Près de 8 M$ pour revitaliser l’Est de Montréal


 Publié le 7 avril 2025

La ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Christine Fréchette, et son adjointe gouvernementale à la Métropole et députée d’Anjou-Louis-Riel, Mme Karine Boivin Roy, annoncent un investissement de 7,85 millions de dollars pour la concrétisation de trois projets qui contribueront à la revitalisation de l’Est de Montréal.

  • L’organisme Entremise a reçu 4 millions de dollars afin de transformer l’ancien couvent des Franciscains, un bâtiment actuellement vacant qui est situé à l’angle du boulevard Rosemont et de la rue Dickson. À terme, le projet permettra à l’édifice d’accueillir, entre autres, des locaux commerciaux, des espaces destinés aux services communautaires ainsi qu’un espace accessible au grand public.
  • Une somme de 2,5 millions est octroyée à Saint-Michel, quartier de l’innovation sociale pour la construction d’une maison communautaire multiétage qui aura pignon sur le boulevard Saint-Michel.
  • Enfin, l’Arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve se voit accorder 1,35 million de dollars pour l’aménagement d’un parc multifonction où l’on retrouvera notamment du mobilier urbain et des mesures d’apaisement de la circulation sous forme de saillies végétalisées.

Les sommes octroyées proviennent d’une enveloppe spécialement réservée pour appuyer des projets favorisant l’attractivité de l’Est de Montréal et qui visent à améliorer les milieux ainsi que la qualité de vie de la population.

Citations :
« Enfin, un gouvernement s’occupe vraiment de l’Est de Montréal! Karine Boivin Roy et moi, comme tout notre gouvernement, avons une vision et travaillons sans relâche pour la concrétiser, de concert avec les acteurs du milieu. Je suis fière de l’appui annoncé aujourd’hui à ces trois projets porteurs faisant suite à tous les autres qui changent le visage de l’Est, une initiative à la fois. C’est toute la métropole qui y gagne! »
Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Christine et moi, ainsi que toutes les personnes engagées dans l’Est, nous rêvons d’un territoire dynamique, attrayant, rassembleur et prospère. L’arrivée d’une maison communautaire dans le quartier Saint-Michel, l’aménagement d’un parc multifonction dans le secteur Mercier-Est et la nouvelle vocation qui sera donnée à l’ancien couvent des Franciscains sont des grands pas de plus qu’on pose dans cette direction. On veut améliorer la qualité de vie dans l’Est, et on se donne des moyens pour le faire. »
Karine Boivin Roy, adjointe gouvernementale de la ministre responsable de la Métropole et députée d’Anjou-Louis-Riel

Plus de 8 M$ pour soutenir l’achat local et le développement de nouveaux marchés


 Publié le 3 avril 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, annonce un soutien financier de 8,2 millions de dollars à trois organisations, soit Aliments du Québec (3,2 millions de dollars), le Groupe Export agroalimentaire (3 millions de dollars) et M361 (2 millions de dollars), afin de renforcer les initiatives qui favorisent l’achat local et le développement de nouveaux marchés. Cette somme permettra d’appuyer les entreprises bioalimentaires québécoises dans le contexte de l’incertitude commerciale actuelle.

Aliments du Québec

  • Aliments du Québec a pour mission d’encourager les consommateurs à acheter des aliments d’ici, tant dans le réseau de vente au détail que dans celui de l’hôtellerie, de la restauration et des institutions.
  • Rappelons qu’Aliments du Québec a reçu une subvention de 18,5 millions de dollars, pour les exercices financiers de 2023-2024 à 2025-2026, en vue de favoriser la mise en valeur de l’offre de produits bioalimentaires québécois ainsi que leur présence dans les différents réseaux de distribution.
  • L’aide additionnelle de 3,2 millions de dollars permettra d’accroître l’identification des aliments québécois et les actions promotionnelles sur les lieux de vente. L’objectif est de faciliter encore davantage la vie des consommateurs et l’identification des produits d’ici.
  • Cette subvention permettra également d’aider les entreprises à accroître leurs ventes sur le marché québécois.
  • Les modalités de l’aide offerte aux entreprises seront communiquées au cours des prochaines semaines par Aliments du Québec.

