Élection générale de 2018 : Mario Asselin portera les couleurs de la CAQ dans Vanier-Les Rivières


 Publié le 7 mars 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier d’annoncer que Mario Asselin, directeur d’école et entrepreneur, sera le candidat pour sa formation politique dans le comté de Vanier-Les Rivières lors de la prochaine élection générale. François Legault se réjouit de pouvoir compter sur un professionnel de sa qualité pour qui l’éducation est la grande priorité au Québec.

« Mario et moi, on a deux passions communes : l’éducation et l’entrepreneuriat. Il nous a d’ailleurs aidé à développer deux grandes mesures qui vont être implantées par un gouvernement de la CAQ : la maternelle dès quatre ans offerte à tous les enfants, sans être obligatoire, et l’ajout de cinq heures de plus par semaine dans toutes les écoles secondaires pour trois activités, soit plus de sports, plus d’arts et plus d’aide aux devoirs », a expliqué le chef de la CAQ.

Celui qui habite le comté de Vanier-Les Rivières depuis 1998 soutient être porté par une motivation particulière : « Je veux agir pour que l’éducation soit la mieux adaptée possible aux besoins des jeunes et je veux accompagner les organisations dans le nécessaire virage numérique pour qu’elles gèrent mieux la connaissance. Tous ceux qui me connaissent savent que je me suis donné cette mission dans les trois véhicules empruntés dans mon parcours professionnel : l’école, l’entreprise et la politique active », a indiqué Mario Asselin,

D’entrée de jeu, le candidat caquiste identifie quatre grandes priorités pour le comté de Vanier-Les Rivières. « Je veux favoriser l’autonomie de la vingtaine d’écoles du comté pour qu’elles répondent mieux aux besoins des jeunes. Je compte aider les familles à bénéficier des meilleurs services possibles tout en disposant de plus d’argent dans leur portefeuille. Je souhaite contribuer à régler les problèmes de circulation sur les artères principales empruntées par les citoyens de Vanier-Les Rivières, et je tiens à m’assurer que les citoyens aient accès à des emplois payants », a-t-il soutenu.

« L’équipe Québec prend forme! »

François Legault est fier de constater que l’équipe Québec de la CAQ prend forme en vue de l’élection générale de 2018. « C’est une équipe forte, qui va jouer un rôle très important dans un éventuel gouvernement de la CAQ.  Québec est très importante pour nous et le vent de changement qui est en train de s’étendre à la grandeur du Québec a commencé à souffler à Québec, dans Louis-Hébert. Dans moins de sept mois, les Québécois vont enfin pouvoir voter pour l’équipe du changement », a-t-il conclut.

Prostitution juvénile et exploitation sexuelle : La CAQ dévoile une série de mesures


 Publié le 6 mars 2018

À la suite de plusieurs consultations et nombreuses rencontres avec des experts, la porte-parole de la Coalition Avenir Québec (CAQ) en matière de condition féminine et de santé publique et députée de Repentigny, Lise Lavallée, dévoile la série de mesures qu’un gouvernement de la CAQ entend déployer pour lutter efficacement contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.

 Il est impératif de s’attaquer à ces fléaux sous tous ses angles, estime Lise Lavallée. Sensibilisation, prévention, lutte contre les proxénètes, réparation pour les victimes : rien ne doit être laissé de côté pour s’assurer que le Québec ne soit plus une plaque tournante de l’exploitation sexuelle. Voici les mesures mises de l’avant par la CAQ.

  1.  Donner le mandat au ministère de la Sécurité publique de préparer une stratégie nationale comprenant une série d’actions concrètes pour lutter contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes

    Il n’existe actuellement aucun portrait exhaustif de la situation de la prostitution juvénile au Québec. Il faut mobiliser les forces vives concernées autour d’une démarche commune. Un gouvernement de la CAQ lancera des consultations publiques qui serviront de point de départ pour l’élaboration d’une véritable stratégie nationale de lutte contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.

  2. Mise en place d’une formation pour les acteurs de l’industrie hôtelière, ainsi que d’une ligne téléphonique d’urgence

    La CAQ propose l’instauration d’une ligne téléphonique d’urgence contre la traite des personnes dont l’affichage serait obligatoire dans certains lieux ciblés (hôtels, motels, stations de métro, etc.). Cette ligne d’urgence sera un point de chute pour quiconque souhaite dénoncer une situation dont il a été témoin ou pour obtenir de l’aide. Il faut également développer une formation destinée à l’industrie hôtelière pour en faire un partenaire dans cette lutte.

