Exploration sur l’île d’Anticosti Jean-François Lisée n’a plus aucune crédibilité


 Publié le 16 décembre 2016

« À force de faire des mamours à Québec solidaire, Jean-François Lisée perd la tête et oublie que son parti a personnellement donné le feu vert à l’exploration pétrolière et gazière sur l’île d’Anticosti! Voir le Parti québécois réclamer la fin de l’entente avec Pétrolia qu’il a lui-même signée, c’est le comble du cynisme », a fustigé la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’énergie, Chantal Soucy.

Jeudi, les péquistes ont interpellé le gouvernement libéral afin que ce dernier déchire en morceau le contrat signé par Pauline Marois, qui a lancé l’exploration pétrolière et gazière sur Anticosti en 2014 sans aucune évaluation environnementale. La demande du PQ est d’une hypocrisie déconcertante, a souligné la députée Chantal Soucy, qui dénonce un autre recul majeur du PQ depuis que M. Lisée a pris la tête du parti.

« Jean-François Lisée a complètement perdu la boussole depuis qu’il est prêt à tout pour plaire à Québec solidaire. Pourtant, la réalité, c’est qu’il est l’un des instigateurs du projet Anticosti. Aujourd’hui, parce qu’il cherche à conquérir la gauche, M. Lisée se forge un nouveau visage, s’achète une conscience environnementale et se défile en faisant porter la responsabilité sur ses adversaires. Le PQ ferait mieux d’être consistant lorsqu’il prend des positions plutôt que de tout virer de bord pour simplement plaire à Québec solidaire », a déclaré la caquiste Chantal Soucy.

La députée de Saint-Hyacinthe a poursuivi en affirmant que la CAQ est la seule formation politique qui fait preuve de réalisme et de pragmatisme dans ses positions énergétiques. Le dossier Anticosti en est l’exemple parfait : pendant que Philippe Couillard fait tout en son possible pour que le projet ne voit pas le jour et que Jean-François Lisée fait marche arrière, seule la CAQ tient parole et souhaite aller au bout de l’exploration sur Anticosti pour avoir un portait complet et juste du potentiel dont regorge l’île.

« Jean-François Lisée et ses députés n’ont plus aucune crédibilité. Il y a une époque où ils se battaient pour avoir toutes les informations en main, mais comme dans plusieurs autres dossiers, le PQ est vert à temps partiel. Quand il est au pouvoir, il veut exploiter les hydrocarbures, mais une fois dans l’opposition, il retourne sa veste. Il est important d’aller au bout de la phase d’exploration, afin de prendre une décision éclairée par la suite. Il n’est pas question de donner carte blanche à l’exploitation sans cette étape préalable, mais le Québec ne peut pas passer à côté d’un gisement pétrolier qui pourrait représenter des milliards de dollars. Si on veut créer de la richesse, lutter contre le décrochage scolaire, donner un répit fiscal aux Québécois, ce n’est pas en adoptant une position radicale comme Philippe Couillard ou en reniant ses engagements comme Jean-François Lisée qu’on y parviendra », a conclu Chantal Soucy.

Un entrepreneur reconnu comme nouveau député d’Arthabaska


 Publié le 15 décembre 2016

Le député de la CAQ, Éric Lefebvre, a été élu dans la circonscription d’Arthabaska  et s’est imposé face à son adversaire du Parti libéral, avec un résultat sans appel de 44 % des votes contre 28 pour son plus près adversaire.

Avec cette élection d’Éric Lefebvre, qui est également un entrepreneur reconnu dans Arthabaska, la CAQ se positionne une fois de plus comme le parti de l’entrepreneuriat, le parti le mieux placé pour comprendre les besoins des entrepreneurs québécois.

Plusieurs caractéristiques font d’Éric Lefebvre un représentant hors pair pour le comté d’Arthabaska et pour la Coalition Avenir Québec. Il ne fait aucun doute que ce nouveau député sera bientôt une personnalité remarquable de la vie politique québécoise.

