les artistes de notre région. C’est toujours un plaisir pour moi de m’associer avec des événements qui, comme celui-ci, visent à promouvoir l’agriculture et l’art de chez nous. J’invite donc les citoyens à venir nous visiter en grand nombre! » a déclaré la députée Chantal Soucy.

Pour sa part, Jeannot Caron, gestionnaire du 1855, Exposition collective, a tenu à souligner l’importance de cet événement pour la communauté maskoutaine et les artistes locaux : « Depuis sa création, la vocation du 1855 est de démocratiser l’art et de le rendre accessible dans notre région. L’épluchette du 2 septembre prochain s’inscrit donc parfaitement dans le cadre de notre mission, puisqu’en plus de pouvoir admirer les œuvres, les gens pourront rencontrer les artistes à la galerie. Nous sommes très heureux que notre députée, Chantal Soucy, accepte une fois de plus de prendre part à notre projet et d’exposer les toiles de nos artistes à son bureau. Elles y seront d’ailleurs jusqu’à la fin novembre », a-t-il déclaré.

L’épluchette de blé d’Inde, ainsi que le vernissage, seront offerts gratuitement et se tiendront le 2 septembre prochain, de 12h à 16h, au 1855, Exposition collective, situé au 1855, rue des Cascades, ainsi qu’au bureau de la députée Chantal Soucy, au 1970, rue des Cascades O., à Saint-Hyacinthe.

Réforme du programme de crédit de taxes foncières agricoles: Le ministre offre incertitude et inquiétudes en cadeaux de Noël aux agriculteurs, dénonce Jean-François Roberge


 Publié le 19 décembre 2016
 

(Chambly, le 19 décembre) – À l’approche du temps des Fêtes, le député Jean-François Roberge dénonce le projet de réforme du programme de crédit de taxes foncières agricoles (PCTFA) du gouvernement libéral, qui dans sa forme actuelle, menace de faire bondir drastiquement le compte de taxes des agriculteurs de la Montérégie. «Avec cette réforme, le ministre de l’Agriculture Pierre Paradis donne de l’incertitude et des inquiétudes énormes aux agriculteurs comme cadeaux de Noël», fustige le député de Chambly.

M. Roberge a par ailleurs profité d’une rencontre avec les représentants de l’Union des producteurs agricoles de la Montérégie (UPA-Montérégie), pour réaffirmer son opposition aux changements apportés par le ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis, aux programmes de crédit de taxes foncières agricoles, qui privent les producteurs de la région et de partout au Québec d’importantes sommes d’argent.

«S’il est vrai qu’un plus grand nombre d’agriculteurs pourront être soutenus financièrement par le gouvernement, en contrepartie, la très grande majorité d’entre eux subiront une forte augmentation de leur compte de taxes, pouvant même atteindre 50 %», souligne le député.

Les représentants de l’UPA-Montérégie ont d’ailleurs confirmé, à l’aide de 9 cas réels, l’impact dans la région de la réforme du PCTFA du MAPAQ au député de Chambly. Ainsi, selon les données présentées par l’UPA-Montérégie, à part certaines exceptions, ces producteurs agricoles devront faire face à une hausse entre 11 % et 130 %. En Montérégie, l’impact de ces modifications frôlerait les 8 millions de dollars en augmentation de taxe pour l’année à venir, une situation que M. Roberge juge inacceptable.

Signe de l’importance de l’enjeu pour les agriculteurs de la région, François Bonnardel, député de Granby et collègue de M. Roberge, avouait d’ailleurs récemment avoir reçu plus de 140 lettres de producteurs agricoles de la Montérégie, qui soutiennent noir sur blanc que leurs taxes vont leur coûter plus cher. «Le gouvernement libéral met en péril des entreprises agricoles. Il est temps pour lui de revenir sur terre et d’écouter les craintes des Québécois. L’industrie agricole est beaucoup trop importante en Montérégie pour laisser nos agriculteurs à eux-mêmes », de conclure le député.