  3. Ajouter les crimes de traite de personnes et d’exploitation sexuelle à la liste de ceux donnant accès au régime d’indemnisation de l’IVAC

    Actuellement, seuls certains crimes peuvent donner accès au programme québécois d’aide et d’indemnisation des victimes d’actes criminels (IVAC). Les victimes d’exploitation sexuelle et de traite de personnes doivent avoir droit à une indemnisation.

  4. Inclure les services en sexologie dans la liste des services complémentaires du Régime pédagogique de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire

    Dans l’éventualité où aucun sexologue n’est disponible, s’assurer qu’un intervenant compétent soit en charge de soutenir les enseignants dans le cadre du cours d’éducation à la sexualité

    S’assurer qu’une partie du programme soit consacré à prévenir l’entrée dans la prostitution et vise à contrer sa banalisation

    La prévention en matière de prostitution et d’exploitation sexuelle nécessite la présence de sexologues dans nos écoles. De plus, le cours d’éducation à la sexualité doit servir à prévenir l’entrée de nos adolescent(e)s dans le monde de la prostitution. Ce cours sera un levier important de prévention et invitera nos jeunes à poser un regard critique sur la violence faite aux femmes et la banalisation de la prostitution.

  5. Mettre les organismes communautaires à contribution et déployer à l’échelle du Québec, là où il est pertinent de le faire, les initiatives qui fonctionnent

    En matière de prévention, des organismes communautaires compétents et dévoués sont déjà à pied d’œuvre. Plusieurs initiatives ont fait leurs preuves. Malheureusement, leur capacité d’action et de déploiement est limitée. Le gouvernement du Québec doit déployer à l’échelle du Québec les programmes qui portent fruit.

  6. Doubler, sur cinq ans, les effectifs policiers de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et mettre sur pied des équipes d’interventions multidisciplinaires

    En élargissant le mandat de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et en bonifiant ses effectifs, le Québec sortira gagnant. Un gouvernement de la CAQ doublera, sur cinq ans, le nombre de policiers au sein de cette équipe, de 25 à 50. Avec les ressources suffisantes, il leur sera possible de s’attaquer aux deux principales sources du problème : l’offre (les proxénètes) et la demande (les clients). C’est en déployant plus d’enquêteurs sur le terrain que l’on mènera une lutte ciblée et efficace contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle.

  7. Collaborer à l’ouverture de nouvelles maisons d’hébergement dédiées à la sortie de la prostitution pour les jeunes femmes

    Le gouvernement du Québec tire déjà profit de l’expertise de nombreuses ressources en place, notamment celle d’organismes et des maisons de soutien dédiées entièrement à la cause. Toutefois, une analyse plus approfondie devra être menée afin d’identifier précisément les besoins réels. La CAQ est d’avis que des maisons dédiées aux survivantes de la prostitution doivent rapidement être ouvertes, pour les aider à reprendre le contrôle de leur corps et de leur vie, ainsi que de les éloigner de leurs agresseurs.

  8. Réviser globalement la qualité des services offerts dans les centres jeunesse et les conditions de travail des intervenants

 Les vagues de fugues que nous avons vécues récemment au Québec dans les centres jeunesse ont été un signal d’alarme. Un rapport interministériel déposé il y a quelques mois a confirmé que les centres jeunesse sont un lieu de recrutement de mineures pour l’exploitation sexuelle menée par des proxénètes. Un gouvernement de la CAQ lancera un chantier visant l’amélioration des services offerts dans ces centres, tout en offrant aux intervenants des conditions de travail améliorées afin de contrer les hauts taux d’absentéisme.

 

Prostitution juvénile et exploitation sexuelle : Lise Lavallée dévoile une série de mesures


 Publié le 6 mars 2018

AILE PARLEMENTAIRE DE LA COALITION AVENIR QUÉBEC

À la suite de plusieurs consultations et nombreuses rencontres avec des experts, Lise Lavallée, députée de Repentigny et porte-parole de la Coalition Avenir Québec (CAQ) en matière de condition féminine et de santé publique, dévoile la série de mesures qu’un gouvernement de la CAQ entend déployer pour lutter efficacement contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.

Il est impératif de s’attaquer à ces fléaux sous tous ses angles, estime Lise Lavallée. Sensibilisation, prévention, lutte contre les proxénètes, réparation pour les victimes : rien ne doit être laissé de côté pour s’assurer que le Québec ne soit plus une plaque tournante de l’exploitation sexuelle. Voici les mesures mises de l’avant par la CAQ.

