Il est temps de donner une vraie leçon aux libéraux, dit François Legault


 Publié le 15 septembre 2016

« Les Québécois doivent sanctionner le gouvernement Couillard  pour son inaction et son peu d’intégrité lors des élections partielles qui se tiendront cet automne. » C’est ce qu’a soutenu jeudi matin le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, alors qu’il présentait ses deux candidates aux élections de Marie-Victorin et Verdun.

« Il est temps de donner une vraie leçon aux libéraux », a lancé le chef caquiste, rappelant que les événements des dernières semaines ont prouvé que le Parti libéral a l’éthique élastique et fait de la démagogie son arme principale. « Que l’on parle d’éthique ou d’intégrité, les libéraux ne font qu’à leur tête. De Jean Charest à Philippe Couillard, c’est la même arrogance. Le gouvernement n’a plus d’excuses. Ce sont les mêmes visages, la même équipe qui est au pouvoir au Québec depuis 2003. Philippe Couillard prétend savoir mieux que la population ce qui est bon pour elle, mais cet automne, croyez-moi, les citoyens de Saint-Jérôme, Marie-Victorin, Verdun et Arthabaska sauront bien lui faire part de leur mécontentement face à son gouvernement », a indiqué François Legault, accompagné de ses deux candidates. 

Plus que jamais, les Québécois souhaitent mettre un terme aux problèmes d’éthique et d’intégrité au sein du gouvernement libéral. Pour y arriver, il faut toutefois envoyer de nouveaux visages à l’Assemblée nationale, a indiqué M. Legault. « C’est en votant pour Julie Chapdelaine dans Marie-Victorin et Ginette Marotte dans Verdun que les citoyens pourront véritablement sanctionner les libéraux. Nos deux candidates sont de deux générations différentes, mais elles représentent le même Québec : le Québec qui travaille, qui paie ses impôts, qui s’implique dans sa communauté, qui se lève chaque matin et qui a le désir de se prendre en main. Le Québec du vrai monde! D’ici 2018, il faut profiter de toutes les occasions pour envoyer un message à tout le Québec : les libéraux doivent cesser de se moquer de nous! », a soutenu le chef de la CAQ.

Dans Verdun, c’est Ginette Marotte, ancienne mairesse de Verdun et conseillère municipale à la Ville de Montréal, qui portera les couleurs de la CAQ.  Après une pause de la vie politique en 2013 pour s’occuper de sa mère atteinte d’un cancer, Mme Marotte est prête à replonger dans l’arène politique et compte faire de la dignité des aînés sa grande priorité. Dans Marie-Victorin, la CAQ présente Julie Chapdelaine, une femme issue du milieu de la restauration où elle a occupé des postes dans plusieurs établissements. Mme Chapdelaine complète actuellement un baccalauréat en gestion aux HEC après un retour aux études.

Fêtes religieuses et accommodements raisonnables : La CAQ fustige l’inaction des libéraux


 Publié le 13 septembre 2016

Depuis près de 10 ans, les libéraux se traînent littéralement les pieds dans le dossier des accommodements raisonnables, déplore la Coalition Avenir Québec, qui regrette de voir la fête du Mouton, célébrée actuellement par la communauté musulmane, créer certains remous dans la société québécoise.

Tout d’abord, la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, estime que la loi sur le bien-être animal dont s’est dotée Québec en décembre dernier est pleine de trous, malgré les avertissements lancés au ministre Pierre Paradis lors de son étude. « La loi permet en toute liberté l’abattage personnel d’un animal, mais en contrepartie soumet les abattoirs à des règles strictes pour limiter les souffrances de l’animal. Il y a ici un non-sens flagrant. C’est simple : aucun prétexte, même religieux, ne devrait permettre d’abattre un mouton dans sa cour arrière et de faire souffrir un animal ainsi. On ne peut tolérer ça comme société. Malheureusement, Pierre Paradis a choisi de fermer les yeux et d’éviter la question. Cela démontre une fois de plus la timidité et l’embarras du gouvernement face à toutes les questions portant sur les accommodements religieux », regrette la députée de Mirabel.

