Encadrement du cannabis : La CAQ pose ses conditions


 Publié le 7 février 2018

Alors que débute mercredi le débat sur l’adoption de principe du projet de loi sur l’encadrement de la légalisation du cannabis, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, a fait part au gouvernement libéral de Philippe Couillard de ses conditions sine qua non pour obtenir l’appui de la CAQ lors du vote final sur projet de loi libéral.

La CAQ n’a jamais été en faveur de la légalisation du cannabis, a rappelé Simon Jolin-Barrette, mais devant le constat que le fédéral ne reculera pas sur sa décision, il est de la responsabilité du gouvernement du Québec de se préparer et de limiter au maximum les effets pervers de la banalisation de la consommation du cannabis. Si les libéraux souhaitent l’appui de la CAQ lors du vote final, la ministre responsable Lucie Charlebois devra :

  • Établir l’âge légal pour possession et consommation à 21 ans, tel que recommandé par plusieurs associations de médecins ;
  • Interdire la consommation du cannabis dans les lieux publics sur tout le territoire du Québec.

Le député caquiste a indiqué que sa formation politique votera en faveur du principe du projet de loi 157, dans l’espoir d’obtenir ces gains auprès du gouvernement Couillard. Rappelons que la CAQ a été la première formation à déposer, en septembre dernier, un cadre réglementaire responsable, priorisant la santé, la sécurité publique et des mesures strictes pour lutter contre la banalisation de la consommation du cannabis auprès des jeunes.

Élection provinciale de 2018 : « Je serai candidat pour la Coalition Avenir Québec » – André Lamontagne


 Publié le 25 janvier 2018

Le député André Lamontagne a annoncé le 25 janvier qu’il sera candidat à l’élection provinciale d’octobre 2018. « Je porterai les couleurs de la Coalition Avenir Québec, a-t-il confirmé. Je suis heureux et emballé à l’idée d’offrir de nouveau aux citoyens et citoyennes du comté de Johnson mes talents et mes ressources pour les représenter à l’Assemblée nationale. »

« Un dynamisme peu commun pointe aux quatre coins du comté, observe le député. Je trouve très stimulant de collaborer avec tous ces gens qui, jour après jour, s’investissent à faire du bien, à améliorer le bien-être de leurs concitoyens et concitoyennes et à faire progresser notre belle région et ses communautés. Je veux continuer de les appuyer en leur donnant le meilleur de moi-même. »

« Dans une perspective plus large, le Québec peut et doit faire mieux, affirme André Lamontagne. On peut augmenter les chances de nos jeunes par un meilleur taux de diplomation, réduire et même éliminer notre écart de richesse avec nos voisins, alléger le fardeau fiscal des familles, améliorer l’accès aux soins de santé, mieux intégrer nos immigrants et faire plus pour protéger et développer notre langue et notre culture. »

« Le Québec a tous les atouts pour briller parmi les meilleurs, assure M. Lamontagne. La CAQ, par ses multiples propositions et la qualité de son équipe parlementaire, a su démontrer qu’elle a la vision et la capacité pour accompagner les Québécois et Québécoises à réaliser ce potentiel de fierté et de prospérité à l’intérieur du Canada. »

« Depuis près de 50 ans, le Québec a été gouverné par les deux mêmes partis et depuis 15 ans par un parti que le pouvoir a usé. Aujourd’hui, nous sommes mûrs pour un véritable changement et la CAQ incarne ce changement. À la prochaine élection, les Québécoises et Québécois se verront donc offrir, pour la première fois depuis longtemps, la réelle opportunité d’insuffler au Québec une nouvelle énergie positive en accordant leur appui à la CAQ. »

« C’est à un rendez-vous historique que le Québec tout entier est invité en octobre prochain. Et c’est à ce rendez-vous que je convie les citoyens et citoyennes du comté de Johnson », lance André Lamontagne

Interdiction du cannabis dans les lieux publics : La CAQ déposera un amendement visant l’ensemble du territoire québécois


 Publié le 11 janvier 2018

Philippe Couillard doit assumer ses responsabilités et dire clairement à toutes les municipalités qu’il sera interdit de consommer du cannabis dans tous les lieux publics au Québec, a exigé le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette.

À ses yeux, le gouvernement libéral s’apprête à créer une véritable confusion en permettant la consommation de cannabis dans certaines municipalités, tout en l’interdisant dans d’autres. L’approche du cas par cas sur un sujet aussi sensible et important pour la sécurité et la santé publique est irresponsable, a lancé Simon Jolin-Barrette.

Puisque les libéraux continuent à minimiser les effets du cannabis, la CAQ annonce qu’elle déposera, lors de l’étude du projet de loi, un amendement visant à interdire la consommation de pot dans les lieux publics sur tout le territoire du Québec.

