Élection partielle dans Arthabaska : La CAQ réclame un sursis pour les camionneurs


 Publié le 25 novembre 2016

Accompagné du chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, le candidat dans la circonscription d’Arthabaska, Éric Lefebvre, demande au gouvernement de reporter de six mois l’entrée en vigueur de son Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers.

Le candidat caquiste a profité de son passage à Plessisville, où il y a plusieurs entreprises de transport, en compagnie de François Legault pour réitérer que la CAQ partage les préoccupations des camionneurs. Il rappelle que des centaines de camionneurs indépendants n’ont pas été informés des modifications qu’ils devaient apporter depuis dimanche à leur poids lourd.

La CAQ demande un sursis de 6 mois avant l’application du règlement afin de donner à l’industrie du camionnage le temps de s’adapter aux nombreuses restrictions imposées. Les nouvelles règles comportent des ajustements de taille qui entraîneront nécessairement des coûts pour les camionneurs et les exploitants.

« Tout d’abord, on aurait dû consulter et mieux informer l’industrie concernant ces changements, fait valoir M. Lefebvre. La plupart des entreprises de transport et les camionneurs trouvent ridicule le fait qu’ils doivent réduire la longueur du pare-soleil sur leur pare-brise. Ils devront débourser entre 500 et 800 $ par camion afin de les raccourcir. D’autres changements concernent l’entretien, l’aspect physique des véhicules et une liste de vérifications deux fois plus longue. »

Le chef de la CAQ, François Legault est clair : « Il n’est pas question de faire de compromis sur la sécurité des automobilistes, mais force est de constater que le gouvernement Couillard refuse d’accompagner convenablement les camionneurs dans cette transition. En même temps que la sécurité routière doit être la priorité numéro un de tous, nous désirons laisser le temps à l’industrie de se conformer. L’intention ne doit pas être d’utiliser ce moyen pour donner des contraventions », a-t-il conclu.

 

Scandale à la SIQ : Le gouvernement a fait le contraire de ce qu’il avait promis, révèle la CAQ


 Publié le 24 novembre 2016

Le gouvernement libéral a vendu l’immeuble du 500 René-Lévesque à Montréal, détenu par la Société immobilière du Québec (SIQ), à George Gantcheff dans l’objectif de vider les bureaux de ses fonctionnaires… mais 9 ans plus tard, c’est exactement le contraire qui s’est produit, a révélé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

L’ancienne ministre libérale Monique Jérôme-Forget affirmait en 2007 que la vente au privé de certains édifices visait à recentrer la SIQ sur sa mission essentielle, soit de loger les ministères et organismes du gouvernement du Québec dans des locaux appartenant à la SIQ. La SIQ indiquait de son côté que ces immeubles étaient jugés « hors mission ». Contrairement à ces orientations, presque tous les locaux du 500 René-Lévesque sont aujourd’hui loués par le gouvernement. « Les Québécois ont le droit de savoir ce qui s’est passé : pourquoi le gouvernement loue-t-il aujourd’hui presque tous les espaces de l’édifice alors qu’il avait annoncé son intention d’en sortir ses fonctionnaires ? Pour quelles raisons retrouve-t-on plus de fonctionnaires dans cet édifice en 2016 qu’il y en avait en 2007 ? Qui est responsable de ce changement de cap ? »

Le chef de la CAQ a tenté de savoir si le ministre Carlos Leitão considère toujours qu’être propriétaire des immeubles occupés par des fonctionnaires fait partie de la mission du gouvernement. Le ministre a refusé de s’expliquer et de préciser ses intentions quant au 500 René-Lévesque. « Le ministre des Finances nous dit qu’il n’est responsable de rien. C’est incroyable ! Je lui rappelle que c’est lui le grand patron de la Société québécoise des Infrastructures. C’est à lui de donner les grandes orientations ! », a conclu François Legault.

