175 nouvelles places de stationnement à la gare de Mascouche!


 Publié le 2 septembre 2016

AGRANDISSEMENT DU STATIONNEMENT DE LA GARE MASCOUCHE

Mascouche, le 18 août 2016 – Mise en service le 1er décembre 2014, la ligne Mascouche du train de banlieue, n’a cessé de croître en popularité. L’intérêt croissant des citoyens de Mascouche pour le transport collectif, se traduit aujourd’hui, par le début des travaux d’agrandissement du stationnement de la Gare Mascouche. L’Agence Métropolitaine des Transports procède actuellement aux travaux qui permettront d’y ajouter 175 nouvelles places de stationnement.

Mathieu Lemay, député de Masson et porte-parole du dossier Environnement, pour la Coalition Avenir Québec, se réjouit de cette annonce. « Je suis heureux que la popularité du train de banlieue se concrétise et je constate que nos commentaires auprès de l’Agence Métropolitaine des Transports (AMT), sur l’importance de l’agrandissement du stationnement, ont été entendues. Le transport en commun ayant un apport très important dans la lutte aux changements climatiques et la réduction des GES, l’agrandissement du stationnement de la Gare de Mascouche permettra d’accueillir davantage d’utilisateurs. Je souhaite maintenant, que le nombre de départs et d’arrêts par jour à la gare de Mascouche sera augmenté, afin de mieux répondre aux besoins, de conclure Mathieu Lemay. »

Filtrage d’informations transmises par l’AMT à l’UPAC : La CAQ veut entendre Nicolas Girard en commission parlementaire


 Publié le 1 septembre 2016

À la suite des révélations troublantes concernant le processus de transmission d’information et de dossiers de l’Agence métropolitaine de transports (AMT) vers l’Unité permanente anticorruption (UPAC), les députés de la Coalition Avenir Québec, Éric Caire et Claude Surprenant, réclament la tenue d’une commission parlementaire et la comparution de l’ex-président et directeur général de l’AMT, Nicolas Girard. Une lettre officielle faisant état de cette demande a été acheminée au président de la Commission des transports et de l’environnement et député d’Orford, Pierre Reid.

Pour Éric Caire, porte-parole de la CAQ en matière d’efficacité de l’administration publique, les actes divulgués dans le quotidien La Presse sont sérieuses : il est question de membres de la haute direction de l’AMT qui auraient délibérément omis de transmettre certains dossiers à l’UPAC. « Nicolas Girard est soupçonné par deux témoins d’avoir filtré des dossiers et informations sensibles de l’AMT avant de les transmettre à l’UPAC, pour des raisons politiques. Ce type d’allégations n’est pas à prendre avec des pincettes. Il faut faire la lumière sur cette histoire, et vite », a déclaré le député de La Peltrie, Éric Caire.

Son collègue Claude Surprenant, critique caquiste en matière de transports, partage ces inquiétudes. Si ce qui est véhiculé se révèle vrai, l’AMT aurait sciemment nui au travail de l’UPAC et ainsi tenté d’entraver considérablement les enquêtes des forces policières. « Il faut convoquer les principaux acteurs en cause, à commencer par l’ex-président-directeur général Nicolas Girard, directement visé dans les rapports de l’analyste Annie Trudel. J’espère surtout que nous pourrons compter sur la collaboration de tous les partis politiques, notamment et principalement le Parti québécois. Le chef intérimaire actuel, Sylvain Gaudreault, l’ayant nommé alors qu’il était ministre des Transports dans le gouvernement Marois, nous sommes impatients de savoir si son parti, qui dans plusieurs dossiers est d’accord avec la CAQ pour réclamer de la transparence, appuiera notre demande pour que Nicolas Girard comparaisse devant les parlementaires », a conclu Claude Surprenant, député de Groulx.

Autoroute Laurentienne : Une victoire de la CAQ au profit des gens de Québec


 Publié le 23 juin 2016

Le député de Lévis pour la Coalition Avenir Québec, François Paradis, a qualifié de « grande victoire pour la CAQ au profit des gens de Québec », le recul du gouvernement libéral dans sa volonté d’imposer une voie réservée sur l’autoroute Laurentienne. Il a de plus salué la mobilisation citoyenne et le travail de plusieurs médias d’opinion dans la région de Québec, qui ont contribué à faire fléchir les libéraux.

