Respect des échéanciers dans la voirie : Stéphane Laroche et Claire Samson dénoncent les retards dans les chantiers


 Publié le 23 octobre 2017

Le gouvernement libéral de Philippe Couillard invite vraisemblablement les Johannais à prendre leur mal en patience. Qu’ils soient l’un des 20 000 usagers quotidiens du pont Gouin (communément appelé le « vieux pont »), ou encore l’un des entrepreneurs dont les travaux paralysent le commerce, le calvaire des détours, des retards et des pertes financières n’est pas terminé.

« Assez, c’est assez. Il me semble qu’on a suffisamment enduré », souligne d’entrée de jeu le candidat caquiste dans Saint-Jean, Stéphane Laroche. Dans le cas du pont Gouin, qui lie les secteurs du Vieux-Saint-Jean et d’Iberville; pour la 1re Rue et la rue Richelieu qui longent la rivière; et d’ailleurs pour les routes 133 et 227, la date de fin des travaux a été reportée. « Il faut comprendre qu’il y a non seulement les usagers réguliers du pont (des familles, des travailleurs, des écoliers, des aînés) qui sont forcés de faire un détour interminable par le pont Félix-Gabriel-Marchand (le pont de l’autoroute 35, ou “pont neuf”), mais il y a aussi les commerçants des deux rives dont les affaires sont sérieusement affectées. Un nouveau retard serait tout simplement inacceptable », poursuit-il.

« Le contrat octroyé par la ville stipule que les travaux devaient avoir lieu 24 heures sur 24, et les normes exigent qu’un ingénieur supervise les chantiers en permanence. Or, comme le gouvernement libéral tarde à arriver à une entente avec les ingénieurs du MTQ, ils font grève et ne travaillent que huit heures, soit le tiers du temps convenu. Cela veut donc dire que les travaux prendront trois fois plus de temps à compléter. Le gouvernement de Philippe Couillard n’a manifestement pas le contrôle de la situation », explique le candidat caquiste.

La députée d’Iberville pour la Coalition Avenir Québec, Claire Samson, s’interroge : « Qu’attend le gouvernement pour régler le problème, notamment en arrivant enfin à une entente avec les ingénieurs? Il y a clairement un manque de considération au Parti libéral pour les familles d’Iberville et de Saint-Jean, car en ce moment, ce sont elles qui écopent. S’il y a carambolage sur le pont Marchand, comme c’est arrivé le jeudi 19 octobre, que sont supposés faire les citoyens, ou encore les services d’urgence? L’inertie du gouvernement libéral a des répercussions physiques, économiques, environnementales et sociales », se soucie-t-elle.

Stéphane Laroche et Claire Samson estiment que les citoyens de Saint-Jean-sur-Richelieu méritent mieux et unissent leurs voix pour dénoncer les retards dans les chantiers. Ils annoncent qu’ils suivront de près la situation, qu’ils feront pression sur le gouvernement libéral et qu’ils veilleront au respect des nouveaux échéanciers, tant pour le pont Gouin, pour la 1re Rue, pour la rue Richelieu, pour la 133 que pour la 227.

1 M$ pour la Formule E… sans savoir le nombre de billets vendus : Un gaspillage de fonds publics


 Publié le 19 octobre 2017

Le manque de transparence du gouvernement libéral de Philippe Couillard atteint de nouveaux sommets, peste le député de la Coalition Avenir Québec MarioLaframboise, alors que le ministre Martin Coiteux a accepté de verser en catimini une aide financière supplémentaire d’un million de dollars pour la Formule E… sans révéler le nombre de billets qui ont été réellement vendus.

Le caquiste Mario Laframboise ne comprend pas pourquoi les libéraux ont versé ce 1 M$ de plus pour un événement qui, d’une part, a déjà eu lieu et, d’autre part, a connu son lot de controverses en raison de billets donnés et non achetés. En d’autres mots, le gouvernement Couillard a pris l’argent des contribuables pour subventionner un événement sans avoir en mains un bilan final. C’est un gaspillage de fonds publics irresponsable, a fait savoir M. Laframboise.