Son expérience entrepreneuriale

Éric Lefebvre jouit d’une bonne connaissance du milieu entrepreneurial. Il est un entrepreneur reconnu qui a créé plusieurs dizaines d’emplois à Victoriaville et dans les environs.

M. Lefebvre a cofondé en 1999 le Restaurant Pub Caméléon à Victoriaville. Le but derrière la création de cette entreprise était d’offrir un lieu de rencontre agréable pour les 25 ans et plus.

Éric Lefebvre est également PDG de l’entreprise Chevrons Vigneault, spécialisée dans la fabrication de toitures et située dans la région de l’Érable.

Une bonne connaissance du milieu politique.

Les citoyens d’Arthabaska auront la chance de pouvoir compter sur un député qui jouit d’une vaste expérience acquise dans le milieu politique. Éric Lefebvre a en effet été conseiller municipal de la Ville de Victoriaville, adjoint au Ministre Denis Lebel, président du CA de la Société de développement commercial du centre-ville de

Victoriaville, membre de la Conférence régionale des élus (CRÉ) et membre de la Corporation de développement économique des Bois-Francs qui porte maintenant le nom de Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région.

Un élu au grand cœur

C’est peu dire qu’Éric Lefebvre est un homme  engagé auprès de ses concitoyens. Il s’est à de nombreuses reprises impliqué auprès de différents organismes pour soutenir plusieurs citoyens d’Arthabaska. Il a œuvré en qualité de président de campagne de financement de Centraide et de président d’honneur de plusieurs événements régionaux. Éric Lefebvre a aussi mis sur pied la fondation Christian-Larochelle pour réaliser les rêves d’enfants malades de la région et soutenir la pédiatrie de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska.

Ses engagements en tant que député

Éric Lefebvre continuera à talonner le gouvernement libéral pour que le projet d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska soit mené à terme et s’assurer qu’il ait une première pelletée de terre avant les prochaines élections.

L’éducation, la culture, l’économie et la reconnaissance régionale seront également de grandes priorités pour le nouveau député. Il joindra d’ailleurs sa voix à celle des autres élus de la CAQ pour réclamer une baisse d’impôt de 1000$ par famille.

Refus du PQ de rembourser les dons illégaux : La CAQ somme le PQ de placer l’argent en fiducie


 Publié le 14 décembre 2016

Puisque le Parti québécois (PQ) s’obstine à ne pas rembourser rubis sur l’ongle les 194 950 $ de dons illégaux et accepte même de traîner devant les tribunaux le Directeur général des élections (DGEQ), la Coalition Avenir Québec exige au chef péquiste Jean-François Lisée de mettre en fiducie l’argent sale réclamé, le temps que le litige trouve son dénouement.

Le porte-parole de la CAQ en matière de réforme des institutions démocratiques, Benoit Charette, a vivement dénoncé l’entêtement du PQ, qui ose remettre en question les preuves présentées par le DGEQ face aux contributions non conformes amassées par la formation au cours des dernières années. Cet argent sale, qui a servi notamment à payer des élections partielles et qui dort toujours dans les coffres du PQ, doit être remboursé dans les plus brefs délais, a insisté Benoit Charette.

« Le PQ force le DGEQ à le traîner en cour en refusant de rembourser leurs dons illégaux. Après tout ce que les Québécois ont vu et entendu en matière de corruption, quand le DGEQ te demande de montrer patte blanche, le premier réflexe doit être de collaborer, non pas de résister. Le PQ doit rembourser l’argent sale ou du moins mettre les sommes en fiducie le temps que l’affaire se règle. Une chose est certaine : M. Lisée doit cesser de se défiler et faire face à la musique, comme les autres partis », a déclaré Benoit Charette.

