Mychel St-Louis se joint au cabinet de François Legault


 Publié le 7 janvier 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec et député de L’Assomption, François Legault, est fier d’annoncer la nomination de Mychel St-Louis au poste de Conseiller spécial aux communications au Cabinet du chef du deuxième groupe d’opposition.

Fort d’une carrière de 44 ans en journalisme, dont 5 comme premier rédacteur en chef à l’information télévisée de Radio-Canada, Mychel St-Louis a été concepteur de plusieurs émissions d’affaires publiques et politiques, telles que le Club des Ex, RDI Matin Weekend et 100 % Nouvelles à LCN, en plus d’avoir innové en préparant et en produisant les débats Face à face sur les ondes de TVA lors de différentes campagnes électorales. M. St-Louis apportera une expertise supplémentaire à l’équipe des communications de la CAQ, dans le but d’étendre la portée des messages du parti à l’ensemble de la population québécoise.

« L’arrivée de Mychel St-Louis dans les rangs de la CAQ est une excellente nouvelle pour notre parti. Hautement reconnu et respecté par ses pairs, M. St-Louis a été aux premières loges de l’évolution politique du Québec. Nous sommes très fiers de pouvoir compter sur la grande expérience et la rigueur de ce communicateur aguerri », a déclaré François Legault.

Rappelons que le chef de la Coalition Avenir Québec a récemment dévoilé les grandes lignes de la position nationaliste de sa formation politique, qui prône un Québec plus autonome à l’intérieur du Canada. Il a de plus lancé un appel au rassemblement des nationalistes de tous les horizons derrière la CAQ afin de mettre fin au monopole libéral sur la politique québécoise.

Une arrivée qui ne passe pas inaperçue


 Publié le 6 janvier 2016

L’arrivée du conseiller politique, Stéphane Gobeil, au sein de la Coalition Avenir Québec, a fait beaucoup réagir depuis hier dans les médias ainsi que sur les réseaux sociaux.

Le chroniqueur au Journal de Québec, Mario Asselin, soutient que « Stéphane Gobeil envoie le bon signal » en posant ce geste.

«Au moment où Nathalie Normandeau vient affirmer que le PLQ “n’est plus le parti de l’économie”, le message de l’arrivée de Stéphane Gobeil dans l’équipe de François Legault vient ajouter de l’eau au moulin de ceux qui prétendent que l’année 2016 sera déterminante dans l’identité de la Coalition avenir Québec.
Le parti fondé par François Legault doit occuper dans l’esprit des électeurs la place d’un gouvernement en attente. Et un autre signal que l’arrivée de Stéphane Gobeil à la CAQ envoie aux observateurs politiques: le mouvement des plaques politico-tectoniques n’est pas terminé !», soutient-il.

Le chroniqueur au Journal de Montréal, Michel Hébert, abonde dans le même sens.

« François Legault ne pouvait rêver de commencer l’année sur une meilleure note. Stéphane Gobeil quitte le PQ pour se joindre à la CAQ. Avec une belle profession de foi, en plus! Nationalisme et prospérité! Ce transfuge est plus important qu’il n’y paraît. M. Gobeil est ce qu’on appelle un vieux routier de la politique », explique-t-il.

À la CAQ, on affirme que cette arrivée démontre que le ralliement des nationalistes est bel et bien en marche.

Stéphane Gobeil se joint à la CAQ


 Publié le 5 janvier 2016

L’ancien conseiller de Pauline Marois et Gilles Duceppe, Stéphane Gobeil, se joint à la Coalition Avenir Québec.

À la CAQ, on voit cette acquisition comme un signe que «le ralliement des nationalistes est bien en marche», rapporte le Journal de Québec.

Dans un billet publié mardi, Stéphane Gobeil souligne que «l’urgence est à l’union des francophones derrière la bannière nationaliste, la seule capable de rassembler une majorité».