Rappelons que cette aide financière de 1 M$ s’ajoute à une subvention de 500 000 $ accordée par le gouvernement libéral en juillet dernier à l’organisme Montréal c’est électriquedans le cadre de l’évènement de la Formule électrique.

Délais de prescription : Il faut aider les victimes du passé


 Publié le 19 octobre 2017

Malgré les nombreux cas d’inconduites sexuelles rapportées dernièrement dans les médias, le gouvernement libéral de Philippe Couillard refuse d’abolir les délais de prescription empêchant les victimes d’agressions sexuelles à poursuivre leur agresseur au civil.

Selon le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, il est urgent d’envoyer un signal de soutien aux victimes en abolissant définitivement tout délai dans le système judiciaire québécois, comme c’est le cas en matière criminelle. Il n’est pas normal que toutes les victimes ne puissent se tourner vers les tribunaux. Enéliminant une fois pour toutes cette barrière juridique qu’est le délai de prescription, bon nombre de victimes pourraient être incitées à dénoncer et obtenir justice.

En mars 2016, le député de Borduas a déposé le projet de loi 596, qui vise à combler un trou dans la loi actuelle afin que les victimes d’agressions sexuelles puissent poursuivre leurs agresseurs et être indemnisées. Malgré tous les appels lancés par la CAQ, le gouvernement libéral a toujours refusé de modifier la loi.

Gestion de l’administration gouvernementale : Philippe Couillard est en plein déni


 Publié le 18 octobre 2017

Philippe Couillard ne s’en rend pas compte, mais le Québec a besoin d’un grand changement dans la gestion de l’administration publique, en commençant par les ministères délinquants qui naviguent sans plan stratégique depuis plusieurs années, a insisté le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Le chef de la CAQ a vivement dénoncé le laisser-aller libéral des 15 dernières années, étalé dans un reportage du magazine L’actualité. En effet, plusieurs ministères d’importance capitale, comme celui des Transports, de l’Éducation, de l’Environnement et de la Culture, gèrent une bonne partie de ses ressources dans le brouillard, sans boussole, sans indicateurs de performance, sans plans stratégiques efficaces pour vérifier si l’argent des contribuables est dépensé à bon escient. Le nouveau Président du Conseil du Trésor, Pierre Arcand, l’a d’ailleurs reconnu mardi, en affirmant qu’« on part de quand même d’assez loin » et que « pendant des années, il n’y a pas eu de contrôle efficace ».

Le chef caquiste a fait la promesse solennelle de procéder à un véritable changement de culture au sein de l’État québécois, dès octobre 2018. Tout d’abord, les nominations partisanes cesseront et seules les personnes compétentes seront nommées et conservées à des postes clés, peu importe leur allégeance politique. Ensuite, la CAQ adoptera une loi pour rendre les sous-ministres et les hauts dirigeants des organismes publics imputables de leurs gestes et décisions.

Neutralité religieuse : La CAQ abrogera la Loi 62 et fera adopter une véritable Charte de la laïcité


 Publié le 18 octobre 2017

Alors que l’Assemblée nationale a procédé à l’adoption finale du projet de Loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État, la Coalition Avenir Québec prend l’engagement formel d’abroger cette loi et de la remplacer par une autre, davantage fidèle au consensus et aux valeurs des Québécois.

La Loi 62 du gouvernement Couillard induit la population en erreur, et ce, à plusieurs égards, s’inquiète la députée de Montarville, Nathalie Roy. Ce qui devait être une loi pour affirmer la laïcité de l’État est en réalité une loi qui fera entrer plus de « religieux » dans l’État. Madame Roy ajoute qu’il ne s’agit pas non plus d’une vraie loi sur le visage à découvert, puisque la ministre Stéphanie Vallée facilite les demandes d’accommodements pour des raisons religieuses. Pour toutes ces raisons, la CAQ vote contre la loi du gouvernement libéral. Elle l’abrogera une fois au pouvoir, pour la remplacer par une Charte de la laïcité. « Laïcité », un mot qui n’apparaît pas dans la Loi 62.