Congé « déraisonnable », dit la CAQ

Alors que certains professeurs de la Commission scolaire de Montréal ont obtenu un congé payé, lundi, pour célébrer la fête du Mouton, le porte-parole de la CAQ en matière d’éducation, Jean-François Roberge, se demande jusqu’à quand le gouvernement libéral compte laisser les écoles gérer elles-mêmes des enjeux aussi délicats comme celui d’accorder des absences liées à des fêtes religieuses.

Selon le député de Chambly, un employé de l’État ne devrait pas être rémunéré s’il ne travaille pas lors d’une fête religieuse. Le rapport des commissaires Bouchard-Taylor avait d’ailleurs mis les projecteurs sur ce point sensible en 2008, mais les libéraux n’ont pas encore agi à ce jour. « On ne peut plus continuer de pelleter ça dans la cour des écoles! La directive devrait être claire : si le ratio d’élèves pratiquant la fête religieuse fait en sorte que le taux d’absentéisme serait trop grand ce jour-là, on devrait faire coïncider une journée pédagogique à cette date. Mais on doit s’assurer que le service de garde demeure ouvert et en aucun cas on ne devrait accorder un congé payé aux enseignants. Présentement, le flou libéral sur les accommodements raisonnables laisse place à l’arbitraire », a expliqué M. Roberge.

C’est le statu quo depuis près de 10 ans dans le dossier des accommodements raisonnables. Or, les libéraux sont responsables de cette confusion. « Dès qu’il est question d’identité, ils balaient ça sous le tapis! Il est grand temps de s’attaquer aux accommodements raisonnables, de mettre en place des balises claires à partir desquelles les organismes pourront juger des demandes d’accommodement et s’assurer qu’elles respectent les valeurs québécoises », a pour sa part conclu la porte-parole caquiste en matière de laïcité, Nathalie Roy.

Contrat accordé à Philippe Cannon : La rentrée du manque d’intégrité se poursuit pour les libéraux


 Publié le 12 septembre 2016

Cette rentrée parlementaire est définitivement marquée sous le signe du manque d’intégrité du gouvernement libéral de Philippe Couillard, fustige le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’efficacité de l’administration publique, Éric Caire, après avoir appris que Philippe Cannon, un libéral notoire et ex-collaborateur de Philippe Couillard, ait décroché un contrat sur l’organisation de la conférence de l’UNESCO sur la radicalisation qui se tiendra prochainement à Québec.

Les récompenses aux fidèles du Parti libéral pleuvent de toute part depuis l’arrivée des libéraux au pouvoir. Cette fois-ci, c’est Philippe Cannon, ex-chef de cabinets ministériels sous l’ère de Jean Charest, qui se voit remercié pour sa fidélité et ses loyaux services. Or, le député Éric Caire y voit un autre tour de passe-passe partisan totalement inacceptable.

« 36 000 $ : voilà le dernier chèque signé par les contribuables québécois pour arrondir les fins de mois d’un ami du régime. Comme le veut la vieille tradition, le gouvernement puise dans son réseau de contacts pour des postes importants. La radicalisation n’est pas un sujet banal : c’est un véritable fléau pour notre société et Philippe Couillard embauche avec comme simple prérequis le plus grand nombre d’années comme fidèle libéral. De toutes les personnes qui font de l’organisation d’événements au Québec, je ne peux pas croire qu’on avait comme seul choix un libéral de longue date! Sa seule compétence, c’est d’avoir participé à la campagne du PLQ avec Couillard en 2008 et d’avoir gravité dans les cabinets libéraux pendant de nombreuses années », critique Éric Caire.

Pour le député de La Peltrie, il devient de plus en plus évident que pour ce gouvernement, l’éthique n’est qu’une question d’apparence. « On a eu droit ces derniers jours à un lot de controverses et le contrat accordé à Philippe Cannon ne fait que s’ajouter au bilan catastrophique de Philippe Couillard en matière d’éthique. Malheureusement, le manque de jugement est devenu une norme généralisée au sein du gouvernement », déplore Éric Caire.

Refonte de la carte électorale : Les libéraux doivent cesser leurs manœuvres partisanes, dénonce Benoit Charette


 Publié le 12 septembre 2016

Alors que les parlementaires sont réunis à l’Assemblée nationale pour l’étude du rapport préliminaire de la Commission de représentation électorale sur la refonte de la carte électorale, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’institutions démocratiques, Benoit Charette, dénonce avec vigueur les pressions partisanes que les députés du Parti libéral tentent d’exercer sur le Directeur général des élections du Québec (DGEQ) afin de sauver des comtés libéraux retirés par la nouvelle carte électorale.

