Places fantômes dans les garderies : Le gouvernement laisse le phénomène perdurer, déplore la CAQ


 Publié le 1 novembre 2016

La directive du gouvernement libéral d’avril dernier, obligeant les enfants inscrits à temps plein dans une garderie subventionnée à être présents au moins 80 % du temps, n’a absolument rien donné, déplore la députée de la Coalition Avenir Québec, Lise Lavallée, qui rapporte l’existence de fausses déclarations fournies aux parents.

Durant l’été, des parents ont été invités par des établissements de garderie à remplir de fausses déclarations de présence afin de respecter la directive mise en place par le ministère de la Famille et de ne pas payer les pénalités financières qui y sont associées. Lise Lavallée a tenté, mardi, d’obtenir du ministre Sébastien Proulx la garantie que nos fonds publics ne sont plus gaspillés en raison de ce phénomène inquiétant, ce qu’il a refusé de faire.

« Les parents se retrouvent à être pris en otage dans un système qui semble encore exister : celui des places fantômes. Des parents se sont fait offrir récemment une place en garderie subventionnée pour un enfant de moins de 4 mois, alors que la mère est encore en congé de maternité. On les encourage à prendre leur place immédiatement, ne pouvant la leur garantir plus tard. Dans une autre garderie subventionnée, des parents signent des feuilles de présence pour cinq jours, alors que l’enfant se présente dans son milieu de façon aléatoire. On leur offre d’intégrer l’enfant un jour semaine, mais d’en payer 5. Malgré la directive d’avril dernier, il y a du sable dans l’engrenage », constate la critique caquiste en matière de famille.

Sans démontrer une volonté ferme, le gouvernement libéral n’ira pas loin dans sa croisade contre les places fantômes, ajoute la députée de Repentigny. Elle rappelle d’ailleurs qu’il faut 17 mois pour inspecter toutes les garderies privées du Québec et 6 ans et demi pour inspecter l’ensemble des CPE. « Ce n’est pas à ce rythme-là que le ministre pourra s’assurer que les garderies se plient à sa directive. Sébastien Proulx connaît la situation, mais refuse de mettre en place les solutions pour régler la problématique des places fantômes dans le réseau », conclut Lise Lavallée.

Affaire Patrick Lagacé : La CAQ, très préoccupée, réaffirme la nécessité de protéger les sources journalistiques


 Publié le 31 octobre 2016

« C’est une triste journée pour le droit à l’information », affirme la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’intégrité, Nathalie Roy, alors qu’on apprenait lundi que le téléphone du journaliste et chroniqueur de La Presse, Patrick Lagacé, ait été placé sous enquête policière. Elle-même ancienne journaliste, Nathalie Roy se dit très troublée par ce cas d’espionnage et fait part de ses craintes pour la pérennité de la profession de journaliste à la suite de ces révélations.

« Il n’y a rien de plus important pour les journalistes que leurs sources. Quand les sonneurs d’alerte osent parler pour dénoncer, ils doivent se sentir protégés. Ce matin, ce n’est plus cas. Que va-t-il arriver à ces sources si, par craintes tout à fait légitimes, elles refusent de communiquer avec les journalistes pour leur fournir des éléments d’informations et des pistes d’enquête, sachant que c’est possible que le téléphone soit sous haute surveillance? C’est très inquiétant. Autant les journalistes vivent de leurs sources pour gratter le fond des histoires, autant nous, politiciens, dépendons aussi de ces témoignages pour faire bouger les choses », a déclaré la députée de Montarville.

Critique de la CAQ en matière de justice, le député de Borduas, Simon Jolin-Barrette, fait savoir qu’une réflexion sérieuse devra être lieu afin d’apporter des suggestions pour que les sonneurs d’alerte soient réellement protégés. « L’affaire Lagacé est extrêmement préoccupante, pas seulement pour les journalistes, mais pour la libre circulation de l’information. Il faut ouvrir toutes les portes aux sonneurs d’alerte et non en fermer en créant une partie de pêche aux sources journalistiques comme ça semble être le cas dans le dossier concernant le chroniqueur Patrick Lagacé », affirme Simon Jolin-Barrette.

