1,35 M $ par année à l’UQAR


 Publié le 20 avril 2022

 Afin d’offrir une meilleure accessibilité à la formation universitaire en région et pour combler les besoins de main-d’œuvre prioritaires, le premier ministre du Québec, M. François Legault, accompagné du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine, M. Jonatan Julien, a annoncé aujourd’hui une aide financière totale de 1,35 million de dollars par année à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) pour développer une antenne universitaire dans la région de la Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine.

L’antenne permettra à l’UQAR d’offrir des cours universitaires dans les trois campus du Cégep de la Gaspésie et des Îles, soit à Gaspé, à Carleton-sur-Mer et aux Îles-de-la-Madeleine. Ainsi, les étudiantes et étudiants désirant poursuivre une formation universitaire en sciences de la gestion, en sciences infirmières, en travail social et en éducation, soit les quatre domaines de formation ciblés pour le moment et dont trois s’inscrivent dans les domaines prioritaires définis dans l’Opération main-d’œuvre, pourront le faire dans leur région. Il est aussi prévu que l’UQAR développe une offre de formation destinée aux entreprises, en plus d’intensifier ses activités de recherche en Gaspésie.

« Nous allons investir 1,35 million de dollars par année pour que l’UQAR offre des programmes en continu en Gaspésie et aux Îles, avec des professeurs sur place. Cela permettra de mieux structurer les programmes et d’assurer une stabilité dans le démarrage de nouvelles cohortes. Ainsi, un jeune pourra s’inscrire au programme de son choix sans craindre qu’il ne soit pas offert parce qu’il n’y a pas assez d’inscriptions. Les cours vont se faire en personne dans les installations du Cégep, ici aux Îles, à Gaspé, à Carleton-sur-Mer et à Grande-Rivière. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Depuis des générations, les Madelinots et les Gaspésiens qui veulent poursuivre des études supérieures doivent s’expatrier. La création de l’antenne universitaire donne aux gens de la région la possibilité de compléter leur parcours de formation chez eux et de se trouver un emploi localement. En plus des grandes avancées qu’a connues le bilan migratoire ces dernières années, cette solution aidera à renverser la tendance une bonne fois pour toutes. C’est une excellente nouvelle pour la région et pour les bâtisseurs qui continueront de la faire croître. »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

« L’annonce d’aujourd’hui offre une solution alternative supplémentaire de taille aux membres de la communauté étudiante gaspésienne et madelinienne qui songent à poursuivre leurs études universitaires, soit la possibilité de le faire dans leur magnifique région. Je suis très fière que le Québec puisse compter sur des partenaires comme l’UQAR et le Pôle régional de l’Est-du-Québec en enseignement supérieur. L’accessibilité à l’enseignement supérieur en région est un facteur de développement incontournable pour le Québec et nous devons tous contribuer à la favoriser. »

Danielle McCann, ministre de l’Enseignement supérieur

« Depuis sa création, l’UQAR a pour mission d’offrir de la formation universitaire accessible au plus grand nombre de personnes dans l’Est-du-Québec. Une telle offre à proximité contribue à attirer de nouvelles personnes, à en retenir qui auraient dû quitter la région pour étudier et, ultimement, à favoriser la présence d’un plus grand nombre de personnes détenant un diplôme universitaire. La création de cette antenne, en étroite collaboration avec le Cégep de la Gaspésie et des Îles, se traduira par une présence universitaire réelle et permanente qui contribuera à améliorer l’offre, tant en matière de formation et de recherche que de services à la collectivité. Je tiens par ailleurs à remercier tous nos partenaires, sans lesquels ce projet n’aurait pu devenir réalité. »

François Deschênes, recteur de l’Université du Québec à Rimouski 

Faits saillants :

  • Le gouvernement du Québec accorde 1,35 million de dollars par année à l’UQAR pour qu’elle puisse s’établir de façon permanente dans la région de la Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine.
  • Quatre domaines d’études universitaires sont ciblés :
    • Sciences de la gestion;
    • Sciences infirmières;
    • Travail social;
    • Éducation (éducation préscolaire et enseignement primaire).
  • Rappelons qu’au printemps 2021, le gouvernement du Québec a accordé une aide financière de 750 000 $ à l’UQAR afin de développer une antenne universitaire à Baie-Comeau.

