Affichage des marques de commerce : Les libéraux renoncent à défendre le visage français du Québec


 Publié le 4 mai 2016

« Un règlement passoire et un coup d’épée dans l’eau » : voilà ce que pense la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de protection et de promotion de la langue française, Claire Samson, de l’annonce gouvernementale concernant l’affichage des marques de commerce. Selon elle, le gouvernement Couillard vient de rater une belle occasion d’assurer une prédominance du français sur les façades extérieures des commerces. En effet, selon le règlement dévoilé mercredi, l’ajout d’une simple affiche promotionnelle visible du trottoir, même bilingue, serait suffisant pour se conformer aux nouvelles exigences.

« Le Parti libéral renonce à défendre le visage français du Québec. Il fait une fois de plus la démonstration de son manque d’ambition et de considération pour l’affirmation identitaire des Québécois. L’annonce de la ministre cache sa véritable intention : elle refuse d’imposer aux entreprises l’ajout d’un générique français à leur marque de commerce. Mettez une publicité en français dans la fenêtre ou un simple “Bienvenue” et on passe à un autre appel! Pendant ce temps, la ministre veut nous faire croire que d’ici trois ans, le français sera visible partout au Québec. C’est rire de nous », a déclaré la députée d’Iberville.

Claire Samson a rappelé que le gouvernement aurait dû exiger l’ajout d’un générique ou d’un descriptif en français sur l’affichage extérieur d’une marque de commerce anglaise, comme l’a déjà réclamé la CAQ. Hélène David a plutôt choisi de se réfugier derrière le jugement de la Cour d’appel d’avril 2015, le même jugement qui l’invitait pourtant à agir par voie législative.

« Ce que la ministre propose n’est rien d’autre qu’une échappatoire pour les entreprises qui s’affichent en anglais. Un générique français devant une marque de commerce n’altère en rien la marque en question. Il représente plutôt un respect minimal envers la société québécoise, dont la langue française est la langue officielle. Quand on veut défendre les intérêts du Québec, on se relève les manches et on agit. Contrairement au Parti libéral, la CAQ ne reculera devant rien pour défendre le visage français du Québec », a conclu Claire Samson.

Éric Caire dénonce une erreur 11,5 milliards de dollars de Dominique Anglade


 Publié le 28 avril 2016

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour le Conseil du trésor, Éric Caire, a démontré la méconnaissance flagrante de la ministre responsable de la Stratégie numérique, Dominique Anglade, d’un des programmes de son propre ministère.

Le député caquiste est revenu sur les propos tenus par la ministre de l’Économie lors des études des crédits, alors qu’elle avait mentionné que l’enveloppe budgétaire annoncée pour soutenir le virage numérique des entreprises, soit 3,1 millions de dollars, est une « somme modeste » qui « n’a pas de limite ». Dominique Anglade a même indiqué que ce moment était une « estimation » et que toutes les entreprises du Québec peuvent s’en prévaloir. Or, pour Éric Caire, son argumentaire ne tient pas la route, notamment sur le plan budgétaire.

« Quand j’ai fait savoir à la ministre que 3,1 millions de dollars pour le rattrapage de nos entreprises en matière de commerce électronique, c’était anémique, elle s’est rangée de mon côté et a elle-même reconnu que l’aide de son gouvernement était modeste. Par contre, elle continue d’affirmer que toutes les entreprises du Québec pourront toucher le crédit d’impôt de 50 000 $. Il y a plus de 236 000 entreprises au Québec qui peuvent donc se prévaloir de cette enveloppe. On est très loin du 3,1 millions annoncés dans ce cas-là, parce qu’il lui faut plutôt 11,834 milliards de dollars pour honorer sa promesse! Où compte-t-elle exactement puiser le manque à gagner de 11,5 milliards de dollars? Nos entreprises font face à un défi sérieux, ils méritent de connaître la vérité. Ils n’ont pas à subir l’improvisation libérale », a déclaré Éric Caire.

Visiblement embarrassée, Dominique Anglade a ajouté une couche en refusant de retirer ses propos tenus en commission parlementaire, malgré l’invitation lancée par le député de La Peltrie.

Pour ou contre le registre des armes d’épaule?