Le député de Deux-Montagnes a poursuivi en indiquant que comme le PQ prétend ne pas avoir les fonds pour rembourser l’argent sale, il devra rendre des comptes sur toutes ses dépenses. Selon lui, il est inacceptable que le PQ, qui reçoit une subvention publique, ait mené des élections partielles avec de l’argent sale, continue de dépenser pour des campagnes de mauvais goût comme « L’Autre 150e », qui vise à ridiculiser le 150e anniversaire de la Confédération canadienne, et procède à l’embauche de conseillers spéciaux à même les fonds du PQ, comme c’est le cas de Paul Saint-Pierre Plamondon. « C’est une question de principe. Le PQ, tout comme la CAQ et le PLQ, a une responsabilité face aux Québécois : assurer une démocratie en santé, nettoyée de toute corruption. En refusant de rembourser l’argent sale, M. Lisée envoie un mauvais message à la population et alimente le cynisme. Qu’il cesse de trouver des excuses auprès du DGEQ et qu’il passe à la caisse, une bonne fois pour toutes », a conclu Benoit Charette.

Frais d’avocat d’Agnès Maltais : Les députés péquistes devraient avoir honte, selon Éric Caire


 Publié le 13 décembre 2016

« C’est la cerise sur le sundae ! Tous les députés péquistes devraient avoir honte ce matin. Agnès Maltais n’a pas été élue pour attaquer l’intégrité d’individus et faire de la diffamation, ce n’est donc pas aux contribuables de payer pour sa défense. Si elle décide d’aller de l’avant, elle subira les foudres de tous les Québécois ! » a mis en garde le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’efficacité de l’administration publique, Éric Caire, après avoir appris que la députée péquiste de Taschereau compte réclamer à l’Assemblée nationale le paiement de ses frais juridiques dans la cause en diffamation qui l’oppose à deux employées de la Coalition avenir Québec.

Rappelons que le 11 novembre, la CAQ a annoncé une poursuite contre Agnès Maltais pour diffamation à l’égard de deux employées caquistes, Nicole Savard et Lynne Harpin. Celles-ci ont été faussement accusées par la péquiste d’avoir volé des documents en 2011. Éric Caire a invité Mme Maltais à ne pas refiler sa facture d’honoraires aux Québécois, d’autant plus que sa sortie en règle est survenue au moment de 4 élections partielles et non pas dans le cadre de sa fonction de députée, a-t-il souligné.

« Ce qui rend cela encore plus indécent, c’est que la sortie de Mme Maltais était une manœuvre strictement partisane, dans le but d’influencer les électeurs dans 4 élections partielles. C’est un peu comme si elle demandait à l’Assemblée nationale de lui rembourser ses pancartes ! » a lancé Éric Caire.

Le député de La Peltrie a ajouté que si Agnès Maltais assume réellement les propos qu’elle a tenus, comme elle semble le prétendre, c’est à elle de le prouver en payant pour sa défense. « De notre côté, nous avons été très clairs dès le début : tous les frais d’avocat qui seront engendrés dans cette poursuite seront assumés entièrement par la CAQ. Il est hors de question d’utiliser l’argent des contribuables pour payer la poursuite de nos employées. Visiblement, ce principe de respect pour les fonds publics n’est pas une valeur partagée par tous. Si Agnès Maltais pige dans le portefeuille des Québécois, ce serait d’une lâcheté innommable de sa part. J’espère qu’elle aura l’éthique et la décence de dire aujourd’hui que, de son côté aussi, ce sera elle qui paiera pour ses frais d’avocat et non les contribuables à travers les deniers de l’Assemblée nationale », a tonné le caquiste Éric Caire.

Loi sur les hydrocarbures : L’utilisation du bâillon, c’était écrit dans le ciel!


 Publié le 13 décembre 2016

Les députés de Johnson et de Drummond-Bois-Francs, André Lamontagne et Sébastien Schneeberger, dénoncent la suspension des règles de procédures par les libéraux pour forcer l’adoption de leur projet de loi sur la transition énergétique et les hydrocarbures malgré l’unanimité de l’opposition.

« Quand des mouvements citoyens, l’Union et la Fédération des municipalités (UMQ et FQM), le milieu agricole (UPA) et toutes les autres formations politiques expriment leurs préoccupations et leur opposition face à un projet de loi, un gouvernement responsable doit écouter et agir en conséquence. Les libéraux ont fait tout le contraire en décidant d’utiliser leur majorité pour nous enfoncer ce projet de loi dans la gorge », déplore le député Schneeberger. Dans ces conditions, la Coalition Avenir Québec a voté contre le bâillon et contre le projet de loi.