Groupe Export agroalimentaire

  • Groupe Export agroalimentaire regroupe une part importante des exportateurs bioalimentaires québécois et vise à favoriser le développement de leurs marchés extérieurs, qui sont essentiels à la croissance des entreprises du secteur bioalimentaire.
  • L’aide supplémentaire de 3 millions de dollars vient s’ajouter à la subvention de 14 millions de dollars octroyée à l’organisme en 2024. Elle permettra d’appuyer les exportateurs dans la diversification de leurs marchés extérieurs.
  • Les modalités de l’aide offerte aux entreprises seront communiquées au cours des prochaines semaines par le Groupe Export.

M361

  • L’aide additionnelle de 2 millions de dollars s’ajoute à la somme de 2,15 millions de dollars accordée dans le cadre d’une entente de partenariat pour les exercices financiers de 2022-2023 à 2024-2025.
  • Cette bonification permettra d’accompagner et de soutenir davantage d’écoles dans la réalisation de projets structurants liés à une alimentation saine, locale et durable dans les établissements scolaires publics au Québec.
  • Cette aide s’inscrit dans la Stratégie nationale d’achat d’aliments québécois, qui vise à inciter les institutions publiques du Québec à s’engager à s’approvisionner en aliments locaux.
  • Le dernier appel de projets de M361 a connu un grand succès : 110 écoles ont reçu un financement, portant ainsi à 163 le nombre d’écoles publiques soutenues pour qu’elles se dotent d’une cible d’achat local.
  • Les projets réalisés ont permis de donner accès à davantage de choix alimentaires locaux et sains à plus de 82 000 élèves québécois.

Citations

« Je suis heureux de ce soutien qui contribuera à diversifier nos marchés extérieurs et à accroître notre autonomie alimentaire. Plus que jamais, nous devons valoriser les produits d’ici auprès des consommateurs québécois dans les points de vente et au sein de nos institutions publiques. Avec cette annonce, votre gouvernement pose un geste concret pour protéger nos entreprises, nos travailleurs et l’économie de l’ensemble de nos régions. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« Aliments du Québec remercie le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation pour sa confiance et son soutien envers nos actions. Dans le contexte actuel, ce financement supplémentaire nous permettra d’intensifier notre impact : faire rayonner les aliments d’ici et encourager les consommateurs à les choisir au quotidien. Nos marques de certification – Aliments du Québec et Aliments préparés au Québec ainsi que leurs déclinaisons bio – sont plus que jamais des repères fiables pour guider les Québécois vers l’achat local. Concrètement, cet appui nous aidera à soutenir davantage nos adhérents et à accentuer nos efforts pour identifier les aliments d’ici en épicerie, là où se prennent les décisions d’achat. »

Isabelle Roy, directrice générale d’Aliments du Québec

« La diversification des marchés d’exportation va au-delà d’une vision que nous transmettons aux entreprises. Elle est devenue une nécessité et nous avons constaté un engouement accru au cours des dernières semaines. C’est pourquoi le Groupe Export accueille l’annonce du ministre Lamontagne avec beaucoup d’enthousiasme. Cette somme nous permettra d’appuyer les entreprises dans leurs efforts pour développer de nouveaux marchés. La diversification des exportations s’accompagne souvent d’une complexité accrue, il est donc essentiel que les entreprises soient stimulées et adéquatement soutenues dans leurs projets. »

Martin Lavoie, président-directeur général du Groupe Export agroalimentaire

« Ces investissements permettront aux établissements scolaires publics du Québec de se tourner plus facilement vers des producteurs et des fournisseurs de proximité. En plus de favoriser l’achat local, les projets réalisés contribuent à l’amélioration de la littératie alimentaire des jeunes et à leur éveil quant à l’origine des aliments qu’ils consomment. Résultat : une plus grande autonomie alimentaire et des jeunes qui développent de saines habitudes qui les suivront toute leur vie. Notre mission chez M361, c’est d’influencer les normes sociales afin d’améliorer la qualité de vie des Québécois et des Québécoises. Et soutenir l’achat local s’inscrit pleinement dans cet engagement! »

