Christiane Gamache candidate dans Jean-Lesage


 Publié le 6 mai 2022

La vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique, ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale et députée de Louis-Hébert, accompagnée de la députée de Jean-Talon, madame Joëlle Boutin sont heureuses d’annoncer que Christiane Gamache sera la candidate de la Coalition Avenir Québec dans la circonscription de Jean-Lesage, en vue des élections générales à venir. 

Double bachelière de l’Université Laval à Québec en éducation préscolaire – primaire et en musique, Christiane Gamache est une référence en éducation, où elle a œuvré pendant plus de 35 ans. Tantôt enseignante, tantôt directrice d’école, elle a collaboré au Plan d’action national sur la lecture à l’école ainsi qu’à la direction régionale du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport pour la Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches.

Très impliquée au sein de la CAQ, elle s’est investie comme candidate dans Jean-Lesage lors des élections générales de 2018. Elle est membre active de l’exécutif du Comité d’action local de Jean-Lesage et a été élue pour un deuxième mandat comme dirigeante de la CAQ au Conseil exécutif national (CEN) pour l’Est-du-Québec. Bien active dans la circonscription où elle habite depuis plus de 30 ans, elle compte d’innombrables heures de bénévolat, que ce soit auprès du Comité de voisinage pour l’agrandissement de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus, du Comité Aînés du Patro Roc-Amadour ou du conseil d’administration de la paroisse Saint-François-de-Laval.

Bien sûr, la réussite à l’école et la persévérance scolaire sont des thèmes qui la touchent particulièrement. Mais elle est aussi préoccupée notamment par la problématique en santé mentale, les situations de pauvreté et l’environnement. Bien au fait des enjeux touchant la population de la circonscription de Jean-Lesage, Christiane Gamache souhaite s’investir pour accroître le bien-être des familles et des aînés de la région. Elle est déterminée à améliorer le contexte socio-économique du secteur et à accentuer l’accès aux ressources communautaires.

« Je suis très fier que Christiane soit de nouveau sur les rangs pour représenter la circonscription de Jean-Lesage. Avec sa feuille de route, on voit tout de suite que « Christiane a à cœur les intérêts des citoyens et qu’elle cherche à aider les gens de la circonscription dans laquelle elle habite depuis très longtemps. Son parcours dans le domaine de l’éducation sera un atout inestimable pour notre équipe. Elle est une femme de convictions qui se présente pour la meilleure des raisons : faire une différence dans la vie des citoyens de Jean-Lesage. »

François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

« Christiane est la personne toute désignée pour être notre candidate et éventuellement la députée des résidents de Jean-Lesage. Sa fine connaissance de la circonscription, où elle demeure depuis plus 30 ans, combinée à sa vaste expérience au sein de notre système d’éducation, font d’elle la personne idéale pour porter les intérêts des citoyens de Jean-Lesage et de notre Capitale-Nationale à l’Assemblée nationale du Québec. »

Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique, ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale et députée de Louis-Hébert

« Christiane est une femme de cœur, très compétente et qui connaît bien les enjeux de la circonscription de Jean-Lesage. Elle est une candidate engagée depuis plusieurs années et proche de ses concitoyens qui pourront compter sur son expérience au grand bénéfice de tous. Christiane sera définitivement un plus pour Jean-Lesage et le Québec dès le jour 1. »

Joëlle Boutin, députée de Jean-Talon

 «Je m’engage à aller à la rencontre des gens et à travailler sans relâche afin d’offrir de meilleures conditions de vie aux familles, aux aînés et aux personnes plus vulnérables de la circonscription de Jean-Lesage. »

–        Christiane Gamache

  Candidate de la Coalition Avenir Québec dans Jean-Lesage

3G $ pour le mieux-être des personnes hébergées


 Publié le 5 mai 2022

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, annonce aujourd’hui la publication du tout premier Plan d’action pour l’hébergement de longue durée 2021-2026 – Pour le mieux-être des personnes hébergées. Il découle de la Politique d’hébergement et de soins et services de longue durée – Des milieux de vie qui nous ressemblent publiée en avril 2021.

Le plan d’action, qui comporte 25 mesures concrètes avec un investissement de 2,9 milliards de dollars sur cinq ans, concrétise la volonté du gouvernement de transformer de façon durable l’hébergement de longue durée.

Les mesures proposées par le plan s’inscrivent dans les cinq axes d’intervention, soit la personne hébergée, les proches, les prestataires de services, le milieu de vie et de soins et la communauté.