  1. Donner le mandat au ministère de la Sécurité publique de préparer une stratégie nationale comprenant une série d’actions concrètes pour lutter contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunesIl n’existe actuellement aucun portrait exhaustif de la situation de la prostitution juvénile au Québec. Il faut mobiliser les forces vives concernées autour d’une démarche commune. Un gouvernement de la CAQ lancera des consultations publiques qui serviront de point de départ pour l’élaboration d’une véritable stratégie nationale de lutte contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle des jeunes.
  2. Mise en place d’une formation pour les acteurs de l’industrie hôtelière, ainsi que d’une ligne téléphonique d’urgenceLa CAQ propose l’instauration d’une ligne téléphonique d’urgence contre la traite des personnes dont l’affichage serait obligatoire dans certains lieux ciblés (hôtels, motels, stations de métro, etc.). Cette ligne d’urgence sera un point de chute pour quiconque souhaite dénoncer une situation dont il a été témoin ou pour obtenir de l’aide. Il faut également développer une formation destinée à l’industrie hôtelière pour en faire un partenaire dans cette lutte.
  3. Ajouter les crimes de traite de personnes et d’exploitation sexuelle à la liste de ceux donnant accès au régime d’indemnisation de l’IVACActuellement, seuls certains crimes peuvent donner accès au programme québécois d’aide et d’indemnisation des victimes d’actes criminels (IVAC). Les victimes d’exploitation sexuelle et de traite de personnes doivent avoir droit à une indemnisation.
  4. Inclure les services en sexologie dans la liste des services complémentaires du Régime pédagogique de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaireDans l’éventualité où aucun sexologue n’est disponible, s’assurer qu’un intervenant compétent soit en charge de soutenir les enseignants dans le cadre du cours d’éducation à la sexualité
  5. S’assurer qu’une partie du programme soit consacré à prévenir l’entrée dans la prostitution et vise à contrer sa banalisationLa prévention en matière de prostitution et d’exploitation sexuelle nécessite la présence de sexologues dans nos écoles. De plus, le cours d’éducation à la sexualité doit servir à prévenir l’entrée de nos adolescent(e)s dans le monde de la prostitution. Ce cours sera un levier important de prévention et invitera nos jeunes à poser un regard critique sur la violence faite aux femmes et la banalisation de la prostitution.
  6. Mettre les organismes communautaires à contribution et déployer à l’échelle du Québec, là où il est pertinent de le faire, les initiatives qui fonctionnent 

    En matière de prévention, des organismes communautaires compétents et dévoués sont déjà à pied d’œuvre. Plusieurs initiatives ont fait leurs preuves. Malheureusement, leur capacité d’action et de déploiement est limitée. Le gouvernement du Québec doit déployer à l’échelle du Québec les programmes qui portent fruit.

  7. Doubler, sur cinq ans, les effectifs policiers de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et mettre sur pied des équipes d’interventions multidisciplinairesEn élargissant le mandat de l’escouade régionale mixte antiproxénétisme et en bonifiant ses effectifs, le Québec sortira gagnant. Un gouvernement de la CAQ doublera, sur cinq ans, le nombre de policiers au sein de cette équipe, de 25 à 50. Avec les ressources suffisantes, il leur sera possible de s’attaquer aux deux principales sources du problème : l’offre (les proxénètes) et la demande (les clients). C’est en déployant plus d’enquêteurs sur le terrain que l’on mènera une lutte ciblée et efficace contre la prostitution juvénile et l’exploitation sexuelle.
  8. Collaborer à l’ouverture de nouvelles maisons d’hébergement dédiées à la sortie de la prostitution pour les jeunes femmes 

    Le gouvernement du Québec tire déjà profit de l’expertise de nombreuses ressources en place, notamment celle d’organismes et des maisons de soutien dédiées entièrement à la cause. Toutefois, une analyse plus approfondie devra être menée afin d’identifier précisément les besoins réels. La CAQ est d’avis que des maisons dédiées aux survivantes de la prostitution doivent rapidement être ouvertes, pour les aider à reprendre le contrôle de leur corps et de leur vie, ainsi que de les éloigner de leurs agresseurs.