Stages de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant: Chantal Soucy invite les jeunes de sa circonscription à s’inscrire


 Publié le 10 janvier 2018

La période de mise en candidature pour les stages 2018-2019 de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant bat actuellement son plein. Chaque année, ces stages pratiques de dix mois, assortis d’une bourse d’excellence de 21 000 $, offrent à cinq jeunes diplômés universitaires l’opportunité de plonger au cœur de l’activité parlementaire et de vivre une incursion privilégiée dans les coulisses de l’Assemblée nationale. Les participants, jumelés à un député, ont l’opportunité de rédiger un essai et de le déposer à la Bibliothèque de l’Assemblée nationale, ainsi que d’effectuer une mission à l’étranger afin de comparer les différents systèmes parlementaires.

Pour la députée Chantal Soucy, ces stages représentent une porte d’entrée formidable vers le monde politique. « Il s’agit d’une expérience enrichissante et surtout très concrète pour les diplômés. C’est l’occasion pour eux de mettre en pratique les connaissances qu’ils ont acquises durant leur parcours universitaire et de consolider leur intérêt pour la politique », a-t-elle déclaré, encourageant du même souffle les jeunes de sa circonscription à soumettre leur candidature. « L’engagement de la relève en politique est crucial et je serais ravie de pouvoir accueillir un de nos jeunes à l’Assemblée nationale, dans le cadre de ces stages. La politique est un monde palpitant et cette expérience est un excellent tremplin vers une carrière dans le domaine », a-t-elle conclu.

La période de mise en candidature pour les stages 2018-2019 de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant prendra fin le 15 février 2018. Les critères de sélection, ainsi que les conditions d’admissibilité figurent sur le site Internet de la Fondation, au www.fondationbonenfant.qc.ca. Des dépliants d’information sont également disponibles au bureau de la députée Chantal Soucy, situé au 1970, rue des Cascades Ouest, à Saint-Hyacinthe.

Une session bien remplie pour la députée Lise Lavallée


 Publié le 21 décembre 2017

Le printemps dernier, François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec confiait de nouvelles responsabilités à la députée de Repentigny, Lise Lavallée. Cette dernière est maintenant porte-parole du 2e groupe d’opposition en matière de condition féminine et de santé publique.  La lutte à l’intimidation complète ces champs d’intervention pour le mandat en cours. Madame Lavallée est intervenue dans plusieurs dossiers chauds au cours de la dernière session parlementaire, laquelle s’est terminée le 8 décembre dernier.

Un enjeu majeur en matière de condition féminine fut sans contredit le dossier de la prostitution juvénile. Tout au long de la période estivale, madame Lavallée a rencontré plusieurs intervenants sociaux et judiciaires ainsi que des organismes voués à la prévention et au soutien de nos jeunes adolescentes vivant cette réalité. Trop souvent, ces dernières sont sous le joug de proxénètes ou de prédateurs sexuels. « La prostitution est un fléau qui touche particulièrement notre jeunesse. Les élus de l’Assemblée nationale doivent s’élever au-dessus de toute partisanerie afin de définir las balises permettant d’endiguer ce phénomène», déclare madame Lavallée. À cet égard, la députée de Repentigny a présenté à l’Assemblée nationale deux motions et un mandat d’initiative lequel aurait permis la tenue d’une commission parlementaire sur cette problématique. Malheureusement, toutes ses initiatives ont reçu une fin de non-recevoir de la part du Gouvernement Couillard.

En tant que porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour la Santé publique, Lise Lavallée a participé activement, avec son collègue Simon Jolin-Barrette de la CAQ, aux travaux visant la légalisation prochaine du cannabis. «Dès le mois de septembre dernier, nous avons dévoilé une série de mesures contraignantes pour restreindre la consommation de marijuana, le plus possible. Parmi celles-ci, on compte notamment une interdiction de consommer cette drogue dans les lieux publics, une modification au Code de la sécurité routière afin d’imposer des peines sévères aux conducteurs ayant consommé du cannabis, une interdiction de faire la culture du cannabis à domicile et un âge légal de 21 ans pour acheter du cannabis. Les travaux en commission parlementaire sur ce dossier reprennent dès la mi-janvier», de souligner madame Lavallée.

Certains enjeux locaux demeurent des préoccupations constantes pour la députée et sont à la base même de son engagement politique. Ainsi, l’agrandissement de l’hôpital Pierre-Le Gardeur, «une promesse des libéraux en début de mandat et qui se fait toujours attendre. Je vais continuer à talonner le ministre de la Santé afin qu’une date de début des travaux soit enfin arrêtée», d’affirmer madame Lavallée. «Il en va ainsi pour l’installation et la mise en opération de l’appareil Tep Scan dont les patients ayant un diagnostic de cancer pourraient bénéficier. Les fonds sont disponibles. Il ne manque que l’autorisation du ministre Barrette. Je vais continuer à suivre ces dossiers pour le bien de la population que je représente», de conclure la députée.