À travers le plan d’action, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) veut apporter des changements concrets aux milieux de vie et de soins avec :

     –  une réponse mieux adaptée aux besoins spécifiques des personnes hébergées;
     –  un réel partenariat entre la personne hébergée, ses proches et les prestataires de services;
     –  une organisation du travail qui optimise les compétences de chacun et favorise l’interdisciplinarité;
     –  des milieux de vie et de soins personnalisés et adaptés;
     –  des milieux d’hébergement intégrés au sein d’une communauté engagée.

Ce plan d’action s’applique à l’ensemble des milieux d’hébergement de longue durée qui accueillent des adultes : les centres d’hébergement et de soins de longue durée, les ressources intermédiaires, les ressources de type familial, les maisons des aînés et les maisons alternatives.

« Je suis très fière de présenter le tout premier Plan d’action du Québec en matière d’hébergement de longue durée. Ce plan est une réponse concrète à plusieurs propositions et recommandations qui ont été faites, ces dernières années, par tous les partenaires et toutes les personnes impliquées auprès des personnes hébergées. C’est un travail de collaboration qui nous permet d’avancer dans la bonne direction. Par ailleurs, le plan d’action concrétise la volonté et tout l’engagement de notre gouvernement à transformer l’hébergement de longue durée au Québec. »

Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants

Lien connexe :

Pour en savoir davantage sur le Plan d’action pour l’hébergement de longue durée 2021-2026 – Pour le mieux-être des personnes hébergées .

fécondation in vitro : plusieurs femmes remboursées


 Publié le 5 mai 2022

Le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, annonce qu’un programme temporaire sera confié à la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) pour rembourser les services de fécondation in vitro (FIV) aux femmes ayant perdu leur admissibilité aux services assurés en procréation assistée au cours des derniers mois, soit en raison de la suspension de services de certains centres de procréation assistée (CPA) ou du délestage de certains services lié à la pandémie de la COVID-19.

Ainsi, ce programme temporaire cible les femmes qui étaient admissibles aux services assurés de FIV depuis l’entrée en vigueur du nouveau programme le 15 novembre 2021, mais qui ont perdu leur admissibilité durant cette période de suspension, notamment en raison de leur âge. Autant les femmes souhaitant obtenir un remboursement pour des services déjà reçus depuis le 15 novembre 2021 que celles qui auraient été admissibles et qui souhaiteraient entamer une démarche de procréation assistée dès maintenant pourront bénéficier du programme temporaire de remboursement jusqu’au 31 décembre 2022.

À noter que seuls les services rendus par un médecin participant au régime d’assurance maladie du Québec seront admissibles, et que le remboursement se fait selon un montant maximal alloué pour chaque service admissible.

À partir du 1er juin prochain, le formulaire de demande de remboursement sera disponible sur le site Web de la RAMQ pour les services reçus rétroactivement au 15 novembre 2021, et ce, pour toutes les personnes admissibles depuis cette date, même celles ayant déjà reçu le crédit d’impôt pour le traitement de l’infertilité, qui devra être remboursé.

« Au cours des derniers mois, les impacts des mesures prises lors de la cinquième vague de la pandémie de la COVID-19, combinés aux moyens de pression exercés par certains fertologues, ont malheureusement privé des centaines de femmes et de familles des soins et des services en procréation assistée que nous avons souhaité rendre couverts. Nous voulons maintenant nous assurer que ces familles ne soient pas pénalisées. C’est pourquoi nous mettons en place ce programme temporaire pour rembourser les services de fécondation in vitro pour les femmes ayant perdu leur admissibilité depuis novembre dernier. »

Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux

Faits saillants :

