«On est une équipe» – Isabelle Brais


 Publié le 19 janvier 2016

La conjointe de François Legault, Isabelle Brais, a accordé une entrevue ce matin à Paul Arcand, au 98,5.

Il a été notamment question de son implication politique auprès de son mari.

«Mon mari est un battant. C’est mon Rocky Balboa. Il sait qu’il est capable de faire quelque chose pour le Québec d’important. Il veut le faire. Et moi je l’appuie à 150%. On est une équipe », souligne-t-elle.

Pour écouter l’entrevue complète, cliquez ici.

« Ça suffit les beaux discours » -François Legault


 Publié le 19 janvier 2016

François Legault s’est entretenu avec Mario Dumont à LCN mardi, où il a été question, entre autres, de relance économique.

« Il faut réduire le fardeau fiscal, créer des emplois de qualité et investir en éducation », soutient-il.

Appelé à commenter la présence de Philippe Couillard au Forum économique mondial de Davos, qui débutera demain, le chef de la CAQ soutient que le premier ministre doit passer de la parole aux actes.

« Au Québec, il nous manque 20 milliards de dollars d’investissements privés. Ça suffit les beaux discours, ça prend des deals », clame-t-il.

Concernant la position nationaliste, François Legault indique qu’«il y en a plusieurs, au Parti québécois, qui sont en réflexion».

Il estime que son option est un juste milieu entre «le rêve imaginaire» que propose le PQ avec la souveraineté, et le «monopole» exercé par le Parti libéral, qui ne «défend pas notre identité» et qui «n’a pas de plan ambitieux en économie».

Un Québec plus riche, le but ultime de la CAQ


 Publié le 19 janvier 2016

En entrevue au micro de Benoit Dutrizac au 98,5 mardi, François Legault réclame que Philippe Couillard passe de la parole aux actes concernant la relance économique du Québec.

«Il faut être capable d’aller chercher des gros investisseurs. Combien de deals Philippe Couillard va aller chercher à Davos?», s’interroge-t-il sur la présence du premier ministre au Forum économique mondial qui débutera demain.

Questionné sur la position identitaire de la CAQ, François Legault est très clair: « La CAQ est nationaliste, ce qui veut dire qu’on souhaite aller chercher plus de pouvoirs pour le Québec, à l’intérieur du Canada. Nous sommes convaincus, notamment, qu’il est possible de négocier avec le gouvernement fédéral pour aller avoir tous les pouvoirs en matière de langue et d’immigration », explique-t-il.

Le chef de la CAQ se dit confiant de rallier une grande partie des nationalistes avec ce positionnement, afin de mettre un terme au monopole libéral.

Au terme de l’entrevue, Benoît Dutrizac a souligné à François Legault que selon lui, « vous êtes la vraie opposition, la CAQ. Sincèrement, on se rend compte que vous en avez plus à dire que le PQ ».

Pour écouter l’entrevue complète, cliquez ici.

Déclaration de François Legault en réaction aux attentats au Burkina Faso


 Publié le 17 janvier 2016

À la suite des attentats terroristes qui ont eu lieu, hier, à Ouagadougou, au Burkina Faso, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, désire faire la déclaration suivante :

« Comme de nombreux Québécois, je suis sous le choc. Le terrorisme islamiste a encore une fois frappé. Hier, 29 personnes ont trouvé la mort dans une attaque insensée, au Burkina Faso. On apprend aujourd’hui que six Québécois figurent parmi les victimes. C’est une tragédie qui nous bouleverse tous. Jeudi encore, nous perdions un homme d’affaires, qui habitait Laval, dans un attentat terroriste à Jakarta. Au nom de ma formation politique, je tiens à présenter aux familles de toutes les victimes de ces attentats inqualifiables mes condoléances les plus sincères. Notre solidarité est totale et inconditionnelle.