Recul du PQ sur le tchador : « Que Jean-François Lisée assume son vote! » -Nathalie Roy


 Publié le 24 novembre 2016

Après avoir relégué au second plan les questions identitaires, voilà que Jean-François Lisée fait un flip flop complet concernant le port du tchador par les enseignantes, pour finalement s’aligner directement sur la position de la Coalition Avenir Québec. Les députés du Parti québécois devraient toutefois savoir que la population les jugera sur leur vote en faveur du principe du projet de loi 62, qui donne toute la latitude aux enseignantes de porter ce symbole d’oppression et de soumission de la femme, a déclaré la critique de la CAQ en matière de laïcité, Nathalie Roy.

Mme Roy a souligné qu’à la demande de leur chef, tous les députés péquistes ont voté main dans la main avec le Parti libéral pour le principe du projet de loi 62, qualifié de « loi du tchador » par l’ex-députée libérale Fatima Houda-Pépin. Au moment de déposer ses amendements au projet de loi, puis de déposer une motion en chambre, les péquistes ont minutieusement évité d’inclure les enseignants dans la catégorie d’employés qui se verraient interdire de porter le tchador. « Autant Jean-François Lisée que Philippe Couillard ont accepté le principe d’une loi permettant le tchador pour les enseignantes. Faut le faire ! Aujourd’hui, on assiste à un recul majeur. Quand ça compte, le PQ vote pour le tchador, mais quand les sondages sont mauvais, il change de position. M. Lisée change d’idée au gré des sondages », a indiqué Nathalie Roy.

Remettre le dentifrice dans le tube

La députée de Montarville a rappelé que sa formation politique a toujours défendu l’interdiction des signes religieux pour les enseignants, car elle considère qu’ils sont en position d’autorité par rapport aux élèves. Selon elle, le chef péquiste a réalisé l’ampleur des conséquences du vote de ses députés au moment où la CAQ lançait une publicité visant à souligner la position intenable des péquistes et des libéraux.

« Pendant que Jean-François Lisée et sa troupe ont consenti au projet de loi 62, qui ouvre toute grande la porte au tchador dans nos écoles, tous les députés de la CAQ se sont levés pour défendre nos valeurs fondamentales, comme l’égalité entre les hommes et les femmes. Nous avons un plan concret et étoffé, qui comprend la francisation obligatoire des immigrants, un test de connaissance des valeurs québécoises et un plan pour lutter contre l’intégrisme religieux et les corporations religieuses radicalisées. Aujourd’hui, le PQ se rend compte qu’il y a un prix politique à payer pour son incohérence et M. Lisée tente de remettre le dentifrice dans le tube. Qu’il s’assume ! Il est hors de question de changer nos campagnes publicitaires en fonction des changements de cap de M. Lisée. Il faudrait faire une campagne par semaine ! » a conclu Nathalie Roy.

Simon Jolin-Barrette déplore l’inaction libérale dans l’abandon des accusations contre Luigi Coretti


 Publié le 24 novembre 2016

« Il est inacceptable que de nombreux accusés dans des affaires de corruption soient libres comme l’air en raison des trop longs délais à tenir leurs procès », a déclaré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, en réaction à la décision du DPCP d’abandonner ses accusations de fraude, de fabrication de faux et d’usage de faux contre Luigi Coretti, proche de l’ex-ministre libéral Tony Tomassi.

Après les arrêts des procédures en 2011 et en 2015 à l’endroit de nombreux Hells Angel, puis l’arrêt des procédures visant l’influent SalvatoreCazzetta en septembre dernier, c’est au tour de Luigi Correti d’échapper à la justice… non pas pour faute de preuves, mais parce que les délais sont trop longs, a déploré Simon Jolin-Barrette.

« Pendant que la ministre de la Justice invente des excuses et nous accuse à tort de mépriser le système de justice, les Québécois perdent patience et confiance envers leur système de justice. En septembre dernier, j’avais demandé à Stéphanie Vallée ce qu’elle comptait faire pour que ce genre de situation ne se reproduise plus jamais. Deux mois plus tard et 13 années de gouvernement libéral plus tard, nous sommes toujours au même stade. Les libéraux envoient un signal dangereux d’impunité pour les criminels. Combien de criminels libérés faudra-t-il avant que la ministre de la Justice agisse ? On veut des gestes concrets, pas des rencontres et des tables de concertation. La ministre ne prend aucune action pour s’assurer qu’aucun autre criminel n’échappe à la justice », a fustigé le caquiste.