  9. Réviser globalement la qualité des services offerts dans les centres jeunesse et les conditions de travail des intervenants 

    Les vagues de fugues que nous avons vécues récemment au Québec dans les centres jeunesse ont été un signal d’alarme. Un rapport interministériel déposé il y a quelques mois a confirmé que les centres jeunesse sont un lieu de recrutement de mineures pour l’exploitation sexuelle menée par des proxénètes. Un gouvernement de la CAQ lancera un chantier visant l’amélioration des services offerts dans ces centres, tout en offrant aux intervenants des conditions de travail améliorées afin de contrer les hauts taux d’absentéisme.

Plan d’action sur les inondations : Rien pour réduire la bureaucratie libérale


 Publié le 1 mars 2018

Bien qu’elle salue la présentation d’un plan d’action relatif aux inondations, la députée de Mirabel pour la Coalition Avenir Québec, Sylvie D’Amours, estime que celui-ci arrive bien tard et ne vient pas régler le cœur du problème : la gestion catastrophique menée par le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux.

Ce dont les sinistrés sur le terrain ont besoin, c’est d’un vrai leadership au gouvernement lorsque surviennent des catastrophes, pas d’autres rencontres préparatoires, déplore Sylvie D’Amours. La députée caquiste persiste et signe : c’est la bureaucratie libérale qui ralentit toutes les procédures, manque d’écoute et peine à fermer les dossiers, empêchant ainsi des milliers de familles à tourner la page près d’un an après cette tragédie.

Mme D’Amours est d’accord avec l’objectif de doter les municipalités d’un plan d’urgence, mais le ministre Martin Coiteux aurait mieux fait de regarder dans sa propre cour en expliquant comment il mobiliserait plus d’effectifs de son propre ministère lors d’un désastre. En effet, l’incapacité du ministère de la Sécurité publique à venir en aide rapidement aux citoyens touchés le printemps dernier a été largement démontrée par des sinistrés.

Rappelons que la CAQ a révélé en février qu’en date du 18 janvier 2018, un peu moins de 8 % des dossiers de sinistrés étaient entièrement fermés, laissant donc toujours des milliers de familles en attente d’un dédommagement complet.

Candidat de la CAQ dans Chapleau : L’avocat Mathieu Lévesque se présente pour la CAQ dans Chapleau


 Publié le 28 février 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a annoncé que Mathieu Lévesque, avocat en droit des affaires, portera les couleurs de sa formation politique dans le comté de Chapleau lors de la prochaine élection générale. François Legault se réjouit de pouvoir compter sur un jeune Gatinois dynamique, motivé et brillant pour le comté de Chapleau.

« Mathieu incarne le changement. Et après 15 ans de gouvernement libéral, on a vraiment besoin de changement. Un changement pour remettre de l’argent dans le portefeuille des familles, pour mettre fin au gaspillage, pour réduire le fardeau fiscal, pour réduire l’attente dans les urgences. Les libéraux tiennent la région pour acquise depuis trop longtemps. C’est le temps de changer et en même temps, de vous donner un élu dynamique, qui fait partie de l’avenir de la politique québécoise », a affirmé François Legault.

De son côté, Mathieu Lévesque prend l’exemple de la santé pour démontrer à quel point l’Outaouais est encore et toujours négligée par les libéraux. « Les citoyens et les familles de Chapleau en souffrent au quotidien. Il y a de très long temps d’attente dans les urgences, une surcharge de travail de nos infirmières et une pénurie de médecins. La population doit souvent se rendre à Ottawa ou même sortir de la région et se rendre à Montréal pour obtenir des soins médicaux. C’est inconcevable pour la 4e ville en importance au Québec », a dénoncé le candidat caquiste.

Un changement bénéfique pour l’Outaouais

Le candidat de la CAQ invite les libéraux déçus à se rallier à lui, dans l’équipe du changement, pour passer un message clair au Parti libéral. « À chaque élection depuis les 50 dernières années, les libéraux ont joué la carte de la menace d’un référendum. Mais cette époque est terminée, elle est révolue. Il est maintenant possible de voter pour une troisième voie, la CAQ, puisque c’est possible d’avoir un Québec fort à l’intérieur du Canada. Le 1er octobre, la population de l’Outaouais et de Chapleau a rendez-vous avec le changement. Ce changement passe par l’élection d’un député et d’un gouvernement capable de remplir ses engagements, un gouvernement proche des Québécois et à l’écoute de leurs préoccupations, un gouvernement de la Coalition Avenir Québec », a conclu Mathieu Lévesque.

