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Publié le 26 mai 2018

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Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité du lancement du Congrès national de la CAQ au Centre de congrès et d’expositions de Lévis pour annoncer que Nadine Girault et Stéphane Le Bouyonnec porteront les couleurs de sa formation politique lors de la prochaine élection générale, dans les circonscriptions de Bertrand et de La Prairie respectivement. François Legault se réjouit de pouvoir compter sur ces gestionnaires de grande expérience au sein de son équipe.
Pour François Legault, ces ajouts à sa formation politique démontrent à quel point le Québec aura une équipe de gestionnaires exceptionnelle avec un éventuel gouvernement de la CAQ. « Partout où ils sont passés, ils ont fait preuve d’excellence. Nadine a actuellement sa propre boîte de consultants en gestion. Auparavant, elle a été vice-présidente au Fonds de solidarité FTQ, de Boutique Jacob, de BMO Groupe financier, de Desjardins Sécurité financière, vice-présidente associée à RBC Banque Royale, et elle a aussi siégé au conseil d’administration d’Investissement Québec. De son côté, Stéphane est actuellement le président de la CAQ. Il est diplômé de l’École Polytechnique de Montréal en génie industriel. Il a d’abord travaillé chez Lavalin, pour ensuite être vice-président exécutif de l’entreprise Hypocrat, vice-président du Fonds de solidarité FTQ, président d’Innovitech et de Métaforia. Il a aussi fondé Synergis Capital, une firme spécialisée en fusions, acquisitions et finance corporative, en plus d’avoir été député de la CAQ dans La Prairie de 2012 à 2014 », a détaillé le chef de la CAQ.
« Les Québécois veulent que leur État soit mieux géré. Depuis des années, on a l’impression que le gouvernement libéral a baissé les bras. Nous, on est convaincu que le gouvernement peut être beaucoup mieux géré. Les Québécois en ont assez de payer toujours plus pour toujours moins de services. Les Québécois veulent que le gros bon sens et la bonne gestion fassent leur retour au gouvernement. Ce changement est incarné par Nadine et Stéphane», a ajouté François Legault.
Dynamiser Investissement Québec en région
Nadine Girault soutient avoir choisi la Coalition Avenir Québec « pour son ouverture au changement dans la façon de gouverner le Québec. J’ai trouvé à la CAQ une harmonie de vue avec mes propres convictions, que ce soit en immigration, en éducation ou dans la vision de M. Legault du développement économique régional. Je crois, comme lui, qu’il faut rendre Investissement Québec plus dynamique en région et qu’on doit prendre plus de risques pour aider nos entreprises. Ayant siégé sur le conseil d’administration de cet organisme pendant plusieurs années et jusqu’à tout récemment, je suis bien placée pour voir le potentiel d’Investissement Québec. Cependant, Investissement Québec doit agir selon les orientations que lui donne le gouvernement et je pense qu’avec un gouvernement de la CAQ, Investissement Québec sera encore plus un outil de développement économique régional », a déclaré la nouvelle candidate.
Le service public, le plus beau métier du monde
Pour sa part, Stéphane Le Bouyonnec espère sincèrement que l’équipe de la CAQ aura une vraie chance de faire les choses autrement après le 1eroctobre prochain.« Après avoir connu une carrière active et valorisante dans le monde des affaires, tout en gardant toujours un pied dans la politique militante, je suis prêt à nouveau à embrasser le plus beau métier du monde, celui du service public. J’ai la conviction profonde qu’une bonne équipe de parlementaires, dirigée par un leader authentique et déterminé, qui est lui-même guidé par un programme ambitieux et inspirant, peut faire une grosse différence pour le Québec. Au niveau économique, je crois fermement que nous pouvons faire mieux. Avec François Legault à la tête du prochain gouvernement, nous ferons mieux !», a-t-il conclu.
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La technologie chaîne de blocs révolutionne actuellement l’univers du stockage de données. Depuis quelques mois, un certain d’entreprises ont approché Hydro-Québec afin de s’approvisionner en énergie et ainsi faire profiter la province d’importants investissements, à même nos surplus d’électricité.
Alors que ces entreprises voudraient investir chez nous et y créer des emplois et qu’Hydro-Québec est prêt, le gouvernement libéral, lui, se traine les pieds. Plutôt que d’encadrer l’industrie comme on lui demande de le faire, d’être proactif afin que le Québec soit pionnier de cette nouvelle technologie, le gouvernement libéral met littéralement un frein à ces investissements en imposant un moratoire.