  • Rappelons que la Loi modifiant diverses dispositions en matière de procréation assistée a été sanctionnée le 11 mars 2021.
  • Le 15 novembre 2021, les dispositions modifiant le Règlement d’application de la Loi sur l’assurance maladie concernant les services de procréation assistée, dont ceux requis à des fins de FIV, sont entrées en vigueur par décret du gouvernement, permettant aux personnes admissibles au programme de procréation assistée de bénéficier d’un cycle de FIV assuré.
  • Les balises et les critères d’admissibilité ont été mis en place selon les meilleures pratiques en vigueur, tout en tenant compte de la capacité de payer de l’État.
  • Mentionnons que la femme recevant les traitements assurés doit avoir 18 ans et moins de 41 ans au moment de commencer la stimulation ovarienne en vue d’une FIV et peut bénéficier des transferts d’embryons issus de ce cycle jusqu’à l’âge de 42 ans moins un jour.
  • Une femme de 41 ans qui aurait bénéficié d’un service de FIV du 15 novembre 2021 au 31 décembre 2021, qui aurait assumé les frais et aurait également demandé un crédit d’impôt pour l’année 2021 à l’égard de ces mêmes frais pourrait tout de même être admissible au programme temporaire sous certaines conditions. Elle devra toutefois rembourser à Revenu Québec la totalité du crédit d’impôt relatif aux frais pour lesquels elle aura obtenu également le remboursement en vertu du programme temporaire. Par ailleurs, dans la mesure où c’est une autre personne qui a bénéficié du crédit d’impôt, c’est celle-ci qui devra le rembourser.
  • Les montants reçus à titre de versement par anticipation du crédit d’impôt remboursable pour le traitement de l’infertilité en 2022 et qui seront remboursés par le programme temporaire feront l’objet d’une réclamation de la part de Revenu Québec lors de la production de la déclaration de revenus au printemps 2023.
  • Enfin, rappelons que, dans le cadre des discussions avec les cliniques en cabinet privé, la subvention octroyée par cycle de FIV a été bonifiée, pour une offre finale qui représente une augmentation significative de 70 %.

Réaliser le REM de l’Est de façon exemplaire


 Publié le 3 mai 2022

 Le premier ministre du Québec, M. François Legault, la ministre responsable de la Métropole, Mme Chantal Rouleau, et la mairesse de la Ville de Montréal, Mme Valérie Plante, annoncent que le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal prennent le leadership du projet du REM de l’Est. Cette décision vise la mise en place les conditions de réussite du REM de l’Est, car ce projet est essentiel pour la qualité de vie des citoyens, le redéveloppement des terrains industriels, l’essor des entreprises de l’est de la métropole et l’atteinte des objectifs de réduction des GES.

La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) a réalisé un travail colossal pour développer la technologie du REM et bâtir cet immense projet de transport collectif afin de desservir l’est de la grande région métropolitaine. La majorité du tracé de plus de 30 km suscite d’ailleurs une large adhésion des citoyens.

Il demeure toutefois un manque d’acceptabilité sociale pour certains tronçons, et ce, malgré les nombreuses initiatives mises de l’avant au cours des derniers mois. Devant ce constat, le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal se sont entendus pour retirer l’insertion du REM de l’Est au centre-ville et poursuivre le projet sur les autres tronçons en mode REM. Cette décision a un impact sur la portée du projet et fait en sorte que celui-ci ne cadre plus dans l’environnement de la CDPQ. Cela met fin à la phase de planification détaillée du projet tel que présenté par CDPQ Infra en décembre 2020.

La nouvelle équipe de projet, composée du ministère des Transports, de la Ville de Montréal et de la Société de transport de Montréal, travaillera avec l’Autorité régionale de transport métropolitain pour finaliser la planification et la conception du projet. Ainsi, l’équipe veillera à mettre en place des solutions pragmatiques dans le but d’assurer un meilleur arrimage du REM de l’Est avec les lignes de métro. Elle explorera également des possibilités d’aménagement plus harmonieuses pour le secteur de Mercier-Est et considérera l’extension du tronçon Marie-Victorin à Laval et du tronçon est, vers Lanaudière.

« Depuis le jour 1, notre objectif est de réaliser le meilleur projet possible en matière de transport collectif dans l’est de la grande région de Montréal. Le projet a évolué, au fil du temps, et il doit continuer d’évoluer. Nous apportons les ajustements nécessaires pour concrétiser l’engagement que nous avons pris de réaliser le REM de l’Est. On est un gouvernement à l’écoute, un gouvernement pragmatique. En travaillant ensemble, on va en arriver à un projet gagnant pour toute la région. »

François Legault, premier ministre du Québec

« On s’est engagés à livrer le meilleur projet possible pour l’est de Montréal, et c’est un travail qui porte fruit. Le leadership que prennent aujourd’hui la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec permet de présenter une solution aux enjeux d’acceptabilité sociale qui menaçaient le projet. On prend les moyens de réaliser le REM de l’Est de façon exemplaire, comme nous le demandent les citoyens et les experts. Les orientations sur lesquelles la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec se sont entendus permettront au REM de l’Est d’offrir un lien de transport structurant vers les secteurs mal desservis, tout en tirant profit du réseau existant. En tant que présidente de la Communauté métropolitaine de Montréal, je salue l’ouverture du gouvernement à étudier le prolongement du REM vers la couronne nord, pour assurer un meilleur accès à la métropole et lutter contre l’étalement urbain. »