Il s’agit d’une fin de semaine noire pour le Québec entier. Une fois de plus, nous devons nous rassembler dans ces moments difficiles et ne pas céder à la peur. La communauté internationale doit tout faire pour mettre fin au fléau du terrorisme islamiste. Plus que jamais, le terrorisme ne peut plus être considéré comme une vague menace, bien loin de notre réalité. Le danger est aujourd’hui réel. Nos gens sont maintenant attaqués, où qu’ils soient dans le monde. »

Frais de garderie: facture salée à prévoir pour plusieurs parents


 Publié le 12 janvier 2016

La Coalition Avenir Québec dénonce le choc tarifaire imposé aux parents qui ont des enfants fréquentant une garderie subventionnée.

En vigueur depuis avril 2015, l’augmentation des tarifs de garde du gouvernement Couillard est payable lors de la déclaration de revenus.

«C’est comme dire: Servez-vous du réseau tout de suite, mais payer plus tard. C’est sûr que ça va faire mal», dénonce au Journal de Québec la députée Lise Lavallée.

La députée de Repentigny rappelle que Philippe Couillard avait pourtant promis d’indexer les tarifs de garde au coût de la vie.

Pour la députée caquiste, il est évident qu’il sera de plus en plus difficile pour les parents québécois de mettre de l’argent de côté pour la garderie lorsque le panier d’épicerie et les tarifs d’électricité ne cessent d’augmenter.

Utiliser sa fortune personnelle pour mousser la souveraineté


 Publié le 12 janvier 2016

Un geste désespéré. C’est de cette manière que le député caquiste Benoit Charette qualifie l’intention du chef péquiste, Pierre Karl Péladeau, d’utiliser sa fortune personnelle pour mousser l’option souverainiste.

Le Soleil rapportait mardi matin que le chef du Parti québécois songe à offrir un don personnel «important» à l’Institut de recherche sur la souveraineté.

Selon Benoit Charette, le père de la Loi sur le financement des partis politiques, René Lévesque, n’aurait jamais toléré une telle idée en ses rangs, lui pour qui l’esprit de cette législation était d’éviter l’influence de l’argent dans le vote démocratique.

« Il s’agit d’un organisme promis par M. Péladeau, qu’il compte financer lui-même et qui, selon ses propres dires, aura comme mission de préparer l’argumentaire du parti qu’il dirige pour les prochaines élections. On ne peut pas faire indirectement ce qu’on ne peut pas faire directement. Cet institut sera ni plus ni moins qu’une extension du PQ et on peut même s’interroger à savoir si le financement de celui-ci respectera la Loi sur le financement des partis politiques », soutient-il.

Le député de Deux-Montagnes va plus loin en affirmant que « M. Péladeau réalise que de plus en plus de sympathisants péquistes constatent que la souveraineté ne se réalisera pas et quittent le navire. Ils voient bien que la seule façon pour les nationalistes de contrer le monopole libéral est de se rallier à la CAQ et faire des gains à l’intérieur du Canada. L’option souverainiste est en déclin constant depuis de nombreuses années. Ce n’est pas l’argent personnel de M. Péladeau qui freinera ce dernier ».

Nominations partisanes : Les libéraux font deux nouveaux gagnants à vie


 Publié le 11 janvier 2016

Deux amis du régime ont reçu un généreux cadeau juste à temps pour Noël, a dénoncé le député de Deux-Montagnes et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de réforme des institutions démocratiques, Benoit Charette, après avoir appris lundi que le premier ministre Philippe Couillard a profité de l’éclipse médiatique du temps des fêtes pour faire de deux libéraux de longue date rien de moins que des gagnants à vie.

Pourtant sous contrat jusqu’à juillet 2016 et mai 2017 respectivement, les deux secrétaires généraux associés Pietro Perrino et Georges Farrah se sont vus offerts, sur recommandation formelle du premier ministre, une permanence dans la haute fonction publique. Il est grand temps de mettre un frein à ces pratiques qui ne font que renforcer le cynisme de la population.