François Paradis et la CAQ font part de leurs attentes au ministre Barrette


 Publié le 31 octobre 2016

Alors que le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a lancé le coup d’envoi aux négociations portant sur la rémunération avec les syndicats des médecins, leporte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, est catégorique : il faut investir en santé, assurer des soins et des services de santé de qualité, plutôt que d’en mettre davantage dans les poches des médecins.

«En 2016, les médecins gagnent suffisamment. Le rattrapage salarial avec les autres provinces est plus qu’atteint », indique François Paradis, précisant que depuis 2007, les revenus moyens nets des médecins de famille ont augmenté de 60 %, pour passer en moyenne de 144 000$ à 231 000$. La même tendance a été observée du côté des médecins spécialistes, qui ont vu leurs revenus moyens nets bondir de 77 %, pour passer de 237 000 $ à 439 000$.

À l’aube de ces nouvelles négociations, qui auront indéniablement une incidence majeure sur les finances publiques du Québec, le député de Lévis fait part de ses attentes au ministre Barrette.

Tout d’abord, la CAQ réclame un gel de la hausse de rémunération des médecins afin de  réinvestir dans les soins directs à la population. « Il ne faut pas oublier que les médecins bénéficient déjà de hausses qui seront étalées jusqu’en 2021-2022, ainsi que d’une clause remorque avec les autres fonctionnaires de l’État qui leur donneront 368 M$ de plus par année. Ils n’ont plus besoin d’enveloppe supplémentaire », souligne François Paradis.

Ensuite, il est impératif de revoir le mode de rémunération à l’acte des médecins pour le transformer par un système de rémunération mixte. « Le statu quo équivaudra à une hausse infinie de la rémunération des médecins. Il faut bonifier la rémunération pour la prise en charge réelle et réduire les paiements à l’acte », insiste le critique caquiste en matière de santé.

Finalement, la CAQ demande une fois de plus au gouvernement Couillard de mettre fin à l’incorporation des médecins, qui prive les gouvernements du Québec et du Canada d’au moins 150 millions de dollars par année. « Investissons plutôt ces millions dans les soins à domicile, pour aider nos milliers de patients, souvent des aînés, qui n’ont plus d’autres recours que d’être soignés chez eux. Gaétan Barrette doit prouver, au terme de ces négociations, qu’il n’y en a pas seulement pour les médecins au Québec, mais aussi pour les patients », conclut François Paradis.

Signature de l’Accord de libre-échange Canada-UE : Philippe Couillard doit obtenir des garanties pour nos producteurs laitiers


 Publié le 30 octobre 2016

Alors que Philippe Couillard s’est envolé en catimini pour la Belgique pour assister à la signature de l’Accord de libre-échange entre le Canada et l’Europe, la Coalition Avenir Québec espère qu’il profitera de cette tribune pour rappeler au premier ministre du Canada, Justin Trudeau, son engagement pris en mai dernier de compenser financièrement les producteurs de lait québécois.

Sylvie D’Amours, porte-parole de la CAQ en matière d’agriculture, souligne que cet accord, bien que bénéfique pour l’économie du Québec dans son ensemble, ouvre grande la porte à une concurrence déloyale pour nos producteurs artisans de fromage, puisque les marchés européens pourront exporter de grandes quantités de fromages industriels. Malgré l’aide promise par le premier ministre Justin Trudeau, le milieu agricole québécois est toujours dans le flou alors que se tient le sommet Canada-UE. Philippe Couillard a le devoir de défendre nos producteurs laitiers et revenir au Québec avec des garanties concrètes, estime Mme D’Amours.