 Publié le 27 avril 2016

La Coalition Avenir Québec entreprend une démarche de consultation publique afin de connaître l’opinion de la population sur le registre québécois des armes d’épaule.

Depuis plusieurs mois, le projet de loi 64 du gouvernement Couillard fait l’objet d’un débat émotif.

Il est possible de donner votre opinion sur la création d’un registre des armes d’épaule au www.pouroucontreleregistre.com.

Rappelons qu’afin de refléter fidèlement les opinions des citoyens provenant de toutes les régions du Québec, les députés de la Coalition Avenir Québec auront droit à un vote libre sur la version finale du projet de loi 64 du gouvernement Couillard.

Remplacement d’urgence des disjoncteurs : Hydro-Québec est au courant depuis 2003


 Publié le 27 avril 2016

Alors que les Québécois se voient refiler une facture de plus de 500 millions de dollars pour le remplacement d’urgence des disjoncteurs du réseau électrique d’Hydro-Québec, la Coalition Avenir Québec a dévoilé un rapport interne, produit en décembre 2003 par un ingénieur de la société d’État, recommandant à Hydro-Québec de substituer ses disjoncteurs PK pour ceux d’une nouvelle génération.

L’étude datant de 2003 est sans équivoque : les disjoncteurs de type SF6 sont plus fiables, durables, performants, sécuritaires et abordables au long terme que ceux de type PK, a révélé la porte-parole de la CAQ en matière d’énergie, Chantal Soucy, qui a brandi le rapport en question au Salon bleu. Elle a sommé le ministre de l’Énergie, Pierre Arcand, d’identifier les gestionnaires derrière cette mauvaise décision administrative et d’inviter personnellement la Vérificatrice générale à enquêter.

« Je n’arrive pas à croire que la solution est connue et identifiée depuis 2003, mais qu’Hydro-Québec n’a allumé que maintenant! Non seulement la société d’État est au courant depuis 13 ans des dangers de ses disjoncteurs, responsables aujourd’hui de pannes majeurs et d’incendies, mais elle ose aujourd’hui réclamer des millions aux contribuables pour des mises à niveau d’urgence. Je vais vous dire ce qui est urgent : c’est de sanctionner les responsables de ce fiasco. Il y a clairement eu négligence dans ce dossier et il faut que la Vérificatrice générale puisse enquêter sur ce qui s’est passé », a déclaré Chantal Soucy, face à un Pierre Arcand visiblement inconscient de l’existence de ce rapport.

La députée de Saint-Hyacinthe a mentionné avoir été surprise d’apprendre dans l’étude d’Hydro-Québec que des remises à niveau d’un peu plus d’une centaine de disjoncteurs ont été menées entre 1994 et 2002. Puisqu’une remise à neuf d’un disjoncteur augmente sa durée de vie en moyenne de 30 ans, la majorité des équipements actuels devraient en théorie être fonctionnels minimalement jusqu’en 2024, a fait savoir Chantal Soucy. « Le ministre ne peut plus ignorer les faits. Je ne peux pas croire qu’il ne se demande pas autant que moi ce qui a bien pu se passer pour que 13 ans plus tard, Hydro-Québec se réveille et réclame des travaux de dernière minute! À cause de la mauvaise gestion interne chez Hydro-Québec, c’est une autre facture, d’un demi-milliard de dollars cette fois-ci, qui attend les Québécois », a regretté la caquiste.

16 000 $ pour une étude sur le « pastafarisme » : Philippe Couillard doit rappeler son ministre à l’ordre


 Publié le 22 avril 2016

Les Québécois ont été découragés de voir leur ministre des Transports, Jacques Daoust, faire des blagues mal placées au sujet du gaspillage de 16 000 $ de son ministère pour étudier une religion frivole. Aux yeux de la Coalition Avenir Québec, M. Daoust aurait dû se montrer gêné plutôt que de jouer au fanfaron en commission parlementaire. Le parti de François Legault demande donc à Philippe Couillard de rappeler à l’ordre son ministre et attend toujours qu’un premier représentant du gouvernement reconnaisse que cette dépense était une erreur.

La porte-parole de la CAQ en matière de laïcité, Nathalie Roy, se pose de sérieuses questions quant à l’importance qu’accordent les ministres libéraux à l’argent. Rappelons qu’il y a deux semaines, la ministre Rita De Santis avait comparé 150 000 $ à des « des peanuts ».