« Les libéraux veulent carrément inventer de nouveaux critères pour délimiter la carte, au mépris des règles démocratiques prévues dans la Loi. Selon eux, il faudrait baser le découpage de la carte sur le nombre d’habitants plutôt que sur le nombre d’électeurs, ce qui aurait pour effet d’avantager plusieurs de leurs comtés en bafouant le principe voulant que chaque citoyen qui a le droit de vote a un poids égal dans la décision. Ça ne fait aucun sens! » déclare Benoit Charette.

Pour le député de Deux-Montagnes, il devient de plus en plus évident que le Parti libéral n’a que pour seul calcul la défense de ses propres intérêts partisans. « Ce que propose le Parti libéral est extrêmement inquiétant. Il ne cherche qu’à ajouter ou maintenir des circonscriptions dans des régions où historiquement il est plus fort et éviter d’en ajouter là où il est moins fort, sans tenir compte de la croissance démographique. C’est de la partisanerie pure et simple », fustige M. Charette.

La CAQ invite le premier ministre Philippe Couillard à rappeler ses troupes à l’ordre. Il est grand temps pour les libéraux de respecter les grands principes de notre démocratie et de favoriser la juste représentation de tous les Québécois. « L’image du Parti libéral se noircit davantage de jour en jour. Il est navrant de constater à quel point les libéraux refusent de collaborer lorsqu’il est question d’éthique. Quand vont-ils enfin comprendre que les Québécois ne veulent plus rien savoir de leurs vieilles façons de faire? » conclut Benoit Charette.

Commission de la Relève de la CAQ : Les jeunes caquistes veulent donner un coup de pouce aux universitaires


 Publié le 10 septembre 2016

Les 150 jeunes présents au Congrès de la Relève de la Coalition Avenir Québec qui s’est déroulé samedi à Trois-Rivières ont adopté une résolution réclamant le remboursement de 15% des frais de scolarité universitaires aux étudiants à temps plein du premier cycle qui concluent leurs parcours d’étude. Pour le président, Samuel Lemire, cette résolution, tout comme plusieurs autres, démontre la qualité des débats qui ont eu lieu durant cet évènement.

« Je suis très fier des échanges et des résolutions ambitieuses qui ont été mises de l’avant, notamment en éducation. Le député Jean-François Roberge fait un travail remarquable pour rétablir les services de soutien aux étudiants en difficulté. D’un autre côté, il importe également d’encourager les jeunes à finir leurs études à temps complet, donc s’inscrire à un minimum de 12 crédits par trimestre. Un incitatif financier positif constitue l’option la plus efficace », souligne Samuel Lemire.

Il en a profité pour faire un appel à la convergence des jeunes sous la bannière de la CAQ. « Au fil du temps, nous avons su devenir une force positive au sein de la CAQ en initiant le rassemblement et la proposition de changements. On ne peut malheureusement pas en dire autant pour d’autres mouvements de jeunes qui ont été muselés par leur parti, notamment dans le dossier Uber. Notre porte est toujours ouverte à ceux qui veulent agir véritablement pour l’avenir du Québec. Bienvenue a ceux et celles qui veulent se joindre à une équipe de militants extraordinaires », poursuit-il.

Une résolution d’urgence pour les agriculteurs en détresse

Alors que le congrès s’est déroulé simultanément avec la 14e Journée mondiale de la prévention suicide, une résolution d’urgence a été déposée afin que chaque municipalité régionale de comté se dote d’un travailleur de rang afin de fournir du soutien préventif et réactif aux producteurs agricoles et à leurs familles, qui sont parmi les travailleurs les plus à risque de se suicider. « Selon Santé Canada, les agriculteurs ont un taux de suicide deux fois plus élevé que le reste des Québécois. Qui plus est, 51 % des travailleurs agricoles, contre 20 % pour l’ensemble des Québécois, se trouveraient en situation de détresse psychologique selon une étude de la Coop fédérée. Ces proportions sont alarmantes », affirme Fanny Cantin, responsable aux affaires politiques de la CRCAQ. Cette résolution a été grandement applaudie par la totalité des jeunes et des députés caquistes présents.