Rappelant que le transport en commun et les voitures électriques sont à peu près inexistants sur cette autoroute, François Paradis a déclaré que les libéraux ont fait la démonstration, au cours des derniers mois, qu’ils étaient « complètement déconnectés de la réalité quotidienne des gens de Québec, notamment des jeunes familles qui s’établissent en banlieue et qui n’ont d’autres choix que d’utiliser la voiture pour se rendre au travail ».

Un gouvernement libéral usé et déconnecté

« Nous faisons face à un gouvernement libéral usé et déconnecté, au pouvoir depuis 13 ans de manière quasiment ininterrompue. Grâce à la mobilisation citoyenne, à la pression faite par plusieurs médias dans la région et aux différentes interventions de mon collègue député de La Peltrie, Éric Caire, nous avons fait reculer les libéraux. Plus que jamais, la CAQ démontre son efficacité. Notre équipe est aguerrie et fait bouger les choses. La prochaine étape, c’est de remplacer ce gouvernement en 2018 pour s’assurer que les préoccupations citoyennes soient comprises aux plus hauts niveaux sans toute cette tergiversation », a ajouté François Paradis.

Rappelons qu’il y a deux semaines, la CAQ dévoilait des courriels internes du Ministère des Transports du Québec démontrant que le dossier de l’élargissement de l’autoroute Laurentienne a été une véritable comédie d’erreurs du gouvernement libéral. Pour François Paradis, c’est cette sortie qui, en bout de ligne, aura fait bouger les choses. « Une fois la désorganisation et l’improvisation des libéraux étalées sur la place publique, ça devenait intenable pour eux de persister avec leur voie réservée », a conclu M. Paradis.

Élargissement de la route 139 : François Bonnardel dénonce l’inaction du MTQ


 Publié le 13 juin 2016

Le député de Granby, François Bonnardel dénonce les délais inacceptables dans la remise d’un rapport du ministère des Transports du Québec sur l’élargissement de la route 139 pour la création d’un lien routier entre Drummondville et la frontière américaine.

« Je pense honnêtement qu’on se fait niaiser. Ça fait depuis 2013 qu’on attend après ce rapport. J’appelle aux trois mois au bureau régional du MTQ pour savoir comment tout ça avance et on me répond toujours: “on collige des données”. Nous, pendant ce temps-là, on attend », s’est indigné le député en entrevue à La Voix de l’Est.

François Bonnardel se questionne à savoir si le MTQ prend ce projet au sérieux. « On ne demande pas la lune. Selon moi, ce projet est intéressant puisqu’il pourrait assurer plus de sécurité pour le transport et aussi une certaine fluidité, en ayant deux voies. C’est sans compter les développements commerciaux futurs que ça pourrait occasionner », affirme-t-il.

Ce dossier sera l’une des priorités de M. Bonnardel cet été.

Uber : Philippe Couillard refuse d’écouter les jeunes libéraux


 Publié le 2 juin 2016

Après s’être fait servir toute une leçon par l’aile jeunesse de son parti politique, hier, Philippe Couillard en a rajouté une couche en confirmant qu’il n’écoutera pas ses militants qui lui demandent, tout comme la CAQ, de revoir son projet de loi 100 pour permettre à des entreprises innovantes comme Uber de cohabiter avec les taxis traditionnels.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a indiqué que les jeunes libéraux ont fait prendre un méchant coup de vieux au gouvernement Couillard qui, en voulant faire fermer Uber, se fait le gardien du passé. « Des experts, comme Price Waterhouse Coopers, prévoient que l’autopartage va avoir une croissance de 23 % par année dans le monde. C’est possible de faire cohabiter les taxis traditionnels avec l’économie de partage. La Commission jeunesse des libéraux dénonce le projet de loi 100, un “échec”, un “manque de vision” selon elle. Le premier ministre doit démontrer à son tour qu’il n’est pas fermé à l’innovation. Il doit trouver des solutions pour permettre à ce nouveau modèle d’affaires d’opérer légalement avec les taxis », a exigé François Legault.

Le député de L’Assomption a indiqué que partager sa maison, ses outils ou son auto présente plusieurs avantages :
– une meilleure productivité;
– moins d’impact sur l’environnement, puisqu’on n’accumule pas de biens inutiles;
– le développement l’entrepreneuriat, ce dont on a bien besoin au Québec.