Valérie Plante, mairesse de Montréal

« Notre gouvernement est résolument engagé dans la revitalisation de l’est de Montréal, et le REM de l’Est est une pierre angulaire de son développement. Pour se concrétiser, un projet de transport collectif aussi ambitieux nécessite que tous s’y engagent, et ce pas décisif est désormais franchi au profit des gens de l’est de Montréal et de toute la région métropolitaine. »

Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« L’est mérite qu’on mette l’énergie nécessaire pour réussir sa revitalisation. Je suis très satisfaite de voir nos équipes et celles du gouvernement du Québec travailler de concert pour assurer la réussite de projets nécessaires et attendus depuis longtemps dans l’est. Le REM de l’Est vient répondre au besoin d’un transport structurant, dans l’est de Montréal, sur lequel les citoyens peuvent se fier. En s’appuyant sur la ligne verte, on assurera un accès au centre-ville de façon efficace et consensuelle. Ce qu’on annonce aujourd’hui, arrive à préserver les avantages du projet, tout en limitant les enjeux d’acceptabilité sociale qui le menaçaient. »

Caroline Bourgeois, mairesse de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles et responsable de l’est de Montréal au sein du comité exécutif

La CAQ présente des candidats pour Montréal


 Publié le 1 mai 2022

La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la région de Montréal et de la Métropole, Madame Chantal Rouleau, en compagnie du ministre de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques et ministre responsable de la Lutte contre le racisme, Monsieur Benoit Charette et en présence du député de Bourget, monsieur Richard Campeau, ont présenté aujourd’hui, 13 des candidats qui représenteront la Coalition Avenir Québec à Montréal lors des prochaines élections provinciales.

Les candidates et candidats présentés aujourd’hui reflètent bien la volonté du parti d’avoir une équipe qui reflète ses valeurs d’équité, de diversité et d’inclusion. Ils sont allumés, motivés et ont en commun de vouloir participer au changement et le profond désir de faire plus et de faire mieux pour le Québec et pour Montréal. 

Tous bien au fait des enjeux de leurs circonscriptions respectives et ils souhaitent pouvoir porter la voix des citoyens à l’Assemblée nationale. Leurs parcours uniques  démontrent leur engagement dans plusieurs causes qui leurs sont chères.  

Les candidates et candidats

  • Rebecca McCann dans Hochelaga-Maisonneuve
  • Rosmeri Otoya Celis dans Acadie
  • Vicki Marcoux dans Laurier-Dorion
  • Junlian Leblanc dans D’Arcy-McGee
  • Florence Lavictoire dans Mercier
  • Aurélie Diep dans Sainte-Marie—Saint-Jacques
  • Loredana Bacchi dans LaFontaine
  • Absa Diallo dans Bourassa-Sauvé
  • Julie De Martino dans Jeanne-Mance—Viger
  • Nicolas Huard-Isabelle dans Saint-Henri—Sainte-Anne
  • Maria-Luisa Torres-Piaggio dans Westmount—Saint-Louis
  • Vicky Michaud dans Marguerite-Bourgeoys
  • Marc Baaklini dans Marquette

« Je suis très emballé par la qualité et la diversité des candidates et candidats que nous annonçons aujourd’hui. Je suis convaincu que nous présentons des gens de talent qui sauront se mettre rapidement au travail pour faire avancer les grands dossiers de la métropole, que ce soit le transport collectif, la revitalisation du centre-ville ainsi que la sécurité urbaine en plus d’adresser les enjeux respectifs de leur circonscription. » 

– François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

«Je suis très fière des candidats que nous présentons aujourd’hui. C’est une équipe jeune qui reflète tout le dynamisme de la métropole. Je suis convaincue que, riches de leurs parcours respectifs, ils ont tous les atouts pour représenter les citoyens de Montréal. Ils seront des voix montréalaises supplémentaires et précieuses à l’Assemblée nationale. »

– Chantal Rouleau

Ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la région de Montréal et de la Métropole