Le chef de la CAQ, François Legault, a pour sa part tenu à souligner « la rigueur, la qualité des débats, ainsi que les mesures ambitieuses » qui ont été soulevées par les jeunes durant le congrès.

Remboursement de dons illégaux : Les libéraux et péquistes doivent collaborer et vider leur sac, exige la CAQ


 Publié le 9 septembre 2016

Sept semaines après avoir été frappés d’un avis formel d’intention de réclamation du Directeur général des élections du Québec (DGEQ) relativement à des contributions illégales, le Parti libéral et le Parti québécois semblent déterminés à trouver toutes les avenues possibles pour ne pas rembourser l’argent sale dûment réclamé, dénonce le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de réforme des institutions démocratiques, Benoit Charette.

« Assez, c’est assez! » tonne le caquiste, qui somme les deux vieux partis à faire preuve de bonne foi et à s’inspirer de la CAQ, qui, contrairement à eux, n’a pas attendu pour verser au DGEQ les montants illégaux perçus par la défunte Action démocratique du Québec.

« Nous avons collaboré, de façon honnête et transparente, et nous avons remboursé tout ce qui était exigé au mois d’août. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de nos adversaires, qui préfèrent faire durer inutilement le suspense. Le PLQ et le PQ se sont tous deux fait prendre les culottes baissées et malgré cela, ils refusent de vider leur sac. Les montants sont sérieux, ce ne sont pas des peanuts : on parle de 500 000 $ pour le PLQ et de 250 000 $ pour le PQ. Après les nombreux scandales de financement et les révélations faites à la commission Charbonneau, les Québécois n’acceptent pas que de l’argent collecté illégalement ne soit pas remboursé immédiatement. C’est à se demander les raisons pour lesquelles les libéraux et les péquistes ne veulent pas mettre un terme à cette culture occulte, qui a suscité tant de cynisme dans la population », lance le caquiste Benoit Charette.

Le député de Deux-Montagnes ajoute que les derniers jours ont su démontrer à quel point les libéraux de Philippe Couillard n’ont aucune leçon d’éthique à donner. Il rappelle d’ailleurs que pas plus tard qu’en juin, le Parti libéral avait intentionnellement refusé de verser une somme de 3 500 $ récoltée illégalement et pour laquelle le DGEQ a réclamé un remboursement en 2015. « L’histoire ne doit pas se répéter. L’éthique est élastique dans ce gouvernement. La morale et le sens des valeurs au PLQ prennent le bord jour après jour. Le Parti libéral n’a pas changé », conclut-il.

Subvention accordée à un proche de Lessard : La CAQ réclame deux enquêtes


 Publié le 8 septembre 2016

À la suite des révélations concernant l’octroi d’une subvention gouvernementale à une entreprise dirigée par un proche collaborateur du ministre Laurent Lessard, alors qu’il était toujours à son emploi, la Coalition Avenir Québec réclame la tenue de deux enquêtes pour que toute la lumière soit faite sur le dossier : une du commissaire à l’éthique et à la déontologie, Jacques Saint-Laurent, et une autre du commissaire au lobbyisme, François Casgrain.

Une fois de plus, le gouvernement Couillard se retrouve en situation d’apparence de conflit d’intérêts, fait savoir le député et porte-parole de la CAQ en matière de justice, Simon Jolin-Barrette. Il rappelle qu’Yvon Nadeau a occupé les fonctions de conseiller politique du ministre des Forêts, Laurent Lessard, entre mai 2014 et mai 2015… tout en étant également président, directeur général et principal actionnaire de l’entreprise Pyrobiom Énergies, depuis septembre 2013. M. Nadeau a donc occupé simultanément ces deux fonctions, souligne le caquiste.

« Ces faits soulèvent des questions très sérieuses. Nos règles déontologiques et éthiques sont claires, à savoir que le membre du personnel d’un cabinet de ministre ne peut se placer dans une situation de conflit entre son intérêt personnel et les devoirs de sa fonction. Or, les faits sont inquiétants : M. Nadeau fut non seulement conseiller politique du ministre Lessard et dirigeant d’une entreprise œuvrant dans le secteur de l’énergie et des forêts, il a mandaté un lobbyiste pour faire pression auprès de son propre ministère en vue de l’obtention d’une aide gouvernementale. Collaborateur et conseiller direct de Laurent Lessard, Yvon Nadeau pourrait avoir bénéficié d’information privilégiée et a possiblement tiré des avantages indus de cette situation particulière. Il est impératif de savoir le rôle précis joué par Laurent Lessard dans ce processus d’obtention d’aide gouvernementale. Les Québécois ont droit à la vérité », déclare Simon Jolin-Barrette.

