Projet de parc éolien à Port-Cartier : Les libéraux utilisent l’argent des contribuables pour acheter des votes, déplore la CAQ


 Publié le 6 juin 2018

À la veille des élections, Hydro-Québec risque de se voir contrainte de signer le contrat du projet de parc éolien à Port-Cartier par le gouvernement libéral, ce qui fera perdre 1,5 milliard de dollars aux Québécois. La société d’État, qui baigne actuellement dans les surplus d’électricité et qui prévoit le demeurer jusqu’en 2026, serait alors forcée d’acheter 200 MW d’électricité dont elle n’a pas besoin, et ce, à un coût presque deux fois plus élevé que celui des projets d’éolien conclus précédemment.

La CAQ a d’ailleurs déposé une motion, mercredi, afin que le gouvernement n’oblige pas Hydro-Québec à signer ce contrat d’ici le 1er octobre prochain. Cette motion a été bloquée par le gouvernement Couillard.

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, soutient que la production d’électricité d’Hydro-Québec doit effectivement être relancée, mais qu’on doit d’abord avoir signé des ententes d’exportation avec des états américains et d’autres provinces canadiennes, pour écouler nos surplus afin que la facture ne soit pas refilée aux Québécois. Il faut être beaucoup plus proactif pour conclure de tels partenariats et c’est précisément ce que prévoit le projet d’Alliance énergétique de la CAQ.

Projet de parc éolien à Port-Cartier: Chantal Soucy se lève en chambre pour défendre les contribuables


 Publié le 6 juin 2018

À la veille des élections, les libéraux veulent contraindre Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, ce qui représenterait une perte de 1,5 milliard de dollars pour les Québécois. Ce contrat forcerait Hydro-Québec, qui baigne actuellement dans les surplus d’électricité et qui prévoit le demeurer jusqu’en 2026, à acheter 200 MW d’électricité dont elle n’a pas besoin, et ce, à un coût presque deux fois plus élevé que celui des projets éoliens conclus précédemment.

C’est ce qu’a dénoncé, hier, au salon bleu, la députée de Saint-Hyacinthe et porte-parole de la CAQ en matière d’Énergie, Chantal Soucy. Selon elle, cette stratégie électoraliste affectera durement les familles québécoises, qui ont déjà chèrement payé le prix des décisions libérales au cours des quatre dernières années. « Pour acheter des votes sur la Côte-Nord, le gouvernement de Philippe Couillard est prêt à dilapider l’argent des Québécois. C’est la méthode libérale. D’ailleurs, la Vérificatrice générale révélait dans son dernier rapport que les achats inutiles imposés par le gouvernement ont fait grimper la facture d’électricité des Québécois de 2,5 milliards de dollars en huit ans », a-t-elle déploré.

La députée de Saint-Hyacinthe a renchéri, aujourd’hui, en déposant une motion à l’Assemblée nationale, exigeant que le gouvernement du Québec fasse marche arrière et renonce à sa volonté d’obliger Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier, d’ici le 1er octobre prochain. Cette motion s’est vue rejetée par les libéraux.

« La production d’électricité d’Hydro-Québec doit être relancée, mais on doit d’abord avoir signé des ententes d’exportation avec des états américains et d’autres provinces canadiennes, pour écouler nos surplus afin que la facture ne soit pas refilée aux Québécois. Il faut être beaucoup plus proactif pour conclure de tels partenariats et c’est précisément ce que prévoit le projet d’Alliance énergétique de la CAQ », a, pour sa part, déclaré le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

TÉMOIGNAGES COURAGEUX DE QUATRE VICTIMES DE L’EX-ENTRAÎNEUR DE SKI BERTRAND CHAREST


 Publié le 5 juin 2018

Hier, quatre victimes de l’ex-entraineur de ski Bertrand Charest sont sorties de l’ombre, à visage découvert, et ont livré de troublants témoignages sur les abus qu’elles ont subis dans le cadre de la pratique de leur sport, de leur passion. La Coalition Avenir Québec appuie les demandes de ces femmes, et exige que le gouvernement agisse rapidement pour encadrer la pratique du sport chez les jeunes athlètes, notamment pour rendre les formations des entraineurs obligatoires et pour établir des politiques afin de faire en sorte que plus jamais de tels abus ne se reproduisent dans les milieux sportifs.

En mon nom et en celui de toute ma formation politique, nous espérons que l’issu de votre démarche judiciaire, qui a certes été empreinte de souvenirs douloureux, vous amène paix et sérénité. Je suis convaincue que le courage dont vous avez fait preuve, hier, saura inciter d’autres victimes d’abus à dénoncer elles aussi. Pour cela, je vous félicite et vous remercie sincèrement. Les jeunes athlètes qui vous ont admirées pendant toute votre carrière sportive ont désormais une autre raison d’applaudir votre détermination, et j’ai l’intime conviction que vos épreuves respectives ne seront pas vaines.

Sachez que vous avez toute notre gratitude et notre reconnaissance, et que nos meilleures pensées vous accompagnent.