«J’ai acquis la conviction que pour briser le monopole libéral, il faut unir les caquistes et les péquistes de bonne volonté derrière un projet nationaliste alliant fierté et prospérité. Cela prendra du temps et nous devrons bâtir des ponts. Pour ma part, j’ai décidé de commencer à le faire dès maintenant, en me joignant à la Coalition Avenir Québec.»

Pour lire le billet, cliquez ici.

La CAQ dénonce la hausse des baux de villégiature


 Publié le 5 janvier 2016

Pour des milliers de Québécois propriétaires de chalets de villégiatures, c’est un début d’année 2016 particulièrement bouleversant, marqué par l’entrée en vigueur d’un autre choc tarifaire libéral inacceptable, a dénoncé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de développement économique régional, de tourisme et député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel.

En décidant de réviser à la hausse les valeurs de référence permettant de déterminer les loyers annuels de ces terres publiques, le gouvernement de Philippe Couillard met non seulement l’industrie touristique du Québec en péril, mais pénalise de nombreux propriétaires situés sur ces terrains et qui choisissent le Québec comme destination touristique.

Puisqu’ils n’ont rien fait depuis 2003 pour empêcher la situation actuelle, les libéraux imposeront jusqu’en 2019 une hausse moyenne des loyers de 74 % à travers le Québec. Cette hausse sera de 184 % pour la région de Québec, 109 % pour le Nord-du-Québec et 99 % pour le Saguenay-Lac-Saint-Jean et 64 % pour la Mauricie.

« Les libéraux sont là depuis 2003 et ils sont les seuls responsables de cette situation. Le gouvernement a décidé, lâchement, de s’attaquer à un groupe particulier de Québécois, ceux qui font vivre le tourisme au Québec, qui font le choix de profiter des trésors dont regorgent nos régions. Les libéraux fouillent encore une fois dans les poches des contribuables, sans considérer les impacts de ces gestes. Quel manque de vision! Les terres du domaine de l’État font partie du patrimoine collectif des Québécois, mais désormais, certains propriétaires pourraient décider de se départir de leur chalet ou encore diminuer le nombre de séjours qu’ils font », a regretté Donald Martel, en rappelant que les hausses des loyers sont également accompagnées d’une augmentation des frais d’administration liés à la gestion foncière des terres.

Le député caquiste a ajouté qu’il s’inquiète des conséquences directes sur les petits commerces en régions qui dépendent beaucoup de l’achalandage touristique.

« Le gouvernement doit écouter les cris du cœur de tous ces propriétaires de chalet et mettre un frein à cette taxation extrême. Même si le ministre des Ressources naturelles croit que ce choc tarifaire sera atténué par son application graduelle sur 5 ans, il s’agit ni plus ni moins d’une taxe déguisée. Une indexation des loyers à l’inflation aurait dû être effectuée lors des quinze dernières années, mais le PLQ ne sait pas gérer », a conclu Donald Martel.

Une soumission gagnée d’avance


 Publié le 4 janvier 2016

Le Bureau d’enquête du Journal de Québec a facilement prédit qui serait le gagnant d’un contrat informatique de plusieurs centaines de milliers de dollars au ministère des Finances.

Au final, l’appel d’offres n’aura même intéressé personne d’autre qu’Above sécurité, partenaire du ministère depuis plusieurs années.

Les sources du Journal explique qu’après avoir lu l’appel d’offres, les autres fournisseurs ne voulaient plus soumissionner, prétextant que celui-ci n’assurait pas une grande concurrence.

À noter qu’Above sécurité a déjà décroché un contrat pouvant aller jusqu’à 210 000 $ en 2010 et un autre contrat sans appel d’offres de 35 000 $ en 2014.

Dans son rapport déposé en novembre dernier, le député Éric Caire réclame une révision en profondeur de la règle du plus bas soumissionnaire en matière d’octroi de contrats.

Le rapport Caire vise à régler une bonne fois pour toutes le déficit chronique de performance dont souffre l’État québécois.