Selon son PDG, la société d’État serait en mesure de vendre 5TWh de ses surplus d’électricité aux entreprises actives dans la chaîne de blocs d’ici quatre ans, mais le ministre l’en empêche. La Coalition Avenir Québec soutient que le gouvernement libéral doit saisir cette opportunité économique que représente cette technologie, puisque le Québec a des atouts importants pour se tailler une place de choix dans ce marché naissant : de l’électricité verte et un climat favorable. La CAQ propose de réserver un bloc d’énergie à ces entreprises, qui souhaitent développer un écosystème relié à la chaine de blocs.
À la lueur des résultats dans le dossier de la tordeuse des bourgeons de l’épinette, il y a lieu de se questionner sur le travail du ministre des Forêts, Luc Blanchette.
À la suite de 31 rencontres entre des lobbyistes du Nouveau-Brunswick et le cabinet du ministre fédéral, 75 M$ ont été annoncés par le gouvernement fédéral pour lutter contre cet insecte ravageur au Nouveau-Brunswick. Du côté du Québec, le ministre Blanchette n’a transmis que deux lettres à son homologue fédéral, sans aucun résultat.
Au Québec, de nouvelles zones sont affectées, chaque année, par la tordeuse des bourgeons de l’épinette. Ces zones auraient dû faire partie des projets pilotes du gouvernement fédéral. Malheureusement, le Québec n’y figure pas puisque le ministre n’a pas fait les représentations nécessaires afin que la province obtienne elle aussi de l’aide de la part du gouvernement fédéral pour la protection de nos forêts.
La Coalition Avenir Québec a déposé, ce mercredi, une motion déplorant que de nombreux dossiers ne soient toujours pas fermés, un an après que des centaines de résidences aient subis de sérieux dommages, à la suite de l’importante crue printanière en 2017.
La vie normale n’a toujours pas repris son cours habituel pour plusieurs victimes de ces inondations. Un an plus tard, certains n’ont toujours pas réintégré leur résidence et la lenteur administrative du traitement des dossiers ne fait qu’empirer leur situation, déjà insupportable. Cette motion demande formellement au ministre d’accélérer le traitement des requêtes afin de mettre un baume sur la douleur toujours vive des victimes de ces inondations.
Le député de La Peltrie et porte-parole de la Coalition Avenir Québec pour le Conseil du trésor, Éric Caire, a déposé aujourd’hui un projet de loi encadrant les communications des organismes publics. Si adopté, ce projet de loi aurait comme principal objectif d’empêcher l’utilisation des fonds publics à des fins partisanes, ou encore pour promouvoir les intérêts du gouvernement au pouvoir.
Depuis leur entrée en poste en 2014, ce sont plus de 12,4M$ qui ont été dépensés par les libéraux de Philippe Couillard à même les fonds publics, pour des fins partisanes. À titre d’exemple, un montant démesuré de 5 millions de dollars a été décaissé entre avril et décembre, l’an dernier, afin de faire la promotion du Plan économique 2017 des libéraux. Pour la Coalition Avenir Québec, c’est tout à fait inacceptable que les deniers publics soient utilisés uniquement dans l’objectif mettre en valeur le parti au pouvoir et cette pratique doit cesser, par respect pour l’argent des contribuables.
Avec ce projet de loi déposé par la CAQ, il serait désormais interdit de promouvoir le parti politique au pouvoir, de critiquer directement ou indirectement un parti politique ou un membre de l’Assemblée nationale, et il est prévu que le vérificateur général puisse vérifier la conformité d’une communication avec les normes prescrites. Les fonds publics serviront donc directement au citoyen, à des fins d’information ou de prévention.
Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de Finances publiques et député de Granby, François Bonnardel, la porte-parole en matière de Famille et députée de Louis-Hébert, Geneviève Guilbault, ainsi que le candidat dans la circonscription de Vanier-Les Rivières, Mario Asselin, ont annoncé ce matin qu’un gouvernement de la CAQ déménagera le Salon de jeux de Québec vers un secteur touristique et étudiera l’opportunité de renouveler l’offre de divertissement en le transformant en casino.
