Référendums municipaux : les municipalités du Québec sont dans le flou total


 Publié le 16 mai 2017

Il serait complètement illogique pour le gouvernement libéral de faire adopter son projet de loi 122 sur l’autonomie des municipalités sans avoir pris connaissance des recommandations du comité de travail qu’il a mis en place justement pour assurer la pleine participation et consultation des citoyens, a indiqué le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’affaires municipales, Mario Laframboise.

Pourtant, c’est exactement ce que le ministre Martin Coiteux a laissé entendre, mardi, en refusant de s’engager à attendre les recommandations du groupe avant d’adopter le projet de loi 122.

L’improvisation libérale est déplorable, a souligné Mario Laframboise. Le député caquiste a exigé de voir les recommandations du groupe de travail, attendues d’ici le 1er juillet, avant de voter le projet de loi.

Inondations de 2015 à Pohénégamook : Les libéraux n’ont pas tenu parole


 Publié le 11 mai 2017

Lorsque les caméras ne seront plus braquées sur les sinistrés et les inondations exceptionnelles des derniers jours, le gouvernement libéral continuera-t-il de répondre aux cris du cœur des familles québécoises ? Si l’on se fie à la gestion libérale des inondations de 2015 à Pohénégamook, rien n’est certain, s’inquiète la porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour la région du Bas-Saint-Laurent, Sylvie D’Amours.

Pour la députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, dont la circonscription est actuellement aux prises avec d’importantes inondations, les libéraux ne doivent pas simplement faire des belles promesses. Ils doivent respecter leur parole. Or, le non-respect des promesses de Jean D’Amour déteint sur l’ensemble du gouvernement libéral.

Outrée par ce drame sans fin pour les citoyens de Pohénégamook, Mme D’Amours somme le gouvernement à aider une bonne fois pour toutes la Ville et s’engager à ne pas rejouer dans le même film lorsque viendra le temps d’indemniser et planifier les travaux de réfection dans les régions du Québec présentement affectées.

Rémunération des hauts dirigeants de Bombardier : Philippe Couillard est isolé


 Publié le 10 mai 2017

Non seulement Philippe Couillard est incapable de reconnaître qu’il s’est trompé dans ses négociations avec Bombardier, il refuse même d’apporter son appui à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), qui dénonce à son tour la rémunération que se sont accordés les hauts dirigeants.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a salué la prise de position courageuse de la CDPQ.  Le chef caquiste a rappelé que Philippe Couillard a signé une mauvaise entente avec Bombardier, en investissant 1,3 G$ de l’argent des contribuables québécois sans exiger en échange un siège au conseil d’administration de l’entreprise. Compte tenu de l’ampleur de cet investissement, le premier ministre a forcément une opinion sur la rémunération des dirigeants. Pour le savoir, François Legault a indiqué que sa formation politique déposera, jeudi, une motion pour que l’Assemblée nationale fasse sienne la position de la CDPQ.

Banque de l’infrastructure du Canada : Une autre bataille perdue par les libéraux


 Publié le 8 mai 2017

L’installation du siège social de la Banque de l’infrastructure du Canada à Toronto et non à Montréal est une grande déception, a réagi le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’économie, André Lamontagne.

Montréal vient de rater une occasion en or de solidifier son économie, solidifier son expertise et créer des dizaines d’emplois de qualité. Cette défaite amère peut être en partie attribuable au gouvernement libéral de Philippe Couillard. Le député de Johnson estime que le gouvernement libéral a baissé les bras facilement, alors que Montréal est la mieux placée pour accueillir la future Banque, notamment en raison des nombreux sièges sociaux de grandes firmes d’ingénierie qui conçoivent et construisent les infrastructures.

Rappelons que le chef de la CAQ, François Legault, a talonné plus d’une fois Philippe Couillard afin qu’il devienne le véritable porte-parole de la mobilisation des acteurs économiques montréalais et québécois. La nouvelle d’aujourd’hui nous confirme qu’il n’a pas réussi à porter le message auprès du gouvernement Trudeau.

Inondations : « Ne lâchez pas! » – François Legault


 Publié le 5 mai 2017

Alors que la situation dans plusieurs régions du Québec est loin d’être réglée et que la pluie annoncée en fin de semaine risque de faire augmenter encore plus les niveaux d’eau, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a tenu à lancer un message de solidarité aux nombreuses familles épuisées qui font face à des inondations majeures depuis plusieurs jours.

De passage à Sainte-Anne-de-Bellevue, sa ville natale, en compagnie de la mairesse Paola Hawa, M. Legault a pu constater les dégâts et les mesures d’urgence mises en place. Il en a profité pour encourager les autorités locales, les responsables de la sécurité civile et le gouvernement du Québec à faire preuve de vigilance et d’envisager toutes les options possibles.

Baisse de l’emploi à temps plein : Le portrait n’est pas aussi reluisant que les libéraux le laisse croire


 Publié le 5 mai 2017

Pour un quatrième mois consécutif, l’emploi à temps plein au Québec a reculé, si bien que depuis le début de l’année 2017, ce sont 50 900 emplois dans cette catégorie qui ont été perdus. Voilà le constat dressé vendredi par le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’économie, André Lamontagne, à l’occasion du dévoilement des derniers chiffres sur l’emploi.