« La signature de cet accord est une bonne nouvelle pour les économies canadienne et québécoise ainsi que pour la poursuite de nos échanges commerciaux avec l’Europe, mais les producteurs laitiers à travers le Québec risquent de perdre beaucoup au change. Oui, le marché européen constitue une opportunité d’exportation exceptionnelle pour des milliers d’entre eux, mais c’est massivement que les entreprises européennes se pointeront à l’horizon sur le marché québécois, au moment même où nos producteurs subissent déjà des pertes financières importantes à cause du lait diafiltré. Il faut qu’à la suite de la signature de cet accord, il y ait un engagement clair du fédéral d’offrir une aide financière aux agriculteurs d’ici, qui se démarquent avec des produits de grande qualité, souvent artisanaux. Il faut tout faire pour qu’ils puissent concurrencer les Européens à armes égales », déclare Sylvie D’Amours.

La députée de Mirabel invite le gouvernement libéral à mener ce combat de front pour démontrer qu’il met véritablement les intérêts du Québec et le développement économique régional au premier plan. La caquiste lui rappelle d’ailleurs que le Québec ne peut se passer de l’apport économique de la production laitière, qui rapporte plus de 450 millions de dollars annuellement dans les coffres de l’État. « Philippe Couillard n’est pas parti à Bruxelles comme touriste, mais comme porte-parole du peuple québécois. Il doit parler avec Justin Trudeau et obtenir un plan de compensation, tel qu’il s’est engagé à le faire. J’espère que Philippe Couillard saura s’imposer sur la scène internationale pour défendre notre économie et nos intérêts », conclut Sylvie D’Amours.

Chronique de Donald Martel à la radio de CKBN, le vendredi 28 octobre 2016


 Publié le 29 octobre 2016

Jamais n’a-t-on vu un premier ministre aussi soumis face au fédéral


 Publié le 27 octobre 2016

« Jamais un premier ministre du Québec n’a été aussi soumis à la vision du gouvernement fédéral », a soutenu le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, alors qu’un texte signé par Philippe Couillard a refait surface, dans lequel il remet en cause la nécessité de maintenir une hausse de 6% des transferts fédéraux en santé. La réaction du premier ministre, qui assume toujours son texte, constitue une erreur grave qui démontre qu’il est tout à fait à l’aise avec l’idée qu’Ottawa puisse utiliser son pouvoir de dépenser pour dicter des choix au Québec, selon le chef de la CAQ.

Alors que le ministre de la Santé joue la comédie depuis des mois en s’indignant contre la baisse de ces transferts et contre les conditions que veut lui imposer Ottawa, son chef Philippe Couillard partage exactement la vision du gouvernement Trudeau, a constaté M. Legault. Une chose est certaine pour le chef caquiste : ces écrits démontrent que Philippe Couillard est d’accord pour que les transferts en santé du fédéral soient conditionnels.

En rupture avec Robert Bourassa et Jean Lesage

En chambre, plutôt que de faire amende honorable et de revenir sur son point de vue embarrassant, Philippe Couillard s’est dit fier de son article qui nuira pourtant considérablement à son ministre de la Santé dans ses négociations avec Ottawa. Il a également laissé entendre qu’on ne pouvait pas s’indigner du pouvoir fédéral de dépenser tout en croyant que le Québec a une place au sein du Canada.

Auparavant, le chef caquiste avait dénoncé la vision soumise de Philippe Couillard des relations Québec – Canada. « Jamais Robert Bourassa ou Jean Lesage, qui étaient des premiers ministres nationalistes, n’auraient accepté les propos du premier ministre actuel », avait-il mentionné. « J’invite le premier ministre à se ressaisir. C’est possible pour le Québec de protéger son autonomie et sa liberté de faire les choix qu’il veut en santé à l’intérieur du Canada. Mais M. Couillard est soumis face au fédéral », a conclu François Legault.

Hausse des tarifs d’électricité : Un autre cadeau des libéraux, dénonce la CAQ


 Publié le 27 octobre 2016

Depuis le dépôt du projet de loi 106 en juin dernier, la députée de la Coalition Avenir Québec, Chantal Soucy, a tenté tant bien que mal de faire entendre raison au ministre de l’Énergie, Pierre Arcand, quant à l’augmentation des tarifs d’Hydro-Québec qu’il accorde personnellement, puisqu’il compte utiliser Hydro-Québec pour financer des projets d’infrastructures liés à l’électrification du transport collectif.