Pour André Lamontagne, le gouvernement aurait dû accepter dès le départ de scinder le projet de loi 106 comme l’avait réclamé la CAQ. « Les dispositions sur l’efficacité et l’innovation énergétiques faisaient l’unanimité. C’est la partie sur les hydrocarbures qui posait problème, car plusieurs éléments sur lesquels elle porte et l’absence d’encadrement de la fracturation hydraulique suscitent énormément d’inquiétudes et d’opposition au sein de la population, des municipalités et du monde agricole. En balayant les critiques qu’ils ont qualifiées de ‘purement idéologiques’, le gouvernement et son ministre ont fait preuve de grande arrogance. »

MM. Lamontagne et Schneeberger soulignent que la Coalition Avenir Québec a réussi à arracher au dernier moment un amendement interdisant l’accès au territoire sans le consentement du propriétaire du terrain, ce qui saura sécuriser un grand nombre de citoyens très inquiets des dispositions initiales du projet de loi à ce sujet.

Les partis d’opposition ont toujours la possibilité de chercher à influencer un gouvernement, même majoritaire, en lui proposant des changements de façon constructive. C’est la voie que préconisait la CAQ dans ce dossier, précisent les deux députés. Quant au Parti québécois, il a choisi de faire de l’obstruction systématique pendant les 140 heures de commission parlementaire, ce qui a empêché la CAQ de présenter plusieurs demandes d’amendements.

« Au bout du compte, nous ne sommes pas surpris de la suspension des travaux, concluent les deux députés. En présence de l’entêtement du gouvernement libéral majoritaire et de l’intransigeance de l’opposition péquiste, l’utilisation du bâillon, c’était écrit dans le ciel! »

Le député Schneeberger souligne le 25e anniversaire de la Maison des jeunes St-Charles-de-Drummond


 Publié le 12 décembre 2016

Le député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, a souligné le 25e anniversaire de la Maison des jeunes St-Charles-de-Drummond, le 9 décembre à l’Assemblée nationale. Cet organisme fondé par le Club Optimiste en 1991 a fait preuve de résilience pour surmonter de nombreux imprévus et les jeunes continuent d’y déborder d’imagination.

Ils et elles se sont intéressés aux arts, aux loisirs, aux saines habitudes de vie, à la lutte contre la criminalité et les dépendances. Ils se sont initiés à des sports comme le rafting, le wakeboard, la luge alpine, le kickboxing, la planche à neige ou le canot-camping. Ils ont publié un livre de recettes et un journal. Ils ont gagné des prix en lien avec Éduc’alcool, Cascades et le YMCA. Ils ont fait un défilé de mode, joué une pièce de théâtre et conçu des maisons hantées…

« Rien que depuis 2002, plus de 2000 jeunes ont fréquenté la Maison située sur le boulevard Saint-Charles à Drummondville, a déclaré le député. C’est un lieu chaleureux où les 12 à 17 ans se font des amis et nouent des liens significatifs avec des adultes. En recherche constante de relever de nouveaux défis, ils s’y retrouvent pour prendre en charge des besoins et réaliser des projets. Par exemple, dix jeunes ont tourné cette année une vidéo promotionnelle. Ils ont participé à toutes les étapes, de la conception à la réalisation, de cette production qui brise les stéréotypes à propos de leur milieu de vie. »

En terminant, M. Schneeberger a fait l’éloge du personnel. « Le cœur de cette Maison bat au rythme des animatrices qui accompagnent les ados dans leur cheminement pour devenir des citoyens critiques, actifs et responsables. Je tiens à remercier pour leur dévouement la coordonnatrice Amélie Leblond et les animatrices Méranie Roy, Karoline Girouard et Lanie Pivin. Je souhaite à l’organisme de posséder un jour son propre édifice. »

Assermentation du nouveau député d’Arthabaska : Une voix entrepreneuriale s’ajoute au caucus de la CAQ


 Publié le 12 décembre 2016

C’est avec beaucoup de fierté que le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a accueilli officiellement dans ses rangs le nouveau député d’Arthabaska, Éric Lefebvre, alors que ce dernier a été assermenté au Salon Rouge de l’Assemblée nationale.