Élargissement de l’autoroute 15 : Bruno Laroche lance un cri d’alarme


 Publié le 24 novembre 2016

Accompagné du député de Groulx et porte-parole de la CAQ en transports, le candidat pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, a lancé un cri d’alarme au gouvernement libéral jeudi. Il réclame la concrétisation, dans les plus brefs délais, du projet d’élargissement de l’autoroute des Laurentides permettant l’ajout d’une voie réservée au transport collectif et le covoiturage.

Bruno Laroche rappelle qu’une étude se penchant sur l’aménagement d’une voie réservée pour le transport en commun a été présentée en 2012 au MTQ. Les coûts estimés étaient alors d’environ 47 millions de dollars, soit moins que le montant de 50 millions pour être inscrit au Plan québécois des infrastructures 2014-2024.

Le candidat caquiste est catégorique : le gouvernement délaisse la région des Laurentides. « Les automobilistes et les usagers du transport en commun de la rive-nord de Montréal vivent un véritable calvaire pour se rendre dans la métropole le matin et en ressortir le soir. Il y a des bouchons de circulation monstres. La région a subi une explosion démographique. Que fait la ministre responsable de la région, Christine Saint-Pierre? Elle se promène aux quatre coins de la planète, mais est complètement invisible dans sa région! De mon côté, je m’engage à oeuvrer avec le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, pour que ce projet se réalise enfin. Travaillons ensemble afin que les Jérômiens aient enfin une qualité de vie digne de ce qu’ils méritent. C’est pour changer le quotidien des Jérômiens que je me suis lancé en politique! », soutient-il.

Le député de Groulx, Claude Surprenant, explique pour sa part que la voie réservée, aménagée sur le terre-plein déjà existant, permettrait de favoriser le transport en commun et le covoiturage. « De cette façon, on réduirait la congestion et les gaz à effet de serre. Au total, il n’y aurait que 11 km de route à construire entre les kilomètres 19 et 8. Il ne faut pas oublier que 180 000 véhicules circulent sur cette autoroute quotidiennement. Visiblement, ce projet semble perdu dans les limbes et n’est pas une priorité pour le gouvernement », conclut-il.

Scandale à la SIQ : Le gouvernement Couillard donne des contrats sans appel d’offres à Marc Bibeau


 Publié le 23 novembre 2016

Depuis 2010, la Société immobilière du Québec (SIQ), devenue ensuite la Société québécoise des infrastructures (SQI), a accordé des contrats sans appel d’offres d’une valeur totale de plus de 1,7 million de dollars pour l’aménagement de bureaux à l’entreprise Les centres d’achats Beauward… présidée par le plus important collecteur de fonds du Parti libéral, Marc Bibeau.

Dévoilée par le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, cette nouvelle révélation est inquiétante, puisque l’Unité permanente anticorruption (UPAC) a mené en août dernier des perquisitions chez Shockbéton, une des entreprises de Marc Bibeau. M. Legault s’inquiète d’autant plus que certains de ces contrats sans appel d’offres ont été donnés en 2015 et en 2016 à une entreprise de Marc Bibeau, par l’actuel gouvernement libéral de Philippe Couillard. Le chef caquiste a exigé du ministre des Finances, Carlos Leitão, une vérification immédiate et particulière de l’ensemble des contrats octroyés par la SIQ et la SQI à des entreprises de Marc Bibeau.

« On découvre aujourd’hui qu’il n’y a pas seulement les collecteurs de fonds libéraux Franco Fava et Charles Rondeau qui ont fait de l’argent avec les transactions de la SIQ, qui est devenue la SQI. Dans le cas de Marc Bibeau, il ne s’agit pas de vieilles histoires : en ce moment même, des fonds publics sont versés aux entreprises de ce grand argentier libéral ! Les enquêtes de la police, c’est une chose. La vérification des contrats et des baux de la SIQ, c’en est une autre. Le ministre des Finances doit ordonner immédiatement la vérification de tous les contrats du gouvernement avec les entreprises de Marc Bibeau », a déclaré le chef de la CAQ, François Legault.