Rencontres privées, questions au Salon bleu, présentation d’amendements : la porte-parole de la CAQ en matière d’énergie, Chantal Soucy, a talonné le gouvernement libéral jusqu’à la toute fin. Malheureusement, les libéraux ont forcé l’adoption des articles qui donnent le pouvoir à Hydro-Québec d’accorder des aides financières pour l’électrification des transports et de refiler l’ensemble de ces nouvelles dépenses aux Québécois.

« Le gouvernement libéral a d’abord nié mes soupçons. Par la suite, Hydro-Québec a confirmé que pour couvrir ces dépenses, “il faut ajuster les tarifs d’un certain pourcentage”. La porte était grande ouverte, mais aujourd’hui, elle est défoncée et il n’y a pas de retour en arrière. Parce qu’il n’a aucun plan économique, parce qu’il n’a aucune vision, le Parti libéral veut refiler la facture aux familles québécoises, déjà étouffées par leurs factures d’électricité. Le ministre Arcand veut le beurre et l’argent du beurre. Aujourd’hui, les libéraux démontrent une fois de plus leur vrai visage », s’est offusquée la députée Soucy, rappelant que le projet de loi 106 vise notamment le futur projet de train électrique montréalais de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

La députée de Saint-Hyacinthe a dénoncé également la tentative du ministre Pierre Arcand, qui tente de faire croire à la population que la CAQ se prononce contre le projet de la Caisse, contre les transports collectifs, contre les énergies vertes et contre toute innovation. « La coupe est pleine ! Le gouvernement fait dérailler le débat. Ce que fait le gouvernement, c’est se laver les mains de toute décision budgétaire, pour ensuite poser avec le sourire aux lèvres dans les photos lors de cérémonies d’inauguration et s’en tirer en prenant tout le crédit. C’est de la vieille politique. Les Québécois s’en souviendront », a conclu Chantal Soucy.

Accommodements religieux : La CAQ réclame un guide pour le traitement des demandes


 Publié le 26 octobre 2016

« Le gouvernement doit mettre ses culottes et imposer des balises claires et précises aux enseignants, aux directions d’écoles et aux commissions scolaires », ont exigé les députés de la Coalition Avenir Québec, Jean-François Roberge et Nathalie Roy.

Pendant que des parents refusent que leurs enfants écoutent de la musique ou participent aux activités organisées dans le cadre de l’Halloween, que des enseignants demandent des congés supplémentaires pour des motifs religieux, le milieu scolaire est dans le flou le plus total face à ces requêtes. Pourtant, il y a huit ans, la commission Bouchard-Taylor recommandait au gouvernement de mettre des balises claires, a rappelé le critique caquiste en matière d’éducation. « Malheureusement, le premier ministre est tellement mal à l’aise face aux questions identitaires qu’il n’a rien fait depuis qu’il est au pouvoir. Hier, les deux principaux syndicats d’enseignants, la FAE et la CSQ, ont tiré la sonnette d’alarme. Le gouvernement doit enfin prendre ses responsabilités et fournir un guide précis donnant des balises claires aux enseignants, aux directions d’écoles et aux commissions scolaires pour les accommodements religieux », a insisté Jean-François Roberge.

Avec le projet de loi 62, portant sur la neutralité de l’État et les accommodements religieux, les écoles sont carrément laissées à elles-mêmes, a fait savoir la députée de Montarville, Nathalie Roy. Pourtant, le monde scolaire n’attend que des instructions limpides du gouvernement pour enfin traiter adéquatement des cas d’accommodements religieux. « Le projet de loi 62 est une coquille vide. Les syndicats d’enseignants sont venus nous dire qu’il “s’avère pratiquement inutilisable” si on n’y ajoute pas un guide pratique clair pour accepter ou non une demande d’accommodement religieux! Ça fait 10 ans qu’on attend. Le gouvernement peut-il enfin accompagner nos écoles? » a conclu Nathalie Roy.

