Rapport de la commission Chamberland : Simon Jolin-Barrette invite le gouvernement à donner suite aux recommandations


 Publié le 14 décembre 2017

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, accueille favorablement le rapport final de la Commission d’enquête sur la protection de la confidentialité des sources journalistiques, déposé jeudi. Le député de Borduas invite le gouvernement libéral de Philippe Couillard à donner suite le plus rapidement possible aux deux recommandations phares, soit :

– L’adoption d’une loi sur la protection du matériel et des sources journalistiques ;

– Un meilleur encadrement des rapports entre les autorités politiques et les corps de police.

Le rapport Chamberland est le point de départ d’une série de réformes qui doivent être mises en place, souligne le caquiste Simon Jolin-Barrette. Philippe Couillard doit y donner suite, afin de rétablir la confiance du public envers les corps de police et pour protéger la liberté de presse.

D’abord, les libéraux doivent s’engager à déposer et à faire adopter, avant les prochaines élections générales, une loi sur la protection du matériel et des sources journalistiques. Ensuite, il faut mieux encadrer les rapports entre les autorités politiques et les corps de police. Simon Jolin-Barrette réitère que, pour assurer pleinement l’indépendance policière, les nominations du directeur général de la Sûreté du Québec et du commissaire de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) doivent être soumises à un vote des deux tiers de l’Assemblée nationale.

Le gouvernement libéral doit poser les gestes nécessaires afin de redonner confiance des Québécois en nos institutions, termine le député de la CAQ, Simon Jolin-Barrette.

Annonce du candidat de la CAQ dans Ungava : Un policier retraité de la Sûreté du Québec portera les couleurs de la CAQ


 Publié le 13 décembre 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer que Denis Lamothe, qui a fait carrière pendant près de 30 ans comme policier à la Sûreté du Québec, portera les couleurs de sa formation politique dans la circonscription d’Ungava lors des prochaines élections générales.

Celui qui a vécu et travaillé dans le comté d’Ungava pendant 8 ans croit beaucoup à l’économie locale et régionale. « La CAQ, c’est le parti des familles. C’est un fait, plusieurs familles québécoises ont de la difficulté à arriver au bout du mois. C’est inconcevable! Il faut redonner de l’argent dans le portefeuille des familles et c’est ce que nous ferons une fois au pouvoir. François Legault veut aussi créer des emplois payants pour tous les Québécois afin que nous demeurions fiers et prospères. C’est avec des solutions aussi concrètes que nous améliorerons le sort des Québécois », a souligné Denis Lamothe.

Confiance et intégrité

Pour François Legault, l’expérience de Denis Lamothe permettra à la CAQ de se brancher sur les réalités vécues par les citoyens d’Ungava, autochtones ou non-autochtones. « Denis aime profondément le Nord québécois et les gens qui y vivent. Alors qu’il travaillait en milieu autochtone, Denis s’est bâti une réputation d’homme de confiance, intègre et doté d’un solide jugement. Si j’ai pris la peine de venir à Chibougamau pour présenter le candidat de la CAQ 9 mois avant les élections du 1er octobre, c’est en signe de respect pour les gens de la région », a souligné le chef de la CAQ.

L’équipe du changement prend forme

« L’équipe de la CAQ, c’est le changement dont le Québec a grandement besoin. Moi, ça m’inspire! Et c’est exactement ce pour quoi j’adhère à la CAQ : pour le changement. Pour améliorer les conditions de vie des Québécois. Et je peux vous assurer que vous pouvez compter sur moi pour promouvoir et défendre les intérêts de mes concitoyens et concitoyennes. Je ferai la différence. Et je tiens à lancer ce message à tous les citoyens du comté d’Ungava : joignez-vous à nous », a-t-il conclu.

Victimes d’agression sexuelle : Le gouvernement Couillard de plus en plus isolé


 Publié le 12 décembre 2017

À la suite d’un rapport dévoilé mardi par le Barreau du Québec, le gouvernement Couillard est de plus en plus isolé dans sa volonté de maintenir les délais de prescription empêchant des victimes d’agression à caractère sexuel de poursuivre leur agresseur au civil, constate le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette.