Frédéric Therrien, directeur général de M361

Liens connexes 

Se procurer des aliments locaux

Reconnaître les aliments québécois

Stratégie nationale d’achat d’aliments québécois

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Obligation de pratique au public, pas seulement pour les nouveaux médecins


 Publié le 1 avril 2025

Le gouvernement commence aujourd’hui l’étude détaillée du projet de loi 83 favorisant la pratique de la médecine dans le réseau public, au Québec. Il dépose par le fait même des amendements en fonction des suggestions formulées lors des consultations. Par ces amendements, le gouvernement propose que tous les médecins reçoivent une autorisation de Santé Québec pour se désaffilier du réseau public. 

Des critères précis pour travailler au privé

À l’écoute des préoccupations de la population et des différents groupes quant au nombre croissant de médecins qui partent pratiquer au privé, et dans un souci d’équité, les amendements déposés visent à mettre en place un régime d’autorisation permettant à Santé Québec d’évaluer la pertinence des demandes de médecins désirant travailler dans le réseau privé. Chaque demande sera analysée pour préserver les capacités du public, dans l’intérêt des patients. Jusqu’à présent, aucune autorisation n’avait à être fournie aux médecins, ceux-ci ne devant qu’informer la RAMQ à l’intérieur de certains délais. Des critères précis guideront les autorisations accordées, notamment :

  • Un nombre de médecins suffisant doit pratiquer dans les établissements publics de la région du médecin;
  • Son départ ne doit pas engendrer de conséquences négatives pour les patients de sa région;
  • L’incapacité du réseau public à mettre à contribution ce médecin dans les établissements de sa région doit être démontrée.

Pratiquer au moins cinq ans dans le réseau public québécois pour les nouveaux médecins

Rappelons que le projet de loi prévoit aussi d’obliger tout nouveau médecin à commencer sa pratique et à demeurer médecin participant au réseau public québécois pour au moins cinq ans avant d’avoir la possibilité d’exercer au privé. Une sanction financière sera imposée afin de dissuader les nouveaux médecins qui voudraient exercer au privé sans préalablement respecter leur engagement.  

Des données préoccupantes  

Nous observons une tendance à la hausse des médecins pratiquant dans le réseau public qui partent pratiquer dans le réseau privé. Les données les plus récentes démontrent que, parmi les 22 011 médecins au Québec, plus de 820 travaillent dans le réseau privé actuellement, ce qui représente une hausse de plus de 80 % par rapport à pareille date en 2020. Soulignons que dans les trois derniers mois, près de 60 médecins de plus se sont désaffiliés du réseau public, et ce, en plus des 150 médecins, dont 145 spécialistes, qui ont alterné dans la dernière année, entre le réseau privé et le réseau public.  

Citations : 

« Les Québécois investissent massivement dans un système de santé universel. Ils sont en droit d’avoir accès à un médecin, avec leur carte Soleil, quand ils en ont besoin. Notre gouvernement l’a toujours dit : le privé peut être complémentaire au réseau public, particulièrement pendant la transformation que nous effectuons. Nous nous assurons aujourd’hui qu’il le demeure, et ce, dans l’intérêt des patients québécois. Nous posons un ensemble de gestes qui permettront d’améliorer l’accès à notre réseau de santé pour que tous les Québécois soient pris en charge d’ici l’été 2026. »  

Christian Dubé, ministre de la Santé 

« Notre gouvernement reste déterminé à répondre aux besoins de la population tout en valorisant un système de santé fort et accessible. Ces amendements sont essentiels pour garantir un accès équitable aux soins de santé pour tous les Québécois. En renforçant l’engagement des médecins à servir dans le réseau public, nous faisons un pas important pour l’avenir de notre système de santé. » 

Catherine Blouin, députée de Bonaventure et adjointe gouvernementale au ministre de la Santé  

Faits saillants : 

  • Rappelons que la formation d’un médecin coûte, en incluant la résidence, entre 435 000 $ et 790 000 $ aux contribuables québécois.  
  • Les amendes prévues au projet de loi sont de 20 000 $ à 100 000 $ par jour et par acte. En cas de récidive, elles sont de 40 000 $ à 200 000 $. Les montants pourront s’appliquer chaque fois que le professionnel contreviendra à ses obligations de pratique au public.   
  • Rappelons que les amendements déposés aujourd’hui visent à mettre en place le régime d’autorisation pour une période de deux ans.