Cette loi d’un gouvernement de la CAQ stipulera clairement que :

  1. Le Québec est un État laïque (rapport Bouchard-Taylor) ;
  2. Le port de signes religieux doit être interdit aux employés de l’État en position d’autorité coercitive, que sont les juges, les procureurs de la Couronne, les policiers, les gardiens de prison (rapport Bouchard-Taylor). La CAQ ajoute à cette liste les enseignants du primaire et du secondaire ;
  3. Dans le cadre de l’exercice de leurs fonctions, aucune exception ne doit leur être accordée pour des motifs religieux ;
  4. Tout membre du personnel de l’État ne pourra porter un tchador, un niqab ou une burqa dans l’exercice de leurs fonctions, puisqu’ils sont des symboles de soumission et d’asservissement qui vont à l’encontre du droit à l’égalité entre les femmes et les hommes.

Inondations printanières : Pour éviter d’autres drames, il faut de l’action


 Publié le 17 octobre 2017

Accompagné du maire de Deux-Montagnes, Denis Martin, le député de la Coalition Avenir Québec, Benoit Charette, a demandé à la ministre de l’Environnement, Isabelle Melançon, de rassurer les citoyens de son comté en autorisant rapidement la construction d’une nouvelle digue à Deux-Montagnes afin d’éviter des inondations semblables à celle vécue au printemps dernier.

Benoit Charette appuie totalement la proposition du maire de Deux-Montagnes, Denis Martin, soit celle de construire une digue sur le bord du Lac des Deux-Montagnes afin de prévenir une autre recrudescence majeure des eaux et de protéger convenablement les citoyens en zone urbaine. Benoit Charette a rappelé que son comté a été l’un de ceux qui ont été touchés de plein fouet par les inondations du printemps dernier, alors que 275 résidences dans la Ville de Deux-Montagnes ont été affectées, en plus de nombreuses infrastructures municipales. Le député caquiste a dit espérer que la nouvelle ministre de l’Environnement, Isabelle Melançon, saisira l’urgence d’agir et accéléra les autorisations en vue d’ériger la digue, dans le respect des normes environnementales.

Pour sa part, la députée Sylvie D’Amours a tenu à préciser que la situation dans son comté est loin d’être résolue. D’ailleurs, la caquiste continue ses pressions auprès du ministère de l’Environnement pour que celui-ci procède à la réfection de la digue de Pointe-Calumet, dans le but de résister à une autre crue, et de la rehausser afin que son sommet atteigne 25,3 mètres, tel que recommandé par plusieurs experts.

Assermentation de Geneviève Guilbault : L’équipe du changement se renforce


 Publié le 16 octobre 2017

C’est avec grande fierté que le chef de la Coalition Avenir Québec et député de L’Assomption, François Legault, a accueilli officiellement dans ses rangs la nouvelle députée de Louis-Hébert, Geneviève Guilbault, alors que cette dernière a été assermentée au Salon Rouge de l’Assemblée nationale, lundi.

Geneviève Guilbault est une femme déterminée et compétente, qui se lance en politique active pour améliorer la qualité de vie des familles québécoises, s’est réjoui François Legault. Sa fougue, son intelligence et son éloquence ont séduit les électeurs de Louis-Hébert, qui gagnent aujourd’hui une députée intègre et dévouée.

Fraîchement assermentée et très fière de faire officiellement son entrée à l’Assemblée nationale, la députée de Louis-Hébert, Geneviève Guilbault, a dit être impatiente d’être la voix des familles québécoises au sein du caucus de la CAQ. Les citoyens de Louis-Hébert ont audacieusement opté pour le changement et pour le renouveau politique et elle compte bien l’incarner dès aujourd’hui.