Rapport de la commission Chamberland : Simon Jolin-Barrette invite le gouvernement à donner suite aux recommandations


 Publié le 14 décembre 2017

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, accueille favorablement le rapport final de la Commission d’enquête sur la protection de la confidentialité des sources journalistiques, déposé jeudi. Le député de Borduas invite le gouvernement libéral de Philippe Couillard à donner suite le plus rapidement possible aux deux recommandations phares, soit :

– L’adoption d’une loi sur la protection du matériel et des sources journalistiques ;

– Un meilleur encadrement des rapports entre les autorités politiques et les corps de police.

Le rapport Chamberland est le point de départ d’une série de réformes qui doivent être mises en place, souligne le caquiste Simon Jolin-Barrette. Philippe Couillard doit y donner suite, afin de rétablir la confiance du public envers les corps de police et pour protéger la liberté de presse.

D’abord, les libéraux doivent s’engager à déposer et à faire adopter, avant les prochaines élections générales, une loi sur la protection du matériel et des sources journalistiques. Ensuite, il faut mieux encadrer les rapports entre les autorités politiques et les corps de police. Simon Jolin-Barrette réitère que, pour assurer pleinement l’indépendance policière, les nominations du directeur général de la Sûreté du Québec et du commissaire de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) doivent être soumises à un vote des deux tiers de l’Assemblée nationale.

Le gouvernement libéral doit poser les gestes nécessaires afin de redonner confiance des Québécois en nos institutions, termine le député de la CAQ, Simon Jolin-Barrette.

Annonce du candidat de la CAQ dans Ungava : Un policier retraité de la Sûreté du Québec portera les couleurs de la CAQ


 Publié le 13 décembre 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer que Denis Lamothe, qui a fait carrière pendant près de 30 ans comme policier à la Sûreté du Québec, portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription d’Ungava lors des prochaines élections générales.

Celui qui a vécu et travaillé dans le comté d’Ungava pendant 8 ans croit beaucoup à l’économie locale et régionale. « La CAQ, c’est le parti des familles. C’est un fait, plusieurs familles québécoises ont de la difficulté à arriver au bout du mois. C’est inconcevable! Il faut redonner de l’argent dans le portefeuille des familles et c’est ce que nous ferons une fois au pouvoir. François Legault veut aussi créer des emplois payants pour tous les Québécois afin que nous demeurions fiers et prospères. C’est avec des solutions aussi concrètes que nous améliorerons le sort des Québécois », a souligné Denis Lamothe.

Confiance et intégrité

Pour François Legault, l’expérience de Denis Lamothe permettra à la CAQ de se brancher sur les réalités vécues par les citoyens d’Ungava, autochtones ou non-autochtones. « Denis aime profondément le Nord québécois et les gens qui y vivent. Alors qu’il travaillait en milieu autochtone, Denis s’est bâti une réputation d’homme de confiance, intègre et doté d’un solide jugement. Si j’ai pris la peine de venir à Chibougamau pour présenter le candidat de la CAQ 9 mois avant les élections du 1er octobre, c’est en signe de respect pour les gens de la région », a souligné le chef de la CAQ.

L’équipe du changement prend forme

« L’équipe de la CAQ, c’est le changement dont le Québec a grandement besoin. Moi, ça m’inspire! Et c’est exactement ce pour quoi j’adhère à la CAQ : pour le changement. Pour améliorer les conditions de vie des Québécois. Et je peux vous assurer que vous pouvez compter sur moi pour promouvoir et défendre les intérêts de mes concitoyens et concitoyennes. Je ferai la différence. Et je tiens à lancer ce message à tous les citoyens du comté d’Ungava : joignez-vous à nous », a-t-il conclu.

Victimes d’agression sexuelle : Le gouvernement Couillard de plus en plus isolé


 Publié le 12 décembre 2017

À la suite d’un rapport dévoilé mardi par le Barreau du Québec, le gouvernement Couillard est de plus en plus isolé dans sa volonté de maintenir les délais de prescription empêchant des victimes d’agression à caractère sexuel de poursuivre leur agresseur au civil, constate le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette.

Dans ce rapport, intitulé « Réflexion sur le traitement des dossiers en matière d’agression sexuelle au Canada », le Barreau du Québec recommande au gouvernement libéral de modifier le Code civil du Québec afin de prévoir « l’imprescriptibilité des actions pour les agressions sexuelles », dans le but « d’assurer la pleine efficacité des mesures de facilitation des recours pour les victimes ».