Liens connexes :

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Transport aérien régional : des vols à 500 $ et moins


 Publié le 19 avril 2022
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Le gouvernement du Québec est fier de dévoiler son nouveau plan québécois de transport aérien régional qui permettra notamment à la population de se procurer, dès cet été, des billets d’avion à un maximum de 500 $ l’aller-retour à destination de plusieurs régions du Québec. Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, a confirmé aujourd’hui un investissement de 261 M$ pour les cinq prochaines années.

Pour cette importante annonce, il était accompagné de la ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent, Mme Caroline Proulx, du maire de la municipalité de Sainte-Catherine-de-Hatley et président de la Fédération québécoise des municipalités, M. Jacques Demers, et du maire de Rimouski et représentant de la région du Bas-Saint-Laurent au sein de l’Union des municipalités du Québec, M. Guy Caron.

Un plan en deux volets

Le gouvernement du Québec procédera d’abord au renouvellement des programmes d’aide d’urgence existants. En effet, ceux-ci seront prolongés jusqu’au 31 mars 2023 afin de soutenir les transporteurs aériens régionaux et les administrations aéroportuaires.

Pour la deuxième phase, qui vise à offrir à la population de meilleurs tarifs pour des vols à l’intérieur du Québec, le gouvernement versera une compensation financière aux transporteurs admissibles. Ces derniers rendront disponibles des billets à un tarif maximal de 500 $ l’aller-retour. Le programme sera en vigueur dès cet été.

De plus, les résidentes et résidents des régions éloignées et isolées qui sont déjà admissibles à l’actuel Programme de réduction des tarifs aériens (PRTA) bénéficieront d’ajustements. Ainsi, l’aide maximale annuelle par personne sera abolie, ce qui aura pour effet de ne plus limiter leurs déplacements. Finalement, un soutien financier gouvernemental sera proposé afin d’assurer une fréquence minimale des vols vers les régions isolées. Une entente pourra être conclue avec certains transporteurs de manière à offrir une desserte adéquate aux destinations desservies par un seul transporteur ou dont le niveau de service est jugé insuffisant.

« Notre gouvernement croit que l’accès aux régions du Québec est essentiel pour leur vitalité économique. Le transport aérien en région est un enjeu complexe sur lequel les gouvernements précédents n’ont jamais voulu se pencher. Pour nous, c’était un incontournable pour qu’enfin, les Québécoises et Québécois aient accès à des vols abordables. Je suis fier de dire que nous y sommes parvenus. Grâce au soutien que nous annonçons aujourd’hui, nous démontrons de nouveau notre engagement pour une industrie aérienne dynamique et des régions fières. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie

« Nous avons le privilège de vivre au Québec, une destination touristique incroyable, qui devient d’autant plus attirante avec ce tout nouveau plan québécois de transport aérien régional. Grâce à celui-ci, nous ouvrons encore plus grande la porte à l’ensemble des régions du Québec et à leurs attraits. Comme jamais auparavant, les Québécoises et Québécois ont redécouvert leur Québec, et avec l’offre de billets à 500 $ que nous annonçons aujourd’hui, ils pourront profiter encore plus de l’incroyable diversité et de la richesse des expériences touristiques offertes ici, chez nous. »

Caroline Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent

Faits saillants

  • Lors de la première année, une somme de 61 M$ sera consacrée au déploiement complet du plan.
  • La population du Nunavik dispose de ses propres mesures visant à rendre plus abordable le transport aérien : le programme IIaujuq et le Programme de réduction des tarifs aériens de l’Administration régionale Kativik (ARK). Elle pourra également bénéficier des mesures du Plan québécois de transport aérien régional qui concernent la réduction du coût des billets d’avion si elle voyage sur les liaisons visées.

Merci M. Tardif


 Publié le 15 avril 2022

Le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata à l’Assemblée nationale, Denis Tardif, annonce aujourd’hui qu’il ne sollicitera pas un second mandat l’automne prochain. « En 2018, je suis allé cogner à chacune des 7 000 portes de notre belle circonscription. Je voulais être à l’écoute de notre monde. Ce fut ma base pour mener à bien mon mandat à l’Assemblée nationale. Je suis fier du chemin parcouru ».  