André Spénard déplore l’échec des programmes de réinsertion sociale


 Publié le 23 novembre 2016

Lorsqu’il est question de réinsertion sociale, le Québec est à la traîne et accuse un retard inquiétant depuis plus de 15 ans, constate le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de sécurité publique, André Spénard. Ce constat, le député de Beauce-Nord le fait à la suite du dépôt du dernier rapport de la Vérificatrice générale, qui révèle l’inefficacité des programmes de réinsertion sociale des détenus.

La situation est plus qu’inquiétante, établit la Vérificatrice générale, qui dénonce l’absence de suivi, l’absence de plan d’intervention en prison pour les délinquants, l’absence d’évaluation des programmes et un taux de récidive atteignant 55 % dans certains cas. Pour le député caquiste, le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, doit faire preuve de leadership, mener une évaluation de ses programmes d’ici la fin de l’année et assurer une réinsertion sociale réussie pour tous les détenus visés par ces programmes.

« La Vérificatrice générale revient à la charge, alors qu’il avait déjà sonné l’alarme en 1997. La seule mesure prise par les 3 derniers ministres libéraux pour assurer la réinsertion sociale de nos détenus, c’est d’envoyer Flocon et Dentelle les tourterelles, Boule et Tarzan les furets, et Mousseline et Pichounette les gentils chatons, pour des séances de zoothérapie dans les prisons du Québec. Ce matin, la Vérificatrice générale nous confirme que le ministère de la Sécurité publique n’évalue pas ses programmes. Les prisonniers suivent donc des programmes de réinsertion, mais le ministre ne sait même pas s’ils fonctionnent. Manifestement, c’est un échec. La preuve : plus d’une personne sur deux récidive. Martin Coiteux doit nous déposer une évaluation d’ici décembre. Ça fait 15 ans que les libéraux agissent aveuglément », a déploré André Spénard, citant comme exemple le programme phare du ministère, le Programme Parcours, qui n’a été appliqué que dans 8 des 16 établissements correctionnels du Québec.

Projet de loi 62 : Philippe Couillard ne s’oppose pas au port du tchador par une enseignante


 Publié le 22 novembre 2016

Le premier ministre Philippe Couillard ne voit aucun inconvénient à ce qu’une personne en position d’autorité, comme une enseignante, porte un tchador ou même un voile en classe, déplore le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui réclame le retrait immédiat du projet de loi 62.

Le Parti libéral ne défend plus les valeurs communes québécoises, constate M. Legault, qui souligne l’appui de plusieurs députés libéraux à cette affirmation. Pour la CAQ, il est clair que le tchador envoie un signal de soumission, contraire au principe fondamental d’égalité entre les hommes et les femmes. Philippe Couillard n’a plus qu’une chose à faire : retirer son projet de loi du tchador, exige le chef caquiste.

« Les Québécois veulent qu’on encadre les demandes d’accommodements religieux, en interdisant le port de signes religieux par les employés de l’État en position d’autorité. Or, le projet de loi 62 sur la neutralité religieuse fait exactement le contraire. Il permet, par exemple, qu’une enseignante porte un tchador ou un voile face à une élève de 5 ans. L’enseignante est un modèle et on ne peut accepter qu’elle porte un voile ou un tchador. C’est une question de principe fondamental. Le premier ministre devrait au moins écouter ses propres députés ! Si ça continue ainsi, il ne restera que la ministre de la Justice, le premier ministre et le chef du PQ qui voudront de ce projet de loi ! Je demande à Philippe Couillard de retirer le projet de loi 62 et de repenser à son affaire », déclare François Legault.