SOURCE Cabinet du ministre de la Santé

Le premier ministre du Québec en Allemagne pour renforcer la position du Québec sur le marché européen


 Publié le 31 mars 2025

Le premier ministre du Québec, François Legault, participera, du 30 mars au 1er avril, au plus grand événement commercial en technologie industrielle au monde, Hannover Messe 2025, en Allemagne.

Cette mission permettra au premier ministre de positionner avantageusement le Québec dans les chaînes de valeur allemandes et européennes, en plus d’appuyer les entreprises et associations manufacturières québécoises dans leurs démarches de diversification de marchés et d’amélioration de leur productivité. Au total, ce sont près de 100 organisations et entreprises québécoises issues des secteurs de l’automatisation, de la robotique, de l’intelligence artificielle, de la mobilité et des technologies propres qui participeront à cette mission commerciale.

Le premier ministre en profitera pour rencontrer des personnalités politiques et figures clés du monde économique. Ces entretiens auront notamment comme objectif de renforcer au plus haut niveau les liens du Québec avec la puissance économique qu’est l’Allemagne, un partenaire essentiel dans un contexte où la diversification des marchés s’avère incontournable.

Citation :

« La guerre commerciale entamée par le président Trump nous pousse à réévaluer notre relation commerciale avec les États-Unis. C’est indéniable, le Québec doit s’ouvrir à d’autres marchés. Comme toute crise présente des occasions, il faut saisir celles qui s’offrent à nous pour créer de nouveaux partenariats et renforcer nos liens avec d’autres alliés. L’intensification de notre collaboration avec l’Allemagne, et l’Europe plus largement, dans des secteurs comme l’aéronautique et la défense, les transports, les technologies ou l’intelligence artificielle pourrait par exemple réduire notre dépendance aux politiques commerciales américaines et permettre à notre économie de devenir encore plus forte et résiliente. »

François Legault, premier ministre du Québec

Faits saillants :

  • La présence du Québec est coordonnée par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, avec l’appui d’Investissement Québec International, de la Délégation générale du Québec à Munich, du ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie du Québec et de Commerce International Québec.
  • Troisième économie mondiale (après les États-Unis et la Chine), l’Allemagne est un partenaire commercial incontournable pour le Québec : quatrième à l’échelle internationale et premier en Europe. En 2023, les échanges du Québec avec l’Allemagne ont atteint 8,2 G$, dont 1,6 G$ en exportations et 6,6 G$ en importations.
  • L’Allemagne est un pays stratégique pour le Québec, non seulement sur le plan fédéral, mais aussi à travers ses États fédérés, dont la Bavière, avec laquelle le Québec entretient une coopération depuis 35 ans, et Hambourg, avec lequel le Québec a signé un partenariat stratégique en 2024.
  • Le Québec est présent en Allemagne depuis plus de 50 ans. Deux représentations québécoises couvrent le territoire allemand : la Délégation générale du Québec à Munich et l’Antenne du Québec à Berlin.

394 bornes de recharge rapide publiques supplémentaires sur nos routes


 Publié le 31 mars 2025

Dans le cadre du deuxième appel à projets pour le déploiement de bornes de recharge rapide publiques au Québec, le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, M. Benoit Charette, annonce l’ajout de 394 bornes publiques additionnelles réparties dans 66 villes et municipalités qui viendront s’ajouter à l’offre actuelle.

Cette annonce s’inscrit dans la foulée des actions réalisées par le gouvernement pour soutenir l’électrification des transports et ainsi contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre au Québec dans ce secteur. D’ailleurs, en 2023, il a annoncé la Stratégie québécoise sur la recharge de véhicules électriques. À ce jour, le Québec est la seule province canadienne à disposer d’une telle stratégie. Dans le cadre de cet appel à projets, des aides financières totalisant 49,9 M$ seront octroyées afin de bonifier le réseau de bornes de recharge à courant continu.