Les enjeux du comté, il les connaissait par cœur. Il avait un objectif très clair : répondre aux aspirations de la population : « Pensons à l’importance de compléter les travaux de l’autoroute Claude-Béchard. C’est maintenant chose faite à l’avantage de la sécurité des utilisateurs ». Avec ses collègues ministres, il a pris les moyens pour améliorer la qualité de vie de chacun dans ce qu’il qualifie de la plus belle région du Québec : la construction de la plus grande maison des aînés au Bas-Saint-Laurent, la construction d’une résidence pour aînés à L’Isle-Verte, une toute nouvelle école à Rivière-du-Loup, le financement des deux traversiers privés : l’Héritage à Trois-Pistoles et le Corégone à Témiscouata-sur-le-Lac.

En santé, le député a obtenu l’ajout de chaises en hémodialyse au GHRGP. Parmi l’amélioration   d’infrastructures sportives et de loisirs, il y a la rénovation de la piscine régionale des Basques, le camping de la plage à Pohénégamook et l’ajout du financement pour la réalisation des Jeux du Québec au profit du comité de Rivière-du-Loup. « Ce fut un mandat rempli de vraies belles annonces dans toutes les municipalités. Mon équipe et moi avons été à l’œuvre en permanence pour bien représenter la circonscription et livrer la marchandise.  C’est ce que nous avons fait en annonçant 241 nouvelles places en CPE. Il s’agit d’un grand pas dans la bonne direction pour améliorer notre milieu de vie ».

Le député Denis Tardif aurait souhaité poursuivre sur cette lancée, mais son état de santé est venu mettre un frein à cet élan. « Malheureusement, ma condition ne me permet pas de repartir pour un autre 4 ans. C’est une situation qui me joue des tours depuis plusieurs années. J’ai tout donné et maintenant, je dois prendre du recul pour récupérer. En conséquence, je préfère ne pas solliciter un nouveau mandat. Ce fut un grand privilège de porter votre voix à l’Assemblée nationale et je vous remercie encore pour votre collaboration au cours des dernières années ».

À l’annonce de son départ, monsieur Tardif tient à remercier l’ensemble de la population. « Merci aux citoyennes et aux citoyens des MRC de Rivière-du-Loup, du Témiscouata et des Basques. Je souligne la présence constante et le soutien des gens d’affaires tout au long de mon mandat. Je félicite aussi les organismes communautaires et les nombreux bénévoles qui donnent de leur temps. Ce sont les forces vives de nos communautés ».

Le député remercie chaleureusement son équipe qui est constamment à l’écoute des citoyens, des organismes et des municipalités de la circonscription depuis le tout début.

Le premier ministre du Québec, François Legault, tient à saluer le travail et l’engagement de Denis Tardif. « Je le remercie d’avoir été à nos côtés pour la campagne de 2018. Nous avions besoin d’un homme d’expérience comme lui pour amorcer le changement dont le Québec avait besoin. Il a été un député dévoué à faire avancer les dossiers de sa circonscription. Merci pour tout Denis! »

Une nouvelle certification pour les produits québécois


 Publié le 14 avril 2022

Les consommateurs québécois pourront dorénavant identifier les produits fabriqués et conçus au Québec grâce aux nouvelles marques de certification Produits du Québec, dévoilées par le gouvernement. Celles-ci seront apposées selon trois catégories : Produit du Québec, Fabriqué au Québec et Conçu au Québec.

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, en a fait l’annonce aujourd’hui en compagnie de la ministre déléguée à l’Économie, Mme Lucie Lecours, et du député de Mégantic et adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation (volet affaires municipales), M. François Jacques.

Ces nouvelles marques de certification s’inscrivent dans la vision économique du gouvernement en faveur de l’achat québécois. Grâce à des visuels simples à reconnaître, la population pourra facilement identifier les produits faits ici. Cette initiative répond ainsi à la volonté des consommateurs, qui sont de plus en plus nombreux à vouloir s’approvisionner en produits locaux.

L’organisme sans but lucratif Les Produits du Québec a mis en place un processus rigoureux d’identification des différents produits que proposeront les entreprises québécoises.

Pour la première étape, un appel est lancé aux entreprises qui souhaitent apposer l’une ou l’autre de ces marques distinctives sur leurs produits. Le cas échéant, elles doivent remplir et soumettre un formulaire d’intérêt sur le site Les Produits du Québec – Encourager notre économie et reconnaître le savoir-faire québécois . Les consommateurs retrouveront les nouveaux logos sur leurs produits favoris d’ici l’automne prochain.