 

Exploitation sexuelle : Un projet de loi pour faire reconnaître les victimes


 Publié le 31 mai 2018

La porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de condition féminine, Lise Lavallée, a déposé le projet de loi 1194, jeudi, et demandé formellement à la ministre Stéphanie Vallée de le faire adopter avant la fin de la session parlementaire. Ce projet de loi vise à faire reconnaître les victimes d’exploitation sexuelle et de traite de personnes dans la loi actuelle sur l’indemnisation des victimes d’actes criminels.

Madame Lavallée a notamment fait valoir à la ministre libérale que la liste des séquelles chez ces femmes victimes d’exploitation sexuelle est longue : stérilité chez les jeunes filles d’âge mineur, troubles de santé mentale, état de stress post-traumatique, toxicomanie, un taux de mortalité nettement plus élevé que la moyenne nationale, et plus encore.

Le projet de loi de la députée de Repentigny ne tient qu’en un seul et unique article. Pourtant, la ministre Vallée ne s’est pas engagée à l’adopter, lors de la période de questions, alors que cet article fait consensus non seulement auprès de l’Assemblée nationale, mais également auprès de tous les organismes qui travaillent aux côtés des victimes, de même que les victimes elles-mêmes. Ce seul article peut changer des vies.

Formule E : La CAQ veut savoir qui a fait pression sur les libéraux


 Publié le 30 mai 2018

Le ministre des Affaires municipales et responsable de la région de Montréal, Martin Coiteux, a été incapable de justifier aux Québécois les raisons pour lesquelles il a autorisé l’octroi d’une subvention additionnelle de 1 million de dollars à l’organisme Montréal c’est électrique pour l’organisation de la Formule E. Surtout, M. Coiteux a refusé de dire qui l’a appelé pour obtenir cette fameuse subvention : l’ex-maire Denis Coderre ou l’actuel président de la campagne du Parti libéral, Alexandre Taillefer, qui agissait à l’époque comme président d’honneur de l’événement ?

Le député de Blainville pour la Coalition Avenir Québec et porte-parole pour la Métropole, Mario Laframboise, a exigé une reddition de compte au gouvernement libéral, au lendemain du dépôt du rapport accablant du Bureau de l’inspecteur général (BIG) de la Ville de Montréal sur la gestion douteuse de la Formule E. M. Laframboise a rappelé que les contribuables québécois ont dépensé 1,5 M$ dans cet événement, dont 1 M$ qui a été versé par les libéraux après la tenue de la Formule E.

Compte tenu des minces retombées de l’événement et des graves allégations du BIG, le ministre Martin Coiteux doit enfin sortir de son mutisme : qui, de Denis Coderre et d’Alexandre Tailler, a demandé à ce que le gouvernement libéral ajoute 1 M$ pour la Formule E, et ce, sans aucune évaluation ?

Le Parti libéral a une fois de plus préféré cacher la vérité aux Québécois, a dénoncé le caquiste Mario Laframboise.

Congrès national de la CAQ : Il faut faire plus et mieux pour le Québec, dit François Legault


 Publié le 27 mai 2018

C’est par un discours teinté de la volonté de voir le Québec changer et se reconnecter sur les préoccupations des Québécois que François Legault a clôturé le Congrès national de la CAQ qui a réuni environ 1 200 militants dimanche, à Lévis. Le chef caquiste y a notamment martelé qu’un gouvernement de la CAQ voudra « faire plus et faire mieux » pour tous les Québécois.

François Legault a rappelé que des efforts considérables ont été faits par son parti pour bâtir une équipe solide, constituée de femmes et d’hommes de talent, issus de tous les milieux et de toutes les générations, au cours des derniers mois. Ces candidats, qui étaient réunis sur la scène derrière lui, ont un but en commun : changer et faire évoluer le Québec en reconnectant le gouvernement sur les citoyens et leurs préoccupations.

Dans son discours, le chef de la CAQ a misé sur l’importance de faire plus avec l’argent durement gagné des contribuables. Il a notamment nommé la nécessité de diminuer la taxe scolaire, d’améliorer les services destinés à nos aînés et à nos proches aidants, de mieux encadrer l’immigration et de réinvestir en éducation. Il a également fait un vibrant plaidoyer en faveur d’un gouvernement plus intègre et a déclaré, devant ses militants, qu’une carte de membre de la CAQ ne sera jamais synonyme d’une nomination politique. À ce titre, il a réitéré que sous un gouvernement de la CAQ, ces nominations se feront uniquement selon la compétence des individus.

Pour un réseau de la santé plus accessible, plus efficace et plus décentralisé


 Publié le 26 mai 2018

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Élection générale de 2018 – Nadine Girault et Stéphane Le Bouyonnec sont candidats pour la CAQ


 Publié le 26 mai 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité du lancement du Congrès national de la CAQ au Centre de congrès et d’expositions de Lévis pour annoncer que Nadine Girault et Stéphane Le Bouyonnec porteront les couleurs de sa formation politique lors de la prochaine élection générale, dans les circonscriptions de Bertrand et de La Prairie respectivement. François Legault se réjouit de pouvoir compter sur ces gestionnaires de grande expérience au sein de son équipe.