« Je me demande bien ce que représente l’argent pour ce gouvernement-là! Si 150 000 $ c’est des peanuts, 16 000 $ c’est quoi au juste? Visiblement, pour Jacques Daoust et ses collègues, 16 000 $ c’est des miettes, mais pour les millions de contribuables qui se lèvent chaque matin pour aller travailler et payer leurs impôts, c’est une somme considérable. Au lieu de présenter ses excuses à toute la population, Jacques Daoust est allé de mauvaises blagues, de rires en coin, de sourires moqueurs. Il a même lancé un avertissement à tous les “pastafariens” de “bien se tenir”. Au lieu d’être gêné de ce gaspillage de fonds publics, il a ri à gorge déployée devant toute la population. 16 000 $ pour des jokes plates, c’est cher payé. Je demande au premier ministre Philippe Couillard de rappeler son ministre à l’ordre et lui demander de s’excuser auprès des contribuables », a tonné Nathalie Roy.

Selon Jacques Daoust, ce serait Stéphanie Vallée qui aurait elle-même donné la directive à ses procureurs d’aller de l’avant en Cour supérieure, gaspillant ainsi le précieux temps de l’appareil judiciaire québécois. Mme Roy réclame donc des deux ministres qu’ils se parlent et qu’ils punissent les responsables de cette affaire ridicule dans leurs ministères respectifs.

« Personne au gouvernement n’a encore reconnu que c’était une erreur. Je ne peux pas croire que le gouvernement s’en lave les mains après avoir dépensé 16 000 $ pour savoir si porter un costume de pirate ou une passoire à spaghettis est une religion. Au lieu de rire bêtement, ils devraient se poser de sérieuses questions et s’assurer que ce genre de situation ne se reproduise plus », a conclu Nathalie Roy.

Pour une 2e fois en 2 jours : Le PLQ bloque une motion demandant une enquête interne sur les partis


 Publié le 21 avril 2016

Le Parti libéral du Québec persiste et signe : il n’a pas l’intention d’ouvrir ses livres. En effet, pour une deuxième journée de suite, les députés libéraux ont refusé d’appuyer la motion de la Coalition Avenir Québec exigeant à l’Assemblée nationale de reconnaître la nécessité de déclencher une enquête sur le financement des partis politiques au cours des années 1996 à 2011.

Pourtant, pas plus tard qu’hier, le premier ministre et chef libéral, Philippe Couillard, a affirmé qu’il était prêt à montrer patte blanche, et ce, pour « toutes les époques » de sa formation politique. Pour la porte-parole de la CAQ en matière d’intégrité, Nathalie Roy, ce deuxième revers en dit long sur le malaise qui règne au sein du caucus libéral.

« Qu’ont-ils à cacher? On ne sait plus qui dit vrai dans ce parti! Le premier ministre se fait rabrouer deux fois plutôt qu’une par ses troupes, alors qu’il a finalement admis, après des semaines de pression, qu’il n’avait aucun problème à ce que le Directeur général des élections mette son nez dans les livres du Parti libéral pour les 20 dernières années. C’est simple : en refusant notre motion, non seulement Philippe Couillard revient sur ses propos, mais il refuse de s’engager à rembourser l’argent sale qui aurait été versé illégalement au cours de toute la période étudiée par la commission Charbonneau. Les Québécois ont de nombreuses questions et ils attendent des réponses. Combien Marc-Yvan Côté a-t-il ramassé d’argent? Est-ce qu’il s’agissait de contributions légales? Ce que les citoyens veulent, c’est que le gouvernement permette au DGE qu’il remonte dans le temps pour récupérer l’argent collecté illégalement! » a fait savoir Nathalie Roy.

« Qu’est-ce que Philippe Couillard a à cacher? » -François Legault


 Publié le 20 avril 2016

Talonné par le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, a finalement admis du bout des lèvres qu’une vérification interne était en cours dans son parti au sujet du financement politique illégal. Le chef libéral ne s’est toutefois pas engagé à rendre publics les résultats de cette vérification et à rembourser les sommes illégales pour les 20 dernières années.