« Plus ça change, plus c’est pareil. Nous assistons, encore une fois, à des tactiques sournoises et à des cachettes libérales, à un gouvernement qui fait perdurer les traditions de Jean Charest, soit celle de placer les proches et les amis influents du parti à des postes supérieurs sans aucune justification valable. Au Parti libéral du Québec, plus personne ne s’attend réellement à être récompensé pour son talent, pour son travail ou ses compétences reconnues. Après douze années quasiment ininterrompues de régime libéral, tout le monde sait maintenant que pour être gagnant à vie, il suffit simplement de traîner juste assez longtemps dans les cercles libéraux », a déclaré Benoit Charrette, en ajoutant que depuis avril 2014, Philippe Couillard est devenu le maître des nominations partisanes, plaçant de proches collaborateurs libéraux à des postes clés, tels que l’ancienne ministre libérale Françoise Gauthier à la tête de la Commission québécoise des libérations conditionnelles et l’ex-organisateur libéral John MacKay à la Société des établissements de plein air du Québec.

Seule la CAQ souhaite mettre fin au plus vite aux nominations partisanes et aux récompenses basées uniquement sur l’allégeance politique, a rappelé Benoit Charette. Le député de Deux-Montagnes a d’ailleurs déposé un projet de loi en décembre 2014 à cet effet, mais son principe a été rejeté fermement par les libéraux au cours d’un vote au Salon bleu, en novembre dernier. « Les libéraux ont laissé notre projet de loi 393 dormir au feuilleton pendant des mois, pour ensuite le rejeter du revers de la main sans même le considérer. Ils ont manqué une belle occasion d’éliminer les nominations partisanes. C’est simple : ils ont fait le choix de les garder. Les Québécois savent au moins à quoi s’attendre de ce gouvernement et n’ont plus aucun doute quant à la façon de gouverner Philippe Couillard », a conclu Benoit Charette.

Autre prise de la CAQ qui suscite beaucoup de réactions


 Publié le 8 janvier 2016

L’arrivée du vétéran de l’information au Québec, Mychel Saint-Louis, à la Coalition Avenir Québec a soulevé de nombreuses réactions dans les médias et sur les réseaux sociaux.

M. St-Louis devient conseiller spécial aux communications du chef de la CAQ, François Legault.

Denis Lessard, de La Presse, rappelle que « c’est une deuxième capture en peu de temps pour François Legault, qui a plus tôt cette semaine rendu publique l’adhésion de Stéphane Gobeil, rédacteur de discours de Gilles Duceppe et de Pauline Marois, à la CAQ ».

Sur Facebook, Mychel Saint-Louis affirme avoir été séduit par le projet nationaliste de la CAQ.

« Après des rencontres et des discussions sur l’orientation résolument nationaliste à l’intérieur du Canada , sur le programme et aussi sur les engagements en matière de développement économique que je partage, j’ai donc accepté avec enthousiasme de faire équipe avec Francois Legault à titre de conseiller spécial en communications et ainsi de mettre mon expérience au service de mes concitoyens.»

De son côté, François Legault se réjouit de cet ajout au sein de son équipe. « L’arrivée de Mychel St-Louis dans les rangs de la CAQ est une excellente nouvelle pour notre parti. Hautement reconnu et respecté par ses pairs, M. St-Louis a été aux premières loges de l’évolution politique du Québec. Nous sommes très fiers de pouvoir compter sur la grande expérience et la rigueur de ce communicateur aguerri », a-t-il déclaré.

Au cours de sa carrière, M. St-Louis a été correspondant parlementaire tant à Québec qu’à Ottawa, directeur de l’information à Télémédia, rédacteur en chef à Radio-Canada et producteur des débats «Face à face» à TVA.

Nomination des sénateurs québécois. Les libéraux incapables de poser un geste nationaliste


 Publié le 8 janvier 2016

Alors que le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, doit procéder en début d’année à la nomination d’une nouvelle sénatrice ou d’un nouveau sénateur pour le Québec, le gouvernement libéral de Philippe Couillard refuse toujours que ce soit l’Assemblée nationale qui soumette au gouvernement fédéral, à la suite d’un vote aux trois quarts des députés, une liste de trois noms pour combler le siège convoité.

Les députés caquistes Benoit Charette et Simon Jolin-Barrette ont fait parvenir, vendredi, une lettre officielle au premier ministre et au ministre des Affaires intergouvernementales, Jean-Marc Fournier, pour leur demander de prendre des actions concrètes pour moderniser la procédure de nominations des sénateurs et faire véritablement respecter le caractère distinct du Québec dans ce processus.