« On va maintenant avoir des logos avec la fleur de lys facilement identifiables. Ça va permettre aux Québécois de trouver en un coup d’œil les produits locaux sur les tablettes et favoriser l’achat auprès de nos entreprises. Quand on les encourage, on crée de la richesse pour nos entrepreneurs et nos travailleurs et, en même temps, on rend tous les citoyens fiers. C’est ce qu’on vise : plus de prospérité et de fierté pour notre nation. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Les Québécois veulent acheter des produits fabriqués et conçus ici, mais ils doivent d’abord pouvoir les identifier. Avec la nouvelle famille de marques de certification, on leur donne finalement un outil pour le faire. J’invite les entreprises à arborer fièrement ces nouveaux logos pour qu’on puisse tous privilégier l’achat local. »

Lucie Lecours, ministre déléguée à l’Économie

« En Estrie comme partout au Québec, de nombreuses PME mettent en valeur notre savoir-faire et nos produits. Avec ces nouvelles marques de certification, nous offrons un point de repère de confiance aux consommateurs pour qu’ils puissent encourager davantage les entreprises qui participent à l’autonomie du Québec et au rayonnement de l’entrepreneuriat dans nos régions. »

François Jacques, député de Mégantic et adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation (volet affaires municipales)

« L’achat québécois peut faire toute la différence pour nos commerçants. On doit donc être en mesure de reconnaître les produits locaux afin d’en prioriser l’achat. Quand on achète des produits d’ici, c’est tout le Québec qui y gagne. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

Faits saillants :

  • Un produit du Québec est un produit manufacturé dont au moins 85 % des coûts directs liés à l’achat d’intrants, y compris les matières premières, à leur transformation et à leur assemblage sont réalisés au Québec. La dernière transformation substantielle doit également être effectuée au Québec.
  • Un produit fabriqué au Québec est un produit manufacturé dont la dernière transformation substantielle est effectuée au Québec. La transformation substantielle représente un changement fondamental de fonction, de caractère ou de nature, réalisé habituellement par un processus de traitement ou de fabrication, et qui confère au produit ses caractéristiques essentielles.
  • Un produit conçu au Québec est un produit manufacturé dont la main-d’œuvre affectée aux activités de design et de conception est entièrement localisée au Québec.
  • La famille de marques de certification Produits du Québec ne s’appliquera pas aux boissons et aux produits alimentaires destinés à la consommation humaine, pour lesquels les logos Aliments du Québec et Aliments préparés au Québec, ainsi que leurs déclinaisons, demeureront la référence. Il en va de même pour les logos Origine Québec, Préparé au Québec et Embouteillé au Québec, qui demeureront la référence pour les produits de la Société des alcools du Québec.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Des milieux familiaux sous un même toit


 Publié le 14 avril 2022

Dans la foulée des objectifs fixés par le Grand chantier pour les familles, et toujours dans le but de compléter le réseau des services de garde éducatifs à l’enfance (SGEE) le plus rapidement possible, le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe, lance aujourd’hui des projets-pilotes spécialement conçus pour la garde en milieu familial. Ce type de projet ouvre la porte aux personnes responsables de services de garde en milieu familial (RSG) qui pourront explorer de nouvelles formules de garde, complémentaires à celles actuellement offertes dans le réseau des SGEE. Par cette initiative innovante, le gouvernement montre qu’il met tout en œuvre pour répondre promptement aux besoins des familles du Québec, en leur offrant des milieux de garde flexibles, de qualité et adaptés à leur réalité.

Tout en conservant les principaux avantages de la garde en milieu familial, soit un environnement convivial, stable, composé d’enfants d’âges différents et qui rappelle à ceux-ci leur propre milieu de vie, tous les bureaux coordonnateurs de la garde en milieu familial (BC) du Québec auront la possibilité de déposer des projets-pilotes qui pourraient prendre différentes formes pour répondre aux besoins des communautés et des familles. Par exemple :

  • Une personne responsable d’un service de garde pourrait offrir ses services à l’intérieur d’un local fourni par un partenaire de la communauté (situé dans un édifice municipal, un milieu de travail, un milieu scolaire, un établissement du réseau de la santé, un organisme communautaire, etc.);
  • Un partenariat pourrait être créé entre deux personnes responsables d’un service de garde qui travailleraient ensemble dans un local qu’elles auraient trouvé ou qui serait fourni par un partenaire de la communauté;
  • Un partenariat pourrait être créé entre quatre personnes responsables d’un service de garde selon des horaires partagés dans un local fourni par la communauté, à raison de deux RSG par période de garde, notamment pour permettre une offre de garde à horaires atypiques.