Or, selon M. Legault, la clé pour enrichir le Québec, c’est en ouvrant grand les bras à l’innovation et à l’économie de partage. « Uber doit payer ses taxes et impôts, mais il faut aussi encourager l’innovation. Le premier ministre est le grand donneur de leçons, toujours en réaction. On fait des comités, des stratégies, des discours, mais rien de concret. Que veut-il faire en économie pour le reste de son mandat? Combien de caucus spéciaux faudra-t-il pour que le premier ministre comprenne que le Québec doit s’ouvrir à l’innovation? » a tenté de savoir François Legault.

Projet de loi contre Uber : La CAQ appelle les députés libéraux à la dissidence


 Publié le 27 mai 2016

Alors qu’un caucus d’urgence a été convoqué lundi par le PLQ dans un contexte de discorde importante entre les députés libéraux et le bureau du premier ministre Couillard, la Coalition Avenir Québec a appelé les élus du PLQ à la dissidence sur le projet de loi 100 visant à expulser l’entreprise Uber du Québec.

En marge d’une interpellation vendredi à l’Assemblée nationale, le leader de la CAQ, François Bonnardel, a dit déceler une certaine grogne au sein du caucus libéral depuis quelques semaines. Pour lui, le bureau du premier ministre ne laisse pas aux députés libéraux la liberté d’exercer leur travail parlementaire d’une façon qui leur permettrait de représenter les intérêts de leurs citoyens et même les positions prises par le Parti libéral du Québec lui-même.

« Quelque chose comme un mouvement de fronde est en train de se dessiner dans les rangs libéraux. Philippe Couillard ne pourra pas encore très longtemps cacher cette grogne. Il est isolé dans un coin, forcé de tenir une réunion d’urgence pour sauver les meubles et assurer que ses députés respecteront la ligne de parti. Je pense que c’est le moment pour les dissidents de se lever et d’accomplir leur travail parlementaire librement, comme on a commencé à le voir lors de l’audition de Dominique Savoie et de l’étude du projet de loi 97. La vision archaïque de ce gouvernement face à tout progrès technologique doit être dénoncée et j’en appelle au bon sens et au courage des députés libéraux », a déclaré le député de Granby.

Le porte-parole de la CAQ en matière de transports, Claude Surprenant, a rappelé que le projet de loi 100 est explicitement rédigé pour casser le modèle Uber. Le gouvernement Couillard ne fait pas seulement fi de l’économie de partage, il va à contre-courant des attentes du milieu économique et des membres de sa propre formation politique. « Lundi, tous les députés libéraux seront face à face à leur chef. C’est le moment de déballer tout ce qu’ils ont sur le cœur. Certains sont vexés, frustrés et il n’y a pas meilleur remède que l’honnêteté. Face à la dissidence, Philippe Couillard n’aura pas le choix que de procéder à un autre recul et d’encadrer Uber pour mieux le permettre », a soutenu le député de Groulx.

Par ailleurs, la CAQ a demandé que le rapport interministériel sur le dossier Uber soit rendu public et étudié par les 70 députés libéraux lors de leur caucus spécial de lundi.

Projet de loi contre Uber : Philippe Couillard choisit d’être le gardien du passé


 Publié le 25 mai 2016

Talonné par François Legault, Philippe Couillard poursuit sa croisade pour barrer la route à Uber en refusant la main que lui a tendue l’entreprise pour mettre en place un projet-pilote afin d’encadrer le covoiturage commercial. Pour une deuxième journée consécutive, le premier ministre a refusé l’innovation pour choisir un vieux modèle d’affaires, a regretté le chef de la Coalition Avenir Québec.

Pour François Legault, il est de plus en plus clair que le premier ministre a déjà fait son nid : il a choisi d’être le gardien du passé. La CAQ, elle, mise sur l’avenir, a fait savoir M. Legault.