Élection partielle dans Marie-Victorin : La francisation des immigrants, une préoccupation pour les citoyens de Marie-Victorin


 Publié le 21 novembre 2016

La candidate de la CAQ pour la circonscription de Marie-Victorin, Julie Chapdelaine, a profité du passage de Claire Samson, la députée d’Iberville et porte-parole de la CAQ pour la protection et la promotion de la langue française, pour rappeler que sa formation politique est la seule à avoir un plan solide pour la défense de notre langue.

Julie Chapdelaine soutient que la francisation et l’intégration des immigrants est une réelle préoccupation chez les citoyens de Longueuil qu’elle rencontre quotidiennement depuis le début de sa campagne. « La francisation réussie de nos immigrants est l’un des plus grands défis des prochaines années. C’est normal de s’en préoccuper. Ce n’est pas être intolérant. La CAQ est la seule formation à réclamer d’abaisser le seuil d’immigration et de mettre en place des mesures pour mieux intégrer les immigrants. Pour consolider et renforcer la présence du français au Québec, il faut en faciliter l’apprentissage à ceux et celles qui choisissent de venir vivre ici », soutient la candidate.

La députée d’Iberville, Claire Samson, a révélé cette semaine qu’au cours des cinq dernières années, 105 000 immigrants sont arrivés au Québec sans parler français. Mme Samson rappelle qu’elle a déposé un rapport, pas plus tard que la semaine dernière, contenant une série de 9 propositions et 22 mesures ambitieuses et concrètes visant à assurer la pérennité de notre langue, le français. « Compte tenu de la volonté du gouvernement de Philippe Couillard de hausser significativement les seuils d’immigration, sans pour autant augmenter les ressources financières liées à la francisation des nouveaux arrivants, il est de notre responsabilité de mettre des solutions sur la table », a conclu Claire Samson.

Élection partielle dans Marie-Victorin : «Jean-François Lisée et le PQ ont trahi l’héritage de Bernard Drainville» – François Legault


 Publié le 21 novembre 2016

De passage dans la circonscription de Marie-Victorin lundi, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a soutenu  que sa formation politique est la seule qui se tient encore debout pour défendre les valeurs québécoises. Selon lui, les déclarations du nouveau chef péquiste, Jean-François Lisée, qui a avoué délaisser la question identitaire, renie les positions défendues par l’ancien député de Marie-Victorin, Bernard Drainville.

« Jean-François Lisée s’est fait élire en promettant de porter le flambeau de l’identité, le flambeau de la charte des valeurs. Le nouveau chef du PQ a promis de défendre nos valeurs, de défendre l’égalité homme-femme face aux intégristes religieux. Depuis qu’il a été élu, il a décidé d’oublier ces engagements pour séduire la gauche, pour faire des mamours à Québec Solidaire. Comme si l’égalité homme-femme c’était négociable! », dénonce François Legault.

Le chef de la CAQ rappelle que le Parti québécois a voté avec les libéraux en faveur du projet de loi 62. « Ce n’est pas rien! Ce projet de loi permet le port de la Burqa pour passer un permis de conduire et même pour enseigner. C’est rendu que le PQ vote avec les libéraux contre la laïcité! », dénonce-t-il.

François Legault est clair : c’est la CAQ qui a repris le flambeau de la protection de nos valeurs que défendait Bernard Drainville. « La CAQ est maintenant le seul parti qui se tient debout contre les accommodements religieux déraisonnables. Ceux qui se battent pour défendre nos valeurs contre les intégristes religieux, ce sont les hommes et les femmes de la CAQ comme Nathalie Roy et notre candidate dans Marie-Victorin, Julie Chapdelaine », explique M. Legault.

La candidate caquiste, Julie Chapdelaine, dit ressentir l’amertume des électeurs envers le Parti québécois. « Le PQ est en train de trahir ce pour quoi il s’est battu. Les péquistes qui ont voté pour Jean-François Lisée doivent se sentir trahis aujourd’hui. Le 5 décembre, j’invite les électeurs de Marie-Victorin qui veulent défendre nos valeurs et se tenir debout pour nos valeurs à voter pour moi », conclut-elle.