L’idée de la mise en place de ce type de projets pilotes novateurs découle, entre autres, des consultations sur l’avenir du réseau des SGEE qui ont eu lieu au printemps 2021.

« Lors du lancement du Grand chantier en octobre dernier, notre gouvernement s’est engagé à ce que chaque enfant puisse avoir une place d’ici mars 2025, et ce, le plus rapidement possible. Pour y arriver, nous devons sortir des sentiers battus, notamment en mettant de l’avant une variété d’outils et de mesures pour favoriser la rétention et le recrutement de RSG. Je suis donc très fier de cette annonce parce qu’elle démontre toute la créativité de nos équipes sur le terrain et la volonté du Ministère de mettre en œuvre rapidement des actions concrètes. Ces solutions amélioreront le quotidien de nos tout-petits, de leurs parents ainsi que de leurs éducatrices et de leurs éducateurs. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Famille

« Ce nouveau projet en milieu de garde arrive juste à temps dans notre municipalité pour combler un besoin urgent de 12 nouvelles places en garderie. Il va dans le même sens que notre vision municipale qui est d’attirer de nouvelles familles dans notre communauté, et nous sommes fiers que notre municipalité soit la première au Québec à offrir gratuitement un local dans notre édifice municipal. »

Daniel Caron, maire suppléant de Saint-Michel-du-Squatec, au nom de Bruno Malenfant, maire de la municipalité de Saint-Michel-du-Squatec

« Nous espérions cette avancée depuis plusieurs années au Témiscouata et c’est d’ailleurs pour cette raison que le CPE les Calinours a travaillé en partenariat avec le Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance pour que le ministère de la Famille nous offre enfin cette opportunité. Nous sommes très fiers d’être le premier CPE au Québec à démarrer ce nouveau modèle de service de garde, car il est le fruit d’un travail acharné et d’une importante concertation avec notre milieu municipal. L’annonce d’aujourd’hui nous permet d’espérer que chacun des parents de notre région pourra avoir sa place au travail. »

Denis Blais, directeur général du CPE les Calinours et maire de Témiscouata

« Le Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance est extrêmement fier d’avoir participé activement au développement de ce nouveau type de service de garde qui offrira des places aux familles du Québec, particulièrement dans les plus petites communautés où la construction d’une installation n’est pas possible. Le mandat de notre organisation sera maintenant d’en assurer l’évaluation et le suivi auprès des bureaux coordonnateurs participant au projet-pilote pour garantir sa pérennité. »

Francine Lessard, directrice générale du Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance

Faits saillants :

  • Le ministère de la Famille collaborera avec le Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance à l’évaluation de ces projets-pilotes et à l’accompagnement des BC dans la mise en œuvre de leurs projets.
  • Le Grand chantier pour les familles lancé en octobre dernier vise à faire en sorte que chaque enfant puisse avoir accès à une place dans le réseau des services de garde éducatif à l’enfance, que ce soit en installation ou encore en milieu familial. Il comporte six objectifs, dont celui de consolider la garde en milieu familial. Il s’agit du plan le plus ambitieux depuis la création du réseau, qui prévoit la création de 37 000 places subventionnées nécessaires pour compléter le réseau des SGEE d’ici 2025.

Liens connexes :

Pour connaître les détails de ce type de projet-pilote s’adressant aux bureaux coordonnateurs et aux responsables de services de garde en milieu familial, consultez : https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/services-de-garde/bc/Pages/projets-pilotes.aspx .

Pour obtenir davantage d’informations sur le Grand chantier pour compléter le réseau des services de garde éducatifs à l’enfance et sur le projet de loi modifiant la Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance afin d’améliorer l’accessibilité au réseau des services de garde éducatifs à l’enfance : https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/services-de-garde/developpement-du-reseau/grand-chantier-familles/Pages/index.aspx .

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Merci!


 Publié le 11 avril 2022

22 M$ pour l’Espace bleu de la Gaspésie


 Publié le 8 avril 2022

La ministre de la Culture et des Communications, Mme Nathalie Roy, a dévoilé officiellement aujourd’hui l’Espace bleu de la Gaspésie qui s’installera dans la villa Frederick-James, sur le mont Joli de Percé. L’investissement de près de 22 M$ permettra à la Gaspésie de mettre en valeur son histoire, son patrimoine et ses héros qui ont réalisé de grandes choses et fait briller le Québec.