Dans ce rapport, intitulé « Réflexion sur le traitement des dossiers en matière d’agression sexuelle au Canada », le Barreau du Québec recommande au gouvernement libéral de modifier le Code civil du Québec afin de prévoir « l’imprescriptibilité des actions pour les agressions sexuelles », dans le but « d’assurer la pleine efficacité des mesures de facilitation des recours pour les victimes ».

Depuis un bon moment, M. Jolin-Barrette talonne la ministre de la Justice, Stéphane Vallée, afin que celle-ci assure à toutes les victimes d’agressions sexuelles de poursuivre leurs agresseurs et d’être indemnisées sans contrainte de temps. La CAQ a même déposé un projet de loi 596 à cet effet à l’Assemblée nationale.

Simon Jolin-Barrette, appuyé par sa collègue critique en matière de condition féminine Lise Lavallée, estime que le délai de prescription constitue toujours à ce jour une barrière juridique qui n’a pas sa place, alors que de nombreuses victimes peinent à dénoncer et à obtenir justice. M. Jolin-Barrette espère que cette position du Barreau du Québec convaincra enfin le gouvernement libéral de Philippe Couillard à abolir définitivement tout délaidans le système judiciaire québécois, comme c’est le cas en matière criminelle.

Annonce du candidat de la CAQ dans Rouyn-Noranda-Témiscamingue : Jeremy Bélanger se joint à l’équipe du changement


 Publié le 11 décembre 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est ravi d’annoncer que Jeremy Bélanger, ingénieur chez Hydro-Québec, portera fièrement les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Rouyn-Noranda-Témiscamingue lors des prochaines élections générales.

Pour François Legault, Jeremy Bélanger est un candidat très solide, avec une feuille de route déjà impressionnante. « En plus d’être ingénieur chez Hydro-Québec, il complète une maîtrise en administration des affaires. Jeremy croit au potentiel de développement de grands projets chez Hydro-Québec, en vue d’exporter de l’électricité chez nos voisins canadiens et américains. Jeremy veut contribuer à développer notre économie, ici en Abitibi et au Témiscamingue. C’est un amoureux de la région, où il a décidé de fonder sa famille. Il comprend donc bien les réalités des jeunes familles d’ici », a indiqué François Legault.

De l’ambition pour l’Abitibi-Témiscamingue

C’est la grande vision économique de François Legault qui a convaincu le père de deux jeunes filles de faire le saut en politique. « Pour la CAQ et pour moi, le bien-être des familles québécoises est essentiel. D’ailleurs, j’ai la conviction profonde que des familles prospères et heureuses représentent l’élément clé d’une société grandissante et épanouie. Plus près de chez moi, en Abitibi-Témiscamingue, la CAQ proposera des mécanismes de développement régional efficaces et concrets. L’idée de donner le contrôle du développement des régions aux gens au coeur de l’action est excellente. Car ce sont eux qui connaissent les besoins pour assurer un développement rationnel qui reflète leurs attentes », a expliqué le nouveau candidat.

L’équipe du changement

« Des idées honnêtes et efficaces, une intégrité impeccable et notre engagement à poser des gestes concrets; c’est ça qui nous place dans la meilleure position pour servir les Québécois en 2018. Et c’est pour cela que la Coalition Avenir Québec est mon parti. Je suis fier d’être le candidat de l’équipe du changement de François Legault. J’invite tous mes concitoyens à se joindre à la CAQ pour assurer un meilleur avenir à tous les Québécois », a conclu Jeremy Bélanger.

Gicleurs dans les résidences pour aînés : La CAQ exige une modification du programme d’aide


 Publié le 10 décembre 2017

En présence de quelques propriétaires de petites résidences, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé et pour les aînés, François Paradis, a exigé que le gouvernement libéral modifie le versement de la subvention du programme d’aide pour l’installation les gicleurs.

Les résidences pour ainés doivent obtenir leur financement pour l’installation de gicleurs auprès d’institutions financières. Mais malgré le programme d’aide annoncé par les libéraux en 2015, elles éprouvent toujours beaucoup de difficultés à obtenir un financement et la subvention du gouvernement leur parvient beaucoup trop tard. Avec le changement proposé par la CAQ, lorsque les propriétaires auront les plans et les devis signés par un ingénieur et accepté la soumission d’un entrepreneur certifié, le gouvernement devra verser la subvention avant le début des travaux.