Situé aux limites des circonscriptions de Vanier-Les Rivières et Jean-Lesage, où on retrouve le plus bas revenu moyen des ménages au Québec, le Salon de jeux a des impacts importants sur la santé publique de l’aveu même de la Direction de la santé publique (DSP) de Québec, qui plaide depuis plusieurs années pour le déménagement de l’établissement. De plus, selon la DSP, les joueurs évoluant sur les appareils de loterie vidéo, comme c’est le cas dans la presque totalité du Salon de jeux, sont les plus susceptibles de développer des problèmes de dépendance aux jeux de hasard. Jusqu’à 20 % d’entre eux seraient à risque de devenir des joueurs pathologiques. D’un autre côté, la région de la Capitale-Nationale a la chance d’accueillir des centaines de milliers de touristes annuellement, et leur nombre est en constante augmentation. Les entrées des touristes internationaux au Québec ont crû de 8,4 % entre 2016 et 2017, dans une proportion de 5,4 % pour les Américains et de 13,3 % pour les touristes en provenance des autres pays. De notre point de vue, il paraît idéal de viser une clientèle touristique plus fortunée et de plus en plus nombreuse, qui vient dépenser de l’argent neuf au Québec, plutôt que la clientèle locale présentement ciblée.
L’ultimatum lancé par la ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David a échoué : le conseil d’administration et le recteur de l’UQTR ont ignoré l’appel de la ministre et rendent le président du syndicat responsable de lever ou non le lock-out, en acceptant la dernière proposition de l’établissement. Si la situation perdure encore 24 heures, le député de Nicolet-Bécancour pour la Coalition avenir Québec, Donald Martel, demande au gouvernement Couillard le dépôt d’un projet de loi spéciale pour forcer la levée du lock-out des professeurs de l’UQTR, qui perdure depuis le 2 mai dernier.
Le conseil d’administration de l’UQTR a littéralement fait fi de la demande de la ministre, dont se vantait pourtant le député de Trois-Rivières, soutient Donald Martel, porte-parole de la CAQ pour la région de la Mauricie. Celui-ci dénonce le manque de leadership et d’autorité de la ministre, qui refuse de s’impliquer concrètement depuis le début dans la gestion du conflit, prenant littéralement en otage les finissants et étudiants de l’établissement, qui ne peuvent commencer leur recherche d’emploi et qui risquent de passer à côté d’opportunités de carrière.
La Coalition Avenir Québec offre sa pleine collaboration et invite les autres partis d’opposition à en faire autant, afin de régler le différend par une loi spéciale qui mettra rapidement fin au conflit.
Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a profité de la tenue d’un événement militant de sa formation politique, samedi à Montréal, pour présenter sept nouveaux candidats pour l’élection générale de 2018 : Julie Séide (Bourassa-Sauvé), Simon Langelier (Laurier-Dorion), Vicky Michaud (Marguerite-Bourgeoys), Marc Hétu (Marquette), Sonya Cormier (Rosemont), Janny Gaspard (Viau) et Michelle Morin (Westmount–Saint-Louis).
Pour François Legault, ces nouveaux candidats sur l’île de Montréal démontrent que l’équipe du changement prend forme en vue de la prochaine élection générale. « Le parcours de vie de nos candidats est extraordinaire. La diversité de leurs intérêts m’inspire. Ils sont à l’image de la métropole », s’est réjoui le chef de la CAQ.
François Legault souhaite faire de Montréal une source d’inspiration pour le Québec. « Vous savez, il y a deux Montréal : celui des festivals, des restaurants, du tourisme, des start-ups, des universités, mais il y a aussi un autre Montréal dont on ne parle pas assez : le Montréal de tous les jours, celui des familles. Nous avons besoin de répondre aux besoins des deux Montréal. Un moteur économique, un incubateur d’entreprises, mais aussi un lieu où on peut élever une famille, une ville où il fait bon vivre », a-t-il expliqué.
Montréal appartient à tous les Montréalais
Le chef de la CAQ soutient que depuis trop longtemps, le Parti libéral tient Montréal pour acquis. « L’une des preuves, c’est l’état des écoles à Montréal. Les écoles de la Commission scolaire de Montréal sont parmi les pires au Québec. Elles tombent en ruines. Les libéraux ont laissé les écoles se dégrader pendant trop longtemps. De plus en plus de familles pensent s’installer en banlieue. Après 15 ans, c’est le temps que ces familles disent ce qu’elles pensent du gouvernement libéral. Nous avons rassemblé pour elles l’équipe du changement, en vue du 1er octobre. L’île de Montréal n’appartient pas au Parti libéral. Elle appartient à tous les Montréalais et à tout le Québec », a conclu François Legault.