La villa Frederick-James, construite en 1887, a été sélectionnée notamment pour son architecture emblématique, son histoire culturelle et la valeur patrimoniale du paysage du site déclaré de Percé. La ville est par ailleurs un important carrefour touristique de la région, ce qui constitue un atout majeur dans le choix de cet Espace bleu.

Des travaux préparatoires sont en cours. Le déplacement de la villa, hors de la zone d’érosion, est d’abord nécessaire. Des travaux de restauration patrimoniale, d’agrandissement en sous-sol et de mise aux normes seront ensuite réalisés. Le tout sera effectué en assurant une parfaite intégration des éléments dans le paysage protégé du site et en tout respect du patrimoine. Le bâtiment sera déplacé d’environ 19 mètres à partir de son emplacement actuel, ce qui assurera sa sauvegarde à long terme. L’angle et l’élévation de la villa seront préservés de façon à conserver les percées visuelles sur ce bâtiment iconique.

Le projet de l’Espace bleu de la Gaspésie affirme la volonté du gouvernement du Québec d’offrir un legs social, culturel et touristique qui profitera à l’ensemble des citoyens ainsi qu’aux générations futures. Il permet également la sauvegarde et la requalification de cette villa patrimoniale d’une grande valeur, fournissant ainsi aux Québécoises et Québécois l’occasion de se réapproprier et de réinvestir ce lieu propre à raconter leur histoire. Finalement, le déploiement du réseau des Espaces bleus constituera pour l’ensemble de la population québécoise une fenêtre sur son histoire et un projet porteur, qui fera rejaillir la fierté à la grandeur du Québec.

« C’est avec beaucoup de fierté que nous dévoilons aujourd’hui la création d’un troisième Espace bleu, cette fois dans la magnifique région de la Gaspésie. La sauvegarde de la villa Frederick-James, véritable joyau patrimonial, permettra aux générations futures de découvrir cet endroit unique et le point de vue sans pareil qu’il offre sur le golfe du Saint-Laurent. Ce lieu sera parfaitement intégré au réseau panquébécois que nous sommes en train de mettre sur pied, tout en conservant sa personnalité unique et un accent résolument gaspésien. Il constituera le vibrant témoignage de son héritage culturel, immobilier et paysager si riche. »

Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications

« La villa Frederick-James est un joyau du patrimoine bâti gaspésien et c’est pourquoi l’annonce de la création d’un Espace bleu à cet endroit est si réjouissante. Ce projet permettra de célébrer l’histoire et la culture québécoises et gaspésiennes tout en assurant la pérennité d’un emblème de la région. C’est un plaisir d’accueillir dans la région un site de ce nouveau réseau fièrement québécois.  »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

« Nous sommes très honorés de recevoir l’Espace bleu à Percé. L’ouverture de ce nouveau lieu patrimonial et culturel, qui sera ouvert à l’année, cadre exactement avec notre planification stratégique quatre saisons, sur laquelle nous travaillons depuis un certain temps. Le sauvetage de ce magnifique bâtiment centenaire est une chance inouïe que nous avons et nous la recevons à bras grands ouverts. »

Cathy Poirier, mairesse de Percé

Faits saillants

  • L’Espace bleu de la Gaspésie prendra place dans la villa Frederick-James, située à Percé.
  • Ce nouvel Espace bleu s’ajoute au pavillon Camille-Roy de la Cité du Séminaire de Québec, qui constituera la tête du réseau, et au Vieux-Palais d’Amos, qui deviendra l’Espace bleu de l’Abitibi-Témiscamingue.
  • La Société québécoise des infrastructures a été désignée pour assurer la gestion des travaux du projet de construction et d’aménagement de l’Espace bleu de la Gaspésie.
  • Le Musée de la civilisation collabore à la réalisation et au déploiement du réseau des Espaces bleus. Il assurera la conception des expositions et la supervision des contenus des Espaces bleus.

Électrification des autobus au Québec


 Publié le 7 avril 2022

Le premier ministre, M. François Legault, a annoncé aujourd’hui que le gouvernement du Québec accordera 22,65 millions de dollars à l’entreprise Prevost afin d’accélérer l’électrification des autobus au Québec. Il était accompagné pour l’occasion du ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional, M. Pierre Fitzgibbon, du ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. Benoit Charette, et de la députée de Bellechasse, Mme Stéphanie Lachance.