« Je suis heureux de présenter aujourd’hui ces candidatures de qualité qui porteront les couleurs de la CAQ dans la région de Montréal. Je suis persuadé que ces candidates et candidats ont tout le talent nécessaire pour représenter la voix des citoyens de leur circonscription dès le 3 octobre prochain et qu’ils nous aideront à continuer notre travail en matière d’environnement et de lutte contre les changements climatiques. Je suis fier de pouvoir les compter parmi nous lors de la prochaine élection ! »

– Benoit Charette

Ministre de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques et ministre responsable de la Lutte contre le racisme

Plan de mise en œuvre 2022-2027 du Plan pour une économie verte 2030


 Publié le 29 avril 2022

Le gouvernement du Québec a dévoilé ce jeudi le plan de mise en œuvre 2022-2027 (PMO 2022-2027) du Plan pour une économie verte 2030 (PEV 2030). Comme il l’avait annoncé dans le budget 2022-2023, les investissements dans le PMO 2022-2027 sont bonifiés d’un milliard de dollars (G$), pour un budget total record de 7,6 G$ consacré à la lutte contre les changements climatiques. Avec les actions bonifiées du PMO 2022-2027, le Québec a désormais défini et financé 51 % des gestes à poser pour atteindre la cible de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) à l’horizon 2030. Il s’agit d’une augmentation de 9 % par rapport à la proportion de 42 % présentée lors de la publication du PEV 2030 à la fin de 2020, un rythme qui place résolument le Québec sur la voie d’atteindre sa cible.

Avec cette nouvelle mouture du plan de mise en œuvre, plusieurs grands axes du PEV 2030 voient leur financement bonifié pour :

  • Favoriser l’électrification et l’efficacité dans les transports (3,48 G$) (communiqué no 2);
  • Accélérer la décarbonisation du secteur industriel (1,34 G$) (communiqué no 3);
  • Réduire l’empreinte carbone de nos bâtiments (757,9 M$) (communiqué no 3);
  • Augmenter nos investissements en matière d’adaptation aux changements climatiques (437 M$);
  • Accroître notre accompagnement des municipalités, des entreprises et des communautés (113 M$).

Le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Benoit Charette, en a fait l’annonce à Québec. Il se trouvait en compagnie du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, M. Jonatan Julien, ainsi que du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel.

Grâce à la nouvelle gouvernance climatique mise en place en 2020, qui a introduit une mise à jour annuelle systématique du plan de mise en œuvre du PEV 2030, le gouvernement s’est donné la flexibilité nécessaire pour bonifier ses actions très rapidement, selon l’évolution des connaissances scientifiques et technologiques et celle du contexte socioéconomique du Québec. Ainsi, dans cette première mise à jour annuelle, plusieurs nouvelles mesures sont introduites, et le financement d’actions et programmes existants, parmi les plus performants, est augmenté.

Outre les sommes réservées aux secteurs des transports, de l’industrie et des bâtiments, qui sont ensemble responsables de 82,7 % des émissions de GES du Québec, le gouvernement augmente considérablement ses investissements en matière d’adaptation aux changements climatiques, en y consacrant, au total, 437 M$. Des investissements supplémentaires de 29,5 M$, pour atteindre un total de 113,6 M$ sur cinq ans, viendront soutenir les communautés québécoises dans l’implantation de mesures d’adaptation, telles que le verdissement, afin de réduire les risques liés à la chaleur et aux précipitations. Tous les détails sur les nouveaux programmes associés à ces nouvelles sommes seront communiqués dans les prochaines semaines.

De plus, le PMO 2022-2027 octroie des sommes de 46 M$ et de 70 M$ respectivement à deux secteurs qui présentent de bons potentiels de réduction d’émissions, soit celui de l’agriculture et celui des matières résiduelles.

Quelque 520 M$ seront consacrés pour soutenir l’innovation et le développement de filières stratégiques, comme celles des véhicules électriques ou de l’hydrogène vert et des bioénergies. Grâce à ces sommes, des actions soutenant la formation de la main-d’œuvre seront aussi bonifiées pour favoriser le développement de l’expertise dans des créneaux stratégiques.

Notons qu’aux résultats du PEV 2030 se combineront ceux d’autres politiques gouvernementales actuelles, notamment dans les secteurs des transports, des bâtiments et de l’industrie, ainsi que les effets des actions menées par le gouvernement fédéral, les municipalités et le secteur privé.