« Un débat important se tient actuellement au Québec. Un débat qui se divise en 2 camps : celui qui défend un monopole contre celui de la libre concurrence, celui de la confrontation contre celui des solutions. Hier, Uber a mis des propositions sur la table. Elles ne sont pas parfaites, mais elles ont le mérite de faire avancer la discussion. Le premier ministre devrait demander au ministre des Finances de lui expliquer une règle de base en économie : plus il y a d’offre de services, plus le consommateur est avantagé! Le premier ministre ne pourra pas toujours s’opposer à l’innovation. Il va y avoir d’autres Uber et d’autres AirBnB qui vont vouloir moderniser les façons de faire. Ce n’est pas vrai qu’il va, à chaque fois, les forcer à arrêter leurs activités! » a déclaré François Legault, invitant Philippe Couillard à s’assoir avec Uber pour discuter la mise en place d’un projet-pilote pour encadrer le covoiturage commercial.

Le député de L’Assomption a indiqué que la situation est tout de même ironique : le premier ministre annonçait vendredi dernier sa stratégie numérique en soutenant que les nouvelles technologies nous obligent à nous adapter constamment. Pourtant, encore aujourd’hui, il est le premier à refuser de s’adapter à un nouveau modèle d’affaires dans le monde du taxi. « Le premier ministre joue à Don Quichotte qui s’en prend à des moulins à vent. Les changements technologiques sont réels. Le premier ministre est peut-être nostalgique des années 70, mais il doit permettre au Québec d’innover et de faire face intelligemment aux changements technologiques », a averti François Legault.

Projet de loi contre Uber: Philippe Couillard étouffe la concurrence et bâillonne les jeunes libéraux


 Publié le 24 mai 2016

Le premier ministre Philippe Couillard choisit mal ses alliés, a fait savoir le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, après avoir invité une nouvelle fois les libéraux à réécrire son projet de loi, comme le réclament les jeunes militants du Parti libéral. Le gouvernement libéral a de nouveau refusé d’entendre l’aile jeunesse de son propre parti, mardi, alors que la CAQ avait déposé une motion en ce sens.

Non seulement le projet de loi 100 ferme la porte à l’innovation et à la concurrence, mais il pénalise indirectement les consommateurs. Tel que formulé, il permettrait en effet au gouvernement de limiter le nombre de permis de taxi, ce qui a pour effet de maintenir les prix artificiellement élevés. Or, le chef de la CAQ a souligné que le Québec pourrait, comme d’autres états l’ont fait, avoir deux catégories de transport de personnes, sans nécessairement avoir à racheter les permis existants.

« Pour le gouvernement libéral et le Parti québécois, encadrer Uber oblige le rachat des permis de taxis. C’est complètement faux. Pourquoi un permis de taxi coûte-t-il si cher? Parce que le gouvernement limite le nombre de permis. Et qui paie indirectement le coût du permis? Le consommateur! Bien sûr, toutes les entreprises doivent payer leurs taxes et leurs impôts, mais les taxis pourraient très bien garder l’exclusivité pour les passagers qui hèlent un taxi sur la rue, comme c’est le cas à Toronto et à Edmonton », a expliqué François Legault.

Philippe Couillard envoie un bien mauvais message aux entrepreneurs : le Québec n’est pas ouvert à l’innovation. Le projet de loi 100 est la démonstration parfaite que deux vieux partis politiques se renvoient constamment la balle au Québec depuis des décennies, a conclu François Legault.

Pratiques douteuses au MTQ : « A-t-on un premier ministre ou un touriste? » – François Legault


 Publié le 19 mai 2016

Le premier ministre Philippe Couillard n’agit que lorsqu’il est acculé au pied du mur, accuse le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Bien des choses opposent le chef libéral à M. Legault, avec en tête de liste la conception du leadership et le sens de la bonne gestion. Il devient de plus en plus évident que M. Couillard ne dirige pas : il observe, il tolère, jusqu’à qu’il y ait une crise déclarée, a lancé François Legault à l’Assemblée nationale.

« Hier, le premier ministre nous dit qu’il a confiance en la sous-ministre aux Transports. Aujourd’hui, il la relève de son poste. C’est révélateur de son style de gestion. Le ministère des Transports n’est pas un petit ministère. Il octroie des milliards de dollars de contrats chaque année. Est-ce que le premier ministre s’est assis depuis 2 ans avec son ministre des Transports pour discuter des problèmes, des défis au ministère? Il semble que non, puisqu’il a appris les problèmes en lisant son journal au déjeuner hier matin! Cette semaine les Québécois ont vu en action le style de gestion du premier ministre : il agit en spectateur et en touriste. C’est toujours la responsabilité des autres, sauf la sienne. Où est le leadership? » a déclaré le député de L’Assomption.