L’aide gouvernementale comprend un prêt maximal de 15,15 millions de dollars attribué par l’entremise d’Investissement Québec et une contribution financière non remboursable de 7,5 millions de dollars versée par le biais du Fonds d’électrification et de changements climatiques dans le cadre du Plan pour une économie verte 2030.

Ces sommes appuieront le développement d’un autobus 100 % électrique et d’un système capable de convertir des autobus à propulsion diesel en électrique, ce qui permettra d’allonger leur vie utile tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre (GES). Réalisé au coût de 84,3 millions de dollars d’ici 2026, ce projet créera 115 emplois au Québec et en consolidera plus de 650 autres.

« Ce projet est prometteur pour toute notre filière électrique. L’avenir de nos économies passe beaucoup par l’électrification. Et on a tout ce qu’il faut au Québec pour se positionner à l’avant-garde. On a tout ce qu’il faut pour être un leader de l’économie verte. C’est le temps d’investir pour bâtir un Québec plus prospère, un Québec plus vert, un Québec plus fier. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Notre gouvernement veut faire du Québec un pôle mondial de l’électrification des transports. On va développer une filière complète, de la transformation de nos minéraux jusqu’à la fabrication de véhicules électriques. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

« Nous sommes fiers de prendre part à la réussite de ce projet, dont la réalisation contribuera aux objectifs d’électrification des transports décrits dans le Plan pour une économie verte 2030. En favorisant le développement de produits innovants au sein de l’industrie des véhicules électriques, notre gouvernement montre qu’il est résolument engagé dans la transition climatique du Québec. » 

Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« La région de la Chaudière-Appalaches regroupe des centaines d’entreprises dynamiques comme Prevost sur l’ensemble de son territoire. Elles évoluent dans des secteurs d’activité variés et procurent des milliers d’emplois de qualité. À deux ans du centenaire de Prevost, je tiens à souligner le rôle majeur que l’entreprise joue dans l’essor économique de la région. Son projet de développement d’un autobus 100 % électrique engendrera, une fois de plus, des retombées importantes et la création de plusieurs emplois. »

Stéphanie Lachance, députée de Bellechasse et adjointe parlementaire du ministre de la Famille

« L’équipe d’Investissement Québec basée ici et à l’international a largement contribué à la concrétisation de cet important projet de croissance pour Prevost. Il s’agit d’une autre avancée pour faire du Québec un leader de l’électrification des transports et pour développer chez nous des expertises de pointe favorisant une économie durable et plus sobre en carbone. Cela se traduira par des retombées majeures pour nos régions et l’ensemble du Québec. »

Guy LeBlanc, président-directeur général d’Investissement Québec

« Nous sommes ravis de pouvoir compter sur l’appui du gouvernement du Québec. Le marché de l’autobus a hâte de contribuer à la lutte contre les changements climatiques, et Prevost est prête à participer à cette transformation globale en offrant une possibilité de motorisation électrique. Nous sommes à deux ans de souligner le 100e anniversaire de Prevost, alors quelle meilleure façon de célébrer que d’apporter des innovations durables sur le marché! »

François Tremblay, président de Prevost

Faits saillants :

  • Division de Groupe Volvo CanadaPrevost est un fabricant d’autocars haut de gamme et le constructeur de châssis le plus important en Amérique du Nord dans le segment des véhicules récréatifs de grand luxe. La division emploie 650 personnes au Québec.

·       Groupe Volvo Canada figure parmi les acteurs importants dans le développement et la commercialisation d’autobus urbains et d’autocars entièrement électriques au Québec.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Près de 235 000 $ au Salon international du livre de Québec


 Publié le 7 avril 2022

La ministre de la Culture et des Communications, Mme Nathalie Roy, annonce un investissement de 234 000 $ pour le Salon international du livre de Québec qui se déroule du 6 au 10 avril.

Le Salon revient en force cette année et permet à nouveau aux Québécoises et aux Québécois de célébrer la littérature d’ici. Un grand nombre d’activités sont proposées aux visiteurs, notamment des tables rondes et des ateliers de création, des expositions, l’Espace Pop-up jeunesse et l’Auteur.e Studio.

