Fin du port du masque à la mi-avril au Québec


 Publié le 3 mars 2022

À la suite d’une recommandation favorable de la Santé publique, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, annonce que les assouplissements prévus le 14 mars entreront plutôt en vigueur le samedi 12 mars prochain. De plus, la Santé publique propose une séquence graduelle de retrait du port obligatoire du masque dans les lieux publics.

Levée de la plupart des mesures

Ce devancement, qui permettra à la population, aux organisateurs et aux commerçants de profiter des journées de la fin de semaine avec un minimum de restrictions, est rendu possible en raison de l’évolution de la situation épidémiologique et hospitalière.

Ainsi, à compter du 12 mars :

  • Capacité d’accueil à 100 % dans tous les lieux publics ;
  • Aucune limite de capacité par table dans les restaurants, bars, tavernes et casinos ;
  • Retour aux heures normales d’activité pour les restaurants, bars, tavernes et casinos ;
  • Activités de danse et de karaoké permises ;
  • Aucune restriction quant au nombre de participants pour les activités de nature sociale dans une salle louée ;
  • Retrait du registre des visiteurs dans les résidences privées pour aînés.

Par ailleurs, il ne sera plus nécessaire de présenter le passeport vaccinal pour accéder aux lieux qui étaient visés par cette mesure.

Levée graduelle du port obligatoire du masque ou du couvre-visage

La Santé publique propose une séquence de retrait graduel du port du masque dont les dates précises seront confirmées ultérieurement en fonction de l’évolution de la situation épidémiologique.

À compter du lundi 7 mars, comme déjà annoncé : le port du masque ne sera plus requis en classe ou au service de garde pour les élèves lorsqu’ils sont assis.

Au plus tard à la mi-avril, avec un préavis de 10 jours : le port du masque ne sera plus obligatoire dans tous les lieux publics (excluant les transports publics). Les lieux publics incluent l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur (cégeps et universités).

Au plus tôt au mois de mai, avec un préavis de 10 jours : le port du masque ne sera plus obligatoire dans les transports publics.

Il importe de souligner que, malgré le retrait graduel de l’obligation de porter le masque, ce dernier reste un outil efficace pour réduire la transmission des virus. Ainsi, le port du masque fera partie de l’ensemble des bonnes pratiques à conserver et demeurera recommandé dans certaines circonstances, notamment :

  • lorsqu’une personne présente des symptômes s’apparentant à ceux de la COVID-19 ;
  • lors d’interactions sociales durant les cinq jours suivant une période d’isolement ;
  • lors d’interactions sociales pour les personnes immunosupprimées.

« D’ici une dizaine de jours, la plupart des mesures seront enfin levées. Il s’agit d’une étape très importante, et nous pouvons être fiers de tous nos efforts pour en arriver là. Toutefois, il faut apprendre à vivre avec Ie virus, qui circule toujours, et demeurer prudents. Le port du masque, même lorsqu’il ne sera plus obligatoire, fera entre autres partie de l’arsenal que nous possédons pour réduire les risques de transmission dans certaines circonstances. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

Faits saillants :

  • Notons que la séquence du retrait graduel du port obligatoire du masque ne concerne pas les milieux de travail et les milieux de soins, incluant les CHSLD.
  • Puisque la COVID-19 est toujours présente, il demeure requis de respecter les consignes sanitaires de base pour limiter sa propagation. Ainsi, il faut continuer de se laver les mains, de couvrir son visage, de tousser dans son coude et de garder ses distances.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur les mesures en vigueur et les assouplissements à venir: Québec.ca/coronavirus.

Pour en savoir plus sur les mesures en vigueur et les assouplissements à venir: Québec.ca/coronavirus.

1,5 M$ pour attirer de nouveaux résidents sur la Côte-Nord


 Publié le 2 mars 2022

Une somme de 1 500 000 $ est accordée pour une entente sectorielle visant à inciter de nouveaux résidents et résidentes à venir vivre dans la région de la Côte-Nord et à favoriser leur établissement à long terme.

Cette entente comprend la création d’un fonds de soutien qui permettra d’appuyer financièrement des initiatives pour attirer notamment des jeunes, des personnes immigrantes et de la main-d’œuvre pour soutenir l’essor de la région.

Les partenaires sont le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH), la Société du Plan Nord (SPN) ainsi que les six municipalités régionales de comté (MRC) de la Côte-Nord.