Entrepreneur expérimenté et homme d’affaires respecté, généreux philanthrope, père de famille dévoué : Éric Lefebvre saura faire honneur à sa région et défendre le meilleur intérêt de ses commettants, a assuré François Legault. « Je suis très heureux d’accueillir Éric parmi nous ! C’est un homme qui a de grandes capacités et des qualités en or. Notre nouveau député est un homme d’affaires, qui connaît intimement les besoins et les défis du monde des affaires. Il incarne l’ambition, la détermination et la force de nos entrepreneurs qui gagnent, qui créent, qui développent. J’ai une réelle admiration pour lui. Je suis convaincu que, tous partis confondus, les députés sauront l’apprécier », a déclaré M. Legault.

Tout au long de sa campagne électorale, Éric Lefebvre a démontré qu’il est un leader rassembleur, qui misera sur les forces vives de toute sa communauté pour faire des gains, a poursuivi M. Legault. Il est persuadé que son nouveau député écoutera sa population et restera proche de leurs préoccupations. « Au jour 1 de sa campagne, il avait déjà rassemblé autour de lui plusieurs centaines de personnes de tous les horizons. Le résultat de cette élection a permis de convaincre quiconque qui douterait de ses grandes qualités de rassembleur. Éric est un père de famille, qui est proche de la réalité des Québécois. Sa conjointe, une femme remarquable, une fière enseignante, le garde proche des enjeux de l’éducation. C’est tout un homme de cœur qui se joint à notre équipe », s’est réjoui le chef caquiste, rappelant qu’Éric Lefebvre a mis sur pied plusieurs œuvres caritatives, notamment la Fondation Christian-Larochelle qui réalise les rêves d’enfants malades de sa région, en plus de soutenir la pédiatrie de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska.

Très heureux de faire officiellement son entrée à l’Assemblée nationale au sein de la grande famille de la CAQ, Éric Lefebvre a réservé ses premiers mots aux citoyens d’Arthabaska. « Je suis habité par la fierté et le profond désir de vous servir. Je vis ce moment important en pensant à tous les Québécois d’Arthabaska-L’Érable. Je suis un passionné de notre région et la fonction de député me permettra d’accentuer mon implication. C’est une journée qui restera à jamais gravée dans ma mémoire », a-t-il affirmé, en compagnie d’une soixantaine de membres de sa famille, d’élus municipaux et de membres de son équipe de campagne.

« Je demeurerai à votre écoute. Sachez que je compte rester très accessible afin de travailler à développer notre région et l’amener vers son plein potentiel », a conclu le nouveau député caquiste.

Le PQ refuse de rembourser l’argent illégal : Jean-François Lisée doit des explications aux Québécois


 Publié le 12 décembre 2016

« Lorsqu’il est question d’éthique, le Parti libéral du Québec et le Parti québécois, c’est du pareil au même ! Le PQ a fait campagne avec de l’argent sale durant les élections partielles », a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, après avoir appris que la formation de Jean-François Lisée n’avait l’intention de rembourser que le tiers des 264 150 $ de ses contributions illégales.

Le PQ fait preuve d’une hypocrisie flagrante, poursuit-il. En refusant de rembourser tous les dons réclamés, les péquistes viennent d’admettre qu’ils ont fait campagne dans les 4 dernières élections partielles avec de l’argent sale. « Le PQ tente de gagner du temps en posant des questions, alors que les preuves sont irréfutables. Pendant ce temps, les Québécois comprennent que les pancartes péquistes ont été payées avec de l’argent sale et que Jean-François Lisée accepte de garder dans ses coffres des dons illégaux. À la CAQ, nous avons remboursé immédiatement les sommes identifiées par le DGEQ, sans broncher ou douter du montant de la réclamation. Même les libéraux, bien qu’ils aient tardé à le faire, ont signé leur chèque. Quand le PLQ fait mieux que toi en termes d’éthique, tu as de sérieuses questions à te poser ! » lance François Legault, rappelant que la CAQ a été la première formation politique à rembourser les contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ, soit 35 450 $.