« Rien ne justifie qu’en 2016 les Québécois ne puissent faire partie intégrante du processus de nomination des sénateurs. Jean-Marc Fournier est sorti discrètement un 21 décembre pour indiquer qu’il souhaiterait que le Québec ait des représentants sur un comité, sans plus. Cette demande manque à la fois d’ambition et de courage. Elle ne correspond absolument pas ce à quoi les Québécois, pourtant reconnus comme formant une nation à la Chambre des communes, s’attendent de leur gouvernement », a déploré Benoit Charette, porte-parole en matière d’affaires intergouvernementales canadiennes et député de Deux-Montagnes.

Un gouvernement qui n’est pas nationaliste

Le manque de courage du gouvernement libéral de Philippe Couillard atteint de nouveaux sommets, a indiqué pour sa part le porte-parole de la CAQ en matière de justice et député de Borduas. Selon lui, le malaise des libéraux lorsque vient le temps de poser des gestes nationalistes est de plus en plus difficile à cacher.

« Le PLQ refuse de saisir cette opportunité et de respecter la volonté des Québécois. La solution mise de l’avant par la CAQ est pragmatique, réaliste, non-partisane et ne nécessiterait aucune modification constitutionnelle. Elle a l’avantage d’être gagnante pour tous les Québécois et de n’enlever absolument rien au gouvernement fédéral. Que le gouvernement l’accepte ou non, les Québécois forment une nation et s’attendent à ce que Québec ait son mot à dire pour la nomination de ceux qui composent une institution qui, pour l’instant, est encore au centre du processus législatif au gouvernement fédéral », a mentionné Simon Jolin-Barrette.

Selon le député caquiste, un refus des libéraux viendrait confirmer non seulement le fait que Philippe Couillard n’est pas nationaliste, mais qu’il s’oppose tout simplement à remplir son rôle premier, soit celui de prioriser les intérêts des Québécois. « Les Québécois souhaitent faire progresser leur nation à l’intérieur du Canada. Et c’est clair que cela passe par accepter que le Québec ait son mot à dire dans la nomination de ceux qui composent une des deux chambres législatives du Canada. Malheureusement, nous sommes dirigés par un gouvernement au pouvoir depuis près d’une douzaine d’années sans interruption et qui a manqué de courage à chaque fois qu’il a eu l’opportunité de poser des gestes nationalistes », a conclu Simon Jolin-Barrette.

Deux ajouts de taille pour la CAQ


 Publié le 8 janvier 2016

Le début de l’année 2016 a été marqué par l’arrivée de deux vétérans des communications à la Coalition Avenir Québec.

Le 5 janvier, on apprenait que l’ancien conseiller de Pauline Marois et Gilles Duceppe, Stéphane Gobeil, joignait les rangs de la formation politique de François Legault.

«J’ai acquis la conviction que pour briser le monopole libéral, il faut unir les caquistes et les péquistes de bonne volonté derrière un projet nationaliste alliant fierté et prospérité. Cela prendra du temps et nous devrons bâtir des ponts. Pour ma part, j’ai décidé de commencer à le faire dès maintenant, en me joignant à la Coalition Avenir Québec », a-t-il expliqué.

Trois jours plus tard, c’est l’arrivée de Mychel Saint-Louis qui a soulevé de nombreuses réactions dans les médias et sur les réseaux sociaux.

« Après des rencontres et des discussions sur l’orientation résolument nationaliste à l’intérieur du Canada , sur le programme et aussi sur les engagements en matière de développement économique que je partage, j’ai donc accepté avec enthousiasme de faire équipe avec Francois Legault à titre de conseiller spécial en communications et ainsi de mettre mon expérience au service de mes concitoyens », a écrit sur sa page Facebook celui qui a notamment été correspondant parlementaire tant à Québec qu’à Ottawa, directeur de l’information à Télémédia, rédacteur en chef à Radio-Canada et producteur des débats «Face à face» à TVA.