« Je suis fière que notre gouvernement prenne part à cette entente à la hauteur d’un million de dollars, car elle est en lien direct avec l’une des priorités régionales qui vise à mettre en valeur les attraits de la Côte-Nord. Ainsi, en unissant nos forces et en travaillant dans la même direction, nous pourrons contribuer à répondre à cette priorité et montrer tout ce qui fait la beauté et le charme de cette région. »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

« La Côte-Nord est l’une des plus belles régions du Québec et elle gagne à être découverte par ceux et celles qui souhaitent s’établir et prendre racine dans une communauté dynamique et près de la nature. Le soutien accordé par notre gouvernement permettra d’attirer de nouveaux habitants dans la région et ainsi contribuer au développement et à l’essor du Nord québécois. »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« En agissant ensemble pour l’attraction et l’établissement durable des citoyennes et citoyens, nous nous donnons les moyens de nos ambitions. C’est une priorité régionale très importante pour assurer l’occupation du territoire de la Côte-Nord. Cette entente démontre la volonté de tous de collaborer à la mise en œuvre d’actions concertées et stratégiques au bénéfice de toutes les MRC. »

Micheline Anctil, présidente de l’Assemblée des MRC de la Côte-Nord et membre du comité régional de sélection de projets du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité

Faits saillants :

  • L’aide financière du gouvernement du Québec s’élève à un million de dollars.
    La moitié de celle-ci s’inscrit dans le cadre du Plan d’action nordique 2020-2023 de la SPN. L’autre provient du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation par le biais du volet 1 – Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité.
  • Le Plan d’action nordique 2020-2023 répond aux priorités énoncées par les acteurs du Nord québécois. Il vise à fournir les outils appropriés aux communautés concernées pour qu’elles habitent pleinement leur territoire. Le gouvernement du Québec investira ainsi 778,6 millions de dollars, soit plus de la moitié de la somme prévue dans le Plan, pour soutenir les entreprises ainsi que les citoyennes et citoyens établis et actifs au nord du 49e parallèle. Les 49 actions socioéconomiques du Plan d’action nordique ont été élaborées conjointement par 20 ministères et organismes du gouvernement du Québec.
  • Les MRC de La Haute-Côte-Nord et de Manicouagan participent chacune pour 92 500 $, la MRC du Golfe-du-Saint-Laurent, quant à elle, verse une somme de 90 000 $. La MRC des Sept-Rivières octroie 87 500 $ pour cette entente tandis que la MRC de Minganie y accorde 80 000 $. Finalement, la MRC de Caniapiscau y contribue pour 57 500 $.
  • L’entente s’échelonnera jusqu’en 2026.

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Pour en savoir plus sur le déploiement du Plan d’action nordique 2020-2023 :

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18 M$ pour l’achat de 120 autobus scolaires électriques


 Publié le 1 mars 2022

Le gouvernement du Québec est fier d’accorder une somme maximale de 18 000 000 $ pour soutenir le projet d’achat, par Autobus Transco, de 120 autobus scolaires propulsés à l’électricité de la compagnie Lion Électrique. La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, en a fait l’annonce aujourd’hui à l’occasion d’une conférence de presse en présence de dirigeants d’Autobus Transco et de Lion Électrique.

Ce soutien s’inscrit dans le Plan pour une économie verte 2030 (PEV 2030) du gouvernement du Québec. Une mesure phare de ce plan ambitieux est d’accompagner les transporteurs dans l’électrification de leur parc de véhicules en remplaçant les autobus scolaires en fin de vie par des modèles propulsés à l’électricité.

Avec cette annonce, le gouvernement s’approche de sa cible de réduction des gaz à effets de serre (GES) liés aux transports notamment en électrifiant 65 % du parc d’autobus scolaires québécois d’ici 2030.  

« Notre gouvernement est résolument engagé dans la transition écoresponsable du transport. Cette annonce est un pas de plus vers l’électrification des autobus scolaires. C’est un geste concret afin de réduire nos émissions de gaz à effet de serre tout en mettant à profit notre hydroélectricité. Cette annonce est un exemple de plus du fait que le Québec est un leader en matière d’électrification des transports. »

Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Le secteur des transports est responsable de près de 45 % des émissions de GES au Québec. C’est pour cette raison que notre gouvernement pose des gestes concrets pour accélérer l’électrification des transports. Je suis convaincu que nos actions, combinées à celles des transporteurs scolaires, nous aideront à atteindre nos ambitieux objectifs en matière de réduction des émissions de GES. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie

« Nous sommes fiers de soutenir, par l’entremise du Plan de mise en œuvre de notre Plan pour une économie verte 2030, des entreprises telles que Autobus Transco, qui ont à cœur de contribuer à la création d’une économie sobre en carbone, résiliente face aux changements climatiques et plus prospère. L’électrification de nos autobus scolaires réduit non seulement nos émissions de GES, mais contribue à diminuer la pollution sonore et améliore la qualité de l’air en général, et plus particulièrement dans des zones fréquentées par nos enfants. L’investissement annoncé aujourd’hui est un exemple clair de notre vision d’une transition verte pour le transport des élèves. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« En tant que chef de file de l’industrie en matière d’innovation en transport scolaire, Autobus Transco reconnaît le rôle important que jouent l’électrification et les technologies zéro émission dans notre avenir. Nous sommes donc particulièrement fiers de pouvoir contribuer de façon significative à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et d’offrir des options de transport propre à nos élèves de Montréal, grâce à l’acquisition de ces 120 véhicules électriques. »

Laurie Henner, directrice régionale de Transco

« Le Québec fait figure de leader en électrification du transport scolaire et Lion est heureux de pouvoir y contribuer. Ces 120 LionC 100 % électriques, qui font référence à la commande de Transco annoncée en mai dernier, se retrouveront sur les routes de Montréal et auront des répercussions directes sur les émissions de gaz à effet de serre de la région métropolitaine. Chez Lion, nous sommes fiers de travailler avec des partenaires comme Transco et le gouvernement du Québec afin d’offrir un avenir plus durable à nos enfants. »