De son côté, le critique caquiste en matière de réforme des institutions démocratiques, Benoit Charette, accuse le PQ d’avoir brisé un engagement pris dans l’enceinte même du Salon bleu de l’Assemblée nationale, haut lieu de la démocratie québécoise. En effet, il rappelle que le 28 septembre dernier, les députés péquistes se sont levés pour appuyer une motion de la CAQ réclamant le remboursement des dons illégaux collectés avant le déclenchement des prochaines élections partielles. Cette promesse a été brisée en mille morceaux, constate-t-il. « Pour sauver la face, le PQ a consenti à cette motion, en sachant très bien qu’il avait l’intention de faire campagne avec de l’argent sale. Jean-François Lisée vient de prouver une fois de plus qu’il mène un vieux parti, qui fait des promesses vides. Les Québécois ont vu clair dans leur jeu », peste le député de Deux-Montagnes.

Plus de transparence réclamée au DGEQ

La CAQ profite de cette sortie liée au remboursement des dons illégaux pour inviter le DGEQ à faire preuve de plus de transparence quant à son processus administratif. Selon Benoit Charette, il serait utile de divulguer l’ensemble des étapes à suivre et des procédures exigées, quel que soit le parti politique visé, allant de l’envoi de l’avis d’intention au traitement du paiement.

« Présentement, le tout s’avère être un processus flou et complexe. Dès la réception de l’avis jusqu’au paiement des sommes réclamées, on ne sait absolument rien des discussions et des accords conclus entre les différentes parties. Après la commission Charbonneau et tous les scandales de corruption, les Québécois s’attendent à des pratiques exemplaires à l’égard de la classe politique. Ils méritent plus de transparence, afin de s’assurer que l’ensemble de l’argent sale soit bien remboursé », a conclu le député caquiste.

François Legault invite Philippe Couillard et Jean-François Lisée à sortir de leur bulle


 Publié le 9 décembre 2016

Accompagné de son caucus de député(e)s, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a dressé le bilan de la dernière session parlementaire, vendredi matin, en soulignant le travail remarquable mené par son équipe au cours des derniers mois. Il a de plus souligné que la décision du premier ministre Couillard de proroger la session parlementaire et de remanier, encore une fois, son conseil des ministres est un aveu d’échec.

« En 2016, les Québécois ont réalisé que le Parti libéral et le Parti québécois vivent tous les deux dans leur bulle, loin des préoccupations de la population. En 2017, j’invite M. Couillard et M. Lisée à sortir de leurs bulles et à se reconnecter sur ce que souhaitent les Québécois », a déclaré M. Legault.

La bulle libérale

Philippe Couillard a démontré qu’il n’est pas le moindrement intéressé à entendre les préoccupations de la population. Refus de baisser les impôts des familles, refus d’interdire les signes religieux pour les personnes en poste d’autorité comme les policiers et les juges, refus de reconnaître les torts du Parti libéral dans les histoires de magouilles : Philippe Couillard est le seul à penser qu’il a sauvé le Québec, a indiqué le chef caquiste. « Quand c’est rendu que Philippe Couillard se prend pour le sauveur du Québec au lieu d’écouter la population, on comprend que la bulle libérale est dans la stratosphère », a souligné François Legault.

Au sujet des rumeurs de prorogation et de remaniement ministériel, il a rappelé que « l’an dernier, M. Couillard a remanié son cabinet en disant que dorénavant, son navire gouvernemental allait voguer vers des eaux plus tranquilles. Le nouveau départ, c’était supposé être l’an passé. Là, il en fait un à chaque année. C’est le jour de la marmotte ! De toute façon, c’est dur de faire avaler des nouveaux départs alors que les libéraux sont au pouvoir depuis 2003. Les Québécois ne seront pas dupes », a lancé François Legault.