Citations :

« On le sait, le secteur des transports est responsable de plus de 43,3 % des émissions de gaz à effet de serre au Québec. C’est pourquoi je suis très heureux de constater l’engouement pour la recharge publique. Ce sont près de 200 projets qui ont été soumis dans le cadre de ce deuxième appel à projets. Je remercie les entreprises responsables de ces initiatives qui permettront d’accélérer le rythme de déploiement des infrastructures de recharge pour répondre à l’augmentation constante du nombre de véhicules électriques sur nos routes. »

Benoit Charette, ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs

« Je suis ravi que nous investissions encore afin de bonifier le réseau québécois de bornes de recharge rapide publiques dans les prochaines années. L’électrification des transports est un chantier nécessaire pour réussir la transition climatique au Québec. Les Québécois sont de plus en plus nombreux à prendre le virage électrique et c’est notre rôle, en tant que gouvernement, de leur donner accès à des infrastructures de recharge fiables et efficaces sur l’ensemble du territoire. »

Mathieu Lemay, adjoint parlementaire du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (volet électrification) et député de Masson

170 000 $ à Impulsion 2025, le Sommet international des transports électriques et intelligents


 Publié le 31 mars 2025

Le gouvernement du Québec est heureux d’octroyer 169 300 $ à Propulsion Québec pour soutenir l’organisation du sommet Impulsion 2025, qui aura lieu les 31 mars et 1er avril au Palais des congrès de Montréal.

La ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Christine Fréchette, en a fait l’annonce aujourd’hui.

Cette rencontre internationale qui favorise des synergies mondiales pour les transports électriques et intelligents au Québec est de retour pour sa 5e édition. Cette année, ce rendez-vous mise sur l’innovation pour propulser la transition écologique vers des avancées significatives et un avenir durable.

Citation :

« Impulsion met de l’avant le savoir-faire, l’ingéniosité et le talent montréalais et québécois en matière de transport électrique et intelligent. Encore cette année, ce sommet positionne notre métropole comme une vitrine d’innovation et contribue grandement à son rayonnement à l’international. »

Christine Fréchette, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

Début des travaux de la première phase de l’agrandissement de l’urgence de l’Hôpital de Saint-Georges


 Publié le 31 mars 2025

Dans le cadre du projet d’agrandissement et de modernisation de l’urgence de l’Hôpital de Saint-Georges, le député de Beauce-Sud, Samuel Poulin, au nom du ministre de la Santé, Christian Dubé, annonce aujourd’hui le début des travaux de la première phase de l’agrandissement de l’urgence de l’Hôpital de Saint-Georges.

Cette initiative permet d’atténuer les inconvénients du chantier à venir et d’assurer la continuité des soins d’urgence en offrant un environnement fonctionnel et sécuritaire aux patients et patientes ainsi qu’aux professionnels et professionnelles de la santé. Ce projet consiste ainsi en un réaménagement de l’ancien garage d’ambulance afin d’optimiser l’utilisation de cet espace et d’améliorer la fluidité hospitalière et la qualité des milieux de soins.

Citations :

« Il est important de continuer à offrir aux patients et aux professionnels de soins un accès facile à des soins de qualité. C’est de cette manière que nous continuerons à répondre aux besoins immédiats de tout le monde, pendant la mise en place de cet important chantier en matière d’infrastructure. »

Christian Dubé, ministre de la Santé

« Le début des travaux de la première phase de l’agrandissement de l’urgence est une bonne nouvelle pour toute la population de la Beauce-Sud. Cette infrastructure permettra de mieux gérer la transition vers l’agrandissement de notre hôpital, tout en continuant d’offrir aux professionnels de la santé des conditions de travail optimales et à la population, un accès à des services de qualité. Je remercie toutes les équipes mobilisées pour mener à bien ce projet essentiel pour notre communauté. »

Samuel Poulin, député de Beauce-Sud

Le premier ministre demande des engagements fermes en matière d’économie et d’immigration


 Publié le 27 mars 2025

 En vue des élections fédérales qui auront lieu le 28 avril prochain, le premier ministre du Québec, François Legault, a acheminé une lettre aux chefs des partis fédéraux afin de leur demander de prendre des engagements clairs sur des enjeux déterminants pour l’avenir du Québec, dont l’immigration et la prospérité économique dans un contexte de guerre tarifaire.