Le député de Lévis a soutenu que les résidences veulent assurer la sécurité des aînés. Mais, actuellement, le programme d’aide est trop rigide et mal adapté à la réalité des propriétaires, qui doivent entièrement financer les travaux avant un remboursement partiel. Or, ces travaux peuvent coûter entre 50 000 $ et 200 000 $ par résidence.

Selon des informations obtenues par la CAQ, en date du 12 octobre 2017, 902 résidences pour aînés ne sont pas encore munies d’un système de gicleurs contre les incendies, soit près de 50 % des résidences du Québec.

Patrons temporaires au SPVM et à la SQ : L’improvisation de Philippe Couillard fragilise nos institutions


 Publié le 8 décembre 2017

Pour le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, il est inacceptable que les deux principaux corps de police au Québec, la Sûreté du Québec (SQ) et le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), soient maintenant dirigés par des chefs temporaires. Cette situation n’est aucunement rassurante pour les Québécois, dont la confiance envers nos institutions est fragilisée.

François Legault a souligné que les corps policiers ont besoin de stabilité. Il était de la responsabilité de Philippe Couillard de trouver un bon gestionnaire pour relever la gestion du SPVM, sans rien enlever à la SQ. Il y avait forcément d’autres personnes compétentes au Québec, qu’ils soient civils ou policiers, capables de redresser la barre à la police de Montréal, a ajouté M. Legault.

L’improvisation libérale fragilise nos institutions, a déploré le chef de la CAQ.

Bilan de la session parlementaire : L’équipe du changement se renforce pour 2018


 Publié le 8 décembre 2017

Fort d’une session marquée par une victoire éclatante de sa formation politique dans un château fort libéral et par le début d’un vent de changement positif au Québec, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a tenu à spécifier que rien n’est joué, à 10 mois des élections générales, notamment face à un gouvernement libéral qui demeure un adversaire redoutable et qui n’hésitera pas à multiplier les cadeaux électoraux d’ici octobre 2018.

Entouré de l’ensemble de ses député(e)s, François Legault a souligné que son parti a fait des gains importants pour les Québécois au cours de la dernière session. Pensons aux baisses d’impôt pour les familles, aux chèques de 100 $ par enfant, au deuxième bain pour nos aînés, à l’abolition des clauses orphelin, à la création du comité de surveillance de l’UPAC, par exemple.

La stratégie libérale est de plus en plus claire : critiquer les idées de la CAQ sur toutes les tribunes. Or, ils ont passé la session à reprendre ces idées. Entre une pâle copie ou l’original, les Québécois sauront faire le bon choix, a estimé M. Legault. Le chef caquiste a appelé les Québécois à tenir bon. Il existe un fort désir de changement dans la population et pour que ce désir devienne réalité, il faudra rester au plus près des préoccupations des Québécois.

Annonce de la candidate de la CAQ dans Jean-Lesage : Christiane Gamache fait le saut en politique avec l’équipe du changement


 Publié le 8 décembre 2017

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est heureux d’annoncer que Christiane Gamache, qui a fait carrière dans le réseau de l’éducation, portera fièrement les couleurs de sa formation politique dans la circonscription de Jean-Lesage lors des prochaines élections générales.

« Vous savez tous l’importance que la CAQ et moi-même accordons à l’éducation. Christiane Gamache a justement travaillé pour nos enfants pendant 35 ans. J’ai un énorme respect pour elle et pour tous les enseignants qui, quotidiennement, aident nos jeunes à atteindre leur plein potentiel », a indiqué François Legault.