Le chef caquiste a exigé que les conclusions de cette vérification interne soient rendues publiques. Il a également accepté la proposition de Philippe Couillard de passer au peigne fin le financement de tous les partis politiques, y compris celui de la CAQ et de l’ADQ depuis 1996. Toutefois, les modalités entourant cette enquête demeurent floues et le premier ministre n’a pas profité de la période des questions pour préciser ses intentions. La pire chose qu’il pourrait arriver est qu’il improvise ou qu’il recule pour sauver les intérêts du Parti libéral, a prévenu François Legault.

« Depuis des mois, nous voulons que le Directeur général des élections puisse enquêter sur les pratiques de financement des partis lors des 20 dernières années. Les mêmes règles qui s’appliquent aux firmes de construction doivent aussi s’appliquer aux partis politiques. Il faut agir rapidement et faire enfin la lumière sur les 20 dernières années noires du financement politique illégal. Depuis son retour en politique, le premier ministre sait que le Parti libéral est lié à de nombreuses histoires de financement illégal depuis 1996. La première action qu’il aurait dû prendre en devenant chef du Parti libéral aurait été de mener une vérification interne pour faire le ménage. Quel échéancier se donne-t-il pour sa vérification interne? Plutôt que d’être le garant de l’intégrité, le premier ministre est devenu le gardien des phrases floues. Il doit nous démontrer que son ouverture soudaine n’est pas celle d’un chef qui cherche à gagner du temps pour les intérêts du Parti libéral », a mentionné le chef de la CAQ.

Philippe Couillard s’est dessoufflé


 Publié le 13 avril 2016

Après avoir accusé le chef de la Coalition Avenir Québec de souffler sur les braises de l’intolérance pour avoir remis en question la capacité du Québec d’augmenter de 10 000 personnes son seuil d’immigration, le premier ministre Philippe Couillard et sa ministre Kathleen Weil semblent avoir finalement retrouvé leur esprit et reculé devant l’évidence, s’est réjoui François Legault.

Contrairement aux semaines précédentes, Philippe Couillard a refusé de réitérer son objectif d’accueillir 60 000 immigrants cette année. « Le 9 mars dernier, j’ai demandé au premier ministre de revoir sa décision d’augmenter de 20 %, de 50 000 à 60 000, le nombre d’immigrants qu’on accueille au Québec chaque année. Il m’a alors répondu que pour lui une augmentation du seuil d’immigration était nécessaire et dans un élan de colère, il m’a accusé de souffler sur les braises de l’intolérance. Je suis rassuré de voir que le premier ministre s’est dessoufflé dans ce dossier. La réalité est que le processus actuel d’intégration n’est pas adapté et ça doit être le constat que fait la ministre lorsqu’elle affirme qu’il faut maintenir la stabilité des seuils en ce moment », a déclaré François Legault.

Pour le chef de la CAQ, hausser les seuils d’immigration dans un contexte où l’intégration, la francisation et l’employabilité des néo-Québécois connaissent des lacunes importantes n’est pas une sage décision. À ses yeux, une intégration réussie passe nécessairement par des cours de français obligatoires pour tous les nouveaux arrivants, a réitéré M. Legault. « Une chose sur laquelle le premier ministre et moi pouvons-nous entendre, c’est que l’objectif, doit être de bien intégrer les nouveaux arrivants. Mais à la différence du premier ministre, je crois qu’il faut rendre les cours de français obligatoires, alors que pour lui, ce n’est pas grave si un nouveau Québécois ne parle toujours pas le français. Le premier ministre est incapable de dire si pour lui un néo-Québécois est bien intégré s’il ne parle pas le français! » a déploré François Legault.

Rappelons que dans Le Devoir du 9 mars dernier, Philippe Couillard déclarait « on a besoin de le faire », au sujet de la hausse des seuils d’immigration à 60 000 par année.

Un monopole temporaire pour Premier Tech, révèle la CAQ


 Publié le 13 avril 2016

La Coalition Avenir Québec a révélé mercredi que le ministre de l’Environnement, David Heurtel, a octroyé un monopole temporaire à Premier Tech, qui employait Marc-Yvan Côté, grâce à un règlement sur les fosses septiques en juillet 2014.