Citations : 

 « Avec le plan de mise en œuvre 2021-2026, le gouvernement doublait déjà l’effort financier consacré à la lutte contre les changements climatiques par rapport au plan précédent. Avec ce deuxième plan, nous augmentons encore la cadence. En intensifiant nos investissements dans les secteurs des transports, de l’industrie, des bâtiments et de l’adaptation, et en soutenant les efforts du milieu municipal, des communautés autochtones, du secteur de la recherche, des entreprises et de la population, nous démontrons notre volonté de continuer à bonifier l’action climatique du Québec. Toutefois, la transition climatique ne pourra être pleinement réalisée sans la participation de l’ensemble de la société. J’en appelle donc à la mobilisation de tous pour transformer ces investissements records en un succès collectif! »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« L’hydroélectricité et les autres énergies renouvelables sont à la fois la force et l’avenir du Québec. Électrifier nos transports, nos bâtiments et nos industries constitue déjà une priorité du PEV 2030. Grâce au plan de mise en œuvre 2022-2027, la transition énergétique deviendra une assise solide de notre réponse à l’urgence climatique. Nous devons réussir ensemble cette transition au Québec, de manière à ce qu’aucun retour en arrière ne soit possible. Je m’y engage personnellement! »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

« Avec son potentiel énorme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’électrification des transports demeure au premier plan de nos stratégies pour relancer l’économie québécoise. Dans les prochaines années, nous allons poursuivre nos efforts pour favoriser la transition vers les véhicules électriques, tant les automobiles, les autobus que les camions. Le Québec est déjà à l’avant-garde des États les plus verts au monde dans ce domaine, et nous continuerons de travailler pour qu’il se démarque dans cette position de leader de l’électrification des transports. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie

Faits saillants :

  • Lancé en novembre 2020, le PEV 2030 vise à réduire de 37,5 % d’ici 2030 les émissions de GES du Québec par rapport à l’année de référence 1990. Une réduction de 31,0 mégatonnes serait donc requise en 2030. Le gouvernement entend également poursuivre ses efforts à plus long terme afin d’atteindre la carboneutralité à l’horizon 2050.
  • Le PEV 2030 s’appuie sur le système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE), qui fixe un prix au carbone et qui couvre près de 80 % des émissions de GES du Québec. Les revenus du SPEDE sont versés au Fonds d’électrification et de changements climatiques et sont pleinement réinvestis dans les mesures du plan de mise en œuvre du PEV 2030. D’autres sources de financement sont également mobilisées, notamment des contributions du gouvernement fédéral et des sources de financement mixtes.

Liens connexes : 

«le Québec en tant que leader dans un domaine d’avenir»


 Publié le 29 avril 2022

Le gouvernement du Québec est heureux de souligner l’implantation d’une usine de fabrication de vaccins à ARN messager de Moderna dans la région métropolitaine. Cette usine deviendra le premier site de production de l’entreprise au Canada, et fera du Québec l’un des rares centres d’expertise mondiaux dans ce créneau d’avenir.

Le premier ministre du Québec, M. François Legault, était accompagné du ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional, M. Pierre Fitzgibbon, et du ministre de la Santé et des Services sociaux, M. Christian Dubé, lors de cette annonce.

Grâce à sa technologie de pointe, Moderna fabriquera au Québec non seulement des vaccins visant à lutter contre la COVID-19, mais aussi une gamme de vaccins à ARN messager qui pourraient combattre différents virus respiratoires, tels que l’influenza saisonnière et le virus respiratoire syncytial, lorsqu’ils seront approuvés des autorités réglementaires.

L’arrivée de Moderna permettra de mieux préparer le Québec à d’éventuelles pandémies en renforçant ses chaînes d’approvisionnement locales et en accroissant son autonomie en matière de production de vaccins.

Par ailleurs, l’implantation de ce pôle d’expertise favorisera l’établissement de nouvelles collaborations au sein du milieu québécois de la recherche. Le projet attirera aussi des investissements connexes à la technologie de l’ARN messager, ce qui propulsera l’industrie québécoise des sciences de la vie vers de plus hauts sommets.