Budget fédéral : Le Québec loin d’être gagnant


 Publié le 28 février 2018

Le budget du gouvernement fédéral est décevant pour le Québec, ont dénoncé les députés de la Coalition Avenir Québec, Nathalie Roy et Éric Lefebvre.

Alors que nous faisons face à une gestion d’accueil sans précédent de demandeurs d’asile, le gouvernement Trudeau n’a prévu aucune compensation financière pour les frais encourus par le Québec, notamment en santé, en éducation, en logement et en aide sociale, a vivement déploré la porte-parole de la CAQ en matière d’immigration, Nathalie Roy. La caquiste a rappelé qu’en 2017, le Québec a vu 25 500 personnes entrer illégalement en sol québécois par le chemin Roxham, à Saint-Bernard-de-Lacolle, soit plus de 50 % de toutes les arrivées au Canada. Philippe Couillard doit maintenant dire quel est son plan de match.

Bien qu’il salue les sommes investies par le fédéral dans le domaine de la science et de la recherche, le député d’Arthabaska et critique en matière de développement économique régional, Éric Lefebvre, a pour sa part exprimé son impatience quant à l’octroi de nouveaux contrats pour le Chantier Davie. Des centaines d’emplois sont toujours en jeu et le fédéral n’a pas été au rendez-vous, mardi, dans son budget. M. Lefebvre a également souligné l’occasion ratée pour Justin Trudeau d’assurer l’équité fiscale pour toutes les entreprises canadiennes et d’afficher sa volonté de lutter contre les paradis fiscaux.

Finalement, la CAQ a reproché au gouvernement libéral son attitude irresponsable : si le Québec n’a rien obtenu, c’est parce que Philippe Couillard n’a rien demandé, ont conclu Nathalie Roy et Éric Lefebvre.

Candidature de taille dans Pointe-aux-Trembles : Chantal Rouleau portera les couleurs de la CAQ


 Publié le 27 février 2018

La Coalition Avenir Québec marque un grand coup en recrutant la mairesse de l’arrondissement Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, Chantal Rouleau, qui sera candidate dans la circonscription de Pointe-aux-Trembles pour l’élection générale de 2018. Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est très fier et honoré de pouvoir compter sur une femme d’une telle envergure dans son équipe, sur l’Île de Montréal.

« Chantal possède un grand bagage d’expérience en gestion et en politique, en plus d’avoir a été une femme d’affaires. Et comme élue de Montréal, elle a non seulement géré son arrondissement, mais elle a aussi siégé au Comité exécutif de la Ville. Chantal a notamment travaillé à la revitalisation du vieux Pointe-aux-Trembles, à l’aménagement de la Plage de l’Est et à la diversification économique de l’arrondissement. C’est donc une femme de grande expérience, qui sait obtenir des résultats », a-t-il expliqué.

Chantal Rouleau compte se servir de son expérience accumulée au cours des dernières années pour continuer à servir les citoyens de son arrondissement. « Je suis d’abord une femme de l’Est de Montréal. C’est mon coin, c’est ma passion. Beaucoup de décisions qui ont un impact ici se prennent à Québec. Je pense notamment au transport collectif, qui est une grosse préoccupation dans l’Est de Montréal. La circonscription de Pointe-aux-Trembles a un énorme potentiel. Mais pour développer des emplois payants, créer de la richesse, mettre en valeur le territoire, il faut la volonté, le courage et le pouvoir politique. J’ai cette volonté et je veux aller chercher les moyens de la réaliser le 1er octobre prochain », a-t-elle exprimé.

La candidate de la CAQ affirme qu’il est plus que nécessaire d’améliorer le transport collectif dans l’Est de Montréal. « Jusqu’à maintenant, il n’y a pas eu de proposition de transport collectif pour l’Est de Montréal. Notre arrondissement a été abandonné par les libéraux. Cette époque tire à sa fin. Un gouvernement de la CAQ est prêt à étudier toutes les possibilités de projets pour trouver la solution la plus avantageuse au meilleur coût possible », a assuré Chantal Rouleau.

Un message fort aux Montréalais

Pour François Legault, la candidature de Chantal Rouleau lance un message fort et clair aux Montréalais : « Nous sommes sérieux. Montréal peut et doit faire partie du changement. Et comme vous pouvez l’imaginer, Chantal a l’expérience et la force pour faire entendre la voix de Montréal dans un gouvernement de la CAQ. Je suis très heureux et très fier de pouvoir compter sur elle. Chantal : bienvenue dans l’équipe du changement », a souligné le chef de la CAQ.