Marc Bédard, président-fondateur de Lion Électrique

Faits saillants

  • Doté d’une enveloppe de 250,7 M$ jusqu’en 2024, le Programme d’électrification du transport scolaire est financé dans le cadre de la mesure 1.1.1 du Plan de mise en œuvre 2021-2026 du PEV 2030, laquelle vise à « électrifier le transport des personnes : véhicules légers, transport collectif et scolaire ».
  • Ce programme soutient financièrement les transporteurs scolaires dans le cadre de l’électrification de leur parc de véhicules et vise à :
    • réduire les émissions associées au transport scolaire au Québec de près 65 000 tonnes de GES d’ici le 31 mars 2024;
    • favoriser l’usage des autobus électriques dans le transport scolaire au Québec en visant un taux d’électrification de 14 % d’ici mars 2024.
  • Le PEV 2030 est la première politique-cadre d’électrification et de lutte contre les changements climatiques du Québec. Il édifiera les bases d’une économie sobre en carbone, résiliente face aux changements climatiques et plus prospère à l’horizon 2030. Il place aussi le Québec sur la bonne trajectoire pour atteindre sa cible de réduction d’émissions de GES pour 2030 et la carboneutralité d’ici 2050. Le PEV 2030 mise sur les forces du Québec, dont son énergie propre, afin d’accélérer la transition climatique avec le plus de bénéfices possible pour la population et les entreprises québécoises.

Liens connexes

Programme d’électrification du transport scolaire 

Plan pour une économie verte 2030 

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Unis pour l’Ukraine


 Publié le 28 février 2022

 La ministre des Relations internationales et de la Francophonie annonce une aide humanitaire de 300 k$ pour soutenir la population ukrainienne touchée par la guerre. Cette contribution est accordée aux fonds d’urgence des organismes de coopération internationale (OCI) Médecins du Monde Canada (150 k$) et Croix-Rouge canadienne, division du Québec (150 k$).

Cette aide financière vient s’ajouter à d’autres mesures déjà instaurées par notre gouvernement, telles que le retrait des produits russes à la Société des alcools du Québec (SAQ) et la mise en berne du drapeau ukrainien à l’Assemblée nationale du Québec.

Les deux OCI ont été sélectionnés en raison de leur présence sur le terrain, de leur neutralité et de leur capacité à contribuer aux efforts immédiats visant à fournir une aide de première nécessité aux communautés affectées.

Médecins du monde Canada facilite l’accès aux soins de santé et offre un soutien psychologique aux personnes vulnérables sur le territoire ukrainien et auprès des réfugiés.

La Croix-Rouge canadienne (division du Québec) répond aux besoins humanitaires engendrés par le conflit, en plus de contribuer à la préparation et aux interventions nécessaires en Ukraine ainsi que dans les pays limitrophes. Vu le flux migratoire important des derniers jours, ce financement aidera entre autres l’organisme à accueillir les réfugiés.

Il s’agit d’une première aide immédiate de notre gouvernement et nous évaluons présentement d’autres formes d’aide pouvant soutenir la population ukrainienne. Le ministère des Relations internationales et de la Francophonie continuera de surveiller la situation et d’évaluer les besoins de l’Ukraine d’ici la fin du conflit.

« Depuis le début de cette crise, les Québécois sont solidaires avec le peuple ukrainien et la communauté ukrainienne du Québec. Cette guerre contrevient aux principes d’inviolabilité des frontières et d’autodétermination des pays. Il s’agit d’une violation fermement condamnée par notre gouvernement et il est de notre devoir de soutenir la population ukrainienne. Nous espérons qu’un cessez-le-feu surviendra rapidement. »

Faits saillants :

  • Des plateformes de dons ont été mises en place par les deux OCI.
  • Médecins du Monde Canada est présent en Ukraine depuis 2015. Son équipe est composée d’une centaine de professionnels qui offrent l’accès aux soins de santé, des médicaments et du soutien psychologique à la population civile locale.
  • La Croix-Rouge répond aux besoins humanitaires engendrés par près de huit années de conflit, en plus de contribuer aux efforts de préparation et d’intervention dans le contexte des tensions accrues en Ukraine. Les fonds amassés permettront à la Croix-Rouge de mener des opérations de secours, d’accompagner les personnes et les collectivités éprouvées dans leur rétablissement, de renforcer leur résilience et de réaliser d’autres activités humanitaires essentielles en réponse aux besoins émergents en Ukraine et dans les pays voisins, notamment auprès des réfugiés.
  • Communautés ukrainienne et russe au Québec :
    • 42 550 Québécois d’origine ukrainienne
      • 55,5 % se concentrent dans la région de Montréal, 18,5 % en Montérégie et 5,4 % en Outaouais.
    • 55 235 Québécois d’origine russe
      • 69,3 % se concentrent dans la région de Montréal, 12,6 % en Montérégie, et 5,7 % à Laval.

Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du ministère des Relations internationales et de la Francophonie et de ses 33 représentations dans 18 pays, suivez-nous dans les médias sociaux :
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Création d’un nouveau pavillon au Centre à Nous


 Publié le 28 février 2022

Le premier ministre du Québec et député de L’Assomption, M. François Legault, en compagnie de la députée de Repentigny, Mme Lise Lavallée, a annoncé aujourd’hui que le gouvernement du Québec accorde plus de 13,6 millions de dollars au Centre de services communautaires et culturels de Repentigny — Centre à Nous.

Ce projet, évalué à près de 35 millions de dollars, vise la construction d’un nouveau pavillon à l’immeuble actuel. Cet ajout majeur permettra au Centre de services communautaires et culturels de Repentigny — Centre à Nous d’accueillir le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Lanaudière comme occupant majeur. Également, huit organismes communautaires ou entreprises d’économie sociale, un centre de la petite enfance ainsi que deux salles de rencontres occuperont les locaux de ce pavillon.

À terme, le projet permettra à près de 30 organismes communautaires et entreprises d’économie sociale ainsi qu’au CISSS d’être regroupés sous un même toit. Ils pourront bénéficier de cette proximité afin de créer de meilleures synergies, au bénéfice de la communauté.

« Je suis très fier d’annoncer aujourd’hui la création d’un nouveau pavillon au Centre à Nous. Ça va permettre d’aider plus d’organismes de la région en offrant de nouveaux locaux à loyers modiques. C’est important de soutenir nos organismes communautaires. C’est un projet qui est en bonne partie rendu possible grâce à la collaboration du CISSS qui occupera une partie du nouveau pavillon. Et c’est surtout rendu possible grâce à l’équipe exceptionnelle de Centre à Nous qui soutient l’action communautaire dans la région. Bravo! »

François Legault, premier ministre du Québec et député de l’Assomption

« À la base de toute entreprise d’économie sociale, il y a un souhait d’agir dans la collectivité et de répondre aux besoins spécifiques du milieu. Le nouveau pavillon du Centre à Nous s’inscrit dans cette dynamique et aura des retombées bénéfiques pour la population de Repentigny et de Lanaudière. Je suis très heureuse d’avoir participé à l’annonce de ce projet d’envergure dans notre belle région. »

Lise Lavallée, députée de Repentigny

« Investissement Québec est fier d’appuyer le Centre à Nous dans sa volonté d’étendre son offre de services et d’intervenir davantage auprès de la population lanaudoise dans le besoin. Notre équipe dédiée aux coopératives et aux autres entreprises de l’économie sociale accompagne quotidiennement ces entrepreneurs et dirigeants d’organismes qui ont à cœur de favoriser un développement économique et social durable, au bénéfice de nos collectivités. »

Guy LeBlanc, président-directeur général d’Investissement Québec

« Pour une entreprise d’économie sociale comme la nôtre, ce projet est majeur, à terme, le chiffre d’affaires projeté dépassera les 2 millions de dollars et deviendra le plus grand centre communautaire au Canada. Le seul carrefour en son genre au Québec ayant construit ses propres installations, au bénéfice de sa communauté et de sa région. »

Mario Morais, président du Centre à Nous

Faits saillants :

  • Le Centre de services communautaires et culturels de Repentigny — Centre à Nous propose divers services aux organismes communautaires afin de les aider à répondre aux besoins de la population de Repentigny et de la MRC de L’Assomption. Il reçoit 250 000 $ du gouvernement du Québec, par l’entremise du Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif (PIEC), ainsi que des prêts totalisant 13 millions de dollars et provenant des fonds propres d’Investissement Québec pour appuyer la réalisation de son projet.
  • Rappelons qu’en juin 2021 le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation a annoncé l’attribution de 400 000 $ pour soutenir l’acquisition du terrain adjacent au bâtiment du Centre à Nous à Repentigny. Ce soutien financier a été accordé dans le cadre du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité.
  • Le projet est également appuyé par le Fonds du Grand Mouvement Desjardins et financé par le Centre Desjardins Entreprises – Lanaudière, par le Fonds immobilier de solidarité FTQ, par la Fiducie du Chantier de l’économie sociale et par la MRC de L’Assomption.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Promesse tenue : 5 000 emplois de fonctionnaires en région


 Publié le 24 février 2022

Dans le but de favoriser le développement économique de nos régions, le gouvernement du Québec annonce un plan de régionalisation, qui vise à transférer 5 000 emplois de l’administration publique d’ici 2028. De ce nombre, au moins 2 000 emplois seront transférés hors des grands centres d’ici le 30 septembre prochain. Le premier ministre du Québec, M. François Legault, en a fait l’annonce aujourd’hui en compagnie de la ministre responsable de l’Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, et du député de Gatineau, Robert Bussière.

En plus des retombées économiques et sociales importantes engendrées par le transfert de 5 000 postes dans les régions du Québec, le plan de régionalisation constitue un levier pour offrir de meilleurs services publics à tous les Québécois, et ce, peu importe leur localisation sur notre vaste territoire.