L’éducation, une priorité

La nouvelle candidate de la CAQ, spécialiste en éducation, est une femme de terrain et d’action. Elle en fait preuve chaque jour par son implication active dans sa communauté. « Je collabore et participe à de nombreux comités locaux afin de mieux comprendre les enjeux et besoins en lien avec la famille, la santé, l’éducation et l’économie du milieu. Je souhaite résolument contribuer à apporter un vent de changement dans notre société en me lançant en politique provinciale. Ce défi répond à mon désir d’améliorer la qualité et les conditions de vie des familles en favorisant le mieux vivre ensemble dans un environnement sain et sécuritaire », annonce la nouvelle candidate de la CAQ.
« Mes nombreuses années de vie professionnelle dans le milieu de l’éducation m’ont permis d’acquérir une grande expertise dans différents domaines tels que la pédagogie, la gestion participative et proactive, l’administration, l’évaluation et le développement. La réussite éducative de tous a toujours fait partie intégrante de mes grandes préoccupations. La CAQ répond en tout point à mes convictions les plus chères, soit d’améliorer le système d’éducation et de venir en aide aux familles », poursuit Christiane Gamache.

L’équipe du changement prend forme

« On ne se le cachera pas, dans l’arrondissement Limoilou, il y a de la pauvreté et aussi de l’exclusion sociale de nos aînés. Pourtant, il y a eu des coupures de budget. Il faut s’attaquer à ces problèmes, et les résoudre. Il faut absolument du changement. À la Coalition Avenir Québec, notre but est de rassembler les Québécois pour préparer l’avenir. Et pour y parvenir, il faut doter le Québec de l’équipe du changement qu’est la CAQ », conclut-elle.

Commerce interprovincial : Philippe Couillard fait un autre flip-flop


 Publié le 7 décembre 2017

Le gouvernement libéral de Philippe Couillard a bloqué une motion de la Coalition Avenir Québec visant à ce que le gouvernement du Québec adhère au libre-échange interprovincial, y compris dans ses représentations judiciaires qui se déroulent actuellement devant la Cour suprême sur un cas spécifique sur le transport d’alcool.

Le leader parlementaire de la CAQ, François Bonnardel, a dénoncé la volte-face du premier ministre Couillard qui, le 21 juillet dernier, en marge du Conseil de la fédération, annonçait qu’une ouverture des frontières à l’alcool était imminente. « En même temps qu’on négocie des accords de commerce avec les autres pays du monde, on devrait être capables d’en avoir un entre nous », avait déclaré Philippe Couillard. Jeudi, on apprend toutefois que le procureur du gouvernement du Québec plaide contre un libre-échange de l’alcool et va jusqu’à affirmer qu’une telle entente irait à l’encontre de la fédération canadienne.

Une fois de plus, l’improvisation libérale nuit aux consommateurs québécois. Le député Bonnardel a fait savoir qu’une entente visant à améliorer le commerce avec les autres provinces canadiennes ne pourra être que bénéfique pour les Québécois. La motion de la CAQ se lisait comme suit : « Que l’Assemblée nationale demande au gouvernement du Québec d’adhérer et de prôner le libre-échange interprovincial pleinement et sans contraintes, y compris dans ses représentations judiciaires. »

Loterie vidéo : Carlos Leitão refuse de dévoiler le nombre d’appareils retirés


 Publié le 7 décembre 2017

Bien qu’il ait pris l’engagement formel de faire retirer 1100 appareils de loterie vidéo sur les 11 000 installés au Québec, le ministre des Finances, Carlos Leitão, n’entend pas dévoiler le nombre d’appareils qui ont été retirés jusqu’à maintenant.

Le leader parlementaire de la Coalition Avenir Québec, François Bonnardel, a adressé une demande d’accès à l’information à Loto-Québec dans laquelle il désirait connaître le nombre d’appareils qui ont été retirés au cours de la dernière année. La société d’État a refusé de partager ces données, ni même de préciser le nombre d’appareils de loterie vidéo retiré dans le cadre du programme de retrait volontaire et le nombre d’exploitants qui ont obtenu une compensation financière pour retirer des appareils. Le ministre Leitão, lui, s’est défendu en disant qu’il est impossible de faire un bilan du programme, puisque celui-ci s’échelonne sur 2 ans. C’est d’une absurdité totale, a réagi M. Bonnardel.

Pour le député de Granby, il est primordial d’avoir un portrait de la situation compte tenu de la sensibilité du dossier. Alors que le jeu pathologique ruine carrément des vies et brise des familles, le gouvernement libéral tolère que ces chiffres soient gardés dans le plus grand secret.