Depuis un bon moment, M. Jolin-Barrette talonne la ministre de la Justice, Stéphane Vallée, afin que celle-ci assure à toutes les victimes d’agressions sexuelles de poursuivre leurs agresseurs et d’être indemnisées sans contrainte de temps. La CAQ a même déposé un projet de loi 596 à cet effet à l’Assemblée nationale.

Simon Jolin-Barrette, appuyé par sa collègue critique en matière de condition féminine Lise Lavallée, estime que le délai de prescription constitue toujours à ce jour une barrière juridique qui n’a pas sa place, alors que de nombreuses victimes peinent à dénoncer et à obtenir justice. M. Jolin-Barrette espère que cette position du Barreau du Québec convaincra enfin le gouvernement libéral de Philippe Couillard à abolir définitivement tout délaidans le système judiciaire québécois, comme c’est le cas en matière criminelle.

Annonce du candidat de la CAQ dans Rouyn-Noranda-Témiscamingue : Jeremy Bélanger se joint à l’équipe du changement


 Publié le 11 décembre 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est ravi d’annoncer que Jeremy Bélanger, ingénieur chez Hydro-Québec, portera fièrement les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Rouyn-Noranda-Témiscamingue lors des prochaines élections générales.

Pour François Legault, Jeremy Bélanger est un candidat très solide, avec une feuille de route déjà impressionnante. « En plus d’être ingénieur chez Hydro-Québec, il complète une maîtrise en administration des affaires. Jeremy croit au potentiel de développement de grands projets chez Hydro-Québec, en vue d’exporter de l’électricité chez nos voisins canadiens et américains. Jeremy veut contribuer à développer notre économie, ici en Abitibi et au Témiscamingue. C’est un amoureux de la région, où il a décidé de fonder sa famille. Il comprend donc bien les réalités des jeunes familles d’ici », a indiqué François Legault.

De l’ambition pour l’Abitibi-Témiscamingue

C’est la grande vision économique de François Legault qui a convaincu le père de deux jeunes filles de faire le saut en politique. « Pour la CAQ et pour moi, le bien-être des familles québécoises est essentiel. D’ailleurs, j’ai la conviction profonde que des familles prospères et heureuses représentent l’élément clé d’une société grandissante et épanouie. Plus près de chez moi, en Abitibi-Témiscamingue, la CAQ proposera des mécanismes de développement régional efficaces et concrets. L’idée de donner le contrôle du développement des régions aux gens au coeur de l’action est excellente. Car ce sont eux qui connaissent les besoins pour assurer un développement rationnel qui reflète leurs attentes », a expliqué le nouveau candidat.

L’équipe du changement

« Des idées honnêtes et efficaces, une intégrité impeccable et notre engagement à poser des gestes concrets; c’est ça qui nous place dans la meilleure position pour servir les Québécois en 2018. Et c’est pour cela que la Coalition Avenir Québec est mon parti. Je suis fier d’être le candidat de l’équipe du changement de François Legault. J’invite tous mes concitoyens à se joindre à la CAQ pour assurer un meilleur avenir à tous les Québécois », a conclu Jeremy Bélanger.

Gicleurs dans les résidences pour aînés : La CAQ exige une modification du programme d’aide


 Publié le 10 décembre 2017

En présence de quelques propriétaires de petites résidences, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé et pour les aînés, François Paradis, a exigé que le gouvernement libéral modifie le versement de la subvention du programme d’aide pour l’installation les gicleurs.

Les résidences pour ainés doivent obtenir leur financement pour l’installation de gicleurs auprès d’institutions financières. Mais malgré le programme d’aide annoncé par les libéraux en 2015, elles éprouvent toujours beaucoup de difficultés à obtenir un financement et la subvention du gouvernement leur parvient beaucoup trop tard. Avec le changement proposé par la CAQ, lorsque les propriétaires auront les plans et les devis signés par un ingénieur et accepté la soumission d’un entrepreneur certifié, le gouvernement devra verser la subvention avant le début des travaux.

Le député de Lévis a soutenu que les résidences veulent assurer la sécurité des aînés. Mais, actuellement, le programme d’aide est trop rigide et mal adapté à la réalité des propriétaires, qui doivent entièrement financer les travaux avant un remboursement partiel. Or, ces travaux peuvent coûter entre 50 000 $ et 200 000 $ par résidence.

Selon des informations obtenues par la CAQ, en date du 12 octobre 2017, 902 résidences pour aînés ne sont pas encore munies d’un système de gicleurs contre les incendies, soit près de 50 % des résidences du Québec.