Le leader parlementaire caquiste, François Bonnardel, indique que le gouvernement a mis fin à cette situation de monopole la semaine dernière, alors que Sam Hamad était au centre d’une controverse impliquant Premier Tech.

La CAQ tisse un lien entre cette décision favorable au profit de Premier Tech et Marc-Yvan Côté, arrêté récemment par l’UPAC. Comme le rapporte le Journal de Montréal, dans un échange courriel datant de 2008, Marc-Yan Côté indique à André Côté, ex-vice-président de Roche, que «tout est organisé» avec le grand patron de Premier Tech. André Côté indiquait pour sa part qu’il voulait financer la campagne du député libéral Germain Chevarie, dont le frère est conseiller municipal et «pousse notre projet de traitement des résidences isolées depuis le début».

«Déjà dans ce dossier des fosses septiques qui ne sent pas très bon au Parti libéral, on voit les accointances qu’il y avait en 2008», soutient François Bonnardel, qui demande du même coup des explications à David Heurtel.

Hélène Girard invite les citoyens de Chicoutimi à voter pour le changement


 Publié le 7 avril 2016

La candidate de la Coalition Avenir Québec dans Chicoutimi, Hélène Girard, dresse un bilan plus que positif de sa campagne électorale. Pour Mme Girard, le choix est clair pour les électeurs de Chicoutimi : ils ont l’opportunité de voter pour une candidate qui se fera un devoir d’être véritablement leur porte-parole à l’Assemblée nationale ou encore de voter pour ses adversaires qui seront, au contraire, les porte-paroles de leur parti à Chicoutimi.

« Depuis le début, j’ai mené une campagne franche et honnête, et vous pouvez être assurés que c’est de cette manière que je poursuivrais mon travail en tant que députée. Mes intentions ont toujours été claires, et c’est de représenter fidèlement les citoyens de Chicoutimi à Québec. C’est pour ça que je me suis positionnée contre le registre des armes à feu. Les gens de Chicoutimi sont à majorité contre, tout comme moi. Seule la CAQ propose une réelle démocratie. Tant mon adversaire péquiste que libérale ont déjà indiqué qu’elles suivront la ligne de leur parti. Je crois que les gens en ont assez de cette manière de faire qui est, selon moi, désuète », explique Hélène Girard.

Bâtir pour l’avenir

Consciente du contexte de cette élection partielle, Hélène Girard ajoute que la Coalition Avenir Québec devient de plus en plus un choix naturel pour les électeurs de Chicoutimi. Après avoir passé les quatre dernières semaines sur le terrain, la candidate se dit plus que satisfaite des échanges avec les électeurs. « Vous savez, ma formation politique n’a que quatre ans. Mais mon chef, François Legault, est le plus populaire à Chicoutimi. Les gens s’intéressent de plus en plus à la CAQ et je crois que c’est très prometteur pour l’avenir. Les gens en ont assez de voir les deux vieux partis s’affronter sur la question de la souveraineté depuis plusieurs décennies. Ils veulent un plan réel pour relancer l’économie du Québec qui en arrache beaucoup présentement, et ils réalisent que c’est la CAQ qui propose le meilleur plan », ajoute Mme Girard.

La CAQ, le parti des régions

De passage à Chicoutimi pour appuyer Hélène Girard dans le dernier droit de cette campagne, le député de Chambly et porte-parole de la CAQ en matière d’Éducation, Jean-François Roberge, affirme que le CAQ est le seul parti qui a réellement à coeur le développement économique des régions. « Nous martelons le fait qu’il faut mettre en place un Fonds de relance du secteur manufacturier de 5 milliards de dollars sur cinq ans pour inciter nos entreprises à innover et à exporter. À Chicoutimi, il pourrait s’agir d’un levier d’un premier plan pour relancer l’économie. N’oublions pas que nous demandons aussi une baisse d’impôts de 500$ par personne depuis plusieurs mois déjà », soutient le député.

Rappelons qu’en plus du chef de la CAQ, François Legault, plusieurs députés, dont Nathalie Roy, François Paradis, André Lamontagne et Jean-François Roberge sont venus prêter main forte à Hélène Girard durant la partielle. Les électeurs de Chicoutimi sont appelés aux urnes lundi.