Le transfert en région de ces emplois contribuera également à augmenter l’expertise de l’État sur les différents enjeux locaux. Il permettra également aux futurs candidats de viser une carrière dans l’administration publique sans avoir à quitter leur région natale. En plus d’élargir le bassin de main-d’œuvre, il permettra à l’État de bénéficier de talents provenant de partout au Québec.

La régionalisation de ces emplois se réalisera par trois différents moyens :

  • l’embauche, en région, d’emplois devenus vacants dans les zones urbaines;
  • la création de nouveaux emplois en région;
  • le déplacement des emplois en zone urbaine vers les régions à la suite du déménagement volontaire des personnes qui les occupent.

Priorité aux municipalités dévitalisées
Les ministères et organismes devront prioriser la régionalisation de leurs emplois dans les municipalités régionales de comté (MRC) dont l’indice de vitalité économique est le plus faible. Par conséquent, les municipalités qui ont le plus besoin d’emplois de qualité bénéficieront des postes créés et transférés, ce qui renforcera la croissance économique sur leur territoire.

Les ministères et organismes ont déjà commencé à procéder à l’embauche pour leurs emplois et à dresser l’inventaire de leurs bureaux en région afin d’avoir un portrait clair quant à la disponibilité. Cela permettra une augmentation de la présence de personnel de l’administration publique dans les régions québécoises, qui bénéficieront d’un accroissement du nombre de leurs emplois pour des années à venir.

De plus, 15 bureaux gouvernementaux partagés seront implantés, sur l’ensemble du territoire québécois, pour soutenir le déploiement de ce plan. Ils pourront accueillir les employées et employés de diverses organisations de l’administration publique.

Ainsi, les premiers bureaux seront implantés à Matane, à Alma, à La Malbaie, à Shawinigan, à Lac-Mégantic, à Maniwaki, à La Sarre, à Baie-Comeau, à Gaspé, à New Richmond, à Thetford Mines, à Rawdon, à Rivière-Rouge, à Sorel-Tracy et à Victoriaville. D’autres pourront s’ajouter, au fil des ans, selon les besoins des organisations gouvernementales.

« Je suis fier d’affirmer que nous remplissons une de nos grandes promesses pour les régions. En 2018, on s’était engagé à transférer, sur 10 ans, 5 000 emplois de la fonction publique de Québec et Montréal vers les régions. Aujourd’hui, je suis très fier de vous dire qu’on va livrer la marchandise. C’est une autre promesse tenue! Au total, on va donc avoir transféré au moins 5000 postes d’ici le 30 septembre 2028, dont au moins 2 000 d’ici le 30 septembre 2022. Ça va nous donner un levier de plus pour créer des emplois de qualité dans les régions qui en ont le plus besoin. Ça va inciter nos jeunes à rester en région. Ça va permettre d’attirer des nouvelles familles dans des plus petites municipalités et de faire rouler l’économie de la place. C’est pour ça qu’on va prioriser les MRC qui ont un indice de vitalité économique moins élevé. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Le développement économique régional a toujours été une priorité pour notre gouvernement. C’est pourquoi je suis fière d’annoncer ce plan, car il contribuera à revitaliser nos régions, partout au Québec. Grâce à ces emplois, les régions plus éloignées des grands centres pourront accueillir de nouveaux travailleurs, mais aussi des familles. Ainsi, avec la présence plus importante du personnel de l’État dans les régions, la fonction publique améliore de façon considérable la vitalité de celles qui en ont le plus besoin et, donc, contribue à l’essor économique de l’ensemble du Québec. »

Sonia LeBel, ministre responsable de l’Administration gouvernementale et présidente
du Conseil du trésor

« J’applaudis ce plan de régionalisation qui sera bénéfique pour l’ensemble du territoire de la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau! Je suis fier de faire partie d’un gouvernement qui met tout en œuvre pour soutenir l’économie de nos régions. Ces investissements reflètent également notre ferme intention d’améliorer la qualité de vie de la population de notre région. »

Robert Bussière, député de Gatineau

Fait saillant :

  • Le premier ministre avait pris l’engagement lors du congrès de la Fédération québécoise des municipalités, en 2018, de transférer 5 000 postes en région d’ici 2028. Cet engagement faisait écho à la demande de la Fédération.

Lien connexe :
www.quebec.ca/regionalisation-emplois

100 M$ dans un fonds d’investissement pour aider les inventeurs d’ici


 Publié le 23 février 2022

Le gouvernement du Québec injecte, par l’entremise d’Investissement Québec, un montant maximal de 100 millions de dollars pour appuyer la création du fonds d’investissement Eurêka SEC. Ce nouveau fonds sera actif au stade de préamorçage et soutiendra la commercialisation des innovations issues de la recherche publique québécoise dans tous les secteurs d’activité.

Le ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional, M. Pierre Fitzgibbon, en a fait l’annonce aujourd’hui.