Dominique Savoie relogée au Conseil exécutif : Aucune description de tâches, aucune attente, révèle Éric Caire


 Publié le 26 octobre 2016

Le député de La Peltrie pour la Coalition Avenir Québec, Éric Caire, a révélé mercredi que l’ex-sous-ministre aux Transports, Dominique Savoie, n’a actuellement aucune description de tâches, ni d’attentes spécifiques depuis qu’elle a été relogée dans la haute sphère publique, au ministre du Conseil exécutif relevant du premier ministre Couillard.

Grâce à la Loi sur l’accès à l’information, Éric Caire a découvert que Dominique Savoie a comme travail « l’élaboration de recommandations visant à assurer une plus grande représentativité des différentes composantes de la société québécoise au sein de la haute direction des ministères et organismes ». « Juste lire ça, ça mérite un quart de million de dollars par année, salaire et avantages sociaux compris! Nous savions déjà qu’elle fut dégommée, puis relogée au Conseil exécutif, mais on apprend aujourd’hui qu’elle est payée à aiguiser ses crayons », a fustigé Éric Caire.

Le porte-parole de la CAQ pour le Conseil du trésor a rappelé que Dominique Savoie a instauré au ministère des Transports un véritable climat de terreur et d’intimidation. En plus d’avoir refusé de mettre en place une réforme commandée par son ministre, elle a caché des rapports cruciaux, menti aux membres de la Commission de l’administration publique sur le contenu de la clé USB d’Annie Trudel et remis à ces mêmes membres des documents falsifiés. « Dominique Savoie est payée à ne rien faire, mais elle continue malgré tout d’être sous la protection ultime du premier ministre et d’obtenir le traitement royal sur le dos des contribuables. Elle doit être congédiée immédiatement », a réclamé de nouveau Éric Caire.

Agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska : Pas une priorité des libéraux, dénonce François Paradis


 Publié le 25 octobre 2016

Les citoyens de Victoriaville ne peuvent pas faire confiance à Philippe Couillard et à Gaétan Barrette, qui refusent toujours de s’engager à réaliser l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu-d’Arthabaska d’ici la fin de leur mandat, a dénoncé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, à l’Assemblée nationale.

Ce projet majeur pour la région est dans les plateformes électorales libérales depuis 2009, sans que rien ne se soit concrétisé, a rappelé M. Paradis. Estimé à 30 millions de dollars, l’agrandissement du centre hospitalier est primordial puisqu’il doit revamper l’urgence, détériorée par le temps, et ajouter des salles de soins intensifs. Or, malgré les besoins pressants de la région et les promesses de son parti, le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, ne peut même pas dire quand aura lieu la première pelletée de terre, inaugurant l’hôpital modernisé.

« Les citoyens de Victoriaville et des environs attendent l’agrandissement de l’Hôtel-Dieu-d’Arthabaska depuis trop longtemps. En 2014, le premier ministre a promis que le projet serait réalisé sous son mandat. Il a même affirmé que l’ancien ministre de la Santé, Yves Bolduc, a déjà travaillé sur le dossier en 2009. 7 ans plus tard, le projet n’est toujours pas inscrit officiellement dans le Plan québécois des infrastructures. Il n’est ni à l’étude, ni en planification, ni en réalisation! Depuis 2014, les libéraux ne tiennent pas leurs promesses et nous en avons une autre preuve flagrante aujourd’hui », a déclaré François Paradis.

Le candidat de la CAQ dans Arthabaska, Éric Lefebvre, soutient qu’il travaillera très fort lorsqu’il sera élu afin que le projet se réalise enfin. « Les citoyens d’Arthabaska on fait leur part. Ils se sont mobilisés et ont déjà récolté 12 millions de dollars avec la Fondation de l’hôpital, soit environ le tiers des coûts du projet. C’est un message très fort! Il est temps pour ce gouvernement libéral de montrer que les besoins de Victoriaville sont une priorité pour lui. La CAQ n’abandonnera pas le combat », a-t-il promis.