La bulle péquiste

Jean-François Lisée doit cesser d’avoir toujours la prétention de savoir ce qui est bon pour les Québécois. Ses premiers gestes comme chef du PQ ont démontré à quel point il est détaché des angoisses financières des familles.

« Le premier geste de Jean-François Lisée, après sa nomination, a été de refuser des baisses d’impôts et de faire des avances à Québec Solidaire, au lieu d’écouter les Québécois. Et encore cette semaine, Jean-François Lisée a demandé à Philippe Couillard de tenir un débat télévisé d’une heure sur la souveraineté. J’imagine qu’on aurait des images en noir et blanc ! », a poursuivi le chef de la CAQ.

La force de l’équipe de la CAQ

Le chef de la CAQ a conclu son point de presse en soulignant la qualité exceptionnelle de son équipe de députés.

« Je suis tellement fier de cette grande famille de la CAQ. En 2014, plusieurs de nos députés n’avaient aucune expérience politique et n’étaient pas du tout connus des médias. Deux ans plus tard, les députés de la CAQ sont… partout ! Ils ont su talonner les ministres libéraux, mais aussi être constructifs en proposant des idées. Aujourd’hui, les gens n’ont pas le choix de reconnaître la solidité de l’équipe de la CAQ. En 2017, notre ambition c’est de passer du mode opposition au mode gouvernement en attente ! », a conclu François Legault.

La CAQ votera contre le bâillon et contre le projet de loi 106


 Publié le 9 décembre 2016

« Si le ministre Pierre Arcand nous avait écoutés dès le début, il n’aurait pas eu besoin d’imposer le bâillon », a déploré la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’énergie, Chantal Soucy, à quelques heures de la procédure législative d’exception pour faire adopter de force le projet de loi 106 sur la Politique énergétique 2030 du gouvernement libéral. Mme Soucy a indiqué que les député(e)s de sa formation politique se lèveront dans la nuit de vendredi à samedi pour s’opposer tant au bâillon indécent des libéraux qu’à leur projet de loi fourre-tout.

Rappelons que la CAQ a été le premier parti à réclamer publiquement la scission du projet de loi en deux lois distinctes :

–          un projet de loi portant spécifiquement sur la transition énergétique, afin de simplifier la bureaucratie et d’atteindre les cibles contenues dans la Politique énergétique 2030 ;

–          un projet de loi pour encadrer l’industrie pétrolière et gazière.

Malheureusement, à cause de l’entêtement du gouvernement et l’obstruction démesurée du Parti québécois, les Québécois n’obtiendront pas les réponses à leurs nombreuses questions, a regretté la caquiste.

« Le projet de loi 106 est une loi improvisée depuis le début. C’était une catastrophe annoncée. Les libéraux tentent de faire adopter dans une seule loi une panoplie de règlements et de principes, souvent contradictoires entre eux, dont on ne connaît même pas les tenants et aboutissants ! La CAQ votera contre le projet de loi. D’abord parce que le gouvernement ajoute de la bureaucratie inutile avec une nouvelle structure lourde. On est face à un gouvernement qui nous parle d’efficacité énergétique, mais tout ce qu’il nous propose, c’est de l’inefficacité bureaucratique. Ensuite parce qu’il va augmenter les tarifs d’Hydro-Québec et faire payer tous les Québécois pour ses projets de transports collectifs électriques. Finalement parce qu’il n’a pas su répondre aux inquiétudes des Québécois quant au développement du gaz de schiste », a déclaré Chantal Soucy.

La députée de Saint-Hyacinthe s’est dite également déçue de l’attitude du gouvernement Couillard qui, en forçant le bâillon, restreint les débats et les interventions de l’opposition. « J’avais des amendements constructifs à proposer au ministre Arcand, mais comme le Parti québécois a passé son temps à bloquer les travaux pour des futilités, je n’ai pas pu les présenter. La CAQ a obtenu quelques gains, notamment pour nos producteurs agricoles, mais en imposant un bâillon, les libéraux refusent le dialogue. Les Québécois méritent mieux », a conclu Chantal Soucy, soulignant que la CAQ avait réclamé une consultation élargie auprès de la population sur le volet hydrocarbures du projet de loi.