Pour le contenu de la lettre, vous pouvez cliquer sur ce lien

Citations

« Dans un contexte d’incertitude économique et de déclin du français, notre gouvernement est déterminé à protéger notre économie et à protéger notre identité. Je demande donc aux chefs de partis fédéraux, dans les futures négociations avec les États-Unis, de protéger les secteurs-clés de l’économie québécoise, incluant la gestion de l’offre. Le prochain gouvernement fédéral doit également s’engager à investir massivement dans les infrastructures pour stimuler l’économie. J’ai aussi demandé une réduction de moitié du nombre d’immigrants temporaires sous responsabilité fédérale sur le territoire québécois, d’ici trois ans. Il est temps que le fédéral respecte pleinement nos compétences, nous donne plus d’autonomie sur l’immigration temporaire et investisse à la hauteur des besoins pour soutenir notre économie. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Il est primordial que les intérêts du Québec soient entendus par les chefs des partis fédéraux et notre gouvernement continuera d’y veiller. Nous sommes déterminés à continuer d’accroître l’autonomie du Québec au sein de la fédération et à protéger notre identité distincte. Le prochain gouvernement fédéral devra respecter cette volonté et comprendre que c’est avec des États fédérés forts et autonomes que le Canada pourra faire face aux défis d’aujourd’hui et de demain. »

Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice, procureur général du Québec et ministre responsable des Relations canadiennes

SOURCE Cabinet du premier ministre

Des services de garde plus accessibles et plus équitables pour les familles québécoises


 Publié le 27 mars 2025

La ministre de la Famille, Mme Suzanne Roy, a déposé aujourd’hui à l’Assemblée nationale le projet de loi favorisant l’équité dans l’accès aux services de garde éducatifs à l’enfance subventionnés dispensés par les titulaires de permis. La volonté du gouvernement est d’abaisser les barrières à l’entrée et d’interdire qu’un enfant ait accès à une place subventionnée en raison, notamment, de sa langue, de sa culture ou de sa religion.

Ce projet de loi a pour objectif d’offrir aux familles québécoises un meilleur accès aux services de garde éducatifs à l’enfance en leur assurant qu’au moins la moitié des places disponibles en CPE et en garderies subventionnées soit accessible à tous les enfants, sans égard à leur situation. Le projet de loi propose ainsi l’adoption d’une politique d’admission nationale et uniforme à laquelle les installations subventionnées pourront adhérer. Dorénavant, seuls six critères de priorisation, reposant sur les principes d’égalité des chances, de mixité sociale et de conciliation famille-travail-études, seraient permis. Ainsi, des dizaines de milliers de places seraient plus accessibles à tous les enfants, sans aucune barrière à l’entrée.

Citation :

« Ce projet de loi propose un processus d’attribution des places encore plus transparent, plus équitable et uniforme pour l’ensemble des familles du Québec. En passant de près de 2 000 politiques d’admission à une politique unique pour tous, nous éliminons les barrières qui limitent l’accès à une place subventionnée dans les services de garde éducatifs à l’enfance. Avec ce projet de loi, nous réitérons l’importance que toutes les familles québécoises aient accès à des places subventionnées de qualité, à un tarif abordable. »

Suzanne Roy, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de la Montérégie

Faits saillants :