« Le Salon international du livre de Québec est une tribune reconnue pour la promotion de la lecture et cette dernière est primordiale pour notre gouvernement. Le livre, c’est une porte ouverte sur le monde qui nous entoure et un magnifique véhicule qui fait la promotion de notre culture. J’invite les Québécois à visiter ce salon dont la grande qualité et la réputation nous rendent fiers. »

Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications

« Ce printemps marque le retour dans notre capitale nationale du Salon international du livre de Québec. Cette manifestation culturelle d’envergure se positionne toujours parmi les rendez-vous incontournables et j’invite nos citoyens à venir y participer en grand nombre. Je remercie les auteurs, les créateurs, les libraires et les éditeurs qui continuent année après année à tenir cette grande et toujours mémorable célébration de la littérature québécoise dans notre région. »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale

Fait saillant

La Société de développement des entreprises culturelles, une société d’État relevant de la ministre de la Culture et des Communications, octroie au Salon la somme de 104 000 $ par le biais du programme d’aide aux salons du livre  et un montant de 130 000 $ par l’entremise du programme d’aide aux initiatives innovantes  (volet 2 : aide aux projets de relance culturelle).

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Lutte contre la maltraitance envers nos aînés


 Publié le 6 avril 2022

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, se réjouit de l’adoption du projet de loi no 101 visant à renforcer la lutte contre la maltraitance envers les aînés et toute autre personne majeure en situation de vulnérabilité ainsi que la surveillance de la qualité des services de santé et des services sociaux.

Le gouvernement envoie un message clair : aucune situation de maltraitance ne peut être tolérée. Il s’agit de protéger encore davantage les personnes aînées ainsi que les autres personnes majeures en situation de vulnérabilité, peu importe si elles se trouvent au sein du réseau de la santé et des services sociaux (RSSS) ou dans le réseau privé. Il prévoit également de nouveaux mécanismes de surveillance qui pourront être enclenchés dans le but d’assurer la qualité des services de santé et des services sociaux offerts dans différents milieux de vie.

Plus précisément, la Loi sera renforcée sur plusieurs plans, notamment par :

  • un élargissement de l’obligation de signaler un cas de maltraitance;
  • une clarification des rôles et des responsabilités des différents acteurs impliqués dans le cadre de l’application d’un processus d’intervention concerté;
  • l’institution d’un centre d’aide, d’évaluation et de référence concernant la maltraitance servant de porte d’entrée unique pour toute personne concernée par une situation de maltraitance envers une personne aînée ou une autre personne majeure en situation de vulnérabilité;
  • une optimisation de la reddition de comptes attendue des commissaires locaux aux plaintes et à la qualité des services pour obtenir un portrait plus détaillé des situations de maltraitance vécues dans différents milieux de vie;
  • l’ajout d’infractions pénales applicables notamment à l’égard de l’auteur d’un acte de maltraitance, en vue d’assurer la santé et la sécurité de nos proches les plus vulnérables;
  • l’administration provisoire appliquée lors de situations exceptionnelles dans certaines ressources intermédiaires ou ressources de type familial, les résidences privées pour aînés (RPA) et les établissements de santé et de services sociaux privés non conventionnés.

Également, les exploitants d’une RPA qui cesseront leurs activités, même partiellement, auront des amendements supplémentaires. Un plan de cessation des activités devra être transmis à l’établissement de son territoire pour approbation au moins neuf mois avant la date prévue de la cessation. Cela permettra de voir au bien-être, à la santé et à la sécurité des résidents qui seraient affectés par cette cessation des activités.

« Les situations de maltraitance sont inacceptables et ne doivent pas être tolérées. Avec la pandémie, cette vulnérabilité a été beaucoup accentuée. Avec l’adoption de ce projet de loi, nous venons ainsi nous donner des leviers juridiques supplémentaires afin d’enrayer la maltraitance. Il nous appartient de veiller à ce que les personnes aînées et les autres personnes majeures en situation de vulnérabilité soient traitées avec dignité et respect. Notre gouvernement va poursuivre la lutte contre la maltraitance, et ce, tant à domicile que dans les milieux de vie où se trouvent nos proches les plus vulnérables. »

Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants

Faits saillants :

Rappelons que la Loi visant à lutter contre la maltraitance envers les aînés et toute autre personne majeure en situation de vulnérabilité a été sanctionnée le 30 mai 2017.