Entente avec la FMSQ : François Legault demande aux libéraux de ne pas signer l’entente avant les élections


 Publié le 20 février 2018

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a mis au défi Philippe Couillard et son ministre de la Santé, Gaétan Barrette, de ne pas signer l’entente de principe conclue avec les médecins spécialistes du Québec et de la soumettre aux Québécois à l’élection d’octobre prochain. Ni Philippe Couillard ni Gaétan Barrette n’ont eu le courage politique de reculer.

Pour François Legault, cette entente n’est pas à l’avantage des Québécois. Elle consent de nouvelles augmentations aux médecins spécialistes québécois alors que ces derniers gagnent plus que leurs collègues ontariens, de l’aveu même du ministre Barrette.

Le chef caquiste a également dénoncé la mauvaise gestion libérale. Dans son entente de 2011, le gouvernement libéral s’était engagé à créer un comité pour suivre l’évolution de l’écart entre la rémunération des médecins du Québec et celle des médecins des autres provinces. En 2015, le Vérificateur général dénonçait le fait que ce suivi n’avait toujours pas été fait. Il est révoltant de voir Philippe Couillard verser aujourd’hui des milliards de dollars aux médecins sans avoir le portrait de cet écart, a dénoncé M. Legault.

Stationnement au CIUSSS de l’Estrie : Gaétan Barrette défend la nouvelle taxe déguisée


 Publié le 14 février 2018

Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, ne voit pas d’inconvénients à ce que les usagers du CIUSSS de l’Estrie paient plus cher leur place de stationnement en arrivant à l’hôpital, puisqu’ils sont maintenant forcés de régler la facture en arrivant. Pour le député de Granby et porte-parole de la CAQ pour la région de l’Estrie, François Bonnardel, c’est une nouvelle façon de piger dans les poches des Québécois de la région.

Depuis l’automne dernier, dans le but d’augmenter ses revenus, le CIUSSS de l’Estrie a entrepris l’installation dans tous ses stationnements d’horodateurs qui exigent que l’usager paie sa facture à son arrivée plutôt qu’à son départ. Ce système est totalement inefficace, puisqu’il est souvent difficile de prévoir le temps qu’un usager restera à l’hôpital. Résultat : dans la région, on paie trop cher pour la durée du stationnement, a dénoncé François Bonnardel.

Le député de Granby a demandé au ministre Barrette d’exiger du CIUSSS de l’Estrie qu’il revoie au plus vite sa décision qui complique la vie des usagers et de leurs familles. Gaétan Barrette a plutôt choisi de défendre cette taxe déguisée. François Bonnardel a dénoncé également le peu d’intérêt des députés libéraux de l’Estrie, qui ne sont pas intervenus auprès du ministre Barrette dans ce dossier.

Entente avec la FMSQ : Philippe Couillard verse un demi-milliard sans savoir si un rattrapage demeure nécessaire


 Publié le 14 février 2018

Philippe Couillard est incapable de démontrer aux Québécois qu’il reste réellement un rattrapage salarial à faire entre la rémunération des médecins spécialistes québécois et ceux du reste du Canada, a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Donner 500 millions aux médecins sans savoir s’il reste un tel rattrapage à faire, c’est totalement irresponsable, a-t-il fustigé.

La patience des Québécois a des limites, a prévenu M. Legault, qui exige de Philippe Couillard qu’il rende immédiatement publique une étude comparative de la rémunération des médecins spécialistes du Québec comparativement à ceux dans le reste du Canada. Le chef de la CAQ a rappelé qu’en 2003, toutes les parties s’entendaient pour dire que les médecins spécialistes du Québec avaient un écart de rémunération négatif d’environ 40 % avec le reste du Canada. Comme ministre de la Santé, il avait à l’époque accepté que cet écart soit diminué au même niveau que celui affectant les autres professions par rapport aux autres provinces, soit environ 10 %. Dans l’entente, un comité tripartite devait être mis sur pied pour statuer sur cet écart. Mais les travaux de ce comité n’ont donné aucun résultat et les libéraux ont toujours refusé de relancer les études. Si bien qu’en 2018, une telle étude comparative n’existe toujours pas. Après 15 ans de générosité libérale envers les médecins, les spécialistes ont même possiblement effacé cet écart. Seule une étude comparative pourrait le démontrer. Or, Philippe Couillard ne semble même pas en détenir.