  • Le projet de loi s’inscrit dans la continuité du Grand chantier pour les familles et met la table pour le nouveau Portail d’inscription aux services de garde, qui sera lancé cet automne.
  • Le projet de loi propose les six priorités d’admission suivantes, en fonction desquelles une installation peut allouer, si elle le souhaite, un maximum de 50 % de ses places :
    • enfants qui présentent des besoins particuliers;
    • enfants qui vivent dans un contexte de précarité socio-économique;
    • enfants dont un parent est inscrit dans un établissement d’enseignement afin d’y poursuivre des études ou une formation qui mènent à l’obtention d’un diplôme, d’un certificat ou d’une autre forme d’attestation d’études délivrés en vertu d’une loi applicable au Québec, ou dont un parent est inscrit aux mêmes fins dans un établissement d’enseignement donné avec lequel le titulaire de permis a conclu une entente écrite visant à prioriser l’admission de tels enfants dans son installation en échange d’une contrepartie;
    • enfants dont un parent est à l’emploi d’un employeur donné, autre qu’un prestataire de services de garde éducatifs, avec lequel le titulaire de permis a conclu une entente écrite visant à prioriser l’admission de tels enfants dans son installation en échange d’une contrepartie;
    • enfants dont un parent réside sur le territoire d’une municipalité locale donnée avec laquelle le titulaire de permis a conclu une entente écrite visant à prioriser l’admission de tels enfants dans son installation en échange d’une contrepartie;
    • enfants autochtones ou dont un parent est autochtone.
  • Certaines dispositions du projet de loi concernent par ailleurs l’admission des enfants d’une même fratrie, le chevauchement lors du départ et de l’arrivée de cohortes successives d’enfants en garderie non subventionnée et le rôle accordé aux bureaux coordonnateurs en matière d’évaluation de la qualité éducative.

Pour en savoir plus sur les activités du ministère de la Famille, suivez-le sur les médias sociaux :

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51 M$ pour favoriser l’accès aux services vétérinaires partout au Québec


 Publié le 27 mars 2025

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, annonce un investissement de 51 millions de dollars sur trois ans pour accroître l’accès aux services vétérinaires partout au Québec pour les éleveurs et les producteurs. Cette somme accompagne le nouveau Programme intégré de santé animale du Québec (PISAQ) 2025-2028.

Le PISAQ assurera un accès équitable aux services dans toutes les régions du Québec en finançant le déplacement des vétérinaires à un taux universel. Il soutiendra également des projets de recrutement et de rétention de la main-d’œuvre vétérinaire en région éloignée.

Ce sont plus de 8 000 producteurs qui pourront bénéficier d’un appui financier et plus de 120 000 visites vétérinaires qui seront soutenues chaque année grâce au PISAQ. Les activités financées incluent, entre autres :

  • le déplacement du médecin vétérinaire à la ferme sur l’ensemble du territoire québécois;
  • divers projets pour développer l’expertise des professionnels de la santé vétérinaire;
  • l’accompagnement d’éleveurs par des médecins vétérinaires dans l’adoption de bonnes pratiques en matière de santé et de bien-être des animaux. 

Un webinaire de lancement et d’information sera proposé aux médecins vétérinaires et au personnel administratif en vue d’expliquer les principaux changements du nouveau programme.

Citation

« Je suis heureux de ce nouvel appui financier qui permettra d’accroître l’accès aux soins vétérinaires pour nos producteurs et nos éleveurs, notamment en tenant compte des besoins particuliers en région éloignée et en soutenant des soins directement à la ferme. Par le lancement du PISAQ, votre gouvernement démontre son engagement fort pour une meilleure santé et un meilleur bien-être de nos cheptels. » 

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

Faits saillants

  • Depuis 1971, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation favorise l’accès aux soins vétérinaires pour les producteurs du Québec.
  • Grâce au PISAQ, plus de 8 000 producteurs bénéficieront de subventions et plus de 120 000 visites vétérinaires seront financées chaque année. Ce sont également plus de 400 médecins vétérinaires qui offriront des services dans le cadre de ce programme.
  • Le PISAQ 2025-2028 accorde une importance particulière à l’aide aux régions en appuyant le recrutement et la rétention de la main-d’œuvre vétérinaire de même que divers projets visant à consolider l’offre de services pour les clientèles les plus vulnérables en matière d’accès aux services vétérinaires.
  • Il permet également plus de flexibilité pour répondre aux besoins des clientèles, notamment grâce à un plus large éventail de projets et de thèmes admissibles.
  • Il prévoit une enveloppe annuelle de 17,0 millions de dollars pour un montant total de 51 millions sur trois ans. Il s’agit d’une augmentation de 1,9 million par année par rapport au budget du programme actuel. De plus, 40 % de l’investissement annoncé est consacré aux clientèles établies en région périphérique.

Lien connexe

Pour plus d’information, visitez Québec.ca.

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