Le chef du deuxième groupe d’opposition a ajouté qu’en 2018, il fera le ménage qui s’impose au ministère des Transports. « Lorsque je vais être premier ministre, les ministres et les hauts fonctionnaires vont être imputables. Fini les jours d’un premier ministre qui nous regarde du haut de sa tour d’ivoire et qui se cherche un projet politique, 2 ans après son élection », a promis François Legault.

Syndrome « Gérald Tremblay »

Pour la CAQ, il est évident que l’actuel ministre des Transports, le secrétaire général du gouvernement et le chef de cabinet du premier ministre ont manqué de loyauté en choisissant de ne pas informer leur premier ministre des allégations graves visant le MTQ. Les députés François Bonnardel et Éric Caire ont talonné le premier ministre pour savoir si, lui aussi, considérait qu’il s’agissait d’un manque de loyauté, ou s’il avait simplement choisi de fermer les yeux. « Devant le refus du premier ministre Couillard de dénoncer un manque de loyauté, nous sommes obligés de conclure qu’il est atteint du syndrome “Gérald Tremblay” et qu’il ne voulait pas savoir », a conclu François Bonnardel.

Aménagement d’une voie réservée sur la route 116 : Simon Jolin-Barrette demande un prolongement jusqu’à Beloeil


 Publié le 3 mai 2016

Le député de Borduas, Simon Jolin-Barrette, effectue actuellement des démarches auprès du ministère des Transports afin que la voie réservée aux autobus sur la route 116 soit prolongée sur tout le territoire de McMasterville, jusqu’à Beloeil.

Des travaux pour l’aménagement d’une nouvelle voie réservée aux autobus sur la route 116, en direction de Mont-Saint-Hilaire, s’amorceront ce printemps sur le territoire de Saint-Bruno-de-Montarville et de Saint-Basile-le-Grand. Le député de Borduas souhaite toutefois que cette voie puisse s’étaler sur tout le territoire de McMasterville, et ce dans les deux sens de la circulation.

Les démarches entreprises

L’automne dernier, M. Jolin-Barrette a rencontré M. Robert Poëti, ministre des Transports à l’époque, en compagnie du Comité de l’axe 116 afin de le sensibiliser sur le dossier. Il a ensuite interpellé le nouveau ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, M. Jacques Daoust, qui a été nommé au mois de janvier lors du remaniement ministériel. M. Jolin-Barrette a d’ailleurs questionné le ministre Daoust en commission parlementaire, le 21 avril dernier, lors de l’étude des crédits budgétaires de son ministère afin de connaître ses intentions dans ce dossier.

« Au cours des 10-15 dernières années, les populations de McMasterville, de Beloeil et de Mont-Saint-Hilaire ont augmenté de façon importante, et par conséquent, le trafic sur la route 116 s’est grandement alourdi. Nous souhaitons donc offrir des solutions alternatives afin de limiter le déplacement en voiture des citoyens de la circonscription et de favoriser la mobilité durable », a expliqué Simon Jolin-Barrette, en soulignant au ministre que l’emplacement est déjà disponible et que la route est déjà asphaltée.

Dans sa réponse, M. Daoust a affirmé que son ministère ne ferme pas la porte au prolongement de cette voie réservée et que des études sont en cours.

Simon Jolin-Barrette souhaite ardemment que ce projet puisse se concrétiser le plus rapidement possible et que le ministre prenne un engagement ferme dans ce dossier. « Ça fait plusieurs années que les municipalités de McMasterville, Beloeil et Mont-Saint-Hilaire réclament l’implantation de cette voie réservée. Il s’agit d’un projet qui aurait des impacts très positifs pour les citoyens du comté puisqu’une voie réservée améliorerait grandement la circulation des autobus lors des heures de pointe. De plus, elle assurerait la ponctualité du service de transport collectif ».

Rappelons que le premier tronçon de la nouvelle voie réservée de la route 116, en direction de Montréal, est en service depuis novembre dernier. Cette voie dessert le territoire de Saint-Basile-le-Grand jusqu’à Saint-Bruno-de-Montarville.