Le député de Borduas ne peut s’empêcher de constater qu’une fois de plus, la ligne est bien mince lorsqu’il est question d’éthique avec ce gouvernement. Il rappelle que le premier ministre avait promis de faire les choses différemment, mais il cautionne encore et toujours les vieilles façons de faire libérales, qui viennent nuire à des projets économiques, déplore M. Jolin-Barrette, qui espère que Philippe Couillard n’attendra pas la fin des enquêtes pour faire preuve de leadership et obtenir des comptes de son ministre des Transports. « Le Parti libéral est une fois de plus hanté par les mêmes controverses éthiques qu’on lui reproche depuis des années. Il est tout simplement incapable de s’en défaire. On comprend qu’encore une fois, les intérêts du Parti libéral passent avant ceux des Québécois pour ce gouvernement. Les Québécois en ont assez des scandales et des ministres épinglés pour leur manque d’éthique. Il est impératif que le commissaire à l’éthique et à la déontologie et le commissaire au lobbyisme se penchent sur cette affaire afin de réparer le lien de confiance avec les citoyens, mais j’espère que le premier ministre a minimalement déjà convenu d’une rencontre avec Laurent Lessard », conclut Simon Jolin-Barrette.

Le CAPRY et la députée Chantal Soucy obtiennent des résultats concrets pour les personnes vulnérables


 Publié le 8 septembre 2016

La députée de Saint-Hyacinthe, Mme Chantal Soucy, ainsi que le président du Collectif d’action populaire Richelieu-Yamaska (CAPRY), M. Jean-Paul St-Amand, sont fiers d’annoncer l’obtention d’un  rehaussement de financement annuel récurrent de 18 000 $ pour le CAPRY de la part du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale. Cette annonce a été accueillie avec un soupir de soulagement par le milieu communautaire de la région.

En effet, depuis la fermeture du Centre d’information communautaire de Saint-Hyacinthe (CIC) – qui avait pour mission la défense des assistés sociaux – la grande région ne comptait officiellement sur aucun organisme pour venir en aide aux personnes vivant de l’aide sociale. Le CAPRY avait alors accepté de prendre le relais et de desservir cette clientèle, mais son sous-financement menaçait l’atteinte de ses objectifs. « Nous avons dû nous réorganiser et gérer notre propre mission, ainsi que celle du CIC, avec notre maigre financement de 30 000 $ par année, ce qui était nettement insuffisant », affirme Michel Gauvin, coordonnateur du CAPRY, qui a aussitôt entrepris des démarches de demande de financement auprès du gouvernement.

Il a également fait appel à la députée de Saint-Hyacinthe, Mme Chantal Soucy, pour l’appuyer dans ce dossier. « M. Gauvin a sollicité notre aide pour la première fois en septembre 2015. Il nous a alors fait part des difficultés qu’il entrevoyait dans ses démarches », explique la députée. « Le CAPRY avait le projet de venir aide à de nombreux citoyens de ma circonscription qui se retrouvaient désormais sans services. Il était donc important pour moi de le soutenir, afin qu’il puisse poursuivre ses activités et prendre en charge la clientèle du CIC », ajoute-t-elle.

La députée a donc redoublé d’efforts auprès du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale afin d’obtenir un rehaussement de financement pour le CAPRY. « Il faut se rappeler qu’en mars dernier, à la suite du dépôt du budget du Ministère des Finances, nous étions en pleine période de restrictions budgétaires. Obtenir un financement récurrent pour un organisme était donc tout un défi », souligne Chantal Soucy, qui a multiplié les suivis et interpellé directement le Ministre dans ce dossier

Bref, c’est après un an de travail acharné de la part du CAPRY et de l’équipe de Chantal Soucy, que le Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale a finalement octroyé, en juin dernier, un rehaussement de financement récurrent de 18 000 $ à l’organisme.