Par ailleurs, compte tenu de l’arrivée d’une nouvelle personne dans son caucus, le chef de la CAQ, François Legault, a procédé à quelques modifications aux responsabilités parlementaires de ses député(e)s. M. Legault a annoncé que la députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, reprend les dossiers d’agriculture, en plus de conserver celui du tourisme. Le whip de la CAQ, Donald Martel, continuera de talonner le gouvernement libéral sur le déploiement de sa stratégie maritime et à défendre la région de la Mauricie.

17 ministres issus de l’ère Charest : Un remaniement n’efface pas 15 ans


 Publié le 11 octobre 2017

Le remaniement d’aujourd’hui consacre le statu quo au gouvernement libéral, a déclaré le leader parlementaire de la Coalition Avenir Québec, François Bonnardel, à la suite du remaniement ministériel de mercredi.

Philippe Couillard a délibérément choisi de garder au sein de son Conseil des ministres 17 personnes qui étaient là sous Jean Charest, soit plus de la moitié de son cabinet.

Par ailleurs, le leader caquiste a déploré le bricolage auquel s’est adonné le premier ministre en créant de toutes pièces de nouveaux postes de ministres uniquement pour plaire à certains membres de la famille libérale. Pour M. Bonnardel, c’est un geste qui démontre un manque de respect pour les contribuables.

Prostitution juvénile : Les libéraux disent non à une commission non-partisane


 Publié le 6 octobre 2017

Sans aucune raison valable, le gouvernement libéral de Philippe Couillard a refusé la tenue d’une commission parlementaire non-partisane visant à trouver des solutions concrètes et immédiates pour mettre fin au fléau de la prostitution juvénile.

La députée de Repentigny et porte-parole de la Coalition Avenir Québec, Lise Lavallée, a talonné le gouvernement libéral toute la semaine afin que cette question soit abordée par les députés de toutes les formations politiques, autour de la même table. Majoritaires, les libéraux ont refusé d’entendre les experts afin que le Québec puisse mettre en place une stratégie efficace de lutte à la prostitution juvénile.

Lise Lavallée a passé l’été à rencontrer des groupes et experts sur la question. Elle a souligné que jamais le problème de l’exploitation sexuelle n’a été aussi criant qu’aujourd’hui. Preuve en est : le Québec est la seule province à « exporter des filles » dans le reste du Canada et pour l’année en cours, nous battons tous les records en matière de signalements de fugues. Il n’y a pas de quoi être fier, a regretté la députée caquiste.

Qu’attend le gouvernement libéral de Philippe Couillard pour se doter d’un vrai plan pour sortir les jeunes femmes et les jeunes filles de l’horreur de la prostitution ?

Cannabis : Philippe Couillard bâillonne ses députés


 Publié le 5 octobre 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a appelé Philippe Couillard à laisser ses députés voter librement, en toute conscience, sur la motion de sa formation politique voulant fixer l’âge légal pour consommer du cannabis à 21 ans. Le premier ministre, pour des raisons purement partisanes, a préféré bâillonner les membres de son caucus.

Selon M. Legault, la légalisation du cannabis touche les valeurs profondes de tout parent et de tout député(e). Les libéraux ne méritent pas de se voir imposer une ligne de partie sur une question aussi sensible qu’est l’âge légal de la consommation.

Pour la CAQ, il n’y a pas de doute : l’âge légal doit être fixé à 21 ans. Philippe Couillard, de son côté :

  • Compare le cannabis à l’alcool, alors qu’il est prouvé que le cannabis comporte des risques beaucoup plus graves de développer des maladies mentales ;
  • Préfère contrer la contrebande plutôt que de protéger le cerveau des jeunes âgés entre 18 et 21 ans ;
  • Préfère tenir compte du choix de l’Ontario, comme si cette dernière décidait à notre place.

Le premier ministre Couillard ferait mieux d’écouter son ministre de la Santé, Gaétan Barrette, qui affirmait au mois de juin dernier que son « cœur penche plus vers le 21 ans ».