Pour François Legault, ces ajouts à sa formation politique démontrent à quel point le Québec aura une équipe de gestionnaires exceptionnelle avec un éventuel gouvernement de la CAQ. « Partout où ils sont passés, ils ont fait preuve d’excellence. Nadine a actuellement sa propre boîte de consultants en gestion. Auparavant, elle a été vice-présidente au Fonds de solidarité FTQ, de Boutique Jacob, de BMO Groupe financier, de Desjardins Sécurité financière, vice-présidente associée à RBC Banque Royale, et elle a aussi siégé au conseil d’administration d’Investissement Québec. De son côté, Stéphane est actuellement le président de la CAQ. Il est diplômé de l’École Polytechnique de Montréal en génie industriel. Il a d’abord travaillé chez Lavalin, pour ensuite être vice-président exécutif de l’entreprise Hypocrat, vice-président du Fonds de solidarité FTQ, président d’Innovitech et de Métaforia. Il a aussi fondé Synergis Capital, une firme spécialisée en fusions, acquisitions et finance corporative, en plus d’avoir été député de la CAQ dans La Prairie de 2012 à 2014 », a détaillé le chef de la CAQ.

« Les Québécois veulent que leur État soit mieux géré. Depuis des années, on a l’impression que le gouvernement libéral a baissé les bras. Nous, on est convaincu que le gouvernement peut être beaucoup mieux géré. Les Québécois en ont assez de payer toujours plus pour toujours moins de services. Les Québécois veulent que le gros bon sens et la bonne gestion fassent leur retour au gouvernement. Ce changement est incarné par Nadine et Stéphane», a ajouté François Legault.

Dynamiser Investissement Québec en région

Nadine Girault soutient avoir choisi la Coalition Avenir Québec « pour son ouverture au changement dans la façon de gouverner le Québec. J’ai trouvé à la CAQ une harmonie de vue avec mes propres convictions, que ce soit en immigration, en éducation ou dans la vision de M. Legault du développement économique régional. Je crois, comme lui, qu’il faut rendre Investissement Québec plus dynamique en région et qu’on doit prendre plus de risques pour aider nos entreprises. Ayant siégé sur le conseil d’administration de cet organisme pendant plusieurs années et jusqu’à tout récemment, je suis bien placée pour voir le potentiel d’Investissement Québec. Cependant, Investissement Québec doit agir selon les orientations que lui donne le gouvernement et je pense qu’avec un gouvernement de la CAQ, Investissement Québec sera encore plus un outil de développement économique régional », a déclaré la nouvelle candidate.

Le service public, le plus beau métier du monde

Pour sa part, Stéphane Le Bouyonnec espère sincèrement que l’équipe de la CAQ aura une vraie chance de faire les choses autrement après le 1eroctobre prochain.« Après avoir connu une carrière active et valorisante dans le monde des affaires, tout en gardant toujours un pied dans la politique militante, je suis prêt à nouveau à embrasser le plus beau métier du monde, celui du service public. J’ai la conviction profonde qu’une bonne équipe de parlementaires, dirigée par un leader authentique et déterminé, qui est lui-même guidé par un programme ambitieux et inspirant, peut faire une grosse différence pour le Québec.  Au niveau économique, je crois fermement que nous pouvons faire mieux. Avec François Legault à la tête du prochain gouvernement, nous ferons mieux !», a-t-il conclu.

Plan de valorisation de la profession enseignante


 Publié le 24 mai 2018

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Technologie « chaîne de blocs » : Le gouvernement libéral met un frein à l’innovation au Québec


 Publié le 18 mai 2018

La technologie chaîne de blocs révolutionne actuellement l’univers du stockage de données. Depuis quelques mois, un certain d’entreprises ont approché Hydro-Québec afin de s’approvisionner en énergie et ainsi faire profiter la province d’importants investissements, à même nos surplus d’électricité.

 

Alors que ces entreprises voudraient investir chez nous et y créer des emplois et qu’Hydro-Québec est prêt, le gouvernement libéral, lui, se traine les pieds. Plutôt que d’encadrer l’industrie comme on lui demande de le faire, d’être proactif afin que le Québec soit pionnier de cette nouvelle technologie, le gouvernement libéral met littéralement un frein à ces investissements en imposant un moratoire.

 

Selon son PDG, la société d’État serait en mesure de vendre 5TWh de ses surplus d’électricité aux entreprises actives dans la chaîne de blocs d’ici quatre ans, mais le ministre l’en empêche. La Coalition Avenir Québec soutient que le gouvernement libéral doit saisir cette opportunité économique que représente cette technologie, puisque le Québec a des atouts importants pour se tailler une place de choix dans ce marché naissant : de l’électricité verte et un climat favorable. La CAQ propose de réserver un bloc d’énergie à ces entreprises, qui souhaitent développer un écosystème relié à la chaine de blocs.