Ce fonds d’investissement vise : 

  • à stimuler la commercialisation des innovations provenant de la recherche publique en investissant dans de nouvelles entreprises technologiques;
  • à financer et à accompagner une nouvelle génération d’entrepreneurs;
  • à attirer d’autres investisseurs au stade du préamorçage et à s’assurer que le capital du gouvernement a un effet de levier pour réaliser des co-investissements;
  • à favoriser le maillage entre les entreprises évoluant en recherche publique, les fonds de capital de risque et les organismes d’accompagnement. L’objectif : permettre aux entreprises d’accélérer leur développement et de franchir les jalons critiques menant à la commercialisation, des facteurs importants pour les investisseurs aux stades de l’amorçage et du démarrage.

Le fonds Eurêka sera géré par Investissement Québec. La société d’État réalisera des investissements principalement par l’entremise de prises de participation dans des fonds de capital de risque et d’ententes de co-investissement sous forme de mandats de gestion avec des partenaires de l’écosystème de financement.

Le fonds collaborera étroitement avec Axelys, la société de développement et de transfert d’innovations du Québec. Cette dernière jouera un rôle important dans le succès de l’initiative, d’une part, en confiant à Eurêka des projets à haut potentiel et, d’autre part, grâce à son offre de services d’accompagnement en développement d’affaires, en gestion de la propriété intellectuelle québécoise et en transfert de l’innovation.

« L’innovation est la clé de la croissance économique du Québec. On doit profiter de notre talent en recherche pour créer plus de nouvelles entreprises technologiques. En investissant dans les premières étapes de la vie de ces entreprises et en attirant des investisseurs privés, le fonds Eurêka nous permettra d’accompagner nos innovations du laboratoire au marché. Nous contribuerons à l’émergence de plus de jeunes pousses innovantes et au rayonnement de nos produits et de notre savoir-faire partout dans le monde. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

« La création du fonds d’investissement Eurêka permettra d’amplifier le soutien aux jeunes entreprises scientifiques québécoises dans la phase critique de préamorçage. À ce stade, le risque de développement technologique est encore très élevé, puisqu’on doit mettre à l’échelle et industrialiser la technologie. Grâce au fonds Eurêka, le gouvernement donnera confiance en l’avenir aux entrepreneurs scientifiques et leur fournira les moyens nécessaires pour bien gérer ce risque et accélérer le passage à l’étape de commercialisation. Avec des entreprises scientifiques fortes, c’est le Québec entier qui gagnera en se plaçant à l’avant-garde de l’économie de demain. Je me réjouis à l’avance d’amorcer et d’accompagner des projets ambitieux d’entreprises scientifiques pour contribuer à maximiser les retombées de la recherche publique. »

Paule De Blois, présidente-directrice générale de Axelys

« Comme mandataire du gouvernement du Québec, notre société d’État est fière d’avoir piloté la mise en place de ce véhicule financier, qui contribuera activement à l’émergence d’idées et d’entreprises prometteuses. Il s’agit d’un exemple concret du rôle que souhaite jouer Investissement Québec, soit celui de fédérer les acteurs de l’écosystème en capital de risque, afin de pallier les carences dans la chaîne des capitaux et de soutenir le développement de nos secteurs stratégiques pour favoriser une économie durable et porteuse dans l’ensemble des régions. »

Guy LeBlanc, président-directeur général d’Investissement Québec

Faits saillants :

  • Le fonds d’investissement Eurêka  aura une durée de vie de vingt ans et sera doté d’une capitalisation de 100 millions de dollars, comme prévu au budget 2020-2021.
  • Axelys  a été créée par le gouvernement du Québec le 1er avril 2021. Sa mission : contribuer à la prospérité économique et sociale du Québec en accélérant le développement et le transfert d’innovations à haut potentiel provenant de la recherche publique. Elle contribue notamment à la création d’entreprises scientifiques issues de ce milieu.
  • Le gouvernement du Québec élabore actuellement la prochaine Stratégie québécoise de la recherche et de l’innovation. Celle-ci vise plusieurs objectifs, notamment de stimuler davantage l’innovation, d’accroître le passage de l’idée au marché, d’attirer des investissements privés et étrangers ainsi que de favoriser une croissance économique propre et durable.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Axelys sur les réseaux sociaux :

Investissement Québec sur les réseaux sociaux :

Retrait du port du masque au primaire et secondaire


 Publié le 22 février 2022

À la suite d’une recommandation de la Santé publique, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, et le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, annoncent des allègements concernant le port du masque d’intervention en milieu scolaire pour les élèves de l’enseignement primaire et secondaire.

Ainsi, à compter du lundi 7 mars, les élèves n’auront plus à porter le masque lorsqu’ils sont assis en classe. Cet assouplissement est rendu possible en raison de l’évolution favorable de la situation épidémiologique au Québec.

Notons que le port du masque demeurera pour l’instant obligatoire dans les aires communes, lors des déplacements des élèves ainsi que dans les transports scolaires. Pour les élèves de l’éducation préscolaire, le masque n’est requis que dans les transports scolaires multiniveaux, c’est-à-dire dans les autobus ou les berlines transportant des élèves de niveaux scolaires différents.