« L’arrivée de Moderna est hautement stratégique pour le Québec. D’abord, elle va amener des retombées intéressantes à court terme avec des emplois de grande qualité dans un domaine de pointe. Ensuite, elle va sérieusement renforcer l’écosystème québécois des sciences de la vie. On a de grands atouts à promouvoir dans ce secteur, comme nos universités et nos chercheurs de calibre mondial, mais aussi nos entreprises innovantes, qui sont dotées d’une expertise grandissante. On parle d’un secteur regroupant déjà plus de 700 entreprises et plus de 36 000 emplois de qualité, sans compter les centres de recherche. Avec Moderna, on ajoute un acteur majeur qui va aider à structurer notre grappe et l’on fait valoir le Québec en tant que leader dans un domaine d’avenir. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Après plusieurs mois d’efforts, nous avons réussi à convaincre Moderna de s’implanter au Québec. Nous en sommes très fiers. Cet investissement permettra de développer chez nous un pôle nord-américain d’expertise dans une technologie d’avenir : l’ARN messager. C’est en misant sur des projets structurants comme celui de Moderna qu’on va accélérer la croissance économique de nos secteurs de pointe et de l’ensemble du Québec. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

« La pandémie nous a démontré à quel point notre autonomie en matière d’approvisionnement était essentielle, tout comme le fait de pouvoir miser sur notre écosystème local. Pour y arriver, il faut innover et améliorer nos capacités manufacturières. Le choix de Moderna d’établir son usine au Québec en est un exemple concret. »

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

« Investissement Québec salue la décision de l’entreprise Moderna de choisir le Québec pour y établir une usine de fabrication de vaccins. Un autre grand acteur international se tourne vers l’expertise et le talent d’ici. Ce faisant, nous contribuons aussi à soutenir les sciences de la vie, un secteur phare de notre économie qui se distingue par sa capacité d’innovation. »

Guy LeBlanc, président-directeur général d’Investissement Québec

Faits saillants :

  • Fondée en 2010, Moderna est une entreprise américaine spécialisée dans le domaine de la biofabrication. Elle développe des vaccins et des thérapies à base d’ARN messager, qui permettent de lutter contre la COVID-19 et qui pourraient éventuellement combattre plusieurs autres maladies infectieuses, telles que la grippe, le VIH, le Zika, le syndrome respiratoire syncytial et le virus d’Epstein-Barr (mononucléose).
  • Moderna est actuellement le deuxième producteur mondial de vaccins à base d’ARN messager visant à lutter contre le SRAS-CoV-2, lequel est à l’origine de la pandémie de COVID-19.

Ministère de l’Économie et de l’Innovation sur les réseaux sociaux :

Shirley Dorismond assermentée à l’Assemblée Nationale


 Publié le 27 avril 2022

Hier, la nouvelle députée de la circonscription de Marie-Victorin a été assermentée et a fait son entrée à l’Assemblée nationale.

Femme d’action et très active sur le terrain, madame Dorismond s’est vu confier un mandat spécial de soutenir le ministre de la Santé à améliorer entre autres, les conditions de travail des infirmières, d’aller sur le terrain, chercher les commentaires, les suggestions et les recommandations des acteurs du secteur de la santé.

« La nouvelle députée de Marie-Victorin, Shirley Dorismond, a officiellement été assermentée à l’Assemblée nationale aujourd’hui! Quelle fierté de voir une nouvelle élue rejoindre nos rangs. Shirley, c’est une infirmière d’expérience et une femme d’action qui veut changer les choses en santé avec Christian Dubé.

Bienvenue Shirley! »

–        François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

 « Aujourd’hui, j’ai découvert l’Assemblée nationale. Mon nouveau chez-moi, où j’aurai l’honneur de vous représenter. »

–        Shirley Dorismond

 Députée de la Coalition Avenir Québec dans Marie-Victorin

Amélie Dionne candidate dans Rivière-du-Loup–Témiscouata


 Publié le 21 avril 2022

Le chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec, François Legault, est heureux d’annoncer qu’Amélie Dionne sera la candidate de sa formation politique dans la circonscription de Rivière-du-Loup–Témiscouata, en vue des élections générales à venir. 

Originaire de Rivière-du-Loup, Amélie Dionne est très impliquée dans sa communauté et possède une fine connaissance des enjeux régionaux. Détentrice d’un baccalauréat de l’Université Laval en communication, elle a contribué au succès de nombreuses initiatives locales et entrepreneuriales de sa région.

Pour la candidate, la défense des intérêts des familles de la classe moyenne et des gens plus vulnérables passe par l’engagement politique. C’est d’ailleurs ce qui l’a motivée à s’impliquer en politique municipale dans le passé, comme conseillère municipale et comme candidate à la mairie de Rivière-du-Loup. Elle a mis cet engagement au service du député sortant, à titre de conseillère politique en 2018, avant de travailler auprès de différents ministres en tant que conseillère en communications. Durant de nombreuses années, elle a géré sa propre entreprise dans le secteur de l’événementiel et des communications, ce qui lui a permis de développer un important réseau d’affaires. Récipiendaire de nombreux prix, comme le prix Entreprise de service de l’année de la Chambre de commerce de Rivière-du-Loup et le prix Service aux entreprises au concours en Entrepreneuriat québécois, madame Dionne possède une grande expérience et est reconnue par ses pairs.