Chantal Soucy et le CAPRY promettent de continuer à travailler de concert afin de resserrer les liens au sein de la communauté et de continuer à défendre les droits des assistés sociaux de la région.

Carl Renaud se joint au cabinet de François Legault


 Publié le 6 septembre 2016

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer la nomination de M. Carl Renaud au poste de conseiller économique au sein de l’équipe de l’aile parlementaire de la CAQ.

Diplômé en communication et en science politique de l’Université Laval, M. Renaud a œuvré comme journaliste et chroniqueur économique pendant près de 10 ans, notamment pour TVA Nouvelles et les quotidiens Le Journal de Montréal et 24 Heures. M. Renaud a également été à la barre d’une émission quotidienne sur l’actualité boursière à la chaîne de télévision Argent. Pour M. Legault, il ne fait aucun doute que Carl Renaud apportera une expertise supplémentaire à l’équipe de recherche de la CAQ dans l’élaboration de politiques économiques. « L’arrivée de Carl Renaud à la CAQ est toute une prise pour notre parti. Carl est un journaliste économique expérimenté, qui connaît la santé financière des Québécois et la réalité délicate et difficile de nos familles. Respecté par l’ensemble de ses collègues journalistes, il a su tailler sa place dans la sphère médiatique. C’est avec grand plaisir que nous l’accueillons dans la grande famille caquiste », a déclaré François Legault.

Par ailleurs, la CAQ a annoncé d’autres changements dans la composition de l’équipe de recherche. Tout d’abord, Élyse Pepin-Laporte agira à titre de directrice adjointe du service de recherche du deuxième groupe d’opposition, tandis que le recherchiste responsable des dossiers rattachés aux ressources naturelles, Frédéric Schautaud, a récemment quitté ses fonctions.

Tournée Debout pour le Québec : François Legault salue les avancées majeures accomplies à Lac-Mégantic


 Publié le 3 septembre 2016

De passage à Lac-Mégantic dans le cadre de sa tournée estivale Debout pour le Québec, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a pu constater de ses propres yeux le fruit de la résilience et du courage des Méganticois, trois ans après la tragédie ferroviaire qui a frappé leur ville.

Au cours de la journée, samedi, François Legault a visité le chantier du centre-ville en reconstruction, en compagnie du maire de Lac-Mégantic Jean-Guy Cloutier, et s’est dit grandement impressionné par l’avancée des travaux. M. Legault s’est réjoui également de voir que le chantier est maintenant accessible pour les citoyens. « Je suis tellement fier de voir Lac-Mégantic se remettre sur pied, lentement mais surement. Pour la première fois cette fin de semaine, les Méganticois peuvent marcher dans leur nouveau centre-ville. Il ne faut pas diminuer l’importance de cette étape, qui leur permet de se réapproprier enfin leur ville. Lac-Mégantic se tient debout! Je suis conscient que le chemin de la reconstruction est long, dans tous les sens du terme, mais je suis content de constater des résultats concrets. La Ville de Lac-Mégantic a un bel avenir devant elle! » a déclaré le chef de la CAQ.

En vue de la finalisation des travaux de reconstruction, M. Legault a dit souhaiter voir l’économie locale reprendre du galon, mais la balle est dans le camp du gouvernement de Philippe Couillard. « À Lac-Mégantic, ce n’est pas le taux de chômage qui m’inquiète, mais plutôt la qualité des emplois, qui ne sont pas assez nombreux. Pour preuve : le salaire moyen ici est plus bas que la moyenne provinciale. Malheureusement, il n’y a pas de fonds économique. Je souhaiterais que le gouvernement libéral investisse dans un fonds pour attirer des entreprises privées », a poursuivi François Legault.

Le chef caquiste a également abordé des dossiers en santé lors de ses rencontres avec les acteurs politiques et sociaux de la région. Il a indiqué son malaise quant aux nombreux transferts d’emplois qui ont eu lieu de l’hôpital de Lac-Mégantic vers Sherbrooke. « C’est une très mauvaise idée que d’avoir transféré des dizaines d’emplois. Personne n’a démontré qu’il y avait d’importantes économies à faire. Ces délocalisations ont un impact important sur l’activité économique locale et c’est la raison pour laquelle le ministre Gaétan Barrette doit comprendre l’urgence de ramener ces emplois à Lac-Mégantic », a conclu François Legault.