« Dans la continuité du déconfinement qui s’est amorcé il y a quelques semaines, nous sommes très heureux de confirmer que le port du masque ne sera plus obligatoire en classe très bientôt. La situation s’améliore et cela se reflète également en milieu scolaire. Les différentes mesures en place contribuent à offrir un environnement sécuritaire pour les élèves et le personnel. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

« Nos élèves du primaire et du secondaire ont démontré beaucoup de résilience afin de limiter les risques de propagation du virus au cours des derniers mois. Le personnel scolaire a dû faire preuve d’imagination, d’ajustements et soutenir nos élèves et leurs parents de façon incroyable. Le retrait du masque en classe est un pas de plus pour retrouver le plaisir d’être à l’école, pour retrouver le plaisir d’enseigner. Aujourd’hui, je tiens à nouveau à vous lever mon chapeau. »

Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation

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Pour en savoir plus sur les mesures en vigueur, consulter Québec.ca/coronavirus .

100 000e place en centre de la petite enfance


 Publié le 21 février 2022
Source : édit photo : Patrick Deslandes

Dans la foulée des 25 ans d’existence du réseau des services de garde éducatifs à l’enfance, le ministre de la Famille, M.Mathieu Lacombe, est fier d’annoncer aujourd’hui qu’une 100 000e place en centre de la petite enfance (CPE) a été mise sous permis au CPE Le petit monde de Caliméro, à Saint-Jean-sur-Richelieu. Le ministre a pris part à l’inauguration de cette nouvelle installation avec le député de Saint-Jean et adjoint parlementaire de la ministre de la Culture et des Communications (volet communications), M. Louis Lemieux.

L’installation, située à Saint-Jean-sur-Richelieu, offre 67 nouvelles places, dont 15 pour poupons. Elle ouvre ses portes aujourd’hui même.

Créés il y a 25 ans, les CPE font partie du réseau des services de garde éducatifs à l’enfance, qui offre au total plus de 283 000 places aux familles québécoises et qui fait office de modèle au pays et dans le monde. Les CPE reposent sur un modèle à but non lucratif ou coopératif impliquant les parents utilisateurs, qui doivent prendre une place importante au sein du conseil d’administration. Au cours des années, ce mode de contribution a notamment permis à de nombreuses femmes de retourner sur le marché du travail et aux familles du Québec de profiter de services de garde de qualité pour le développement des tout-petits.

Rappelons que le ministre Mathieu Lacombe a lancé en octobre dernier le Grand chantier pour les familles, dont l’objectif est de faire en sorte que chaque enfant puisse avoir accès à une place rapidement dans le réseau des services de garde éducatif à l’enfance, que ce soit en installation ou encore en milieu familial.

Il s’agit du plan le plus ambitieux depuis la création du réseau, qui prévoit que les 37 000 places subventionnées nécessaires pour que chaque enfant ait une place verront le jour d’ici 2025. Le projet de loi no 1 déposé par le ministre Lacombe est à l’étude présentement et permettra de moderniser le réseau.  

« Cette inauguration est symbolique, parce que parmi les 67 nouvelles places offertes dans ce CPE se trouve la 100 000e place créée en centre de la petite enfance depuis l’instauration de ce modèle, il y a 25 ans. C’est un moment important dans l’histoire de notre réseau unique des services de garde éducatifs à l’enfance, qui fait notre fierté et qui est reconnu à travers le monde. L’ambitieux plan que j’ai déposé en octobre dernier va nous permettre de continuer à inaugurer des installations comme celle où on se trouve aujourd’hui, grâce au travail remarquable de gens passionnés sur le terrain. C’est en ce sens que nous investissons nos efforts dans le Grand chantier pour les familles. Nous travaillons pour compléter le réseau d’ici 2025, pour que tous les enfants puissent profiter des meilleures conditions possible pour grandir et s’épanouir auprès d’éducatrices et d’éducateurs compétents qui ont à cœur leur développement global. On va le faire en travaillant avec tous les acteurs de notre grand réseau, notamment les CPE. Je tiens à remercier et surtout à féliciter toute l’équipe du CPE Le petit monde de Caliméro, où les enfants de toute la région pourront développer leur plein potentiel dans un environnement de qualité. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de l’Outaouais

« Cette inauguration est une très bonne nouvelle pour notre région. Je me sens très privilégié du fait que la 100 000e place en centre de la petite enfance est inaugurée ici, dans la belle circonscription de Saint-Jean. Ces nouvelles places permettront à plus de parents de contribuer à la vitalité économique de Saint-Jean-sur-Richelieu en sachant leurs enfants entre de bonnes mains. Nous avons besoin de ces services de qualité pour nos familles. »

Louis Lemieux, député de Saint-Jean et adjoint parlementaire de la ministre de la Culture et des Communications (volet communications)

« L’enfant a un pouvoir que nous n’avons pas, soit celui de bâtir demain, disait Maria Montessori. Plusieurs personnes de cœur ont investi temps et énergie dans l’implantation cette nouvelle installation pour offrir ce demain aux enfants. Notre partenariat innovateur avec le Carrefour jeunesse-emploi nous permet d’être encore plus proactifs dans la collectivité et de faire rayonner ses membres. C’est avec grande fierté que nous y contribuons afin de répondre aux besoins de la communauté et d’accueillir la diversité, point d’ancrage de notre plateforme pédagogique. »