Sensible aux besoins de la population, elle a été bénévole auprès de plusieurs organismes communautaires, en plus de siéger à de nombreux conseils d’administration. Mère de famille et très impliquée auprès des gens de sa communauté, elle est animée par le désir de développer le potentiel économique de la région et est déterminée à mettre en valeur les atouts uniques de la circonscription de Rivière-du-Loup–Témiscouata. En se portant candidate, Amélie Dionne fait le choix de mettre toutes ses expériences acquises lors de ses dernières années au service de sa communauté.

«Amélie et moi, on partage la vision d’un gouvernement proche des régions, proche des gens des régions. Amélie, c’est une rassembleuse. C’est une femme d’action. Je ne pourrais pas imaginer une meilleure personne pour représenter la circonscription de Rivière-du-Loup-Témiscouata.»

–        François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

 « J’habite dans Rivièredu-Loup–Témiscouata depuis toujours et le lien qui m’unit à cette circonscription est très fort. J’ai la ferme intention de travailler de concert avec les citoyens et les différents partenaires afin de leur offrir la meilleure qualité de vie possible et de permettre à notre formidable région de se déployer à son plein potentiel. »

–        Amélie Dionne

                    Candidate de la Coalition Avenir Québec dans Rivière-du-Loup–Témiscouata

Maïté Blanchette-Vézina candidate dans Rimouski


 Publié le 21 avril 2022

Le chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec, François Legault, est fier d’annoncer que madame Maïté Blanchette-Vézina sera la candidate de sa formation politique dans la circonscription de Rimouski, en vue des élections générales à venir. 

Détentrice d’un baccalauréat en droit et d’un certificat en communications publiques de l’Université Laval, Maïté Blanchette-Vézina a fait le choix de s’établir à Rimouski il y a près de 10 ans. Elle a développé des liens forts avec les citoyens, les groupes communautaires et les gens d’affaires de la région.

Animée par la volonté de s’engager politiquement, elle devient mairesse de Sainte-Luce en 2017. Sa sensibilité à l’égard des plus vulnérables et son désir de mettre de l’avant le développement social l’amènent à accepter, 4 ans plus tard, le poste de directrice régionale chez Centraide Bas-Saint-Laurent. Très ancrée dans la communauté, elle s’implique auprès de nombreux organismes de Rimouski, et ce, dans le but d’aider les citoyens, d’encourager la culture et de faire grandir la fierté de sa région. 

Madame Blanchette-Vézina est très impliquée pour faire plus de place aux jeunes et aux femmes en politique. L’arrimage entre le développement social de sa communauté et le développement économique est au cœur de son engagement. Elle a par ailleurs les enjeux du transport et environnementaux à cœur. 

Reconnue pour son sens inné de la politique, ses qualités de gestionnaire et sa grande intelligence émotionnelle, Maïté Blanchette-Vézina aspire à travailler conjointement avec les citoyennes et citoyens de Rimouski afin d’améliorer la qualité de vie de chacun et de propulser le développement de la circonscription.

CITATIONS :

« Maïté, c’est une voix forte pour nos régions. C’est une fière Québécoise. Et c’est une femme qui a un grand leadership, c’est une rassembleuse. Je ne pourrais pas imaginer une meilleure personne pour représenter la circonscription de Rimouski. On a besoin de plus de femmes comme elle à Québec. On a besoin de Maïté comme députée de Rimouski. Maïté va faire entendre la voix de votre région au gouvernement. »

–        François Legault

Chef de la Coalition Avenir Québec et premier ministre du Québec

 « J’ai un grand attachement à la circonscription de Rimouski. J’ai choisi d’y travailler et d’y vivre parce que je l’aime. Je sais que les défis de notre région sont nombreux, mais je sais aussi que son potentiel de développement est immense… Je crois sincèrement à l’atteinte d’une meilleure qualité de vie dans Rimouski et je m’y investirai sans relâche.»

–        Maïté Blanchette-Vézina

                        Candidate de la Coalition Avenir Québec dans Rimouski