La situation du marché de travail québécois est moins reluisante que ce que le gouvernement libéral de Philippe Couillard laisse croire. En effet, André Lamontagne a souligné que depuis 1 an, seulement 37 % des emplois créés sont à temps plein.

Le député de Johnson a ajouté que les prévisions économiques pour le Québec demeurent toujours inférieures à nos voisins : 1,7 % pour l’année en cours, comparativement à 2,6 % pour l’Ontario et 2,2 % pour les États-Unis. Les libéraux doivent prendre acte de cette réalité et ne pas crier victoire trop tôt comme ils le font sur toutes les tribunes, a mentionné le caquiste.

Internet haute vitesse en région : Un plan libéral insuffisant et sans ambition, déplore la CAQ


 Publié le 4 mai 2017

Le gouvernement libéral est incapable de préciser quand il compte déposer un plan global et détaillé pour assurer à toutes les régions du Québec une couverture Internet haute vitesse performante, a déploré le député de la Coalition Avenir Québec, André Lamontagne.

De l’aveu même de la ministre de l’Économie, Dominique Anglade, l’enveloppe budgétaire de 100 millions de dollars annoncée plus tôt cette année par son gouvernement est insuffisante et ne permettra pas de fournir à toutes les familles québécoises, où qu’elles se trouvent, une infrastructure de communication digne du 21ème siècle.

André Lamontagne a exigé le dépôt rapide d’un plan ambitieux. Rappelons que l’automne dernier, le chef de la CAQ, François Legault, avait présenté un plan visant à couvrir l’ensemble du territoire du Québec avec Internet haute vitesse, en partenariat avec les communautés locales et les fournisseurs Internet.

Intégrité : Philippe Couillard défend le système d’influence libéral


 Publié le 3 mai 2017

Le premier ministre Philippe Couillard ne peut pas se laver les mains de l’héritage de Jean Charest, puisque 31 députés libéraux actuels, dont 15 ministres, étaient en poste sous l’ère Charest, a souligné le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Ils étaient donc tous là lorsque Violette Trépanier communiquait directement avec des cabinets de ministres pour influencer des projets du gouvernement Charest, a indiqué M. Legault.

Le député Éric Caire, de son côté, a tenté de savoir combien de ministres actuels du gouvernement Couillard ont fait des nominations sousrecommandation de l’ex-directrice du financement du Parti libéral, Violette Trépanier. Pour cela, le caquiste a réclamé une vérification indépendante de toutes les nominations libérales.

Nathalie Roy a quant à elle demandé au premier ministre Couillard s’il avait fait les vérifications qui s’imposent, près d’une semaine après les déclarations fracassantes d’Yves Francœur sur une enquête criminelle bloquée impliquant un membre actuel du caucus libéral. La députée de Montarville a constaté que M. Couillard n’avait même pas demandé à son caucus si quelqu’un a été avisé qu’il a fait l’objet d’une écoute électronique lors d’une enquête criminelle, procédure prévue par la loi.

DPCP : Philippe Couillard refuse une nomination aux deux tiers de l’Assemblée nationale


 Publié le 2 mai 2017

La confiance des Québécois envers les institutions est ébranlée, a regretté le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, suite aux nombreux scandales des derniers jours impliquant le Parti libéral.

Afin d’assurer une totale indépendance des institutions policières et judiciaires, M. Legault a réclamé que la nomination du Directeur des poursuites criminelles et pénales soit approuvée par un vote aux deux tiers des députés de l’Assemblée nationale. Malgré l’urgence d’assurer la stabilité de nos institutions de justice et de police, Philippe Couillard a refusé cette proposition.

Rappelons que la CAQ réclame depuis longtemps la même chose pour la sélection du Commissaire à l’UPAC et du Directeur général de la Sûreté du Québec.

Cocktail de financement de Jean-Marc Fournier : La CAQ veut voir le certificat de solliciteur de Jean-Louis Dufresne pour 2003


 Publié le 1 mai 2017

Selon le témoignage de l’entrepreneur Paul Sauvé à la commission Charbonneau, l’actuel bras droit de Philippe Couillard, Jean-Louis Dufresne, collectait personnellement des chèques lors d’un cocktail de financement de Jean-Marc Fournier en 2003. La députée caquiste Nathalie Roy exige de voir le certificat de solliciteur de M. Dufresne qui l’autorisait à faire du financement cette année-là.

Il semble que si l’entrepreneur a pu maintenir une généreuse subvention pour le projet de réfection de l’Église Saint-James à Montréal, en 2003, c’est en grande partie grâce aux conseils et à l’intervention de M. Dufresne, qui l’incitait à participer à des cocktails de financement.

Sauvé a déclaré lors de son témoignage que sa compagnie payait généreusement l’employeur de M. Dufresne pour ses services de lobbyiste auprès du gouvernement libéral. Or, aucune inscription en ce sens ne figure au registre des lobbyistes, a soulevé Mme Roy.

Rappelons que la CAQ demande la démission de Jean-Louis Dufresne depuis plusieurs mois.