Isabelle Brodeur, directrice générale du CPE Le petit monde de Caliméro

Faits saillants :

  • Cette nouvelle installation du CPE Le petit monde de Caliméro est issue de l’appel de projets de 2013.
  • L’installation, située à Saint-Jean-sur-Richelieu, offre 67 nouvelles places, dont 15 pour poupons. Les locaux de la nouvelle installation sont intégrés au bâtiment du Carrefour jeunesse-emploi comtés Iberville/Saint-Jean.
  • Le gouvernement du Québec a investi plus de 455 000 $ pour permettre la réalisation de ce projet.
  • Le CPE Le petit monde de Caliméro compte aussi deux autres installations, l’une de 29 places à Saint-Jean-sur-Richelieu ainsi qu’une de 60 places, dont 10 pour poupons, à Lacolle. Ce CPE est également responsable d’un bureau coordonnateur de 636 places en milieu familial.
  • Le CPE Le petit monde de Caliméro est aussi en train de réaliser un projet de 34 places, dont 10 pour poupons, pour son installation de Lacolle. Ce projet est issu de l’appel de projets en continu.
  • À terme, le CPE pourrait offrir 190 places, dont 35 pour poupons.
  • Créé en 1997, le modèle des centres de la petite enfance célèbre cette année ses 25 ans d’existence.
  • Il fait partie intégrante du réseau des services de garde éducatifs à l’enfance qui offre plus de 283 000 places aux enfants québécois.

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Près de 60 M$ pour le milieu culturel


 Publié le 17 février 2022

La ministre de la Culture et des Communications, Mme Nathalie Roy, annonce une somme additionnelle de 58,5 M$ pour assurer une relance forte et pérenne du milieu de la culture, dans le cadre du Plan de relance économique du milieu culturel.

Cet investissement vise à soutenir directement les artistes, artisans, producteurs et diffuseurs québécois alors que le milieu culturel a connu des difficultés importantes, notamment en raison des récentes fermetures.

Cette somme permettra notamment :

  • de bonifier le Fonds d’urgence pour les artistes et travailleurs culturels des arts de la scène, géré par la Fondation des artistes. L’objectif de cette mesure est de fournir une aide directe, rapide et adaptée à ceux qui vivent des difficultés importantes;
  • de bonifier l’aide accordée à des salles de cinéma et à des distributeurs de films ainsi qu’à reconduire le programme d’aide au projet de relance culturelle. Celui-ci s’adresse entre autres aux festivals, aux producteurs de spectacles et aux salles de spectacles. Essentiellement, la mesure permet aux entreprises culturelles de poursuivre leurs activités de production et de diffusion en les adaptant, les reconfigurant ou en en créant de nouvelles. Cela a permis, notamment, la captation et la diffusion de spectacles d’artistes québécois, tel que Tire le coyote et plusieurs autres;
  • de poursuivre la Mesure particulière à la diffusion de spectacles québécois jusqu’au 31 mars prochain. Ce programme a permis de compenser les diffuseurs pour une partie des pertes de revenus liées à la pandémie;
  • de permettre la poursuite des activités de production du petit et du grand écran des diffuseurs québécois. En assumant des coûts additionnels engendrés par les mesures sanitaires, cette disposition a permis la tenue de nombreux tournages de séries et de films québécois depuis le début de la crise. Pensons notamment à Au revoir le bonheur, L’arracheuse de tempsC’est comme ça que je t’aime et District 31.

Avec ce nouvel investissement, le gouvernement du Québec a injecté près de 830 M$ dans le Plan de relance économique du milieu culturel pour aider tous les artistes, les artisans, les entreprises et les organismes du milieu culturel à passer à travers cette crise sans précédent et pour assurer une relance durable des activités.

« Au plus fort de la crise, notre gouvernement a déployé tous ses efforts pour soutenir les artisans du milieu culturel, les organismes et les entreprises qui ont été particulièrement affectés par la situation. Le feu vert de la Santé publique nous permet désormais de nous tourner vers l’avenir et de préparer une reprise des activités forte et durable. Avec cet investissement majeur, notre gouvernement assure la relance de notre importante industrie culturelle et investit directement dans les activités de nos artistes et de nos artisans affectés par la crise. Jamais un gouvernement n’a autant investi, écouté ni soutenu le milieu culturel! »

Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications

Faits saillants

  • L’investissement de 58,5 M$ se décline ainsi :
    • 2 M$ sont versés dans le Fonds d’urgence pour les artistes et travailleurs culturels des arts de la scène, géré par la Fondation des artistes;
    • 6,5 M$ sont octroyés à la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), une société d’État sous la responsabilité de la ministre de la Culture et des Communications, pour son programme d’aide au projet de relance culturelle;
    • 12 M$ sont octroyés au Conseil des arts et des lettres du Québec, une société d’État sous la responsabilité de la ministre de la Culture et des Communications, pour reconduire la Mesure particulière à la diffusion de spectacles québécois, jusqu’au 31 mars 2022;
    • 38 M$ sont transférés à la SODEC pour permettre la poursuite des activités de productions du petit et du grand écran.

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